La vision parfaite d’une barbare berserk. Maggot, le corps ruisselant de sueurs et prisonnier d’un mouvement de haut vers le haut pour récupérer son souffle, dardait son regard intense dans celui léger de Ryanne. Elle avait combattu pour sa survie. De corps et d’esprit, eu égard à cette vision que lui avaient infligé les mains baladeuses.
« Tu m’étonnes que le sac plastique n’ait pas voulu se farcir ses hallucinations ! »
(GRANDE inspiration car manque de souffle)
« BORDEL ! Pourquoi je peine à reprendre mon souffle ? Ca va, je t’emmerde pas trop ? Ta collection de jouets s’agrandit comme tu veux ?... »
D’une démarche qui laissait présager le pire, Maggot se rapprocha avec ce qui ressemblait davantage à de la colère que de l’amour. C’était une boule de nerfs et son regard semblait chercher un punching-ball. Au vu du peu de membres dans leur groupe, Ryanne semblait être toute désignée. Elle vit donc la gobeline au sein nu s’arrêter heureusement devant elle. C’est qu’elle aurait pu la percuter pour poursuivre son chemin : cette barbare malpolie !
« Si je dois me débarrasser de toutes les saloperies à ta place, je crois que tu vas très vite de te démerder toute seule. »
Sa main essaya de remettre en place la lanière de sa salopette. Mais la fixation n’était plus et la bretelle retomba inefficace. Comme Ryanne pensa Maggot.
« Bordel ! Bon, pas grave. On s’en fout. »
Récupérant d’une seule main sa masse à trésors, le poids la fit ployer un instant sur ses appuis quand l’arme trouva son appui sur son épaule. Sans rien annoncer, Maggot sortit de la salle non sans avoir donné un coup d’épaule en « évitant » « l’inspectrice ». Beaucoup de guillemets… pour beaucoup de mensonges.
Maggot traça son chemin dans le couloir. N’étant pas en état, elle ne fit pas attention à la composition des murs. Cette brutalité toute verte permettant à l’écrivain une autorisation de paresse justifiée. Et donc Maggot se retrouva dans une salle-carrefour. Sur le moment, elle ne savait plus où il fallait aller. L’adrénaline du combat et la frustration accumulée (qui aurait de quoi débloquer des coups spéciaux si ce devait être un jeu !) la firent davantage s’intéresser à une espèce de rivière qui coulait dans un sens Nord-Sud. Ou Haut-Bas. Bref.
« C’est de la flotte ? C’est bleu en tout cas… C’est que la parodie de combat m’a donné soif. J’aurai préféré une bonne bière quand même… »
Elle posa un genou à terre et- HEY ! Je vous voie venir à dire que pour la gobeline le chemin est plus rapide que pour les autres races à cause de leur petite taille.
« HEY ! »
QUOI ?
« Ce n’est pas à toi que je parle. Je m’exclamais après avoir gouté l’eau qui n’en est pas. C’est du sang je crois ! »
Maggot se releva pour remonter du regard le courant de cette flotte qui semblait être de l’hémoglobine. A l’image de ces schémas médicaux qui faisaient la différence entre le sang pauvre et le sang riche. L’un bleu et l’autre rouge. La rivière paraissait peu profonde. Maggot se demanda si ce n’était pas une bonne façon d’atteindre le titre du RP. A savoir, le Cœur du Donjon.

« Tu m’étonnes que le sac plastique n’ait pas voulu se farcir ses hallucinations ! »
(GRANDE inspiration car manque de souffle)
« BORDEL ! Pourquoi je peine à reprendre mon souffle ? Ca va, je t’emmerde pas trop ? Ta collection de jouets s’agrandit comme tu veux ?... »
D’une démarche qui laissait présager le pire, Maggot se rapprocha avec ce qui ressemblait davantage à de la colère que de l’amour. C’était une boule de nerfs et son regard semblait chercher un punching-ball. Au vu du peu de membres dans leur groupe, Ryanne semblait être toute désignée. Elle vit donc la gobeline au sein nu s’arrêter heureusement devant elle. C’est qu’elle aurait pu la percuter pour poursuivre son chemin : cette barbare malpolie !
« Si je dois me débarrasser de toutes les saloperies à ta place, je crois que tu vas très vite de te démerder toute seule. »
Sa main essaya de remettre en place la lanière de sa salopette. Mais la fixation n’était plus et la bretelle retomba inefficace. Comme Ryanne pensa Maggot.
« Bordel ! Bon, pas grave. On s’en fout. »
Récupérant d’une seule main sa masse à trésors, le poids la fit ployer un instant sur ses appuis quand l’arme trouva son appui sur son épaule. Sans rien annoncer, Maggot sortit de la salle non sans avoir donné un coup d’épaule en « évitant » « l’inspectrice ». Beaucoup de guillemets… pour beaucoup de mensonges.
Maggot traça son chemin dans le couloir. N’étant pas en état, elle ne fit pas attention à la composition des murs. Cette brutalité toute verte permettant à l’écrivain une autorisation de paresse justifiée. Et donc Maggot se retrouva dans une salle-carrefour. Sur le moment, elle ne savait plus où il fallait aller. L’adrénaline du combat et la frustration accumulée (qui aurait de quoi débloquer des coups spéciaux si ce devait être un jeu !) la firent davantage s’intéresser à une espèce de rivière qui coulait dans un sens Nord-Sud. Ou Haut-Bas. Bref.
« C’est de la flotte ? C’est bleu en tout cas… C’est que la parodie de combat m’a donné soif. J’aurai préféré une bonne bière quand même… »
Elle posa un genou à terre et- HEY ! Je vous voie venir à dire que pour la gobeline le chemin est plus rapide que pour les autres races à cause de leur petite taille.
« HEY ! »
QUOI ?
« Ce n’est pas à toi que je parle. Je m’exclamais après avoir gouté l’eau qui n’en est pas. C’est du sang je crois ! »
Maggot se releva pour remonter du regard le courant de cette flotte qui semblait être de l’hémoglobine. A l’image de ces schémas médicaux qui faisaient la différence entre le sang pauvre et le sang riche. L’un bleu et l’autre rouge. La rivière paraissait peu profonde. Maggot se demanda si ce n’était pas une bonne façon d’atteindre le titre du RP. A savoir, le Cœur du Donjon.
