The Multiversity

[Chengzu von Nacht]

LUNDI

Ils avaient failli se séparer. Malaurie avait voulu fuir le désir qu’elle ressentait pour Chengzu, mais elle était finalement restée, et lui avait avoué qu’elle l’aimait, et qu’elle était prête à devenir une von Nacht. Après une séance chargée où elle avait pu coucher avec le reste de la famille, Malaurie approchait désormais de l’ultime étape : celle où elle devrait expliquer à Ruby, son fiancé, qu’elle en aimait un autre, et qu’elle lui laisserait le choix entre, soit la quitter, soit devenir son esclave. Chengzu savait qu’elle hésitait encore.

Elle avait envoyé une lettre à Ruby lui demandant de revenir à Nachtheim. Il reviendrait demain matin, et Chengzu avait planifié la visite de Ruby. Les deux seraient logés au manoir pendant une semaine, soit l’occasion pour Chengzu de profiter longuement de Malaurie tout en titillant Ruby. Alors, ce soir, Chengzu avait réuni Theorem et Alice pour passer une nuit de débauche en compagnie de Malaurie.

Ishtar n’était pas avec eux ce soir, elle était à un club de la ville en compagnie d’Helena. Chengzu avait ainsi le champ libre, et comptait naturellement en profiter. Il avait aussi pu constater qu’Alice et Malaurie avaient fini par bien s’entendre. Lui qui avait pu craindre un sentiment de rivalité, voyait au contraire Alice former avec elle Malaurie, lui montrant la vie joyeuse des von Nacht. Seul subsistait Theorem. Chengzu l’impliquait désormais plus souvent dans ses activités conjugales, mais il savait aussi qu’ils allaient devoir passer du temps ensemble.

Ce soir, Theorem était devant le lit, un bandeau noir sur les yeux, un gag-ball dans la bouche. Alice avait préparé ce dernier pendant que Malaurie suçait la queue de Chengzu. Elle avait mis Theorem sur un pilori, puis avait préparé ses fesses.

« Ça va être à toi, Malaurie… »

La queue de Chengzu durcit dans la bouche de Malaurie à l’idée de ce qui allait suivre. Theorem avait porté un solide plug anal pendant des heures, et une nuit de débauche s’annonçait. Ensuite, elle retira le plug, et sourit ensuite, avant de déposer un baiser sur l’une de ses belles fesses.

« Vas-y, Malaurie, j’aime autant te baiser que te voir baiser Theorem… »

Chengzu se redressa, tandis qu’Alice se releva, et embrassa Malaurie. Theorem avait de fait porté pendant plusieurs heures un vibromasseur assez gros, qui avait longuement vibré en lui, tout en lubrifiant les parois de l’homme.

« Tu veux que je te montre comment on fait un fisting, ou tu souhaites le faire, ma belle ? »

Ce soir, Chengzu comptait bien poursuivre sur sa voie en faisant de Malaurie une incroyable nymphomane… Avant le retour de Ruby.

[Malaurie Odessa]

Malaurie avait enfilé sa robe bodycon en latex indigo, bordé de motifs vacherins. Son string blanc tâcheté de noir était détrempé. Cette vie de luxure, elle avait été très loin de se l'imaginer mais elle commençait sérieusement à y prendre goût. Mais les moments où elle se lâchait le plus, c'était clairement en tête à tête avec Chengzu. Dans ces moments là, elle faisait ses ahegao les plus dégénérés, se laissait tomber dans les méandres du plaisir sans fin. Elle avait découvert le sexe adultère, le sexe entre femmes, le sexe avec des transgenres. C'était une vie pleine de stupre. Là ce soir alors qu'elle suçait la queue de Chengzu, Alice teasait Theorem attaché dans un pilori face au lit. La vachette délaissa ce sexe bien dur qui occupait sa gorge il y a peu, maintenant pleinement habituée à ce genre de sexe. Elle fit une bise perverse sur le pubis imberbe du bélier, laissant une marque de rouge à lèvre qui s'ajouta au rond rouge autour de la base de son sexe.

"Tu veux que je fiste le pauvre petit Theo ?... Je le ferait mais j'ai envie de le faire alors que tu lui offre ton chibre bien dur dans la gorge... Je sais comment il te regarde..."

Et puis Malaurie aimait surtout voir Chengzu déglinguer Theorem. Elle trouvait deux hommes en train de coucher tellement mignon... Ce n'était pas une liseuse de yaoi pour rien. Mais est-ce qu'elle voyait encore Theorem comme un homme, c'était un autre débat. Elle remonta sur Chengzu pour venir sucer ses doigts gantés de latex, bien perversement avant de venir l'embrasser. Alors qu'Alice préparait tout, Malaurie enfila des gants de latex indigo par dessus ses mitaines avant se placer derrière le cul du Haiena. Doucement elle passa sa main sur le dos du soumis, traçant avec son doigt les kanji tatoués sur sa colonne avant de caresser le tribal entourant la base de sa queue. Puis tranquillement, elle s'empara de la bouteille de lubrifiant et après une claque bien sonore sur son fessier, elle commença à lubrifier ses mains. Elle débuta avec deux doigts aisément... Puis elle passa à trois en faisant des vas et vient. Doucement, elle glissa son petit doigt avant de former une gouttière avec sa main, versant encore plus de lubrifiant dans son orifice anal. Tout en prenant son temps, lui assenant une fessée par moment, elle parvint à glisser son pouce dans le creux de sa main. Puis lentement... progressivement... le reste de sa main pénétra le cul de Theorem qui gigotait sur le pilori. La vachette versa encore plus de lubrifiant avant de poser son autre main en appuis sur le bassin de Theorem et cette fois elle tracta dessus pour finir d'enfoncer son poing qui disparu dans le fondement de Theorem, son anus se serrant autour du poignet de la vachette, sous ses hurlements contenus par la gag ball.

"Oh wow ! Quelle salope putain..."

Elle retira un peu sa main avant de recommencer à s'enfoncer. Le cul de Theorem, préparé depuis des heures, laissait ce poing l'envahir. Puis après plusieurs minutes de ce traitement hors norme, Malaurie s'embrasa un peu et commença à lui baiser le cul avec sa main en poing fermé, venant serrer ses testicules encagés dans du latex sous sa cage de chasteté dans son autre main. Le Haiena était entre enfer et paradis, sa place favorite. Malaurie accéléra son vas et vient avant de doucement ajouter des doigts de son autre main. La Ushi n'avait pas une main aussi large que celle de Chengzu alors... Elle compensa avec ses autres doigts avant de venir l'écarter et le détruire avec ses deux mains, venant écarter son trou avant de glisser sa main droite, plate... Puis la gauche vint se glisser contre celle de droite, l'ouvrant totalement. Malaurie se mordilla la lèvre inférieure avant de regarder Chengzu. Elle mouillait comme jamais... Elle en sentait un fin filet le long de sa cuisse.

[Chengzu von Nacht]

Avec Malaurie, le principe était simple : toujours plus loin, et toujours plus profondément. Il fallait la rendre folle de désir, que le stupre obsède ses pensées, que le sexe la domine entièrement… Un outil de luxure, une femme passionnée qui libérerait ses plus vils instincts pour Chengzu. À voir cette scène, à la voir le sucer tandis qu’Alice préparait Theorem, Chengzu ne pouvait qu’être comblé. Avant de retrouver Theorem, il était amoureux d’Alice… Un amour a priori impossible, pour elle qui ne l’avait jamais vu. Cet amour, il l’avait enterré derrière celui pour Theorem, et, finalement, elle était là. Elle était désormais là définitivement, en couple avec Ishtar, mais aussi avec lui. Toutes les personnes qu’il aimait étaient là, à l’exception d’Ishtar. Une magnifique famille ! Si Malaurie avait sa robe bodycon, Alice avait enfilé la sienne, une robe rose moulante qu’elle utilisait quand elle s’amusait à faire la prostituée. Chengzu n’avait pas encore proposé cela à Malaurie, et n’envisageait pas de le faire. Malaurie était en un sens plus romantique qu’Alice, et elle ne se lâchait vraiment que quand l’homme-bélier était là. Chengzu soupirait donc, et répondit à son baiser quand elle libéra son sexe. Elle souhaitait qu’il l’accompagne, qu’il baise la bouche de Theorem pendant qu’elle lui détruirait le cul.

« Avec plaisir, mon amour. »

Chacun avait son petit fantasme. Chengzu aimait voir Malaurie ou Alice dominer Theorem, il aimait que ses soumises se montrent dominantes et perverses à son égard, même cruelles. Cela renforçait encore plus la jouissance qu’il avait en les dominant. Inversement, Malaurie aimait le voir faire l’amour avec Theorem. Il fallait bien reconnaître que Theorem était d’une très grande beauté. Un corps dont lui et Ishtar prenaient grand soin. Theorem se devait d’être une perfection de beauté. En se positionnant, Malaurie observa ainsi ses courbes, caressa son dos, puis se dirigea vers ses fesses. Chengzu s’était relevé, sa verge tendue, et la frotta contre le visage de Theorem, glissant sur le gag ball. Un fisting était toujours éprouvant, mais Ishtar avait déjà fait subir ce traitement à Theorem… Et Chengzu aussi. Il se redressa donc, s’amusant à bifler Theorem, avant que Malaurie ne passe aux choses sérieuses. Près d’elle, Alice l’observait, et la regarda enfoncer sa main dans le cul de Theorem, parvenant à l’enfoncer profondément.

Aucune hésitation, aucun doute, sa Malaurie était parfaite ! La scène était naturellement filmée. Chengzu voulait observer ces moments, il voulait observer la magnifique dépravation de Malaurie, qui osait faire ce qu’elle n’aurait jamais pu imaginer il y a quelques mois ! Elle l’insulta même, et Theorem se mit à gesticuler sur le pilori et à couiner quand elle commença à s’enfoncer en lui. Près d’elle, Alice l’observait, et l’encourageait. Elle se lova finalement dans le dos de Malaurie, et la masturba, tout en glissant son autre main sur l’un de ses gros seins, qu’elle se mit à malaxer.

« Tu es parfaite, ma chérie, défonce le cul de cette petite pédale… »

Chengzu sourit, et finit par ôter à Theorem son gag-ball. Il était couvert de bave. Cela l’amusa. Il orienta ensuite sa verge bien tendue.

« Allez, mon chéri, viens réclamer ta sucette… »

Il se rapprocha encore. Une main se posa sur les cheveux de Theorem, relevant sa tête, et l’autre se posa sur la base de sa verge, la guidant pour l’enfoncer dans sa bouche…

[Malaurie Odessa]

Malaurie découvrit beaucoup de choses politiquement incorrectes pendant ce séjour à Nachtheim. Theorem était très mignon mais elle n'avait surtout jamais imaginé qu'un "homme" puisse être si efféminé. Elle avait vécu chez les Ushi et la plupart des mecs étaient des grands gaillards en habits de cow boy à sillonner Dust Valley à dos d'Aurochs imposants. Mais pas Theo... Elle pouvait difficilement l'appeler "mec", et après quelques échanges avec lui, Malaurie avait découvert des nouvelles façons d'appeler un homme comme lui. "Twink", "Femboy", voila comment elle pouvait appeler Theo, mais pas "Mec". Tout en fouillant ses entrailles avec sa main, elle lui claqua le cul plusieurs fois, laissant à force une empreinte rosâtre de sa propre main sur son cul blanc et immaculé. Puis après plusieurs minutes à voir Chengzu baiser la gorge de Theo, cette main qui battait ses fesses passa plus de temps à jouer avec son clito, même si Alice l'aida beaucoup à se stimuler. Puis soudain, la respiration lourde de Malaurie devint plus profonde. Elle ne quittait pas des yeux Chengzu. Putain, ce physique, ce visage. Elle retira sa main du cul du Haiena qui s'affaissa aussitôt d'épuisement. Elle se retourna pour embrasser doucement Alice tout en enlevant les gants en latex ayant servit à fister Theo.

"Je te laisse le relais, my sweet."

Elle jeta les gants pleins de lubrifiant négligemment sur le dos de Theo comme s'il était une table, dans un bruit flasque et presque claqué. Malaurie avança d'un pas décidé vers Chengzu avant de venir l'embrasser. Mais ce n'était pas un simple baiser... Elle y mit la langue tout de suite, roulant son muscle rose avec le sien, caressant son torse avec insistance, jouant avec les lanières de latex croisées sur sa poitrine avant de venir délicatement retirer son pénis de la bouche de Theo, le branlant avec sa salive épaisse dans un bruit obscène et hypnotique. Malaurie se colla à Chen, brûlante, endiablée...

"Gimme ur cock !"

La Ushi retira son string blanc tâcheté de noir en latex et détrempé de cyprine, le jetant sur la tête de Theo avant de venir écarter sa fente avec deux doigts juste devant la bite gonflée de Chengzu. Malaurie poussa un long soupire de contentement quand ce sexe pénétra sa chatte mais elle ne le fit pas complètement... Juste le gland. Elle jouait souvent à languir avant de se faire pénétrer. Pas pour frustrer Chengzu, non non... Juste pour elle, pour le désirer d'avantage. Elle caressa son clitoris avec son gland, devenant folle de désir... Puis elle vint se coucher dans le lit, sur le dos, écartant bien grand les cuisses en tapotant son sexe de sa main, provoquant à nouveau de bruits obscène et humide.

"... Prod me... Fait-moi... languir, fais-moi... devenir folle pour toi..."

Elle voulait tout simplement jouir, juste de l'insertion de son pénis en elle... Mais pour ça, il fallait la chauffer à fond !

[Chengzu von Nacht]

Ces sept jours allaient être décisifs. Chengzu était assez excité à cette idée. Il travaillait Malaurie depuis des mois, il l’avait séduit, corrompu, rendu avide à sa queue, et il allait enfin voir si tous ces efforts avaient servi. Malaurie avait découvert sa famille, elle avait découvert Ishtar, Theorem, Alice… Les von Nacht au complet ! Elle avait sympathisé avec chacun d’entre eux, et avait ainsi accompli toutes les étapes pour être une von Nacht… Ou presque. Il ne restait plus qu’une étape à franchir, celle de Ruby, qui était toujours son petit-ami… Ou, tout du moins, le croyait-il. Il reviendrait d’ici quelques heures, et Chengzu comptait bien passer chaque minute, chaque seconde d’ici là, à besogner Malaurie comme jamais. Il souriait en la voyant fister Theorem, avec un certain talent. Cette partie dominatrice en elle avait toujours été là, et Chengzu était fier d’avoir aidé Malaurie à faire sortir cette partie de sa personnalité. Maintenant, Malaurie était tout simplement parfaite. Chengzu l’aimait, indiscutablement, autant qu’il aimait Theorem, Ishtar, ou même Alice. Il la regardait donc s’enfoncer dans le cul de Theorem, et sa queue durcissait dans la bouche de ce dernier.

Finalement, Malaurie se retourna, et retira ses gants. Alice l’embrassa, prête à passer à la suite, et présenta à Malaurie ses mitaines violettes. Elle l’aida à lui mettre, puis Malaurie alla vers Chengzu.

« Ma belle, tu es vraiment parfaite… »

Chengzu lui sourit doucement, et caressa son corps d’une main, glissant sur ses fesses. Il l’embrassa ensuite, tandis qu’Alice appelait Aria. L’esclave de Theorem se rapprocha, et aida à mettre sur Alice un strap-on noir avec des godes intégrés. Alice la remercia en l’embrassant. Elle était devenue une von Nacht, et même une Naviento, mais, parfois, Alice s’amusait à enfiler la tenue de maid qu’Ishtar lui avait offert, pour le plaisir de faire l’amour avec Aria. Elles jouissaient sans se pénétrer, juste en se frottant.

« Regarde-moi enculer ton Maître, Aria… »

Alice le sodomisa ensuite, et Theorem gémit. Malaurie avait pendant ce temps écarté son amant, libérant la bouche de Theorem. Il put ainsi voir devant lui Chengzu s’allonger contre Malaurie, et la prendre en missionnaire… Ou, tout du moins, frotter sa queue assoiffée contre sa chatte. Il se masturba sur sa chatte, évitant de la pénétrer, la pointe de sa queue venant taper contre son clitoris, frottant son bouton de plaisir.

« Te rendre folle, mon amour… N’est-ce pas déjà ce que je fais ? Je pourrais te mettre une cage de chasteté, et baiser Alice toute la nuit devant toi et Theorem… C’est ça que tu veux ? Préserver ta pureté pour Ruby qui revient demain… Ou est-ce que tu veux que je te baise fort ? Que j’enfonce cette grosse queue impatiente dans ta petite chatte ? Parce que, ma chérie, si c’est le cas, il faut me le dire… Me dire ce que tu es… »

Tout en parlant, sa voix devint plus langoureuse. Il attrapa les mains de Malaurie pour les plaquer sur le lit, et, souriant toujours, continua à se frotter contre elle. Il se pencha contre son oreille, et murmura là :

« Dis-moi que tu es une bonne petite salope en manque, une chienne qui meurt d’envie de sentir ma queue labourer sa petite chatte de pute nymphomane en manque… Vas-y, dis-le, DIS-LE !! »

Sa voix était devenue plus impérieuse, forte, tandis qu’il continuait à frotter sa queue contre elle, un sexe désormais bien dur, prêt à rugir et à cracher son foutre en elle…

[Malaurie Odessa]

Malaurie se retrouva coincée sur le dos, les cuisses bien écartées, les genoux remontant presque à hauteur de sa poitrine. Elle pouvait sentir le pénis de son amant frotter son sexe avide et détrempé. Elle se mordilla la lèvre inférieure, regardant seulement son bélier. Elle posa ses mains sur ses pectoraux, mais pas pour le repousser, seulement sentir sa présence. Elle soupira en voyant un tel mandrin si dur et luisant contre son sexe. Chengzu était d'humeur joueuse et Malaurie d'humeur soumise. Ce cocktail fit que bientôt elle se mettait à gémir malgré elle, ne pouvant quitter des yeux de spectacle. Puis Chengzu s'empara de ses poignets d'une seule main, les tenant plaqués contre le matelas au dessus de sa tête. L'autre main du bélier continuait à se masturber contre son sexe détrempé. Il lui intima l'ordre de répéter une phrase clé, avant de se faire prendre... Elle savait que c'était défendu... Mais c'était justement ce qui la chauffait encore plus !

"Aaah... Uhhh... Kkkk... Fuck me ! Fuck me like the dirty whore I am !!! I'm your fucking cow !!!"

Malaurie ne put s'empêcher. Dire cette phrase à cet instant précis, sous les yeux de Theorem aux premières loges pour voir cela, Malaurie orgasma ! Un jet de cyprine éclaboussa le bas-ventre de Chengzu juste avant que sa queue ne pénètre le sexe dégoulinant de la vachette. Cet orgasme rapproché et la soudaine pénétration lui firent rouler les yeux en arrière... Elle perdit toute notion de contenu et se mit à gémir tel un animal. Elle vivait une des meilleures baises de sa vie... Et ça devait forcément être avec Chengzu !

"MoOoOoOoOoooooOOOOO !!!"

Elle embrassa son amant, ne tardant pas à jouir à peine quelques minutes après cet orgasme. Malaurie eut les yeux révulsés un instant avant de revenir doucement dans le réel. Le coït débuta sérieusement, violemment, intensément... La peau de la vachette se perla de transpiration alors qu'elle avait les joues rougies par le plaisir. Son expression du visage se changea en une sorte de détermination. Elle fronçait un peu les sourcils, la mâchoire serrée... Elle résistait à l'orgasme à venir. Elle tint longtemps, plus de dix minutes avant de soudainement s'écrouler. Elle ferma les yeux, ses sourcils se relevant complètement. Elle lâcha des gémissements des plus érotiques, de plus en plus fort avant que tout son corps ne se contracte. Elle trembla comme une feuille dans les bras de Chengzu avant de ruiner définitivement le lit avec un orgasme fontaine. Son cri bestial s'entendit probablement jusqu'à l'autre bout du couloir. Ses mains se serrèrent et ses jambes se croisèrent dans le dos de Chengzu. Quand l'orgasme redescendit, Malarie n'était déjà qu'un animal lubrique, pantelante, hagard, avant de chercher à embrasser son amant, langue sortie, détrempée et empestant le stupre.

[Chengzu von Nacht]

Chengzu la sentait devenir petit à petit folle de désir. Son visage, la manière dont son corps se contractait… Ou la façon dont il sentait ses battements cardiaques s’emballer à toute allure. Une circulation sanguine qui s’intensifiait fortement autour de son sexe. Il contemplait avec fierté la preuve des progrès accomplis. Chengzu avait fait à Malaurie ce qu’Ishtar et Theorem lui avaient fait, balayer les présupposés qu’il s’était forgé et accepter dans sa chair l’idée d’être attiré par le sexe, et d’aimer profondément cela. Il ne pouvait donc qu’être fier de lui, Malaurie lui appartenait complètement… Ou presque. Il ne restait plus que le cas de Ruby à régler. Chengzu la sentit jouir avant même de la pénétrer, et jouir une deuxième fois quand sa queue s’enfonça en elle… À moins que ce ne soit le prolongement de son premier orgasme ? En tout cas, il s’enfonça en elle sans difficulté, sa queue glissant dans sa chatte jusqu’à la garde, remplissant l’espace.

« Hmmm… C’est si bon d’être en toi, ma Malaurie… »

Ma Malaurie… Un pronom possessif approprié. Il se pencha pour l’embrasser, libérant ses mains, et commença ses coups de reins, s’allongeant contre elle. Sa main serra les cheveux de Malaurie, et, sous les yeux de Theorem, d’Alice et d’Aria, le bélier la besogna donc furieusement. Les coups de reins claquaient dans la pièce, s’accompagnant des craquements et froissements de la robe de latex de Malaurie et de la tenue de Chengzu. Les deux amants s’unissaient dans un ballet endiablé. Chengzu rompit le baiser avec Malaurie, l’entendant gémir, et continua à la prendre. Alice le savait pour lui avoir fait l’amour très souvent, il avait une solide endurance quand il s’agissait de donner des coups de reins. Elle-même était occupée à sodomiser Theorem, et en profitait volontiers pour le narguer. Elle ordonnait à Aria d’aller dire à Theorem qu’un vrai homme se trouvait devant elles, tout en le fessant régulièrement. Elle ordonna ensuite à Aria d’attraper un strap-on, de l’enfiler par-dessus sa tenue, et de la sodomiser en se mettant derrière elle.

De son côté, Chengzau sentit Malaurie jouir à nouveau après une dizaine de minutes, un orgasme intense qui sembla la briser en deux. Chengzu frémit, et la laissa inonder le lit de sa mouille. Ses canines pointèrent ensuite, et il grogna, avant de la mordre. Alice savait combien le fait de se faire mordre pouvait être excitant, elle y avait régulièrement droit avec Mélinda, mais aussi avec Chengzu, et cela restait toujours une expérience jouissive, tant pour elle que pour l’autre. Aucun risque pour la santé de Malaurie, Chengzu ne faisait que prendre de légères quantités. Tandis qu’il la mordait, sa main pinça l’un de ses seins, et il jouit ensuite en elle à son tour.

« La nuit ne fait que commencer, mon amour… » glissa-t-il ensuite contre son oreille.

Ayant dit cela, Chengzu se redressa. Malaurie était déjà dans un état second. Elle répondait instinctivement, et Chengzu la mit à quatre pattes, puis la prit en levrette, s’enfonçant cette fois dans son cul.

« Prends ça, salope ! Montre-leur combien tu aimes ma queue, Malaurie ! Montre-leur quelle chienne assoiffée de sexe tu es ! J’ai beau te baiser tous les jours comme si tu étais la dernière des putes, tu en redemandes toujours, nympho’ en manque ! »

À ce rythme, il allait sûrement la baiser jusqu’à l’aube, Chengzu voulait lui offrir une baise d’enfer avant que Ruby ne revienne…

[Malaurie Odessa]

Malaurie commençait à vraiment bien s'y faire à la sodomie. Elle prenait désormais le membre de son amant avec une aisance incroyable, elle qui avait eut tout à apprendre. La vachette se laissa donc sodomiser bien dur pendant que Chengzu empoignait ses seins ou son cou pendant la levrette. Mais désormais dans un état second, elle ne se remémora pas exactement tout ce qu'elle venait de subir ce soir là. Elle se réveilla simplement dans le lit, sans dessus dessous, sur le dos, le corps poisseux et sa robe bodycon au sol. Elle avait plusieurs traits sur elle au niveau des cuisses et en comptant les visibles elle compris qu'on lui était passé dessus huit fois. Chengzu l'avait laissé mais Malaurie réalisa qu'elle lui avait demandé ça la veille, au cas où Ruby rentrait plus tôt... Il avait dit quoi déjà ? Qu'il reviendrait pour 11h ?... Elle retourna le réveil pour découvrir l'heure affichée... 10h50 ?!

"Haan Shiiiiit !!!"

Elle se releva en vitesse et constata plusieurs choses :
- Le lit était complètement en bordel et couvert de tâches flagrantes
- Le sol était jonché de sextoys, de bouteilles de lubrifiant et de capotes usagées
- Elle puait le sexe et l'odeur de Chengzu en plus d'avoir plusieurs messages explicites écris sur le corps.

*Tap tap tap*
"Soeur Malaurie ? Je suis de retour."

La vachette sursauta presque et elle se dirigea vers la porte. Une simple cloison de bois l'empêchait de la voir désormais...

"Heu je... Je ne suis pas encore prête mon beau... Tu peux... m'attendre un peu ?"

"Bien sûr... Je te trouve bien familière... Je t'attend en tout cas."

Malaurie se raidit un instant avant de foncer à la salle de bain, pour se rouler dans une serviette, se mouiller les cheveux et le voir directement pour lui expliquer son retard comme si elle sortait de la douche, mais qui était là, dans la salle de bain à se recoiffer ?...

"Chengzu mais... Tu m'as dit que... Tu partirais au petit matin ?... Ruby est devant la porte ! Je ne sais pas quoi faire !"

[Chengzu von Nacht]

Chengzu n’avait pas menti ; ce fut une nuit de débauche et de luxure dépravée comme les Von Nacht en avaient l’habitude ! Theorem fut libéré de son pilori, et rejoignit le trio. Malaurie, qui n’avait pour elle que sa perversité, mais aucune des améliorations physiques propres à la famille des Von Nacht, s’affala la première. Ce fut ensuite qu’on libéra Theorem, qui fit l’amour frénétiquement avec Theorem et Alice. Chengzu retourna pénétrer une Malaurie à moitié endormie, avant que le trio ne finisse part s’étaler dans un lit dévasté. On aurait dit qu’un cyclone avait éclaté dans la chambre, qui puait le sexe et le stupre. Et, quand Malaurie se réveilla, elle n’était clairement pas dans un état présentable. Chengzu se réveilla bien sûr avant. On lui annonça la venue de Ruby, et il mit donc savamment en place sa stratégie. Mine de rien, il avait beaucoup réfléchi à cette dernière semaine, ces sept jours qui allaient être décisifs…

Malaurie paniqua quand Ruby fit irruption. Elle se réfugia dans la salle de bains, où Chengzu l’attendait. Elle était pour le coup presque totalement nue, ne portant plus que ses collants et ses gants. Chengzu, quant à lui, l’attendait. Il sourit en la voyant paniquée. L’homme-bélier se rapprocha alors d’elle, et posa ses mains sur ses joues, puis l’embrassa.

« Shhhtt… Moi, je sais, ma chérie. »

Chengzu lui sourit ensuite.

« Tu sais, ce manoir abrite beaucoup de pièces secrètes… J’avais à vrai dire un peu anticipé que tu te réveillerais tard, donc, pendant que tu dormais cette nuit, j’ai pensé à une solution. »

Dans l’état de panique où elle était, Malaurie ne pouvait que se laisser faire. Chengzu lui attrapa la main. Lui avait eu le temps de se doucher, de se rhabiller, et de mettre sur lui un parfum que Malaurie aimait bien. Elle était en train de paniquer, mais elle put constater que Ruby n’était plus à la porte. Chengzu se dirigea vers une bibliothèque, et tira sur un livre factice. La bibliothèque coulissa alors pour révéler une petite salle avec un miroir sans tain. De l’autre côté, il y avait une vue sur une galerie où Ruby avait été convié par Alice. Celle-ci s’était présentée à lui en l’invitant à la suivre. Theorem était également présent.

La galerie était dédiée aux Von Nacht, à Nachtheim, et à Ishtar Naviento.

« Ruby, voici Theorem Von Nacht. Theorem, voici Ruby, notre invité, et le petit-ami de Sœur Odessa. Sœur Odessa a beaucoup prié cette nuit, Ruby, elle s’est beaucoup dépensée et investie, donc, en attendant qu’elle se remette de ses émotions, je vous propose de vous présenter les tableaux et statues dans cette galerie. Ce sont des pièces uniques qui retracent la glorieuse histoire des propriétaires de cette maison. Certains tableaux sont animés. »

Alice se rapprocha de Theorem, et lui glissa subtilement une main aux fesses. La Reine avait pris son apparence infernoise, et fit ensuite un signe vers la pièce secrète. De l’autre côté de la vitre, il y avait un magnifique tableau d’Ishtar. Chengzu s’était glissé dans le dos de Malaurie, et sa verge en érection caressa les fesses de Malaurie.

« Tu vois ? Tout est sous contrôle… Rassure-toi, il ne peut pas nous entendre. Appuie-toi contre la vitre, je veux te baiser pendant qu’il est là… »

Cette idée le faisait furieusement bander. Ajoutons à cela qu’il s’était levé avec une érection matinale, et qu’il avait laissé Alice tranquille, afin qu’elle et Theorem se préparent. Les deux puaient également le sexe, seul Chengzu s’était lavé, avant d’attendre patiemment le réveil de Malaurie. Il la plaqua donc contre la vitre, la laissa se cambrer, et s’enfonça ensuite dans sa chatte en soupirant de plaisir, tandis que le parcours de Ruby allait irrémédiablement l’amener devant le tableau d’Ishtar…