The Multiversity

[Mélinda Warren]

Mélinda continuait à dominer Lyosinda, et à explorer ses goûts. Elle put ainsi constater que Lyosinda était tombée en adoration devant sa chatte. Ses lèvres intimes, un plaisir rare, l’accès à l’intimité de sa Maîtresse, à sa fleur précieuse. Oui, c’était un trésor rare, un mets sacré que Lyosinda avait léché, reniflé, et observé avec une sorte de sourde vénération. Elle avait léché son sexe, mais Mélinda était aussi décidée à passer aux choses sérieuses, à amplifier solidement le rythme. Alors, elle montra à Lyosinda un autre de ses pouvoirs. Si, comme le soupçonnait Mélinda, celle-ci ne connaissait pas trop le lycée Jinmu, elle allait forcément être surprise par cela. Une vampire, une professeure perverse qui était soumise à celle qui avait l’apparence d’une simple élève… Lyosinda avait déjà dû assimiler tout ça, ainsi que le fait qu’elle était désormais une esclave. Et cela, mine de rien, elle avait fini par l’accepter plutôt bien. Alors, Mélinda continuait sur sa lancée, et sentit la surprise de Lyosinda quand le membre masculin de Mélinda se déploya, et heurta le visage de la jeune femme. Elle se retrouva aussi avec une projection de mouille sur la tête.

« Haaa… »

La vampire se mordilla les lèvres, sentant un frisson la saisir. Comme toujours, déployer sa verge l’excitait fortement. Elle relâcha la pression sur les cheveux de Lyosinda-chan, laissant celle-ci reprendre son contrôle. Elle put ainsi se reculer un peu pour mieux visualiser ce membre. La jeune femme pouvait le renifler, cette odeur sale, mais aussi sucrée. Contrairement à une verge typiquement masculine, celle-ci était plus parfumée, car c’était une transformation de son clitoris. Un spectacle assurément exquis pour Lyosinda, même si elle allait devoir s’y habituer. Elle pouvait fort heureusement compter sur sa récente Maîtresse pour lui enseigner tout ce qu’il y avait à savoir.

Mélinda l’observait donc, doucement excitée, sentant le désir croître en elle, gonflant à l’image de son sexe qui durcissait sous les coups de langue de Lyosinda.

« Là, là, prends ton temps… C’est sûrement la première fois que tu vois un chibre, ma petite fleur. Lèche cette queue, inhale mon odeur, imprègne-toi-en… Je suis curieuse de savoir où ira ta préférence ensuite, ma chérie… Plaisir féminin ou masculin, je te ferai découvrir tout ce qu’il est possible en la matière, et tu découvriras que ma soif est sans limites… »

Elle avait écarté les jambes, pour faciliter les mouvements de Lyosinda. Près de Lyosinda, Ember s’agenouilla, et lui caressa les épaules, puis ses cheveux, glissant ses doigts dessus, tout en faisant son rôle d’enseignante : lui prodiguer des conseils.

« Pense à respirer par le nez, et habitue-toi à cette sensation dans ta bouche… Vas-y, progressivement, n’essaie pas de tout prendre, et contrôle ta respiration… »

[Lyosinda]

Oui ça Surprise était réel, palpable. Son expression, son regard d'étonnement, de surprise, de ne pas savoir si il fallait en avoir peur ou pas d'avoir une telle chose, une telle forme naitre devant elle. Coupler à son Innocence, enfin cette forme d'innocence du au manque de connaissance, de pratique, de fleuraison...
Le Gémissement de sa Déesse de la Nuit Infini des Plaisirs la ravie, la flattée même. Contente quand même de savoir qu'elle était capable d'offrir, d'extirper, de... "voler" une plainte de plaisir à Mélinda Sama.

Puis bien que cette Hampe d'Amour charnel était nouveau pour elle, qu'elle n'était que en phase de connaissance avec... Qu'une bonne partie était encore dissimulé en partie sous les Pétales de tissu intime et l'autre partie en ressortant, tête de flèche de plaisir la première par delà la frontière de se tissu. L'entrain, la sincérité, la préférence de Lyosinda San allait vers le Jardin intime, la Fleure aux Mille et Un Plaisir qu'il y avait et ce miel sucré, intime et envoutant de la Vampire était sa préférence. D'ailleurs, le temps d'un battement de cil, quand elle reçu cette mouille, elle se voyait être comme une Nonne Coquine, vicieuse recevant la Bénédiction de sa Déesse... Limite même comme on Baptise une naissance. Peut être était ce la une forme de Baptême pour la naissance de sa nouvelle vie?

« Hmmmpffff… »

Soupire t'elle longuement, désireuse de toujours bien faire, même si contrairement a la version Féminin, le Bélier de chaire faisait moins quand même moins d'effet à l’Étudiante, le gout restait un peu prêt similaire. l’Engouement, le désire, la folie de le vouloir était moindre... Pour l'instant en tout cas.
Toute fois, elle voulait quand même bien faire, accomplir son devoir... Non! Son désire envers la Vampire, sa Maitresse, SA DÉESSE!♪
C'est ainsi, que pendant qu'elle recevait le début des conseils, des mots, des caresses de Ember-sensei et de Mélinda-Kamisama, elle cherchait alors à empoigner cette créature sortie du "Paradis" d'entre les cuisses de la Vampire pour en faire glisser une partie au chaud, sous la lingerie rose voler, qu'elle portait semble t il toujours. Cherchant a le faire glisser vers la Vallée entre ses deux jeunes Poires pour tenter d'en faire ressortir la Tête entre les deux Monts plein de promesse futur et potentiel.
Bon en même temps que ça glisserait contre son corps, c'était aussi pour s'enduir le corps des offrandes de plaisir, de s'imprégner du jus, des fragrances, d'être marqué par sa Propriétaire du parfum de ses jus.

Toute fois, un mot, un surnom fit "tilte" dans la tête de Lyosinda, au point ou elle rougit encore, si cela était possible, que les quelques gouttes au sol, entre ses cuisses étaient devenu un début de flac même. Cela malgré ce que le "Body" qu'elle portait avait pu absorber déjà.
Oui elle voulait être nommé comme la Fleure a son Horticultrice, car elle savait que seule "ELLE" pourrait la faire resplendir.

« Maitresse... Hmmmfff... Oui c'est la première fois que je vois une de ses choses... Elle est si différentes de celles des animaux.
Hmm... Oh je suis votre Fleure Maitresse? C'est vrai que je suis votre Petite Fleure à vous? »

Elle ne pouvait s'empêcher à ce moment, flattée par ce surnom donné par sa Propriétaire, sa Déesse, sa Maitresse, sa vie. De tenter le "Diable", venant prendre, capturer, emprisonner entre ses lèvres le Sceptre d'amour de sa Déesse. De venir l'attacher avec sa langue trop courte pour serpenter autour et l'attacher. Elle glissait même ses lèvres, retroussé, entre ses dents et le membre de Mélinda pour pincer légèrement comme elle imaginerai un peu le bonheur, le plaisir de ce faire mordre par la Vampire. Suçottant et aspirant... Allant loin... trop loin pour une fois.
Mais l'intervention de la Somptueuse Enseignante Ember Sensei qui était aussi il y a peu, le centre de l'attention, des désires, des fantasmes de son Elève, nouvelle enfant / chienne / fleure de l'incroyable Mélinda Warren, avait pu alors empêcher que Lyosinda n'aille trop loin pour une première fois et qui plus est... suffoque aussi à vous faire, trop bien peut être en vue de son manque d'expérience, de pratique, de savoir faire.

Devant relâcher l'emprise sur le Membre, pour tousser, baver même... reprendre son souffle avec des larmes a ses yeux. Elle tremblait, mais elle cherchait à puiser dans ses faibles force d'humaine pour se re hisser alors le long de la chaisse de bureau, poser son manton sur le rebord de l'assise de la chaise, le regard tourner et plongeant vers la jonction des cuisses de Mélinda. Venant une par une une, prendre les cuisses, les jambes de Mélinda pour les faire nouer autour de son cou, par dessus le collier de sa vie nouvelle, de sa liberté de choisir d'offrir la liberté, les choix qu'elle abandonner en faveur de nul autre que Mélinda.

« Ah...ahff.... Pardon Maitresse... Je suis désolée d'être si peu douée...»

[Mélinda Warren]

Mélinda dominait tranquillement la situation. Elle formait doucement Lyosinda, et celle-ci avait beaucoup aimé sa remarque, le surnom affectueux qu’elle lui avait donné spontanément… « Petite fleur ». En vérité, Mélinda n’y avait pas spécialement fait attention, mais pourquoi pas ? Une petite fleur… L’allégorie lui plaisait, l’image était amusante. Elle sourit donc quand, rompant sa succion, Lyosinda lui demanda si elle était sa petite-fleur à elle. Sa main caressa les cheveux de Lyosinda, et elle hocha la tête :

« Tu aimerais l’être, Lyosinda-chan ? Tu pourrais bien l’être, oui, ma petite fleur aux pétales délicates… »

Très souvent, Mélinda identifiait le même comportement chez les êtres humains. Ils étaient libres, mais aussi seuls. Une conséquence de l’individualisme, les gens comme Lyosinda vivaient libres, mais seuls, et c’était encore plus marquant au Japon, un pays naturellement marqué par une pression sociétale forte, par le fait de devoir vivre au sein d’une communauté. Le clou qui dépasse appelle le marteau, voilà un proverbe japonais qui résumait parfaitement la mentalité de ce pays. Autant dire que Mélinda était à son aise ici. Avec son réseau, son influence, elle offrait aux personnes comme Lyosinda un idéal (elle-même), ainsi qu’une communauté, un groupe dans lequel s’épanouir. Dans leur relation, Ember-sensei incarnait ce groupe, cette communauté.

Derrière Lyosinda-chan, Ember-sensei continuait à caresser et à masturber la belle lycéenne. Elle était encore dans les sous-vêtements violets qu’elle avait subtilisé, et les doigts d’Ember-sensei se remplissaient de la mouille de la belle. Elle en souriait doucement, et releva sa main. Elle profita du fait que Lyosinda reprenait sa respiration pour lui fourrer deux doigts dans sa bouche.

« Là, là, goûte à ta propre mouille, ma chérie… Tu n’as pas à avoir honte. Ce que je dis en classe s’applique ici aussi… Il n’y a pas de question bête, il n’y a que des réponses idiotes. Si tu n’arrives pas à faire quelque chose, c’est aussi parce qu’on te l’a mal enseigné.
- Tu débutes, Lyosinda-chjan, c’est normal de manquer de souffle… L’essentiel est que tu sois motivée. »

Motivée, Lyosinda l’était assurément, si on en jugeait par la quantité de mouille que Ember avait entre ses doigts. Elle malaxait aussi l’un des seins de Lyosinda. Mélinda poussa alors sa chaise en posant ses pieds au sol, et se recula ainsi du duo. Cela lui permit de se relever.

« Montre-moi où est ta table, Lyosinda-chan, je veux te lécher dessus et te faire jouir dessus… Comme ça, demain matin, quand tu retourneras t’asseoir, tu penseras à toutes les vilaines et délicieuses choses que nous allons faire dessus. Et puis, vu que tu es ma fleur, il est normal que je vienne te butiner, non ♥ ? »

[Lyosinda]

« Hmm... Oh!!!! Oui Déesse! Votre Fleure à vous!!!♪ »

Le Ton lors de cette phrase de la part Lyosinda, l'expression du visage illuminé d'une rougeur de plaisir intense, la crispation du corps également, la fourche des cuisses se resserrant pour tenter d'emprisonner entre ses chaires les pinceaux de la main de Ember-Sensei... Tout ça montrait que la petite nouvelle dans la "Famille" de la Vampire venait de connaitre alors une extase, une jouissance de tout les éléments de cet instant de sa renaissance en tant que dernière arrivée de l'entourage de l'éblouissante Mélinda Warren.

« Non.... Ne la retire pas... Pitié.... »

Suppliait t elle alors en sentant la main de Ember s'extirper, laissant place à un visage comme une fille qui aurait commise une faute et que l'on punirait. Venant en contre partie, peut être par crainte que le Rêve ne se termine la, s'accrocher à la jambe, la cuisse de Mélinda et venir blottir son visage contre la Zone intime avec le Sceptre de chaire fièrement dressé, mordant comme pour s'accrocher au niveau du collant et de la culotte de Mélinda, laissant la pré naissance de larme monter à son regard de supplication.

Mais c'est très vite, que la "Montagne Russe" reprenait le chemin montant en entendant les mots de Ember-Sensei et de sa Propriétaire et Déesse Mélinda-Sama.

« Apprenez moi, faites moi découvrir, je vous jure Maitresse Divine!♪ Je... Je vais m'améliorer pour être celle que vous méritez que je devienne. »

Lyosinda, surprise, au début refusait sous l'effet de surprise, l'entrée entre ses lèvres des doigts visiteurs de Ember-Sensei, mais très, en se rendant compte, elle luttait contre le reflexe de son corps pour ouvrir l'entrée de sa bouche, en une légère forme de coeur innocent pour accueillir les doigts couvert de Miel. Elle grimaçait au début, mais plus par instinct car ne l'avait réellement pas fais avant et comme nouvelle chose, la peur de l'inconnu était présent. Mais asser vite, elle commençait à faire fureter comme une petite tempête sa langue sur les doigts de la Professeur pour gouter, nettoyer les doigts de sa Sublime Professeur. Se mettant même à rougir lorsqu'elle gardait les yeux fermer un petit moment, surement à penser, imaginer des choses...

« Hmmm.... Pas aussi bon que celui de ma Déesse et Reine... »

Complimentait elle avec une légère sincérité timide et coquine. Combiné a un petit et discret pincement de lèvre et suivit d'un léchage de lèvre.

Alors qu'elle se faisait explorer encore plus, plus de manière Saphique par son Institutrice, sentant son Sein, sa Poire se gorge de désire juteux, gonflant légèrement sous la caresse, avec le bourgeon du fruit qui se dressait presque outrageusement entre les doigts. Lyosinda voyait Mélinda-Sama se relever, gardant les collants et la culotte a hauteur d'en dessous de l'instrument qui se balançait fièrement a la vue.
Puis les mots de la Vampire, la demande de l'emplacement du bureau de l'Elève en question...

Commençant lentement, tremblante à redresser sa croupe, tendre ses jambe, comme pour s'apprêter à se remettre sur pied, elle se stoppait ainsi. Ayant presque oublié les instructions de.... sa nouvelle raison de vie? De celle qui lui ouvrait une porte secrète vers le chemin qui lui était destinait? Elle remettait alors très vite à quatre patte, pour avancer lentement, secoué encore de tout ce qu'elle venait déjà de vivre, vers son bureau. Et si la laisse avait été laché, elle l'aurait récupérer avec ses lèvres pour venir chercher à l'offrir a la main de Mélinda ou alors à Ember. Puis guidant vers la cible recherché, posant juste le menton sur la table de classe ou elle suivait les cours.

Venant alors timidement mi moder une demande douce, honteuse et pourtant comme importante pour elle.

« Vous... Vous choisirez a partir de maintenant ce que je... porterai? Et si je suis sage... peut être porter vos sous vêtements porté? Voir imprégné par vos miels mélangé a une autre esclave? Je sais que Maitresse Mélinda a beaucoup a gérer de ... gens.. »

[Mélinda Warren]

Toujours dans un état second, Lyosinda orienta les deux femmes vers sa table. Ember-sensei savait naturellement où s’installait Lyosinda. Se remettant à quatre pattes, Lyosinda indiqua à Mélinda l’emplacement de sa table, frottant la table avec son menton. C’était une table pour deux élèves, ce qui fit sourire Mélinda. Nul doute que son voisin ou sa voisine risquait de changer par la suite. Elle songeait déjà à s’imaginer venir parfois à certains cours en compagnie de Lyosinda quand celle-ci la fit sortir de ses pensées en lui demandant si elle pourrait un jour porter ses sous-vêtements. Mélinda la regarda alors, et le sourire malicieux de Mélinda s’agrandit.

« Tu n’es pas la première à formuler une telle demande, Lyosinda-chan. Tu es libre de porter les vêtements que tu veux, j’aime aussi qu’on me fasse la surprise… Mais oui, je peux aussi t’imposer les vêtements que tu souhaites porter, cela fait partie de mes attributions. Si je suis ta Maîtresse, c’est pour gouverner ta vie, et en faire ce que j’estime être le mieux pour toi. »

C’était le concept même de l’esclavage à la Mélinda : offrir à cette dernière votre liberté en échange de sécurité, de confort, de bonheur. Elle le disait à chaque fois qu’on lui demandait de se justifier : les êtres humains étaient autant épris de liberté qu’ils la craignaient. Comment pouvait-on vouloir être libre quand on ne savait pas quoi faire de sa vie ? Toute la construction de l’humanité reposait sur le fait de confier les rênes de sa vie à quelqu’un d’autre, que cet autre soit des parents, un amant, ou l’État. Les êtres humains fonctionnaient comme ça, Mélinda ne faisait que prolonger le processus, mais, là où les concessions de liberté d’un être humain ne se traduisaient pas forcément par de véritables avantages, chez elle, il y avait de clairs avantages. Alors, partant de ce constat, Mélinda pouvait donc tout à fait orienter et guider la vie de Lylsinda, en allant jusqu’à lui imposer des tenues particulières quand elle n’était pas au lycée.

Restait toutefois un point à éclaircir, qui était celui de ses sous-vêtements.

« Si tu veux, je peux te laisser la culotte que je porte en ce moment… Ayant une tendance naturelle à déchirer les sous-vêtements, j’en ai toujours un bon stock, il n’y a pas de soucis à t’offrir ce cadeau. Comme ça, tu porteras toujours sur toi une trace de ta Maîtresse… »

Une proposition sans doute alléchante. Mélinda portait une ravissante culotte dorée, finement brodée, une culotte de luxe. La confier à Lyosinda était la démonstration supplémentaire que l’argent n’était pas la priorité de Mélinda. De son côté, Ember-sama se mit à rougir doucement.

« Je… J’aimerai moi aussi avoir le privilège de porter vos sous-vêtements, Maîtresse… »

L’intéressée gloussa tendrement. C’était un rire à la fois doux et malicieux, qui illustrait parfaitement ce qu’était Mélinda : une jeune femme au visage d’ange, aux yeux innocents, mais avec un regard terriblement envoûtant.

« Une chose à la fois, mes petits trésors… Par contre, ma chérie, tu souhaites avoir ma culotte avec mon… Miel dedans… Mais ma culotte est relativement propre. Tu n’as qu’à venir, et masturber mon sexe en frottant ma culotte dessus. Fais-moi jouir dedans, et elle est à toi. »

Pour Mélinda, c’était un marché tout à fait équitable…

[Lyosinda]

Arrivant à son Bureau, accompagné par les deux Belles créatures Féminines, dont une a qui elle avait abandonné par choix, désir, sa liberté.
Lyosinda n'arrivait pas à se sortir de la tête toutes ses envies, ses désires, son imaginations qui devenait débridait. Que ça soit des choses lubriques en tenue d'écolière face a sa Sensei, ou alors attaché, ligoté a contempler sa Déesse.

Elle écoutait le récit, les mots de Mélinda-Sama qui lui annonçait qu'elle était pas l'unique à être ainsi. Cela lui fit deux choc, le premier, le fait qu'elle n'était pas seule à vouloir porter la lingerie intime, les sous vêtements des autres belles plantes de ce Monde... Mais également de la déception, de la tristesse, la peur même car elle craignait n'être qu'une de plus, pas unique, mais une parmi tant d'autres et qu'elle avait peur de pas savoir comment contempler, faire plaisir, impressionné sa Maitresse...

« Mais ma Déesse!... Si je... Je ne suis pas la seule à désirer cela... Comment je peux faire pour impressionné? Pour vous faire voir que je suis moi? Et pas juste une parmi tant d'autres? Je... »

Elle venait alors étreindre a cet instant de chaque bras, une jambe des deux belles Femmes. Rassemblant leurs pieds pour les bloquer en s’asseyant dessus de sa croupe délicieusement innocente. Commençant à lancer des regards digne du "Chat Potté", implorant, mais aussi tentation de prise en pitié de la Jeune Fleure qu'elle était.

Ses mains ne restaient pas sans agir, comme deux Aventurière, elles partaient chacune entamer l'Ascension de chaque Jambe Kidnappé de Mélinda et Ember. Se montrant presque d'un coté un peu Possessive à sa façon. Ce n'était pas juste physique, il y avait une part de cœur dans cette étreinte et cette escalade. Décalant son visage pour le faire glisser comme un doux et chaud courant d'air le long des cuisses, parsemant ici et là des baiser doux jusqu'à disparaitre entre les cuisses pour profiter et voler leurs fragrances. Découvrant alors les splendeurs cachant les Trésors des deux, contemplation et extase a leurs vues... Le Tout en écoutant les dire, les mots de la Vampire, puis ceux d'Ember...

Au départ, l'annonce de recevoir le cadeau, la magnifique parure doré intime couvrant aussi bien le Pistille, que la Fleure aura embrassé de sa présence l’Émerveillé au plus haut point Sentant déjà son petit jeune fruit d'amour se dégorger de son nectar. Mais très vite, Ember qui disait vouloir aussi cela... Sans savoir, sans réfléchir, le petit coté possessive nouveau et non formé de Lyosinda faisait que la Nouvelle venue venait pincer de ses petites dents, l'intérieur de la cuisse de la Sensei, non loin entre la frontière des sous vêtements caché sous la jupe.

Constatant par la suite son acte, elle redescendait alors et constatait alors qu'elle avait peut être mal agit, fait mal et que c'était Mal.

« Pardon! Pardon! Je suis désolée... Je ne sais pas ce qui m'a prise... Pardon Ember Sensei... »

Très vite, Mélinda avait couper court a cela semble t il, proposant alors a Lyosinda de récolter le Symbole d'amour avec du Miel. Réfléchissant alors... la tête basse, les yeux caché derrière sa crinière.

« Je... Je crois avoir une idée pour me faire pardonner... Et contenter tout le Monde... Je... S'il vous plait... Laisser moi... enfin ayez confiance... »

Demandait elle alors, un peu timide, tremblante. Puis osant alors se redresser, gardant la tête et le regard bas, pas sur, mais se disait que c'était une preuve de soumission continue, même si elle prenait une initiative.

Une fois debout, dans un silence tellement puissant qu'elle croyait entendre son Coeur qui battait aussi vite qu'un troupeau de Pur-Sang au Galop dans une Vallée. Elle venait alors guider Mélinda, depuis le bout des doigts, à venir s'installer, s'assoir sur le Bureau. Puis laissant glisser ses mains glisser le long des formes, avec la maladresse de parfois s'écarter du droit chemin pour glisser un peu en terrain féminin, pour finir par faire plier une fambe et poser le pied sur le bureau et ainsi ouvrir l'accès au trésor caché avec peut être toujours le Sabre de chaire tendu et offert.
Contre toute attente et surprise, par la suite, elle venait alors se tourner vers Sensei, pour alors la guider de la même manière sur le Bureau, mais face a face avec Mélinda sensei. L'aidant a se placer, de façon Tribadisme, Saphique, Ciseau... Les aidant alors à se rapprocher l'une contre l'autre, culotte contre culotte, avec leurs Sexe partant de dessous.
Ainsi, cela permettra a Ember Sensei et Mélinda Sama de sentir la Chaleur, le contact et la naissance du plaisir naitre cher l'autre au contact. Mais ce n'était alors pas tout, par la suite, la Jeune Elève se penchait alors, le visage en premier, entre les deux pour aller plonger son visage au niveau de la Jonction des deux Femmes, respirant leurs parfum, avant d'embrasser leurs tissu, puis leurs formes intime, les moullant de ses lèvres chacune a leurs tours. Ajoutant la rencontre de ses doigts sur commencer à aider les deux à trouver joie, bonheur, plaisir a cette tentative d'Initiative.

Parlant par la suite, la tête enfouie, a embrasser leurs bas ventre...

« Hmmmm.... Sensei repartira pour me faire pardonner avec la culotte de Maitresse... Si Sensei me permet en retour de partir avec la sienne gorgée des flux Béni de Maitresse et des siens... »

[Mélinda Warren]

Éduquer une esclave, c’était lui apprendre l’art de la soumission, ce qui impliquait que l’esclave doive vénérer son Maître ou sa Maîtresse. Quand Lyosinda évoqua l’idée « d’impressionner » sa Maîtresse, Mélinda savait qu’il y avait encore du chemin à faire. C’était compréhensible, Lyosinda ne connaissait pas encore toutes les subtilités de sa nouvelle condition. D’ailleurs, Mélinda eut rapidement la démonstration de ce qu’elle craignait, puisque, quand Ember rappela qu’elle avait elle aussi envie de porter les sous-vêtements de leur Maîtresse, Lyosinda s’énerva, et mordilla un peu trop fort la cuisse d’Ember. Cet incident conduisit Lyosinda à réagir rapidement, et Mélinda et Ember se retrouvèrent ainsi assises toutes les deux sur le bureau d’Ember, tandis que Lyosinda, agenouillée devant leurs jambes, indiqua qu’elle laissait à Ember la culotte de Mélinda. La vampire, restée assez passive, fronça alors les sourcils.

« Ma chère Lyosinda-chan, le choix ne t’appartient pas. De même, tu n’as pas à devoir impressionner qui que ce soit. La seule qui doit être impressionnante, c’est moi. Tu dis que je suis ta Déesse, mais est-ce qu’un fidèle cherche à impressionner son seigneur ? Il me semble même que, dans les livres sacrés, les fidèles qui cherchent à impressionner leur divinité commettent un blasphème. L’histoire du veau d’or, cela te parle ? »

C’était l’une des histoires les plus connues de l’Ancien Testament. Tandis que les Hébreux attendaient le retour de Moïse, ils commençaient à céder au désespoir, et Aaron leur demande de confectionner un veau d’or afin qu’ils l’idolâtrent. En voyant cela, Moïse détruisit les Tables de la Loi, car ceux qui avaient adoré le veau d’or avaient violé l’un des Dix Commandements.

« Je ne cherche pas l’idolâtrie, Lyosinda-chan, mais ton obéissance. Si tu cherches à être meilleure que les autres, tu commenceras à les convoiter, puis à les envier… Et, finalement, à faire ce que tu as fait à Ember-chan. Je ne cherche que ta fidélité, Lyosinda-chan, mais je ne veux pas que tu entres en compétition. »

Dans le Livre, Moïse punissait les idolâtres en les tuant. Une sanction sans doute un peu excessive. Pour éviter que Lyosinda ne se mette à pleurer, Ember réagit alors. Sa main caressa le dos de sa Maîtresse, et elle intervint :

« Ne soyez pas trop dure, Maîtresse, c’est sa première soirée ! Et puis, même si nous vous aimons tous, il est aussi normal de vouloir que nous nous surpassions pour vous. »

Ember retomba au sol, et s’agenouilla derrière Lyosinda, puis massa ses épaules.

« Je suis devenue professeur pour vous plaire, Maîtresse, j’ai travaillé dur pour ça.
- Certes, mais je ne veux pas de jalousie… »

La professeure embrassa Lyosinda dans le creux du cou, et attrapa ensuite ses seins, qu’elle se mit à malaxer.

« Ne vous en faites pas, Maîtresse, Lyosinda-chan a juste besoin de connaître nos codes… Et toi aussi, ma chérie, ne t’en fais pas, personne ne te demande de te surpasser ce soir. Tout ce que tu dois faire, c’est obéir à notre Maîtresse, et faire ce qu’elle te dira. C’est Maîtresse qui m’a demandé d’être étudiante, puis de devenir enseignante. C’est Maîtresse qui a su quoi faire de moi. C’est Maîtresse qui saura quoi faire de toi. Tout ce que tu dois faire, Lyosinda-chan, c’est avoir confiance en notre Maîtresse pour s’occuper de toi. »

Ember tourna la tête de Lyosinda, et lui sourit, avant de l’embrasser.

« Et tu peux prendre la culotte de Maîtresse, elle t’a dit comment faire, non ? Alors, vas-y ! »

Mélinda soupira doucement, et écarta ses jambes, libérant l’accès à sa culotte dorée, et à sa verge qui pulsait dedans.

« Allez, petite souillonne, avant que je ne change d’avis… Fais-moi jouir dans ma culotte, et tu pourras la porter cette nuit et demain. »

[Lyosinda]

Lyosinda, durant les remarques, les mots de sa Maitresse, elle se sentait et montrait qu'elle était un peu comme dans un état d'une personne grondé, réprimandé... Dans un sens, c'était le cas. Sans parler que quand Mélinda parlait de Religion, de l'histoire du veau d'or, elle ne savait pas quoi dire ou répondre. Ainsi donc, tout ce qu'elle trouvait à faire à cet instant pour pas laisser la question sans réponse, c'était de baisser la tête, le visage, le regard derrière sa crinière et secouer de gauche à droite par la suite pour signifier la négation de sa réponse envers la Somptueuse Vampire.

« Je suis désolée Maitresse... Je... »

Elle ne terminait pas sa phrase, se sentant trop bête, trop... fautive! Ne trouvant pas les mots et préférent donc arrêter de parler a cet instant pour éviter de s'enfoncer encore plus et peut être perdre ce lien fraichement entrain d'être tissé.

Lyosinda n'avait que peu, très peu, de connaissance et de savoir en ce qui concernait la Religion, peut importait son Origine ou autre, peut être que sa Déesse saurait arranger cela en lui inculquant la Religion de la Déesse Warren, Vampire, Femme aimante et Irrésistible.

Par la suite, la Vampire, qui ouvrait ses lèvres pour laisser poindre entre deux mots ses canines de Vampire, expliquant à sa nouvelle Protégée un peu une nouvelle fois ce qu'elle attendait d'elle. Cela pouvait se voir que la Cible de ses mots n'étaient pas insensible à ses derniers, que ça cogitait même dans la Petite Tête de l’Élève.
Et même si un être doté de Télépathie pourrait alors sans nul doute lire dans la Petiote qu'elle chercher à trouver comment réagir pour tenter de montrer et faire savoir qu'elle avait entendu et qu'elle voulait alors se faire pardonner et tenter d'éviter de recommencer a succomber a ce coté un peu "Égoïste"... Mais cela cachait autre chose, plus viscérale cher l'être humain. La Peur que si elle faiblissait, n'en fais pas asser, ne se surpasse pas, elle serait comme ses choses de papier, de tissu, de coton qu'on utilise et jette sans considération.... Et que si ça devenait réel, alors peut être qu'elle n'aurait plus la force de s'ouvrir une nouvelle fois... Et un être ainsi... Serait une proie facile et alléchante pour des Etre Ignoble désireux de trouver un Réceptacle à voler, une coquille à habiter pour errer dans d'autres Monde...

Mais cela, à la rigueur, seul Mélinda avec son vécu, son savoir, son expérience avec les autres Monde et Plan d’existence pourrait le savoir, certainement pas l’Élève Lyosinda qui était ce Livre Vierge qui voyait la Plume de Mélinda écrire les premières vrai Ligne de l'Histoire de la "Fleure".

Ember! Cette Professeur qui avait tout pour plaire, pas autant que Mélinda, mais si la Vampire n'avait pas prise l'Initiative, nul doute que la Sensei pourrait tenir le rôle à la place de la Déesse. D’ailleurs, Ember descendant au sol pour se retrouver derrière son Elève. Crispé au début, Lyosinda se détendit peu à peu.

« Mais Maitresse Mélinda-Sama... Elle a dit qu'on devait la surprendre aussi non? Comment faire si .... Si nous devons juste obéir? »

Demanda Lyosinda en déglutissant un peu fortement en sentant ses deux Poires garnit sous le tissu du Body volé, de la couleur rose sucrerie a croquer. Sentant son corps réagir à ses attouchement féminin, plus Mur et expert que les siens provenant la Sensei.
Puis en guise de réponse à la Scène, les mots, les désirs, les attentions... Mais également en guise de Pardon et de remerciement, elle venait alors refermer ses bras, ses mains, comme les Ailes de l'Archange Alexander, protecteur, par dessus les mains de Ember qui possédaient sa Poitrine.

Avançant dans le même temps, de deux battement de cil en avant, puis d'un en arrière par hésitation encore présente ou de peur. Parsement ici et là, le long de l'intérieur des cuisses, de baiser, de caresse, de fleurte de la part des lèvres douce, chaude et légère... Un baiser après l'autre, s'approchant du "Nirvana", de ce Tissu sacré cachant Calice et Sceptre de sa Déesse. Venant alors mouler les formes caché sous le tissu de la Culotte dorée, avec ses lèvres, son souffle chaud dont la sauvagerie était encore retenue par la force de l'esprit de l'Humaine. Finissant par avoir une grande partie du visage disparu au croisement de ses Cuisses Claire de la Vampire et comme il y a peu, même si sa préférence allait envers les Calices Féminin plutôt que les Sceptre Masculin, c'était sa Déesse et cela lui permettait de par ses fragrances de futanari ainsi encore Féminine, donner force et même désire à la Brune de trouver joie, plaisir, bonheur et une forme de bien être a faire cela.

Ne pouvant toute fois s'empêcher de tenter de guetter à tord ou à raison et malgré son inexpérience, sa maladresse, les réactions de la potentiel interprétation du ressentit de Mélinda...

[Mélinda Warren]

Il fallait une Ember pour rassurer Lyosinda, pour la réconforter ! Mélinda était une Maîtresse, elle était donc une femme pleine d’amour, mais elle pouvait aussi se montrer sévère, autoritaire. C’était parfois nécessaire ! Ses esclaves avaient beau être mâtures, Mélinda fonctionnait un peu comme une mère avec eux. C’était l’un des aspects du rôle qu’elle se donnait. Maîtresse, amante, confidente, elle se devait de tout être, et ce n’était pas simple. La plus grande difficulté qu’elle avait, c’était d’instaurer ce lien si particulier, ce mélange entre amour et détachement. Lyosinda aurait le temps d’apprendre ça, et elle pourrait compter sur une communauté dévouée pour comprendre les subtilités et les paradoxes de sa condition. Ember n’en était qu’une expression parmi d’autres, mais on pouvait se féliciter de sa présence, car elle permit à Lyosinda de se détendre, et d’aborder bien plus sereinement le fait d’obéir à sa Maîtresse, sans craindre son courroux.

Face à la question bien légitime de Lyosinda, Ember sourit, et embrassa tendrement la belle élève sur les lèvres.

« Tu apprendras cela, ma belle, ne brûle pas les étapes… Servir notre Maîtresse, c’est le temps d’une vie, si ce n’est plus. N’essaie pas de tout comprendre maintenant, contente-toi de laisser parler tes fantasmes, tes désirs, et de profiter du fait que notre Maîtresse porte toute son attention sur toi. »

Car cela, Lyosinda n’y aurait pas le droit éternellement ! Nul doute que chaque personne proche de Mélinda aurait voulu être en permanence avec elle, mais, d’un autre côté, n’était-ce pas cela qui rendait ces moments si précieux ? Le désir, l’attente… La frustration était le moteur du désir. Lyosinda allait apprendre tout cela ! Pour l’heure, elle retourna contre la culotte dorée de sa Maîtresse. Mélinda avait encore son sexe féminin, ce bourgeon intime que Lyosinda se mit à lécher. Elle préférait visiblement une délicieuse chatte à une verge durcie, mais elle pouvait s’attaquer aux deux. L’idée était après tout de faire jouir sa Maîtresse, et Mélinda n’avait rien précisé. Ember s’était relevée pour filmer le duo, souriant en voyant le nez de Lyosinda glisser sur la queue de sa Maîtresse. Elle inhalait son odeur, ce double sexe magnifique.

« Là, là… Lèche ma chatte, ma chérie… Je jouirai plus lentement, mais… Tu en profites, hihi… »

Ember se rapprocha alors, elle aussi à quatre pattes. Elle attrapa alors la verge de Mélinda, et la redressa un peu. Sa tête se pressa contre celle de Lyosinda, mais Ember réussit à la prendre en bouche. Impossible de faire une gorge profonde, mais c’était suffisamment pour que Lyosinda puisse sentir la délicieuse chatte de sa Maîtresse s’humidifier. La main de Mélinda caressa les cheveux de Lyosinda, et elle crispa ses doigts dessus, en se mordillant les lèvres.

« Oh, bordel, la professeure et l’élève qui se liguent contre moi, haaaa… »

Si Lyosinda la regardait, elle pourrait voir les belles joues pâles de Mélinda s’empourprer, signe évident du plaisir qu’elle prenait en ce moment, tandis qu’elle pouvait avaler sa mouille. Ember avait pour elle son expérience, et libérait la verge de sa Maîtresse pour la masturber.

« Bois sa mouille, puis tu boiras son sperme, Lyosinda… Peu d’esclaves ont droit à un tel privilège dès leur première soirée avec Maîtresse, on peut même dire que tu es un cas unique ! »

[Lyosinda]

Il est vrai que Ember-Sensei avait un certain... "pouvoir"... "contact" sur Lyosinda. L’Élève avait toujours eu ce petit "Crush" sur son Sensei, après tout qui ne voudrait pas en avoir avec une telle Merveille? Mais était ce ainsi le Naturel de base la Sensei? Ou était ce une étape éducative, placement sociétale de la part la plus Divine des Déesse, Mélinda Warren? Après tout, pour garder son image intact, son autorité, son "Rayonnement" auprès de sa Famille. Elle devait peut être donc pour cela apprendre, façonner ou déléguer certaine facette nécessaire pour la cohésion de ce "Paradis" certaines de ses plus proches "Âmes" qui lui étaient au plus proche pour combler officieusement ses besoins.

Pour ce qui était la réponse à sa question, Lyosinda écoutait les mots glissant et adoucissant son esprit et sa conscience. Sans nul doute que le baiser reçu, sucré, féminin et bien plus expérimenté de Sensei par rapport à elle aidait aussi, peut être un peu trop vu que quand Ember-sensei a voulu y mettre fin, inconsciemment les lèvres de Lyosinda avait poursuivie un bref instant. Elle se détendait et retrouvait plutôt ce coté positive et bienveillant d'il y a quelques instants, avant sa maladresse si on pouvait l’appeler ainsi.
Mais un bon jouait la "Bille tournoyante" dans son esprit. Qu'est ce qu'elle entendant par "le temps d'une vie, si ce n'est plus"? Bien entendu, elle avait un peu commencé à assimiler que le Monde qu'elle croyait simple et.... "classique / normal" s'avère être bien plus complexe et vaste. Créature, Être surnaturel, Monstre, Démon, Race et bien plus encore... Puis une Déesse Vampire à l'allure délicieusement fraiche et innocente.
Mais cela rajoutait encore plus une suite, une imagination, des pensées et autres qui faisaient battre son coeur et circuler son sang encore plus rapidement.

La "Petite Fleure Brune", nouvelle du Jardin de la Splendeur Melinda Warren, avait un long chemin à parcourir pour dépasser ses lacunes, sa frustration, ses désires qu'elle ne pourrait assouvir des le ressentit. Et bien entendu de tous les autres choses qui n'iront pas et devront être corrigé... Mais cela, le temps et l'entourage, tel un Océan implacable face à la Roche d'une falaise, saurait sculpter avec le temps et les bonnes façons.

... Quelques battements de cils plus tard, de retour vers le Nirvana, le Trésor sacré et caché sous un tissu doré servant de culotte, Lyosinda, heureuse de retrouver ce contact féminin et intime. Rien de tel que le Jardin Secret et intime de sa Maitresse pour redorer les paroi de l'esprit de Lyosinda. Faisant écraser la pointe de son nez contre le plie, la forme féminin de la Fente intime, surplombé par ce bijoux dardant de désir. Respirant fortement le parfum avant d'entrouvrir les lèvres pour que le fouet de sa Langue vienne maltraiter avec gourmandise et amour à grand coup de vas et viens par dessus le tissu, chaque facette, coin et recoin de ses formes intimes.
Bien que sa préférence allait envers le noble sexe féminin, l'autre facette de la pièce, le second sexe, ce Mât dressé humanoïde allait avoir le droit à la visite de touriste... Les Doigts d'une main de Lyosinda faisant l'ascension depuis le dessous, passant par la partie de la base de la lance, suivant le chemin d'une éventuelle veine, arrivant à la couronne de la Pointe de la lance pour jouer et rencontrer de manière taquine et maladroite ce Méat.

-< Mais si le Monde contient des êtres, des créatures et pleins de chose... Est ce que ça veut dire qu'il n'y a pas que le sexe des hommes et des femmes? >

Se demandait intérieurement la jeune Apprentie de ce Monde nouvellement offert à elle.

« Hmmmfff.... Si ma Déesse me dit ça... C'est Diaboliquement délicieux... Hmmmm.... Délicieuse.... Ai je vraiment intérêt a vous faire venir au lieu de vous en privez et rester à ma place favorite, le visage, le nez, les lèvres contre vos Divins atouts? Et cela pour l’Éternité!♪ »

Lyosinda venait d'essayer de prendre un Ton un peu "Comédienne" pour tenter d'agrémenter le plaisir, le désire, l'acte, la scène. Non seulement pour Mélinda, mais aussi pour elle même. Après tout, elle savait elle même en son fort intérieur qu'il ne faisait presque aucun doute qu'elle serait la première à céder et ne plus pouvoir se contrôler et qu'elle finirait par dévorer ce Trésor, comme certains Gourmet dans des Dessins Animé ou Bande dessiné de toute provenance et Culture vis à vis d'un véritable Festin, Banquet des Dieux.

« Bienvenue Sensei.... Hmmmfff... Toujours plus agréable de venir savourer le plus délicieux des Festins à plusieurs... Maitresse sait délicieusement bien s'entourer.... Merci!♪ »

Dit alors l'Elève à la Sensei en la voyant venir la rejoindre à quatre patte pour s'occuper chacune d'un Sexe, les deux ne faisant presque seulement une, ce qui arrivera un jour avec pratique, expérience pour la petite dernière.
Puis c'est alors que tenue en laisse par sa crinière et entendant les mots de l'unique Maitresse Vampire et Déesse que Lyosinda souriait, ravie, heureuse et même.... jouissive d'entendre que sa Maitresse semblait aimer cela.
Dans cette scène, en cet instant, la jalousie, la possessivité de Lyosinda c'était alors éteinte et restait alors seul de l'amour, du désire, du plaisir et de la joie. C'était tellement troublant que cela pourrait avoir un petit accident, comme un train sortant des rails un instant.

« Hmmmfff!♪ ... Pas contre vous Mélinda Sama.... Mais pour vous Maitresse!♪♥ »

Les yeux dressé dans l'ascension du corps et des formes de cette Sublime Vampire, vers le visage pâle rougit. Lyosinda la trouvait irrésistible! L'amour pour elle ne s'en trouvait alors que plus renforcé. Ses lèvres profitant de l'écoulement du Miel et qui sait, de la pré Sève si Ember en laisser échapper.
Mordillant le petit Bouton pour le taquiner, pas faire du mal, mais juste faire ressentir la volonté et le désir. Les lèvres buvant au Calice le Miel qui traverse le drapé tissu intime de la culotte doré.

« Hmmmfff.... Sensei... Maitresse... Est ce mal de me sentir... si.... Comment dire.... Hmmfff... Sale? Perverse? Amoureuse?... Je serai très heureuse peut importe ou ma Déesse désire me marquer de la présence de sa Sève et de son Miel... Que ça soit en moi.... ou sur moi... »

[Mélinda Warren]

Pour Lyosinda, c’était l’heure de vérité, le baptême du feu. Ses errements avaient été pardonnés, et Ember-sensei la sentait toute excitée. Sa Maîtresse, sa professeure… Même si elle avait compris qu’Ember était comme elle une esclave de leur Maîtresse, elle n’en restait pas moins sa professeure, et, dans un pays comme le Japon, la hiérarchie était centrale. Lyosinda était donc sûrement en train de vivre sa meilleure vie, pouvant lécher l’intimité de sa Maîtresse. Son clitoris s’était transformé en une belle verge, alors, pour la stimuler plus fortement, Lylsinda devrait lécher sa queue. Cependant, Ember était déjà sur place. Parfois, elle devait écarter un peu Lyosinda, pour pouvoir sucer profondément la queue de leur Maîtresse. Des gorges profondes qui faisaient délicieusement gémir Mélinda, un ravissement pour les deux esclaves. Lyosinda pouvait ensuite retourner lécher la fleur intime de Mélinda, reniflant sa bonne odeur. Mélinda n’était pas juste qu’une vampire, elle avait aussi été améliorée. Elle avait réalisé un rituel avec une Déesse, Aphrodite, en infusant le sang d’Aphrodite avec le sien. Cela lui avait permis de procréer, mais aussi d’avoir d’autres améliorations. Lyosinda pouvait le sentir, la mouille de sa Maîtresse était particulièrement addictive et aphrodisiaque, exaltant son palais et ses sens. Une véritable osmose sensorielle, de quoi rendre la petite Lyosinda folle !

« Haaaa… C’est bien, mes amours, continuez… Continuez à faire plaisir à votre Maîtresse… »

Les joues pâles de Mélinda qui s’empourpraient, voilà un spectacle qui fascinait toujours Ember ! Elle caressait d’une main les cheveux de Lyosinda, l’encourageant à lécher, à sucer, à avaler cette mouille, qui croissait en elle. Le clou final ne tarda pas à venir. Lyosinda apprendrait à le reconnaître. Les yeux de Mélinda se voilèrent légèrement, et elle soupira encore, avant de crisper ses mains sur les accoudoirs du fauteuil d’Ember. Ses griffes entaillèrent légèrement le cuir, et son corps partit en avant.

« Hmmm… !! »

Dans un grand soupir, Mélinda orgasma. Un bel orgasme. Sa main se déplaça pour attraper les cheveux d’Ember, et pour maintenir son visage en place. Un luxe inutile, car Ember n’aurait jamais refusé un tel cadeau, mais sentir la main de sa Maîtresse sur sa tête était après tout très excitant. Elle sentit donc sa Maîtresse jouir, et des vagues de sperme affluèrent dans sa bouche. Lyosinda put aussi sentir la cyprine de sa Maîtresse s’accroître, barbouillant son visage. La vampire jouit ainsi pendant de longues secondes, avant de se calmer.

La bouche pleine, Ember se retourna alors vers Lyosinda, et tourna son visage. Elle s’approcha ensuite de ses lèvres, et ouvrit les siennes en l’embrassant. Le sperme n’était jamais un liquide qu’on aimait boire, mais celui de Mélinda était un nectar divin que Ember se devait de partager avec Lyosinda…

[Lyosinda]

Le Feu avait déjà bien pris en ce qui concernait Lyosinda. Toute cette Scène Diaboliquement Erotique, ses mots qui font bouillanter les pensées de plus en plus non refoulé. Elle ne pensait pas de manière "raisonnable".
L'Emprise de Mélinda commençait à naitre et sortir de l'Ombre de l'envoutement entamé par Ember-Sensei. Même si le fonctionnement du nouveau Chapitre de sa vie commençait à être lisible, en cet instant précis, son Esprit n'avait rien d'autre que Mélinda-Sama en tête.
Vivant son Paradis, à genoux, en tenue plus que sans équivoque et surtout le visage niché contre le Saint Trésor Divin de la Vampire.

Au début, la jeune Cadette du Trio agissait un peu de manière hasardeuse, elle gesticulait contre une cuisse de Mélinda, même l'intérieur de cette cuisse. Mais aussi contre sa Sensei qui était à hauteur d'une marche au dessus pour s'occuper du Sceptre Divin de la Vampire.
Lyosinda, elle, avec son visage fouineur, aventureux, explorateur, aller à la recherche du Calice pour y découvrir le Paradis sombre et érotique que lui offrait la Déesse Vampirique.

Le petit "jeu" entre Ember et Lyosinda pour avoir un peu une meilleure place, non pas par jalousie ou possession, mais plus par désir d'avoir un meilleur Angle pour profiter de leurs Gourmandise respective.

Que ça soit Ember, avec la Gorge bien occupé, envahie par le Sceptre envahissant de la Vampire peut être même légèrement moulé et déformé par la présence ou autre chose en fonction de magie, de tour, de mutation ou aller savoir quoi... Tendis que Lyosinda qui semble chercher un peu comme une chienne a grand coup de langue maladroit à capter chaque goute, chaque mouvement de la Fleure intime et de sa sève.
Une Sève intime et Féminine qui déjà rien que naturellement aurait un effet sur Lyosinda de par le faite d'être un Calice Féminin, humanoïde ou non, mais avec les atouts, les dons, les capacité de la Vampire c'était encore plus addictif, plus délicieux, plus aphrodisiaque... plus jouissif...
Même si sur l'instant la question était pas en première ligne, mais maintenant que le premier pas était fait, une vie sans Mélinda était elle possible? Envisageable?...

Sans s'en rendre compte, Lyosinda avait son visage qui s'appuyait, puis embrassait, se fondait même entre les cuisses de Mélinda, appuyant contre l'intimité, sous le Sceptre capté et royalement occupé par l'expertise de la Sensei. La Pointe du nez de l’Étudiante avait même fait une légère entrée entre les Pétales Intime de la Fleure de la Vampire, la respiration chaude, forte, sauvage même de la nouvelle membre devait surement non seulement attiser les sens de la Maitresse, mais aussi noyer de ce parfum intime et exquis les sens encore plus de la Cadette.
Les Mains, une a la lanière de la culotte de Mélinda, l'autre à l'un de ses bas. Alors que son dos, son épaule roulaient contre les formes de la Sensei, peut être créant des sensations involontaire à la seconde femme la plus importante pour l'Elève.

« Hmmppfff… Maitresse.... Je veux... J'espère que je vous fais plaisir... Dites moi que vous.... aimez votre Petite Soumise de Fleure que je suis... Dites lui la vérité... Ma Déesse d'amour! Hmmfff... En tout cas votre esclave que je suis adore... ohhhh hmmfff... votre gout, votre odeur... Je me sens... toute chose... chaude.... brulante même...»

De par sa position, Lyosinda ne voyait pas le visage de Mélinda passer de pure blanc porcelaine, innocent à une teinte plus rose, plus... érotique du au fait au plaisir des deux femme a ses genoux.
Et même si Mélinda avait une main dans les cheveux de sa petite Lyosinda, cette dernière, osait le geste de capturer sa laisse a son collier que lui avait mise sa "Raison d'être", lui replaçant dans la main accompagné de ses cheveux. Cherchant à lui signifier, peut être maladroitement ou pas correctement son attention, son désir, son choix d'être à la Vampire. Essayant par la suite de s'appliquer un peu plus minutieusement à ses Attentions buccales pour effacer sa maladresse et son inexpérience.

Même si elles n'étaient pas lier d'aucune réelle manière que ce soit, tout ce qu'il se passait, ce que Lyosinda vivait depuis la convocation, passant par le déshabillage, les mots, les promesses, les perspectives et surtout.... la Construction de l'Amour avec sa Maitresse et sa vie avaient bien entendu allumé le Volcan naissant au creux des reins, coullant et envahissant dans le reste du corps, gorgeant chaque point des formes erotiques et féminines ... Jusqu'à ce que elle même ait son Volcan crachant sa sève ardente de soumise esclave sur l'un des pieds de Sensei. Tout en buvant, se noyant même dans le Nectar jaillissant de la Vulve de Mélinda.
C'était son Baptême, son entrée dans ce nouveau Monde pour elle, la Cyprine de la Vampire, de Mélinda Sama qui envahissait la bouche, la gorge, et recouvrant une grande partie du visage.

Comme une droguée, le corps de Lyosinda eu alors un mouvement de réflexe quand Ember lui captura le visage pour le tourner vers elle, mais très vite et pas totalement zombifié et abrutie par cela, la Jeunette se reprit et pris une mine d'excuse. Cela dura peut, car bien vite, Ember donna le Tempo en venant l'embrasser et ainsi les deux, Sensei et Elève, purent alors échanger, partager, savourer, se delecter d'un mélange de semence et de cyprine, mais aussi de salive, de baiser avec une visite curieuse de la langue.

« Hmmmfff.... L'amour de Maîtresse… Ce mélange... Partagé avec vous Ember Sensei...»

[Mélinda Warren]

Mélinda les regarda s’embrasser en souriant malicieusement. Oh, comme elles étaient belles, toutes les deux ! Ember se laissait aller, offrant à Lyosinda un baiser intense, sa langue s’enfonçant dans sa bouche, partageant avec elle la semence sacrée de leur divine Maîtresse. C’était savoureux, tout simplement. Mélinda se mit à glousser doucement en les observant encore. C’était comme voir un magnifique spectacle. Les deux femmes s’embrassaient donc, la main d’Ember s’appuyant sur les cheveux de Lyosinda. La belle élève pouvait sentir à quel point sa professeure était passionnée. Elle pouvait naturellement répondre à ce baiser, et comprendre que la soirée était encore loin d’être terminée. Car, tandis qu’elles s’embrassaient, leurs langues remuaient, leurs salives se mélangeant au sperme. Lyosinda n’était sans doute pas encore très habituée à ce goût, mais elle aurait l’occasion d’y boire encore.

Une fois le baiser terminé, Lyosinda était un peu dans le vague, et visiblement surchargée d’amour. Mélinda gloussa encore un peu, et se redressa.

« Tu veux la vérité, ma petite chérie ? La vérité, c’est que je comptais aller au manoir, mais… Tu m’excites tellement qu’on va rester ici encore un peu. »

Ember croisa le regard de leur Maîtresse. Sa lueur amusée était claire, elle comptait s’amuser. La vampire portait toujours ses sous-vêtements finement brodés et dorés. Ember se redressa, et les deux femmes conduisirent Lyosinda jusqu’à sa table.

« Demain, quand tu seras à nouveau ici, à noter tes cours, à poser tes affaires sur cette table, décréta Mélinda en caressant la table en bois, je veux que ton cerveau pense à tout ce qu’on va faire cette nuit sur cette table, et sur cette chaise. »

Mélinda ordonna ensuite à Lyosinda de se coucher sur le ventre. Elle s’étala ainsi, et put voir sa Maîtresse à hauteur de son visage. Lyosinda constata ainsi que la verge de sa Maîtresse s’était rétractée. Ember, de son côté, écarta les jambes de la jeune femme, et commença à lécher le sexe de la jeune femme, à travers sa culotte. Un léger sourire orna les lèvres de Mélinda, qui se mordilla les lèvres ensuite.

« Tu veux lécher, petite catin ? Alors, tu vas lécher ! »

Et, suivant le geste à la parole, Mélinda alla s’asseoir sur le visage de Lyosinda…

[Lyosinda]

« tcchhhhh, hmmfff, je crois que notre Maitresse d'amour nous regarde, faut pas faire de bruit, son acuité est basé sur le mouvement... Hi hi hi hi... En tout cas Ember-Sensei, vous embrassez délicieusement bien... J'espère que vous appréciez quand même l'inexpérience de votre Elève? »

Disait alors Lyosinda, presque dans une imitation de chuchotement pour pas se cacher réellement de Mélinda, mais quand même faire un peu du pseudo petite scène de fausse cachoterie.
Lyosinda était comme au Paradis, mais réellement et ce n'était pas juste du plaisir charnel, le coeur lui aussi, tout comme l'âme étaient synchronisé et en accore que ce moment était magnifique.
Entre l'échange de baiser, sa petite langue serpentait sauvagement autour de celle de Ember, pleine de bonne volonté, de désir, de plaisir. Elle apprenait en même temps à connaitre et se familiarisé avec ce gout ou plutôt ces gouts! car il y avaiit la salive d'Ember-sensei, la semence viril de la Vampire et le plus succulent Miel Divin. Au début étrangement un peu amer, mais bien vite, ça passait et avec la scène, l'instant présent, elle passait outre cela. Elle commençait même à ressentir une certaine pointe naissante en elle un certain délice a savourer.

Se sentant Groggy, après le baiser, sous le regard de Mélinda et de Ember, Lyosinda semblait un peu "ailleurs" si on pouvait dire cela, comme si son âme flottait sur un petit nuage hors du corps, hors du monde. Les cheveux en bataille suite aux caresses et l'emprise des mains sur sa crinière, ses joues empourpraient, ses lèvres comme sa poitrine qui se mouvaient sous la respiration forte, chaude et surtout un signe, que l'Elève avaient aussi eu un Orgasme silencieusement Mute par le baiser de la Sensei et que la pauvre Lingerie volée était bien imbibé maintenant de toutes les preuves possible pour que cela ne fasse aucun doute.

« Ou que vous voulez... Tant que vous êtes auprès de votre Famille Maitresse, je... nous ne pouvons que bien nous sentir et être comme à la Maison... Votre petite Fleure que je suis est heureuse de savoir que je vous plait et que vous avez du plaisir grâce a moi...»

Avait répondu la petite Lyos', avec un mélange d'hypnotisé, Groggy, encore sur son nuage flottant.

Au départ, par reflexe, quand elle se sentit agripper, elle se débâtait légèrement, plus par crainte automatique et instinct fraichement construit qu'on voulait la sortir de cette "Bulle", de ce Monde d'amour, de plaisir de sa Maitresse Divine et Vampire et de la Famille construite sous forme de Culte, Harem, Vénération. Mais reconnaissant le parfum, les effluves des femmes, elle s'apaisait et se laissait redresser, guidé, transporté jusqu'à sa table de classe. Toute façon, face a la Vampire, elle n'aurait pu rivaliser par la force...

Soumise, elle était la marionnette entre les mains de ses Femmes, de Lady Warren... Mais, c'est ce qu'elle voulait avec la bonne personne et c'était cette Vampire qui avait su trouver la Plume avec laquel écrire la nouvelle vie de Lyosinda, esclave, Fleure, dévot, et servante de Dame Warren.

« Oh!! Maitresse!! J'ai peur que mes notes, mes cours soient trop impacté si je.... et puis zut... »

Elle ne terminait pas sa phrase, en cet instant, sa part obscure qui dominait son être en avait rien à faire de ses notes. Il n'y avait que sa Maitresse qui comptait. Tenant la laisse et le collier autour de son cou, elle venait alors prendre place, allongé en travers du bureau, sur le ventre, avec la Poitrine écrasé contre le bois aux travers du Boddy volé.
Observant par la suite la première chose sous ses yeux et c'était son Amour de Déesse. Voyant alors le Sceptre Divin se rétracter, s'eclipser sous le tissu de la culotte brodé doré. Lyosinda se remit à sentir la pression, le désir de vouloir remettre son visage, ses lèvres, sa langue contre cette forme de Jardin Intime et Divin.

Alors qu'elle s'apprêtait à commencer à venir nicher son visage contre les formes féminines et vaginales de sa Déesse, tout en caressant de ses mains les cuisses, les hanches, même les fesses qu'elle pouvait explorer peut être librement. Offrant une démarche aventureuse et massant, coquine et gourmande. Elle sentait en même temps la fourche de ses cuisses s'ouvrir par deux mains adultes, douces, chaudes. Lyosinda commençait à comprendre et à maitriser un peu ses "automatisme" et avait réussi a un peu bridé ses réflexe. Sachant qu'elles étaient que trois ici, elle, Ember-Sensei, Mélinda-sama et elle commençait à comprendre qu'elle n'avait rien à craindre avec elle, enfin elle, plutôt son corps et ses réflexes, son âme était déjà au delà de cet étape.

Ember-sensei, de ses lèvres, de sa langue, que ça soit par dessus le bas du Body ou après l'avoir écarté légèrement pour accéder directement aux pétales de la fleure intime, baillante, baveuse de miel, comme un appel à l'amour. Le parfum intime, fruité, sucré, pure et innocent.
Lyosinda elle, obéissante, appuyant alors son visage, son nez contre le petit bourgeon féminin de la Vampire, comme une chienne le ferait. Les lèvres moullant, massant les formes des pétales intimes. Alors que la Langue appuyait le dessin de ce magnifique Tableau pour chercher le plaisir de la Maitresse, quitte a essayer d'envahir l'entrée et peut être aller plus loin si Mélinda la laissait faire...

[Mélinda Warren]

Mélinda allait prendre son temps, tout simplement. C’était sa force, son talent, elle ne se précipitait pas. Elle savait s’adapter, elle savait comment rebondir, elle était souple. Une souplesse qui lui permettait de moduler son traitement en fonction des attentes de ses esclaves, de leurs désirs, et de la manière dont elles fonctionnaient. Avec Lyosinda, elle sentait une véritable dévotion, dont la rapidité interpellait. Qu’est-ce que tout cela dissimulait ? Elle sentait les lignes de fracture chez Lyosinda. De l’adulation à la haine, il n’y avait souvent qu’un pas à franchir. Mélinda devait faire attention à ça. Elle jouait avec le sentiment le plus fort qui soit, le plus instable, le plus explosif : l’amour. Et elle couplait le phénomène amoureux au second sentiment le plus passionnel qui soit, celui de la foi, de la vénération, de l’adulation.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le plus dur n’était pas en soi d’asservir une personne. Les êtres humains n’étaient pas fabriqués et pensés pour être vraiment libres. La liberté, ils ne pouvaient la concevoir que sous le carcan de l’obéissance. C’était l’un de ces paradoxes propres à l’être humain, que Charles Péguy avait illustré à travers cet axiome : « L’ordre, et l’ordre seul, fait en définitive la liberté. Le désordre fait la servitude ». Mélinda était l’incarnation d’un ordre absolu, une autorité suprême qui offrait à ceux qui la suivaient tous ce qu’ils voulaient. Renoncer à la liberté, c’était finalement ce que tout être humain apprenait dès l’enfance. Aller à l’école, faire ses devoirs, puis aller au travail, payer ses dettes, ses factures… La liberté en tant que telle était une illusion, il fallait obéir. Ou, plutôt, la seule liberté était de choisir son meilleur asservissement. Et quoi de mieux que de choisir Mélinda Warren ? La liberté absolue, c’était la condamnation à la solitude, une vie sans intérêt, sans attache. L’ironie de la chose, c’était que Mélinda avait elle aussi ses propres fractures, ses traumatismes d’enfance. Une mère qui était morte en la mettant au monde, un père qui l’avait toujours détesté… Des carences affectives qui faisaient que, à travers ses esclaves, Mélinda se constituait une famille de substitution, aimante et dévouée, mais sur laquelle elle se devait d’exercer un contrôle presque obsessionnel, tant elle avait peur de retrouver sa solitude, sa souffrance, ce désespoir d’enfance qui, même des siècles après, continuait à la dicter inconsciemment.

Sous elle, Lyosinda léchait. La petite fleur était encore très confuse, comprenant peu à peu ce qui se passait, goûtant à une vie nouvelle, pleinement épanouie.

« Hmmm… Tu ne seras plus jamais seule, Lyosinda-chan. Tu fais désormais partie d’une grande communauté aimante, où tu n’auras jamais à cacher tes fantasmes, haaa… Car mon culte repose avant tout sur l’amour, ma chérie… Alors, lèche-moi, montre-moi combien tu m’aimes… »

Si Lyosinda souhaitait écarter la culotte dorée pour s’attaquer au sexe de Mélinda, celle-ci n’allait pas faire de difficultés. Elle se pencha finalement en avant, et rejoignit Ember, pour lécher à son tour la culotte de Lyosinda, titillant son sexe à travers sa lingerie rose.

« Notre charmante fleur mouille comme la dernière des catins, Maîtresse, hihi…
- Hmmm… Tu sens bon, ma chérie, tu es vraiment une très agréable fleur ! »

[Lyosinda]

« Hmmm… La Fleure que je suis ne peut être aussi merveilleuse et resplendissante sans tout l'amour de celle qui la cultive Maitresse Mélinda-Sama.»

Vient t elle alors répondre, à demi voix, toujours niché la tête entre les cuisses Gardiennes du Sacro Saint Temple du plaisir, de l'amour qui laisse écouler le Divin Nectar du Calice. L’Élève jouant avec la pièce de tissu doré, la culotte du bout des doigts pour tantôt venir avec le pinceau de sa langue peindre à même la toile de l'intimité de la Vampire. Faisant rouller, jouer sa langue autour des formes, des plis, recoin sans pour autant aller plus loin que la porte d'entrée du Paradis. Parfois, remettant le tissu pour faire de même et bien l'imbibé du Miel de la Déesse aux Dents pointu.

« OooohhhhHmmm… Maitresse… Sensei… Vos caresses, vos souffles, vos Langues,... Je ne vais pas.... Hmmm... Oui je Mouille Ember-Sensei... Car j'aime ce que l'on fait... j'aime ma nouvelle vie... et encore plus... J'aime ma Maitresse et les âmes qui l'entourent...»

Pour Lyosinda, c'était compliqué de résister, de tenir bon, son Endurance n'était pas entrainé, augmenté, travaillé pour tenir guère plus longtemps que cette fois ci. Ainsi, aux travers de "sa" Lingerie rose, l'expertise de non pas une, mais deux femmes dont la Vampire Dominante, la Fleure fraichement éclot offrira alors une pluie de son miel intime et féminin qui viendra alors transpirer hors du tissu la couvrant pour abreuver les lèvres Aventureuses et Gourmandes de ses Invitées, entre ses cuisses, qui seront serré par les cuisses qui dans l'élan des spasmes électrique de ses plaisirs, de son orgasme.
Ses doigts se refermant, un peu de manière crochu, contre les rebords de la culotte de Mélinda, le nez enfoncé aux travers du sous vêtement pour être en partie enfouie et respirer sauvagement, violemment, chaudement entre les plie des pétales intime.

La Vampire, que ça soit de part son état premier de créature de la nuit, ou par sa magie ou encore ses dons divins, pouvaient sentir que durant cet orgasme, l'afflux sanguin voyageait bien plus fort, rapidement dans les veines, les artères de sa nouvelle "Fleure". Au dela même de la norme classique humaine. Peut être un effet normal, désiré de part l'effet qu'elle avait sur Lyosinda?

Peut importait le temps, Lyosinda était sur son "petit nuage" a cet instant. Encore sous l'effet de l'orgasme foudroyant que ses "jeux solo" ne lui ont jamais procuré. Même si les muscles étaient vidé de force, une légère brume de pensée l'habitait et semblait lui rappelait que sa Maitresse, elle, n'avait pas encore jouis et qu'il fallait se dépasser pour continuer à chercher à lui offrir cette finalité.
Ainsi, lentement, mais surement, comme l'Océan grignote inexorablement la Falaise en bord de Mer, elle tentait de passer un cran au dessus et alors d'écarter, de faire même glisser le tissu qu'elle espère gagner, garder, pour alors venir profiter sans rempart de l'intimité de sa Déesse. Ajoutant même ses doigts escavateurs qui iront miner un passage par delà les lèvres a l'entrée pour chercher des zones sensibles et oeuvrer a son devoir d'amour.

Ayant malgré tout aussi une pensée pour sa Sensei, qu'elle voulait aussi un autre moment, offrir le juste retour d'amour et de plaisir reçu...