Nitocris, entièrement nue, sentit une chaleur humide et brûlante engloutir son membre, la bouche de la femme l’enveloppant dans une caresse si intime qu’un frisson violent la traversa, de ses oreilles de lapin bleues jusqu’à ses orteils recroquevillés. Ses joues, déjà cramoisies, semblaient sur le point de s’enflammer, et ses grands yeux violets s’écarquillèrent, dilatés par un mélange de choc et de plaisir brut, tandis qu’elle baissait le regard, incapable de supporter l’intensité de cette vision. Ses doigts, tremblants et moites, se crispèrent sur la soie écarlate du lit, le tissu glissant sous ses paumes comme une caresse trop douce pour apaiser la tempête qui faisait rage en elle. Un gémissement rauque, presque animal, s’échappa de ses lèvres entrouvertes, sa langue frôlant l’intérieur de sa bouche sèche alors que son cœur battait si fort qu’elle pouvait sentir chaque pulsation résonner dans sa poitrine, dans ses tempes, dans son bas-ventre.
La sensation de cette bouche autour de son sexe était indescriptible, un mélange de chaleur moite et de pression délicate qui faisait vibrer chaque terminaison nerveuse de son membre. Sa verge, déjà gonflée à l’extrême, palpitait avec une intensité presque douloureuse, la peau tendue et sensible réagissant à chaque mouvement, à chaque souffle chaud qui l’effleurait. Une goutte épaisse de pré-sperme s’échappa de son gland, glissant lentement le long de sa longueur, chaude et visqueuse, se mêlant à la salive qui l’enrobait, accentuant cette moiteur qui la rendait si vulnérable, si exposée. Elle sentit une pulsation brutale dans son bas-ventre, une chaleur liquide qui s’étendait en vagues brûlantes, irradiant jusqu’à ses cuisses tremblantes, jusqu’à ses reins qui se cambraient malgré elle, son corps s’arquant dans une tentative désespérée de s’offrir davantage à cette caresse.
« A-ah… c’est… c’est trop… » gémit-elle, sa voix tremblante et rauque, brisée par l’intensité de ce qu’elle ressentait, ses lèvres frémissant alors qu’elle luttait pour articuler ses mots. Son intimité féminine, déjà trempée, s’humidifia davantage, une chaleur gluante s’accumulant entre ses cuisses, glissant le long de ses lèvres intimes pour couler sur sa peau hâlée, laissant une traînée luisante qui gouttait sur la soie écarlate du lit, trahissant l’ampleur de son excitation. Cette dualité, ce membre dur et érigé contrastant avec la moiteur brûlante de sa vulve, la déchirait de l’intérieur, la rendant esclave d’un désir qu’elle n’avait jamais osé affronter. Ses oreilles de lapin tressaillirent violemment, ses longs cheveux violets collant à ses épaules moites, effleurant ses seins nus, ses tétons durcis et érigés, d’un brun rosé, frémissant sous l’air tiède de la pièce, ajoutant une nouvelle couche de sensation à son tourment.
Le tatouage du Lys, niché juste au-dessus de son pubis, s’illumina d’une lueur éclatante, pulsant au rythme de son excitation, comme s’il se nourrissait de son trouble, de cette chaleur qui la consumait. Une onde de magie érotique déferla en elle, partant de ce point précis pour se répandre dans tout son corps, accentuant la tension dans son ventre, faisant pulser son clitoris avec une intensité presque insupportable, ses lèvres intimes s’écartant légèrement sous l’effet de l’excitation, exposant davantage sa chair rose et luisante. « O-oh… je… je vais… » bredouilla-t-elle, sa voix se perdant dans un gémissement plus aigu, presque un sanglot, ses joues s’empourprant davantage alors qu’elle réalisait à quel point elle était à la merci de son propre corps, à quel point elle s’abandonnait à cette sensation qu’elle avait toujours redoutée.
Ses doigts relâchèrent la soie pour se poser sur ses propres cuisses nues, ses ongles s’enfonçant légèrement dans sa peau hâlée, laissant de petites marques rouges alors qu’elle cherchait un ancrage, un moyen de se raccrocher à une réalité qui lui échappait. Mais la chaleur de cette bouche, la douceur de cette caresse, la pression lente et rythmée, tout cela la faisait basculer un peu plus dans un abîme de plaisir qu’elle n’avait jamais osé explorer. Elle ferma les yeux, ses longs cils frémissant sous l’effort de contenir les larmes d’émotion qui menaçaient de couler, un mélange de honte, de peur et d’un désir brut qui la consumait de l’intérieur. Son souffle était saccadé, entrecoupé de petits gémissements qu’elle ne pouvait réprimer, chaque inspiration faisant vibrer sa poitrine nue, ses seins généreux se soulevant à un rythme erratique, ses tétons durcis frémissant à chaque mouvement, envoyant des décharges de plaisir à travers son corps.
« C’est… c’est si chaud… si… humide… » murmura-t-elle, sa voix tremblante, presque suppliante, ses cuisses s’écartant davantage dans un mouvement involontaire, exposant encore plus son intimité trempée, ses lèvres intimes luisantes de cyprine, palpitant au rythme de son excitation, une goutte de sa mouille glissant lentement le long de sa cuisse pour rejoindre la soie écarlate. Son membre pulsait plus fort, chaque mouvement de cette bouche envoyant des décharges de plaisir à travers son corps, et elle sentit une pression monter en elle, une tension insupportable qui la faisait trembler de la tête aux pieds. Une nouvelle goutte de pré-sperme s’échappa, plus abondante cette fois, coulant le long de sa verge pour se mêler à la salive, accentuant cette sensation de moiteur qui la rendait folle. Ses testicules, lourds et tendus, se contractaient légèrement, un signe qu’elle était au bord de l’explosion, et elle sentit une chaleur intense irradier de son bas-ventre, une vague de plaisir qui menaçait de l’engloutir tout entière.
Elle rouvrit les yeux, ses pupilles dilatées par l’excitation, et baissa timidement le regard, ses joues en feu alors qu’elle observait cette bouche glisser le long de son membre, la vision de ses lèvres humides et brillantes l’enveloppant dans une caresse si crue, si intime, qu’un frisson violent la traversa. Un gémissement plus fort lui échappa, un son aigu et désespéré, presque un sanglot, alors qu’elle sentait cette pression atteindre un point critique. « Je… je sens… ça monte… » souffla-t-elle, sa voix brisée par l’émotion, ses doigts se crispant à nouveau sur ses cuisses nues, ses ongles s’enfonçant plus profondément dans sa peau alors qu’elle luttait contre cette vague qui menaçait de la submerger.
Son corps entier vibrait, suspendu à cette limite intolérable, et elle savait qu’elle ne pourrait pas tenir beaucoup plus longtemps. La chaleur, la douceur, l’intimité de cet instant, tout cela la consumait, la transformant en une créature de désir pur, incapable de résister à ce qui l’attendait. Elle était à deux doigts de basculer, et cette pensée, à la fois terrifiante et enivrante, la laissa pantelante, prête à s’abandonner complètement à cette délivrance qu’elle avait si longtemps redoutée, son membre palpitant, son intimité trempée, son corps nu frémissant dans l’attente de l’inévitable.