La sodomie, c’était un rituel obligatoire entre eux, alors, ce soir, forcément, il fallait bien y aller. Alice avait découvert ça au début avec Cirillia, mais c’était surtout avec Mélinda qu’elle avait appris à aimer les sodomies... Et même à les aimer énormément. Mélinda avait su trouver les mots justes pour amener la jeune Princesse à accepter pleinement les émois de son corps, ce qu’elle ressentait, ses fantasmes et ses désirs, sans en ressentir la moindre honte. Sur ce point, Alice avait donc été bien formée, et, là, face à Melendil, elle attendait impatiemment qu’il se glisse en elle. Mais l’homme prenait tout son temps, ce qui était doucement frustrant pour elle, mais encore plus pour lui, puisqu’il avait déjà pénétré la femme, sans jouir. Sa queue devait l’élancer...
*Je n’ose imaginer ce qu’il deviendra s’il suit l’entraînement des prêtresses de Lust...*
Alice savait que Mélinda avait suivi cette formation, et elle lui en avait montré tous les résultats, en la prenant pendant des heures sans jouir, avant de lui offrir un orgasme mémorable, jouissant tellement que le ventre d’Alice en avait gonflé. Mais là, Melendil utilisait juste des techniques propres à sa nature. Elle l’imaginait volontiers avoir médité en ayant une érection, probablement nu dans sa chambre, en songeant aux courbes raffinées d’Alice. Grâce à la technologie tekhane, elle avait pu faire des photographies très sensuelles d’elle, qu’elle avait offert à Melendil, afin que l’elfe puisse toujours avoir une trace d’elle.
La Princesse le sentait donc lécher ses fesses, écartant avec sa langue sa rondelle, lui arrachant encore un soupir, ses mains se crispant sur le lit. Melendil se redressa ensuite, et se blottit contre elle. Elle frémit en sentant sa queue caresser ses fesses, son beau corps s’étaler sur le sien, l’écrasant pendant quelques secondes. Il mordilla le lobe de son oreille, et, comme à chaque fois, Alice s’en pinça les lèvres, un geste qui, elle le savait, excitait beaucoup Melendil. Elle soupira encore, et détendit ensuite ses mains, les appuyant contre les barreaux du lit. L’elfe se mit à lui parler sensuellement, en lui assurant que, demain, elle aurait du mal à s’asseoir...
« Tu te surestimes, mon chéri, c’est l’émotion qui parle... Tu as bien entraîné mon cul à subir les assauts de ta queue, tu sais ! »
Une petite provocation pour flatter son orgueil, et, surtout, pour s’assurer qu’il soit bien à la hauteur de ses espérances. Elle le voyait dans son regard, l’entendait dans son ton... Ce soir, Melendil allait lui faire la totale ! Autant dire qu’Alice en était particulièrement émoustillée, et, quand il lui ordonna de se mettre à quatre pattes, elle obéit bien naturellement. Comme à son habitude, une fois en position, Alice se mit à creuser ses reins, se courbant lentement, bombant ses belles fesses.
« Hmmm... Melendil... Ta petite chienne attend désespérément que tu viennes la fourrer bien fort... Montre-moi combien tu es heureux de m’épouser, amour... Encule-moi fort ! »
Comment résister à un tel appel ? Il se rapprocha rapidement, le sexe tendu, et posa ses mains sur son corps. Alice serra ses doigts, pinçant encore ses lèvres, fébrile, impatiente, excitée. Jadis, elle avait pu avoir peur dans une telle situation, mais, ce soir, seule dominait en elle l’envie furieuse, impérieuse, de sentir l’homme la baiser bien fort. Et, sur ce point, elle fut rapidement comblée, car... Melendil s’enfonça brusquement, et brutalement, en elle !
« Haaaaaaaaaaaaaaa... !! »
Un long cri de plaisir et de douleur mélangés s’échappa de ses tendres lèvres, et elle banda ses muscles, avant de sentir la queue de l’homme écarter sans ménagement ses parois internes, se forçant un passage avec puissance et énergie.
« HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »
Elle avait commencé par se retenir en mordant fort ses lèvres... Puis une nouvelle bourrade la faisait finalement hurler, des hurlements puissants et impressionnants, mais qui n’étaient nullement simulés. Ils exprimaient, au contraire, une authentique et vibrante excitation, qui pulsait dans tout son corps, et la laissait pantoise, extatique, transie de désir et d’envie. Encore, encore, voilà là tout ce que son corps réclamait.
Encore !!
*Je n’ose imaginer ce qu’il deviendra s’il suit l’entraînement des prêtresses de Lust...*
Alice savait que Mélinda avait suivi cette formation, et elle lui en avait montré tous les résultats, en la prenant pendant des heures sans jouir, avant de lui offrir un orgasme mémorable, jouissant tellement que le ventre d’Alice en avait gonflé. Mais là, Melendil utilisait juste des techniques propres à sa nature. Elle l’imaginait volontiers avoir médité en ayant une érection, probablement nu dans sa chambre, en songeant aux courbes raffinées d’Alice. Grâce à la technologie tekhane, elle avait pu faire des photographies très sensuelles d’elle, qu’elle avait offert à Melendil, afin que l’elfe puisse toujours avoir une trace d’elle.
La Princesse le sentait donc lécher ses fesses, écartant avec sa langue sa rondelle, lui arrachant encore un soupir, ses mains se crispant sur le lit. Melendil se redressa ensuite, et se blottit contre elle. Elle frémit en sentant sa queue caresser ses fesses, son beau corps s’étaler sur le sien, l’écrasant pendant quelques secondes. Il mordilla le lobe de son oreille, et, comme à chaque fois, Alice s’en pinça les lèvres, un geste qui, elle le savait, excitait beaucoup Melendil. Elle soupira encore, et détendit ensuite ses mains, les appuyant contre les barreaux du lit. L’elfe se mit à lui parler sensuellement, en lui assurant que, demain, elle aurait du mal à s’asseoir...
« Tu te surestimes, mon chéri, c’est l’émotion qui parle... Tu as bien entraîné mon cul à subir les assauts de ta queue, tu sais ! »
Une petite provocation pour flatter son orgueil, et, surtout, pour s’assurer qu’il soit bien à la hauteur de ses espérances. Elle le voyait dans son regard, l’entendait dans son ton... Ce soir, Melendil allait lui faire la totale ! Autant dire qu’Alice en était particulièrement émoustillée, et, quand il lui ordonna de se mettre à quatre pattes, elle obéit bien naturellement. Comme à son habitude, une fois en position, Alice se mit à creuser ses reins, se courbant lentement, bombant ses belles fesses.
« Hmmm... Melendil... Ta petite chienne attend désespérément que tu viennes la fourrer bien fort... Montre-moi combien tu es heureux de m’épouser, amour... Encule-moi fort ! »
Comment résister à un tel appel ? Il se rapprocha rapidement, le sexe tendu, et posa ses mains sur son corps. Alice serra ses doigts, pinçant encore ses lèvres, fébrile, impatiente, excitée. Jadis, elle avait pu avoir peur dans une telle situation, mais, ce soir, seule dominait en elle l’envie furieuse, impérieuse, de sentir l’homme la baiser bien fort. Et, sur ce point, elle fut rapidement comblée, car... Melendil s’enfonça brusquement, et brutalement, en elle !
« Haaaaaaaaaaaaaaa... !! »
Un long cri de plaisir et de douleur mélangés s’échappa de ses tendres lèvres, et elle banda ses muscles, avant de sentir la queue de l’homme écarter sans ménagement ses parois internes, se forçant un passage avec puissance et énergie.
« HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »
Elle avait commencé par se retenir en mordant fort ses lèvres... Puis une nouvelle bourrade la faisait finalement hurler, des hurlements puissants et impressionnants, mais qui n’étaient nullement simulés. Ils exprimaient, au contraire, une authentique et vibrante excitation, qui pulsait dans tout son corps, et la laissait pantoise, extatique, transie de désir et d’envie. Encore, encore, voilà là tout ce que son corps réclamait.
Encore !!