Numia allait mettre à l'épreuve Helena... Alors, la jeune héroïne se retrouva projetée loin de la fleur centrale, arrivant dans un recoin du Jardin d'Éden. C'était une belle forêt de luxure, qui avait un côté surréel, car construit sous terre. Et, pourtant, cette forêt semblait très vivante. Elle était éclairée par de multiples cristaux ou plantes phosphorescentes, quand des furolucioles ne permettaient pas de régulièrement l'éclairer. Toute nue, Helena se retrouva « attaquée » par l'un des arbres de Numia. Ici, la faune et la flore étaient influencées par la luxure de l'Alraune. Helena n'avait sans doute jamais encore eu l'occasion de découvrir ce genre de forêts, qui étaient fréquentes dans le Monde Érotique de Lust. L'arbre la retenait par des tentacules qui jaillissaient de son feuillage ou de ses branches, retenant les bras d'Helena, ses jambes, mais aussi son ventre. Un autre tentacule s'enroula autour de son cou, et Helena put entendre la voix de Numia. En tant qu'Alraune, elle était présente partout ici. Elle était après tout autant la mère que la gardienne de cette forêt, et, en réalité, pour rejoindre la fleur centrale, Helena allait devoir remplir un simple objectif...
Ne pas s'évanouir.
Toutefois, la jeune femme allait vite comprendre que la tâche serait éprouvante. Elle ne l'avait sans doute pas encore réalisé, mais, après son premier déplacement, la
Marque de Lust s'était déjà matérialisée sur son ventre, sous son nombril. Cette belle marque trahissait son excitation, et allait l'aider à tenir... Car, quand le tentacule phallique qui lapénétrait se retira, ceux de l'arbre le remplacèrent, s'enfonçant dans sa chatte, puis dans son cul. Elle pencha en avant, comme si elle allait tomber, avant que les tentacules ne la plaquent encore contre l'écorce. Les soupirs d'Helena furent noyés par un troisième tentacule qui s'enfonça dans sa bouche, et l'arbre s'affaira donc à proprement et méthodiquement la
baiser.
Si elle arrivait à regarder ailleurs, elle pourrait voir le même constat sur chacun des arbres. Il allait donc falloir par la suite soigneusement choisir près de quel arbre s'approcher, en choisissant ceux qui forniquaient déjà avec des femmes ou des hommes, pour les éviter. Quand il s'agissait d'hommes, ils étaient sodomisés, tandis qu'un tentacule pompait leur queue. Les tentacules ne se fatiguaient toutefois pas, et les arbres se nourrissaient de sperme et de cyprine. Helena sentit ainsi les minutes passer, et deux autres tentacules avec des ouvertures à la pointe allèrent se poser sur les seins d'Helena. Ils commencèrent à les sucer, titillant les tétons avec de multiples petites roses internes, des filaments qui s'enroulèrent autour des tétons.
Jadis, Numia avait eu une telle forêt au Japon, mais, avec la perte de la magie et du merveilleux, sa forêt était redevenue normale. Elle l'avait recréé ici, et sa forêt ne cessait de prospérer. Numia contrôlait toute la flore de l'île, que ce soit cette forêt spéciale ou les éléments floraux plus ordinaires à la surface.
«
Je te connais bien, Helena... Tu as un incroyable potentiel en toi. »
Retenir tout cela serait sans doute difficile pour Helena, qui se fit prendre par l'arbre pendant une bonne heure. Les tentacules la relâchèrent ensuite, et la jeune femme tomba au sol. Un tentacule fouetta ensuite brièvement son cul, comme pour la remercier, et l'arbre frémit doucement. Plusieurs de ses branches et de ses racines venaient de s'étirer. La jeune femme pouvait maintenant se relever.
Helena s'avança donc. Si elle se rapprochait à nouveau d'un arbre sans humain, elle serait encore prise par l'arbre, pendant une bonne heure également.
Ses pas finirent par la rapprocher d'un parterre de fleurs. De délicieuses roses et autres fleurs luisaient doucement au milieu des arbres, tandis que des grognements et des soupirs se faisaient entendre. Et, tandis qu'Helena se déplaçait, elle put voir celui qui serait très certainement son prochain partenaire :
un centaure, qui était en train de besogner une belle guerrière blonde, tandis qu'une autre lui pratiquait un anulingus sous les sabots du puissant centaure.
Les fleurs dégageaient un pollen très exquis, qu'Helena inhala de plein fouet, et qui dut la laisser brièvement chancelante, le temps que cette vague de désir se dissipe en elle. La Marque brilla un peu plus fortement, comme pour illustrer ce désir croissant, face à ce puissant et vif centaure, qui grognait en se pinçant les lèvres.
Il appartenait à Helena, soit de les observer agir, soit de directement rejoindre le centaure,
Zeuxis, son nom étant gémi par la femme qu'il besognait au milieu des fleurs...