Elles sont neutres, indépendantes, alliées ou ennemies des deux grandes nations.

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Ombre
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La maitresse de Pénombre avançait à vive allure à travers les couloirs du palais impérial. Ses talons claquaient forts sur le dallage de marbre, poursuivis par le martèlement de bottes d'armures et de frottements de sandales de cuir. Une escouade de gardes du palais l'accompagnait toujours, dès qu'elle quittait ses appartements, c'était une règle à laquelle elle même ne dérogeait pas: cela aurait provoqué de trop longues négociations avec Arundar, son éternel conseiller bien trop paternaliste. Pénombre portait bien son nom. Aquila la blanche était devenue Pénombre l'obscure. Ses feux de vie s'étaient mué en brasiers glacés et sa vitalité galopante en force guerrière impitoyable. Skuld leva les yeux vers "le ciel" alors qu'elle s'engageait dans une galerie extérieure voûtée aux colonnades ciselées. Là haut, très haut, de petits points lumineux bleus ou blancs chatoyaient contre le mythal, le bouclier magique déployé par les archimages de la grande cité. Ces scintillements s'accéléraient ces derniers temps.
Arundar, trottinant derrière elle, regardait aussi ce phénomène.

"L'activité est dense depuis quelques temps Majesté. Nous n'avons jamais connu autant d'attaques à ce rythme. Le plan des ombres semblent vouloir nous rejeter."

Rejeter signifiait détruire, exterminer, réduire à l'oubli. Ces points lumineux n'étaient rien d'autres que les créatures chaotique inachevées peuplant les immensités sombres du plan du chaos. En constante colère, furieuses, jalouses de cette parcelle de vie qui semblait les narguer, elle harassaient Pénombre, cherchant une faille dans la protection magique du mythal.

"Alors Netheril disparaitrait et 3000 ans de lutte se solderaient par l'extinction d'un peuple." Skuld s'arrêta brusquement pour faire face à Arundar qui salua cette pause pour reprendre son souffle. "Mais ce ne sera pas le mien Arundar. Nous reviendrons chez nous, nous reprendrons ce qui est à nous, notre place, notre prestige, notre gloire ... notre Empire."

Le vieil homme, aîné de l'impératrice de quelques dizaines d'années il y avait fort longtemps, regarda sa pupille et la couva d'un sourire doux. Les nétherisses avaient toujours été des conquérants et à cet instant, Skuld des Ombres respirait la quintessence de sa race: dictatrice et impériale. Quand elle était ainsi, mieux valait attendre avant d'exprimer une opinion différente. Personne ne l'oserait mais Arundar n'était pas "personne".

"Vous m'effrayez Majesté ... A l'espoir de vos paroles se mêlent déjà les sonorités de la guerre. Vous savez que si nous rentrons, Terra aura changé. Nos terres ancestrales ne seront plus les nôtres. Votre peuple aspirera à la paix, pas à de nouvelles souffrances."

"L'empire passe avant tout, Arundar, les nétherisses chérissent cette vérité. N'oublie pas qui nous sommes et d'où nous venons. Les sacrifices sont notre quotidien, à tous."

"Oui Majesté, cela est vrai. Les sacrifices sont notre quotidien. Nous les portons ... et nous portons aussi ceux de tous nos héros qui sont tombés pour nous permettre de penser ainsi."

Les épaules du vieil homme s'affaissèrent un peu sous ses robes, ramenant Skuld à des prétentions plus humaines, plus affectives. Elle lui prit les mains, son visage dur s'adoucissant sur une expression d'amour.

"Je te prie de bien vouloir m'excuser Arundar. Je n'oublie pas le poids des pertes que tu portes. Je ne l'oublierai jamais non. Pardonne seulement à ton impératrice que 3000 ans passés n'auront pas contribué à assagir."

Ce sont les yeux de l'ancien qui sourirent en réponse à cette petite fille qu'il avait contribué à hisser au sommet des pouvoirs. Le lien qui les unissaient tous deux était aussi solide que les nœuds cosmiques de l'univers.

"Votre Majesté ne devrait pas se soucier d'un vieux rabat-joie souffreteux ..."

"Ce vieux rabat-joie m'est très utile et possède plus de sagesse que tous les dieux réunis!"

"... Altesse!! Enfin voyons!"

En se retournant vivement pour repartir, le soulier de Skuld rippa sur une aspérité et le talon s'arracha de la chaussure.

"Putain de merde!!"

"MAJESTÉ !!!"

L'impératrice morigéna, s'empêtra dans sa robe, retira ses souliers et reprit son chemin pour rejoindre la grande salle de réunion où l'attendaient ses maréchaux et le Cercle des Archimages au grand complet. Il était temps de passer à l'étape suivante.


OoOoOoOoO



Au Palais des Meteoras, les enjeux étaient tout autres. L'objectif de chacun était plus terre à terre, et plus simple, que les plans de l'impératrice pour sortir son empire de son exil forcé.
La nouvelle maitresse des lieux, salvatrice prometteuse, sœur profane de Skuld l'intraitable, beauté déjà légendaire et accessoirement démone à très haut potentiel de perversité, dévoilait une partie de sa nature infernale pour le plus grand plaisir de ses partenaires.
Depuis son arrivée qui avait fait grand bruit, il s'était véhiculées des rumeurs à son sujet. On disait qu'un monstre était tapi en elle, que sa beauté ne pouvait que cacher un Mal insondable ... et tout un tas d'autres bêtises que les personnes rationnelles faisaient taire à coups de triques. Non, en réalité, la capitale avait besoin de colporter ces ragots. Cela la faisait revivre. Il ne s'était tellement rien passé de joyeux depuis si longtemps que cette ... femme ... venue de nulle part, ranimait les envies de légendes et de folklores ( ... Attention ou la vilaine Valeria viendra te pomper tout ton jus quand tu seras endormi dans ton lit ... )

Viggo gémit, surprit par les appendices venus sollicités ses orifices. Il frétilla sur place, ses mains battant le vide, quand sa virginité anale fut sur le point de sauter. Il s'accrocha aux épaules de Val en mâchouillant presque ce qui lui occupait la bouche. En réponse à ces intrusions, il ne put que gicler, se répandant sur la nuque de la démone qu'il parvint à atteindre, la découvrant de sa crinière brune.

Solveig haussa un sourcil amusé et vola au secours de son fils en prenant possession du vagin qu'elle explorait, d'un, puis de deux, puis de trois doigts, qui sans être intrusifs, suffisaient largement à contraindre le succube de reporter son attention sur la mère de famille. Solveig était douce, oh oui ... , et aimante, et maternelle, et épouse modèle aussi ... Mais Solveig était aussi une "jeune" femme aussi conquérante que son impératrice. Elle avait choisi son mari et bien qu'elle n'en ai pas l'air, était aussi redoutable une épée à la main qu'à touiller une soupe exquise dans sa marmite. De sa main libre, elle prit Val par la mâchoire et lui imposa son regard de feu. Elle ne cachait rien. On y lisait: je vais te baiser ... et ses baisers n'étaient que les préliminaires de morsures sexuelles bien plus déroutantes.

Son mari était moins subtil à cet instant car il ne voulait tout simplement pas l'être. Le tour de passe passe de sa maitresse contribua à l'amener là où il le voulait. Il ne lui fallut que quelques minutes pour se déverser avec un grognement dans le corsage de la princesse, abondamment et sans gêne.

"Solveig! Laisse moi sa bouche un peu!"

Son ton était guttural et lourd d'envie. Une fois les braguettes ouvertes, on ne s'encombrait pas de fioritures chez les Tarkas.

Et puis il y avait toujours ce pauvre Aren qui voulait autre chose qu'un tentacule pour l'exciter. Lui, ne désirait que pénétrer cette femme sublime qui lui avait ravi son cœur au premier coup d’œil. Son sexe raide méritait plus, il voulait ... il voulait ...

"Non! Sa bouche est à moi!"
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Valeria
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Valeria commençait à bien s’amuser. Tout ne tournait pas autour du sexe, mais quand il y en avait, c’était quand même bien mieux !

La surprise de Viggo était délicieusement rafraîchissante, le plaisir brut de son père un gage de qualité.

En quelques instants, le foutre des Tarkas jaillit et inonda sa peau, le père, épais, abondant et gorgé d’un musc puissant, s’écrasa sur ses seins avant de dégouliner dans son décolleté, le fils, plus frais, liquide et juvénile, frappa ses omoplates et coula le long de son dos en lui procurant de délicieux frissons.

Solveig la rappela à elle d’une bien délicieuse façon.

« Aaah ! 🎔 »

Elle écarta un peu plus les cuisses pour lui laisser toute latitude de glisser ses doigts en elle. Elle mouillait déjà abondamment et pouvait sentir sous sa propre main que l’émoi de la maîtresse de maison n’était pas différent du sien. Celle-ci lui agrippa le menton pour plonger ses yeux dans les siens. Le message était limpide et aurait fait sourire Valeria de désir anticipé si les millénaires d’expérience contenus dans cette promesse ne lui avaient pas retourné les entrailles.

Putain, là je vais ramasser. Ca fait bien longtemps que quelqu’un ne m’a pas fait cet effet-là…

Elle entendit Sarkis ricaner dans un recoin de sa conscience.

D’un claquement de doigts, les vêtements se décomposèrent sur les protagonistes pour se rematérialiser quelques mètres plus loin, chacun en un petit tas désordonné.

Les tentacules sexuels continuaient leur œuvre, mus par une volonté propre. Viggo perdit sa virginité anale en même temps que celle de sa gorge puis gicla une nouvelle fois quand il sentit les appendices pulser et répandre en lui un liquide chaud qui l’excita bien plus encore. La boucle se bouclait dans le microstade de ses virginités car il était peu probable qu’il ait encore celle de sa queue.

« Solveig ! Laisse-moi sa bouche un peu ! »

Tu m’étonnes qu’il veut ma bouche…

« Non ! Sa bouche est à moi ! »

Ah ! Intéressant !

Elle haussa un sourcil amusé en regardant Solveig.

« Il me semble que c’est le moment de jouer de la langue ma chère… »

Les tentacules mutèrent autour de Viggo, devinrent deux bouches ultra sensuelles à la langue longue et agile mais ne quittèrent pas l’adolescent pour autant, transformant les pénétrations en baiser terriblement intrusif et anulingus démentiel. Le troisième enveloppa sa queue et la goba pour une fellation inédite pour lui. C’était de loin celui qui prenait le plus son pied de la famille. C’était aussi probablement celui qui déclarerait forfait le premier.

Valeria se laissa un peu glisser sur son siège, écarta pleinement les cuisses pour faire place à Solveig. Dans le même temps, elle se penchait sur le gland couvert de foutre d’Eirik et le gobait délicatement, tout en utilisant le tentacule qui enserrait le chibre d’Aren pour l’amener à elle de l’autre côté du siège.

Une bite de chaque côté du visage, elle se pencha un peu sur Eirik dont elle nettoya la matraque à longs coups de langue délicats et sensuels, goûtant avec délices l’essence de son suc.

Sa main poisseuse des prémices d’humeurs de Solveig se referma sur Aren et elle le masturba avec efficacité. Il n’avait pas encore joui et elle voulait qu’il se répande lui aussi sur sa peau nacrée. Une fois cela fait, elle pourrait un peu inverser et sucer le jeune homme en branlant son père. Jusqu’à leur plaisir, si Solveig ne sortait pas une carte de sa manche.

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Ombre
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Tout ce petit monde était bien mieux sans vêtements qu'avec. Nus, les Tarkas entouraient la princesse de leur présence bienveillante et pour certains, bien plus intéressée que pour d'autres, plus matures.
Viggo roula des yeux sous l'afflux de ce plaisir coupable qu'il était incapable de maitriser. Lui qui se voyait déjà fanfaronner devant son aîné plus timide, découvrait qu'il ne faisait absolument pas le poids devant les propositions de Valeria. Il sentit se déverser en lui bien plus que ce qu'il était capable d'ingurgiter mais curieusement, son corps s'adapta et ingéra toute cette semence sans d'autres effets que celui de la satisfaction. De la même manière, il jouit à nouveau entre les omoplates de Val, mais bien plus abondamment cette fois. Ses fesses et sa bouche contenaient encore les appendices qui s'y lovaient et il n'avait aucune envie qu'ils en sortent. Touché par l'art et la magie du succube, il devenait un rouage de cette étrange célébration liant humains et démone.

Solveig, la douce Solveig, sourit devant l'émoi de son garçon mais elle ne fit rien pour le tirer de sa rêverie sexuelle. Ce n'est qu'au commentaire de Valeria qu'elle répondit, brisant la distance respectueuse qu'elle s'imposait depuis le début du repas.

"C'est ta langue qui va jouer princesse. Mes hommes attendent de toi que tu les vides. Ils connaissent déjà la chaleur de ma bouche ..."

Viggo fut encore la victime de ses nouveaux fantasmes et ses gémissements grandirent avec l'intensité de l'intrusion qui le profanait plus encore. Il tenait fermement les épaules de Valeria et tremblotait sous les exactions salaces et vicieuses des tentacules le possédant. Il n'était pas en transe mais en avait tout l'air, les orbites retournées, peinant sur ses jambes, les couilles gonflées prêtes à juter de nouveau.

Son père était beaucoup plus capable de résister à des faits aussi triviaux. Les aphrodisiaques de Solveig l'affectaient, certes, mais il savait ce qu'il voulait. Il servirait sa maitresse, sans faillir, mais entre la respecter pour ce qu'elle était et ce qu'elle représentait, et la baiser dans ces circonstances, il n'y avait qu'un pas à faire. Dès que Valeria se pencha pour le gober, il saisit la tête de la princesse pour l'orienter sous le meilleur angle. Si elle ne s'était pas fait baiser la gueule depuis longtemps, cela allait changer. Le militaire était fasciné par ces lèvres pleines et ce visage qu'il se voyait massivement inonder depuis un moment. Sa prise sur la tête de Valeria se raffermit et il entreprit de lui montrer qu'il était encore plein de vigueur. Le sexe de l'homme était aussi noueux que l'était son corps. Lourd et épais, il passait les lèvres de Val en lui écartant les mâchoires à chaque passage. La tension était palpable. Le seuil de la fellation approchait pour celui plus déluré de la gorge profonde, plus cradingue mais ô combien plus jouissive.
Et c'est au moment où le colonel durcissait ses coups de reins que Solveig cracha entre les fines lèvres intimes de Val avant de s'y jeter pour une dégustation aussi baveuse que profonde. Cela restait encore classique mais plus intense et vivant que jamais. Elle n'eut pas besoin de lubrifier l'anus de Val pour y insérer deux doigts qu'elle écarta aussitôt. De sa main libre, elle généra une longue forme éthérée , oblongue qui prit forme et se matérialisa, plus solide. Son contour était parsemé d'ergots carrés aux bordures douces, sortes d'excroissances réparties sans agencement particulier. Elle plongea l'objet dans le cul ouvert de Val et ramona en jouant du poignet en rotation et en profondeur.
Aren baissa les yeux sur sa mère. Il savait qui elle était avant de se marier et devenir une femme au foyer. Ses parents lui avaient dit, il pouvait le comprendre et de toute manière, il était difficile de choquer les mœurs d'un nétherisse. Tellement d'hommes parlaient encore des talents de Solveig, se rappelant des temps où ... elle était bien plus disponible qu'à présent.
Le garçon reporta son attention sur Val qui le branlait. Enfin, il arrivait à se positionner dans une situation plus favorable que celle de son casse-burnes de frère. Il serrait les dents, la pression des doigts de la princesse étant aussi irritante que délicieuse. Il voulait jouir dans sa bouche, lui demander d'avaler mais là, la place n'était pas disponible. En se penchant un peu, il pouvait voir la forme du sexe de son père coulisser dans la gorge de Valeria, comme une grosse empreinte coulant sous sa peau d'ivoire. Aren ... voulut dire que c'était à lui mais la pression du pouce de la princesse sous la collerette de son gland le fit gicler d'un coup. De longs jets gras vinrent s'aplatir sur le profil de la jolie brune, inondant même le creux d'une oreille.

"Pu ... Putain!"

Solveig lui claqua la cuisse qui rougit aussitôt. Le geste signifiait: "Surveille ton langage!"
Modifié en dernier par Ombre le 22 avr. 2025 20:26, modifié 1 fois.
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Valeria
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Valeria commençait à apprécier le moment. Être entourée d’autant de désir était grisant et nourrissant. Celui qui lui apportait le plus de satisfaction à ce stade était le jeune Viggo, dont un nouvel orgasme, plus généreux encore que le précédent, dégoulinait le long de son dos en lui procurant de délicieux frissons. Si cela ne tenait qu’à elle, ce soir il ne connaîtrait rien d’autre. Il était bien trop réceptif pour perdre du temps alors que rien de plus n’était nécessaire.

"C'est ta langue qui va jouer princesse. Mes hommes attendent de toi que tu les vides. Ils connaissent déjà la chaleur de ma bouche ..."

Bien sûr que c’est ce qu’elle comptait faire ! Mais elle avait déjà anticipé, puisqu’en étant monopolisée par Aren et Eirik elle attendait de Solveig qu’elle lui rende la pareille.

Le colonel savait parfaitement ce qu’il voulait. Et il le prit. Il lui agrippa la tête de ses deux mains massives alors qu’elle se penchait sur son vit aussi veiné et musculeux que lui. Sans attendre, il força ses lèvres et s’introduisit dans sa bouche avec maîtrise.

Elle gémit doucement, exprimant son agréable surprise tandis que sa main s’accrochait à l’accoudoir de sa chaise. Il commença alors à lui baiser la bouche avec entrain et assez peu de finesse. Valeria aimait ça. Les hommes virils et puissants, capables de s’abandonner à une certaine violence maîtrisée. Elle ne cherchait pas une brute sans cervelle ni contrôle. Eirik montrait déjà ici qu’il n’était pas un tel homme.

Sa bave dégoulinait déjà sur les couilles qui venaient à chaque ahan à la rencontre de son menton. Sa langue glissait le long de la hampe magnifiquement veineuse et venait bien plus loin qu’une langue normale titiller les couilles et le périnée. Cela eut son petit effet, car Eirik changea de cadence. Ses mouvements se firent plus intenses et profonds et en quelques aller-retours bien distillés la luette s’écarta et il s’enfonça dans la gorge de sa Maîtresse.

Au même moment, la langue de Solveig s’enfonça sans prévenir dans l’intimité détrempée du succube.

« 🎔🎔 Hmmm ! 🎔🎔 »

La néthérisse avait de l’appétit car elle se jeta sur elle comme une morte de faim. Valeria gémit encore sous les assauts linguaux tandis que la magie rendait l’assise de la chaise semi tangible : elle restait parfaitement assise mais la main de Solveig put sans aucune gêne passer à travers pour venir titiller la rondelle sur laquelle avait dégouliné une partie des éjaculations de Viggo. Valeria sentit deux doigts s’introduire en elle, l’ouvrir d’un mouvement décidé puis un objet long et granuleux entra en elle.

Elle ne comprit pas grand-chose sur le moment, si ce n’était qu’il s’agissait d’un énorme gode et que celui-ci avait une forme et des dimensions uniques.

La langue de Solveig continua de la travailler sans répit tandis que de sa main elle maniait habilement le gode magique.

Viggo céda une nouvelle fois, encore plus fort, dans un râle où la défaite le disputait à un plaisir d’une rare intensité. Cette fois, le tentacule avala la décharge et se servit des deux autres pour la réinvestir dans le corps de l’adolescent, en plus de l’emplir de leur propre semence. Le garnement n’en menait plus large du tout, d’autant plus que Valeria se nourrissait aussi de son énergie sexuelle et de son plaisir. Le KO ne serait plus long à obtenir de ce côté.

Aren tentait de tenir car il voulait absolument s’épancher dans la bouche de la Maîtresse mais elle en décida autrement. Elle le sentit se préparer à une action et décida de le maintenir dans son rôle encore un peu. Alors elle l’acheva d’une caresse et d’une pression dévastatrices sur le frein. Il succomba dans la seconde et se répandit sur son profil, ses cheveux, noya son oreille, à la grande satisfaction du succube quant à la valeur nutritive de cet orgasme.

Valeria se pencha un peu plus et goba l’entièreté de la queue d’Eirik, se maintenant alors le nez enfoncé dans son bas-ventre et usant de sa langue pour lécher ses couilles, son périnée et jusqu’à son anus dans lequel elle s’insinua pour aller stimuler sa prostate, le tout en prenant le temps, soit une bonne minute, durant laquelle sa gorge imprima elle aussi des stimuli inédits sur le membre.

Si tu résistes à ça…

Si Solveig faisait montre d’une maîtrise consommée, elle ne fut cependant pas en reste car outre les sensations induites par les parties intimes du succube, bien au-dessus de celles de n’importe quelle créature d’une autre ou de moindre nature, ses sécrétions étaient porteuses d’une enzyme extrêmement galvanisante et aphrodisiaque.

Et tandis qu’elle pleurait et bavait de manière plus qu’obscène sur la queue du mari, détruisant son maquillage et maculant les cuisses de l’homme et le sol de bave et glaires infâmes de lubricité, elle infiltra les sens de la néthérisse pour l’amener à un stade supérieur de désir, là où les dernières inhibitions étaient sensées tomber.

Allez ! Déchaînez-vous, montrez-moi un peu de ce que la famille Tarkas a dans le ventre…

Sarkis allait se manifester, elle le sentait recommencer à remuer dans son coin...

Re: La Tour perdue du Souvenir [PV Valeria]

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Ombre
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En effet, Viggo fut le premier à craquer. Il ne rompit en rien le charme l'enveloppant, complètement soumis au pouvoir de persuasion très particulier de Valeria, mais perdit tout simplement l'équilibre alors qu'un éternel orgasme le terrassait. Il partit en arrière, s'arrachant aux appendices l'explorant et s'affala heureusement sur une sorte de pouf qui atténua l'effet de sa chute. Il y resta vautré comme un pantin désarticulé, sa bouche et son anus baignés de foutre en dégoulinant. Son corps n'en rejetait pas mais il y en avait de telles quantités que pour une première fois, il fallait un temps d'adaptation plus long que la "normale" pour s'en remettre. Il tremblait d'ailleurs encore, comme encore possédé par le pouvoir dominant du succube. Ses paupières papillonnaient sur des orbites blanches et il se crispait instinctivement comme si quelque chose se déchargeait encore en lui. Nul doute qu'il lui faudrait un moment pour reprendre contenance, aussi bien physiquement que psychologiquement.

Aren fut le suivant. S'il ne parvint pas à obtenir ce qu'il voulait, la compensation fut gratifiante car il éjacula si puissamment que Valeria reçut un geyser de foutre comme aucun humain n'était capable d'en produire. La matière riche était grasse, épaisse et proportionnelle au plaisir coupable du garçon. Sur Terre, on apparentait cette pratique à un bukkake. A Pénombre, on ne lui donnait pas de nom particulier. C'était ... dans les mœurs classiques plutôt que dans les excentricités. Aren tendit une main vers l'amas de foutre tartinant la princesse. Son intention resterait mystérieuse car il ne termina pas son geste. Il s'effondra, lessivé, sur le plateau de la table et comme son frère, continua encore à dégorger du sperme mais de manière tout à fait conventionnelle.

Eirik sut trouver la force de résister. Oh ... sa maitresse faisait des miracles avec sa langue dans la zone qu'elle avait choisi d'explorer. Le militaire n'y était pas insensible mais il avait une expérience qui ne pouvait faire que le bonheur du succube. Valeria poussa loin et s'offrit le luxe d'un massage prostatique? Très bien ... Eirik se ficha ua plus profond de la gorge accueillante et inclina la tête de Valeria légèrement pour lui apporter un angle défavorable à la pénétration. Elle jouait, lui aussi, bien qu'à terme, rivaliser avec un succube de ce niveau là était impossible. Le colonel reprit son ramonage, moins subtil cette fois, baisant de travers, provoquant glaires et crachats en abondance, accompagnés de sonorités gutturales et visqueuses totalement adaptées.

La position ne permettait pas plus et l'homme grogna. Il voulait plus d'amplitude, plus de mouvements. Il s'arracha à Valeria et se libéra de sa langue; évinçant par là aussi sa femme qui se releva le menton barbouillé de salive.

"Que fais tu?"

"J'ai besoin de place!"

Il souleva Valeria comme on soulèverait une plume et la coucha sur le plateau de la table, sur le dos, la tête en arrière dans le vide.

"Bien mieux ..."

Fini la ... propreté. Eirik s'aligna face à ce beau visage de porcelaine et lui embrocha la gorge d'un coup de rein sec. Il cogna n butée, physiquement incapable d'aller plus loin. L'empreinte de son gland poussait la peau entre les clavicules de Val, preuve de profondeur, et il entama un long martèlement qui aurait fait honneur à un forgeron. Il lui baisait la gueule comme il l'aurait fait de n'importe quel orifice. Pour s'assurer un bon maintien, il lui tenait les côtés de la tête fermement et rien ne l'aurait fait lâcher.
Sa première éjaculation ne fut qu'un détail. Il en balança partout et pompa dedans comme s'il ne s'était rien passé. Des filets suintèrent des narines de Val tandis qu'il poussait le reste vers l'estomac de la démone.
La deuxième à suivre vint quelques minutes après. Autant dire à cet instant que le visage de Valeria était plus un champ de bataille que celui d'une noble princesse. Eirik s'agita, sa queue pulsa et il la gava abondamment. La frénésie le fit s'affaler sur elle et il lui prit les mains pour les bloquer le long de son corps. Entre les cuisses de l'homme, le visage du succube croulait sous le foutre.

Solveig embrassa son mari.

"Tu es incorrigible. Continue Eirik!"

L'homme reprit dans cette position plus reposante pour lui. Son épouse, elle, était passée de l'autre côté du plateau de la table pour écarter les cuisses de la démone et s'offrir un plein accès à ses intimités. Un fist n'était pas encore d'actualité mais le gros godemichet à ergots n'eut aucune difficulté à lui investir le cul. Solveig lui imprégna un rythme ... démoniaque, fort, rapide, et sans aucune once d'envie de ralentir ou tempérer. Vulgairement, c'était de la bonne grosse défonce anale, simple et efficace mais au plaisir décuplé par les ergots accrocheurs. Et de plus, elle se régalait de cette vulve qu'elle écartait de ses doigts pour accéder à sa profondeur en usant de sa langue.

Son mari jouit une nouvelle fois , libérant un flot de sperme dans un "SPLOUAAASSHH" retentissant. Solveig frissonna. Elle lui demanderait aussi sa dose après. Cela viendrait mais tout d'abord, elle avait un anus à tourmenter.
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