Comme il fallait s’y attendre, les premières démonstrations que le garçon fit de sa lance ne passèrent pas inaperçues auprès des deux jeunes femmes qui s’étaient si bien occupées de lui tout au long de ces délicieuses minutes.
Sa première éjaculation, tout bonnement massive -pour quelqu’un n’étant pas accoutumé aux usages du divin attribut-, ne resta pas sans effet, à en croire les commentaires qu’elles firent toutes deux. La première, après avoir fini d’avaler son dû, tandis que la prêtresse, la seconde, en recueillait une lampée du bout de sa langue gourmande, qu’elle passa sur le chibre de Vaan, toujours raide et tendu, lui arrachant au passage un frisson.
Son mât tressauta même, lorsqu’il la regarda faire, et qu’elle lui rendit un sourire amusé avant de s’approcher encore.
Déglutissant d’appréhension comme d’envie, en sentant venir ce qui allait arriver, le porteur de la lance se laissa faire sans broncher quand elle guida sa main sur l’un de ses merveilleux seins, qui pendaient à presque en toucher le sol, alors qu’elle se tenait penchée.
Soupesant l’obus ferme, et lourd de plusieurs kilos sans aucun doute, il ne tarda pas à le couvrir de caresse, le regardant lui, puis elle, puis lui, comme pour lui faire part, en ces regards seulement, de tout son émerveillement.
Pressant cet énorme nichon, bien trop gros pour sa main, Vaan se mit à le caresser, à le malaxer sans force pour le couvrir de toute sa tendresse, de toute son envie. Il aurait eu envie de se saisir de son jumeau, de les triturer, puis de les téter tous deux, mais n’en eût malheureusement pas le temps, la jolie blonde ayant semblait-il d’autres plans pour la suite…
Alors qu’à quatre pattes, Merveil se tournait, il eût cru qu’elle allait à son tour lui dévorer le dard, le vider dans sa petite bouche d’une nouvelle salve de son jus, mais se surprit à sentir tout autre chose, quand enfin son gros cul vint obstruer sa vision.
Ses belles mamelles, si lourdes, venaient d’encercler sa lance si haut tendue, l’écrasant de tout leur poids, mais aussi de toute leur douceur.
De nouveau, Vaan frissonna, puis laissa sa tête retomber au sol, défait par tant d’attentions.
« Oooh… »
Qu’ils étaient lourds, ces seins qui lui massaient la queue, si lourds…
Ç’aurait pu en être douloureux d’ailleurs, si tout le foutre et la salive qui couvraient encore sa hampe n’agissaient pas, alors, comme un formidable lubrifiant.
« aah… hmmm… ça oui, vous êtes bien lochée, mademoiselle. »
Astiqué de si belle façon, son sexe se voyait revêtir son calot, puis s’en délester, à vitesse variable, mais en de grands bruits humides.
Ce faillit être la goutte de trop, quand il reconnut, à sa façon de faire, que Squidy s’était mise à aspirer ce qui de sa bite, entrait et sortait du merveilleux écrin que lui avait offert la prêtresse. Sans aucune autre forme de procès, s’était-elle mise à faire tournoyer sa langue sur son gland, qui déjà déformait de nouveau l’intérieur de ses joues.
Dur comme on ne pouvait faire plus dur, le garçon trouva un parfait exutoire dans le fabuleux fessier de la prêtresse, qui reposait désormais juste au-dessus de sa petite tête.
Puisqu’il était beau, terriblement beau, et qu’il lui fallait détourner un peu ses sens de ce qui se passait sous sa propre ceinture, se mit-il donc à s’en occuper…
Levant les mains bien haut, il commença par se saisir de celui-ci par les côtés, appuyant dessus pour le voir rebondir un peu, déformant sa belle raie, de laquelle il approcha son nez.
« Vous avez un super cul, aussi ! », lança-t-il à Merveil, alors qu’il empoignait ses larges fesses de ses petites mains pour mieux le pétrir.
Ses mains glissant longuement tout en traçant des cercles pour en couvrir petit à petit toute la surface, Vaan en revint à sa raie, que ses deux mains écartèrent, pour dévoiler celui de ses trous, sur lequel il n’avait pas encore bonne vue.
L’observant une seconde, il s’amusa, se demandant bien s’il pourrait essayer de la lui mettre là. Serrée comme elle devait être, le plaisir qu’il en tirerait serait sans doute sans nul autre pareil.
La seconde passant, le garçon lâcha l’une de ses prises, et finit par faire glisser un doigt curieux, partant de son anus, jusqu’aux poils d’or surplombant ses lèvres intimes.
Les chatouillant, Vaan les écarta tout en les effleurant, puis rapprocha d’encore plus près son visage pour se mettre à souffler.
Son doigt s’enfonçant, à chaque nouveau centimètre, dans toujours plus humide territoire, il finit par s’enfoncer en elle… longuement, et tout doucement.
Repliant son doigt en crochet, il se mit à fouiller, à expérimenter, à la recherche de ce qui, le plus bruyamment, la ferait réagir.
Et, sans plus tarder, se redressant autant que cela lui était possible, s’aidant de son bras sur le cul de Merveil, Vaan s’approcha, pour que ses lèvres puissent aller à la rencontre de celles qu’il avait sous les yeux.
Y déposant un premier baiser timide, et poli, puis un second, le garçon sortit ensuite sa petite langue, pour laper verticalement cette bien belle fente, dans laquelle son premier doigt s’était déjà trouvé un camarade.
Sa seconde main, posée sur cet incroyable séant, glissa à son tour. Un autre de ses doigts, curieux lui aussi, pressait, et traçait de petits cercles concentriques sur son second orifice, le préparant à l’accueillir.
En quelques secondes à peine, Vaan, l’empoté et timide garçon de ferme, laissait alors entrevoir cette autre facette de sa personnalité qu’il n’avait découverte que très récemment. La bouche grande ouverte, avide, le voilà qui dévorait, avec fougue et passion, la chatte d’une parfaite inconnue.
Emporté par ce désir fou qui dévorait ses entrailles, il se mit même à jouer de ses hanches, imposant à son tour, son propre rythme, à la branlette espagnole qui lui était donnée.
Passionnément, de ce côté-ci aussi, se mit-il alors à baiser ces beaux seins.