Entre Uatis et Auris, on trouve ici des États qui sont encore indépendants, ou des terres à l'état sauvage...
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La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Bhouta
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Bhouta était toujours à la recherche de marchés. S’il étendait son influence sur Terra et au Rustworld, Bhouta voyait grand, et avait aussi envie d’avoir son propre restaurant au Tekworld. Toutefois, le racisme et la misandrie des Uatéennes l’avait plutôt rapproché des pays neutres. Il avançait vers une ferme isolée dont il avait entendu parler. Récemment, une grosse tempête avait dévasté la région. Les compagnies d’assurance s’étaient déplacées, mais la plupart des fermiers du coin étaient mécontents. Les assureurs avaient soulevé de nombreux éléments pour refuser d’indemniser leurs assurés, invoquant l’état de vétusté du hangar, le fait que la toiture n’était pas conforme aux dernières normes agricoles, etc… Autant de motifs que nécessaires pour ne pas payer quoi que ce soit. Bhouta avait donc, à bord de sa camionnette, traversé la forêt vers la ferme des Teritt. Son fourgon tremblait sur place. Un seul chemin de terre menait à cette ferme. Il s’aventura dans les tranchées de terre creusées par le tracteur des Teritt. À l’intérieur du fourgon, Bhouta abritait sa cargaison, du fromage, de la viande ramenée depuis sa ferme à Volony, qu’il entretenait soigneusement dans des tonneaux pour la conservation, ainsi que des bouteilles.

*Ils n’ont jamais pensé à goudronner… J’aurais dû prendre une charrette !*

On lui avait parlé d’une des personnes qui travaillait dans cette ferme, « La Fleur des Champs », une femme talentueuse, mais discrète. Bhouta rejoignit finalement la ferme, et s’arrêta en voyant un grand chalet en bois. Des silos à blé se tenaient là, ainsi qu’un grand hangar avec un trou au plafond. Un arbre s’était abattu sur le hangar. Les travaux de remise en état étaient élevés, et, comme Bhouta allait bientôt l’apprendre, la compagnie d’assurances avait refusé d’indemniser les Teritt, en faisant valoir que l’abandon de domicile par les parents, qui étaient les souscripteurs du contrat, constituait une faute grave du souscripteur privant le contrat de tout aléa, et aboutissant à une déchéance de garantie. Il était évidemment possible de contester une telle décision en allant en justice, mais les procédures étaient longues et onéreuses.

Délaissant son fourgon, Bhouta descendit au sol, et se rapproche lentement, ne sachant pas trop à quoi s’attendre… Pour se protéger du soleil, il portait un chapeau de paille sur la tête, tandis que, sur la devanture du fourgon, il y avait une tête de cochon avec le nom de son exploitation : « À La Bonne Cochonaille ». Tout un programme…
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Marisa Teritt
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Les poings sur les hanches, debout face à la grange, Marisa contemplait l'œuvre cruelle de Mère Nature. Si la tempête avait épargné sa maison, il n'en avait pas été de même pour ce modeste bâtiment. Un arbre était tombé sur le toit et s'était carrément empalé dessus, manquant emporter tout la reste de la structure avec lui. Les travaux allaient coûter bonbon, et son assureur ne comptait pas débourser un seul centime pour en amortir les frais. Ce qui avait mis Actaia, la redoutable aide de camp de la Fleur des Champs aussi bonne chasseuse que maître de l'eau, complètement hors d'elle ! Cette dernière avait tout de même aidé sa rousse compagne à déloger l'arbre de son support précaire avant de s'en aller prendre l'air. Marisa supposait plutôt qu'elle comptait profiter de ce "bon bol d'air" pour réfléchir à de potentielles représailles. La Fleur des Champs, que son amie surnommait affectueusement Pyra en rapport à ses pouvoirs pyrokinétiques, l'imaginait parfaitement capable d'ourdir une contre-attaque salée à base d'inondation de leur siège social histoire de leur donner une petite idée de leur propre désarroi...
Marisa, qui était d'ordinaire si radieuse, paraissait aujourd'hui épuisée par cet imprévu.

- Et je n'ai toujours aucune nouvelle d'Yggdrasia, soupira la fermière. Notre ami sylvestre ne pouvait pas plus mal tomber qu'en cette triste période...

Secouant sa longue crinière rousse, Marisa se détourna de ce spectacle de désolation. Elle serra le poing, se redonnant du courage pour cette nouvelle journée de labeur qui l'attendait ! Comme d'habitude, elle s'était levé tôt ce matin. Peut-être même plus tôt que d'habitude ! Parce qu'elle avait anticipé le temps de cette énième observation avant de se ruer faire son boulot qu'elle ne connaissait que trop bien. Ses parents lui avaient tout appris avant de disparaître dans la nature sans laisser de trace. C'était d'ailleurs le prétexte qu'avait trouvé la compagnie d'assurance pour la lui mettre à l'envers. Malgré les retombées, Marisa Teritt s'efforçait de conserver la tête haute et de continuer à aller de l'avant sans jamais reprocher quoi que ce soit à ses géniteurs. C'était chez elle, ici. Ils lui avaient indirectement légué cette ferme qu'elle s'efforçait d'entretenir au mieux dans l'espoir, un jour futur, de les accueillir dignement. Chose qui n'aurait peut-être pas été possible sans le soutien mystique d'Yggdrasia, la Dryade qui veillait à son bien-être, et celui d'Actaia qui, en plus de l'aider comme personne, entretenait de très bonnes relations avec les villages voisins - allant même jusqu'à laver sa réputation, parfois entachée par ses galipettes dans le foin avec certains clients.

- Bah ! Tout n'est qu'une question de courage, pas vrai ? Le truc, c'est de ne jamais se laisser abattre !

En effet, tout n'était pas perdu ! Ses économies, fruit de ses "joutes intimes", demeuraient en lieu sûr. Marisa n'y avait pas touché jusqu'à présent. Elle ignorait toutefois s'ils suffiraient à couvrir l'intégralité des frais de réparation de la grange ou s'il fondraient inutilement comme neige au soleil.
Astre bienveillant qui la gratifiait de sa chaude et heureuse présence en cette trop morne journée.
Nous verrons tout cela plus tard ! En attendant, je dois aller...
Accueillir ce visiteur inopiné ?
Ses yeux bleus tournés vers la route, Marisa s'immobilisa en chemin.
L'homme, pour le moins imposant, avait emprunté le cahoteux chemin de terre avec son fourgon. Il en était descendu habillé d'un marcel blanc, avec un chapeau de paille posé sur la tête.
Marisa prit son courage à deux mains et courut à sa rencontre.

- Bonjour ! Bienvenue à la ferme des Teritt !

Sous le soleil, la Fleur des Champs irradiait de beauté. Une beauté champêtre, pour ainsi dire ! Jeune, aussi mince que charmante, avec de grands yeux céruléen et des cheveux longs qui flottaient dans son dos comme une langue de flammes attisées par les courants d'air. Son sourire n'avait rien de commercial : il avait tout le mérite d'être aussi honnête qu'innocent.
Elle se posa une main sur le cœur, juste sous son foulard orange qui lui cerclait le cou à la lisière de ses épaules.

- Je m'appelle Marisa Teritt, et j'en suis l'heureuse responsable.

Clignant confusément des yeux, elle parut peser ses mots avant de lui demander :

- Pardonnez-moi de vous demander cela mais... avez-vous pris la peine d'avertir quelqu'un de votre arrivée ? Parce que je crains fort de ne pas pouvoir répondre à toutes mes obligations du jour.

Actaia n'était hélas pas présente pour accueillir les invités de ce genre. C'était quelque peu dépaysant. Ironique pour une fermière habituée au contact physique ! Elle mit un certain temps avant de biter que son interlocuteur n'était pas tout à fait humain. Son groin, notamment, la fit écarquiller les yeux de surprise. Et elle en oublia rapidement toutes ses bonnes manières.

- Waaah ! Mais... mais vous êtes un cochon ! (Ses yeux s'étaient mis à pétiller.) Je n'en avais encore jamais vu d'aussi grand ! Et capable de tenir sur ses pattes arrières, en plus ! (Elle jeta un coup d'œil ostensible au fourgon.) Et même de conduire, crévindiou ! Alors c'est ça que les gens appellent le "progrès" ?

Et la voilà retombée en enfance...
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Bhouta
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Bhouta était certes l’heureux propriétaire d’une ferme, mais il était aussi, à sa manière, un aventurier, un explorateur, un prospecteur ! Il était fréquent qu’il voyage, ce qui ravissait et désespérait ses employées, qui ne pouvaient plus profiter de lui. Bhouta était un patron assez exigeant, mais, tout ce qu’il demandait, il le rendait bien. Il observa donc cette belle ferme, sentant la magie ambiante. Il n’était pas magicien, mais Bhouta était lié à la divinité Moccus, une divinité antique, primaire, qui était liée aux cochons et aux sangliers. Cela lui permettait de sentir que l’aura entourant cette ferme mystérieuse, perdue hors du temps, était puissante, mystique. Il se déplaça un peu, se rapprochant de la clôture, et aperçut alors, au loin, une silhouette qui se rapprochait, au sommet d’une colline. Avec le soleil, Bhouta dut froncer les sourcils, et leva la main en signe de salutations. Il la vit ensuite se rapprocher, nota sa chevelure de feu, ses vêtements simples, mais non moins teintés d’une certaine élégance. Son groin souffla en voyant la manière dont le soleil se reflétait sur ses cheveux.

*Elle est magnifique, cette cocotte !*

La jeune femme l’accueillit, et il répondit rapidement en relevant un peu son chapeau de paille.

« Bonjour Mademoiselle, je m’appelle Bhouta ! »

Elle lui demanda s’il avait pris rendez-vous, puis sembla surpris de voir son groin. Bhouta sourit, en comprenant que cette jeune femme n’avait sans doute pas dû quitter souvent sa campagne. Ceci étant dit, les Furrys étaient plutôt rares au Tekworld, la faute à la Guerre de Cristal. Bhouta connaissait l’histoire de ce monde, et les tragédies qu’il avait vécu.

« Je vois que vous êtes observatrice, Mademoiselle Teritt. Je suis effectivement un Buta, originaire de Volony. Je dispose d’une ferme que je développe en recherchant des clients et des fournisseurs un peu partout. Les gens du village à proximité m’ont parlé de la ferme Teritt, ils m’ont vanté la qualité de vos produits, alors j’ai pris la route. Ma camionnette a souffert, je ne pensais pas qu’il existait encore des routes non goudronnées ici, je ne sais pas comment vous faites pour livrer vos produits, haha ! »

Reprenant son sérieux, il désigna du doigt le toit éventré par un tronc d’arbre.

« J’ai entendu parler de votre mésaventure… Ils disent au village que ça va coûter cher, et que les assureurs, fidèles à eux-mêmes, ont refusé de vous indemniser. Je pense que je pourrais vous être utile, Mademoiselle Teritt. Je souhaite investir dans votre ferme, sans que cela ne porte atteinte à votre indépendance. Je suis navré de vous prendre à l’improviste, je peux vous aider pendant vos tâches quotidiennes, si vous le voulez, et, comme ça, nous pourrons discuter ensuite… Si vous le souhaitez, bien sûr. »
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Marisa Teritt
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Observatrice, peut-être bien, mais elle n'était pas super instruite, la jeune fermière !
Le grand et large Bhouta s'était présenté comme appartenant à l'espèce des butas. Il était originaire d'une région - d'un monde à part, en réalité ! - dont Marisa Territ n'avait encore jamais entendu parler.
Ils doivent rudement bien manger, par là-bas !
Elle n'avait su empêcher ses magnifiques yeux céruléen de se poser sur la bedaine du mastodonte.
Heureusement, son coup d'œil indiscret ne dura point trop longtemps.
Et qu'est-ce qu'il cause bien, notre gros bonhomme !
La Fleur des Champs possédait tout juste assez d'esprit pour conserver ses pensées pour elle-même. Au moins, comme ça, n'interrompait-elle pas son locuteur alors qu'il était en train de lui expliquer la raison de sa venue dans ce coin perdu qu'était sa modeste petite ferme.
A son interrogation, toutefois, elle eut une réponse toute faite :

- On utilise une charrette à bras, le plus souvent ! Ça demande pas mal d'efforts pour arriver à bon port mais ça nous muscle, mon amie et moi~

A bon port... porc ?
Cette rime puérile la fit sourire, ajoutant toujours plus d'engrais à son charme aussi innocent que naturel.
Ses yeux clairs suivirent alors la trajectoire du doigt boudiné du riche Buta.
Les poings sur les hanches et les joues gonflées, Crinière de feu contempla pour la énième fois les ravages engendrés par Mère Nature.

- Moui ! ces langues de bois ont un hérisson dans le porte-monnaie...

SAUF QUE Bhouta n'était pas comme ses diables d'assureurs, lui : il estimait avoir les moyens de réparer les dégâts sans nuire à leur indépendance.
Marisa Territ tourna d'abord sa jolie tête vers lui avec l'air de ne pas trop comprendre...

- Vous voulez investir dans notre ferme ?

Sourcils froncés, elle se massa la pointe du menton.

- Et vous vous proposez même de m'aider pendant que vous êtes là ?

Ce coup-ci, ses sourcil avaient monté en flèche !
Pourquoi tant de gentillesse de sa part ? C'était vraiment surprenant après le passage des... - brrr, quel mot répugnant, empreint de fausseté ! -... assureurs.
Sur le visage d'ange de la Fleur des Champs, ce fut finalement un sourire aussi éblouissant que le soleil qui s'ouvrit !

- Oh, boudiou, 'y a pas à dire : vous m'avez vraiment l'air d'être un chic type comme on en fait plus, vous~

Emportée par son enthousiasme, elle le prit par les deux mains et décida :

- Je n'vois pas de mal à ce que vous nous donniez un coup de main et à ce qu'on tape la causette juste après ! J'ai du bon lait et pas mal de petits gâteaux en stock, mon bon monsieur ! (Petite parodie de salut militaire.)
Oh, je sens qu'avec vous la matinée va filer à une de ces vitesses~

Elle fut prompte à le tirer dans son sillage - malgré sa corpulence qui, l'eût-on pensé, aurait plutôt eu tendance à le placer, lui, en tant que figure de prou - avant d'enchaîner tout aussi énergiquement :

- On va tout faire ensemble, M'sieur Bhouta ! Comme ça, je pourrais voir de quoi vous êtes capable. Vous êtes d'accord ? Oui ? Parfait ! Alors commençons par aller nourrir les poules ! On ne dirait pas comme ça mais mes cocottes sont de vraies petites teignes quand elles ont l'estomac creux !

Marisa Territ ne croyait pas si bien dire : elle qui n'avait encore jamais shooté dedans par accident comme l'avait fait une certaine Actaïa...
Lorsque sa rouquine d'amie l'avait retrouvée les vêtements en lambeaux et le corps couvert d'égratignures, la Fille de l'Eau, qui figurait en ce moment même parmi les abonnés absents, avait prétexté s'être battue contre un ours.
La Fleur des Champs n'y avait vu que du feu et, pour une fois, nul n'aurait pu lui jeter la pierre.
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Bhouta
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Une charrette à bras ?! Bhouta cligna des yeux, assez surpris. Tekworld n’était pourtant pas Terra, il y avait une technologie mécanique développée qui permettait justement de simplifier le rendement. Il laissa du reste la jeune femme faire ses plaisanteries douteuses, se contentant surtout de la regarder, et s’imaginant comment il allait pouvoir la sauter. Chez Bhouta, le sens des affaires n’était jamais très loin de son désir. Sa ferme était réputée pour ça, il baisait tous ses employés. Cela ne figurait pas dans le contrat, c’était une clause orale, inscrite « dans le champ contractuel », comme les juristes disaient avec leurs si belles formulations. Elle était en tout cas ravie qu’il l’aide, faisant preuve en la matière d’une douce candeur. Pourtant, elle était bien ferme, et elle avait sûrement de la famille…

*Ne t’emballe pas, commence déjà par la sauter elle, on verra après pour le reste de la bergerie !*

Elle le décrit comme « un chic type », et il sourit alors.

« Je n’irais pas jusqu’à prétendre être un Samaritain, ma jeune dame. Je sais juste reconnaître une bonne affaire quand j’en vois une. Mon aide n’est jamais totalement désintéressée, mais je sais aussi comment les gens comme nous raisonnent. On ne connaît jamais vraiment un agriculteur tant qu’on ne l’a pas vu travailler, hein ? Et je suis le premier placé pour savoir que vous devez avoir une journée bien chargée, ma bonne dame. »

Règle de base de toute négociation : ne jamais passer pour quelqu’un de trop gentil, c’était toujours suspect. Bhouta sentit les mains de Marisa sur sa grotte patte, et la suivit donc. Il vit un poulailler, une porcherie, une grange, une écurie…

« Vous êtes diversifiée, à ce que je vois… »

Ils rejoignirent le poulailler. Les poules se mirent à caqueter dans tous les sens, et Bhouta suivit Marisa vers l’enclos. Les sachets de graines et de céréales se trouvaient là. Bhouta contempla cette installation rudimentaire, et inspecta notamment les nichoirs.

« Vous n’utilisez pas de céréalières automatiques ? Je veux dire, vous économiseriez du temps, il suffit de les remplir quand les réservoirs sont vides. »

Attrapant les sachets, Bhouta remplit le mangeoire. Il fallait aussi changer l’eau. Bhouta laissa Marisa disperser les graines, et alla vers le puits au centre de la ferme, et constata que le puits n’était pas non plus automatique. Il essayait d’imaginer Marisa avec ses petits bras soulever et abaisser le treuil, ce qui devait tout de même être épuisant… Quand Bhouta le manipula, il entendit plusieurs grincements.

*On dirait que cette ferme est restée au siècle dernier… C’est à croire que la providence m’envoie ici…*

Sa ferme à Volony avait été automatisée autant que possible. Il y avait de l’amélioration à faire ici… En commençant par le délicieux petit cul serré de Marisa ! Bhouta y songea tout en remplissant les seaux d’eau. Avec sa force monstrueuse, il revint avec quatre seaux d’eau bien remplis, et remplit les abreuvoirs pour les poules.

« Dites-moi, Mademoiselle Teritt, ne me dites pas qu’une aussi jeune femme que vous s’occupe toute seule de cette grande ferme ? Vous avez des employés, des domestiques ? »
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Marisa Teritt
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Même si le gabarit du Buta incitait les poules à ne pas lui picorer les mollets jusqu'au sang, celui-ci n'était pas tout à fait à l'abri d'en faire les frais à un moment ou à un autre. Heureusement, la gérante de la ferme, qui considérait presque les volatiles comme ses enfants, veillait de par sa simple présence à ce qu'aucun incident ait lieu.
La Fleur des Champs imposait le respect à ses bêtes, et pour cela elle n'avait point besoin d'agiter le bâton !

- Papa et maman ont vu large d'entrée de jeu, expliqua-t-elle. Ils savent y faire avec les animaux. Moi ? A défaut d'avoir inventé quoi que ce soit, je peux au moins me vanter d'être parvenue à les suivre sur ce chemin cahoteux !

Les Teritt possédaient également une jument. Le puissant quadrupède ne se laissait pas monter par n'importe qui. Marisa, elle, pouvait grimper sur son dos sans trop de souci. Et Actaïa, sa seule amie ? Avec un peu de préparation : également.
Au cours de son analyse, Bhouta souligna l'absence de céréalières automatiques.
La fermière se gratta distraitement la joue.

- Ah bon ? Et ça ne coûte pas trop cher ?

Difficile de nier le côté pratique de la chose. Marisa n'était pas paysanne au point de bouder une technologie susceptible d'alléger sa besogne routinière ! Elle songea au temps supposément gagné tout en dispersant les graines dans l'enclos.
Bhouta ne mit guère longtemps à revenir, ses bras épais occupés par quatre sceaux d'eau remplis à ras bord.
A son interrogation pleine de bon sens, elle secoua la tête.

- Plus depuis quelque temps, répondit-elle. Je tiens la ferme avec une amie que j'héberge. D'habitude, c'est elle qui prend soin des animaux ! Malheureusement, aujourd'hui, elle n'est pas en état de s'en occuper. Je crois bien qu'elle est partie faire un tour pour se calmer les nerfs. (Elle soupira.) Je ne peux pas lui en vouloir d'avoir une dent contre notre assureur. Et comme je préfère éviter de jeter de l'huile sur le feu, je n'ai pas cherché à la retenir. De toute manière, je sais qu'elle reviendra au moins avant la nuit tombée. C'est une chasseuse, après tout ! Même un ours n'est pas de taille contre elle.

Cela la ramena quelques mois dans le passé...
Le visage de la rouquine parut s'éclairer davantage.

- Tiens ! Ça me fait penser : avez-vous déjà mangé du gésier d'ours ? Actaïa nous en a préparé l'autre fois ! Ce n'était franchement pas mauvais.

Puis elle se mit à chantonner d'un air distrait.
Devait-elle lui parler d'Yggdrasia, l'esprit de la sylve ? Non, il était peut-être encore un petit peu tôt pour ça. D'autant plus que la Nymphe des Bois n'accordait pas facilement sa confiance aux gens. Elle avait mis un certain temps à approcher la Fleur des Champs, et encore un autre avant de se décider à lui offrir son premier cadeau. Un bracelet magique, fait de lierre et de fleurs colorées, que la fermière conservait autour du poignet. Nymiss, un artefact nommé, doué de la capacité de transférer une partie du plaisir éprouvé par sa détentrice auprès de celle qui le lui a remis. L'objet renfermait également un autre pouvoir utile aux deux partis. Don dont la tendre Marisa n'avait pas encore pris connaissance.
Elle se redressa, dévisageant gentiment son large invité.

- Vous savez traire une vache ? Parce que j'en ai bien quelques unes qui attendent qu'on s'occupe d'elles.

Du pouce, elle lui indiqua un autre enclos. Plus spacieux celui-là, où broutaient paisiblement les peaux blanches et noires.

- Après ça, je nous accorderai peut-être une petite pause~

La Fleur des Champs ne manquait point d'endurance. Après tout, elle n'était pas humaine ; seulement moitié Pyrone moitié Brownie. Soit une digne travailleuse au sang chaud ! A comprendre par là qu'elle n'est pas particulièrement colérique mais que son organisme, lui, possède une température interne plus élevée que la normale.
Rien d'étonnant à ce que la moindre de ses passes ait été un grand succès auprès de ses clients !
Dans un coin de sa tête, la jeune femme en vint à se demander si, à tout hasard, Bhouta ne nourrissait pas des intentions lubriques à son égard...
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Bhouta
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Coucher avec Marisa était à vrai dire l’objectif principal de ce que Bhouta souhaitait faire. Outre envisager de participer à sa ferme, ses instincts n’étaient jamais très loin pour prendre le dessus. Il était surpris que la ferme ne soit gérée que par deux femmes. Bhouta n’était pas spécialement sexiste, mais il se demandait quand même où les hommes étaient partis. Une ferme isolée comme ça relevait très souvent d’une exploitation familiale, les parents léguant à leurs enfants leur savoir-faire, ainsi que la gestion de leur ferme. Cependant, à entendre Marisa, il n’y avait qu’elle et une amie qu’elle hébergeait. La curiosité de Bhouta était donc relevée. Elles n’avaient pas d’amants, il avait donc le champ libre pour butiner Marisa, et sans doute son amie dans la foulée… Bhouta y songeait silencieusement, tout en cherchant comment arriver à l’acte. Il venait tout juste de croiser Marisa, il fallait se montrer avenant, et prendre son mal en patience, sympathiser avec elle, lui montrer qu’il était un cochon digne de confiance.

Marisa lui demanda alors s’il savait traire des vaches. Bhouta sourit brièvement en hochant la tête.

« Je travaille dans une ferme, Marisa, je sais faire tout ce qu’il faut. Je ne suis pas l’un de ces patrons qui ont les doigts vissés dans le cul, je donne de tout mon corps quand il le faut. »

Une phrase volontairement ambiguë, que Bhouta laissa à l’interprétation de Marisa. Ils rejoignirent les enclos à vaches, et Bhouta s’assit sur un tabouret, puis se chargea de traire une première vache, pressant ses pis pour que le lait jaillisse de ses mamelles, et tombe dans le seau. Marisa pouvait effectivement constater que l’homme-cochon savait y faire. Il avait des mains puissantes, une poigne solide. Marisa lui avait proposé une petite pause. Tandis que Bhouta traitait la vache, il répondit également à cette proposition :

« Ne vous en faites pas pour moi, Marisa, c’est un plaisir de vous aider. Je me dois toutefois de vous avouer que je suis impressionné. Vous tenez seule cette ferme avec votre amie, sans aucun homme, alors que cela nécessite des travaux manuels épuisants… Et vous conservez malgré tout votre incroyable beauté. Je vous avoue que je suis impressionné, et j’espère sincèrement que nous pourrons collaborer ensemble activement. »

Oui, Bhouta passait doucement à l’action, curieux de voir comment Marisa allait réagir…
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Marisa Teritt
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Le grand et gros Bhouta n'avait rien d'un bras cassé. Il le prouva derechef en s'affairant du côté des vaches. Non sans, avant de s'y mettre, décocher une grossièreté qui eut le mérite de faire rire la ravissante Fleur des Champs. Une hilarité aussi honnête qu'enfantine. Marisa Teritt ne surjouait pas du tout. Dans sa ferme vétuste, le temps lui manquait pour s'adonner à un quelconque atelier théâtre.

- Avec un corps pareil, vous devez avoir pas mal d'énergie à revendre, m'sieur Bhouta !

Pas uniquement pour le boulot. La demi-pyrône se doutait bien qu'un investisseur aussi aisé que lui, tout comme une bonne poignée de ses clients, ne mangeait pas que de la salade. Le grand cochon nourrissait sans doute d'autres désirs qui, à travers son langage, perdaient de leur opacité.
Donner de son corps quand il le faut...
En retour, de quelle manière allait-elle bien pouvoir donner du sien ?
Tout en installant son seau vide sous un vache voisine, Marisa se mit à imaginer des choses qu'elle préférait, pour le moment, ne pas ébruiter. Il lui arrivait fréquemment de trimer tout en songeant à une autre activité. Son intelligence de télékinésiste le lui permettait. Car il fallait en avoir dans le ciboulot pour recourir à ce type de magie. Notamment pour être en mesure de soulever des objets aussi lourds qu'elle.

Du coin de l'œil, la Fleur des Champs surveillait un peu le travail de son aide de camp. La vache ne paraissait aucunement dépaysée entre ses doigts puissants. C'était de bon augure.
Bizarrement, je le trouve charmant, moi, comme bonhomme...
Ses critères esthétiques défiaient toute logique. Bhouta, dans son ensemble, n'était pas ce qu'on pouvait qualifier de "bel homme". Pourtant, son apparence ne dérangeait pas la rouquine qui avait d'ailleurs déjà "donné de son corps" avec des hommes grassouillets dont la - ou les ? - bourse était bien trop remplie.
Face à son compliment, elle rougit légèrement.

- Merci, m'sieur Bhouta ! Ça me va droit au cœur, ce que vous me dites là. Je trouve ça chouette que quelqu'un fasse d'aussi bonnes remarques sur ma besogne journalière. C'est qu'on ne reçoit pas tous les jours des visiteurs aussi fringants que vous, par ici, vous voyez ? La plupart du temps, les clients achètent nos produits, vantent leur qualité quand ils sont d'humeur joyeuse, mais ne s'éternisent que rarement avec le personnel...

Le "rarement", lui, s'achevait souvent soit dans la paille soit dans le grand lit de ses parents disparus. En fonction de ses préférences et des moyens de celui avec qui elle accomplissait un "extra", Marisa optait plutôt pour l'un que pour l'autre. Elle en vint naturellement à se demander - en silence - ce que souhaiterait Bhouta dans pareil cas de figure.
Elle l'interrogea du regard avant de s'enquérir doucement :

- Quand vous dites "activement", m'sieur Bhouta, à quel rythme pensez-vous, exactement ?

Avant qu'il ne lui réponde, elle baissa ses jolis yeux bleus sur ses doigts affairés et avoua :

- Je crois que ça me ferait beaucoup plaisir de travailler durablement avec vous...

Mais encore... ?
Elle baissa un peu plus les yeux, rentrant légèrement la tête dans les épaules.

- ...Et de faire plus ample connaissance ?

Pour le coup, elle n'était pas trop sûre de formuler correctement les choses. Un de ses clients avait d'ailleurs employé ces termes pour l'inviter à écarter les cuisses. A l'époque, la petite fermière avait trouvé ça classe, comme jargon ! Elle avait donc décidé de le lui emprunter pour les... potentielles grandes occasions ?
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Bhouta
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Bhouta frémit lentement en sentant que Marisa répondait sans ombrage à ses allusions sexuelles. Il avait fait usage de ses puissantes mains sur les mamelles de la vache, et le seau était rempli d’eau. Bhouta l’attrapa d’une main en se relevant, dominant par sa stature et sa masse la petite fermière. Son regard croisa celui de Marisa, et sa main libre caressa alors la joue de Marisa. Il glissa ses lourds doigts boudinés dessus, caressant aussi ses longs cheveux, et alla jusqu’à son oreille pointue, qu’il pressa tendrement entre ses doigts. C’était osé et cavalier, mais Bhouta fonctionnait ainsi.

« Je propose de commencer par ramener ce seau… Puis d’aller prendre un peu de café dans ta maison, qu’en penses-tu ? »

L’homme-cochon retira ensuite sa main, avec un sourire malicieux sur les lèvres. Un café, l’excuse parfaite… Pour l’heure, le seau devait être entreposé dans l’un des hangars de la ferme, où il y avait les tanks à lait, de grandes cuves métalliques où le lait était stocké, réfrigéré, jusqu’à ce qu’un camion-citerne vienne récupérer les futs pour amener le lait à une laiterie. Bhouta et Marisa s’occupèrent donc de remplir les seaux, puis de les amener au hangar, en chargeant les seaux sur un plateau qu’on pouvait pousser avec des roues. Avec sa puissance, Bhouta simplifia ainsi le travail de Marisa, lui permettant accessoirement de lorgner sur ses muscles. S’il y avait beaucoup de graisse sur Bhouta, ses bras étaient particulièrement épais.

Une fois ceci fait, Bhouta commençait à avoir un peu de sueur, car porter du lait lourd était toujours une épreuve. Marisa semblait en tout cas ravie de ne pas avoir à transporter les seaux. Bhouta retira alors son débardeur, finissant torse nu, exhibant son torse si spécial, sa peau rose et solide. Il suivit ensuite Marisha vers sa maison. C’était une maison agréable. Il étudia les photographies dans le salon, ne voyant aucun mari potentiel pour Marisa, ni même aucun enfant. Il rejoignit ensuite la cuisine où Marisa préparait le café, et posa alors ses mains sur chacune des épaules de la Fleur des Champs. Ses grosses mains glissèrent ensuite sur les épaules de la jeune femme, les caressant.

« Les agriculteurs sont très souvent en couple, il faut perpétuer la lignée familiale, et, vu la difficulté du labeur, les mariages ont lieu tôt… Toi, Marisa, tu es une agricultrice, mais tu es aussi très jolie. Je suis surpris qu’aucun des habitants du coin n’ait tenté de te séduire. Tes cheveux sont si soyeux, ta peau si douce… »

Il la retourna lentement, et posa sa main sur le menton de Marisa, relevant sa tête. Comme elle était plus petite que lui, il la souleva, et la fit s’asseoir sur le rebord du meuble de la cuisine, son visage se retrouvant ainsi à hauteur du sien.

« Ou peut-être que tu es exigeante… Et tu aurais raison de l’être, tu es la Fleur des Champs. Une femme trop belle pour de vulgaires paysans rustres et feignants… Comme si tu attendais un vrai homme pour prendre soin de toi… »

Bhouta se rapprocha alors de Marisa, et l’embrassa…
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Marisa Teritt
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Le message était passé comme une lettre à la poste ! Aux oreilles pointues de la fermière, qui n'était pas aussi bête qu'elle aimait s'en donner l'air, l'invitation de Bhouta à aller boire un café dans sa maison était tout à fait transparente. Pour sûr que cet évènement allait les tenir éveiller, tous les deux !
Mais, dans cette histoire, la consommation du jus brun n'y serait pour rien.

- Tout ce que vous proposez est plein de bon sens, m'sieur Bhouta ! Je vous suis~

Ce qu'elle fit, toute pimpante ! Sa redoutable aide de camp la soulagea du fardeau des sceaux bien remplis, poussant le charriot adapté à la tâche avec une énergie qui promettait de sacrées bonnes choses. L'homme-cochon, en plein effort, régalait les beaux yeux de la Fleur de Champs. Elle imagina ses bras puissants soulever autre chose que les sceaux, pousser autre chose que le charriot. Dans un cadre autrement plus intime. Un drôle de fantasme qui lui arracha un frisson obscène.
Bhouta n'avait pas idée d'à quel point elle était ravie... ou peut-être que si, justement ?~

- Beau boulot ! Vous êtes une vraie force de la nature, m'sieur Bhouta. A tel point que je me demande si ce n'est pas le ciel qui vous envoie.

Auquel cas la Providence avait un drôle de sens des priorités.
La force de Bhouta, digne de celle d'un bœuf de trait, n'était pas la seule bénédiction qui la guettait !
Sans gêne aucune, Marisa le regarda se débarrasser de son débardeur. Son cuir robuste, à la teinte si particulière, lui donna envie d'y poser ses mains malgré la sueur présente. Cela ne répugnait point la fermière qui, pour cause, avait pris l'habitude de suer à grosses gouttes. Lors de ses passes, certains de ses partenaires ne faisaient pas fait la fine bouche, prenant carrément la liberté de fourrer leur langue sous ses aisselles transpirantes. Quand il s'agissait de Marisa Teritt, rien ne semblait pouvoir les écœurer. Comme si n'importe laquelle de ses sécrétions relevait du domaine du divin.
Bref ! La jeune fermière n'avait pas encore osé toucher son grand compagnon d'aventure. Le couple se déplaçait désormais jusqu'à la maison, où la travailleuse s'engouffra dans la cuisine pour y préparer le café. Ceci en attendant bien évidemment l'inévitable approche de son invité, qui ne tarda point ; ses épaisses mains trouvant position sur chacune de ses frêles épaules. Une différence de gabarit plus qu'impressionnante mais...
Les caresses de l'homme-cochon firent naître un nouveau sourire sur les lèvres de la rouquine. En retour, elle fit rouler les muscles de son dos, renforcés par le labeur que résumait sa jeune existence.
Après lui avoir soufflé son constat sur sa situation et par la même occasion décoché des mots doux, Bhouta l'invita à se tourner complètement vers lui et à le regarder droit dans les yeux. Ou presque ! Le bonhomme était si grand que son groin lui bloquait quasiment la vue. Marisa joua quand même le jeu en louchant sur ses naseaux roses. Mais comme s'il avait compris le problème, cette comédie ne dura guère ; avec sa force de colosse ventripotent, Bhouta la souleva comme une enfant pour l'installer sur le rebord du meuble où elle avait à peine eut le temps de s'affairer.

- Le café n'est pas près de couler, gloussa-t-elle en croisant vraiment son regard, qui en disait si long sur ses intentions.

Pour justifier son improbable célibat, il la qualifiait d'exigeante.
S'il savait !
Jeune mais expérimentée, la jolie campagnarde ! Aussi bonne catin qu'agricultrice, elle avait appris à se défendre sur les deux tableaux. L'homme-cochon finirait bien par s'en rendre compte, mais en attendant...

- Un aussi grand que vous le pourrait, vous pensez ?~

Bhouta rapprocha son visage du sien. Toute sourire, un lueur d'amusement dans le regard, la Fleur des Champs se joignit au mouvement et, de ses petites lèvres douces, trouva les siennes, autrement plus dodues, qu'elles avalèrent. Dans un remixe beaucoup plus humide de David contre Goliath, la langue de la demi-portion s'attaqua à celle du géant. L'entrain de Marisa fut tel que ses bras menus s'enroulèrent par eux-mêmes autour du cou de taureau de l'hybride grassouillet. Une étreinte vide de toute hésitation, signe que la ravissante rousse avait décidé de son sort depuis un certain temps déjà.
Plutôt que de préparer le café, l'intrépide fermière était sur le point de passer à la casserole !
Yeux fermés, elle s'arrangea pour faire durer le passionné baiser tout en écartant lentement les gambettes...
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Bhouta
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Bhouta soufflait lourdement La Fleur des Champs était vraiment magnifique, et l’homme-porc pouvait comprendre pourquoi les gens du coin en parlaient avec tant de plaisir dans le timbre de leur voix. Elle était très belle, et, si proche d’elle, Bhouta ne pouvait que le constater. Son visage, ses cheveux, son odeur, ses yeux qui pétillaient de malice… Elle savait ce qu’il voulait, et elle y répondit. Les deux s’embrassèrent et Bhouta frémit, sentant les petites menottes de Marisa glisser sur son torse épais, remontant jusqu’à ses épaules. Face à lui, c’était une petite brindille. Il aimait ce contraste, et il savait que les femmes l’aimaient aussi, y compris celles qui étaient belles comme Marisa. Il n’y avait qu’à la télé qu’on fantasmait sur les hommes-soja, épais comme des clous de girofle. Lui, il apportait la puissance, l’épaisseur de son corps, ce musc enivrant, cette touche bestiale qui stimulait chez ses partenaires des réflexes reptiliens et ancestraux.

« Hmmm… »

Ce premier contact dura quelques instants, jusqu’à ce que Bhouta ne le rompe. Son groin caressa ensuite la joue de Marisa, s’enfouissant dans ses mèches de cheveux. Sa main était remontée le long de la cuisse de Marisa filant sous sa robe, et ses doigts s’entremêlèrent autour de la lanière de sa culotte. Le Buta était entreprenant, et il ne faisait aucun effort pour le masquer, ni pour dissimuler son érection naissante, déformant son pantalon.

Il sourit donc, et remonta son autre main pour caresser le visage de Marisa, glissant sur sa joue, son pouce s’enfonçant entre les lèvres de Marisa.

« Je pense que je comprends pourquoi les gens du coin fantasment sur toi… Et je pense que tu as raison d’être exigeante, car une beauté comme toi, aux lèvres si douces, se doit d’avoir de la qualité en face. »

Bhouta soufflait fortement par son groin, et s’amusait à le promener sur le visage de Marisa, un geste attentionné et affectueux. Il retira son pouce de sa bouche, et laissa Marisa décider d’embrasser ou de lécher son groin.

« Et la qualité, c’est ce que je compte t’offrir, ma belle. Reste à savoir si tu seras prête à l’encaisser… Car ton labeur mérite d’être récompensé, tu mérites d’avoir droit à un homme fort avec toi. »

Tout en disant cela, il lécha la joue de Marisa, sa main sur sa culotte se serrant pour tirer sur le sous-vêtement, comme pour en éprouver la résistance.

« Mais peut-être souhaites-tu juger sur pièce ? Je viens de Volony, ma chérie, tu dois savoir que nous avons des comportements très… Bestiaux. Je ne voudrais pas faire de mal à une jolie poupée comme toi… »
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Marisa Teritt
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C'était acté ! Le grand Bhouta était un coquin à la hauteur de son gabarit. Entre la façon dont il l'avait embrassée et celle où il l'avait reniflée, Marisa Teritt n'avait plus aucun doute vis-à-vis de lui. Un homme qui tombait rudement bien parce qu'il brisait ses habitudes, chamboulait son quotidien de fermière en y ajoutant une agréable touche de défi. Oui : c'était dans ces moments là que la Fleur des Champs s'épanouissait le mieux. N'en déplaise à la Fille de l'Eau qui, de toute manière, n'était pas là pour la noyer de ses reproches.
Bhouta rompit le baiser, emportant entre eux un filet de salive qui témoignait de son ardeur. D'un index fin, Marisa s'amusa à le sectionner avant de fourrer ce même doigt entre ses lèvres ourlées d'un menu sourire. Puis elle gloussa au contact du groin de Bhouta, qui souffla d'abord contre sa joue avant de se perdre dans sa tignasse rousse. La chaleur de sa respiration la fit frémir, l'invitant davantage à se cambrer entre ses puissantes mains. L'une d'elle, par ailleurs, s'attaquait déjà à une lanière de sa culotte aux motifs enfantins.
Le minois relevé, la jeune fermière soupira d'aise. Dans sa position, elle ne discerna point l'érection grandissante de son partenaire massif.

- Il y a des chances que oui ~

Marisa venait de répondre à sa propre interrogation, motivée comme elle était par les caresses du Buta. Sa main prit la place de son groin baladeur, et la Fleur des Champs ouvrit la bouche sur son pouce qu'elle suçota comme un nouveau né. Un signe de dépendance et d'attachement prononcé ? Allez savoir ! En tout cas, cette interaction l'amusait beaucoup.

- Hu hu hu ! Vous pensez aussi bien que vous agissez, m'sieur Bhouta.

Ses compliments ajoutaient à son excitation. Marisa aimait ce genre de phrases. Cette positivé et ce désir dans le ton employé. Des flatteries qu'elle acceptait bien volontiers ! Encore une fois, Bhouta dut certainement la sentir frémir sur place, et ce avant même qu'il retire son pouce de sa bouche ou revienne la renifler comme un adorable cochon.

- Je suis forte, déclara-t-elle tout doucement avant de déposer de petits baisers mouillés sur la figure de proue de son appareil olfactif. Et je suis une grande fille débrouillarde, malgré les apparences.

Cela la fit rire. Un rire chantant aucunement forcé. La rouquine parlait avec son cœur qu'elle ouvrait à cet homme fort aussi sûrement que ses jambes lisses.

- Sans parler de mon endurance, m'sieur Bhouta ! Vous ne serez pas déçu du tout, du tout ♥

Sa grosse langue frotta contre sa joue. Décidément ! le Buta s'était pris d'affection pour son visage angélique. Une gourmandise compréhensible. Marisa Teritt était bien incapable de lui en vouloir. En fait, elle en était même plutôt fière, la jolie bougresse !
Elle sentit que Bhouta rudoyait sa culotte, qu'il était à deux doigts de la déchirer. Sa déclaration suivante ne fit qu'ajouter un délicat soupçon de stress dans l'esprit de la Fleur des Champs, qui tenait beaucoup trop à ses sous-vêtements pour les sacrifier sur l'autel du sexe débridé.

- Je l'ignorais, soupira-t-elle en s'efforçant de restreindre un peu ses ardeurs. C'est gentil de me prévenir mais la "jolie poupée" n'est pas en sucre : elle trime tous les jours - y compris le week-end.

Elle dut s'aider de ses pieds pour inciter le Buta à créer un peu de distance entre eux. D'un petit coup du tranchant de la main sur le dos des doigts, Marisa le força à lâcher sa culotte. Elle replia ensuite les jambes devant son sourire chafouin.

- Je n'ai pas peur des gros bestiaux !

Mais alors pourquoi cette distance ?
La réponse ne se fit point attendre : la Fleur des Champs ôtait par elle même sa culotte jaune sur le derrière de laquelle figurait un cheval à la robe brune. Son sous-vêtement tout chaud, modérément taché par son excitation, Marisa le tenait entre ses deux menottes. Elle sauta de la table pour venir l'enfiler sur la tête du Buta. Décoration qui allait merveilleusement bien avec elle.

- Je vous interdis de partir avec, m'sieur Bhouta ! J'y tiens comme à la prunelle de mes yeux~

Yeux bleus qu'elle cligna plusieurs fois, à bout portant, avant de se presser contre le large torse de l'intéressé. Elle caressa sa peau rose à de multiples endroits et, de la même façon qu'il s'était mis à la renifler et à la lécher, Pyra referma ses lèvres suaves sur un de ses mamelons. Le goût et l'odeur ravissaient autant son palais que ses narines frémissantes !

- Ça ne me dérangerait pas que vous soyez brute.

Etait-ce judicieux de lui annoncer la chose ainsi ?
Au train où les choses avançaient, Marisa n'allait pas tarder à le découvrir.
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Bhouta
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Bhouta frémit lentement. Marisa était ravissante. Ses baisers, ses frottements… Plus le temps passait, et plus ce petit jeu de séduction exaltait Bhouta. Sa verge se durcissait, et il frémit quand elle posa sur sa tête sa culotte. Les cochons n’avaient pas un groin pour rien, leur odorat était extrêmement développé. Bhouta attrapa la culotte, et la renifla doucement. Il soupira ensuite, tandis que Marisa se rapprochait encore de lui, et caressait ses tétons, en embrassant même un, tout en lui confessant qu’elle avait envie qu’il soit brutal. Bhouta sourit alors, et répondit :

« J’ai senti l’odeur du produit vaisselle sur ta culotte, mais aussi d’autres fragrances… Plus intimes. Tu as déjà mouillé dedans. Et je suis impatient de sentir mon odeur sur toi quand je t’aurai baisé. »

L’homme-porc sourit alors, et posa sa main sur les cheveux de Marisa. Son autre main alla se poser en appui sur l’une de ses belles fesses. Il souleva à nouveau Marisa, pencha sa tête sur le côté, et l’embrassa avec appétit. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et il se déplaça ensuite, plaquant le corps de Marisa contre un meuble de la cuisine. Les jambes de Marisa ne touchaient alors plus le sol. Bhouta défit d’une main la boucle de son pantalon, et se retrouva avec son boxer. Celui-ci était naturellement déformé par l’épaisse trique de Bhouta, qui rompit son baiser avec la femme.

« Retire mon boxer, Marisa… Tu m’as donné ta culotte, il est logique que je te donne la mienne… Puis nous sommes chez toi, après tout. Autant que tu vérifies si la marchandise te convient, hihi… »

Quel galant homme, ce Bhouta ! Il ne comptait pas précipiter inutilement les choses avec Marisa, et se disait aussi qu’elle aurait peut-être envie de jouer avec sa queue… Avant que lui ne joue avec son corps !
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Marisa Teritt
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Naturellement, la stratégie de la Fleur des Champs faisait son petit effet chez l'imposant Bhouta ! Celui-ci ne se priva pas d'empoigner la culotte pour mieux la renifler. Comportement qui fit rougir un peu plus la fermière alors qu'elle était encore en train de s'amuser avec ses mamelons virils. Marisa y détacha ses lèvres sur un mince filet de salive qui, à lui seul, témoignait de son désir grandissant à l'égard du grand cochon. Ses paroles dénuées de filtre lui donnèrent encore plus chaud.

- Ne le soyez pas, dit-elle en papillonnant des yeux. Je vous récompenserai pour votre patience, m'sieur Bhouta ! Alors, s'il vous plait, ne mettez pas la charrue avant les bœufs~

Il aurait tout le loisir de la prendre avec force après ce qu'elle avait en tête.
Marisa n'eut guère l'occasion de s'étaler là-dessus, le Buta la soulevant entre ses grosses paluches non sans l'embrasser avec gourmandise. Elle suça sa grosse langue, prisonnière de sa bouche si petite en comparaison, son épaisse salive se mélangeant à la sienne. La fermière ne se vit guère atterrir sur le meuble de cuisine. En revanche, ses petites fesses rebondies s'y posèrent sans mal aucun. Le sol avait disparu de sous ses pieds, ce qui ne l'inquiétait pas plus que ça.
L'ardeur du Buta était visiblement à son goût : son baiser ne lui ayant paru ni trop court ni trop long.

- Vous avez une faim de loup, dites donc ! ♥

La Fleur des Champs se pourlécha les lèvres, un peu de salive ayant coulé de leurs commissures. A la mention du sous-vêtement du Buta, les yeux bleus de la belle eurent vite fait de descendre dessus. Ses paupières se plissèrent légèrement sous l'afflux de pensées aussi coquines que taquines.

- Aucun doute là-dessus : vous êtes doué en affaire, m'sieur Bhouta~

Elle dut le pousser un peu du meuble afin de se faire de la place. Ce n'est qu'ensuite qu'elle put joindre son idée à la sienne, en commençant par lui baisser son boxer sur les genoux afin de lorgner avec ravissement sur son énorme trique ! Un boudin rose qui ne l'effrayait point, bien au contraire ; les yeux de la fermière pétillaient de bonheur à l'idée de se familiariser avec un tel met.
Au niveau du poids, c'est moi qui gagne au change~
Amusée et non moins excitée, la demi-pyrône souffla sur le bout de cette verge turgescente. En retour, ses petites narines absorbèrent le puissant fumet qui en émanait. Une odeur corsée par un lourd soupçon de sueur après plusieurs bonnes minutes de travail et de marche. Pas le genre de fragrance susceptible de faire grimacer une petite perverse de son calibre.

- Hi hi hi ! ♥

Ses doigts caressèrent alors les bourses du géant rose, les triturant avec un soin tout particulier. Marisa se permit même de les soupeser dans le creux de ses mains - et de hausser les sourcils en conséquence tant elles avaient l'air pleines ! Son regard enfantin se fit plus voluptueux. La fermière descendit un tout petit peu plus bas, penchant la tête pour mieux frotter l'une de ses joues roses contre son service trois pièces. La chaleur qui s'en dégageait avait le don de l'émoustiller.

- La "marchandise" me paraît très prometteuse, soupira-t-elle.

Elle relâcha ses boules, remplaçant aussitôt ses doigts par ses quenottes. Marisa les mordilla tendrement avant de les lécher comme un petit chat. Sa langue gagna en audace au fur et à mesure que sa main droite, portée un chouia plus haut, coulissait à la base du mât. La Fleur des Champs masturbait son grand cochon en même temps qu'elle lui tartinait les gonades de sa salive. Elle n'hésita pas à les embrasser, quitte à y laisser l'empreinte de ses lèvres ou de ses dents en fonction de l'intensité du suçon/de la morsure.
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

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Bhouta
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Ils allaient prendre leur temps, bien sûr. Bhouta n’était plus le calme des amants. Quand il faisait l’amour, il emmenait tout son poids avec lui, et ses amantes en sortaient généralement éreintées. Il avait beau être un homme-porc, il était au lit un véritable prédateur ! Quand Marisa fit observer qu’il avait une faim de loup, Bhouta sourit, et répliqua sur le même ton amusé :

« Tu dis ça alors que c’est toi qui mords… On dirait que tu as envie de me dévorer. »

Bhouta ne croyait pas si bien dire, car, quand Marisa abaissa son boxer, elle s’attaqua à son sexe. La verge de Bhouta était assez impressionnante, et, quand elle fut libérée à l’air libre, son sexe tomba en avant, et heurta le visage de Marisa. Celle-ci s’en amusa. Bhouta put voir ses yeux s’illuminer. Son énorme ventre l’empêchait de voir son sexe en temps normal, mais, quand il bandait comme ça, il pouvait en voir la pointe. Sa main se déplaça, et caressa à nouveau les cheveux soyeux de Marisa. Bhouta souffla lentement, et sentit les mains de la jeune femme caresser ses testicules. Elle approcha ensuite ses lèvres, et commença à lécher, à embrasser… Et même à mordiller. Bhouta grimaça un peu au contact des dents de la femme.

Quand elle mordilla encore, sa main se crispa davantage sur les cheveux de la femme.

« Attention à tes dents, ma belle, mes testicules ne sont pas en acier ! Si tu veux mordiller, va là où la peau est plus épaisse… »

Pourquoi diable les femmes aimaient tant mordre ici ? Ce n’était que de la chair, il n’y avait pas d’os ici ! Alors, quand on mordait, ça faisait quand même mal ! Bhouta était sur ce point aussi sensible que n’importe qui. Il caressa encore les cheveux de Marisa, en la laissant jouer encore avec son sexe, glissant sa langue. Bhouta la laissait faire. Il avait le temps, et il ne voulait pas la brusquer. Au contraire, il aimait sa motivation, alors il la laissait agir, impatient de voir ce qu’elle allait faire, curieux et excité…
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Marisa Teritt
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Demande de RP
Le modeste avertissement du Buta exacerba la courbure du sourire de la bienheureuse. L'homme-cochon avait beau être un grand costaud, il n'en demeurait pas moins douillet des parties ! Cette vulnérabilité avouée rassurait la Fleur des Champs... pour peu qu'elle ressentît la moindre crainte en compagnie d'un morceau aussi épais que celui-ci.

- Pour cette fois, l'invité est en droit d'exiger~

Ses gros doigts boudinés caressaient sa magnifique chevelure rousse. Un contact attentionné, qui permettait également à Bhouta de maîtriser l'ardeur de la jeune femme. Elle cessa donc de lui marquer les testicules au bénéfice d'attentions beaucoup plus humides. Le petite catin inclina la tête de côté de sorte à refermer ses lèvres - et uniquement elles - sur ses attributs fripés. Au moment de les accueillir - une à une - dans sa bouche, elle creusa les joues, inspirant de façon dosée. Le but n'étant pas d'avaler les boules, plutôt de les enfermer dans un doux carcan de chaleur.

- Hmm-mmhh ♥

Ce faisant, la Fleur des Champs souriait par les yeux. Elle ne pouvait néanmoins point ancrer son regard dans celui de son partenaire, le ventre de ce dernier étant trop volumineux. Détail exotique qui, paradoxalement, ajoutait au charme de l'individu en question.
Les mains de la fermière n'étaient pas inactives. L'une d'entre-elles avait - plus ou moins - joint ses doigts autour du manche viril qu'elle secouait avec professionnalisme. L'autre, plus insidieuse, avait voyagé entre les jambes potelées du Buta pour mieux se glisser entre ses fesses dodues. Tandis qu'elle donnait obstinément de sa salive, Marisa espérait accroître l'érection du mâle en faisant courir son index aux alentours de son fondement - sans toutefois oser s'y introduire.
A un moment donné, la Fleur des Champs cessa de lui suçoter les bourses. Elle en éloigna son petit nez, reculant la tête de sorte à pouvoir, cette fois-ci, croiser son regard au-delà de son groin imposant.

- Vous ne trouvez pas qu'il fait chaud, m'sieur Bhouta ?

Elle interrompit ses différents attouchements. Mais sûrement pas pour faciliter la conversation ! Ses mains se déplacèrent au niveau de la grosse broche qui maintenait son foulard couleur poussin en place. Marisa la désinstalla, libérant son cou gracile au delà duquel cascadait sa crinière de feu.

- Moi, je commence tout doucement à étouffer...

Son sourire n'était définitivement pas celui d'une jeune femme en manque d'oxygène. Elle se dandina sur place avant d'adresser une œillade osé au grand cochon.

- A ce rythme là, j'ai bien peur de tremper ma robe~

Elle voulait qu'il la lui retire. Pour cela, il allait d'abord devoir descendre ses saucissons sur son ceinturon et se battre avec. Bien sûr : sous son dessus blanc, la Fleur des Champs portait un soutien-gorge assorti à sa culotte. A savoir : jaune avec un petit ourlet bleu clair.
Gare à lui s'il le lui déchirait !
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Message par Bhouta »

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Bhouta
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S’il était un homme solide faisant plusieurs centaines de kilos, son sexe restait un sexe tout ce qu’il y a de plus classique, nonobstant son épaisseur, soit un morceau de chair flasque, sans aucun os, qui durcissait sous l’effet de l’excitation. Physiologiquement, l’érection était liée à un simple phénomène sanguin, elle ne rendait donc pas un pénis plus résistant. Si Bhouta avait eu une verge avec un os, en bois, ou en acier, la séance de sexe aurait été beaucoup plus violente !

Bhouta frémit ensuite quand les petites menottes intrépides de Marisa glissèrent le long de son épais tour de taille, et titilla son fondement.

« Haaaa… Pe-Petite cochonne… »

Il n’était pas fréquent de se risquer à titiller l’épais fondement de Bhouta. Sans surprise, celui-ci avait pour le coup un vrai gros cul, un séant massif qui pouvait vous écrabouiller sur place. Prudence, prudence ! Mais, comme tout homme, Bhouta n’était pas contre qu’on se glisse par là. Il avait également une prostate qu’il fallait bien stimuler.

Marisa ne se risqua pas à aller jusque-là, et lécha encore les testicules de Bhouta. Elle se retira ensuite, et ôta délicatement son foulard jaune, avant de réclamer les délicates mains de l’homme-porc. Bhouta souffla encore. Elle lui demanda s’il ne faisait pas chaud, et le cochon acquiesça, caressant à nouveau la joue de la femme.

« Ouais, t’es une vraie chaudière, ma cocotte… »

Franc-parler en vue ! Bhouta souffla quand elle retira son foulard, puis réclama de l’aide pour déchirer… Non, retirer sa robe ! Bhouta serra nerveusement ses mains. Toutes ses amantes savaient qu’avec un amant aussi énergique, quand on le stimulait trop, il pouvait vite ripper !

Bhouta la regarda se dandiner sur place, et se rapprocha alors.

« On devrait aller dans ta chambre, ma belle… C’est plus adapté pour te déshabiller. »

Il laissa Marisa le guider, découvrant un peu plus de la maison. C’était un sympathique cottage en bois, une belle et grande maison aérée. Ils grimpèrent à l’étage, les marches de l’escalier en bois craquant sous les pas de Bhouta, qui en profita pour reluquer le cul de Marisa sous sa robe. Il put ainsi voir de belles petites fesses arrondies qui se dandinaient sous sa truffe, un magnifique cul prêt à se faire prendre. Il sourit, puis le duo rejoignit ensuite la chambre de Marisa.

Une chambre pleine d’innocence, avec des peluches, un bureau… Bhouta referma la porte derrière eux, et, dans le dos de Marisa, posa ses mains sur sa ceinture. Il défit délicatement la ceinture en cuir, et nota que le chemisier de Marisa se tendait sous l’excitation, moulant ses tétons. Il sourit alors, et posa sa main sur le chandail, pressant le sein à travers la tenue, amenant naturellement Marisa à se crisper et à gémir.

« Il faut croire que lécher mes testicules t’a excité, ma belle… Sache que, la prochaine fois, tu pourras glisser ton doigt en moi… Voire plus. »

Il n’avait pas la poésie de la jeune femme. Malaxant son sein, Bhouta attrapa avec l’autre un pan de sa jupe violette, et tira dessus. La jupe tomba sans se déchirer, glissant le long des jambes de la femme. Bhouta frotta ensuite son groin contre le creux du cou de Marisa. L’insistance avec lequel il le faisait semblait suggérer que ce groin était visiblement assez érogène pour le brave homme-cochon.

Il retira ensuite le chandail en l’attrapant depuis le bas, et en le relevant. Bhouta sourit ensuite en la voyant en sous-vêtements jaunes. Il l’embrassa alors, et l’enlaça même, posant une main sur ses cheveux, l’autre caressant ses fesses.

« Tu as de très beaux sous-vêtements, ma chérie… Je crois que c’est à mon tour d’agir, non ? Installe-toi sur ton lit… »

Tout nu, Bhouta s’agenouilla devant elle, et caressa la jambe de la femme. Elle était assise sur le rebord du lit, et il commença par lécher son pied, remontant doucement sur ses belles jambes et en les embrassant.

Si elle voulait le frustrer, lui aussi se plaisait à le faire, bien décidé à faire augmenter encore la température !
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Message par Marisa Teritt »

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Marisa Teritt
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Enregistré le : 16 août 2024 16:17
Fiche
Demande de RP
Sans grande surprise, Bhouta lui proposait de passer au niveau supérieur, à savoir : là haut, dans sa chambre.
La cocotte couvait cette idée aussi bien que le grand cochon lui caressait la joue. Sa puissance masculine l'excitait dangereusement ; Si bien que la Fleur des Champs devait produire quelques efforts pour se maîtriser. En ce sens, monter les escaliers ne pourrait que lui faire du bien. Ainsi qu'à son mastodonte de partenaire, tiens !

- Le client est roi~

Etait-ce là ce que le Buta représentait à ses yeux ? Peut-être ! Ne lui avait-il pas promis de l'aider à réparer le toit de la grange en mettant la main à la poche. Ces paroles faisaient de lui un homme honorable aux yeux de la jeune fermière, qui ne répugnait pas du tout à fricoter avec un tiers.
Ici, elle avait surtout l'impression d'avoir touché le gros lot !

Tandis qu'elle montait les marches jusqu'à l'étage, la rouquine, pas si innocente que ça, savait que son invité avait les yeux rivés sous sa robe. L'absence de culotte, qu'elle lui avait tout à l'heure insolemment déposé sur la tête, renforçait son excitation.
Hi hi hi.
Elle poussa la porte de sa chambre, amenant dans son sillage le grand Buta à s'introduire toujours plus loin dans son intimité. Ce dernier jeta un rapide coup d'œil à la ronde avant de se presser contre le dos de son hôte. Tandis qu'il tripotait sa ceinture en vue de la lui ôter, Marisa s'amusa à engouffrer son groin chaud dans sa chevelure de feu. Son souffle, autant que sa proximité masculine, l'amena à pointer sous son chandail. Après avoir défait la ceinture, Bhouta eut vite fait de s'intéresser à l'un de ses seins, qu'il pressa de sorte à lui soutirer quelque son.
Il ne s'arrêta pas là, lui susurrant à l'oreille d'émoustillantes promesses.

- Je vais avoir beaucoup de mal... Hmmm, M'sieur Bhouta... à patienter sagement ♥

Son énorme main n'englobait que trop bien son sein, qu'il malaxait avec un plaisir équivoque. Marisa soupira lourdement alors qu'il s'attaquait à sa jupe, la faisant choir sur ses bottes. Son groin lui chatouilla le cou. Elle frémit entre ses bras gras. Une main de la fermière s'éleva pour lui caresser une oreille, puis les cheveux. Ce geste facilita son défeuillage, Bhouta en profitant pour lui retirer son haut. La crinière de Marisa retomba sur ses épaules nues, ajoutant indéniablement à son charme.

- Ma dernière barrière, murmura ardemment la jeune femme.

Elle voulait parler de son soutien-gorge, qu'elle retira en se cambrant alors que le grand cochon explorait son corps avec ses paluches. Après lui avoir tripoté les fesses, celui-ci lui demanda de s'installer sur le lit.

- Aaaaaa vos ordres !~

En bonne joueuse, Marisa se laissa tomber dessus, les bras largement écartés ! Elle eut un petit rire avant que Bhouta, totalement nu à son instar, s'approche du rebord. Toujours avec amusement, la Fleur des Champs se redressa face à lui. Elle ne le défiait pas mais ça en avait pourtant tout l'air !
Son partenaire changea de tactique, dardant sa langue de bœuf au niveau de ses orteils libérés. Marisa les fit remuer un peu avant d'éprouver des sensations de plus en plus plaisantes. Les lèvres du porc grimpèrent jusqu'à ses jambes de jeune gambadeuse, les gratifiant de baisers qui ne faisaient qu'ajouter toujours plus de combustible à son petit four de chair.
Les joues de la fermière rosirent à vue d'œil.

- Vous êtes un grand coquin, m'sieur Bhouta...

Mais elle mentirait en disant que la vision d'un homme aussi imposant, agenouillé devant elle, en train de lui lécher la jambe de la cheville jusqu'à la cuisse, n'était pas à son goût.
Elle frissonna sur place.

- Je ne vous ai même pas demandé... ce que vous pensez de ma petite tanière...

Il avait grimpé si haut qu'elle pouvait lui caresser la tête. Marisa ne s'en priva pas, flattant son crâne touffu.
Elle écarta un peu plus les jambes, lui offrant une vue de privilégié sur sa douce intimité.

- Autant que je me rattrape avec celle-ci~

Cette main libre, la Fleur des Champs s'en servit pour pallier à son excitation croissante.
Etait-ce de la triche aux yeux du cochon ?
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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Message par Bhouta »

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Bhouta
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Enregistré le : 23 nov. 2024 12:58
Fiche
Demande de RP
Le souffle de Bhouta se précipitait, s’amplifiait. Ils étaient désormais tous les deux nus. Bhouta avait posé la culotte de Marisa sur la poignée de la porte, à l’extérieur, comme un message clair pour d’éventuels pensionnaires de cette ferme. La chambre étant dans les combles, le toity était penché, avec d’énormes poutres en bois apparentes. Bhouta fit donc attention, vu sa taille, à ne pas se cogner, et grimpa sur le lit. Marisa s’impatientait, allant jusqu’à se masturber, ce qui amusa l’homme-porc. Il posa un genou sur le lit, puis l’autre. Avec son poids massif, le haut du lit se suréleva un peu, avant que Bhouta ne s’avance un peu, faisant contrepoids. Le lit se remit en position, et Bhouta posa ses mains sur les hanches de Marisa. Elle semblait si petite comme ça, si fragile, une vraie poupée… Un régal pour notre brave cochon ! Il sourit donc, et sa main donna une belle gifle sur les fesses de Marisa, une claque qui résonna dans la pièce, tandis que son épaisse verge caressait désormais la croupe de sa belle hôtesse.

« Ma foi, ta tanière me plaît, Marisa… Très mignonne, très accueillante, je ne demande qu’à en explorer davantage ! »

Bhouta rapprocha sa verge de l’intimité de Marisa, et la pénétra alors, tout en attrapant avec son autre main les cheveux de Marisa. Il tira dessus, relevant le bustier de la femme, tout en glissant sa verge en elle. L’homme-porc grogna. Malgré l’intimité humide de sa partenaire, sa queue épaisse se heurta aux parois de la jeune femme.

« Hmmm, que c’est humide, héhé… Tu en avais envie, hein, ma belle ? Quelle traînée ! »

L’homme-porc soupira et posa ses deux mains sur les hanches de Marisa, puis commença à amplifier le rythme, et à la prendre bien comme il le fallait.

« Gnnn… Si serrée, haaaaa… Ta petite chatte aime bien me sentir en elle, hein ? Tu l’aimes, cette grosse queue ? Dis-le-moi ! »

Et, comme pour la motiver encore, Bhouta releva sa main, et la fessa à nouveau !
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