Bobbie savourait pleinement ce moment ! Elle s'enfonçait dans le cul de sa femme avec appétit, tandis que Joana, de son côté, laissait parler ses fantasmes, excitant chaudement Cassie. Ici, l'inceste n'était pas un mal, mais une véritable valeur ajoutée. Quand Joana évoqua clairement cette idée, les joues de Cassie s'empourprèrent, et elle rougit doucement, de honte, mais aussi d'une lancinante excitation. C'était comme ça que ça marchait... Dans cette ville, les liens conjugaux étaient plus forts que les liens familiaux, et le lien qui reliait Cassie à ses Maîtresses était inspiré de ce lien conjugal qui, en réalité, était un lien d'asservissement. Sans doute pourrait-elle un jour se libérer de ce conditionnement, mais, pour l'heure, Cassie était leur esclave. Elle adhérait à toutes les idées des deux femmes, et Bobbie se devait bien d'admettre que l'imagination fertile de son amante était un régal pour elle. Elle grogna donc, la laissant parler, et accéléra subitement. Sa sodomie gagna en puissance, forçant Joana à se taire et à gémir, crachant sa salive sur le sol.
Dehors, le soleil commençait doucement à se coucher. Bobbie giflait le cul de Cassie, qui se déplaça encore doucement, filmant la scène. Elle était émoustillée, et commençait à se caresser. Bobbie soupira alors, et lui fit non de la tête.
«
En-Enfonce-toi l'un de nos vibromasseurs, Cassie, tes mains vont venir palper mon cul... »
Avec le temps, la combinaison moulante de Bobbie avait commencé à descendre, et elle était désormais toute nue, exhibant son magnifique corps.
«
O-Oui, Maîtresses... »
Cassie se déplaça donc, et soupira en s'enfonçant un vibromasseur rose relié à un
strap-on en latex. Elle grogna doucement, puis rejoignit sa Maîtresse, et se glissa derrière elle, venant lécher sa rondelle, luioffrant un agréable anulingus. Elle était si heureuse, excitée de voir combien sa Maîtresse aimait le sexe dans toutes ses dimensions, et eut également droit à un orgasme.
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Finalement, c'est assez tard le soir qu'on sonna à la porte. La mère de Cassie,
Dorothy Maxwell, savait que Cassie travaillait chez les Eberhart. De nouvelles voisines dont elles s'étaient méfiées au début, avant qu'elles ne soient convaincues de l'utilité de faire partie de leur grande communauté. Dorothy comptait d'ailleurs leur proposer de venir participer à l'association de quartier de Stepford, comme tous les membres de la communauté.
Elle sonna donc à la porte. Bobbie et Joana avaient baisé pendant une bonne heure, sans voir le temps passer, et Cassie était restée pour nourrir leurs enfants, tout en fournissant à Bobbie toutes les informations dont elle disposait sur l'école, y compris sur les autres lycéens dont elle avait connaissance. Ce fut Joana qui ouvrit à Dorothy. Bobbie, elle, était en train d'aider Cassie à se rhabiller dans une salle de bains à l'étage, tout en terminant de la besogner, la prenant contre le mur alors qu'elles étaient rhabillées.
«
Bonsoir, Joana ! Je m'inquiétais de ne pas voir ma fille revenir, et je voulais aussi en profiter pour vous transmettre ceci... C'est une invitation aux réunions de l'association de quartier des femmes de Stepford. »
Dorothy était, après tout, l'une des femmes de Stepford, soit une femme au foyer.
«
Nous y discutons robes, nous préparons des gâteaux pour les enfants, de l'aménagement de nos maisons... Bref, nous nous réunissons toutes pour discuter du bonheur de nos époux ! Et je pense sincèrement que vous y serez la bienvenue, on y trouve aussi... Des recettes aphrodisiaques ! » fit-elle avec un sourire espiègle.
Tandis que les deux femmes glosaient et que Dorothy remettait à Joana un dépliant de l'association, qui s'appelait, «
The Stepford Wives Association », Bobbie, elle, relâcha à nouveau sa semence dans la chatte de Cassie. La jeune lycéenne était conquise, et Bobbie avait un dernier cadeau à lui remettre. Elle lui présenta une cage de chasteté dorée, avec un sourire malicieux sur les lèvres, et vit les yeux de Cassie s'arrondir sous la surprise.
Bobbie sourit à nouveau, en lui expliquant sa position :
«
Ton désir sera contrôlé par nous... Si tu veux te faire plaisir, il faudra que tu viennes nous voir pour qu'on te baise très forts... Mais peut-être que, si tu es gentille, ma femme acceptera de te retirer la cage de temps en temps...
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Oh, Maîtresse... »
Cassie n'arrivait même pas à en vouloir à sa Maîtresse ! Après tout, c'était la preuve qu'elles pensaient à elle... Bobbie l'habilla donc, et l'embrassa une dernière fois sur les lèvres. Bobbie avait de son côté mis un jean avec un chandail, prouvant ainsi qu'elle était « l'homme » de la maison, les épouses portant des robes ou des jupes.
«
Allez, allons voir ta Maman, ma chérie... »
Bobbie avait aussi hâte de voir à quoi ressemblerait Dorothy, surtout maintenant que Joana avait mis dans son esprit l'idée de faire coucher la mère et la fille ensemble...