La petite pique amena Alice à froncer les sourcils, et elle riposta en pinçant les tétons de la femme, les coinçant entre ses doigts. Shiro battit rapidement en retraite, expliquant que ce n’était que de l’humour, et eut droit, en réponse, à un soupir d’Alice. De l’humour mal dosé... Mais elle pardonnait ça à cette belle infirmière, et, très vite, retourna s’occuper de sa généreuse poitrine, la malaxant généreusement. Elle avait des seins très confortables, chauds et doux, tendres et moelleux. Ils étaient comme de délicieuses bosses, et, tout en les pressant, elle se disait qu’elle adorerait dormir dessus. Elle embrassait le cœur de Shiro, ce cœur qui constituait son ravissant décolleté, et faisait descendre ses lèvres, mordillant le bout de sa blouse, tirant un peu dessus, avant d’aller directement lécher les seins de la femme, encore et toujours à travers sa magnifique blouse. Elle s’appliquait, y allant avec soin, frottant son corps contre celui de la femme, lui faisant découvrir ce qu’elle-même avait ressenti quand la belle femme aux cheveux roses avait entrepris de s’occuper de son corps.
Soupirant de plaisir, Alice continuait à lécher, ses mains se déplaçant pour caresser ses hanches, sentant cette belle peau ample et douce. Shiro était belle, l’infirmière était une amante très agréable, et, tandis qu’Alice jouait avec sa poitrine, elle sentait ses seins durcir, et ses mains venir, finalement, précisément là où, auparavant, celles d’Alice se trouvaient : à hauteur de ses fesses. Elle frémit de plaisir, et remua de gauche à droite en les sentant, en sentant ses mains la caresser. Alice ne tarda pas à se redresser, posant chaque main sur les seins de la femme, et l’embrassa langoureusement sur les lèvres, enfonçant sa langue dans sa bouche.
Les doigts de Shiro se rapprochaient de sa croupe, mais la jeune infirmière n’osait pas encore passer le pas, et aller au fond des choses... Alice lui mordilla les lèvres, le baiser devenant un peu plus vorace, un peu plus espiègle. Elle jouait avec elle, et poursuivit ensuite son sulfureux baiser, pressant son visage contre le sien, enfonçant sa langue en elle, revenant en arrière pour repartir en avant, tout en continuant à remuer son corps.
« Hmmm... »
Que c’était bon ! Alice aurait pu l’embrasser ainsi pendant des heures... Du moins, c’est ce qu’elle se disait. Le fait est que la jeune femme était une grande adoratrice de sodomie, et aussi de baisers... La faute à Mélinda Warren, son éternelle amie vampirique, qui lui avait enseigné tout ce qu’elle savait en la matière. Alice s’appuyait donc sur les seins de la femme, et finit par rompre le baiser, en léchant les lèvres de Shiro.
Les sens en feu, et se sentant bien plus libertine qu’en temps normal, elle osa même se permettre quelques remarques tendancieuses :
« Tu aimes bien mes fesses, hein ? Tu peux les explorer, si tu veux... Ton doigté expert me va tout à fait... »