Entre Uatis et Auris, on trouve ici des États qui sont encore indépendants, ou des terres à l'état sauvage...

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Bhouta
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Oh, cette petite Marisa était réellement un cadeau divin ! Quelle perverse ! Bhouta n’aurait jamais cru trouver une telle perle ici. Comme quoi, le hasard faisait bien les choses ! Sa solide verge s’enfonçait dans la chatte de la jeune femme, qui en redemandait encore. Il ricana doucement, tout en continuant à la prendre, son corps massif et ventripotent se dressant au beau milieu du lit. Sa verge s’enfonçait avec force dans sa chatte, se perdant profondément en elle. Elle filait d’avant en arrière, et l’homme-porc soufflait et grognait, sa main caressant les cheveux de Marisa. Il tirait dessus, redressant son visage, grognant encore contre elle. Bhouta se laissait aller. Quand Marisa feignait de basculer en avant, sa solide main attrapait ses cheveux, les tirant en arrière, ce qui avait pour effet de la redresser. Et, grognant et soufflant encore, l’homme-porc poursuivait son office, s’enfonçant dans la chatte de Marisa, faisant claquer ses bourses contre elle.

« Hmmmm… Gnnnnn… Haaaaa… »

Gémissant à son tour, de sa délicieuse petite voix fluette, Marisa en réclama davantage, elle demanda à « Monsieur Bhouta » de s’immiscer dans son petit chaudron. Bhouta sourit, et la vit se pencher en avant, glissant ses mains pour écarter ses fesses, la tête de Marisa s’enfonçant dans la couverture du lit. Le message était finalement très clair, et Bhouta grogna lentement. Il humidifia son pouce, et palpa les fesses de la jeune femme.

« G-Gourgandine, hmmm… Ma grosse queue ne te suffit pas, hein ? Tu veux que je te baise jusqu’à ce que tu en oublies comment tu t’appelles ?! »

Pour lui proposer spontanément ses fesses, il fallait que la Fleur des Champs n’ait pas froid aux yeux, qu’elle soit téméraire, et assurément endurante. Et ça, ça ne pouvait que lui plaire ! Bhouta enfonça ainsi son pouce dans le petit cul de Marisa, et continua à grogner contre elle. Il remua son pouce, décrivant des cercles avec, lubrifiant et préparant la zone. Bhouta avait toujours sa verge nichée en elle, baignant dans la mouille de la jeune femme. Il sentit les parois intimes de la jeune Fleur se contracter au contact de sa queue, ce qui ne put que le faire ricaner.

« Hihi, on dirait vraiment que tu es une grosse sodomite, au fond ! Pour être honnête avec toi, j’adore aussi défoncer des culs… »

Bhouta retira sa main. Il n’était pas qu’un simple fermier, Bhouta était aussi un dévot de la Déesse Moccus. Il généra avec un sort de magie rose une téléportation, et, dans le creux de sa main, un vibromasseur rose arriva. À l’extrémité, il y avait un socle rose avec une tête de cochon. Il glissa l’objet dans le fondement de la jeune femme, l’enfonçant jusqu’à la garde. L’objet se positionna ensuite, et se mit à vibrer dans le cul de Marisa.

Bhouta retourna ensuite Marisa. Il la coucha sur le dos, et attrapa ses jambes entre les mains. Celles-ci étaient en l’air, les mains de Bhouta s’agrippant à ses chevilles. Il donna des coups de reins encore plus forts, car le bassin de Marisa rebondissait contre son ventre monstrueux. Elle filait sur la couverture humide, trempée par sa sueur, et Bhouta ricanait en la besognant ainsi, donnant des coups de reins particulièrement forts, sa queue glissant presque hors du corps de Marisa, avant qu’il n’inspire, rentrant son ventre, ramenant Marisa sur sa queue, puis la refaisant ensuite partir.

« Quand je t’aurai pris sur le devant… C’est ton cul que je vais éclater, ma belle petite salope… Rrrrooonn… !! »
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Marisa Teritt
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Demande de RP
Marisa libéra un hoquet de surprise. Non content d'occuper son intimité, le Buta s'en prenait désormais à son second orifice ! Elle sentit son gros pouce dodu étirer son sphincter, qui se contracta presque autant que son vagin trempé.
Afin de ne pas s'abandonner trop vite à ce plaisir brut, la rouquine cessa de se frotter la vulve, ramenant sa main moite à hauteur de son visage rouge. Elle eut bien raison de récupérer ce précieux appui, car il l'empêcha de s'affaisser lourdement sur le lit lorsque Bhouta eut troqué son doigt contre un vibromasseur plus imposant encore !

- Ouhrl !... C-c'est très gros ! Aaagghnnn...

Elle avait fait la grimace tout du long. L'insertion n'avait déjà pas été facile que cela n'avait pas empêché le grand cochon de lui enfoncer l'objet aussi profondément que possible ! Il s'y encastra et, une fois bien logé, se mit à vibrer.
La fine délimitation de chair entre le pénis du profanateur et son invocation obscène fut dès lors mise à rude épreuve !
Mais Bhouta avait percé la fermière à jour : elle aimait vraiment ce qu'il était en train de lui faire subir.

- M-mon... petit trou... Vous me... Hmmnnaaah ?!

Il la fit se retourner. Bhouta croisa son regard enfiévré. Cela l'embarrassa un peu qu'il la voit ainsi, alors qu'un mince filet de salive était en train de s'écouler de la commissure de ses lèvres. Doux barrage qu'elle ouvrit plus grand encore lorsque son animal de compagnon redoubla dans l'effort pour la faire grimper aux rideaux !

- Hiikh ! Haan !! Uhnn ! Ahn !!

Il était question d'une baise sauvage. Bhouta ne s'arrêtait pas de la prendre ! Il possédait un excellent cardio, malgré son énorme panse contre laquelle rebondissait le bassin brûlant de la fermière. Entre le sextoy logé entre ses fesses et cette trique en perpétuel mouvement dans son ventre, la rousse était gâtée. En appliquant cette stratégie agressive, le Buta arrivait à la mettre dans tous ses états. Il lui promit qu'une fois qu'il aurait obtenu satisfaction avec son antre, il prendrait la place de ce jouet prisonnier de son fondement. L'objet n'avait pas cessé de vibrer depuis son insertion, ajoutant toujours plus de mouille entre les cuisses de la fermière.
Dans ces conditions, rien d'étonnant à ce que monsieur Bhouta puisse glisser en elle avec pareille aisance !
Avec tout de même quelques difficultés, l'intéressée parvint à lui glisser un demi sourire.

- ...Grand fou ♥

Une seule main la rattachait à ses draps trempés de sueur. L'autre s'était posée dans sa région pubienne, en dessus de laquelle le gros gland du porc violentait son col. Un empalement répété et rythmé qui lui soutirait quantité de soupirs lubriques. Les petits seins de la jeune femme roulaient sur son buste arqué. Ses tétons étaient complètement ressortis.

- E-embrassez-moi~

La belle se voulait audacieuse. Elle n'avait pas peur de se faire écraser !
Mais Bhouta perçut-il cet éclat flamboyant dans ses yeux normalement bleus ?
La demi-pyrône était si excitée par leurs ébats qu'une partie de son pouvoir héréditaire menaçait de jaillir à tout moment !
Ses cheveux roux avaient commencé à doucement serpenter autour de sa tête. Il y avait aussi cette chaleur qui régnait dans cette chambre. Un climat presque exotique ! Lourd, pesant, propice à l'épuisement...
Une température qui ne dépaysait pas Marisa Teritt.
Avait-elle conscience du risque d'incendie ?
Avec cette expression de cochonne placardée sur son visage poupin, elle n'en donnait absolument pas l'air.
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Bhouta
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Demande de RP
Il la vit rougir quand il la retourna. Bhouta en sourit doucement, excité par la situation. Était-elle gênée qu’il la voit ainsi ? Se pourrait-il que cette fermière soit finalement plus pudique que ce qu’il aurait pensé ? L’idée amusa Bhouta, qui reprit ses coups de reins en se penchant vers elle.

« Tu es encore plus belle quand tu rougis, Marisa, hmmm… »

Il n’était pas sûr qu’elle soit une humaine pure jus, elle avait de grandes oreilles pointues comme les elfes. Bhouta était curieux d’en savoir plus sur elle, mais, pour l’heure, il se contentait de la bourrer, et il le faisait avec un plaisir immense. Il put soulever l’une de ses jambes, gagnant ainsi un peu plus de place. Marisa se retrouva ainsi à moitié sur le flanc, tandis que Bhouta, imperturbable, continuait à la besogner. Il grognait et soupirait, soufflant contre elle, et vit les cheveux roux de Marisa prendre une teinte plus dorée, tandis qu’elle haletait. Sa main se resserra sur sa jambe, et il déplaça l’autre, pour caresser l’un de ses seins, qu’il empoigna et malaxa, coinçant le téton entre deux de ses gros doigts boudinés. Malgré sa masse impressionnante, Bhouta faisait preuve d’une étonnante expertise, et d’une endurance exceptionnelle. Oh, il savait y faire, ce diable de cochon ! Un porc très énergique, tandis que Marisa filait d’avant en arrière, en sueur, une lueur de démence dans les yeux. Elle aimait ça, oh oui, elle aimait ça ! Elle l’aimait même tellement qu’elle en perdait peu à peu la raison, pour le plus grand plaisir de son amant.

Quand elle demanda qu’il l’embrasse, Bhouta relâcha la jambe de Marisa. Il se pencha ensuite contre elle. Le lit craqua tandis que le corps massif de Bhouta s’aplatit sur Marisa. Elle put sentir les dizaines et des dizaines de kilos de Bhouta s’abattre sur elle avec force. Son groin glissa sur le visage de Marisa, et il l’embrassa ensuite, une main sur sa nuque, l’autre glissant contre ses fesses. Il l’embrassa tendrement, énergiquement, enfonçant sa langue dans sa bouche.

« Hmmm… »

Bhouta la redressa alors. Il la tint entre ses bras, et la plaqua contre le plus proche mur, faisant trembler la maison, son corps s’écrasant sur elle.

« Tu aimes ça, hein, petite cochonne ? Quand je t’écrase… Sous tout mon amour, hmmm… »

Il donna encore des coups de reins contre elle, la plaquant à chaque fois contre le mur de sa chambre, puis retourna sur le lit, faisant grincer ce dernier. Mieux valait que le lit soit solide, ou les lattes du sommier allaient se rompre ! Le gode dans le fondement de Marisa tenait encore bon, mais Bhouta devait parfois le renfoncer avec sa main ; il appuyait alors dessus avec ses doigts pour l’enfoncer en elle, arrachant à Marisa de nouveaux cris.

« Je vais te remplir, ma salope… Que ton ventre devienne le réceptacle… De tout l’amour de Bhouta !! »

Sa queue tressauta alors dans cette chatte trempée, et il se mit à jouir compulsivement, venant la remplir avec force…
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Marisa Teritt
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Elle était devenue son jouet. Sa poupée de chair brûlante qu'il s'amusait à retourner pour mieux la pénétrer. Marisa salivait. Sa jambe haut levée facilitait le passage de son gros amant, qui attaquait son corps à d'autres endroits en même temps. La Fleur des Champs n'avait clairement pas affaire à un amateur. Cette montagne de graisse et de muscles était sans contexte un baiseur expérimenté, tout à fait capable de la faire suer, elle, la petite prostituée par intérim. Sans sa propre expérience dans le milieu, Marisa Territ aurait eu vite fait de rendre les armes sous le coup de l'épuisement et de la folie sexuelle.
Mais elle était une dure à cuire !
La jeune fermière et l'énorme porc partageaient un point commun qui les rendait tous les deux heureux.
En l'embrassant, Bhouta faisait peser ses kilos en trop sur sa mince silhouette encastrée sur sa verge chaude. Pyra poussa un gémissement étouffé pour ces deux raisons. Sa demande folle et douloureuse ne l'empêcha point de répondre au baiser, et même de promener sa petite langue baveuse sur le groin sensible du vigoureux Buta.

- Aaaaah-... Aoutch ! ♥

Entre ses fesses, le godemichet faisait toujours son petit effet. Marisa tremblait et grimaçait à chaque fois que son amant le lui remboitait. Aucun autre homme avant lui n'avait eu le culot de jouer ainsi avec son fondement. C'était plutôt douloureux, mais pas désagréable pour autant. Marisa s'acclimatait assez vite. Probablement grâce à sa nature de demi-pyrône et au mandrin logé dans son vag-

- Outch ! Haaaaaannn !! ♥

Encore une fois, Bhouta avait modifié sa prise. Le dos de Marisa avait percuté le mur. Pliée comme un ressort, elle se faisait besogner en profondeur contre ladite paroi. La rouquine avait les cuisses grandes ouvertes. Elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même pour avoir invité pareil monstre à pénétrer dans sa chambre... et à la pénétrer tout court, d'ailleurs.
Alors qu'elle s'était cramponnée au cou du cochon, son petit ventre accusait le choc. Ou plutôt les chocs, en se déformant selon la grosse courbe qui se dessinait en son sein.

- Oui ! Ouiii !!! Vous êtes si fort, M'sieur Bhouta ! Si... Si... Hnnuuuuh~... si bon ♥

L'étage entier paraissait protester. Marisa s'en fichait de risquer d'atterrir au rez-de-chaussée. Elle n'arrêterait ce pilonnage pour rien au monde !
Ce fut donc Bhouta qui sauva les meubles (façon de parler!) en les faisant réintégrer le lit souillé par leur sueur.
Le jouet obscène descendit encore. La fermière se mordit les lèvres avant de libérer d'adorables petits cris féminins lorsque le Buta le repoussa dans son antre ténébreuse. Alors qu'il continuait à la prendre sur les draps avec énergie, les cheveux de la jolie rousse s'étaient mis à remuer de plus belle.

- HOoo ! Ou-iiiih ! Fai-faites de moi... Uhnmmm... Votre porcinette~

Dans son extase, Marisa ne brûla pas sa chambre. Son feu était concentré à l'intérieur. Autour de sa matrice, que Bhouta aspergeait à trop gros jets pour que rien n'en puisse sortir ! Son "amour" intense repeignit d'abord l'intégralité de sa chambre de vie, avant d'inonder son couloir et d'éclabousser ses testicules roses qu'elle avait mordillés tout à l'heure.
Un juste retour des choses pour la Fleur des Champs qui se vida par petits jets alors que son ventre, au contraire, gagnait en volume.

- Bourkh !

Elle accusa un haut-le-coeur au beau milieu des spasmes de plaisir. Cambrée au possible, Marisa tendit le cou, ferma ses yeux larmoyants et porta une main pudique à sa bouche trop bruyante.
Bhouta n'avait pas menti en disant qu'il allait la remplir ! Le bougre l'avait si bien travaillée que son accessoire phallique était rapidement ressorti. Le godemichet reposait sur les draps trempés et odorants. Entre les jambes du géant rose. Non loin de l'anus dilaté de la Fleur butinée.
Celle-ci respirait fort, sa petite poitrine luisante se gonflant et se dégonflant comme après un marathon. L'air conquise, elle contemplait vaguement le plafond sous lequel le Buta avait fait des ravages. Il lui fallut tout de même un peu de temps pour s'en remettre. Pour que sa vulve dégoulinante de semence cesse d'en vomir - et encore ! -, et qu'elle récupère ses repères.
En se servant de sa main pour s'essuyer la bouche, Marisa déglutit aussi discrètement que possible. Autrement dit : pas du tout, en ces éprouvantes circonstances.
Un sourire se dessina sur ses lèvres inlassablement humides.

- Il vous reste... encore un peu de lait ?~

Une lueur lubrique éclairait son regard de gourgandine.
Marisa, malgré son état, osa alors utiliser son pouvoir télékinétique sur le grand cochon. Celui-ci se sentit repoussé en arrière par une force invisible. Cette énergie ne le fit néanmoins pas choir du lit - très robuste, au vu de ce qu'il a encaissé ! -, mais de toute façon ce n'était pas là l'objectif de la fermière. Elle put donc se retourner en toute sérénité, provisoirement hors de portée de ses gros doigts boudinés.

- Aoufh... J'ai réussi ! poussa-t-elle, son visage en sueur et ses cheveux emmêlés.

Vaillant minois que la belle tourna à demi vers le Buta interloqué.
La Fleur des Champs avait descendu ses deux mains de chaque côté de ses fesses imprégnées de foutre. Son anus s'ouvrait comme la bouche d'un poisson. C'était une nouvelle invitation à la débauche.

- Vous êtes encore... hh... assez en forme pour... viser juste ? ♥

N'avait-il pas prévu de lui "éclater son cul de belle petite salope" ?
Marisa n'avait pas peur qu'il l'élargisse à jamais. Elle était prête à braver le danger et-

- Oh, nom d'une catin vermoulue ! Elle a recommencé pendant que j'avais le dos tourné ?! gueula une voix derrière la porte.

Voix que Marisa connaissait très bien. Porte familière qui s'ouvrit à la volée... sur une Actaïa enragée !

Image

De l'eau jaillit de ses mains écartées, percutant le dos du rustre porcin. Bhouta se découvrit presque aussi trempé que l'étaient les cuisses de Marisa. Avec la chaleur en moins, puisque le liquide froid l'avait refroidi, lui...

- Je vous somme d'arrêter TOUT DE SUITE les frais et de M'EXPLIQUER.... ce qu'IL se PASSE... ICI !!!

D'un geste accusateur, la Fille de l'Eau exhiba la culotte de son amie qu'elle avait récupéré sur la poignée de la porte.

- MARISA ! Je t'ai déjà explique CENT FOIS, pour ton PROPRE BIEN, que tu ne dois PAS T'OFFRIR à n'importe QUI ! Tu ne peux décemment pas-

Elle s'interrompit, fit quelques pas dans la pièce, s'inclina de côté et, les yeux ronds comme des soucoupes, lâcha :

- Mais... c'est du sperme, tout ça ?!

Même Aqua n'en revenait pas. Elle affichait un visage d'écœurement.
Cela eut au moins le mérite de faire glousser Marisa, qui au départ n'avait pas pipé mot en raison de cette intervention surprise.

- Faux, souffla-t-elle en remuant doucement les fesses. C'est du bon lait de M'sieur Bhouta ♥
Modifié en dernier par Marisa Teritt le 10 juil. 2025 11:52, modifié 3 fois.
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Bhouta
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Demande de RP
Faites l’amour, pas la guerre ! Voilà bien un dicton que Bhouta appliquait en toutes circonstances. Lui qui explorait les mondes parallèles avait vu que le Multivers se composait de constances et de variantes. Et une constance universelle qu’il retrouvait dans chaque univers, sous des formes diverses ou variées, était le sexe ! Et, dans ce domaine, Bhouta n’avait pas à rougir de ses performances. Il fallait le voir à l’œuvre, et voir concrètement comment Marisa réagissait très favorablement à tout ce qu’elle subissait. L’amour du Bhouta, elle se le prenait de plein fouet ! Bhouta avait généreusement joui en elle, un orgasme si fort que Marisa en eut provisoirement un petit bidon à son ventre. Celui-ci s’était arrondi en recevant tout ce sperme ! Bhouta soupirait lentement, en sueur, tout en constatant que Marisa n’en avait pas encore assez.

*Nom d’un cochon, quelle endurance ! Mon petit Bhouta, celle-là, elle est aussi affamée que la fille d’Aphrodite, tu as intérêt à gérer, je ne compte pas laisser des gourgandines m’épuiser si facilement, foi de cochon !*

Il était « Monsieur Bibendum », c’était lui qui faisait grimper les femmes aux rideaux avec son énorme ventre ! Il sentit alors une force irrésistible le pousser en arrière, et Bhouta finit sur le rebord du lit, tombant sur les fesses. Le haut du lit se souleva brièvement, avant de retomber. Ce ne serait pas le premier lit humain que Bhouta briserait, les humains faisaient des lits peu résistants ! Il avait fait trembler les murs de la ferme en baisant Marisa dans la chambre, la plaquant contre le mur, avant de la ramener sur le lit. Il constata que Marisa n’était de toute évidence pas qu’une simple fermière, et elle se positionna en lui mettant ses fesses sous le nez. Le sperme s’écoulait de sa chatte, et elle invitait clairement Bhouta à passer par là.

La verge du cochon durcit, et il sentit son corps reprendre le contrôle. Bhouta soupira en approchant son groin, et le fourra contre le postérieur de Marisa, reniflant son odeur interne. Cela pouvait sembler dégoûtant, mais il ne fallait pas oublier que l’odorat d’un cochon était particulièrement sensible et développé. Il s e mit ensuite à genoux, et se releva… Quand la porte s’ouvrit brusquement !

Bhouta écarquilla les yeux en voyant une jeune femme à la peau basanée entrer. Un jet d’eau glacée jaillit sur son dos, et le porc couina.

« SKKKKOUIIIKK !! »

Il se retourna donc, tandis que la jeune femme lui ordonnait d’arrêter.

*Par toutes les truffes, mais c’est une ferme de magiciennes !*

La nouvelle arrivante hurla, avant que Marisa ne lui dise que tout ce sperme était le « bon lait de M’sieur Bhouta ». Bhouta réagit alors. Il attrapa le corps de Marisa.

« Mets-toi à quatre pattes sur le tapis au milieu, devant ta copine. Je vais te défoncer le cul là ! »

Devant lui, la mystérieuse femme semblait choquée. Bhouta ne se laissa pas perturber. Il se posa sur le sol, faisant grincer les supports du lit quand il se releva.

« Écoute, ma belle, y a mon camion dehors, je suis… Je m’appelle Bhouta, et je suis un fermier. On m’a dit que vous aviez un souci de toiture sur l’un de vos bâtiments après une tempête, et je suis venu proposer mon aide. Ta copine a généreusement accepté mon offre, alors on la célèbre comme il se doit. Et, si je peux me permettre un conseil, tu devrais la baiser plus fort, parce qu’elle est clairement en manque ! »

Oui, dans l’esprit de Bhouta, cette nana devait sûrement être la copine de Marisa, ce qui expliquerait sa crise.

« Mais je veux pas semer l’embrouille dans votre couple, ma cocotte. Quand je l’aurai mise dans le coma, tu la rejoindras toi aussi, si tu en as envie… Je ne suis pas un cochon pour rien, j’ai un gros appétit, héhé ! Ron-Ron ! » grogna-t-il ensuite, comme pour exprimer sa satisfaction.

Provocant, le Bhouta ? Oh, juste un peu, mais il avait aussi une superbe érection, donc on pouvait le comprendre !
DC de l'Observateur !

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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Marisa Teritt
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Enregistré le : 16 août 2024 16:17
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Demande de RP
Même si Marisa était là pour calmer la situation, la froide colère de la Fille de l'Eau avait déjà envahi toute la pièce et son atmosphère. Les bras croisés sur sa poitrine, la culotte de sa meilleur amie passée entre les doigts, elle fixait le couple avec une rage difficilement contenue. Ce qui n'empêcha point le Buta de tenter le diable en descendant lourdement du lit, et moins encore à sa stupide amante de lui obéir en marchant à quatre pattes jusqu'au beau milieu du tapis où le gros cochon lui avait demandé de prendre place.
Ils se foutent de moi.
Dieu que ça l'énervait !
La Fleur des Champs n'arrangea pas son cas en pépiant chaleureusement :

- ♫ Voilà, voilà ! ♫

Elle avait laissé des traces dans son sillage. Celle de son sexe humide et souillé, qui continuait de dégouliner paresseusement le long de ses cuisses et de ses genoux.
Actaïa eut un bruit de bouche dédaigneux. Puis ce fut à celui qui se déclarait comme étant un lointain fermier de lui baver ses explications. Elle l'écouta sans dire un mot mais, au fur et à mesure de son argumentation, l'on pouvait voir une veine affleurer le long de sa tempe.

- Oh-ho... ça sent le roussi.

La Fille de l'Eau baissa un regard mauvais sur son amie.

- Oh, ça, tu ne crois pas si bien dire.

La provocation de Bhouta ne lui avait clairement pas plu. Rapide comme l'éclair, Actaïa étira un bras vers ce monstre corpulent. Un trait d'eau glacée, plus concentré que le précédant, le frappa en plein estomac. Malgré son épaisseur, son gros ventre ne lui servit pas de protection. Le Buta commençait tout juste à se plier en deux de douleur quand la Fille de l'Eau lui décocha une nouvelle attaque. Cette fois-ci entre les gencives ! Non pas pour lui laver la gueule mais pour le déséquilibrer en arrière.
Ce ne fut qu'à ce moment là que la Chasseuse bondit par-dessus la silhouette de Marisa pour se dresser debout entre elle et son partenaire dégoûtant.

- Actaïa ! Tu ne-

- Oh, toi ! Je ne veux pas t'entendre !

D'un revers de main, la Fille de l'Eau flagella - avec une main aqueuse - le dernier crémeux de sa compagne.
La Fleur des Champs poussa un cri suraigu.

- Aïe !!! C'est glacé !

- Voilà qui refroidira tes ardeurs, lui lança celle que l'on appelait aussi l'Eteigneuse avant de se camper face à Bhouta. Quant à toi...

Elle avait des choses à mettre au point. Le moment était bien choisi. A un détail près.
Actaïa fit danser un index au-dessus du ventre trempé de ce cochon massif. Un filet d'eau s'en écoula, glissant jusqu'à l'entrejambe exposé du Buta pour lui enserrer le manche et les grelots.
Inutile de préciser que le liquide vivant était tout sauf tempéré, n'est-ce pas ?

- Primo, espèce de gros dégueulasse, Marisa est mon amie ! Je n'ai donc pas pour habitude de la "baiser", comme tu le dis si vulgairement.

Elle plia un peu cet index sentencieux. Le trois pièces de Bhouta, piégé dedans, goûta à cette pression pour le moins... désagréable.

- Deusio, queutard de bourrin, Marisa n'est pas la seule à bosser dans cette ferme ! Il m'appartient aussi de décider, à moi, Actaïa Azulis, si ton aide est la bienvenue ou non.

Nouvelle pression. Limite mordante.
Se voulant intimidante, Actaïa se pencha un peu plus vers cet homme qu'elle qualifiait de monstre libidineux.

- Tercio, paquet de lard, je me fiche complètement de savoir que tu as les poches aussi pleines que tes bourses : le respect vaut pour tout le monde, et tu as fait bien plus qu'en manquer à mon égard.

Elle était bien partie pour lui broyer les testicules quand Marisa lui sauta dessus, ses bras refermés autour de sa main vilaine.

- Mais- ?!

- Non ! Ne lui fais pas de mal, Aqua !

- Marisa ! Mais tu débloques, ou quoi ?!

Abandonnant la torture du Buta, Actaïa prit son amie par les épaules et se mit à la secouer comme un prunier.

- Tu ne peux pas laisser cette crapule te monter dessus comme une truie sous prétexte qu'il va te payer un toit tout neuf !

Marisa, les larmes au coin des yeux, gémit de douleur. Son amie s'arrêta tout de suite pour la regarder droit dans les yeux. La tristesse qu'elle lut dans ses prunelles la convainquit de baisser d'un ton.

- T-tu ne dois pas te sentir obligée de vendre tes fesses pour que l'on s'en sorte...

- Il ne s'agit pas que de ça, répondit la fermière d'une toute petite voix en baissant les yeux sur ses pieds nus.

- ...Pardon ?

La Fleur des Champs ramena ses yeux bleus sur son visage confus.

- M'sieur Bhouta a raison, dit-elle en se tordant nerveusement les mains. J'en avais aussi envie que lui.

Soufflée par cette déclaration, Actaïa écarquilla les yeux.
Marisa profita de son désarroi pour lui voler un baiser... et pas que.
La Fille de l'Eau perdit instantanément toute sa rage et sa frustration.

- Marisa...

La fermière lui offrit son plus beau sourire avant de lever une main attendrissante et de lui caresser la joue.
Son expression vira coquine.

- Je veux bien que tu participes.

- Q-quoi ?!

Actaïa eut un mouvement de recul.

- Je tiens à ce que tu nous accompagnes, reformula son amie après avoir réussi à lui reprendre sa culotte.

Elle poussa la Fille de l'Eau, qui n'avait rien vu venir. Ce fut suffisant pour que l'intéressée tombasse entre les bras de leur futur créancier.
Marisa enroula sa culotte à son propre poignet où figurait déjà ce bracelet qui la liait à sa protectrice de dryade.

- Nous allons faire l'amour tous les trois~

Actaïa n'avait pas l'air rassurée du tout.
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