Bobbie était chaudement excitée par tout ce qui se passait ici. Frémissant sur place, elle s’était rapprochée à quatre pattes de sa femme. Elle pouvait effectivement constater combien le sexe changeait la personnalité de sa femme. Mais cela marchait aussi pour Bobbie. Sans son phallus, elle se sentait beaucoup plus soumise, elle soupirait à chaque fois que Joana l’insultait, et sentit ses parois intimes se contracter. Sa femme venait de la baiser, et tout ce à quoi Bobbie aspirait, c’était de se faire baiser à nouveau. Elle enroula ses seins autour de la verge de sa femme, et commença à la masturber. Joana savait très bien le faire, mais Bobbie n’était pas en reste. Sa belle queue tendue durcit à nouveau, et se dressa contre les seins de Bobbie, remontant jusqu’à ses lèvres. Elle baisa tendrement sa pointe, déposant ses lèvres dessus, donnant des coups de langue, sentant de petits jets de foutre jaillir, qu’elle avalait doucement.
« Hum, ta queue est déjà si dure, tu as vraiment l’air d’aimer ça, ma chérie… Me remplir avec ta grosse queue, me faire couiner comme une salope… »
C’était comme ça que Joana l’avait appelé, il était donc logique que Bobbie enchaîne sur cette remarque. Regardant sa femme malaxer sa verge avec ses seins, Joana fit ensuite signe à Charity d’approcher. La belle infirmière rougit, et rejoignit le duo.
« Han Maîtresse… » gémit Charity en sentant la main de Joana explorer sans vergogne son corps.
Elle frémit à cet attouchement. Pue farouche, Charity ne masquait nullement l’attrait qu’elle ressentait pour ce duo. Alors, quand Joana lui demanda de se cambrer, Charity, qui était souple, ne se pria pas de le faire. Elle écarta ses jambes, et se pencha en avant, bombant ses fesses vers Joana, qui put voir les lanières de ses porte-jarretelles quand elle se pencha outrageusement en avant. Une vue exquise qui ne manqua pas de dresser et de durcir la verge de Joana.
« Co-Comme ça, Maîtresse… ? M-Me trouvez-vous à votre goût ?
- Toi, tu as envie de te la faire, ma chérie… Hihi… Heureusement que cette chienne a plusieurs ouvertures, hein ? »
La subtilité n’était pas au rendez-vous, c’était du sexe, pur et dur. Bobbie sentit alors Joana se mettre à jouir. Elle soupira ne sentant la crème de sa femme jaillir sur son visage, éclaboussant aussi ses gros seins et son torse. Elle avait regardé sa femme fondre sur place, soupirant longuement tout en jouissant, orgasmant avec force.
« Oh, tu as balancé une sacrée giclée, ma chérie… Charity, sois une gentille petite esclave, nettoie-moi avec ta langue… Et embrasse-moi, je veux sentir le foutre de ma femme dans ta bouche de petite suceuse… »
Charity déglutit, et se mit à genoux, se dépêchant d’obéir à un ordre qui tenait davantage pour elle du fantasme absolu que d’autre chose…
« Hum, ta queue est déjà si dure, tu as vraiment l’air d’aimer ça, ma chérie… Me remplir avec ta grosse queue, me faire couiner comme une salope… »
C’était comme ça que Joana l’avait appelé, il était donc logique que Bobbie enchaîne sur cette remarque. Regardant sa femme malaxer sa verge avec ses seins, Joana fit ensuite signe à Charity d’approcher. La belle infirmière rougit, et rejoignit le duo.
« Han Maîtresse… » gémit Charity en sentant la main de Joana explorer sans vergogne son corps.
Elle frémit à cet attouchement. Pue farouche, Charity ne masquait nullement l’attrait qu’elle ressentait pour ce duo. Alors, quand Joana lui demanda de se cambrer, Charity, qui était souple, ne se pria pas de le faire. Elle écarta ses jambes, et se pencha en avant, bombant ses fesses vers Joana, qui put voir les lanières de ses porte-jarretelles quand elle se pencha outrageusement en avant. Une vue exquise qui ne manqua pas de dresser et de durcir la verge de Joana.
« Co-Comme ça, Maîtresse… ? M-Me trouvez-vous à votre goût ?
- Toi, tu as envie de te la faire, ma chérie… Hihi… Heureusement que cette chienne a plusieurs ouvertures, hein ? »
La subtilité n’était pas au rendez-vous, c’était du sexe, pur et dur. Bobbie sentit alors Joana se mettre à jouir. Elle soupira ne sentant la crème de sa femme jaillir sur son visage, éclaboussant aussi ses gros seins et son torse. Elle avait regardé sa femme fondre sur place, soupirant longuement tout en jouissant, orgasmant avec force.
« Oh, tu as balancé une sacrée giclée, ma chérie… Charity, sois une gentille petite esclave, nettoie-moi avec ta langue… Et embrasse-moi, je veux sentir le foutre de ma femme dans ta bouche de petite suceuse… »
Charity déglutit, et se mit à genoux, se dépêchant d’obéir à un ordre qui tenait davantage pour elle du fantasme absolu que d’autre chose…