The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

« Eh bien... aahh... si tu en trouves une... dis lui de venir... s'occuper de moi... »

La petite pique amena Alice à froncer les sourcils, et elle riposta en pinçant les tétons de la femme, les coinçant entre ses doigts. Shiro battit rapidement en retraite, expliquant que ce n’était que de l’humour, et eut droit, en réponse, à un soupir d’Alice. De l’humour mal dosé... Mais elle pardonnait ça à cette belle infirmière, et, très vite, retourna s’occuper de sa généreuse poitrine, la malaxant généreusement. Elle avait des seins très confortables, chauds et doux, tendres et moelleux. Ils étaient comme de délicieuses bosses, et, tout en les pressant, elle se disait qu’elle adorerait dormir dessus. Elle embrassait le cœur de Shiro, ce cœur qui constituait son ravissant décolleté, et faisait descendre ses lèvres, mordillant le bout de sa blouse, tirant un peu dessus, avant d’aller directement lécher les seins de la femme, encore et toujours à travers sa magnifique blouse. Elle s’appliquait, y allant avec soin, frottant son corps contre celui de la femme, lui faisant découvrir ce qu’elle-même avait ressenti quand la belle femme aux cheveux roses avait entrepris de s’occuper de son corps.

Soupirant de plaisir, Alice continuait à lécher, ses mains se déplaçant pour caresser ses hanches, sentant cette belle peau ample et douce. Shiro était belle, l’infirmière était une amante très agréable, et, tandis qu’Alice jouait avec sa poitrine, elle sentait ses seins durcir, et ses mains venir, finalement, précisément là où, auparavant, celles d’Alice se trouvaient : à hauteur de ses fesses. Elle frémit de plaisir, et remua de gauche à droite en les sentant, en sentant ses mains la caresser. Alice ne tarda pas à se redresser, posant chaque main sur les seins de la femme, et l’embrassa langoureusement sur les lèvres, enfonçant sa langue dans sa bouche.

Les doigts de Shiro se rapprochaient de sa croupe, mais la jeune infirmière n’osait pas encore passer le pas, et aller au fond des choses... Alice lui mordilla les lèvres, le baiser devenant un peu plus vorace, un peu plus espiègle. Elle jouait avec elle, et poursuivit ensuite son sulfureux baiser, pressant son visage contre le sien, enfonçant sa langue en elle, revenant en arrière pour repartir en avant, tout en continuant à remuer son corps.

« Hmmm... »

Que c’était bon ! Alice aurait pu l’embrasser ainsi pendant des heures... Du moins, c’est ce qu’elle se disait. Le fait est que la jeune femme était une grande adoratrice de sodomie, et aussi de baisers... La faute à Mélinda Warren, son éternelle amie vampirique, qui lui avait enseigné tout ce qu’elle savait en la matière. Alice s’appuyait donc sur les seins de la femme, et finit par rompre le baiser, en léchant les lèvres de Shiro.

Les sens en feu, et se sentant bien plus libertine qu’en temps normal, elle osa même se permettre quelques remarques tendancieuses :

« Tu aimes bien mes fesses, hein ? Tu peux les explorer, si tu veux... Ton doigté expert me va tout à fait... »

[Shiro Ishimi]

Tandis que Shiro palpe les fesses d'Alice, cette dernière vient soudain l'embrasser langoureusement, enfonçant sa langue dans sa bouche et mordillant ses lèvres. Décidément, cette jeune femme a plus d'un tour dans son sac. Et elle ne s'arrête pas là, puisqu'elle vient ensuite presser son corps plus près contre celui de son infirmière, lui enfonce sa langue dans le fond de la bouche, avant de reculer pour mieux repartir à l'attaque, frottant son corps contre celui de sa partenaire, comme si elle était un homme remuant à l'intérieur d'une femme.

Ah... Quel bonheur.

Oui, Shiro adore ce qui lui arrive. Sentir cette délicieuse lycéenne remuer contre elle, tripoter son énorme poitrine avec ses mains expertes, faire danser sa langue dans sa bouche, agacer chaque recoin de sa peau et secouer chacune de ses terminaisons nerveuses... C'est comme si tout son corps vibrait au rythme des caresses qu'elle recevait. Et comme ce genre de choses ne lui arrive pas souvent avec les jeunes filles du lycée, elle est très contente d'avoir l'impression de coucher avec une vraie femme.

Leur baiser semble durer des heures, mais ce n'est pas pour déplaire à l'infirmière, qui se sent partir dans toutes les directions à mesure que le temps passe. Sans compter que, de son côté, elle ne reste pas inactive et s'amuse avec les fesses de sa patiente, qu'elles pressent et écartent allègrement. D'ailleurs, quand Alice finit par rompre le baiser et lécher les lèvres de Shiro, c'est pour dire qu'elle veut sentir les doigts de sa partenaire dans son fondement.

« C'est bien ce que je compte faire. J'espère juste que mon doigté dans tes fesses sera aussi bon que le tien dans les miennes. »

Sans attendre lus longtemps, l'infirmière enfonce son index dans le trou d'Alice pour venir lui chatouiller le fondement. La blonde, en le sentant, réagit instinctivement et crispe ses mains sur les seins de sa partenaire.

« Han... »

Shiro sursaute et soupire de plaisir en même temps. C'est si bon d'avoir des mains qui lui tripotent les seins. Surtout quand ce sont des mains aussi habiles que celle d'Alice.

« Alice... fais du bien à ma poitrine... »

La jeune femme commence ses allées et venues dans le fondement de la blonde, tandis que cette dernière, comme demandé si gentiment, s'occupe de ses seins. Pour l'instant, elle ne caresse que par-dessus la blouse d'infirmière, mais sa porteuse aimerait bien la sentir plus directement.

« Han... Alice... aahh... tu peux... enlever ma blouse... si tu veux... »

Sa demande tient plus de l’exigence que de la simple proposition, même si elle ne le dit pas clairement.

[Reine Alice Korvander]

Cette séance de sexe avec Shiro avait quelque chose de fabuleux. Non contente d’être d’une redoutable beauté, l’infirmière était aussi une femme expérimentée. Belle et talentueuse, que demander de plus ? C’était une merveilleuse combinaison, et, plus Alice la sentait remuer contre elle, et plus elle appréciait ce contact. Leurs lèvres se pressaient ensemble, leurs corps se frottaient, et elle eut l’agréable et magnifique surprise de sentir le doigt de Shiro s’enfoncer dans ses fesses, la faisant soupirer. La sodomie… Une autre chose qu’elle avait découverte avec Mélinda, et qu’elle avait, peu à peu, fini par adorer, dans tous les sens du terme. Une douleur exquise, vivante, qui réveillait tout le corps. Tout cela ne faisait que confirmer la lente évolution d’Alice entre les mains d’experts et d’expertes, des gens qui avaient su stimuler son imagination et sa résistance physique. Elle sentait donc ce doigt remuer en elle, et, entre-temps, finit par suivre les demandes de Shiro.

Elle tira sur les boutons de sa blouse, et cette dernière se défit très facilement, presque comme si ce maigre morceau de tissu ne demandait qu’à se faire retirer. Les pans de la blouse s’écartèrent à gauche et à droite, et Alice remonta ses mains sur les épaules de Shiro, faisant ainsi glisser le vêtement sous ses bras, pour pouvoir ensuite le jeter au sol. Elle-même observa ensuite ce joli corps, nu, ses seins n’étant désormais plus protégés par personne...

« Miam... Je comprends pourquoi tu veux qu’on s’en occupe, tes seins sont tellement gros... »

Alice se mordilla les lèvres. Faire du bien à sa poitrine. Oh ! Ça, ça ne sera pas un problème ! Cependant, avant de le faire, Alice retira aussi son haut, n’ayant plus qu’un minuscule short de sport, empêchant de protéger son bassin. Sans ce vêtement, Alice se sentait également bien mieux, beaucoup plus libre, et pencha la tête, retournant lécher et sucer les seins de Shiro. Elle s’amusait surtout à nicher sa tête entre ses seins, venant embrasser sa peau, et, au bout d’un moment, la Princesse se redressa, et posa chacune de ses mains sur ses seins. Oui, ils étaient gros, si gros, et durs... Ils exprimaient tout le plaisir que Shiro ressentait, et elle s’amusa à les presser, à les palper, les empoignant et les remuant entre ses doigts, pinçant et tirant sur ses tétons, s’amusant alors à écarter ses seins entre eux, à droite et à gauche.

La jeune blonde se faisait plaisir, tout en remuant son corps de droite à gauche, afin de mieux sentir Shiro lui palper le cul. Elle retournait fréquemment l’embrasser, puis s’attaquait ensuite à malaxer les seins de la femme.

« Hummm... Oui, ils avaient envie qu’on s’occupe d’eux, Shiro, je le sens... »

Et c’était bien une tâche à laquelle Alice comptait s’activer.

[Shiro Ishimi]

Alice ne se fait pas prier, et tire sur les boutons de la blouse. Le tissu se défait avec une étonnante facilité, puis Shiro se laisse déshabiller par les mains expérimentées de sa patiente, qui remontent sur ses épaules et font glisser le vêtement sous ses bras, puis l'envoie au sol. L'infirmière frémit du passage des mains de la lycéenne sur son corps, encore plus lorsque c'est son soutien-gorge qui finit par terre, laissant enfin sa poitrine respirer.

La blonde se lèche les babines devant les énormes seins de sa partenaire. Cette dernière, elle, se réjouit de savoir qu'ils vont se faire presser, malaxer, caresser, lécher... bref, qu'ils vont se faire satisfaire de toutes les façons possibles. Ils sont déjà si durs, et ses tétons si dressés... Le moindre geste un peu trop sensuel peut la faire couiner de plaisir. Ce qui, au fond, n'est pas pour lui déplaire.

Shiro regarde Alice enlever son t-shirt de sport blanc. Ayant déjà perdu son soutien-gorge, elle se retrouve en topless, avec juste son mini-short noir qui lui couvre encore le corps. L'infirmière meurt d'envie de sauter sur sa poitrine nue, mais ce n'est plus elle qui tient les rênes à présent... C'est Alice. Et la jeune fille ne fait preuve d'aucune pitié sur les énormes seins de sa partenaire. Elle lèche les globes, suce les tétons, niche sa tête entre ces deux immenses monticules pour embrasser la peau qu'elle y trouve. Shiro sent le plaisir déferler en elle, et réagit en conséquence, grâce à son doigt logé dans le derrière de sa partenaire. Plus la jeune femme aux cheveux violets est excitée, plus son doigt s'enfonce et remue dans le fondement qu'elle explore, tout en faisant attention à ne pas la blesser. L'anus est une zone délicate, un geste hasardeux peut avoir de graves conséquences.

Comme si ça ne suffisait pas qu'elle utilise sa bouche, Alice pose soudain une main chacun des seins de Shiro. Elle s'amuse à les presser, les palper, les écarter les uns des autres, les empoigner, pincer et tirer sur ses tétons déjà si raides. Chacune de ces petites piques rendent l'infirmière ivre de plaisir. Et le doigt qui sodomise la lycéenne, accompagnant les mouvements de son bassin, ne dira pas le contraire. Même les mots de la blonde sont une source d'excitation.

C'est vrai que les seins de Shiro ont besoin d'une attention toute particulière quand elle fait l'amour. A cause de leur taille, ils ne sont pas toujours faciles à satisfaire. Néanmoins, Alice fait preuve d'un doigté et d'une adresse qui suffit amplement à procurer du plaisir à l'infirmière au travers de sa poitrine. Et pour ça, elle mérite de ressentir un plaisir tout aussi bon.

Après chaque baiser qu'elles partagent, la sodomie gagne en intensité. La jeune femme aux cheveux violets se sent tellement bien, approchant de l'orgasme sans que la blond n'ait eu à la toucher ailleurs que sur ses énormes seins. Leurs gémissements respectifs enveloppent toute l'infirmerie, la plongeant dans une délicieuse ambiance de luxure. Chacune trouve son bonheur physique dans les mains de l'autre.

Finalement, au terme d'une dizaine de minutes d'agacement sur ses seins, Shiro finit par atteindre sa limite.

« Hah... Aahh... Alice... Je... Je ne peux plus... AAAAHHHH ! »

L'infirmière expulse sa mouille dans un délicieux gémissement. Avec toute l'énergie, elle donne le coup de grâce à la sodomie de sa patiente, qui jouit à son tour. Les deux femmes maculent leurs culottes respectives de cyprine, ainsi qu'une partie des draps sur lesquels elles baisent depuis le début. Elles s'étalent ensuite sur le lit pour reprendre un peu leur souffle. La femme regarde sa partenaire dans les yeux.

« Alice... »

Shiro l'embrasse doucement, puis se retire au bout de quelques secondes.

« J'aimerais tant connaître... la personne qui a... fait de toi... une si bonne amante. »

Que ce soit un homme ou une femme, peu importe. Pour avoir donné un tel talent à cette lycéenne, cette personne mérite assurément les égards de l'infirmière.

En une minute de pause, Shiro retrouve son énergie. Elle se remet au-dessus de sa partenaire.

« Il est temps de passer à la vitesse supérieure. »

L'infirmière amène sa tête au niveau de l'intimité de sa patiente, tandis que son bassin finit au niveau du visage de la lycéenne. Le 69, quoi de mieux pour se faire plaisir ?

Shiro fait glisser le short d'Alice le long de ses jambes, l'envoie au sol, puis presse un doigt contre son intimité par-dessus sa culotte. Le liquide se met à dégouliner par tous les côtés. Puis elle vient s'amuser avec le clitoris déjà bien enflé de la blonde. Cette dernière gémit bruyamment en réponse.

« Si ça te plaît, dis-toi que ce n'est qu'un début. Bientôt, c'est ma langue qui viendra le toucher... »

[Reine Alice Korvander]

Un double orgasme finit assez rapidement par arriver entre les deux femmes. Shiro la berçait, et Alice en faisait de même. Ses seins étaient si gros, si tendres, si doux, si... Si tout ! La Princesse en devenait folle, et c’est dans ces belles et jouissives circonstances que les deux femmes s’abandonnèrent mutuellement, inondant le fauteuil médical de leur mouille, cette dernière venant s’égoutter sur le sol. Elle l’embrassa délicatement sur les lèvres, faisant sourire Alice.

« J'aimerais tant connaître... la personne qui a... fait de toi... une si bonne amante. »

Mélinda ? Hum... Alice ne voyait en soi aucun problème à le faire... Shiro avait toutes les qualités pour plaire à son amie, mais, pour l’heure, Alice voulait profiter un peu de Shiro, sans se retirer tout de suite. Fort heureusement, Shiro n’avait pas non plus envie d’en finir tout de suite avec elle. Elle resta ainsi lovée contre elle, les deux femmes reprenant leur souffle, Alice en profitant pour caresser les cheveux et le dos de la femme, glissant le long de son dos. C’était quelque chose de très agréable, elle avait une peau extrêmement douce. L’infirmière était une femme énergique, ce qu’elle prouva en se redressant soudain, et en approchant son bassin de la tête d’Alice.

« Hum... »

Alice était une poupée de chiffon entre les mains de Shiro,  et elle releva ses mains, caressant les cuisses de la femme, tirant également sur sa culotte. Les deux femmes se retrouvèrent ainsi nues, dans le sens où elles avaient chacune accès aux sexes de l’autre. Shiro ne conservait plus que ses collants blancs, et, en écartant les jambes, elle sentit les doigts de Shiro s’enfoncer en elle, et fit de même, ses mains se crispant sur les hanches de la femme. La Princesse soupirait lentement, remuant les jambes, en sentant de délicieuses vagues de plaisir la traverser. Elle soupirait longuement, et voyait, sous son nez, le bassin de Shiro, ce corps magnifique, avec sa mouille qui tombait sur son nez et sur son visage.

La Princesse se mordilla les lèvres, et entendit Shiro lui parler, lui dire que ce n’était qu’un début, et que, par la suite, elle comptait utiliser sa langue. Alice soupira, et se décida alors à un petit défi.

« Si... Si tu me fais jouir... Je te dirais qui... Qui m’a formé... »

Car Shiro n’avait évidemment pas eu tort en disant qu’Alice avait reçu une formatrice... Mais, et même si elle pouvait le dire facilement, elle avait envie de jouer un peu avec Shiro, de la motiver davantage... Même si, concrètement, Alice ne se faisait aucun doute sur les capacités de cette magnifique infirmière à lui faire plaisir. Toutefois, Alice ne comptait pas rester inactive, et elle enfonça sa langue dans l’intimité de la femme, crispant ses doigts sur sa peau.

Elle aussi, elle entendait bien satisfaire l’infirmière !

[Shiro Ishimi]

Shiro use de ses doigts agiles, qui n'ont rien à envier aux doigts experts d'Alice, pour caresser la fleur intime de la blonde. Cette dernière fait subir le même traitement à la fleur de l'infirmière avant de lui proposer un petit défi : si elle parvient à la faire jouir, alors elle lui dira qui l'a formé pour en faire une amante aussi énergique.

« Et tu... pourras... me la... présenter ? »

Nul doute que, si Shiro parvient à rencontrer la personne qui est à l'origine du talent sexuel de sa patiente, elle pourra s'offrir une délicieuse partie de sexe si c'est une femme. Et si c'est un homme, alors il aura au moins le mérite d'avoir trouvé grâce aux yeux de la jeune femme pour le travail qu'il a réalisé sur la lycéenne.

Shiro sort sa langue pour venir lécher le clitoris de sa partenaire, exposée bien en évidence à cause de la façon dont il a gonflé sous l'excitation. Stimuler ce point est une façon facile et plutôt évidente de porter rapidement une fille vers l'orgasme. Alors l'infirmière insiste bien sur ce point car, maintenant, en plus de son insatiable désir de faire l'amour à Alice, il y a des enjeux supplémentaires. D'ailleurs, la blonde ne reste pas longtemps inactive et fait rentrer sa langue dans l'intimité de Shiro, ce qui fait pousser des cris de plaisir à cette dernière.

« Han... Alice... aahhh... oui... oui... »

L'infirmière lâche le clitoris de sa partenaire pour venir à son tour lécher l'intérieur de son sexe. La cyprine dégouline sur son organe buccal, ce qui rajoute encore plus d'excitation à la situation. Les deux femmes se pénètrent allègrement avec leurs langues, et chaque seconde qui passe les rendent plus avides de plaisir. Leurs couinements étouffés dans leurs bouches enveloppent toute l'infirmerie dans une profonde ambiance de luxure.

Alors qu'elle se sent approcher de l'orgasme, Shiro sort sa langue de l'entrejambe d'Alice pour venir sucoter son clitoris comme un bonbon. Évidemment, l'excitation de la lycéenne grimpe d'un seul coup dès qu'elle sent son petit bouton se faire prendre en bouche par sa délicieuse partenaire. Et en moins d'une minute, elle rejoint l'infirmière sur le chemin de la jouissance.

« HHHAAANNN ! »

Shiro explose comme une bombe et déverse sa cyprine sur le visage d'Alice, tandis que la cyprine de la blonde vient entacher les draps plus si blancs du lit et combler la soif de la jeune femme aux cheveux violets. Cette nouvelle jouissance les met toutes les deux K.O. Il leur faut une bonne minute pour retrouver toute leur énergie. Shiro change de position pour venir se coucher aux côtés d'Alice et lui offre un nouveau baiser sulfureux.

« J'ai réussi à te faire jouir. Selon tes propres règles, tu dois maintenant me dire qui t'a formé. Mais avant, laisse moi une seconde. »

Shiro se lève du lit. Alice lui demande où elle va.

« Je vais chercher du matériel pour attaquer la dernière ligne droite de cette fabuleuse partie de jambes en l'air. »

L'infirmière se dirige jusqu'à la salle de bains de l'infirmerie. Elle ouvre un des meubles de rangement et en sort des jouets qu'elle y a dissimulé. Elle retourne ensuite voir sa patiente, les mains dans le dos.

« Bien, ma belle. D'abord, tu vas me dire ce que tu m'as promis de dire. Ensuite, tu vas choisir une main. Le ou les objets qui seront dans la main que tu auras choisi seront ceux dont on se servira pour notre dernier orgasme. »

Dans sa main droite, Shiro cache deux groupes de trois œufs vibrants, deux pour les tétons et un pour l'entrejambe. Chaque groupe est relié par des fils à une télécommande, qui sera destinée à la partenaire de celle qui aura les œufs sur son corps. Il y a également du scotch pour attacher les œufs. Dans sa main gauche, elle tient un gode en plastique rose à deux têtes, attaché à un shorty de cuir qui se passe autour des hanches de sa porteuse pour le garder bien stable.

Quelque soit le choix de la lycéenne, elle et son infirmière vont prendre un pied magistral.

[Reine Alice Korvander]

Le petit défi d’Alice semblait avoir renforcé les ardeurs et le désir de Shiro. Elle voulait savoir qui était la mystérieuse personne l’ayant formé, et Alice le sentit bien, dans la manière dont l’infirmière s’enfonçait contre elle. Alice gémit en se mordillant les lèvres, mais tâcha vite de ne pas rester inactive. Ce qu’elles faisaient fonctionnait dans les deux sens, et Alice crispa ses mains sur les fesses de la femme, remuant son corps contre le sien, enfonçant sa langue dans son sexe. Elle sentait son bouton de plaisir, le triturait avec sa langue. Elle pouvait sentir le bouton de plaisir de la femme, et appuyait dessus avec son organe, tout en continuant à remuer son corps, notamment ses doigts, le long des fesses de la femme. Elle se crispait dessus, les écartant l’une de l’autre, avant de les rapprocher, puis de les écarter à nouveau. Très simplement, Shiro avait un magnifique cul, et le presser ainsi était un vrai plaisir pour Alice.

Les orgasmes finirent par venir au bout de quelques minutes, et Alice soupira longuement en fermant les yeux, son visage se remplissant de la mouille de la jeune femme. Elle relâcha ses fesses en soupirant longuement, et cligna des yeux à plusieurs reprises, en reprenant son souffle. Ce nouvel orgasme faisait du bien, et, quand elle se redressa, Shiro lui indiqua d’attendre un peu avant de lui divulguer l’identité de sa formatrice.

« Hum... D’accord, Shiro. »

Souriant lentement, elle resta assise sur le lit médical, et constata qu’il y avait, sur ce dernier, ainsi que sur le sol, de grosses tâches de sueur et de mouille. Alice se pinça les lèvres en rougissant légèrement. La tête blonde avait laissé ses marques, et, même si elle était nue, elle avait chaud. Sa poitrine se soulevait et s’abaissait lourdement. Shiro revint ensuite, avec des mains glissées dans son dos, et Alice comprit qu’elle était en train de lui masquer quelque chose. La jeune femme sourit, et Shiro lui exposa la suite :

« Bien, ma belle. D'abord, tu vas me dire ce que tu m'as promis de dire. Ensuite, tu vas choisir une main. Le ou les objets qui seront dans la main que tu auras choisi seront ceux dont on se servira pour notre dernier orgasme. »

Elle aussi, elle jouait avec elle. Alice s’humecta les lèvres, et hocha la tête en souriant.

« D’accord... Alors, pour couper court au suspens, ma formatrice s’appelle Mélinda... Mélinda Warren. Elle est au lycée, alors tu en as peut-être déjà entendu parler. Et, pour répondre à ton autre question, je suis sûre qu’elle adorera te voir et te faire l’amour. »

Sur ce point, Alice ne se faisait aucun doute, car elle connaissait plutôt bien Mélinda, et savait donc très bien comment la vampire fonctionnait, et ce qui l’attirait. Cette réponse donnée, elle réfléchit ensuite un peu. Quelle main choisir ? Dans l’idéal, elle aurait aimé choisir les deux. Elle réfléchissait avec un doigt sur les lèvres, signe qu’elle réfléchissait... Même si, concrètement, elle allait devoir jouer au hasard. Elle n’avait aucun moyen de savoir ce que Shiro avait trouvé dans ses tiroirs, et, après quelques hésitations, elle désigna du doigt la main gauche de Shiro.

« Celle-ci ! »

[Shiro Ishimi]

Mélinda Warren.

Shiro a enfin un nom à mettre sur la personne qui a formé Alice pour en faire une si bonne amante. Et le mieux dans tout ça est que, d'après la lycéenne, cette femme serait prête à la rencontrer et à lui faire l'amour. Rien que cette simple perspective rend l'infirmière plus excitée.

« Je crois que je connais ce nom. Mais je n'arrive pas à ma souvenir comment... Oh, tant pis. En tout cas, je serai ravie de la rencontrer et... de faire plus ample connaissance. »

Après quoi, Shiro regarde Alice réfléchir avec un doigt sur les lèvres pour savoir quelle main elle va choisir. Même s'il n'y a pas beaucoup à réfléchir, puisqu'elle doit choisir complètement au hasard. Finalement, elle se décide pour la main gauche. Avec un grand sourire sur le visage, l'infirmière dévoile le gode-ceinture rose, qui sera l'objet qui amènera le dernier orgasme du joyeux duo.

« C'est un très bon choix. »

Elle montre quand même à sa patiente ce qu'elle avait dans son autre main : les œufs vibrants et le scotch. Elle les range ensuite dans le tiroir de la table de nuit à côté du lit.

« Tu comprends... Si on utilisait les deux en même temps, ce serait réglé en moins d'une minute. Et je tiens à savourer chaque moment que je passe avec toi. »

Shiro a rarement l'occasion de rencontrer des jeunes filles aussi expérimentées qu'Alice dans le subtil art de la copulation entre femmes. Elle combine à la fois le charme de la jeunesse et le talent de l'âge. Elle est donc un morceau de choix, qu'il faut déguster comme un grand cru, et pas avaler d'une traite.

L'infirmière enfonce en gémissant la tête intérieure du gode dans son intimité. Une fois ce dernier mis assez profondément, elle attache les sangles du shorty autour de ses hanches pour qu'il ne risque pas de glisser en pleine action. Là voilà à genoux, avec cette verge en plastique rose qui pointe devant elle.

« Oh, attends. J'ai failli oublier le principal. »

Shiro retourne rapidement dans la salle de bains, où elle attrape un flacon de gel aphrodisiaque spécialement réservé pour l'utilisation des sextoys. Elle en répand une bonne quantité sur le gode extérieur, puis retourne voir sa patiente.

« Voilà. Maintenant, si tu le veux dans ton intimité, tu vas devoir le sucer. »

Alice s'exécute et commence une fellation d'experte sur la verge de plastique. A chaque seconde que cette chose passe dans sa bouche, le gel se répand dans son corps et la température augmente dans ses zones sensibles. C'est pourquoi Shiro vient caresser les cheveux et la nuque de sa patiente pendant qu'elle fait son œuvre. Sans compter que ça lui permet aussi de bien garder la tête de la lycéenne contre son membre rose.

« Oui... Continue... C'est bien... Une fois que tu auras léché tout le gel sur mon gode, je le mettrai dans ta chatte et je te ferai grimper aux rideaux. »

[Reine Alice Korvander]

Alice avait cru comprendre que Mélinda n’était pas vraiment une élève des plus discrètes à Jinmu. Elle était une vampire arrogante et autoritaire, un comportement qui s’accommodait mal avec le système scolaire, où il fallait naturellement se montrer respectueux envers le professeur. Dans une classe, les rapports n’étaient pas égalitaires entre le senseï et les élèves, le premier exerçant sur les autres une relation d’autorité et de domination. Une domination reposant sur la transmission d’un savoir, mais qui, pour Mélinda, restait une domination… Elle les voyait donc comme des rivaux. La vampire ne lui en parlait pas beaucoup, mais les filles l’accompagnant, comme Shii, ou Clara, lui avaient dit que Mélinda avait déjà été convoquée par le conseil de discipline, et qu’elle couchait aussi bien avec les élèves que les professeurs. Fort heureusement, les poursuites n’avaient jamais été trop loin, généralement parce qu’on trouvait, au sein du conseil de discipline, d’autres pervers, qui proposaient à Mélinda des arrangements en nature. Il y avait notamment la mère de Myumi Ichtora, et, quand on savait ce qu’Ichtora-senseï faisait avec ses élèves, on ne pouvait pas s’attendre à une grande moralité sexuelle de la part de sa mère. Le fait est que Jinmu était gangrénée, jusque dans ses plus hautes strates, par une sorte de corruption sexuelle latente, un système qui avait permis au lycée de ne jamais fermer, malgré la mobilisation d’associations de parents d’élèves. On ne pouvait pas éternellement cacher au monde extérieur les pratiques souterraines du lycée, après tout, mais l’établissement avait toujours réussi à s’en sortir. C’est ce qui permettait à des infirmières comme Shiro d’utiliser sur les élèves du lycée des traitements très particuliers.

De sa main gauche, cette dernière sortit un long gode rose qui fit frissonner Alice. Cette dernière, nue, avait beau avoir déjà eu des orgasmes, voir cet appareil la fit quand même trembler. Elle se mordilla les lèvres, et Shiro lui montra ensuite son autre main… Des boules à glisser dans les fesses avec du scotch.

*Effectivement, j’ai bien choisi…*

Les boules en elles-mêmes ne la dérangeaient pas, car ce ne serait pas la première fois qu’Alice y aurait droit… Il s’agissait plutôt du scotch. Elle avait peur que ça lui blesse la peau en lui arrachant quelques poils… Mais la question ne se posait plus ! Shiro tenait une ceinture équipée de plusieurs godes, l’un pointant vers l’extérieur, l’autre vers l’intérieur. Alice connaissait ce système. On trouvait très facilement, même sur Terre, des ceintures de ce type, et Mélinda en avait évidemment toute une cargaison chez elle. Alice en avait déjà porté, des modèles à trois godes, le troisième étant destiné pour l’anus. Elle se pinça les lèvres, tandis que Shiro lui expliquait que, si elle utilisait les deux, l’affaire serait vite pliée.

Ceci fit sourire Alice, qui continua à se mordre les lèvres, avant de relever lentement la tête :

« Je suis une femme endurante, Shiro… »

Elle sourit alors. Shiro s’enfonça le gode en elle, et ferma la ceinture à l’aide d’un système de sangles autour de ses cuisses, comme une espèce de curieux baudrier. Alice sentit ses cuisses frissonner, et remua lentement les jambes. Chaque fois qu’elle les déplaçait, son intimité semblait trembler sur place. Elle pouvait voir le gros gode pointer vers son visage, mais, avant de la pénétrer, Shiro se retourna, et alla dans la salle de bains.

*Que fait-elle ?*

Alice n’eut pas trop longtemps à attendre, car elle vit Shiro revenir, avec une sorte de liquide luisant sur ce gode, les gouttes tombant sur le sol.

« Voilà. Maintenant, si tu le veux dans ton intimité, tu vas devoir le sucer. »

L’ordre était donné, et Alice se pinça une nouvelle fois les lèvres, en sentant des frissons la traverser de partout.

« Très bien, Shiro… »

Plus elle voyait cette infirmière, et plus elle se disait que, vraiment, cette dernière était faite pour rencontrer Mélinda. Il y avait chez ces deux femmes le même goût, non seulement pour le sexe, mais aussi pour la domination, pour le contrôle, et pour l’autorité, le tout enveloppée dans une sorte de jeu ludique qui rendait l’ensemble encore plus délectable.

Alice s’activa donc, et constata rapidement que ce liquide n’était pas qu’un simple lubrifiant. Quand elle l’avala, en posant ses mains sur les fesses de Shiro afin de se soutenir, la Princesse sentit son gorge fondre, s’enflammer sur place. Le plaisir déversa violemment en elle, et elle se dandina à nouveau, poussant des soupirs étouffés. Sa bouche remuait d’avant en arrière, de plus en plus, guidée par les mains de Shiro.

« Huuuuuuummmmmmmm… !! »

La Princesse soupirait et gémissait, supportant la présence imposante de ce gode, en s’imaginant le recevoir dans son corps.

Ça allait être magnifique !

[Shiro Ishimi]

Avec ses mains posées sur la tête d'Alice, Shiro accompagne le mouvement de va-et-vient de la lycéenne sur son gode rose tout en la gratifiant de quelques caresses dans les cheveux et sur la nuque. De son côté, Alice a les mains posées sur les fesses de Shiro, pousse des soupirs étouffés et dandine son bassin tandis que le gel aphrodisiaque se répand lentement dans son corps. Elle doit sûrement être en train de brûler intérieurement et doit être impatiente de recevoir le gode dans son intimité.

Shiro savoure la fellation d'Alice pendant un long moment puis, quand elle suppose qu'il n'y a plus de gel sur son gode, le retire de sa bouche.

« C'est du bon travail Alice. Maintenant, allonge toi et écarte les jambes. Je vais te baiser comme le mérite la chienne en chaleur que tu es. »

La blonde obéit sans rechigner et s'étale sur le lit avant de présenter à l'infirmière son sexe trempé, duquel s'échappe une véritable cascade de cyprine. Le gel a bien fait son œuvre, elle est chaude comme une bouillotte. La jeune femme approche son gode rose de la fente humide de sa partenaire et commence par le frotter un peu à la surface. La jeune femme couine en réponse, ce qui amuse assez Shiro.

« Oui... Tu as envie qu'il entre en toi, n'est ce pas ? Qu'il remue tes entrailles, racle tes parois intimes et te plonge dans la spirale du plaisir ? Qu'il te fasse hurler comme un animal ? »

Les joues d'Alice se rougissent à l'écoute des paroles de Shiro qui, bien qu'elles soient graveleuses, sont malgré tout vraies.

« Et bien ne t'inquiète pas... il va arriver. Mais d'abord... »

La jeune femme sort un cachet du tiroir de la table de nuit, qu'elle avale d'un seul coup. Après quoi, ses seins deviennent plus durs encore et son intimité se met à ruisseler comme une fontaine.

« C'est un petit produit pour me... donner l'ultime coup de fouet de notre rencontre. Je ne voudrais pas être la seule à tourner aux aphrodisiaques.
Ah oui, une dernière chose... »

Shiro va ramasser les culottes qu'elle et la lycéenne portaient un peu plus tôt. Elle hésite un instant, puis décide de donner la sienne à Alice.

« Ça nous servira de bâillon pour ne pas attirer tout le lycée. En plus, on aura chacune le goût de la mouille de l'autre dans la bouche. Ce sera plus excitant. »

Alice met la culotte qui lui est offerte dans sa bouche, Shiro fait de même. Les voilà enfin prêtes.

Sans plus attendre, l'infirmière penche ses hanches en avant et enfonce son gode dans le sexe de sa patiente, qui pousse un petit cri à ce moment là. Immédiatement après, elle commence à bouger son bassin pour aller et venir en elle.

L'infirmerie se remplit d'une saine ambiance de luxure : Shiro pénètre allègrement Alice, dont les gémissements étouffés se mêlent à ceux de sa partenaire. L'infirmière lui donne beaucoup de plaisir, mais elle prend elle aussi son pied grâce au mécanisme de son gode : quand celui de l'extérieur fait un mouvement, celui qui est dans son intérieur fait le mouvement opposé. De cette façon, elle se pénètre elle-même tout en pénétrant la blonde.

Les allées et venues s'enchaînent, sans pause ni ralentissement quelconque. Les deux femmes s'accrochent au peu d'énergie qu'ils leur restent encore, stimulées par la prise de produits aphrodisiaques. Leurs corps en chaleur se frottent vigoureusement, leurs tétons dressées comme des piquets de tente se passent dessus, leur donnant plus de plaisir et de désir à chaque seconde, leurs langues savourent le goût mêlé de tissu et de la cyprine de l'autre, et le faux sexe qui ramonent leurs intérieurs les font couiner comme des animaux. Un spectacle sans commune mesure.

Bien qu'extrêmement excitées, Shiro et Alice tiennent pendant une bonne dizaine de minutes avant que l'orgasme ne les submerge. Un immense flot de cyprine se met à sortir de leurs sexes respectifs, débordant malgré la présence des deux triques roses en elle. Et quand Shiro se retire de l'intérieur d'Alice pour pouvoir ensuite retirer le baudrier autour de ses hanches, c'est l'inondation. A présent, les draps du lit sont entièrement recouverts de sueur et de mouille.

Transpirantes et en haleine, les deux partenaires s'observent, le sourire aux lèvres, avant de s'accorder un nouveau baiser, empli de fougue sans être trop passionnel pour autant. Elles ont tout donné lors de ce dernier contact, il est temps pour elles de se reposer.

« J'espère que ça t'a plu, ma chérie. Parce que moi, en tout cas, j'ai bien pris mon pied. »

[Reine Alice Korvander]

Alice avait bien pénétré Shiro, et elle était assez fière d’elle, pour le coup. Mélinda l’avait bien formé, et être douée en quelque chose, même une chose aussi futile et commune que le sexe, restait tout de même quelque chose dont on pouvait se sentir honorée. Alice suçait donc ce gode rose avec plaisir, frissonnant au contact des mains de Shiro sur sa tête. Hum, que c’était agréable ! Sentir les mains douces, chaudes, mais non moins fermes, de Shiro sur sa tête, se crispant dessus. Qui aurait cru que cette belle infirmière puisse être aussi perverse ? Bon, en réalité, il suffisait de voir sa tenue de travail pour constater qu’elle était une belle petite coquine... Mais, même malgré cet élément, Alice savourait profondément ce moment. Profondément, oui... La queue de Shiro s’enfonçait longuement en elle, et Alice se retirait ensuite, ses mains se crispant sur ses belles fesses. Elle se laissait bercer par ce moment, jusqu’à ce que Shiro ne finisse par la repousser. Le gode était suffisamment lubrifié, maintenant, et prêt à usage.

Se mordillant les lèvres, la Princesse se laissa porter, et retourna sur le fauteuil médical. Quand Shiro lui demanda d’écarter les jambes, Alice s’exécuta, écartant les jambes, en se pinçant les lèvres. Que Shiro était belle ! Elle était déjà très belle, avec ses formes magnifiques, sa longue chevelure claire, son visage angélique, mais ce gode rose trempé se dressant entre ses cuisses la rendait encore plus attirante. Alice mouillait sur place, et avait les joues rouges, rougies par l’effort, mais aussi par un plaisir naissant et croissant qui était en train de bouillonner en elle, montant progressivement. Elle se pinça les lèvres quand Shiro capta son regard, et lui parla de choses impudiques.

« Oui... Oui, je veux le sentir en moi, me labourer les entrailles, me... Me défoncer la chatte. »

Le sexe avait ce pouvoir incroyable d’exercer sur les gens une fonction libératoire. Quand on était excitée comme ça, on avait plus de facilités à parler de manière crue, et, loin de se sentir choquée par l’emploi de tels mots, Alice n’en ressentait qu’une excitation supplémentaire. Elle se pinça donc les lèvres, et ses doigts s’approchaient de son sexe, caressant ses cuisses, dans une position obscène, uniquement destinée à soulager sa frustration et à exciter Shiro. Alice pouvait être très perverse quand elle le voulait, exactement comme en ce moment. Il fallait aussi avouer que Shiro l’avait plutôt bien échauffée, et que, maintenant, Alice était une véritable cocotte-minute sur le point d’exploser.

Désireuse de prendre des précautions, l’infirmière lui proposa néanmoins d’utiliser une culotte pour étouffer les bruits. Alice se contenta de sourire, n’ignorant pas la grande portée érotique de ce geste... Et une portée érotique, car Shiro n’était pas la première infirmière du lycée, et les murs avaient été insonorisés. Néanmoins, la jeune tête blonde n’allait pas refuser l’opportunité d’avoir la culotte de Shiro dans la bouche.

« Ça marche... »

Shiro lui envoya la culotte, qui heurta son ventre, et c’est à cet instant qu’Alice nota que ses mains tremblaient. En réalité, tout son corps vibrait d’une lente excitation, et elle s’empressa de partir la culotte. La jeune femme l’observa silencieusement, puis ouvrit sa belle bouche, et la prit, l’enfouissant contre ses lèvres. Elle frissonna à ce contact, car elle avait vu, juste avant de la prendre, des traces, des petits cercles indiquant la présence de cyprine. Elle en avait souri, avant de le prendre en bouche. La culotte ressortait, mais elle se débrouilla pour la prendre le plus possible, sans pour autant l’étouffer.

Alice reprit son souffle, et Shiro se rapprocha ensuite. Ses mains se posèrent sur les hanches d’Alice, et son gode caressa ses cuisses. Alice se crispa, ferma les yeux... Puis l’infirmière rentra en elle.

« Hmmmmmmmmmmmm... !! »

Alice soupira longuement, et se tortilla sur le lit... Si tant est qu’on puisse qualifier cette banquette de « lit ». Shiro remuait en elle, la pénétrant joyeusement, et Alice... Oh, bon sang, que c’était bon ! Les mains de Shiro se posant fermement sur ses hanches, et tout son corps remuant contre elle, d’avant en arrière, tapant dans son corps. Shiro se pencha ensuite contre elle, et continua ses mouvements, amenant Alice à se demander si elles n’allaient pas tomber toutes les deux, ou si la banquette allait pouvoir les supporter. Les deux corps en transe remuaient ensemble, en profonde harmonie. La main d’Alice s’appuyait sur ses cheveux, et l’autre pelotait ses fesses.

Elle se crispait contre elle, sous son corps, gémissant et couinant, tout en sentant le gode rose de la femme continuer à la labourer. La Princesse soupirait donc, encore et encore, toujours, se mordillant les lèvres en éclatant de plaisir sous les vagues que Shiro lui offrait... Puis son orgasme éclata, au bout de multiples minutes d’ébats et de soupirs. Elle mordillait sa culotte en basculant sa tête en arrière, et l’une de ses jambes bascula dans le vide, alors qu’elle balançait tout un tas de mouille, traversée par un immense orgasme, un orgasme qui la souleva de part en part.

Ah, ça avait été si bon ! Elle resta étalée sur la banquette médicale, en sueur, voyant Shiro se retirer d’elle, puis retirer sa ceinture-gode, ce qui permit de faire tomber tout un tas de mouille sur le rebord de la banquette. La Princesse ne put que sourire, les joues rougies, sa poitrine se soulevant et s’abaissant lentement, au rythme de ses profonds battements cardiaques.

Shiro lui avoua ensuite avoir bien son pied, et Alice, qui soupirait, sourit alors, en hochant la tête.

« Oh, ça... Je dirais que tu as un don inné pour soigner tes patientes, ma chérie, je me sens... Si heureuse, si épanouie... »

C’était le moins qu’elle puisse dire.

[Shiro Ishimi]

« Oh, ça... Je dirais que tu as un don inné pour soigner tes patientes, ma chérie, je me sens... Si heureuse, si épanouie... »

Un don inné... Il est vrai que, depuis qu'elle était petite, Shiro voulait être infirmière. C'était la seule chose qu'elle se voyait faire quand elle serait grande. Elle s'était entraînée dès son plus jeune âge à écouter, calmer et réconforter les gens. Ce talent ne s'était qu'amélioré au fil du temps, et avec la formalité que furent ses études, elle avait tout pour être une bonne infirmière. Et aujourd'hui, elle confirme encore une fois que ce don a de quoi faire d'elle une bonne amante également.

« Je suis très contente de l'entendre. »

L'infirmière profite de ce moment de clame pour faire des câlins avec la lycéenne. Rien de trop osé, juste de quoi l'aider à récupérer ses forces un peu plus vite. En plus, ça ne peut pas leur faire de mal de rester un peu tranquille toutes les deux après ce qui s'est passé.

Après environ dix minutes d'étreinte, Shiro se lève du lit pour aller jeter un coup d'œil rapide à l'horloge. La journée est bien plus avancée que ce qu'elle pensait.

« Oh oh, je ne pensais pas qu'il était si tard. On a intérêt à se dépêcher de se rhabiller, sinon on va toutes les deux avoir des ennuis. »

Les deux femmes se lèvent du lit et commencent à se rhabiller mais, pendant qu'Alice remet ses vêtements, elle se rend compte qu'il y a un problème : elle peut changer son bloomer en remettant la jupe de son uniforme scolaire, qui se trouve dans le sac qu'elle a laissé aux vestiaires, mais sa culotte est toujours trempée et elle n'en a pas de rechange. Si elle garde celle-ci pendant le reste de la journée, non seulement ça ne sera pas agréable, mais en plus, c'est un risque de se faire découvrir. Et si jamais on apprend ce qu'elle a fait avec l'infirmière, c'est la catastrophe assurée.

« Ne t'en fais pas. Ce genre de problème, ça me connaît. Attends une seconde. »

La jeune femme se rend dans la salle de bains de l'infirmerie, ouvre un des placards et en sort une culotte violette, cachée derrière un panneau coulissant avec plein d'autres soutiens-gorges et petites culottes. Elle la ramène ensuite à sa patiente.

« Je garde toujours quelques sous-vêtements en cas d'urgence. Essaie la, je pense qu'elle devrait t'aller. »

La lycéenne s'exécute et enfile la culotte sous les yeux lubriques de Shiro, qui savoure le spectacle des fesses d'Alice parfaitement moulés par le tissu.

« Splendide. J'espère qu'elle te plaît, c'est une de mes culottes préférées.
Tu peux la garder pour l'instant. Tu me la rendras le jour où tu me présenteras ton amie Mélinda. »

De son côté, l'infirmière se fiche pas mal de porter une culotte encore souillée par ses fluides sexuels. Depuis qu'elle travaille dans ce lycée, ça fait presque partie de son quotidien. Tellement de jeunes filles passent par chez elle, et elles ont toutes tant besoin d'amour...

Une fois les deux femmes à nouveau vêtues, quelqu'un vient toquer à la porte de l'infirmerie. Shiro va ouvrir et voit alors les amies d'Alice qui l'avaient amenée à l'infirmerie un peu plus tôt.

« Bonjour les filles. Je vous en prie, entrez. »

Les jeunes demoiselles ne se font pas prier, et entrent pour aller voir leur amie et lui demander comment elle va. La discussion ne prend pas longtemps, puis les filles repartent toutes ensemble. Mais avant qu'Alice ne sorte, Shiro lui glisse quelques mots à l'oreille.

« Reviens me voir quand tu veux, ma belle. Et dis-moi quand Mélinda sera prête à me rencontrer. »

La lycéenne blonde repart avec ses amies et Shiro se retrouve seule. Elle prend une petite minute pour méditer, se calmer et faire baisser la température de son corps. Une fois que c'est fait, elle retourne à son bureau et se remet à sa paperasse. C'est que tous ces formulaires ne vont pas se remplir tout seul.

Le reste de la journée se passe sans événement plus marquant que la visite d'Alice. Alors que la cloche sonne, Shiro remballe ses affaires et se prépare à partir. Secrètement, elle espère encore rencontrer Mélinda ce soir.