S’il était un homme solide faisant plusieurs centaines de kilos, son sexe restait un sexe tout ce qu’il y a de plus classique, nonobstant son épaisseur, soit un morceau de chair flasque, sans aucun os, qui durcissait sous l’effet de l’excitation. Physiologiquement, l’érection était liée à un simple phénomène sanguin, elle ne rendait donc pas un pénis plus résistant. Si Bhouta avait eu une verge avec un os, en bois, ou en acier, la séance de sexe aurait été beaucoup plus violente !
Bhouta frémit ensuite quand les petites menottes intrépides de Marisa glissèrent le long de son épais tour de taille, et titilla son fondement.
« Haaaa… Pe-Petite cochonne… »
Il n’était pas fréquent de se risquer à titiller l’épais fondement de Bhouta. Sans surprise, celui-ci avait pour le coup un vrai gros cul, un séant massif qui pouvait vous écrabouiller sur place. Prudence, prudence ! Mais, comme tout homme, Bhouta n’était pas contre qu’on se glisse par là. Il avait également une prostate qu’il fallait bien stimuler.
Marisa ne se risqua pas à aller jusque-là, et lécha encore les testicules de Bhouta. Elle se retira ensuite, et ôta délicatement son foulard jaune, avant de réclamer les délicates mains de l’homme-porc. Bhouta souffla encore. Elle lui demanda s’il ne faisait pas chaud, et le cochon acquiesça, caressant à nouveau la joue de la femme.
« Ouais, t’es une vraie chaudière, ma cocotte… »
Franc-parler en vue ! Bhouta souffla quand elle retira son foulard, puis réclama de l’aide pour déchirer… Non, retirer sa robe ! Bhouta serra nerveusement ses mains. Toutes ses amantes savaient qu’avec un amant aussi énergique, quand on le stimulait trop, il pouvait vite ripper !
Bhouta la regarda se dandiner sur place, et se rapprocha alors.
« On devrait aller dans ta chambre, ma belle… C’est plus adapté pour te déshabiller. »
Il laissa Marisa le guider, découvrant un peu plus de la maison. C’était un sympathique cottage en bois, une belle et grande maison aérée. Ils grimpèrent à l’étage, les marches de l’escalier en bois craquant sous les pas de Bhouta, qui en profita pour reluquer le cul de Marisa sous sa robe. Il put ainsi voir de belles petites fesses arrondies qui se dandinaient sous sa truffe, un magnifique cul prêt à se faire prendre. Il sourit, puis le duo rejoignit ensuite la chambre de Marisa.
Une chambre pleine d’innocence, avec des peluches, un bureau… Bhouta referma la porte derrière eux, et, dans le dos de Marisa, posa ses mains sur sa ceinture. Il défit délicatement la ceinture en cuir, et nota que le chemisier de Marisa se tendait sous l’excitation, moulant ses tétons. Il sourit alors, et posa sa main sur le chandail, pressant le sein à travers la tenue, amenant naturellement Marisa à se crisper et à gémir.
« Il faut croire que lécher mes testicules t’a excité, ma belle… Sache que, la prochaine fois, tu pourras glisser ton doigt en moi… Voire plus. »
Il n’avait pas la poésie de la jeune femme. Malaxant son sein, Bhouta attrapa avec l’autre un pan de sa jupe violette, et tira dessus. La jupe tomba sans se déchirer, glissant le long des jambes de la femme. Bhouta frotta ensuite son groin contre le creux du cou de Marisa. L’insistance avec lequel il le faisait semblait suggérer que ce groin était visiblement assez érogène pour le brave homme-cochon.
Il retira ensuite le chandail en l’attrapant depuis le bas, et en le relevant. Bhouta sourit ensuite en la voyant en sous-vêtements jaunes. Il l’embrassa alors, et l’enlaça même, posant une main sur ses cheveux, l’autre caressant ses fesses.
« Tu as de très beaux sous-vêtements, ma chérie… Je crois que c’est à mon tour d’agir, non ? Installe-toi sur ton lit… »
Tout nu, Bhouta s’agenouilla devant elle, et caressa la jambe de la femme. Elle était assise sur le rebord du lit, et il commença par lécher son pied, remontant doucement sur ses belles jambes et en les embrassant.
Si elle voulait le frustrer, lui aussi se plaisait à le faire, bien décidé à faire augmenter encore la température !