The Multiversity

[Sarah Kerrigan]

Sélipa était en train de basculer totalement. Quel régal ! Face à ce paradis offert, face à ce bonheur sexuel permanent, elle basculait. Elle acceptait finalement de céder à la tentation, et de faire l’amour avec ces deux femmes en ne leur épargnant rien. Elle jouit ainsi dans la bouche de Rachel, et conserva son érection. Sur son pubis, un inmon s’était formé, et brillait, comme pour renforcer la vigueur sexuelle de Sélipa. La Saïyen semblait avoir une légère préférence pour Rachel, puisqu’elle lui ordonna de se mettre à quatre pattes.

« Oui, Maîtresse ! Venez me défoncer le cul ! »

Il y avait des enfants qui se promenaient à Costa del Sol, mais qui passaient à côté du trio sans se poser de questions. Sélipa pouvait d’ailleurs constater que, si son scouter les analysait, le NS indiqué était inexistant.

« Ils ont des spores xénos dans la tête qui bloquent tout acte sexuel. Pour eux, nous apparaissons comme des formes floues au son coupé, comme s’ils regardaient un film crypté sur une chaîne pour adultes. »

Aucun risque de corruption, donc ! Si ce scénario était digne de l’épisode « White Christmas » de la série « Black Mirror », cela n’en restait pas moins efficace. Tout adulte faisant l’amour était automatiquement bloqué des enfants. Il y avait des règles ici. Une solution alternative aurait pu être de séparer les enfants des parents, mais il fallait croire que l’instinct maternel de la Reine des Lames se heurtait à ce scénario cruel.

En tout cas, Sélipa put besogner Rachel à même la rue, sur une place piétonne. Elle s’enfonça dans le fondement de la femme, et sentit Christiane derrière elle, qui venait l’embrasser dans le creux du cou, avant de palper ses seins, de la forcer à tourner le visage pour l’embrasser tendrement. Elle caressait également la queue caudale de la Saïyen. Cette queue était habituellement le point faible des Saïyen, mais ils apprenaient à la domestiquer, et à l’utiliser.

La queue caudale de Sélipa commença alors à vibrer, et à durcir, se redressant, semblant bien plus réceptive qu’elle ne l’avait jamais été.

« Tu sens ça ? Ton corps s’adapte à notre environnement, lui aussi… Enfoncez votre queue dans ma chatte, Maîtresse, régalez-vous de ma mouille de petite pute…
- Oh, Maîtresse, c’est si bon, de sentir votre queue en moi… Allez, allez, baisez-mois plus fort, oui, plus fort, haaaa… Baisez-moi comme la chienne en rut que je suis !! »

[Sélipa]

En plus de pouvoir prendre beaucoup de plaisir sur le cul délicieux de Rachel, tu as droit à un cours de rattrapage de la part de cette chère Christiane. Les informations qu'elle t'a délivrées ne sont pas tombé dans l'oreille d'une sourde ; après tout, tu es le genre de guerrière qui répugne à devoir recourir à la violence face ou sous les yeux d'un enfant. Le fait que les gamins ne puissent pas souffrir de la vision de vos ébats en plein air, et surtout de ta propre perversion, te rassure immanquablement.

- Je vois le tableau... Hum !... et c'est bien mieux comme ça... Han !... pas vrai, ma Rachel ?

Son fessier musclé répond admirablement bien à la paume de ta main. A tel point qu'il parait avoir été fait pour ça. Pour recevoir des gifles. Mais aussi pour ce moment exact à la fin duquel tu comptes bien l'honorer de ce qu'une simple Saïyajin comme toi, sans l'époustouflante magie des xénos, n'aurait jamais pu produire avec son entrejambe féminin.
Rien d'étonnant à ce que les mâles en redemandent toujours.
Même si les femmes n'en démordent pas d'une certaine Manière. Christiane, en parfait exemple, n'aspire guère à rester sur le banc de touche tandis que sa collègue se fait besogner le derrière. Ses attentions sont véritablement touchantes. Qu'elles tournent autour de tes seins, de tes lèvres ou encore de ton attribut saïyan.
Par ailleurs, les poils de ta queue de singe se dressent doucement au contact de ses doigts langoureux. Un appendice qui tend à se relever et, en réponse à cette sympathique "collaboration", à se tortiller contre la peau parfaite de l'autochtone.
Sans filtre aucun, Christiane, comme chauffée à blanc, t'invite alors à lui fourrer ta queue caudale entre les cuisses.
Tu souris à cette idée. Un rictus vicieux que tu as plutôt l'habitude d'arborer en plein combat, à l'encontre d'un adversaire sur le point de succomber à ta main.

- Oh ! Toi, ma grande, tu es une visionnaire~

Autant lui rendre justice en lui offrant ce qu'elle a si vulgairement demandé !
Sans ambages, ta queue hirsute s'aventure entre ses cuisses chaudes. Tu en retires une fabuleuse décharge de plaisir, que Rachel perçoit sans doute elle-même entre ses parois étriquées.
Il n'est pourtant pas question de relâcher ta concentration sur ta première proi... partenaire. Rachel souhaite que tu la pilonnes, que tu la secoues plus fort encore ? Bien. Parfait, même ! D'une poussée de la main entre les omoplates, tu la forces à s'incliner. Puis tu t'empares de sa croupe à pleines mains, la bourrant de coups de reins qui, si tu avais été à sa place, t'auraient toi-même fait vibrer de l'intérieur.

- La chienne en rut mérite que je lui donne une putain de bonne leçon - ça, oui !

C'est ainsi que tu te retrouves à gérer deux fronts à la fois : l'exploration hardie du tunnel étroit de Rachel ET le gouffre humide de Christiane. Une opération unie qui, pour le coup, te sert de mise à l'épreuve autant que d'entraînement. De quoi parfaire l'utilisation de ton outil principal masculin et, dans un élan d'innovation, briller auprès de l'une de tes guides touristiques à travers l'usage insolite de ton attribut simiesque.
Nul doute qu'au sein de ce paradis, les gémissements vont aller bon train !

[Sarah Kerrigan]

« Il paraît que leurs queues sont un point faible, qu’ils s’entraînent toute leur vie, et que seuls les Saïyen d’élite arrivent à suffisamment dresser leur queue pour qu’elle ne soit plus un point faible… »

Depuis son bureau, la Gouverneure buvait un café en observant la scène qui avait lieu devant son bâtiment. Sélipa était la première Saïyen que sa Maîtresse avait réussi à domestiquer. Tous les autres, il avait fallu les tuer. Insoumis, violents, cruels, ils n’aimaient que la bataille, le sang, l’affrontement. Elles n’avaient jamais réussi à analyser leur constitution, et, bien évidemment, la queue simiesque de Sélipa avait fait l’objet de modifications, pour la rendre plus aphrodisiaque. Ce que Sélipa ressentait quand on palpait cette queue caudale était inattendue pour elle. C’était donc avec grande attention que la Gouverneure observait la scène, impatiente de rencontrer elle aussi Sélipa.

En contrebas, la fameuse Saïyen avait affaire à un redoutable duo. Rachel et Christiane étaient toutes les deux des amantes redoutables, aussi belles qu’endurantes. Sélipa s’enfonçait avec force dans le cul de Rachel, grognant et soupirant longuement, tandis que sa queue simiesque se transformait en véritable organe sexuel.

« Haaaa… Oui, c’est bien, hmmm… Sentez comme votre queue simiesque devient une extension érogène de votre corps, Maîtresse… »

Sélipa était à ce stade partie dans une véritable transe sexuelle. C’était comme si son agressivité naturelle de Saïyajin avait été canalisée, son énergie utilisée à des fins sexuelles. Difficile de savoir si cela était spécifique à Sélipa, ou s’ils pourraient reproduire par la suite cet exploit. Mais, dans tous les cas, elles en profitaient. Oh, quelle endurance incroyable ! Oui, oui, Rachel se faisait laminer le cul, et… Et c’était bon, putain ! Oh ça oui, elle prenait son pied comme jamais, la belle salope ! La voilà qui mouillait, qui couinait, avec un sourire idiot sur les lèvres, tandis que, inlassablement, Sélipa continuait à la bourrer.

De son côté, Christiane était bien décidée à agir. Elle s’appuya sur ses genoux, et fourra sa tête contre le cul musclé de Sélipa, puis commença à malaxer ses fesses, les écartant, puis lécha son fondement. Elle titillait ce cul musclé et bien charpenté.

« Haaa… A-Allez, y Maîtresse, b-bourrez-moi, montrez-leur… Montrez-leur combien vous êtes forte, haaa… Q-Que le village entier me jalouse, qu’elles aient toutes envie que v-vous les baisiez comme çaaaa, haaaaa… !! »

[Sélipa]

Ces femmes-là ne pouvaient pas être de simples humaines. Elles avaient sans doute dû subir des modifications entre les mains des Xénos. Des améliorations biologiques comme celles que tu as toi-même subi entre les mains de ces satanées jumelles qui t'ont besognée jusqu'à ce que tu en tombes de fatigue. Ton changement tourne vraisemblablement autour de ta queue de singe. Un appendice devenu autrement plus pratique qu'avant, puisqu'au lieu de t'affaiblir sous la pression il te procure une forme de plaisir aussi distinctive que celle de ton membre "magique".

- C-c'est dingue... mais aussi foutrement bon !

Tu ne comptes pas lâcher les hanches de Rachel. Cette superbe chienne mérite que tu lui lamines la rondelle en profondeur, et tu ne te fais pas prier pour qu'elle ne puisse plus s'asseoir durant les prochains jours. Elle s'imagine suffisamment solide pour résister à tes coups de boutoir ? Pfah ! Malgré son palmarès, tu ne parieras pas là-dessus. Tu es une guerrière, après tout ; pas elle. Une combattante féroce et forte qui a déjà su soumettre plus d'un mâle durant la fornication.
La patronne, ici, c'est moi ! Et c'est en bouchant vos gouffres que je vais vous inculquer le maximum de respect.
Sans t'arrêter de la pilonner, tu passes une main gantée entre ses cuisses. Après seulement quelques caresses, tes doigts en ressortent tout trempés.
Elle mouille comme un nuage un jour de pluie.
Cette main souillée, tu la remontes jusqu'à son cou afin de l'obliger à se redresser. Mouvement en levier de ses hanches fécondes qui tord délicieusement ta queue prisonnière de son cul d'athlète.
Cette expérience t'arrache un profond soupir qui lui caresse l'oreille avant que tes mots "doux" prennent le relais :

- Ton trou de salope me serre avec tant d'insolence... Tu me donnes de plus en plus envie de te soumettre. De te rendre addicte à ma grosse queue !

Ne pas avoir à frapper ton monde ne t'empêche pas de faire montre d'une certaine violence à l'égard de tes partenaires. De ce fait, pendant que tu étrangles à moitié Rachel, ton bassin lui heurte les fesses en produisant de sacrés claquements ! Un cul que tu te sens obligée de faire rougir, voire peut-être même bleuir, pour bien l'honorer.

Cela étant dit, heureusement que cette gourmande de Christiane est là pour t'empêcher d'aller trop loin : son initiative quelque peu tordue - à comprendre par là qu'elle en a bien profité pour plonger son visage entre tes fesses - ralentit quelque peu tes mouvements de bassin.
Cette langue qui me lape... Brrr ! quelle putain d'audace ♥
Il semblerait que tu l'ais sous-estimée. La blonde marque des points, c'est évident ! Son activité pimente vos ébats tout en assurant une certaine protection à sa collègue de baise. Alors qu'elle te ravale la façade arrière, tu ramènes une main dans ton dos pour lui flatter sa chevelure d'or.

- Je te trouve drôlement offensive, boucle d'or ! C'est bien... très bien, même~

Tu lui caresses la tête avant de raffermir subitement ta poigne dessus. C'est ainsi que tout en culbutant Rachel avec un membre plus dur que jamais, tu forces cette blonde sulfureuse à te repeindre le derrière avec sa salive de succube.
L'effort te fait serrer les dents, mais parlons plutôt de ta queue de singe qui s'est délogée de cette chatte humide pour venir - toute humidifié de ses fluides intimes - se tortiller entre ses seins ronds. Cette poitrine explorée finit vite compressée par ton organe aussi vigoureux que poilu. Un contact sauvage et chaleureux, qui n'a décidément pas fini de te faire découvrir les joies de ton séjour en terres xénos.

[Sarah Kerrigan]

Sélipa était en train de vivre sa meilleure vie, sans aucun doute. Occupée à besogner Rachel, elle y allait franchement, déployant toute sa puissance, toute son énergie. L’agressivité naturelle des Saïyen se convertissait en une soif sexuelle débonnaire, en une soif de domination, mais qui n’impliquait pas de tuer ses amantes. Non, Sélipa voulait les dominer sexuellement, les soumettre. Rachel et Christiane avaient chacune une expérience sexuelle très forte, bien davantage que Désirée. Et il semblait indéniable que leur endurance constituait une couche d’excitation supplémentaire pour Rachel, qui continuait à défoncer méthodiquement et puissamment le cul de Rachel. Ses solides coups de reins, ses grognements… Sans le réaliser, elle avait petit à petit attiré des curieuses, formant un cercle autour des trois femmes. Une attraction locale, comme voir un mime, ou écouter un artiste-itinérant jouer de l’accordéon. C’était intense, et un sacré spectacle ! Sélipa s’amusait aussi avec sa queue caudale, la promenant sur les seins de Christine, tout en lui intimant de s’attaquer à son fondement.

« Mmmhmmm… !! »

Christine n’essayait pas de répondre, préférant se focaliser sur son office, sur ce délicieux cul qu’elle titillait avec sa langue. Ses mains se déplaçaient pour caresser les hanches de Sélipa, s’appuyant dessus, se crispant doucement. Gémissant encore, Christiane continuait son œuvre, motivée par les soupirs et par les cris de Rachel, qui continuait à sentir l’épaisse verge de Sélipa lui ramoner le fondement.

« Haaan Maî-Maîtresse… B-Baisez-moi encore, ouuii… Je suis v-votre soumise, votre réceptacle à foutre, hmmm… Relâchez-vous en moi, marquez-moi comme votre chienne ! »

Sa chienne, oui, car c’était finalement tout ce que Rachel était, une chienne nymphomane affamée que Sélipa besognait sans relâche. Le spectacle était intense, et Rachel et Christiane suivaient volontiers le rythme. Si Rachel allait jouir avant Christiane, elle se retenait, elle calquait son rythme et ses pulsions sur celles de sa Maîtresse. Elle sentait son membre puissant lui ramoner le cul, et elles lui étaient offertes, Rachel n’attendant plus que la saillie définitive de sa Maîtresse !

[Sélipa]

Vos ébats ont attiré les regards. Tout autour de vous, le peuple féminin se rince l'œil en se gardant de ciller autant que possible. Elles ne veulent rien louper de cette sauterie dans laquelle tu te donnes corps et âme.
La succès a toujours été enfant d'audace !
Elles veulent en avoir plein la vue ? Très bien ! C'est dans le stupre que t'accordes l'insigne honneur de dominer tes deux chiennes en rut.

- Je vais te donner le coup de grâce, ma grande ! Le genre que... Humpf !... tu n'es pas près d'oublier.

Au beau milieu de la culbute, ton aura explose ! Le souffle repousse Christiane, qui t'a de toute façon assez mangé le derrière. Plutôt qu'être projetée avec violence, la belle trébuche en arrière aux pieds des spectatrices ébahies. Rachel, quant à elle, ne risque pas de s'envoler dans la mesure où tes mains gantées la maintiennent avec force.

- Admirez le sort que je réserve à celles qui ont la prétention de vouloir me baiser !

La frustration de la veille ? Tu l'épuises sur le dos de ta vigoureuse partenaire ! Ses muscles fessiers se déforment au contact de ton bassin. Ton membre lui percute les entrailles avec force. Rachel ne peut que crier de plaisir et de douleur à la fois. Ses hurlements te font sourire comme la dangereuse prédatrice que tu es ! Tes bottes sont éclaboussées par sa mouille.

- Hun ! Hum ! Hrgggn !

Une bête lubrique : voilà ce que tu es devenue en leur compagnie. Tes mouvements, ta respiration, ton attitude... en cet instant, tout est synonyme de férocité chez toi. Tes cheveux se sont hérissés, tes muscles contractés et puis... l'explosion ! Focalisée. Dans la chambre noire de Rachel. Des chapelets de semence lui gonflent le bide tandis que tu te soulages par saccades.

- Ooohhh!... Rhaaaaa... Aaaah~

Quand tu te retires d'elle, Rachel tombe au sol, son derrière en compote.
La verge encore crémeuse, tu braques ton regard vers Christiane.
Sa bouche séduisante t'attire toujours autant. D'autant plus qu'elle a fait ses preuves quelques secondes plus tôt, alors...
Tu la retrouves et lui déposes une main sur la tête. Chevelure soyeuse que tu empoignes avant d'exiger :

- Tu peux bien me nettoyer ça, pas vrai ?

Question rhétorique puisqu'elle n'a pas voix au chapitre. Ses lèvres tamponnent la pointe souillée de ta queue avant de s'ouvrir en grand sur son passage ! Un facefucking sans merci susceptible de la faire larmoyer. Ou pas ? Tu t'en moques à partir du moment où sa gorge d'affamée te sert de fourreau de "fortune".

[Sarah Kerrigan]

Sélipa donna ses ultimes forces en jouissant dans le corps de Rachel. Elle inonda son cul dans un hurlement et un déchaînement d’énergie, projetant son Ki autour d’elle. Une onde de choc qui surprit le public, faisant voler des chapeaux de paille, et relever des robes, permettant de voir quantité de sous-vêtements affriolants, comprenant presque tous des vibromasseurs intégrés. En sueur, Sélipa exultait de puissance et de soif. Quand elle ordonna à Christiane de venir la nettoyer, la belle blonde acquiesça. Elle se rapprocha de Sélipa, et soupira devant sa queue.

« Vous êtes vraiment incroyable, Maîtresse Sélipa. Votre endurance, votre force… »

Dans le public, on murmurait, tandis que Sélipa attrapait les cheveux de Christiane, et lui fourrait de force sa queue dans la bouche.

« Alors, c’est ça, la fameuse Saïyajin…
- Vous êtes sûres qu’elle n’est pas dangereuse ?
- J’ai tellement envie qu’elle me baise… »

Un public conquis, assurément ! Sélipa avait débarqué dans le paradis du sexe ! Elle finit par jouir à nouveau, inondant la bouche d’une Christiane comblée. Celle-ci sourit béatement, et le public applaudit la performance de Sélipa. Quel magnifique spectacle ! Tandis que la Saïyen reprenait ses esprits, les spectatrices s’écartèrent, et une femme se rapprocha. Avec son Scouter, Sélipa put voir son NS… Si Christiane et Rachel avaient respectivement un NS de 854 et de 831, cette femme à la tenue symbiotique arborait un NS de 9 052. Il suffisait de la voir pour constater qu’elle était une Xéno. Elvennya était jadis une elfe, elle en avait conservé ses longues oreilles pointues, mais elle portait en permanence sur elle une sorte de symbiote xéno, formant comme une seconde peau.

« Tu es très impressionnante, Sélipa. Sache que la Maire de Costa del Sol souhaite te voir. Je suis chargée de te conduire à elle, mais peut-être souhaites-tu te reposer ? Ou prendre un rafraîchissement, tu dois être assoiffée… »

[Sélipa]

Comme il est bon d'être considéré à sa juste valeur, pas vrai ? Ta seconde salve n'a pas seulement abreuvé cette incurable gourmande de Christiane : elle a fait un véritable malheur auprès du public ! Tout autour de toi, les femmes applaudissent ta fougue. Toute transpirante après avoir tant donné, tu prends malgré tout la peine de lever une main pour les saluer. Tes groupies méritent bien ce sobre effort, après tout.
Un joyeux bordel en perspective.
Oui : en contemplant toutes ces beautés, tu songes déjà à la suite. Pas forcément immédiate. Tu as presque atteint tes limites à force de baiser comme un lapin. Ton service trois pièces est nouveau pour toi ; si tu sais t'en servir, cela ne veut pas pour autant dire que tu es en mesure d'en abuser...
Une queue d'envergure impose de supporter d'épuisantes orgies.
Tu as fait plus que de mordre à l'hameçon, mais est-ce vraiment un problème ?
On te donne accès au garde-manger. Il est donc tout à fait normal que tu te serves sans le moindre scrupule.
Soudain, les spectatrices se décalent pour laisser passer quelqu'un. Une autre femme, sans grande surprise. Pour sa défense ? Pas n'importe laquelle puisqu'il s'agit d'une Xéno ! Un spécimen pour le moins splendide, avec des longues oreilles pointues et un corps fuselé de nymphe engoncé dans une sorte de combinaison symbiotique.
Lorsqu'elle pénètre dans le champ de ta lunette, son NS s'affiche et...



Telle est ton expression face à ce chiffre.
Un score qui dépasse les 9000 d'une cinquantaine de points, par tous les diables !

- Bah merde alors...

Vos regards se croisent. Avant même qu'elle ouvre la bouche, tu devines qu'elle est là pour toi. Cette inconnue connait ton nom, après tout. Et elle n'hésite pas, en sa qualité de messagère pour le compte de la Maire de Costa del Sol, à s'en servir avec respect.
Intriguée par son invitation, tu te détournes souverainement de tes guides.

- La Maire... tient à me rencontrer ?

Tu notes ta fatigue ; en plus d'être couverte de sueur, ton élocution est loin d'être parfaite.
La perspective d'un bon rafraîchissement finit naturellement par te faire de l'œil.
Après t'être essuyée le front d'un revers de gant, tu opines de la tête.

- Va pour boire un coup.

Sans attendre de réponse, tu jettes un regard à Rachel et Christiane. La deuxième - la plus proche - a droit à une caresse sur la tête. Comme celle que tu aurais pu adresser à un petit animal domestique.

- Je vais devoir vous laisser, mes grandes. (Tu souris. A l'une comme à l'autre.) Vous avez bien su prendre. Nous finirons très certainement par nous revoir.

Puis tes pupilles rosées s'aventurent silencieusement sur le corps de la récente arrivante.

- Passe devant. Je préfère de loin avoir ton cul dans ma ligne de mire plutôt que l'inverse.

C'est une Xéno, après tout. Tu as mille fois raison de t'en méfier.
Lorsque vous vous mettez en marche, tes pensées se tournent naturellement vers un élément qui a vraisemblablement disparu du décor. Quelque chose qui ne tarde pas à créer un vide en toi. Non pas quelque chose mais plutôt... quelqu'un ?
Désirée ! Je ne la vois plus...
Tu éprouves un peu de honte. Pour l'avoir oubliée, oui.
Sentiment perturbant qui, dans ta vie d'avant, t'as trop souvent fait défaut.

[Sarah Kerrigan]

Elvennya sourit doucement.

« Tu veux te rincer l’œil, hein ? Okay, profite de la vue… »

L’elfe se retourna, et se mit à marcher. Elle pouvait elle aussi générer une queue caudale. Ce n’était pas une queue simienne, mais une queue plus slimesque, une extension de la tenue symbiotique qu’elle portait. Avec son Scouter, Sélipa pourrait aussi voir que la tenue symbiotique influait sur le corps d’Elvennya. Des petits tentacules titillaient régulièrement son corps, ainsi que des tentacules plus épais qui vibraient dans sa chatte et dans ses fesses. Le corps d’Elvennya était continuellement stimulé. Le spectacle était impressionnant ! Et, effectivement, son joli cul se balançait de droite à gauche. Autour de Sélipa, les spectatrices observèrent sa verge en se mordillant les lèvres. C’était la première fois qu’un Saïyan se trouvait là, et était civilisé, c’est-à-dire qu’elle ne cherchait pas à les tuer. Elles se caressaient le ventre, s’exaltant à l’idée porter la progéniture de Sélipa.

Elvennya rentra dans l’hôtel. C’était un bel hôtel de luxe, avec un énorme hall, abritant un plafond tout en hauteur. Une fresque sexuelle s’y trouvait. Les murs étaient ornés de tableaux montrant de magnifiques femmes. Contrairement à la ville que Sélipa avait traversé, les constructions n’avaient pas ce style « xéno » avec des sols recouverts de slime. Tout semblait normal, si ce n’est ce parfum sexuel omniprésent. Une confortable moquette au sol les accompagnait. Elvennya rejoignit un ascenseur, et l’ouvrit. À l’intérieur, un miroir déformant permettait de voir à travers leurs vêtements. Sélipa put ainsi voir les excroissances rosâtres de la combinaison d’Elvennya, ces petits tentacules roses qui stimulaient tout son corps, notamment ses seins.

« Un jour, tu en porteras peut-être une… Ces tenues sont si agréables… »

L’ascenseur les conduisit au dernier étage. En chemin, des publicités apparaissaient sur un écran numérique, vantant les mérites de la crème solaire « EROVÉA », avec ce slogan : « Avec EROVÉA, vos voisines de plage viendront vous sauter dessus ! ». Ici comme ailleurs, l’incitation sexuelle était omniprésente. Quand elles arrivèrent au dernier étage, un couloir menait vers les bureaux du Maire. Des messages de prévention ornaient les murs, et étaient évocateurs : « La Mairie rappelle que l’utilisation de moyens contraceptifs est INTERDIT, et que toute contrevenante s’expose à des poursuites judiciaires ». D’autres affiches vantaient les mérites d’une famille nombreuse, et rappelaient qu’une bonne citoyenne devait avoir au moins un enfant par an. Elvennya rejoignit ensuite un bureau d’accueil, avec une belle secrétaire qu’Elvennya embrassa sur les lèvres. Celle-ci était assise sur un fauteuil spécial, doté de vibromasseurs qui s’enfonçaient en elle.

La secrétaire signala à Sélipa qu’elle pouvait entrer. La porte du bureau était une énorme double porte qui s’ouvrit sur un bureau massif. Sélipa put voir que Désirée était là, couchée sur le ventre, en train de se faire lourdement besogner par la Maire, dont le nom apparaissait sur des écriteaux… Fragile. Cela semblait presque une plaisanterie quand le Scouter de Sélipa analysa son Niveau Sexuel. Il était de « 18 000 ».

« Oh… Regarde, Désirée, voilà ta Maîtresse, hum… Bienvenue, Sélipa. Désolée, ta Désirée est plus endurante que je ne le pensais, hmmm… »

Derrière Sélipa, les portes se refermèrent, tandis que la pièce se couvrait des cris de Désirée.

« Han, Maî-Maîtresse Sélipa, haaaa… !! »

[Sélipa]

Elvennya ne se fourvoyait pas à cent pourcent. Tu te méfies d'elle ; c'est pourquoi tu as choisi d'évoluer à sa suite. Néanmoins, tu ne peux nier que cette elfe pervertie est drôlement bien foutue. Son corps élancé est prisonnier d'une sorte de gangue symbiotique. Le genre de combinaison polyvalente qui lui permet de générer à peu près n'importe quoi. Comme un appendice caudale ou... des tentacules plus petits, redirigés vers l'intérieur ?
Aucun doute là dessus, cette fille est déjà bien rodée.
A la façon dont son cul se balance...
Reste concentrée. Ne songe pas à te la farcir. Qui sait de quoi est capable sa supérieure ?
Tu ne dois pas te fatiguer inutilement. Même si ce dernier mot mériterait bien d'être sauté, à l'instar de ce satané derrière rebondissant !
Cette virilité est en train de me monter doucement à la tête.
Non, elle monte tout court. Si bien que cela donnait de succulentes idées à ton entourage essentiellement féminin.

- Tch ! Je me fais gentiment menée par le bout de la queue...

Vos pas vous mènent dans ce qui ressemble à un hôtel de luxe. Au-dedans, aucune trace de masse gélatineuse. Pas l'ombre d'une substance noirâtre et organique collée sur les murs. L'endroit est spacieux, propre, aussi nickel que du chrome ; en bref : un vrai paradis pour les yeux.
Et cette odeur pénétrante...
Comme partout ailleurs sur cette terre, on y copulait souvent.
Vous pénétrez dans un ascenseur. L'élévateur du bonheur dans la mesure où le miroir déformant qui s'y trouve fait transparaître tout ce qui se cache en dessous de vos vêtements. Ceux de l'elfe sont particuliers au point de lui fournir une constante dose de plaisir.
Sans déconner ?
Plus qu'elle ne le remarque, la Xéno sent ton regard inquisiteur.
Elle t'imagine déjà des leurs, avec la même combinaison sur le dos.

- Humpf ! Tout ça reste à voir.

Reste que ça te ferait un bon entrainement, non ?
Pour survivre en ce monde, tu n'as d'autre choix que de t'aligner sur les mœurs des autochtones. Et le sexe s'avère y être une pratique aussi vitale que courante. Les pubs le rabâchent aussi dans ce luxueux complexe. Pour une population toujours plus croissante. Pas de ralentissement possible sous peine de sanctions administratives. Rien de trop effrayant à ton goût mais...
Tes yeux se baissent sur ton mât.
Il serait bien dommage que je ne me serve pas de ce nouvel outil.
Quand bien même semble-t-il faire les affaires de ce peuple obscène ?
En traversant le couloir, vous arrivez devant un premier bureau occupé par une secrétaire. La Xéno l'embrasse en guise de salutations. Un geste qui se veut naturel ici bas. Derrière le couple, une double porte énorme se dresse sur votre progression. Sur l'autorisation de la secrétaire, elle ne tarde point à s'ouvrir sur... Désirée, couchée en travers de l'épais mobilier, avec la Maire pressée contre son arrière train. Une brune aux cheveux courts, porteuse d'une combinaison noire extrêmement moulante, portant un nom qui ne lui allait que trop peu : Fragile.
A la vue de son NS, tes yeux se sont écarquillés.

- Putain de merde !

Un tout petit peu moins que le double de ta guide Xéno. Un chiffre effarant ! Le genre qui impose le respect. Soit une vie entière passée à se faire grand plaisir sur le dos des autres.
Les portes se referment dans ton dos avant même que tu ne puisse faire quoi que ce soit.
Entre plusieurs coups de boutoir, la Maire prend la peine de te souhaiter la bienvenue dans son antre.
Tu ne réponds rien sur le moment. Tes poings se contractent mais... c'est tout.
En ce lieu, ton instinct se fait catégorique : la colère est très mauvaise conseillère.
Tu forces un sourire alors que ta précieuse Désirée gémit autrement que grâce à toi.

- J'étais justement en train de me demander où tu étais passée...

Tu t'avances jusqu'au bureau. Une démarche lourde mais souple. Celle d'une guerrière prête à réagir au moindre danger.

- Tu te trouvais donc ici.

Sous bonne garde ?
Tu t'immobilises à moins d'un pas du bureau du Maire. Tes mâchoires se serrent. Tes yeux n'ont toujours pas croisé ceux de Fragile.
C'est encore trop tôt. Tu n'as pas encore ravalé toute ta colère.
Arrête de penser trahison. Qu'espérais-tu, au juste ? Que Désirée n'appartenait qu'à toi ?
Un mouvement d'humeur.
Pauvre abrutie présomptueuse ! C'est à ce monde qu'elle appartient. Elle est faible, et tes supérieures sont également les siens ; ils ne manqueront pas une occasion de la baiser sous tes yeux fous.
A travers elle, ces monstres ont presque réussi à te construire une faiblesse. Une faille à exploiter, mais dans quel but ?
Quel intérêt auraient-ils à me faire sortir de mes gonds ?
A ce stade, tu n'en vois aucun.
Après avoir caressé pensivement le minois extatique de Désirée, tu lui lâches sans ambages :

- Garde la bouche grande ouverte.

D'un coup sec, tu lui insères ton vit entre les lèvres. Il est préférable que cette petite pute docile ne gémisse pas trop fort pendant que tu discutes avec "la dame des 18000".

- Bien, soupires-tu. Où en étions-nous ?

Ce n'est qu'enfin que tes yeux côtoient ceux de la besogneuse en puissance.

- Désirée est une trop bonne fille. Comme vous avec l'air de le savoir, je peux facilement en attester.

Est-ce une lueur de défi qui brille dans ton regard ?
Probablement.

- Je suppose que vous ne m'avez pas fait venir jusqu'à votre bureau dans le simple but qu'on se la partage autour d'un verre, n'est-ce pas ?

Tu souris en coin. D'un air mesquin. Le respect, ça a ses limites. Qu'importe la position de chacun.

- Vous envisagez peut-être de mettre une fin abrupte à mon séjour ? A moins que je vous ai tapée dans l'œil, moi aussi ? Un peu comme cette joyeuse avaleuse de queues... hmpf !

La gorge de Désirée gonflait sous les va-et-vient. Un rythme assez soutenu, qui laisse sans doute transparaître un peu de ta colère déguisée. C'est tout de même d'une main attendrissante que tu caresses les cheveux de ta première concubine.

- Parlez sans filtre, Fragile. Je déteste perdre mon temps avec les mondanités.

Tu es une femme d'action. Ce qui, en ces lieux, ne fait pas référence à la brutalité des combats.

[Sarah Kerrigan]

Fragile pouvait sentir la jalousie de Sélipa, elle était perceptible dans son regard, avec ce sentiment que Désirée, son esclave, l’avait trahi avec une autre personne. Un sentiment infondé, car, si Désirée était en train de se faire prendre par la maire de cette ville, c’était uniquement en raison de Fragile. Celle-ci sourit donc, tandis que le regard de Désirée s’illumina en voyant sa Maîtresse.

« Maîtresse Sélipa, je suis si heureuse de vous revoir ! »

Fragile put effectivement le constater en sentant les parois intimes de Désirée se serrer autour de sa queue. Sélipa se rapprocha donc, et fourra sa queue dans la bouche de Désirée. Sa verge avait bien durci, et Désirée gémit. Elle posa ses mains sur les fesses musclées de la Saïyen, afin de s’y appuyer, et gémit en sentant la queue de Sélipa s’enfoncer dans sa bouche, ses testicules ne tardant pas à claquer contre les yeux de Désirée. Celle-ci pouvait également renifler l’odeur de ce sexe. Cela ne put que faire sourire Fragile, qui regarda ensuite Sélipa. Son NS délirant parlait pour elle. Elle releva sa main, et caressa la joue de Sélipa, puis titilla ses lèvres avec son pouce. Sa combinaison ressemblait à celle d’Elvennya, mais il était impossible de retirer celle de Fragile. Elle avait totalement fusionné avec celle-ci.

« Tu apprécies ton esclave, hein ? Je le sens dans tes yeux, dans ton attitude… Sache… Que c’est moi qui l’ai invité, pendant que tu étais avec Christiane et Rachel. Je voulais voir… Qui était celle qui avait réussi à apaiser la fureur d’une Saïyen. Hum… »

Les deux femmes se faisaient plaisir en prenant Désirée. Fragile était indéniablement douée. Elle soupirait en fermant brièvement les yeux, sentant les jambes de Désirée s’enrouler autour de sa taille. Désirée était elle aussi très douée, c’était incontestable ! Comme quoi, Sélipa avait plutôt bien trouvé ! Désirée était de plus amoureuse d’elle, complètement subjuguée par sa Maîtresse.

« Pourquoi voudrais-je que tu partes, Sélipa ? Tu as atterri dans ma ville, et mes concitoyennes t’adorent… Non, non, je voulais te souhaiter la bienvenue… Je veux être là quand notre Reine-Déesse reviendra, et te verra. Tu es la première Saïyen avec qui nous arrivons à dialoguer, et à faire l’amour. Tu appartiens à une race plutôt belliqueuse… Il y a longtemps que notre Maîtresse cherche à avoir une Saïyen. Non, mes motivations sont très différentes… »

Fragile soupira encore, et se pencha vers Sélipa, pour lui voler un baiser.

« J’étais une chercheuse qui a été grièvement brûlée. Ma Maîtresse m’a sauvé en m’offrant cette tenue symbiotique, j’y suis liée à vie… Je lui dois tout. Depuis des années, je suis l’une de ses plus endurcies pondeuses. J’ai couché et eu des enfants avec toutes les espèces possibles… Mais pas la tienne. »

Elle parla sans filtre pour en arriver à sa conclusion :

« Je veux porter ton enfant, Sélipa. »

[Sélipa]

D'un revers, tu chasses cette main noire qui t'a caressé la joue et les lèvres. Il t'est difficile de faire totalement fi de tes sentiments. Surtout lorsque Désirée arrive à les faire refluer avec sa bouche qui fait office de trou à bites. Tes couilles martèlent son visage tandis que ton manche explore sa gorge experte. Un lot de consolation idéal en de telles circonstances ! C'est sans doute grâce à son travail de salope que tu n'as pas encore tout fait capoter. Dans le fond, tu restes une Saïyajin comme une autre : rustre, belliqueuse, acariâtre, possessive...
Fragile ne s'encombre pas de secret.
Elle a donc fait venir ma Désirée dans son antre pour mieux comprendre ma retenue. Rusée, la salope.
Tu fronces les sourcils. Pas par colère, cette fois-ci. C'est toujours la faute de Désirée. Lui baiser la bouche alors qu'elle est à l'envers est une expérience nouvelle pour toi. Ses parois gutturales te serrent autrement. Plus franchement. Et bordel, c'est vraiment quelque chose de savoureux !
Pendant que tu prends ton pied, les hanches en éternel mouvement, la maire t'honore de sa considération somme toute très positive.
C'est presque comme si, subitement, une autre femme était en train de te polir le jonc.
Pour autant, il y a un élément qui ne te plait pas beaucoup dans ce qu'elle te bave.

- Je n'appartiens à personne.

Et certainement pas à sa Reine-Déesse !
Tu grognes en te penchant légèrement sur le corps de ta préférée. Ses seins ont fini par te faire de l'œil, alors c'est tout naturellement que tu les emprisonnes entre tes doigts. Un malaxage qui ne laisse aucun répit à la belle Désirée. Cette femme est devenue le centre de toutes tes pensées, mais ça ne t'inquiète pas tant que ça. Pas en cet instant où ton mât coulisse en travers de sa gorge profonde.
On pratiquera ça plus souvent.
Ta décision est prise. La sienne suivra le même chemin.
Tout en continuant de baiser ton esclave, Fragile te raconte sa vie d'ancienne blessée. Récit qui s'achève pas deux révélations. L'une n'a pas grand intérêt pour toi, puisqu'il est question d'une pléthore de pontes qui ne t'appartiennent pas. L'autre, en revanche...

- Tu veux que je te foute en cloque, toi aussi ?

La maire de ce paradis en personne. Qui souhaite que tu lui remplisses le ventre.
Sans déconner ! Alors que son NS est sans doute nettement supérieur au mien.
Tu te retiens d'en rire. Tu es encline à la raillerie, mais il s'avère que le sens pratique de cette affaire ne t'échappe pas pour autant.

- Arrache ta queue de mon esclave, et je me viderai les burnes en toi.

Tout en te dégageant petit bout par petit bout de la gorge salivante de Désirée, tu adresses un sourire carnassier à la maire.

- Je te baiserai sur ton bureau. Afin qu'il finisse trempé par tes secrétions.

Ce n'est pas cher payé.

- Je m'arrangerai pour que même après un nettoyage, il y reste des traces indélébiles. Histoire que tu te souviennes que les saiyens de mon calibre n'ont rien à envier aux xénos.

Un deal plus que correct. Une démonstration tout à fait cohérente !

[Sarah Kerrigan]

Fragile sourit doucement. Cette Sélipa n’avait pas froid aux yeux ! La mairesse s’était presque attendue à ce que Sélipa rejette cette idée, mais, que Sélipa le veuille ou non, elle finissait petit à petit par adapter la mentalité des Xénos de Kerrigan. Concevoir la vie, la porter, la répandre… Les Xénos n’étaient pas des ennemis de la vie, ils en étaient les plus fervents défenseurs. Sélipa restait néanmoins un électron libre, ou, du moins le pensait-elle. Une société xénos fonctionnait comme une fourmilière, avec un système de castes bien établi. Il y avait les pondeuses, dont Désirée faisait partie, et même Fragile, après tout. Sélipa, elle, n’était pas une pondeuse, elle appartenait à une autre caste, même si elle ne le réalisait pas encore. Il faudra attendre qu’elle rencontre leur Reine-Déesse pour le comprendre. Fragile savait que Kerrigan viendrait bientôt, que la Reine des Lames voulait la rencontrer… Cette Saïyen qui leur offrait tant d’opportunités. Les Xénos avaient bien des ennemis, et les Saïyen faisaient partie de leurs plus rudes ennemis. Violents, insurmontables, puissants, ils étaient des ennemis d’autant plus rudes qu’ils pacifiaient les planètes qu’ils conquéraient, rendant bien plus difficile d’infecter ces planètes. Et le pire restait leur leader, le tyran Freezer, qui pouvait même détruire des planètes. Alors, pouvoir disposer d’une Saïyen moins folle que les autres, il était évident que Kerrigan viendrait admirer la situation. Aussi incroyable que ce soit, il avait fallu le recours à une pondeuse aussi innocente que Désirée, une jeune femme au bas de l’échelle sociale. Comme quoi, la vie pouvait parfois se montrer bien surprenante !

Sélipa accepta l’idée de féconder Fragile, sur le bureau, et d’en laisser une marque indélébile. La mairesse sourit, et un frisson d’excitation la traversa à cette idée. Avec son tel Niveau Sexuel, Fragile avait déjà donné vie à de très nombreux enfants. Elle continuait régulièrement à le faire, et avait d’ailleurs donné naissance à nouveau il y a seulement quelques jours. Les règles de la médecine recommandant un certain délai avant de procréer à nouveau ne s’appliquaient pas ici, car les mutagènes xénos permettaient au corps de rapidement se remettre en état. Comme le disait régulièrement la propagande de ce monde, une journée sans grossesse était une journée gâchée ! Un adage auquel Fragile adhérait pleinement.

« Moi aussi, j’ai été à ta place, Désirée, ma belle… J’ai été dans des appartements similaires au tien, et, à force de donner la vie, de me faire tringler, je suis devenue une Type-2. Et tu le deviendras aussi, Désirée… Nous avons beau être conditionnées pour servir, la Reine-Déesse ne nous prive pas de nos individualités et de notre ambition… Cette même ambition qui me fait désirer porter ton enfant, Sélipa. »

Après avoir été prise par Sélipa et par Fragile, Désirée s’affala mollement sur le sol, devant reprendre son souffle, la gorge et la chatte pleine de foutre. Allait-elle avoir un deuxième bébé ? Elle portait déjà le bébé de Sélipa, mais il était fréquent que les pondeuses uatéennes aient plusieurs grossesses simultanées. On appelait ça une superfécondation, un phénomène rare en temps normal où une femme était fécondée deux fois lors de rapports sexuels différents, soit avec le même partenaire, soit avec un partenaire différent… Ce qui pouvait expliquer l’apparition de jumeaux ayant une couleur de peau différente.

Prête, Fragile s’assit sur le rebord du bureau, et écarta les jambes. Sa verge s’était rétractée, laissant apparaître une fente humide, qui n’attendait plus que la saillie de Sélipa.

« Viens, ma belle… Je m’appelle Fragile, mais tu verras que je ne suis pas si fragile… »

[Sélipa]

Fragile est une pondeuse de compétition. Tu daignes écouter son petit speech, qu'elle a surtout adressé à une Désirée essoufflée. Les deux se ressemblent, mais l'une reste plus évoluée que l'autre. Plus... entraînée et endurcie par ses pontes à la chaîne.
Je sens déjà qu'elle va me donner du fil à retordre.
Fragile avait confiance en ses capacités, et à raison ! Ce chiffre occupait une place prépondérante dans ton esprit, malgré le fait que tu refuses catégoriquement de te laisser intimider par le résultat estomaquant de ton scouter reprogrammé.
Au diable toutes ces conneries ! Cette femme veut prendre, alors elle va prendre. Point.
Désirée se laisse glisser du bureau, vous abandonnant le champ libre. La jeune pondeuse faisait presque peine à voir avec son cul et sa gorge encombrés. Sauf qu'elle avait été formée pour ça. Qu'elle existait dans ce but. Pour fournir du plaisir et, surtout, donner naissance à une pelletée de marmots. Mais tu ne t'es pas éprise d'elle parce qu'elle fait une excellente esclave sexuelle, non. C'est surtout à cause de son caractère. Sa façon d'appréhender tout ce qui l'entoure d'un œil bizarrement enfantin. Le genre de comportement qui a le don de te détendre...
Fragile s'assied sur son bureau, les jambes bien écartées. Son vit s'était résorbé, rendant apparente sa féminité dans toute sa splendeur.
Il n'en faut pas davantage pour qu'elle aie droit à ton petit sourire carnassier.

- Un peu que je vais venir vérifier ça !

Dure comme la pierre et souple comme un élastique : tel est l'état dans lequel se trouve ton outil de fécondation ! Tu l'empoignes avec un geste devenu familier, dévorant la distance qui te sépare de ces cuisses langoureusement espacées. Sa pointe tendue caresse les portes d'un paradis qui ne demande qu'à être visité de fond en comble.

- Je ne vais pas te ménager, mairesse.

D'une main, tu lui agrippes la hanche. Puis, d'une poussée, tu t'introduis en elle. Premier coup de boutoir qui t'arrache un délicieux soupir.
L'antre de Fragile s'avère aussi chaude que serrée - sans doute comme au tout premier jour ?
Encore un miracle de la technologique biologique de ces monstrueux xénos.

- Tu ne m'en voudras pas si je désosse ton précieux mobilier, j'espère ?

L'opération s'annonce violente !
Mais avant d'en arriver à ce stade, tu ne peux t'empêcher d'embrasser cette paire de lèvres mutines. Un baiser insistant, envahissant et certainement un peu rude. Ta langue fouraillant dans sa bouche de salope au 18 000 NS au compteur ! Tes mâchoires en mouvement brûlant d'envie de prendre l'ascendant sur les siennes.
Cette femme est un défi que tu te dois de surmonter !
Vos lèvres se détachent sur un claquement de langue.
Tu libères un soupir chaud au visage de Fragile.

- Tes lèvres ont un putain de bon goût...

Presque l'équivalent d'une drogue, que tu t'interdis de consommer de façon trop extravagante.
Tu te passes la langue sur les lèvres.
Ce qui t'intéresse vraiment se trouve à plusieurs étages en dessous.
Quoique...
Ta main gauche grimpe jusqu'à l'un de ses seins, caressant sa hanche et ses côtes au passage. Sa rondeur, magnifiée par la combinaison brillante, t'a attiré l'œil. Tu malaxes le séduisant ouvrage avec force appétit. Et dans le même temps, plus bas, ce sont tes hanches qui, comme hypnotisées, alignent les mouvements de va-et-vient tout contre son bassin ouvert.
Sous les fesses de Fragile le bureau accuse les secousses, mais il tient bon !
Un meuble de grande qualité, peut-être lui aussi conçu dans ce cas de figure ?

- Quelle chatte tu as là, lui souffles-tu avant de te pencher sur elle et de lui mordiller un lobe d'oreille.

Un Type-2 diablement attrayant !
Tes coups de reins ont vite fait de s'intensifier, creusant toujours plus loin et plus fort ses chairs chaudes.

[Sarah Kerrigan]

Sélipa n’hésita même pas une seule seconde. Sa verge se durcit à l’idée de pouvoir baiser Fragile, comme si son NS la stimulait. C’était sans doute son esprit de compétition saïyen, qui s’exprimait ici à travers un féroce désir sexuel. Une chose magnifique ! Fragile écartait ses jambes, et, quand Sélipa s’y glissa, elle put effectivement constater que la chatte de Fragile formait un fourreau très agréable. Fragile pouvait tout à fait régénérer son corps pour donner l’impression qu’elle était encore vierge. Elle n’allait pas forcément jusqu’à reconstituer son hymen, mais c’était quelque chose qu’elle pouvait faire.

« Oooh, quelle fougue, ma chérie… »

Fragile referma ses jambes autour du bassin de Sélipa. Son bureau était effectivement solide, et surtout vissé dans le sol. Il avait été conçu pour le sexe, comme à peu près tout ce qu’il y avait sur cette planète. Fragile posa ensuite sa main sur la nuque de Sélipa, tout en sentant avec délectation la verge de Sélipa remuer en elle. La mairesse ignorait depuis combien d’années elle se faisait tringler ici. Vu son NS, elle était assurément très âgée. Pour autant, à chaque fois, elle ressentait la même passion, la même fougue. C’était une spirale de sexe dans laquelle elle se plongeait toujours avec passion. Elle serra donc sa main sur les cheveux de sa partenaire quand Sélipa l’embrassa. La mairesse ne rejeta naturellement nullement les lèvres de Sélipa, et accueillit sa langue en amenant la sienne. Les deux femmes se livrèrent ainsi à un baiser sensuel et savoureux, où les jambes de Fragile se crispèrent contre le bassin de Sélipa.

La combinaison de Fragile crissait joyeusement au fur et à mesure que Sélipa remuait en elle. C’était un spectacle auditif. La combinaison vibrait contre le corps de Fragile, excitant encore plus celle-ci, dont les tétons de sa poitrine ressortaient, parfaitement moulés par cette tenue. Elle sourit quand Sélipa commenta la qualité de ses lèvres.

« J’ai été sculptée par la Déesse pour être désirable, Sélipa… Alors, viens en profiter, tout mon corps t’appartient, ma chérie… »

Comment refuser une telle proposition ?

[Sélipa]

Ses jambes s'accrochent à tes hanches, exerçant après chaque coup de reins une délicieuse pression supplémentaire. Son entrecuisse absorbe ton matériel masculin. A l'intérieur, c'est le feu ; l'étau de ses chairs brûlantes te comprime le sexe, refusant catégoriquement de l'expulser de leur fourreau de qualité supérieure. Fragile n'a décidément rien d'une petite joueuse ! Elle est une experte au corps trompeur. Celui d'une vierge qui n'en est pas une. Celui d'une femme d'expérience sur qui le temps semble n'avoir aucune emprise...
J'ai touché le gros lot.
Non : c'est plutôt le gros lot qui t'a touchée.
La combinaison sexy de cette nymphe en puissance produit des sons aussi plaisants à entendre que ceux qui franchissent le palier de vos lèvres. Une exquise symphonie qui te motive à la besogner avec force, en y allant toujours plus profond. Plus rien n'a d'importance autour de ce bureau. Même Désirée passe au second plan - non, au troisième !
Ce qui ne la dérange sans doute pas, servile comme elle est.
J'ai bien conscience de partir en couilles mais pourquoi diable y résisterais-je ?
Tu te fous des conséquences ! Cette beauté, que tu veux bien croire sculptée par une déesse selon ses dires, veut sentir ta queue lui labourer son puits ? Tu ne te sens pas capable de lui répondre par la négative. Pas capable de t'arrêter en si bon chemin alors que tu l'occupes déjà, et que tu bouges sans cesse en elle.
C'est comme si son paradis de chair n'attendait que toi !

- Tu es beaucoup trop désirable, mairesse.

Tu la soulèves comme un rien et la couche lourdement sur le bureau ! Son dos le heurte sans ménagement ; ça ne te fait pas du tout ralentir. Penchée sur elle, tu continues de la prendre en roulant furieusement du bassin. Vous vous embrassez encore, vos poitrines compressées l'une contre l'autre, vos tétons se battant en duel. Ce baiser d'autorité, de pure possession, tu le rompes en plein milieu pour te redresser, ton bassin perpendiculaire au sien.

- J'ai bien envie de te faire mal. Histoire que tu comprennes qui commande. Qui contrôle l'autre. Qui tient l'autre sous sa domination.

Du mal dans le bien ? Un concept intéressant !
Tu lui adresses un sourire de prédatrice - car tel est ce que tu es. Fragile réveille tes plus bas instincts. D'une manière ou d'une autre, tu ressens le besoin de la faire hurler. De marquer ton territoire au fer rouge. Tes mains s'agrippent à sa poitrine que tu malaxes sans douceur. Ses seins roulent entre tes doigts, la combinaison crissant plus fort que jamais à cet endroit-là.
Je vais lui donner une bonne leçon !
Elle n'est pas douillette. Elle peut prendre. Y compris cette morsure autour de son mamelon gainé sous cette combinaison moulante. Pendant que tu imprimes la marque de tes dents dans cette zone, ta verge travaille son couloir étroit, bousculant les portes de son utérus maintes fois occupé au cours de son existence de grande pondeuse.
Tu te redresses à nouveau, tes va-et-vient certes moins percutants mais toujours d'actualité.

- Tu vas changer de couleur, ma grande.

Une promesse énigmatique ? Oh non, pas tant que ça !~
Ta main gauche se tend vers son cou. Elle se referme dessus en une prise implacable. Tes doigts se serrent autant que nécessaire et, dès lors, tu la baises avec une insupportable violence. Douleur et plaisir se mélangeant dangereusement. Tes yeux vicieux, presque jubilatoires, rivés sur le visage crispé de Fragile. Son organe génital semble répondre à ton étreinte assassine ; il te torture délicieusement le manche, à tel point que tu t'apprêtes à jouir abondamment en elle.
Tu résistes. Tu grognes.
Cette barbarie est à double tranchant.

[Sarah Kerrigan]

Fragile laissait les rênes à Sélipa. Elle était curieuse de voir jusqu’où cette Saïyen irait, et très excitée. Elle connaissait l’endurance phénoménale des Saïyen, une ardeur au combat qui se cumulait avec une rage insatiable. Toute cette énergie, Fragile savait que la Déesse-Maîtresse rêvait de la convertir en une énergie sexuelle, en une fougue guerrière à son service. Las, les Saïyen ne connaissaient que la force, ils ne s’étaient soumis à Freezer que parce qu’il était plus fort qu’eux, et Fragile savait là aussi que la Déesse-Maîtresse redoutait la puissance de Freezer. Elle ignorait les plans de la Déesse-Maîtresse, mais elle savait que les Saïyen faisaient partie de sa stratégie à l’égard de Freezer. Alors, en attendant d’en savoir plus, Fragile était honorée de pouvoir participer à la grande-œuvre de sa Déesse tant aimée. Et, si cela impliquait que Sélipa la baise avec force, c’était d’autant mieux pour Fragile !

« Haaa… Qu-Quelle fougue, ma chérie, haaaa… »

La mairesse se pinça les lèvres, tandis que son bureau tremblait sous les coups de reins de Sélipa. Celle-ci s’étala sur elle, la prenant en missionnaire. Fragile sentait sa hargne, sa détermination, elle allait jusqu’à l’étrangler. Fragile sourit, et posa ses mains sur les fesses de Sélipa, appuyant dessus. Elle sentait Sélipa remuer, grognant sur place, bavant même un peu sur elle.

« Hmmmmm… Haaaa… !! »

Fragile ne pouvait pas parler avec la main serrée sur sa gorge. Sélipa l’avait mordu à hauteur des seins, elle avait même déchiré la combinaison, mais elle put constater que celle-ci se reconstituait. Fragile l’avait dit, elle ne faisait qu’une avec sa combinaison, un symbiote, une véritable seconde peau qui avait fusionné avec sa peau de naissance ! Et, tandis que Sélipa la besognait, le bureau de la mairesse commençait à changer. La combinaison de Fragile s’étirait sur place, et recouvrait le sol, les murs, le plafond, les fenêtres, les meubles… Sélipa savait déjà que, sur cette planète, le mobilier pouvait se plier à la volonté de ses habitantes. C’était ce que Fragile faisait, transformant son bureau… En un donjon ! Un donjon très spécial, car les murs, le sol, et le plafond étaient recouverts de latex. Le bureau s’était transformé en un agréable lit à baldaquins crissant.

La mairesse sourit alors à sa partenaire, et posa une main sur ses fesses. Elle la fessa alors, une claque puissante.

« Je suis Fragile, mais… Pas si fragile, haaaa… Tu veux vérifier si tu arriveras à me faire rompre ? Fais-toi plaisir, ma salope ! »

[Sélipa]

Sous vos corps emboités, le bureau massif changeait du tout au tout ! La combinaison de la mairesse s'étire de façon totalement disproportionnée. Gagnant toute la pièce, rongeant tout l'espace. En cette matière douce et élastique, le mobilier est devenu un lit à baldaquin. Un GRAND lit sur lequel vous copulez comme des bêtes assoiffées de sexe.
Comme pour mieux t'inciter à la coloniser, Fragile te décoche une fessée bien sentie.
Tu grognes ton approbation.
Fragile n'est pas si fragile, non. Cette chienne est même tout le contraire, à tes yeux !
Une position aussi classique ne suffira pas à la "faire rompre", comme elle le dit si bien...

- D'accord. Tu veux jouer ? On va jouer.

Tu lui octroies trois formidables coups de reins avant de t'arracher à sa vulve. Sans plus chercher à la provoquer, tu te crées de la place à côté d'elle. Une place dont vous allez tous les deux bénéficier... à la dure !

- Viens par là.

Tu la saisis par les hanches, la soulevant du lit par la seule force de tes bras. Fragile manque de s'envoler, mais ce petit coup de stress ne lui fera sans doute pas grand effet vu son score astronomique. Alors que tu te tiens en dessous d'elle, dans son dos, tu empoignes ta verge pour la lui fourrer entre les cuisses. Une phase qui n'a rien de compliqué dans la mesure où son entrée s'avère plus que lubrifiée. Presque aussitôt, sa chatte affamée se resserre autour de ton manche. Fidèle à ton caractère - à ton orgueil -, tu te retiens de jouir sur le coup. Et alors, une fois bien installée en elle, tu passes tes bras nus sous ses aisselles, ramenant tes mains derrière sa nuque avant de les y verrouiller en une véritable prise de catch.

- C'est te ravager de l'intérieur qui fera mon bon plaisir, ma bonne Fragile.

Ses bras ballants au-dessus de tes coudes pliés, tu la fais tressauter sur ton bassin. Sous tes fesses transpirantes, le lit grince en continu. Le rythme s'avère drôlement soutenu ! Ta queue, dans sa trajectoire courbe, s'enfonçant et se reculant dans cette antre infernale. Un muscle souple et puissant avec lequel tu as appris à bien te débrouiller, manifestement. Une nouvelle partie de toi rudement éprouvée, en cette chaude journée !
Mais qui de toi ou de cette mairesse va s'écrouler la première ?
La seconde possède un avantage indéniable : sa remarquable expérience sexuelle ; dans ton cas, c'est surtout ton endurance au combat qui a tendance à ressortir.

[Sarah Kerrigan]

Avec Fragile, Sélipa allait devoir se surpasser. Mine de rien, elle apprenait à canaliser son énergie, à convertir sa soif de guerre et de combat en une soif de sexe et de stupre. Cela promettait ! À ce moment, Fragile était impatiente, et Sélipa, piquée au vif, passa donc aux choses sérieuses. Elle se mit à ceinturer Fragile, faisant crisser sa combinaison, arrachant à celle-ci des cris et des soupirs. Sélipa banda encore ses muscles, et souleva ensuite Fragile, optant pour une sorte de solide prise de catch détournée à des fins sexuelles… Soit une parfaite synthèse de l’état d’esprit de Sélipa, combative et perverse !

« Oooh… !! »

Les soupirs et les cris de Fragile accompagnaient les manœuvres hasardeuses de Sélipa, qui fit glisser ses mains le long de ses cuisses, et la suréleva. La combinaison crissa encore, et Fragile couina, crachant sa salive sur le sol. Elle sentit ses jambes se relever à droite et à gauche de sa tête, tandis que les mains de Sélipa vinrent s’appuyer sur l’arrière de sa nuque. Un magnifique full nelson, où la mairesse put sentir la verge de Sélipa s’enfoncer dans son cul. Elle se glissa en elle, et Fragile se mit à hurler, sa tête remuant d’avant en arrière, quoique retenue par les mains fermes de Sélipa.

« Haaaaa… Ooooh, ma chérie, v-voilà… Un spectacle digne de ma Déesse… ! »

Pour autant, Fragile ne comptait pas rester inactive, malgré sa position. Jaillissant du plafond, un tentacule phallique émergea, et vint titiller le fondement de Sélipa. Il se posa sur elle, s’ouvrant comme une fleur, et posa ses excroissances sur le fessier de Sélipa, avant que la pointe phallique ne s’enfonce brusquement en elle…

…Chacun allait prendre son pied !

[Sélipa]

Cette position infernale que vous partagez avec hargne et plaisir, tu ne tardes pas à la renforcer en raffermissant ta prise sur ses jambes de chienne en mal de vit. Pliée en deux, Fragile crache littéralement sa jouissance par la bouche ! Elle ne peut tout simplement plus se contenir. Elle ne peut pas feindre l'indifférence. Elle n'est plus en position de te provoquer. Alors tu profites de son état de faiblesse allant croissant pour assaillir sa féminité de coups de reins bien sentis ! Sa cervelle de pondeuse en puissance absorbe les intenses décharges de plaisir. Tout de même : il n'est pas exagéré de dire qu'à ce stade, la pute à ses xénos tire une tronche d'ahurie béate de bonheur.

- Je la baiserai aussi, ta Déesse, grognes-tu à sa suite. Je la démonterai... hfff !!... en pensant à cet instant, où je suis parvenue à... hrrrrff!!... soumettre sa foutue fidèle en manque !

Mais Fragile n'est pas complètement désarmée. Elle en veut pour cause sa combinaison extensible qui, en s'étant collée à votre environnement, ne manquait pas de piquant ! Juste au-dessus de vos têtes, un tentacule jaillit du plafond avant de se tortiller le long de ton dos. Le malin appendice franchit ta raie, s'ouvrant au niveau de son extrémité, avant de s'introduire sans ménagement entre tes fesses !
Tes yeux s'écarquillent. Prise d'un sursaut, le visage contracté, tu bondis sur le lit avec ta proie entre les bras.

- Pu-putain de merde !

Cette chose qui s'est enfoncée dans ton arrière-train possède sans conteste la circonférence d'un phallus. Un mince filet de salive dégouline de la commissure de tes lèvres figées sur un sourire de forcenée. Tes mâchoires sont serrées, crispées. En premier temps vient la douleur, muselée par ton impressionnante résilience, atténuée par ton époustouflante combativité. L'intrus continue son chemin et, avec son évolution, s'ensuit un vicieux plaisir accentuant ta raideur toujours prisonnière des parois avides de Fragile.

- Hunrrrgh !!... Traîtresse que tu es... tu vas voir dans quel état... Nhhrrrff!... je vais mettre ta chatte !

Debout sur le lit, tu te mets alors à jouer sur son poids. Sur la gravité elle-même pour que le bassin de la mairesse, après avoir décollé sous le coup d'une impulsion, retombasse vigoureusement sur ton mât divinement contracté.
Une opération que tu répètes jusqu'à ce que le besoin de libérer ton plaisir liquide ne te monte jusqu'au cerveau, court-circuitant l'ensemble de tes neurones en proie à l'orgasme.