Joyce était en train de les sucer toutes les deux, sentant les puissantes mains des Futanaris se crisper sur ses cheveux. Joyce était occupée à pomper leur dard sans relâche, et Jessica sourit longuement, tout comme Bobbie, qui adorait sentir contre sa queue celle de sa partenaire ainsi que la bouche de Joyce, qui les pompait. Quand l’une des verges s’enfonçait seule dans sa bouche, l’autre caressait son visage. Quant à Joana, celle-ci nargua Joyce, la provoquant, lui glissant quelques anecdotes de sa vie intime avec Bobbie, tout en continuant à la masturber.
« Sur ce point, ma femme a plus que raison, Joyce. Avant Stepford, je me sentais incomplète, frustrée, insatisfaite. Ici, Joyce, je suis enfin épanouie, heureuse, à ma place… Comme si le grand vide de ma vie s’était volatilisé. Je suis sûre que tu as dû ressentir ça aussi par le passé, non, Joyce ? »
La femme du maire ne pouvait pas parler, vu que sa bouche était sans cesse envahie par la trique de ses partenaires. Et Joyce la titilla encore, lui racontant l’anecdote des culottes. Bobbie sourit doucement à ce souvenir, et sentit la main de Jessica pincer ses fesses, celle-ci s’excitant à l’idée de ce souvenir. Bobbie s’était longuement masturbée dans les culottes de sa femme. Elles avaient ensuite baisé au milieu des culottes de sa femme, et Bobbie enchaîna là-dessus :
« Tu n’imagines pas à quel point Joana est vorace, Joyce… Elle me pousse dans mes derniers retranchements. Hier, je l’ai baisé sur un véritable tapis de culottes, et je lui fourrais l’une de ses culottes à dentelles dans sa bouche, me régalant de la besogner.
- Oh, vous êtes si douées, toutes les deux… »
Jessica sourit doucement, et pinça le cul de Bobbie. L’idée de ce souvenir déclencha en elle un plaisir inné, et les femmes se mirent à jouir. Le visage et la bouche de Joyce se recouvrirent de sperme, et la femme de la maire resta ensuite devant les deux Futas, les regardant avec docilité et soumission.
« Regarde nos queues, Joyce… Tu vois ? Elles sont encore tendues, bien dures, et impatientes à l’idée de te défoncer ton corps… Voilà ce que je te propose, Joyce. Accepte d’être avec nous ce soir et cette nuit. Ensuite, demain, tu iras faire l’amour à ton mari, et tu sentiras la différence.
- Vois ça comme une formation sexuelle, ma belle. Un cadeau de notre amour à Stepford… »
Bobbie sourit encore, et se déplaça doucement, caressant la tête de Joyce.
« Nettoie-là en la léchant, Joyce, et embrasse-là aussi, fais-lui partager le goût de notre sperme… Puis tu iras lui mettre des sous-vêtements sexy comme les tiens. Ensuite, nous vous baiserons toutes les deux la nuit longuement, comme si vous étiez des grosses chiennes affamées en manque de queue. »
Le pire est que Bobbie disait tout cela avec un léger sourire amusé sur le coin des lèvres.