Elle s’était répandue dans tout le lycée, insidieuse et nauséabonde. Shinji n’était même pas certain de comment cela avait commencé, mais chaque fois qu’il passait près d’un groupe de terminales, il entendait des éclats de rire étouffés, des murmures, et, pire encore, des mots qu’il aurait préféré ne jamais entendre.
« Sa mère, tu l’as vue ? Une bombe. Je te jure, si j’avais dix ans de plus… »
Des mots crus, une vulgarité qui lui retournait l’estomac. Chaque phrase était comme une lame qu’on enfonçait un peu plus profondément. Mais aujourd’hui, c’était pire : en sortant de classe, il avait surpris leur chef, un certain Hiroto. Ce type arrogant et grande gueule,était en train de décrire à ses amis ses fantasmes les plus grotesques à propos d’elle, son sourire moqueur élargissant la fissure béante dans le contrôle de Shinji.
Il avait tenté de l’ignorer. Vraiment. Mais il n’y arriva pas. C’était plus fort que lui.
À la sortie des cours, Shinji attendit, les mains dans les poches pour masquer les tremblements de colère qui l’agitaient. Il savait où il serait : le type traînait toujours près du terrain de sport après les cours, entouré de ses deux acolytes, des gars costauds mais visiblement incapables de réfléchir sans leur leader.
Quand il le vit, Shinji marcha droit vers lui, ses pas lourds sur le gravier.
— Toi.
Le garçon leva un sourcil, surpris, puis éclata de rire en le voyant approcher.
— C’est quoi ton problème ? lança-t-il avec ce même sourire suffisant, clope à la main.
— Mon problème, c’est toi. Arrête de parler de ma mère.
Ses mots étaient tranchants, presque crachés, et il sentait déjà les regards curieux des autres élèves qui traînaient dans le coin. Mais le garçon ne se démonta pas. Au contraire, il haussa les épaules, affichant un sourire encore plus provocateur.
— Tu devrais être flatté, non ? Elle est canon, ta daronne. Pourquoi t’énerver ?
C’en était trop. Shinji n’attendit pas une seconde de plus. Son poing partit comme une balle, droit dans la mâchoire de ce sourire arrogant. Le choc fit reculer le garçon d’un pas, et les rires autour s’éteignirent en une fraction de seconde.
Mais il n’était pas seul. À peine le leader vacilla-t-il que ses deux acolytes réagirent. L’un saisit Shinji par l’épaule, l’autre essaya de le repousser. Mais Shinji, galvanisé par sa colère, se dégagea et enchaîna par un takedown, entrainant son adversaire au sol et le rouant de coups, façon ground and pound.
— T’ouvres encore ta gueule ?! Hein ?! hurla-t-il.
Les coups pleuvaient dans la confusion. Les deux autres gars ripostèrent, essayant de dégager Shinji. Ils le mirent à terre avant de le piétiner.
"Arrêtez ça immédiatement !"
Le gardien scolaire surgit, attrapant l’un des agresseurs par le col et repoussant l’autre. Il se plaça entre Shinji et ses attaquants, bras tendus pour les séparer.
"Vous êtes fous ou quoi ? Vous voulez tuer quelqu’un ?!" hurla-t-il.
Shinji, allongé, respirait difficilement, le visage couvert de contusions. Hiroto, lui, geignait en arrière-plan, son visage méconnaissable. Les élèves présents autour, fascinés par la scène, s’éloignaient peu à peu sous le regard furieux du gardien.
"Vous trois, chez le directeur. Tout de suite."
Les deux amis d’Hiroto obtempérèrent, lançant un regard noir à Shinji. Le gardien aida ce dernier à se relever, sa respiration encore tremblante.
"Tu viens aussi," dit-il d’un ton plus calme, mais ferme.
________________________________________
L’atmosphère dans le bureau du directeur était lourde. Shinji, le visage encore marqué par les contusions de la bagarre, était assis sur une chaise, le regard baissé, serrant les poings sur ses genoux. En face de lui, Hiroto jouait à la victime, la tête légèrement bandée, son air plaintif accentué par quelques geignements exagérés.
Le directeur, un homme d’âge mûr avec des lunettes fines, soupira lourdement avant de s’adresser à Shinji :
"J’ai du appeler ta mère, Shinji. Elle est en route. J'espère que tu mesures la gravité de la situation."
Shinji ne répondit pas. Son silence n’était pas dû à un manque de respect, mais à la culpabilité mêlée de colère qu’il éprouvait. Il savait qu’il avait dépassé les bornes, mais il ne supportait pas de voir Hiroto jouer la comédie après ce qu’il avait dit.
« Bien que Hiroto ait aussi eu une part de responsabilité verbale, nous ne pouvons tolérer une telle violence, tu es allé trop loin. Mais d’abord, je vais avoir un tête a tête avec ta mére. »
Quelques minutes plus tard, Shinji entendit la porte s’ouvrir…
« Sa mère, tu l’as vue ? Une bombe. Je te jure, si j’avais dix ans de plus… »
Des mots crus, une vulgarité qui lui retournait l’estomac. Chaque phrase était comme une lame qu’on enfonçait un peu plus profondément. Mais aujourd’hui, c’était pire : en sortant de classe, il avait surpris leur chef, un certain Hiroto. Ce type arrogant et grande gueule,était en train de décrire à ses amis ses fantasmes les plus grotesques à propos d’elle, son sourire moqueur élargissant la fissure béante dans le contrôle de Shinji.
Il avait tenté de l’ignorer. Vraiment. Mais il n’y arriva pas. C’était plus fort que lui.
À la sortie des cours, Shinji attendit, les mains dans les poches pour masquer les tremblements de colère qui l’agitaient. Il savait où il serait : le type traînait toujours près du terrain de sport après les cours, entouré de ses deux acolytes, des gars costauds mais visiblement incapables de réfléchir sans leur leader.
Quand il le vit, Shinji marcha droit vers lui, ses pas lourds sur le gravier.
— Toi.
Le garçon leva un sourcil, surpris, puis éclata de rire en le voyant approcher.
— C’est quoi ton problème ? lança-t-il avec ce même sourire suffisant, clope à la main.
— Mon problème, c’est toi. Arrête de parler de ma mère.
Ses mots étaient tranchants, presque crachés, et il sentait déjà les regards curieux des autres élèves qui traînaient dans le coin. Mais le garçon ne se démonta pas. Au contraire, il haussa les épaules, affichant un sourire encore plus provocateur.
— Tu devrais être flatté, non ? Elle est canon, ta daronne. Pourquoi t’énerver ?
C’en était trop. Shinji n’attendit pas une seconde de plus. Son poing partit comme une balle, droit dans la mâchoire de ce sourire arrogant. Le choc fit reculer le garçon d’un pas, et les rires autour s’éteignirent en une fraction de seconde.
Mais il n’était pas seul. À peine le leader vacilla-t-il que ses deux acolytes réagirent. L’un saisit Shinji par l’épaule, l’autre essaya de le repousser. Mais Shinji, galvanisé par sa colère, se dégagea et enchaîna par un takedown, entrainant son adversaire au sol et le rouant de coups, façon ground and pound.
— T’ouvres encore ta gueule ?! Hein ?! hurla-t-il.
Les coups pleuvaient dans la confusion. Les deux autres gars ripostèrent, essayant de dégager Shinji. Ils le mirent à terre avant de le piétiner.
"Arrêtez ça immédiatement !"
Le gardien scolaire surgit, attrapant l’un des agresseurs par le col et repoussant l’autre. Il se plaça entre Shinji et ses attaquants, bras tendus pour les séparer.
"Vous êtes fous ou quoi ? Vous voulez tuer quelqu’un ?!" hurla-t-il.
Shinji, allongé, respirait difficilement, le visage couvert de contusions. Hiroto, lui, geignait en arrière-plan, son visage méconnaissable. Les élèves présents autour, fascinés par la scène, s’éloignaient peu à peu sous le regard furieux du gardien.
"Vous trois, chez le directeur. Tout de suite."
Les deux amis d’Hiroto obtempérèrent, lançant un regard noir à Shinji. Le gardien aida ce dernier à se relever, sa respiration encore tremblante.
"Tu viens aussi," dit-il d’un ton plus calme, mais ferme.
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L’atmosphère dans le bureau du directeur était lourde. Shinji, le visage encore marqué par les contusions de la bagarre, était assis sur une chaise, le regard baissé, serrant les poings sur ses genoux. En face de lui, Hiroto jouait à la victime, la tête légèrement bandée, son air plaintif accentué par quelques geignements exagérés.
Le directeur, un homme d’âge mûr avec des lunettes fines, soupira lourdement avant de s’adresser à Shinji :
"J’ai du appeler ta mère, Shinji. Elle est en route. J'espère que tu mesures la gravité de la situation."
Shinji ne répondit pas. Son silence n’était pas dû à un manque de respect, mais à la culpabilité mêlée de colère qu’il éprouvait. Il savait qu’il avait dépassé les bornes, mais il ne supportait pas de voir Hiroto jouer la comédie après ce qu’il avait dit.
« Bien que Hiroto ait aussi eu une part de responsabilité verbale, nous ne pouvons tolérer une telle violence, tu es allé trop loin. Mais d’abord, je vais avoir un tête a tête avec ta mére. »
Quelques minutes plus tard, Shinji entendit la porte s’ouvrir…
DC De Leon Redgrave. Merci de me contacter sur mon compte principal pour toute demande de RP.
- Reine Alice Korvander
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- Demande de RP
« Vous comprenez, Nichiha-san, nous ne pouvons pas tolérer de telles violences dans notre établissement… »
Face à elle, le Proviseur restait professionnel, même s’il profitait du fait de rehausser ses lunettes pour loucher sur l’incroyable paire de seins de la femme assise face à lui. Jeune et mère célibataire, Emiko Nichiha, mère de Shinji Nishiha, avait parfaitement conscience de sa beauté renversante. Elle savait aussi très bien que les hommes louchaient sur ses seins avec envie, et leurs femmes avec jalousie. On parlait d’un désordre hormonal, c’était ce que les médecins avaient dit. Les seins d’une femme commençaient à sensiblement grossir lors de l’adolescence. Emiko avait subi lors de leur croissance une mastodynie, une douleur liée aux seins. Les médecins estimaient que le corps d’Emiko avait subi une mutation hormonale liée à la prescription de certains médicaments quand elle était plus jeune, et qui pouvaient expliquer la taille redoutable de ses seins.
Emiko était tombée enceinte au lycée. Ses parents avaient été choqués, et, venant d’un milieu très conservateur, avaient mis leur fille en pension. L’homme ayant mis enceinte avait fui, lui aussi, et Emiko avait éduqué seule Shinji, tout en parvenant à réussir ses études. Elle bénéficiait pour cela du soutien financier de son père, l’ancien professeur d’Emiko, qui avait conclu cet arrangement avec ses parents, pour éviter qu’ils ne portent plainte. Cet argent lui avait permis de financer ses études. Elle s’était promise de ne jamais avoir d’autre homme que Shinji. C’était l’étoile de sa vie, et, même aujourd’hui, ils dormaient encore ensemble. Emiko avait voué sa vie à faire de Shinji un bon garçon, et avait choisi une école privée respectueuse. Alors, quand on lui avait dit que son fils s’était battu… Toutefois, Emiko n’était pas du style à se laisser faire. Face au Proviseur, sa main attrapa celle de Shinji, et elle la serra.
« Je suis ravie de vous l’entendre dire, Hanzo-sama, car j’ai moi aussi entendu de drôles de choses concernant votre établissement… Comme le fait qu’il y ait une bande de jeunes riches qui harcèlent d’autres élèves comme mon Shinji-kun. On dit que leurs parents vous paient généreusement pour que vous continuiez à les garder…
- Nichiha-san, j’ignore où vous avez entendu de telles histoires, mais laissez-moi vous dire que…
- Non ! C’est vous qui allez m’écouter ! Vous me convoquez pour me dire que mon Shinji-kun se serait comporté comme un voyou, et moi, je sais que ces sales brutes ne cessent de le harceler. Je m’occuperai de sanctionner mon garçon, mais, si vous osez lui mettre un blâme, je devrais en référer au rectorat. »
Hanzo-sama, le Proviseur, vira cramoisi à cette idée.
« Mais enfin… Je ne peux pas laisser passer ça… Les parents d’Hiroto ont permis de rénover tout l’établissement…
- Vous allez faire ce que vous savez faire de mieux, Hanzo-sama… Conserver votre gros cul sur votre siège à ne rien faire, et laisser mon fils tranquille ! »
Elle se releva ensuite, et fit signe à Shinji de le suivre, tandis que Hanzo-sama, estomaqué, la vit partir, avant de maugréer sur cette « salope de pute ». Les mères célibataires étaient très mal vues au Japon, comme des espèces de catins. Emiko rejoignit sa voiture, et ce ne fut qu’une fois au volant vers leur maison qu’elle se mit à parler :
« D’après ce qu’ils ont dit, Hiroto va aller à l’hôpital. »
Emiko avait une petite idée sur l’origine de cette violence chez son fils. Elle l’observa brièvement. Elle savait que les hommes étaient par nature énergiques, et empreints d’une certaine forme de violence qu’ils devaient exprimer. Ils le faisaient dans le sexe, mais Shinji n’avait aucune petite-amie… Emiko aurait pu s’en plaindre, mais elle était toujours jalouse quand elle voyait une fille lui tourner autour… Comme lui quand il la voyait avec un homme du travail.
« Je ne t’en veux pas de lui avoir cassé la gueule, tu sais… Je veux dire, ce con l’avait amplement mérité. Mais tu dois savoir que ma position n’est pas facile, Shinji-chan. »
Un changement de suffixe révélateur : en public, Emiko employait le suffixe neutre « -kun », mais, dans l’intimité, le suffixe « -chan », bien plus affectueux. S’arrêtant à un feu rouge, elle alla même lui caresser doucement les cheveux.
« Tu sais comment les autres me voient ? Les hommes ont tous envie de me sauter dessus, leurs femmes me jalousent, et ils ont une excuse parfaite pour me conspuer avec mon absence d’époux. Ce genre de choses, c’est le truc parfait pour eux, l’excuse dont ils ont besoin…
Pourquoi tu n’as pas attendu d’être dans un endroit tranquille pour lui casser la figure ? Je me demande d’où te vient une telle agressivité… »
La jeune mère de famille avait cependant bien une petite idée…
Face à elle, le Proviseur restait professionnel, même s’il profitait du fait de rehausser ses lunettes pour loucher sur l’incroyable paire de seins de la femme assise face à lui. Jeune et mère célibataire, Emiko Nichiha, mère de Shinji Nishiha, avait parfaitement conscience de sa beauté renversante. Elle savait aussi très bien que les hommes louchaient sur ses seins avec envie, et leurs femmes avec jalousie. On parlait d’un désordre hormonal, c’était ce que les médecins avaient dit. Les seins d’une femme commençaient à sensiblement grossir lors de l’adolescence. Emiko avait subi lors de leur croissance une mastodynie, une douleur liée aux seins. Les médecins estimaient que le corps d’Emiko avait subi une mutation hormonale liée à la prescription de certains médicaments quand elle était plus jeune, et qui pouvaient expliquer la taille redoutable de ses seins.
Emiko était tombée enceinte au lycée. Ses parents avaient été choqués, et, venant d’un milieu très conservateur, avaient mis leur fille en pension. L’homme ayant mis enceinte avait fui, lui aussi, et Emiko avait éduqué seule Shinji, tout en parvenant à réussir ses études. Elle bénéficiait pour cela du soutien financier de son père, l’ancien professeur d’Emiko, qui avait conclu cet arrangement avec ses parents, pour éviter qu’ils ne portent plainte. Cet argent lui avait permis de financer ses études. Elle s’était promise de ne jamais avoir d’autre homme que Shinji. C’était l’étoile de sa vie, et, même aujourd’hui, ils dormaient encore ensemble. Emiko avait voué sa vie à faire de Shinji un bon garçon, et avait choisi une école privée respectueuse. Alors, quand on lui avait dit que son fils s’était battu… Toutefois, Emiko n’était pas du style à se laisser faire. Face au Proviseur, sa main attrapa celle de Shinji, et elle la serra.
« Je suis ravie de vous l’entendre dire, Hanzo-sama, car j’ai moi aussi entendu de drôles de choses concernant votre établissement… Comme le fait qu’il y ait une bande de jeunes riches qui harcèlent d’autres élèves comme mon Shinji-kun. On dit que leurs parents vous paient généreusement pour que vous continuiez à les garder…
- Nichiha-san, j’ignore où vous avez entendu de telles histoires, mais laissez-moi vous dire que…
- Non ! C’est vous qui allez m’écouter ! Vous me convoquez pour me dire que mon Shinji-kun se serait comporté comme un voyou, et moi, je sais que ces sales brutes ne cessent de le harceler. Je m’occuperai de sanctionner mon garçon, mais, si vous osez lui mettre un blâme, je devrais en référer au rectorat. »
Hanzo-sama, le Proviseur, vira cramoisi à cette idée.
« Mais enfin… Je ne peux pas laisser passer ça… Les parents d’Hiroto ont permis de rénover tout l’établissement…
- Vous allez faire ce que vous savez faire de mieux, Hanzo-sama… Conserver votre gros cul sur votre siège à ne rien faire, et laisser mon fils tranquille ! »
Elle se releva ensuite, et fit signe à Shinji de le suivre, tandis que Hanzo-sama, estomaqué, la vit partir, avant de maugréer sur cette « salope de pute ». Les mères célibataires étaient très mal vues au Japon, comme des espèces de catins. Emiko rejoignit sa voiture, et ce ne fut qu’une fois au volant vers leur maison qu’elle se mit à parler :
« D’après ce qu’ils ont dit, Hiroto va aller à l’hôpital. »
Emiko avait une petite idée sur l’origine de cette violence chez son fils. Elle l’observa brièvement. Elle savait que les hommes étaient par nature énergiques, et empreints d’une certaine forme de violence qu’ils devaient exprimer. Ils le faisaient dans le sexe, mais Shinji n’avait aucune petite-amie… Emiko aurait pu s’en plaindre, mais elle était toujours jalouse quand elle voyait une fille lui tourner autour… Comme lui quand il la voyait avec un homme du travail.
« Je ne t’en veux pas de lui avoir cassé la gueule, tu sais… Je veux dire, ce con l’avait amplement mérité. Mais tu dois savoir que ma position n’est pas facile, Shinji-chan. »
Un changement de suffixe révélateur : en public, Emiko employait le suffixe neutre « -kun », mais, dans l’intimité, le suffixe « -chan », bien plus affectueux. S’arrêtant à un feu rouge, elle alla même lui caresser doucement les cheveux.
« Tu sais comment les autres me voient ? Les hommes ont tous envie de me sauter dessus, leurs femmes me jalousent, et ils ont une excuse parfaite pour me conspuer avec mon absence d’époux. Ce genre de choses, c’est le truc parfait pour eux, l’excuse dont ils ont besoin…
Pourquoi tu n’as pas attendu d’être dans un endroit tranquille pour lui casser la figure ? Je me demande d’où te vient une telle agressivité… »
La jeune mère de famille avait cependant bien une petite idée…

DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
La mère de shinji finit donc par arriver : elle poussa la porte, furieuse, et s’engeula avec le principal de l’école, estimant que celui-ci était trop laxiste face à l’harcèlement quotidien de son fils. Shinji se faisait effectivement harceler à l’école par un groupe de d’élèves en terminale, tous issue de familles riches, qui avait contribué au financement du lycée. Emiko ne laissa donc pas passer ce détail inaperçu et fit exploser sa frustration sur le bureau du principal. A côté, shinji se tenait assit à coté d’elle, embarrassé, mais aussi surprit par la hargne de sa mère. Il fallait dire que la génitrice de Shinji avait un caractère bien trempé, et elle ne se laissait pas marcher dessus.
Après cet échange musclée, Shinji et sa mère quittèrent la salle du directeur avant de la rejoindre dans la voiture. Sa mère se tenait là, son regard flamboyant de tout à l’heure ayant muté en une œillade beaucoup plus sereine et beaucoup plus douce à la vue de son fils. Shinji était embarrassé, il s’était retenu plusieurs fois de frapper ce sale connard, justement pour ne pas causer d’ennuis à sa mère. Mais cette fois, il n’avait pas pu se contrôler d’avantage, et avait laissé éclater sa colère. Si c’était un affrontement singulier et si le gardien n’était pas intervenu, shinji serait peut-être meme allé trop loin…
Sa mère commença l’échange en disant qu’Hiroto allait aller à l’hôpital. Pas surprenant, étant donné la raclée que lui avait donné Shinji
« Oui, je sais maman, mais c’est lui qui a commencé », répondit-il timidement.
La position de la mère de Shinji n’était pas facile, les mères célibataires étaient mal vues au japon, et sa mère se faisait régulièrement draguer par des hommes à cause notamment de sa grosse poitrine. Shinji s’en voulait d’avoir causé des ennuis à sa mère, mais il ne pouvait pas laisser un vaurien manquer de respect à sa propre mère.
« Oui, je sais… je suis désolé, maman »
Emiko était effectivement désiré par les hommes, et jalousé par les femmes. Elle avait d’ailleurs été victime de harcèlement sexuel plusieurs fois, que ce soit dans la rue ou au supermarché. Shinji spéculait aussi que sa mère se faisait probablement draguer par son patron, mais qu’elle le cachait, probablement à cause du tempérament agressif de son fils. Une agressivité qui n’était pas sans raison, d’ailleurs…
« Oui, je sais tout ça maman, mais je ne peux rien faire, je n’arrive pas à me contrôler ! »
Shinji laissa s’échapper un peu de sa frustration, tournant au passage la tête pour esquiver le regard affectueux de sa mère. Il croisa les bras, jeta son regard dans l’horizon. Emiko pouvait clairement sentir de la tension chez son fils…
« Tu sais quoi ? Oublie, ça, Ça se reproduira plus, maman. »
Shinji ne voulait surtout pas que sa mère enquête davantage sur la cause sous-jacente de son agressivité
Après quelques minutes, le couple arriva finalement à la maison. Shinji et sa mère habitaient dans le quartier de Midoriyama. Un quartier ou vivait la classe moyenne, et qui représentait un bon équilibre entre confort et simplicité. Ses rues, impeccablement entretenues, serpentent entre des rangées de maisons individuelles, toutes semblables mais subtilement uniques.
Les maisons, souvent sur deux niveaux, arborent des façades en crépi beige ou blanc cassé, parfois agrémentées de panneaux en bois sombre ou de briques décoratives. De petits jardins soignés bordent chaque résidence, où des haies de buis bien taillées cohabitent avec des azalées éclatantes et des érables nains, qui flambent de rouge en automne. Devant chaque maison, une boîte aux lettres en métal coloré et un panneau indiquant le nom de la famille. Shinji fit le premier à sortir de la voiture, ouvrit la porte de leur maison et se précipita vers sa chambre.
S’enfermant dans sa chambre, shinji ouvrit son tiroir, où se trouvait une photo de sa mère en maillot de bain. Shinji la regarda longuement, avant de déboutonner son pantalon, et d’enlever son caleçon ! Puis, shinji commença à faire l’impensable : il commença à se masturber en regardant la photo de sa mère !
Après cet échange musclée, Shinji et sa mère quittèrent la salle du directeur avant de la rejoindre dans la voiture. Sa mère se tenait là, son regard flamboyant de tout à l’heure ayant muté en une œillade beaucoup plus sereine et beaucoup plus douce à la vue de son fils. Shinji était embarrassé, il s’était retenu plusieurs fois de frapper ce sale connard, justement pour ne pas causer d’ennuis à sa mère. Mais cette fois, il n’avait pas pu se contrôler d’avantage, et avait laissé éclater sa colère. Si c’était un affrontement singulier et si le gardien n’était pas intervenu, shinji serait peut-être meme allé trop loin…
Sa mère commença l’échange en disant qu’Hiroto allait aller à l’hôpital. Pas surprenant, étant donné la raclée que lui avait donné Shinji
« Oui, je sais maman, mais c’est lui qui a commencé », répondit-il timidement.
La position de la mère de Shinji n’était pas facile, les mères célibataires étaient mal vues au japon, et sa mère se faisait régulièrement draguer par des hommes à cause notamment de sa grosse poitrine. Shinji s’en voulait d’avoir causé des ennuis à sa mère, mais il ne pouvait pas laisser un vaurien manquer de respect à sa propre mère.
« Oui, je sais… je suis désolé, maman »
Emiko était effectivement désiré par les hommes, et jalousé par les femmes. Elle avait d’ailleurs été victime de harcèlement sexuel plusieurs fois, que ce soit dans la rue ou au supermarché. Shinji spéculait aussi que sa mère se faisait probablement draguer par son patron, mais qu’elle le cachait, probablement à cause du tempérament agressif de son fils. Une agressivité qui n’était pas sans raison, d’ailleurs…
« Oui, je sais tout ça maman, mais je ne peux rien faire, je n’arrive pas à me contrôler ! »
Shinji laissa s’échapper un peu de sa frustration, tournant au passage la tête pour esquiver le regard affectueux de sa mère. Il croisa les bras, jeta son regard dans l’horizon. Emiko pouvait clairement sentir de la tension chez son fils…
« Tu sais quoi ? Oublie, ça, Ça se reproduira plus, maman. »
Shinji ne voulait surtout pas que sa mère enquête davantage sur la cause sous-jacente de son agressivité
Après quelques minutes, le couple arriva finalement à la maison. Shinji et sa mère habitaient dans le quartier de Midoriyama. Un quartier ou vivait la classe moyenne, et qui représentait un bon équilibre entre confort et simplicité. Ses rues, impeccablement entretenues, serpentent entre des rangées de maisons individuelles, toutes semblables mais subtilement uniques.
Les maisons, souvent sur deux niveaux, arborent des façades en crépi beige ou blanc cassé, parfois agrémentées de panneaux en bois sombre ou de briques décoratives. De petits jardins soignés bordent chaque résidence, où des haies de buis bien taillées cohabitent avec des azalées éclatantes et des érables nains, qui flambent de rouge en automne. Devant chaque maison, une boîte aux lettres en métal coloré et un panneau indiquant le nom de la famille. Shinji fit le premier à sortir de la voiture, ouvrit la porte de leur maison et se précipita vers sa chambre.
S’enfermant dans sa chambre, shinji ouvrit son tiroir, où se trouvait une photo de sa mère en maillot de bain. Shinji la regarda longuement, avant de déboutonner son pantalon, et d’enlever son caleçon ! Puis, shinji commença à faire l’impensable : il commença à se masturber en regardant la photo de sa mère !
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Emiko se tut ensuite sur le reste du trajet. Elle l’avait souvent dit à son fils, et elle le pensait toujours autant, il était tout pour elle. Au Japon, contrairement à l’Occident, le rôle de la femme était encore réduit à sa maternité. Enfin, même en Occident, il existait encore des mentalités rétrogrades. Emiko se souvenait encore de ce même, auteur d’une espèce de pasteur français qui rappelait que la place de la femme était à la cuisine. On pouvait en rire, mais c’était pourtant une réalité. Avoir des diplômes, un boulot, c’était bien, mais une femme japonaise devait avant tout s’occuper de son enfant. Et, aussi rebelle que soit Emiko vis-à-vis des normes sociales, elle était paradoxalement sur ce point l’exemple-type de la mère aimante, envahissante, comme cette sorcière du Voyage de Chihiro, Yubaba, qui couvait son bébé, et l’étouffait.
Songeuse, Emiko laissa Shinji aller dans sa chambre. Est-ce que c’était de sa faute s’il n’avait pas de petite-amie ? Bien sûr, elle savait pourquoi il n’avait pas pu se retenir. Les hommes et leur libido… Shinji faisait tout pour qu’elle ne le voie pas, mais Emiko était maîtresse chez elle, et elle voyait bien les traces de sperme quand elle nettoyait les vêtements, et les caleçons de son fils. Elle s’imaginait alors son fils en train de se masturber, et Emiko était alors envahie par de singulières pensées, fort peu chaste, qui l’impliquait, elle, comme objet de désir de son fils.
*Je ne devrais pas penser à ça…*
Mais, en même temps… Chaque fois que Shinji parlait d’une fille, Emiko avait tendance à se refermer, à être sèche, à être froide. En y repensant, elle n’avait jamais laissé de chance aux filles que Shinji ramenait. Trop grosse, trop vulgaire, trop maigre, un rire insupportable, une qui mange en en mettant partout… Emiko savait qu’elle était sur ce point une mauvaise mère, mais que pouvait-elle faire ? Elle aimait Shinji, voilà tout. Elle voulait juste que son fils ne fasse pas les mêmes erreurs qu’elle, qu’il tombe sur la bonne personne. Pouvait-on vraiment le lui reprocher ?
Emiko décida d’apaiser les choses avec son fils en préparant un goûter. Elle sortit un plateau, puis des dango, des petites boulettes sucrées ressemblant à des bâtonnets sucrés, ainsi qu’un chiffon cake, une tarte chiffon, un gâteau américain qui avait su s’implanter au Japon.
Attrapant le plateau, Emiko se dirigea ensuite vers la chambre de Shinji, et posa sa main sur la poignée du panneau coulissant faisant office de porte.
« Shinji-chan, je t’ai préparé… »
Emiko se tut brusquement en ouvrant la porte, et en voyant son fils, occupé à se masturber. Elle écarquilla les yeux en rougissant, voyant Shinji éjaculer sur la photographie d’elle en bikini.
« Oh, Shinji… »
Emiko parvint miraculeusement à épargner le plateau, et le posa alors sur le lit. Les pensées d’Emiko tourbillonnaient dans sa tête. Le moment était gênant pour les deux, et, même si Shinji parlait, ou essayait de nier, Emiko ne l’écoutait pas.
« C’est pour ça que tu t’es battu si vivement avec Hiroto… »
La jeune femme savait qu’elle ne devait pas basculer. Car le point de bascule, elle y était. Elle devait gifler son fils, le sermonner, lui dire que ce n’était pas bien, et qu’il se trouve une copine. Et c’est précisément en pensant à cette potentielle rivale que le cœur d’Emiko se durcit à cette idée. La voix de la conscience dans sa tête s’effaçait, s’atténuait.
« Tu… Je sais que tu te masturbes, mon chéri, mais… Je ne me doutais pas que c’était en pensant à moi. Tu dois avoir tellement de jolies filles qui te tournent autour, Shinji-chan, et c’est à moi que tu penses… »
Emiko rougissait, comme si elle avait juste envie d’entendre son fils lui dire combien il la désirait… Ce qui permettrait, à la vérité, de légitimer ses propres fantasmes incestueux !
Songeuse, Emiko laissa Shinji aller dans sa chambre. Est-ce que c’était de sa faute s’il n’avait pas de petite-amie ? Bien sûr, elle savait pourquoi il n’avait pas pu se retenir. Les hommes et leur libido… Shinji faisait tout pour qu’elle ne le voie pas, mais Emiko était maîtresse chez elle, et elle voyait bien les traces de sperme quand elle nettoyait les vêtements, et les caleçons de son fils. Elle s’imaginait alors son fils en train de se masturber, et Emiko était alors envahie par de singulières pensées, fort peu chaste, qui l’impliquait, elle, comme objet de désir de son fils.
*Je ne devrais pas penser à ça…*
Mais, en même temps… Chaque fois que Shinji parlait d’une fille, Emiko avait tendance à se refermer, à être sèche, à être froide. En y repensant, elle n’avait jamais laissé de chance aux filles que Shinji ramenait. Trop grosse, trop vulgaire, trop maigre, un rire insupportable, une qui mange en en mettant partout… Emiko savait qu’elle était sur ce point une mauvaise mère, mais que pouvait-elle faire ? Elle aimait Shinji, voilà tout. Elle voulait juste que son fils ne fasse pas les mêmes erreurs qu’elle, qu’il tombe sur la bonne personne. Pouvait-on vraiment le lui reprocher ?
Emiko décida d’apaiser les choses avec son fils en préparant un goûter. Elle sortit un plateau, puis des dango, des petites boulettes sucrées ressemblant à des bâtonnets sucrés, ainsi qu’un chiffon cake, une tarte chiffon, un gâteau américain qui avait su s’implanter au Japon.
Attrapant le plateau, Emiko se dirigea ensuite vers la chambre de Shinji, et posa sa main sur la poignée du panneau coulissant faisant office de porte.
« Shinji-chan, je t’ai préparé… »
Emiko se tut brusquement en ouvrant la porte, et en voyant son fils, occupé à se masturber. Elle écarquilla les yeux en rougissant, voyant Shinji éjaculer sur la photographie d’elle en bikini.
« Oh, Shinji… »
Emiko parvint miraculeusement à épargner le plateau, et le posa alors sur le lit. Les pensées d’Emiko tourbillonnaient dans sa tête. Le moment était gênant pour les deux, et, même si Shinji parlait, ou essayait de nier, Emiko ne l’écoutait pas.
« C’est pour ça que tu t’es battu si vivement avec Hiroto… »
La jeune femme savait qu’elle ne devait pas basculer. Car le point de bascule, elle y était. Elle devait gifler son fils, le sermonner, lui dire que ce n’était pas bien, et qu’il se trouve une copine. Et c’est précisément en pensant à cette potentielle rivale que le cœur d’Emiko se durcit à cette idée. La voix de la conscience dans sa tête s’effaçait, s’atténuait.
« Tu… Je sais que tu te masturbes, mon chéri, mais… Je ne me doutais pas que c’était en pensant à moi. Tu dois avoir tellement de jolies filles qui te tournent autour, Shinji-chan, et c’est à moi que tu penses… »
Emiko rougissait, comme si elle avait juste envie d’entendre son fils lui dire combien il la désirait… Ce qui permettrait, à la vérité, de légitimer ses propres fantasmes incestueux !

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Il arrivait a shinji de se masturber fréquemment en pensant à sa mère. Il avait d’ailleurs récupéré une photo d’elle à la plage, en maillot de bain, qu’il avait soigneusement gardé dans sa chambre. Chaque fois qu’il ressentait de la frustration, il sortait cette photo et commençait à se masturber la queue. Jusque-là, sa mère n’avait jamais réussi à le chopper. Mais aujourd’hui, shinji avait oublié de verrouiller la porte de sa chambre, et ne se doutait pas que cette omission allait lui couter très cher. Alors qu’il atteignait l’orgasme, expulsant sa semence sur la photo de sa mère, shinji sursauta lorsqu’il entendit la porte s’ouvrir.
*Bon sang, j’ai oublié de fermer à clé ! *
Et quelle fut sa surprise quand sa mère débarqua dans sa chambre, portant un plateau. La bite a l’air, la photo de sa mère souillée par son sperme, shinji se tenait là, choqué par la situation !
« Maman, qu’est-ce que… »
Shinji ne savait pas trop quoi dire ! par où commencer ?! Comment justifier un tel acte malsain ?! Shinji déglutina, puis décida de prendre les choses en main. Il commença déjà par prendre un mouchoir à côté, qu’il utilisa pour s’essuyer la bite, avant de se rhabiller entièrement.
« Je peux savoir ce que tu fais ?! Pourquoi tu n’as pas toqué à la porte d’abord, hein ?! »
Shinji n’avait pas l’habitude de parler de cette maniéré à sa mère, mais c’était la seule solution pour échapper à cette situation embarrassante dans laquelle il venait de mettre les pieds. Rouge comme une tomate, le jeune garçon faisait tout possible pour cacher sa honte, et essaya d’inverser les rôles, faisant passer sa mère pour la méchante.
« Ecoute, ce n’est pas ce que tu crois, d’accord ?! Je… je me sentais stressé, donc j’ai décidé d’évacuer un peu mon stress. Et… ta photo se trouvait là, par hasard. C’est tout ! »
C’était un mensonge, mais shinji l’avait prononcé avec suffisamment d’assurance dans l’espoir qu’il passe pour une vérité.
« Et non, ce n’est pas ce à quoi tu penses ! Je n’ai pas frappé Hi roto pour la raison que tu as en tête ! »
Shinji fit une pause avant de reprendre :
« D’ailleurs, je viens de trouver une copine, maman ! C’est juste que je savais que je ne pouvais pas la ramener à la maison, car tu finirais par la descendre comme toujours, donc j’ai décidé de me faire plaisir autrement ! »
Shinji ne voulait absolument pas qu’elle se rende compte qu’il était amoureux d’elle ! Absolument pas ! et pour ça, il était prêt a tout, quitte à blesser sa mère !
*Bon sang, j’ai oublié de fermer à clé ! *
Et quelle fut sa surprise quand sa mère débarqua dans sa chambre, portant un plateau. La bite a l’air, la photo de sa mère souillée par son sperme, shinji se tenait là, choqué par la situation !
« Maman, qu’est-ce que… »
Shinji ne savait pas trop quoi dire ! par où commencer ?! Comment justifier un tel acte malsain ?! Shinji déglutina, puis décida de prendre les choses en main. Il commença déjà par prendre un mouchoir à côté, qu’il utilisa pour s’essuyer la bite, avant de se rhabiller entièrement.
« Je peux savoir ce que tu fais ?! Pourquoi tu n’as pas toqué à la porte d’abord, hein ?! »
Shinji n’avait pas l’habitude de parler de cette maniéré à sa mère, mais c’était la seule solution pour échapper à cette situation embarrassante dans laquelle il venait de mettre les pieds. Rouge comme une tomate, le jeune garçon faisait tout possible pour cacher sa honte, et essaya d’inverser les rôles, faisant passer sa mère pour la méchante.
« Ecoute, ce n’est pas ce que tu crois, d’accord ?! Je… je me sentais stressé, donc j’ai décidé d’évacuer un peu mon stress. Et… ta photo se trouvait là, par hasard. C’est tout ! »
C’était un mensonge, mais shinji l’avait prononcé avec suffisamment d’assurance dans l’espoir qu’il passe pour une vérité.
« Et non, ce n’est pas ce à quoi tu penses ! Je n’ai pas frappé Hi roto pour la raison que tu as en tête ! »
Shinji fit une pause avant de reprendre :
« D’ailleurs, je viens de trouver une copine, maman ! C’est juste que je savais que je ne pouvais pas la ramener à la maison, car tu finirais par la descendre comme toujours, donc j’ai décidé de me faire plaisir autrement ! »
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Face à la peur de son fils, Emiko fronça les sourcils, et se décida à le prendre au jeu. Elle posa le plateau-repas, puis s’assit à côté de lui, et sortit son téléphone portable.
« Tu as une petite-amie, alors ? »
Emiko savait que c’était faux, mais cette seule idée suffisait à l’irriter. Elle se sentait… Jalouse ! Alors, elle décida de mettre Shinji en défaut. Elle sortit son téléphone, l’alluma, et lui présenta les SMS d’un de ses collègues de travail : Takeshi Noshiho. Shinji le connaissait, c’était le collègue de travail d’Emiko, un homme célibataire.
« Tu sais, il existe une agence au sein du boulot, pour les collègues célibataires… J’ai reçu un courriel de cette agence, qui me dit que Takeshi et moi serions compatibles. Je sais qu’il en pince pour moi, il adore mes seins, et je suis sûre qu’il s’est déjà rendu dans les toilettes pour se masturber comme tu le fais en ce moment en pensant à mes seins. »
Elle montra le courriel. Au sein des entreprises japonaises, on trouvait effectivement des agences matrimoniales. Les entreprises japonaises finançaient même l’abonnement de leurs salariés à des sites de rencontre. Ne pas être mariée, a fortiori pour une femme, c’était incompréhensible, une tâche forte sur le CV. Elle se demandait comment Shinji réagissait, et Emiko poursuivit donc :
« J’ai reçu une invitation à un dîner avec lui Vendredi prochain… J’ai jusqu’à la fin de la semaine pour y répondre. Je voulais t’en parler, demander à l’homme de la maison s’il était d’accord ou non. J’aurai sûrement une promotion si j’accepte son invitation. »
Emiko lui montra l’invitation, avec un mail comprenant des smileys en forme de cœur.
« Alors ? Je suis sûre que ça ne te laisse pas indifférent… Tu crois que je devrais y aller ? Comme tu souhaites que je ne sois plus la seule femme de ta vie, peut-être devrais-je faire de même ? Ou peut-être bien que tu te caressais en pensant à la seule véritable femme avec qui tu partages ton quotidien, hum ? »
« Tu as une petite-amie, alors ? »
Emiko savait que c’était faux, mais cette seule idée suffisait à l’irriter. Elle se sentait… Jalouse ! Alors, elle décida de mettre Shinji en défaut. Elle sortit son téléphone, l’alluma, et lui présenta les SMS d’un de ses collègues de travail : Takeshi Noshiho. Shinji le connaissait, c’était le collègue de travail d’Emiko, un homme célibataire.
« Tu sais, il existe une agence au sein du boulot, pour les collègues célibataires… J’ai reçu un courriel de cette agence, qui me dit que Takeshi et moi serions compatibles. Je sais qu’il en pince pour moi, il adore mes seins, et je suis sûre qu’il s’est déjà rendu dans les toilettes pour se masturber comme tu le fais en ce moment en pensant à mes seins. »
Elle montra le courriel. Au sein des entreprises japonaises, on trouvait effectivement des agences matrimoniales. Les entreprises japonaises finançaient même l’abonnement de leurs salariés à des sites de rencontre. Ne pas être mariée, a fortiori pour une femme, c’était incompréhensible, une tâche forte sur le CV. Elle se demandait comment Shinji réagissait, et Emiko poursuivit donc :
« J’ai reçu une invitation à un dîner avec lui Vendredi prochain… J’ai jusqu’à la fin de la semaine pour y répondre. Je voulais t’en parler, demander à l’homme de la maison s’il était d’accord ou non. J’aurai sûrement une promotion si j’accepte son invitation. »
Emiko lui montra l’invitation, avec un mail comprenant des smileys en forme de cœur.
« Alors ? Je suis sûre que ça ne te laisse pas indifférent… Tu crois que je devrais y aller ? Comme tu souhaites que je ne sois plus la seule femme de ta vie, peut-être devrais-je faire de même ? Ou peut-être bien que tu te caressais en pensant à la seule véritable femme avec qui tu partages ton quotidien, hum ? »

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Shinji était dans une impasse, son plan avait échoué, sa mère avait vu clairement dans son jeu. Ce n’était pas étonnant, elle avait toujours réussi à lire son fils, et shinji se doutait meme qu’elle était au courant pour ses pulsions sexuelles, au vu du sperme qu’il laissait dans ses caleçons. Tromper une mère n’était jamais facile, elles savaient lire dans leurs enfants comme dans un livre ouvert.
*Mince…*
Shinji serra les poings, frustré que son plan tombe à l’eau, mais également furieux à l’idée que sa mère puisse voir un autre homme. Takeshi Noshih était un collègue de travail d’Emiko que Shinji connaissait, il n’arrêtait pas de tourner autour de sa mère et de la draguer, bavant notamment ses seins. Rien que la prononciation de son nom avait suffi à irriter shinji
*ce connard, il lui toujours autour du pot ?!*
Mais les choses empirèrent quand Emiko annonça qu’elle avait reçu un courriel d’une agence matrimoniale lui recommandant Takeshi comme partenaire, et que le fait d’accepter de sortir avec lui serait certainement synonyme de promotion pour Emiko
« QUOI ?! »
Cette fois-ci, Shinji ne put cacher son ressentiment face à cette nouvelle. Le simple fait que sa mère puisse etre avec un autre homme que lui le mettait dans tout ses états. Il fronça les sourcils, devint rouge comme une tomate et serra les poings, au point que ses veines devenaient saillantes.
Qu’allait-il répondre ? D’un côté, s’il disait oui, cela signifiait révéler ses sentiments incestueux vis-à-vis de sa mère ; d’un autre côté, s’il disait non, il se condamnait à perdre sa mère pour toujours. Bloqué entre deux extrêmes, shinji ne sut quoi répondre.
« Je… »
Shinji passa sa main sur son front, il commençait étrangement à suer, comme s’il venait de faire un sprint de deux kilomètres. Les pensées tourbillonnaient dans son esprit, son cerveau tiraillé entre ses pulsions animales et sa moralité religieuse. Puis shinji craqua
« Tu veux sortir avec lui, tu dis ?! Bah, vas-y, tu croyais que j’allais te dire non ?! Tu croyais que j’étais amoureux de toi ou quelque chose du genre ?! »
Shinji choisit l'option la plus difficile, celle d'ignorer ses sentiments pour sa mère et de les refouler dans son subconscient. Un choix difficile, qui signifiait qu’il devait renoncer à sa mère.
Shinji déglutina a cette idée, cette idée de voir sa mère dans les bras d’un autre, mais il avait trop peur, trop peur de ce que sa mère puisse penser si elle savait qu’il était amoureux d’elle. Plus que tout au monde, shinji voulait que sa mère continue a le voir comme le bon fils respectueux de sa mère qu’il a toujours été, et ce meme s’il devait piétiner ses émotions. Shinja croisa les bras, essayant de cacher son malaise, avant de déclarer :
« alors, tu as d’autres questions ?! »
*Mince…*
Shinji serra les poings, frustré que son plan tombe à l’eau, mais également furieux à l’idée que sa mère puisse voir un autre homme. Takeshi Noshih était un collègue de travail d’Emiko que Shinji connaissait, il n’arrêtait pas de tourner autour de sa mère et de la draguer, bavant notamment ses seins. Rien que la prononciation de son nom avait suffi à irriter shinji
*ce connard, il lui toujours autour du pot ?!*
Mais les choses empirèrent quand Emiko annonça qu’elle avait reçu un courriel d’une agence matrimoniale lui recommandant Takeshi comme partenaire, et que le fait d’accepter de sortir avec lui serait certainement synonyme de promotion pour Emiko
« QUOI ?! »
Cette fois-ci, Shinji ne put cacher son ressentiment face à cette nouvelle. Le simple fait que sa mère puisse etre avec un autre homme que lui le mettait dans tout ses états. Il fronça les sourcils, devint rouge comme une tomate et serra les poings, au point que ses veines devenaient saillantes.
Qu’allait-il répondre ? D’un côté, s’il disait oui, cela signifiait révéler ses sentiments incestueux vis-à-vis de sa mère ; d’un autre côté, s’il disait non, il se condamnait à perdre sa mère pour toujours. Bloqué entre deux extrêmes, shinji ne sut quoi répondre.
« Je… »
Shinji passa sa main sur son front, il commençait étrangement à suer, comme s’il venait de faire un sprint de deux kilomètres. Les pensées tourbillonnaient dans son esprit, son cerveau tiraillé entre ses pulsions animales et sa moralité religieuse. Puis shinji craqua
« Tu veux sortir avec lui, tu dis ?! Bah, vas-y, tu croyais que j’allais te dire non ?! Tu croyais que j’étais amoureux de toi ou quelque chose du genre ?! »
Shinji choisit l'option la plus difficile, celle d'ignorer ses sentiments pour sa mère et de les refouler dans son subconscient. Un choix difficile, qui signifiait qu’il devait renoncer à sa mère.
Shinji déglutina a cette idée, cette idée de voir sa mère dans les bras d’un autre, mais il avait trop peur, trop peur de ce que sa mère puisse penser si elle savait qu’il était amoureux d’elle. Plus que tout au monde, shinji voulait que sa mère continue a le voir comme le bon fils respectueux de sa mère qu’il a toujours été, et ce meme s’il devait piétiner ses émotions. Shinja croisa les bras, essayant de cacher son malaise, avant de déclarer :
« alors, tu as d’autres questions ?! »
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Touché ! Certes, l’idée de faire souffrir son fils lui était insupportable, mais Emiko ne pouvait s’empêcher de sentir une certaine jubilation à l’idée de le voir s’énerver ainsi, peinant à calmer ses émotions. L’idée qu’elle puisse sortir avec Noshiho-san lui était insupportable, et il était si énervé qu’il ne vit pas les yeux d’Emiko pétiller sur place, et elle se mordiller les lèvres en sentant une vague de désir remonter en elle. Cela faisait-il d’elle une mauvaise mère ? Peut-être, mais elle ne pouvait s’empêcher d’y penser, comme à chaque fois qu’elle récupérait les culottes de son fils, et qu’elle les enfilait pour se masturber dedans, ou quand elle se masturbait sur son lit, en imaginant son odeur, et en imaginant son fils la pénétrer, m’insulter en la besognant, elle, cette mauvaise mère perverse… Emiko resserra nerveusement ses cuisses, et frémit, essayant de reprendre son contrôle. Bras croisés, Shinji évitait son regard. Il feignait l’indifférence, mais elle n’était pas dupe. Elle resta assise à côté de lui quand il lui demanda si elle avait d’autres questions.
Emiko sourit alors malicieusement, et se pencha alors vers lui. Sa main se posa sur son genou, et elle frémit, sentant qu’elle allait franchir le pas. Ce moment, elle l’envisageait depuis longtemps déjà, depuis qu’elle savait que son fils avait des érections, qu’elle observait sa queue en érection quand il dormait, en rentrant discrètement dans sa chambre, et qu’elle reniflait son sexe. Tout avait commencé comme ça… Quand elle savait qu’il commençait à ressentir du désir, à avoir des érections. Elle voulait simplement l’aider, au début, s’assurer que tout se passe bien. Elle lui en avait parlé, et elle l’avait ensuite observé dormir. Emiko n’avait encore jamais franchi le pas… Mais là, elle était sur le point de le faire, de basculer.
« J’ai une question, oui… Si tu viens me voir au travail, et que tu vois Takeshi-san m’embrasser, est-ce que tu le taperas aussi fort que tu as tabassé Hiroto tout à l’heure ? Tu ferais ça pour moi, hein ? Tu le poursuivrais dans une ruelle, et tu le frapperais violemment… »
Son visage s’était approché de son oreille, et elle murmura alors, tout en déplaçant encore sa main, la ramenant vers son bassin. Ses doigts s’appuyèrent sur sa ceinture, et ses lourds seins heurtèrent le flanc du jeune homme.
« Moi, si je voyais une fille t’embrasser, j’aurai envie de la jeter du haut d’un pont… »
Elle déplaça sa main de son pantalon, et la remonta pour tourner son visage vers le sien. Sa bouche était désormais proche de la sienne, et elle maintint sa main sur son menton.
« Je t’aime, Shinji… »
Sans lui laisser le temps de réagir, Emiko l’embrassa alors…
Emiko sourit alors malicieusement, et se pencha alors vers lui. Sa main se posa sur son genou, et elle frémit, sentant qu’elle allait franchir le pas. Ce moment, elle l’envisageait depuis longtemps déjà, depuis qu’elle savait que son fils avait des érections, qu’elle observait sa queue en érection quand il dormait, en rentrant discrètement dans sa chambre, et qu’elle reniflait son sexe. Tout avait commencé comme ça… Quand elle savait qu’il commençait à ressentir du désir, à avoir des érections. Elle voulait simplement l’aider, au début, s’assurer que tout se passe bien. Elle lui en avait parlé, et elle l’avait ensuite observé dormir. Emiko n’avait encore jamais franchi le pas… Mais là, elle était sur le point de le faire, de basculer.
« J’ai une question, oui… Si tu viens me voir au travail, et que tu vois Takeshi-san m’embrasser, est-ce que tu le taperas aussi fort que tu as tabassé Hiroto tout à l’heure ? Tu ferais ça pour moi, hein ? Tu le poursuivrais dans une ruelle, et tu le frapperais violemment… »
Son visage s’était approché de son oreille, et elle murmura alors, tout en déplaçant encore sa main, la ramenant vers son bassin. Ses doigts s’appuyèrent sur sa ceinture, et ses lourds seins heurtèrent le flanc du jeune homme.
« Moi, si je voyais une fille t’embrasser, j’aurai envie de la jeter du haut d’un pont… »
Elle déplaça sa main de son pantalon, et la remonta pour tourner son visage vers le sien. Sa bouche était désormais proche de la sienne, et elle maintint sa main sur son menton.
« Je t’aime, Shinji… »
Sans lui laisser le temps de réagir, Emiko l’embrassa alors…

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Il ouvrit la bouche pour répondre, mais aucun mot ne vint immédiatement. Son cerveau peinait à assimiler l’ampleur de ce que sa mère venait de dire. Ce n’était pas juste une remarque possessive… c’était une menace à peine voilée.
« Tu… tu plaisantes ? » finit-il par lâcher, la voix légèrement rauque. Son regard oscilla entre choc et une pointe de défiance. Il savait que sa mère était possessive, envahissante même, mais ça ? C’était d’un autre niveau.
Shinji se figea en sentant les lèvres de sa mère se presser contre les siennes. Une décharge électrique sembla parcourir son corps à ce contact interdit. Son esprit lui hurlait de la repousser, que c'était mal, mais son corps traître refusait d'obtempérer. Au lieu de cela, il se retrouva penché vers le baiser, les yeux fermés, respirant l'odeur enivrante de sa mère.
Ce… c'est impossible…
Le cœur de Shinji battait fort contre ses côtes, menaçant de se détacher de sa poitrine. Sa part de raison savait que c'était un péché, qu'une mère embrassant son fils était inadmissible. Mais la part sombre et perverse de lui, qui résidait dans les ténèbres de sa psyché, celle qui se renforçait chaque jour, se délectait de cet acte tabou.
Bon sang, elle est trop sexy, j'arrive pas à me retenir....
Avec un grognement bas et animal, Shinji s'élança et écrasa les lèvres de sa mère contre les siennes. Il l'entoura de ses bras puissants, tirant son corps voluptueux contre sa silhouette musclée tandis qu'il approfondissait le baiser avec une ferveur désespérée et affamée. Sa langue s'enfonça entre ses lèvres, envahissant sa bouche et s'entremêlant à la sienne dans une danse obscène et obscène.
Les mains de Shinji parcouraient avidement les courbes de sa mère, tâtonnant et pressant la chair douce et souple de ses fesses rebondies. Il ne pouvait s'empêcher de la toucher, de la revendiquer, de la marquer comme sienne.
Shinji rompit ensuite le baiser, laissant un filet de salive pendre de ses lèvres, signe qu’il était particulièrement… affamé.
« Ah oui, je t’aime aussi maman ! J’ai toujours eu envie de toi, j’ai toujours voulu que tu sois mienne. J’ai toujours eu envie de te baiser comme un homme baise sa femme ! »
Sur ce, Shinji plaqua sa mère contre le mur et commença a l’embrasser fougueusement. Dans la foulée, il déboutonna son pantalon et baissa son caleçon, libérant son énorme verge qui était piégé dans ce bout de tissu, et commença alors a malaxer avec toute sa fougue les deux énormes obus mammaires de sa mère. Il savait qu’elle était particulièrement sensible a ce niveau-là, et ses seins étaient tout simplement irrésistibles !
« Ah, tu as des seins magnifiques, maman ! Je peux pas… je peux pas accepter que ce connard de Takeshi s’en empare. Je vais te bouffer tes seins, maman, et je vais te baiser comme si t’était ma salope ! »
Elle était à lui, et à lui seul, et il ne laisserait jamais personne d'autre la toucher ainsi.
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Bien sûr, que c’était mal ! Une mère ne pouvait décemment pas ressentir de telles choses envers son fils ! Emiko avait essayé de lutter contre ce désir. Elle n’avait jamais été jusqu’à consulter, mais elle avait essayé de penser à d’autres hommes. Cependant, à chaque fois que Shinji semblait se rapprocher d’une fille, Emiko avait toujours ressenti ce sentiment de colère, de jalousie, de dépossession… Et, réciproquement, à chaque fois que quelqu’un lui faisait des compliments sur sa beauté, ou essayait de l’inviter, Emiko était outrée, furieuse… Et, malgré tous ses efforts, chaque nuit, elle pensait à son fils, à son sexe en érection qui la pénétrait, et qui la labourait…
Alors, elle avait craqué. On aurait pu croire qu’elle était furieuse que Shinji ait été violente, mais l’idée qu’il tabasse un homme parce que ce dernier avait tenu des propos graveleux sur elle… Là aussi, ça ne devrait pas, mais ça l’émoustillait fortement ! C’était son fils, il était beau, si beau…
« Hmmm… !! »
Elle frémit en sentant ses mains glisser sur son corps, caressant ses formes. Il la trouvait donc vraiment belle ? Cette perspective réchauffait son cœur, et faisait se crisper ses muscles. Ils s’embrassèrent donc, sincèrement, elle l’entendit grogner, et mordilla sa lèvre inférieure quand il malaxa ses fesses.
*Oh, le coquin !*
Emiko sentit son cœur bondir dans sa poitrine, et elle sourit ensuite quand il confirma qu’il l’aimait. Il la plaqua ensuite contre une bibliothèque au mur, envoyant tomber plusieurs livres. Elle frémit encore en sentant sa verge, et posa l’une de ses mains sur les fesses de son fils, l’autre glissant sur son sexe.
La jeune mère sourit ensuite quand Shinji palpa ses seins, et rougit encore quand il la traita de « salope ». Ce n’était pas du tout respectueux envers sa mère, mais ça ne fit que la chauffer encore plus ! Elle s’en mordilla d’ailleurs les lèvres, et caressa la joue de son chéri.
« Jamais Takeshi ne me touchera, mon chéri… Ni lui, ni personne d’autre. Je suis à toi, toute à toi… Mes gros seins de salope sont à toi, mon chéri, palpe-les, presse-les… Je me suis réservée pour toi… Si jamais quelqu’un souhaite me toucher, haaaa… Je veux que tu le tapes, que tu lui fasses regretter ses pensées… La prochaine fois que l’un de tes camarades parle mal de moi, je veux que tu me le dises, je veux t’aider à faire respecter mon honneur, hmmm… »
Oui, Emiko était assurément une très mauvaise mère… Mais comment reprocher à Shinji de la désirer autant, elle qui était si belle ?
Alors, elle avait craqué. On aurait pu croire qu’elle était furieuse que Shinji ait été violente, mais l’idée qu’il tabasse un homme parce que ce dernier avait tenu des propos graveleux sur elle… Là aussi, ça ne devrait pas, mais ça l’émoustillait fortement ! C’était son fils, il était beau, si beau…
« Hmmm… !! »
Elle frémit en sentant ses mains glisser sur son corps, caressant ses formes. Il la trouvait donc vraiment belle ? Cette perspective réchauffait son cœur, et faisait se crisper ses muscles. Ils s’embrassèrent donc, sincèrement, elle l’entendit grogner, et mordilla sa lèvre inférieure quand il malaxa ses fesses.
*Oh, le coquin !*
Emiko sentit son cœur bondir dans sa poitrine, et elle sourit ensuite quand il confirma qu’il l’aimait. Il la plaqua ensuite contre une bibliothèque au mur, envoyant tomber plusieurs livres. Elle frémit encore en sentant sa verge, et posa l’une de ses mains sur les fesses de son fils, l’autre glissant sur son sexe.
La jeune mère sourit ensuite quand Shinji palpa ses seins, et rougit encore quand il la traita de « salope ». Ce n’était pas du tout respectueux envers sa mère, mais ça ne fit que la chauffer encore plus ! Elle s’en mordilla d’ailleurs les lèvres, et caressa la joue de son chéri.
« Jamais Takeshi ne me touchera, mon chéri… Ni lui, ni personne d’autre. Je suis à toi, toute à toi… Mes gros seins de salope sont à toi, mon chéri, palpe-les, presse-les… Je me suis réservée pour toi… Si jamais quelqu’un souhaite me toucher, haaaa… Je veux que tu le tapes, que tu lui fasses regretter ses pensées… La prochaine fois que l’un de tes camarades parle mal de moi, je veux que tu me le dises, je veux t’aider à faire respecter mon honneur, hmmm… »
Oui, Emiko était assurément une très mauvaise mère… Mais comment reprocher à Shinji de la désirer autant, elle qui était si belle ?

DC de l'Observateur !
Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !
Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
Shinji frissonna tandis que les paroles de sa mère le submergeaient, sa voix imprégnée d'un mélange pervers d'amour, de désir et de soif possessive. Il n'arrivait pas à croire ce qu'il entendait, il n'arrivait pas à comprendre que sa propre mère puisse ressentir cela pour lui. C'était malsain, c'était mal, mais putain, il la voulait. Il la voulait, ELLE.
« Tu es à moi, a moi, maman ! Personne d'autre ne peut la toucher, jamais. Je tuerai quiconque essaiera ! »
Les mains de Shinji continuèrent à agripper le cul moelleux de sa mère, pressant ses globes fermes et l'attirant plus fort contre lui. Il balança ses hanches, frottant son sexe douloureux contre la chaleur de son sexe, la tache humide sur sa culotte grandissant à chaque seconde qui passait.
Les mains de Shinji parcouraient fébrilement les courbes pulpeuses de sa mère, pressant et pétrissant sa chair douce et généreuse. Il caressait ses seins généreux, savourant la façon dont ils débordaient dans ses larges mains. Il pinçait et roulait ses tétons raidis entre ses doigts, buvant ses gémissements et ses halètements lascifs.
« Ah putain, comme t’es bien foutu, maman ! Tu vas me rendre fou ! J’ai envie de te défoncer la chatte, maman – pardonne mon langage »
Les hanches de Shinji se contractèrent tandis qu'il pressait sa queue rigide contre le ventre de sa mère, son érection épaisse ne laissant aucun doute sur son désir. Il bandait tellement qu’il en avait mal, brûlant d'un besoin qui exigeait satisfaction. La sensation de sa main sur ses fesses, le serrant et le réclamant avec possessivité, ne fit qu'attiser son désir.
Shinji captura les lèvres de sa mère dans un autre baiser brûlant et obscène, plongeant sa langue profondément dans sa bouche. Il la dévora, consumé par son goût et sa sensation. Elle était à lui, et il était déterminé à prendre ce qui lui appartenait.
Puis, shinji décida de passer à la vitesse supérieure, et commença à se déshabiller, enlevant tout bout de tissu qui faisait rempart entre lui et sa mère. Il se déshabilla violement, en un éclair, jetant ses vêtements de manière aléatoire sur la chambre. En quelques secondes, Shinji se tenait devant sa mère, complètement nu et terriblement excité.
Le regard de Shinji parcourut le corps de sa mère, absorbant chaque courbe délicieuse et chaque rondeur. Son regard se fixa sur les boutons tendus de son chemisier, sur la façon dont sa poitrine généreuse menaçait de déborder à chaque respiration haletante. Incapable de résister, il tendit la main.
Shinji déchira presque le chemisier de sa mère, faisant voler les boutons dans tous les sens et dévoilant les seins voluptueux de sa mère qui n’était désormais protégé que par le soutien-gorge de sa mère.
Shinji se colla à sa mère, essayant de défaire son soutien-gorge. Cette fois-ci, il voulait s’y prendre de manière plus civilisée, mais il n’y arriva pas.
*Bon sang, ce bout de tissu ne veut pas s’enlever ! *
Shinji aurait bien voulu taper l’idiot qui s'occupait de concevoir les sous-vettements des femmes. Frustré de pouvoir enlever le soutif de sa mère, il décida d’utiliser la manière forte.
Shinji déchira le soutif, tout simplement, dévoilant ainsi les magnifiques seins de sa mère.
« Oh, mon dieu… »
Une vision divine, presque irréelle, de deux magnifiques globes de chair parfaitement arrondis. Il resta quelques secondes, en état de transe devant cette vue imprenable. Bon sang, quelle était sexy !
« Oh putain, maman, je savais que tes seins étaient gros, mais là, bordel… !»
Incapable de résister plus longtemps, shinji s'élança et captura un téton rose entre ses lèvres, le tétant avidement comme un homme affamé. Il jeta un regard a sa mère dans le lot, essayant de capturer sa réaction. Ses yeux lubriques fixèrent ainsi sa mère, et après quelques secondes, il relâcha son emprise, sa bouche remplie de salive.
« Maman, tu sais quoi ? Avant de te prendre, je vais te bouffer les seins ! »
Sur ces mots, shinji retourna bouffer les seins de sa maman !
« Tu es à moi, a moi, maman ! Personne d'autre ne peut la toucher, jamais. Je tuerai quiconque essaiera ! »
Les mains de Shinji continuèrent à agripper le cul moelleux de sa mère, pressant ses globes fermes et l'attirant plus fort contre lui. Il balança ses hanches, frottant son sexe douloureux contre la chaleur de son sexe, la tache humide sur sa culotte grandissant à chaque seconde qui passait.
Les mains de Shinji parcouraient fébrilement les courbes pulpeuses de sa mère, pressant et pétrissant sa chair douce et généreuse. Il caressait ses seins généreux, savourant la façon dont ils débordaient dans ses larges mains. Il pinçait et roulait ses tétons raidis entre ses doigts, buvant ses gémissements et ses halètements lascifs.
« Ah putain, comme t’es bien foutu, maman ! Tu vas me rendre fou ! J’ai envie de te défoncer la chatte, maman – pardonne mon langage »
Les hanches de Shinji se contractèrent tandis qu'il pressait sa queue rigide contre le ventre de sa mère, son érection épaisse ne laissant aucun doute sur son désir. Il bandait tellement qu’il en avait mal, brûlant d'un besoin qui exigeait satisfaction. La sensation de sa main sur ses fesses, le serrant et le réclamant avec possessivité, ne fit qu'attiser son désir.
Shinji captura les lèvres de sa mère dans un autre baiser brûlant et obscène, plongeant sa langue profondément dans sa bouche. Il la dévora, consumé par son goût et sa sensation. Elle était à lui, et il était déterminé à prendre ce qui lui appartenait.
Puis, shinji décida de passer à la vitesse supérieure, et commença à se déshabiller, enlevant tout bout de tissu qui faisait rempart entre lui et sa mère. Il se déshabilla violement, en un éclair, jetant ses vêtements de manière aléatoire sur la chambre. En quelques secondes, Shinji se tenait devant sa mère, complètement nu et terriblement excité.
Le regard de Shinji parcourut le corps de sa mère, absorbant chaque courbe délicieuse et chaque rondeur. Son regard se fixa sur les boutons tendus de son chemisier, sur la façon dont sa poitrine généreuse menaçait de déborder à chaque respiration haletante. Incapable de résister, il tendit la main.
*SSCCHHHJLLLLLLLAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRRRRRRRKKKKKKKKKHHHHHHHHHH*
Shinji déchira presque le chemisier de sa mère, faisant voler les boutons dans tous les sens et dévoilant les seins voluptueux de sa mère qui n’était désormais protégé que par le soutien-gorge de sa mère.
Shinji se colla à sa mère, essayant de défaire son soutien-gorge. Cette fois-ci, il voulait s’y prendre de manière plus civilisée, mais il n’y arriva pas.
*Bon sang, ce bout de tissu ne veut pas s’enlever ! *
Shinji aurait bien voulu taper l’idiot qui s'occupait de concevoir les sous-vettements des femmes. Frustré de pouvoir enlever le soutif de sa mère, il décida d’utiliser la manière forte.
*BAKH !*
Shinji déchira le soutif, tout simplement, dévoilant ainsi les magnifiques seins de sa mère.
« Oh, mon dieu… »
« Oh putain, maman, je savais que tes seins étaient gros, mais là, bordel… !»
Incapable de résister plus longtemps, shinji s'élança et captura un téton rose entre ses lèvres, le tétant avidement comme un homme affamé. Il jeta un regard a sa mère dans le lot, essayant de capturer sa réaction. Ses yeux lubriques fixèrent ainsi sa mère, et après quelques secondes, il relâcha son emprise, sa bouche remplie de salive.
« Maman, tu sais quoi ? Avant de te prendre, je vais te bouffer les seins ! »
Sur ces mots, shinji retourna bouffer les seins de sa maman !
DC De Leon Redgrave. Merci de me contacter sur mon compte principal pour toute demande de RP.
- Reine Alice Korvander
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- Fiche
- Demande de RP
En voyant Shinji se déshabiller, Emiko trembla nerveusement. Elle serrait et desserrait ses mains, pour essayer de calmer ses tremblements nerveux, cette excitation palpable qui remontait en elle, et qui l’envahissait totalement. Face à elle, Shinji était magnifique. Elle se mordilla les lèvres en l’observant des pieds à la tête. Elle le connaissait, bien sûr. Emiko l’avait déjà vue nu, y compris récemment. Mais là, la chose était différente… Ils s’avouaient enfin leurs pensées, leurs émotions, leurs sentiments… Il y avait du romantisme là-dedans, beaucoup de romantisme ! Mais, en même temps, Shinji était très excité, ce qui pouvait aisément se comprendre. Elle gloussa quand il parla de manière crue, et se mordilla les lèvres :
« Tu es un homme maintenant, mon chéri, tu as le droit de parler comme un homme… »
Elle le savait, oui, bien sûr qu’elle le savait ! Une mère ne devait pas parler comme ça, une bonne mère ne devait pas encourager son fils à faire preuve de violence, elle devait le réprimander quand il jurait… Mais l’idée d’entendre Shinji parler ainsi, pétrir ses seins, lui faire l’amour… Oh, oh, elle n’aurait jamais osé l’avouer, mais ça l’excitait furieusement ! Il se rapprocha donc d’elle, et, avec ses mains nerveuses, défit son chemisier en tirant dessus. Emiko frémit en entendant le tissu se déchirer. Elle posa ses mains sur les livres de la bibliothèque, et en reversa un par un geste maladroit quand la chemise se déchira et qu’il eût accès à son soutien-gorge.
Son regard se riva naturellement sur ses seins. En temps normal, elle aurait giflé n’importe qui qui l’aurait regardé comme ça… Mais là, à le voir ainsi, Emiko se mordilla les lèvres, et rougit.
« }Oh, Shinji-kun, tu… Tu aimes vraiment ce que tu vois, alors… »
Emiko n’était pas si vieille, mais elle avait un enfant, elle faisait partie du camp des mères, du camp des femmes qui ne pouvaient que vieillir, et donc s’enlaidir. Mais lui, son fils, lui, il la trouvait toujours aussi désirable. Alors, elle ne pouvait qu’en être comblée de joie ! Élue, elle papillonnait des yeux pour chasser ses larmes, et caressa avec ses mains les deux joues de son fils.
« Vas-y, mon chéri, ils ont toujours été faits pour toi… Tu les aimes depuis que tu es tout petit, c’est normal que tu en aies toujours envie… »
La jeune femme gémit ensuite quand Shinji alla à l’assaut de ses seins, et elle l’enlaça, crispant ses mains sur ses cheveux, tout en soupirant doucement, sentant un désir furieux l’envahir !
« Tu es un homme maintenant, mon chéri, tu as le droit de parler comme un homme… »
Elle le savait, oui, bien sûr qu’elle le savait ! Une mère ne devait pas parler comme ça, une bonne mère ne devait pas encourager son fils à faire preuve de violence, elle devait le réprimander quand il jurait… Mais l’idée d’entendre Shinji parler ainsi, pétrir ses seins, lui faire l’amour… Oh, oh, elle n’aurait jamais osé l’avouer, mais ça l’excitait furieusement ! Il se rapprocha donc d’elle, et, avec ses mains nerveuses, défit son chemisier en tirant dessus. Emiko frémit en entendant le tissu se déchirer. Elle posa ses mains sur les livres de la bibliothèque, et en reversa un par un geste maladroit quand la chemise se déchira et qu’il eût accès à son soutien-gorge.
Son regard se riva naturellement sur ses seins. En temps normal, elle aurait giflé n’importe qui qui l’aurait regardé comme ça… Mais là, à le voir ainsi, Emiko se mordilla les lèvres, et rougit.
« }Oh, Shinji-kun, tu… Tu aimes vraiment ce que tu vois, alors… »
Emiko n’était pas si vieille, mais elle avait un enfant, elle faisait partie du camp des mères, du camp des femmes qui ne pouvaient que vieillir, et donc s’enlaidir. Mais lui, son fils, lui, il la trouvait toujours aussi désirable. Alors, elle ne pouvait qu’en être comblée de joie ! Élue, elle papillonnait des yeux pour chasser ses larmes, et caressa avec ses mains les deux joues de son fils.
« Vas-y, mon chéri, ils ont toujours été faits pour toi… Tu les aimes depuis que tu es tout petit, c’est normal que tu en aies toujours envie… »
La jeune femme gémit ensuite quand Shinji alla à l’assaut de ses seins, et elle l’enlaça, crispant ses mains sur ses cheveux, tout en soupirant doucement, sentant un désir furieux l’envahir !

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Le visage enfoui dans les seins de sa mère, Shinji les dévorait sans relâche, ses assauts amplifiés par les gémissements de sa mère qui ne faisaient que l’exciter d’avantage. Après s’etre délecté des seins de sa mère comme il fallait, Shinji fit une pause, plongeant son regard dans les yeux de sa mère, avant de lui avouer :
« Ah oui, maman, tu as les meilleurs seins du monde ! »
Incapable de se retenir plus longtemps, Shinji attrapa sa mère par la taille et, en poussant un grognement, la jeta sur le le lit.
Emiko laissa échapper un halètement surpris, ses cheveux noirs se déployant autour de sa tête comme un halo lorsqu'elle atterrit sur le matelas moelleux. Mais ce halètement se transforma rapidement en un gémissement haletant lorsqu'elle sentit les mains puissantes de Shinji saisir la ceinture de sa jupe et de sa culotte. D'un coup sec, il les fit descendre le long de ses longues jambes galbées, dévoilant ses parties les plus intimes à ses yeux voraces.
« Oh putain, maman, tu es… tu es parfaite »
Shinji retint son souffle tandis qu'il contemplait la chatte luisante de sa mère, dont les plis roses étaient déjà luisants d'excitation. L'odeur musquée de son désir emplit ses narines, faisant palpiter sa bite douloureusement dure et suinter du liquide pré-éjaculatoire sur les draps.
Incapable de résister plus longtemps à la tentation, Shinji plongea et enfouit son visage entre les cuisses onctueuses de sa mère. Il inspira profondément, savourant l'arôme enivrant de son sexe avant de passer le plat de sa langue sur sa fente suintante.
Shinji gémit contre le sexe de sa mère, les vibrations de sa voix envoyant une onde de choc à travers son intimité. Il lécha et suça ses replis, fouillant entre eux pour goûter son essence la plus intime. Sa langue encercla son clitoris, taquinant et titillant le bouton sensible avant de le sucer entre ses lèvres.
Shinji léchait la chatte de sa mère comme un loup affamé. Le caractère incestueux de cette interaction ne la rendait que plus intense. Baiser sa propre mère, faire une chose aussi taboue, ça ne faisait que renforcer le plaisir ressenti.
Shinji fit ensuite, enfonça son index et son majeur dans sa bouche, les lubrifiant, pour les introduire ensuite à l’intérieur du vagin de sa mère. Et rapidement, Shinji constata que sa mère mouillait beaucoup. Il ne tarda pas à réagir :
« Maman, tu… tu mouilles énormément. C’est ok si je continue ? »
Ce n’était guère surprenant ; Emiko avait vécu toute sa vie célibataire, Shinji ne l’avait jamais vu fréquenter un homme de sa vie, et il n’état donc pas étonnant qu’elle mouille autant…
« Ah oui, maman, tu as les meilleurs seins du monde ! »
Incapable de se retenir plus longtemps, Shinji attrapa sa mère par la taille et, en poussant un grognement, la jeta sur le le lit.
Emiko laissa échapper un halètement surpris, ses cheveux noirs se déployant autour de sa tête comme un halo lorsqu'elle atterrit sur le matelas moelleux. Mais ce halètement se transforma rapidement en un gémissement haletant lorsqu'elle sentit les mains puissantes de Shinji saisir la ceinture de sa jupe et de sa culotte. D'un coup sec, il les fit descendre le long de ses longues jambes galbées, dévoilant ses parties les plus intimes à ses yeux voraces.
« Oh putain, maman, tu es… tu es parfaite »
Shinji retint son souffle tandis qu'il contemplait la chatte luisante de sa mère, dont les plis roses étaient déjà luisants d'excitation. L'odeur musquée de son désir emplit ses narines, faisant palpiter sa bite douloureusement dure et suinter du liquide pré-éjaculatoire sur les draps.
Incapable de résister plus longtemps à la tentation, Shinji plongea et enfouit son visage entre les cuisses onctueuses de sa mère. Il inspira profondément, savourant l'arôme enivrant de son sexe avant de passer le plat de sa langue sur sa fente suintante.
Shinji gémit contre le sexe de sa mère, les vibrations de sa voix envoyant une onde de choc à travers son intimité. Il lécha et suça ses replis, fouillant entre eux pour goûter son essence la plus intime. Sa langue encercla son clitoris, taquinant et titillant le bouton sensible avant de le sucer entre ses lèvres.
Shinji léchait la chatte de sa mère comme un loup affamé. Le caractère incestueux de cette interaction ne la rendait que plus intense. Baiser sa propre mère, faire une chose aussi taboue, ça ne faisait que renforcer le plaisir ressenti.
Shinji fit ensuite, enfonça son index et son majeur dans sa bouche, les lubrifiant, pour les introduire ensuite à l’intérieur du vagin de sa mère. Et rapidement, Shinji constata que sa mère mouillait beaucoup. Il ne tarda pas à réagir :
« Maman, tu… tu mouilles énormément. C’est ok si je continue ? »
Ce n’était guère surprenant ; Emiko avait vécu toute sa vie célibataire, Shinji ne l’avait jamais vu fréquenter un homme de sa vie, et il n’état donc pas étonnant qu’elle mouille autant…
DC De Leon Redgrave. Merci de me contacter sur mon compte principal pour toute demande de RP.