C’était son île, non pas dans le sens où Aphrodite la gouvernait ou l’avait fondé, mais dans le sens où l’île avait été fondée pour elle. Luxia était une île dédiée aux plaisirs saphiques, un havre de paix qui était toujours menacé. Faire l’amour plutôt que la guerre, telle avait toujours été pour Aphrodite la conception de comment les choses devaient tourner. Certes, son mythe comprenait bien quelques rivalités, notamment celles avec Athéna ou Héra, mais Aphrodite avait mûri depuis. Elle n’aimait pas la guerre, elle préférait faire l’amour, et, s’il fallait choisir, elle aurait préféré que les conflits territoriaux ou nationaux se résolvent dans le stupre ou les jeux. Un rêve pieux, surtout après l’Olympomachie. Ce festival était donc d’autant plus important, car l’idée n’était pas seulement de s’envoyer joyeusement en l’air, mais bien de rappeler aux Terrans que les Dieux ne les avaient pas abandonnés. La verge d’Aphrodite se redressait et s’étirait ainsi dans la bouche de Korë, qui s’appliquait à l’entretenir, à la sucer, et à l’honorer comme il se devait. La main d’Aphrodite glissait sur ses cheveux, les caressant, s’enfournant dans les mèches de cheveux bleus de la Wyvérienne.
« Là, là, c’est très bien, hmm… Goûte à mon corps, ma chérie, la Déesse est généreuse… »
Isidora observait Korë en souriant, et n’hésitait pas de son côté à caresser le sexe de sa Maîtresse, glissant ses doigts, voire sa langue, sur les testicules. Elle relevait ensuite son visage, et embrassait Korë sur la joue, dans un geste qui se voulait autant érotique qu’affectueux. Les mouvements de bassin de Korë n’échappèrent pas à Aphrodite. Eloran retira le plug anal du cul de Korë, et sourit ensuite.
« Je crois que tu es prête pour la suite, ma belle… Et que tu en as très envie aussi. »
Souriant malicieusement, Eloran déploya à son tour sa verge, qui tapa contre les fesses de la jeune femme. Elle avait toujours le sexe de la Déesse dans sa bouche, et put sentir la verge d’Eloran se fourrer en elle. Les mains gantées d’Eloran se saisirent de ses hanches, et elle donna des coups de reins, filant d’avant en arrière, gémissant doucement.
« Ouais, ton petit cul se dilate très bien, ma chérie… Ma belle, tu as l’air d’aimer te faire prendre par là… Hmmm…
- Sous ses airs d’innocence, Korë est une grande perverse, hihi… »
Eloran leva alors la main, et administra à Korë une belle fessée !