The Multiversity

[Reine Alice Korvander]

Hitomi Misoshi était une mère célibataire, qui avait divorcé de son mari il y a des années. Elle n’avait plus aucun lien avec lui, et élevait seule leur fils, Atsuya Misoshi. Hitomi était, comme sa couleur de cheveux et son corps le laissaient supposer, originaire d’Occident. Elle était une gaijin célibataire, de sorte que la vie n’avait pas été facile pour elle, surtout pour trouver du travail. Hitomi en avait sorti une mentalité de battante, et était prête à tout pour offrir à son fils, Atsuya, une très bonne vie. Pour cela, Atsuya devait réussir ses études. Il venait justement d’entrer au lycée, et Hitomi savait que le divorce avait provoqué une baisse de ses notes et de ses performances. Il avait pris du point, et, quand Hitomi avait remis de l’ordre dans sa vie, elle avait décidé de rééduquer Atsuya.

Pour le dire clairement, Hitomi était ce qu’on appelait, au Japon, une kyōiku mama, c’est-à-dire une mère prête à tout pour que son fils réussisse. Elle avait inscrit son fils à de multiples cours privés du soir, les juku, et avait imposé à Atsuya d’améliorer ses notes. Une véritable dérive qui avait fini par se résorber. À force d’acharnement, Atsuya était devenu le meilleur élève de sa classe. Mère éducatrice, elle limitait fortement les relations amicales entre Atsuya et les autres, et s’enfermait tout le week end avec lui pour qu’il révise. Si elle le grondait au début, Hitomi avait néanmoins dû faire face à un nouveau problème, plus… Plus délicat.

En grandissant, son fils avait fini par développer ses hormones, ce qui n’avait pas échappé à Hitomi. Méthodique et organisée, elle avait remarqué que plusieurs de ses culottes à dentelles manquaient quand elle faisait le ménage. Cependant, elles finissaient toujours par revenir. En réfléchissant un peu, elle avait donc compris que son fils lui volait ses culottes quand elle les mettait dans le linge, les remettant ensuite à temps pour que sa mère ne remarque rien. Aujourd’hui, alors qu’elle attendait le retour de son fils chez eux, Hitomi était assise dans le fauteuil du salon, tenant dans sa main l’une de ses culottes blanches… Qu’elle avait retrouvé en fouillant dans la chambre de son fils. Elle avait vite compris que celle-ci était sale, et, en la reniflant, avait ressenti cette odeur, et vu un ou deux poils pubiens.

*Le sexe… Ça les rend fous…*

Elle-même en savait quelque chose, car son ancien époux était justement un homme qu’elle avait aimé par idiotie. Elle était alors jeune, rêveuse, et avait surtout hérité d’années de galère. Hitomi avait réussi à acheter une petite maison, à avoir un boulot, mais elle n’avait jamais dit à son fils qu’elle avait été jusqu’à vendre son corps pour ça. Elle savait le pouvoir destructeur du sexe, et refusait qu’Atsuya se laisse séduire par toutes les midinettes du lycée, qu’il perde sa précieuse concentration. La femme allait donc prendre le problème à bras-le-corps, comme elle en avait toujours l’habitude.

Atsuya finit par rentrer à la maison.

« Bonjour, Atsuya-chan. Je t’ai préparé ton goûter, mon chéri. »

Sa voix était calme, et elle laissa Atsuya la rejoindre. Comme d’habitude, elle lui demanda de lui parler de sa journée, tout en ayant préparé pour lui des tartines avec du beurre et un chocolat chaud. Et, alors qu’il mangeait, elle se pencha vers lui. Elle avait enfilé un top mauve qui mettait délicieusement en valeur sa magnifique poitrine.

« Bon, Atsuya-chan, je dois te parler de quelque chose d’important… Car tu m’as menti. »

Atsuya, qui savait que sa mère pouvait être aussi attentionnée que redoutable, glapit sur place.

« Je t’ai dit que je voulais que nous soyons parfaitement honnêtes, toi et moi, et que, si une fille s’approchait de toi, je voulais que tu me le dises. Tout comme tu es le seul homme dans ma vie, mon chéri, je tiens à être ta seule femme jusqu’à ce que tu aies réussi tes études. Et, en faisant le ménage dans ta chambre, j’ai découvert… Ça. »

Elle exhiba alors la culotte blanche.

« Je sais ce que tu as fait avec, Atsuya-chan. C’est très sale, c’est indigne d’un jeune garçon bien éduqué. Alors, je veux que tu me dises à quelle fille tu songeais pendant que tu… Que tu faisais ce que tu as fait avec ma culotte… Sinon, je vais devoir te punir, mon chéri. »

Hitomi essayait de paraître la plus ferme possible, car, quand elle avait imaginé son fils en train de se masturber dans sa culotte, elle avait ressenti… Une émotion qu’elle ne s’attendait pas à ressentir. Ses tétons s’étaient durci, son corps s’était mis à frémir, vibrant doucement… Des émotions perverses, des sensations qu’elle refoulait. Une mère ne devait pas penser ça… Mais, en revanche, à l’idée qu’Atsuya puisse avoir une petite-amie, une fille qui l’embrasserait, qui le caresserait…

…Hitomi sentait à cette idée une rage peu commune l’envahir !

[Chloé Faure]

Une nouvelle journée de cours qui se terminait, alors qu'Atsuya descendait du bus pour rentrer chez lui, un peu nerveux...comme d'habitude depuis maintenant quelques temps. Ces dernières années avaient été compliquées pour le jeune homme, et l'entrée au lycée l'avait tout autant été. Depuis le divorce de ses parents, Atsuya souffrait régulièrement de problèmes de concentration à l'école, qu'il tâchait toutefois de compenser par un sérieux travail en dehors des cours, le tout bien entendu chapotté par sa mère. Hitomi était au delà du concept de la mère poule, sa présence était omniprésente, et elle aurait même pu suivre son fils au lycée si elle l'avait pu. Stricte et exigeante, elle l'était, mais fort heureusement elle était aussi très aimante et aux petits soins avec Atsuya, qui faisait de son mieux pour qu'elle soit fière de lui, ce qui n'était pas simple. Le jeune homme souffrait d'un grand manque de confiance en lui, en plus d'être depuis quelques temps frappé de plein fouet par l'adolescence et...tout ce qui pouvait s'en suivre. Il avait pris du poids progressivement au fil des ans, compensant l'absence de son père par la nourriture, d'autant que sa mère ne lésinait pas pour lui faire de bons petits plats. L'inconvénient, c'était qu'Atsuya n'avait du coup pas vraiment d'amis, et que les filles, au mieux, l'ignoraient, sans compter le fait que sa mère insistait pour qu'il n'aie pas trop de distractions qui pourraient l'éloigner de ses études.
Hitomi était toutefois loin de s'imaginer à quel point, tout en n'ayant aucune fille de son lycée en vue, son fils était distrait...

*Maman...*

Il en avait terriblement honte, s'en voulait même, mais la réalité était qu'Atsuya aimait sa mère bien au delà de ce qui était considéré comme normal entre un fils et sa mère. Depuis quelques temps, le jeune homme se trouvait à rêver d'elle la nuit, nue ou en lingerie, et qu'elle était en train de lui sucer la queue. Des rêves qui l'avaient rendu malade au début, mais qui continuaient à arriver. Ce n'était pas arrangé par le fait que, objectivement, Hitomi était une femme magnifique, aux courbes sublimes, et elle était la seule femme qu'Atsuya avait dans sa vie. Ce trop fort rapprochement de sa mère, qui était permanent, avait eu donc comme conséquence qu'Atsuya fantasmait de faire l'amour à sa mère, mais se retenait et était extrèmement frustré. Depuis quelques semaines, il n'avait pas pu se retenir, et avait franchi le pas de subtiliser discrètement des culottes usagées de sa mère pour se branler avec dans sa chambre. La première fois avait été très stressante, mais sa mère n'avait rien remarquée, et il avait peu à peu établi une façon de procéder. Comme Atsuya n'avait accès ni au porno, ni au hentai, car sa mère était très intrusive et fouillait régulièrement sa chambre, c'était la seule option qu'il avait vraiment.

Il rentra donc à l'heure encore une fois, fermant la porte derrière lui pour être acceuilli par sa mère, comme d'habitude, qui lui avait préparé son goûter.

Bonjour Maman, merci !

Ne perdant pas un instant, Atsuya s'approcha de sa mère pour lui faire un bisou sur la joue, et prit place à la table du salon ou son goûter l'attendait. C'était bien, car ça lui permettait de se focaliser sur autre chose que les seins de sa mère. Hitomi avait pour habitude de s'habiller de telle façon que ses courbes étaient mises en valeur, et là, elle avait un superbe décolleté, qui donnait presque envie à Atsuya de fourrer son visage de dedans...
Il s'arrêta toutefois brusquement de manger quand sa mère lui parla à nouveau, affirmant qu'il lui avait menti. Une grosse boule de stress se forma subitement dans le ventre du jeune homme qui releva alors un visage déconfit, ne comprenant pas.

Mentir ? M-mais m'man...

Il ne lui avait pas menti pourtant ! Atsuya n'était certainement pas du genre à faire l'école buissonnière, ou a dissimuler des notes de contrôles, d'autant que ces derniers temps ses notes s'amélioraient. Sa mère laissa alors entendre qu'il voyait une fille sans lui avoir dit, ce qui était absolument faux. Le jeune homme s'apprêtait d'ailleurs à assurer sa mère que c'était faux et qu'elle se trompait...quand elle sortit une de ses culottes.
Atsuya devint très pâle en l'espace de quelques secondes...hier sa mère avait bien failli le surprendre en train de se masturber dedans, et de peu, il était parvenu à l'éviter, mais avait par la suite oublié de remettre cette culotte dans la corbeille à linge sale. Atsuya avait terriblement honte, pris sur le fait, surtout pour ce genre d'agissements. Il ne pouvait même pas protester ou mentir, sa mère le connaissait trop bien pour ça...mais avouer la vérité ? Pouvait-il seulement ?

M-maman je...

Atsuya était au bord des larmes, mais il savait bien que sa mère ne lâcherait pas le morceau pour si peu...et il ne pouvait pas lui en vouloir. A chaque fois qu'il finissait de se masturber dans une de ses culottes, Atsuya s'en voulait, se considérant comme une espèce d'aberration et de monstre, quel fils se branlait dans les culottes de sa propre mère ?
Mais il était pris la main dans le sac, et mentir était au dessus de ses forces alors...

J-je te jure que j'ai...j'ai personne maman...y'a aucune fille qui...qui veut de moi...c'est à...à à...à toi que je pensais en...

Il n'arrivait pas à finir sa phrase, mais étais-ce seulement nécéssaire ? Il venait tout juste d'avouer qu'il se masturbait dans les culottes de sa mère en pensant à elle, parce qu'il n'avait pas vraiment d'autre choix que de dire la vérité...mais à quel prix ?

P-pardon m'man je...je suis qu'un gros dégeulasse...un monstre je...je voulais pas...je...

Là, Atsuya fondit en larmes, s'effondrant sur lui même, et n'osant clairement pas regarder sa mère. C'était fait, et elle allait le détester maintenant. La seule femme qui l'aie jamais aimée, la seule personne qui tenait à lui, et il avait tout foiré à cause de ça. Il s'attendait maintenant à ce qu'elle l'engueule comme jamais, et elle aurait raison, elle aurait même raison de le renier à ce stade, et Atsuya se sentait mal, terriblement mal...

[Reine Alice Korvander]

Hitomi avait sorti la carte de l’autorité, et son fils s’effondrait devant elle. C’était le problème de la puberté, ça rendait les garçons idiots. Les filles devenaient des allumeuses, et, dans l’esprit d’Hitomi, même si son fils était un peu enrobé, elle ne pouvait imaginer que les filles ne lui tournaient pas autour. Après tout, il était intelligent, cultivé, bien éduqué, et il avait de l’humour. Et elle savait, pour l’avoir déjà vu nu, qu’il était plutôt bien proportionné. Elle ne pouvait donc imaginer que la femme à qui Atsuya pensait n’était pas l’une de ses camarades de classe. Avant de s’effondrer en larmes, il avoua qu’il pensait à elle. Les yeux d’Hitomi s’écarquillèrent doucement sous la surprise, tandis qu’Atsuya, honteux, se mit à pleurer. Effrayé à l’idée de perdre l’amour et le respect de sa mère, ce qui ne manqua pas de… De la faire rougir.

La jeune femme resta silencieuse pendant plusieurs secondes, avant de s’observer.

*À moi… Il pensait vraiment à moi ?*

Elle en fut assez émue, de sorte qu’elle resta silencieuse pendant un certain temps. Atsuya attendait qu’elle la gronde… Mais Hitomi fléchit les genoux devant lui.

« Atsuya-kun, regarde-moi. »

Le fait qu’elle l’appelle « -kun », et non pas « -chan », qui était un suffixe plus affectueux, illustrait en soi le glissement, le changement de comportement. Atsuya pouvait donc encore craindre la réaction de sa mère, qui planta son regard dans le sien. Elle resta encore silencieuse pendant plusieurs secondes, continuant à l’observer sans rien dire, cherchant à déceler quelque chose, à voir ce qu’elle ne vit pas.

Finalement, Hitomi remua doucement la tête, de haut en bas :

« Tu es sincère, Atsuya-chan… Tu… Tu te masturbais vraiment en pensant à… À moi ? »

Le ton froid et dur laissait place à l’étonnement et à la surprise. Et, de fait, à bien la voir, Hitomi était en train de rougir. Elle se redressa brièvement, en posant sa main devant sa bouche, comme pour tenter de masquer son étonnement, puis poursuivit :

« Alors qu’il y a tant de jolies filles à l’école, tu te masturbes en pensant à moi ? »

Elle était plus surprise que vraiment choquée, et fronça encore les sourcils… Avant de le prendre dans ses bras. Un câlin spontané, inattendu, la tête d’Atsuya disparaissant contre les volumineux seins de sa mère.

« Mon pauvre petit chéri… Et moi qui croyais que tu me trompais. Mon pauvre petit, et je t’ai fait pleurer. Pardonne-moi, Atsuya-chan, pardonne-moi ! »

Hitomi caressait ses cheveux, et déposa un baiser sur son front.

« Tu es mon homme, Atsuya-chan, c’est ce que j’ai toujours dit. Et je savais bien que ce jour arriverait, celui où mon petit garçon deviendrait un homme. Et je ne veux pas que cela te perturbe outre mesure, ni que cela t’amène à t’éloigner de moi. C’est ce que tu veux aussi, n’est-ce pas, mon petit chéri ? Rester en compagnie de ta Maman… »

[Chloé Faure]

Atsuya pensait sincèrement que sa vie était comme foutue, il n'avait aucun véritable ami ou connaissance en dehors de sa mère, ce qui était en soit pervers dans un sens, et qui expliquait sans doute pourquoi le jeune homme avait fini par développer une forte attirance sexuelle à l'égard de sa propre mère. Mais pour autant ce n'était pas une excuse, et il comprenait bien que ce qu'il ressentait était mal, déviant, et prohibé partout dans le monde. Comment Hitomi allait-elle le regarder maintenant ? Le considérer ? Atsuya serrait les poings sur ses genoux tout en pleurant à chaudes larmes, incapable de regarder sa mère, et attendant à n'importe quel moment un ouragan de reproches et d'indignation lui arriver dessus. Quand sa mère s'agenouilla près de lui, en l'appelant Atsuya-kun, ce qu'elle ne faisait jamais...le jeune lycéen tremblait comme une feuille, mais leva tout de même la tête pour la regarder. Cela dit, avec ses yeux embués, il ne pouvait pas vraiment discerner quoi que ce soit, et il était bien trop en panique pour pouvoir analyser les expressions de sa mère.

En reniflant lourdement, le jeune homme hocha honteusement la tête quand sa mère lui demanda de confirmer, mot pour mot, qu'il se masturbait en pensant à elle. A nouveau, son visage resta tourné en direction du sol, il avait honte, tellement honte qu'il la sentait comme un poids physique s'abatant sur lui. Il avait pourtant essayé de refouler ces sentiments, qu'il savait mauvais...mais ça avait été plus fort que lui. Hitomi et Atsuya partageaient beaucoup de choses ensemble, dont certaines qui auraient rendu n'importe quel adolescent gêné de le faire en compagnie de sa mère. Il leur arrivait encore régulièrement de prendre des bains ensemble, des moments qui toutefois, ces derniers temps, étaient devenus plus rares car Atsuya cherchait à les éviter. Lui qui bandait déjà en voyant juste sa mère en décolleté, il n'aurait jamais été capable de se retenir juste en face de sa mère nue. C'était d'ailleurs ces souvenirs de bain ensemble qu'il utilisait dans son esprit pour se branler.

Mais alors qu'il s'attendait, d'une seconde à l'autre, à ce que sa mère entre dans un état de rage absolument justifiée, cette colère tarda à venir. Et tout en continuant à pleurer, Atsuya commença à se demander pourquoi, d'autant que le ton étonné, mais non colérique de sa mère ne lui échappa pas, quand elle posa sa question réthorique, concernant le fait qu'il se branlait en pensant à elle, et pas aux autres filles. Il aurait pu dire que sa mère était la seule femme avec qui il avait une relation aussi proche, la seule qui s'intéressait à lui et l'aimait sincèrement, alors que les autres se moquaient de lui, de son physique, du fait qu'il soit un "nerd"...mais il commençait aussi à être surpris de ne pas être actuellement grondé comme jamais.

M-M'man ?

Il osa relever la tête pour la regarder, juste au moment où Hitomi le prit subitement dans ses bras pour lui faire...un gros câlin. Le jeune homme en écarquilla ses yeux, le visage fourré contre l'opulente poitrine de sa mère, alors qu'elle était en train de s'excuser.

*Q-Quoi ?!?!*

Est-ce qu'il était en train de délirer ? Oh non, impossible, avoir la tête fourrée contre les gros seins de sa mère ça ne pouvait pas être retranscrit aussi fidèlement par une hallucination ou un rêve...c'était...c'était pour de vrai !
Atsuya sentit une bourre d'émotions le traverser alors qu'Hitomi n'était pas en train de le gronder, mais de s'excuser pour de vrai. Mais pourtant il venait de lui avouer, à deux reprises, qu'il se branlait en pensant à elle...à elle !

*A...à moins que...*

Cette idée lui traversa l'esprit à la vitesse de l'éclair, et le fait d'avoir la tête collée contre les seins chauds, doux, fermes de sa mère, commença à le faire bander sous son pantalon. Elle...elle ne lui en voulait pas...elle ne lui en voulait pas ! Elle semblait même heureuse d'avoir entendu ça.

O-oui m'man...j-je veux rester avec toi...

Bien évidemment ! Atsuya ne se voyait aller nulle part ailleurs, sa mère était tellement omniprésente dans sa vie qu'il ne pouvait en être autrement. Il parvint toutefois enfin à redresser un peu sa tête, ses yeux, bien qu'embués encore de larmes, ne coulaient plus. Atsuya semblait rassuré, bien que lui aussi, très surpris par cette réaction irréelle.

T-Tu ne m'en veux pas alors ? M-mais...je ne devrais pas faire ça c'est...c'est mal...

Et pourtant, tout en disant cela, Atsuya était clairement en train de bander comme un étalon en rut sous son pantalon, qui était déformé par une bien belle bosse au niveau de son entrejambe.

[Reine Alice Korvander]

Hitomi le sentit bander. Elle écarquilla les yeux en se redressant, et l’observa encore. Il était nerveux, et ne comprenait visiblement pas la réaction de sa mère, qui, au lieu de le gronder, semblait assez emballé à cette idée. Celle-ci se recula doucement, et fronça les sourcils, avant de glisser brusquement sa main entre les jambes d’Atsuka. Elle sentit son érection, et un sourire malicieux émergea alors sur ses lèvres. Il exprima sa surprise, et elle hocha lentement la tête.

« En quoi c’est mal, Atsuya-chan ? Le sexe n’est pas quelque chose de mauvais en soi… C’est naturel. Mais, si tu n’es pas bien préparé, ça peut te conduire à ta perte. Et, comme je suis ta Maman, c’est mon rôle de veiller sur toi, et de m’occuper de ça. »

Le caractère immoral de la chose n’était pas sans lui échapper, mais Atsuya était son fils ! Elle se devait donc de veiller sur lui, et, surtout, de veiller à sa scolarité. Sans diplôme, dans cette vie, on ne pouvait rien faire, et ce n’était pas le sort qu’elle voulait pour son fils. Elle lui sourit donc doucement, tout en se pinçant les lèvres. Ses joues avaient doucement rosi, car elle savait que son fils avait une érection. De fait, Hitomi glissa sa main encore sur le pantalon de son fils, et fila même sous sa ceinture, sentant alors sa queue. Elle sourit alors, un sourire ravi, en sentant l’érection du jeune homme, sans tenir compte de ses protestations.

C’était bien la vigueur de son fils. Elle avait déjà vu son sexe jadis, quand ils prenaient des bains ensemble, mais elle n’aurait jamais cru que son fils puisse grandir si vite.

« Tu es devenu un homme, mon Atsuya… Et je dois veiller à ce que tu réussisses tes études, à ce que tu ne te laisses pas distraire par les frivolités et les tentations que la vie offre. Et puis… J’ai toujours du mal à croire que tu puisses vraiment me trouver à ton goût. Je suis plus vieille que tes belles camarades du lycée, après tout… Ces gamines qui se pavanent dans des uniformes trop courts, et qui exhibent sous ton nez leurs grosses poitrines. »

Peut-être y avait-il un complexe d’infériorité chez Hitomi, et en tout cas un manque de confiance en soi… Sa main maintenait la pression sur le sexe de son fils, et elle le masturba lentement, doucement, son autre main sur son épaule, assise contre lui, ses yeux brillant d’une lueur étrange, que son fils avait rarement vu chez elle. C’était le désir.

« Dis-moi ce que tu ressens pour moi, dis-moi ce qui t’excite sur mon corps, mon chéri… Raconte-moi. »

[Chloé Faure]

Atsuya était autant soulagé que très perturbé, décidément, en très peu de temps le jeune homme passait par une palette d'émotions assez variée. Mais surtout, surtout, il était très excité. Le fait que sa mère ne le gronde pas pour penser à elle quand il se branlait, mais au contraire semblait même...enthousiaste et heureuse à cette idée, ça le faisait bander. C'était mal pourtant, mais si sa mère ne lui en voulait pas, alors est-ce que c'était si grave que ça ? Pour Atsuya, sa mère était sa guide à tous les aspects, moraux y compris, ce qui était plutôt normal après tout, c'était elle qui l'avait éduqué et qui continuait à le faire, alors si elle trouvait que quelque chose n'était pas grave, ça ne devait sans doute pas l'être tant que ça.

Un peu rassuré, même si il était encore très indécis quand à la réaction à avoir, Atsuya ne pouvait donc en revanche pas s'empêcher, maintenant, de bander. Sa mère était en train après tout de lui dire que tout ça était normal, qu'elle en était même heureuse, et pour un jeune homme comme lui en pleine adolescence, qui était donc obnubilé par le sexe et par sa mère, c'était en soit suffisant pour avoir une bonne grosse trique. C'est une chose qu'Hitomi ne manqua pas de noter quand elle relâcha finalement son étreinte, difficile en effet de ne pas voir la grosse bosse qui déformait le pantalon de son fils, mais la réaction d'Hitomi à ce fait, encore une fois, le surprit.

M-M'man...

Atsuya se crispa sur place en sentant l'une de ses délicates mains se poser sur son entrejambe, pas très loin de son sexe. Là, si il y avait encore un doute, il n'était plus permis, sa mère n'était absolument pas dérangée par les fantasmes incestueux que son fils avait à son encontre...et ça semblait même réciproque. Elle était toute souriante, et s'acharnait à le rassurer en lui affirmant que ce qu'il ressentait n'était pas mal, et que c'était son rôle en tant que mère de veiller sur lui. Mais pendant ce temps, Atsuya avait un peu de mal à se focaliser sur les paroles de sa mère, alors que sa main ne quittait pas son entrejambe, et elle la déplaça même jusqu'à toucher directement l'emplacement de son sexe, à travers son pantalon.

Aaaaaah...Maman...

Oh comme c'était bon ! Atsuya avait toujours fantasmé ce moment tout en le craignant, de par le côté immoral de ce désir brûlant qu'il éprouvait envers sa maman adorée, mais elle était bien là, à lui toucher le sexe, et même à doucement le masturber au travers de son pantalon. C'était...c'était inouï, Atsuya sentait une autre main que la sienne s'occuper de sa queue, une main féminine, douce, celle de sa mère. Lui remuait délicatement sur place, bougeant un peu ses hanches par réflèxe pour amener son sexe à se frotter contre cette main. Puis, Hitomi déclara encore qu'elle était surprise qu'Atsuya latrouve à son goût en comparaison de ses camarades, le tout en prenant place juste à côté de lui.

Elles...elles m'intéressent pas M'man...c-c'est toi la...la plus belle de toutes...

Il n'avait même pas besoin de mentir, car outre le sentiment d'amour normal qu'il éprouvait envers sa mère, ainsi que l'aspect incestueux de son désir à son encontre, Hitomi était en toute objectivité une superbe femme avec un corps de rêve, et elle demanda alors des précisions à son fils sur ce qu'il aimait chez elle. Atsuya était rouge comme une pivoine, alors que sa mère continuait à le branler très délicatement, lui faisait tout son possible pour se retenir de juter dans son pantalon, mais ça allait devenir compliqué si sa mère continuait ainsi.

T-tout m'man...t-tes seins surtout...il sont...ah...i-i-ils sont si g-gros...doux...ch-chauds...je...j'arrête pas de penser à toi n-nue quand je me branle m'man...à tes seins...t-tes fesses, ta bouche...aaaaah...

Sous l'effet de l'excitation, Atsuya parvenait en partie à se lâcher, et à dire frontalement à sa mère à quel point elle était un objet de désir pour lui. Par contre, Atsuya commençait aussi à avoir beaucoup de mal à parler, et il posa une de ses mains sur celle de sa mère qui était en train de caresser son sexe sur son pantalon.

M'man si...si tu continue comme ça...je vais...je vais juter dans mon slip...

[Reine Alice Korvander]

Hitomi esquissa un léger sourire quand Atsuya indiqua que, à ce rythme, il allait « juter » dans son slip. Elle s’en pinça les lèvres, sentant une soudaine bouffée d’excitation quand son fils évoqua que tout, chez elle, le fascinait, surtout sa grosse poitrine. Il est vrai qu’Hitomi était plutôt bien dotée de la nature. Son ancien époux avait toujours aimé ses gros seins, peu coutumiers au Japon, et Atsuya avait visiblement hérité de cela. Elle sourit donc, et raffermit sa prise sur sa queue, faisant cliqueter sa ceinture. Il se débattait faiblement sur place, sa queue retenue par son pantalon, et sa main caressa son visage, son pouce glissant sur les lèvres de son fils.

« Ça me fera une bonne raison de le nettoyer, alors… »

Elle avait franchi le pas. Instinctivement. Elle était follement rassurée de savoir qu’Atsuya ne la trompait pas en s’intéressant à une autre fille. Certes, elle aurait pu s’offusquer que son fils ressente un désir incestueux pour elle, mais Hitomi était comme ça. Si elle avait divorcé de son mari, c’était aussi parce qu’elle était très instable, sexuellement parlant. Elle adorait la sodomie, ainsi que des paraphilies beaucoup plus avancées, comme l’urophilie, le BDSM, l’étouffement sexuel… Et même la zoophilie. Son mari avait divorcé pour ça, et avait même espéré pouvoir récupérer l’autorité parentale d’Atsuya en insistant là-dessus. Malheureusement pour lui, il n’avait aucune preuve, et, en faisant passer sa femme pour une nymphomane, elle qui était très douée pour dissimuler qui elle était, il avait tout perdu. Suite à cela, Hitomi avait récupéré son fils.

L’inceste ne la choquait donc pas outre mesure, et elle trouvait au contraire naturel d’aider son fils, en grande partie parce que ses parents ne l’avaient jamais aidé. Ils ne l’avaient jamais formé, sexuellement parlant. Elle ne comptait pas refaire la même erreur pour Atsuya, et le masturba encore, plus vigoureusement.

« Regarde-moi, mon chéri. Je veux te voir pendant que tu jouis dans ma main. Je veux sentir ton sperme de petit garçon mal élevé sur ma main. Jouis avec ta belle queue, mon chéri, jouis… »

La main d’Hitomi, couplée à ses propos, sonna le coup de grâce. Atsuya se relâcha copieusement, et tout son corps se raidit sur place. Hitomi se pinça furieusement les lèvres, et sentit sa queue tressauter sur lui, avant que sa main ne se recouvre d’une substance chaude. Elle la retira alors, et sourit délicieusement, observant ensuite ses doigts.

« C’est ton sperme, mon chéri… Tu tiens vraiment de ton père là-dessus. »

Lentement, Hitomi suça chacun de ses doigts, avec appétit, provoquant des bruits de délectation spongieux, poussant des soupirs légèrement exagérés. Elle voyait le regard transi de désir de son fils, et lui sourit encore.

« Je te demande de bien vouloir accepter mes excuses pour t’accuser de mensonges, Atsuya-chan. Et je vais tout faire pour sécher tes larmes… »

Hitomi lui sourit doucement, avant de poursuivre :

« Mais, pour commencer, j’ai envie de voir à quel point mon petit garçon est devenu un homme. Montre-moi ton sexe, mon chéri… »

[Chloé Faure]

C'était un rêve éveillé qui se produisait pour le jeune homme, dont la mère était en train de faire exactement ce qu'il avait longuement fantasmé et espéré, sans vraiment une seule fois croire que c'était seulement possible que ça arrive un jour. Et pourtant, la voilà à côté de lui, la main dans son pantalon en train de le branler. Il était très proche de jouir, mais lorsqu'il en prévint sa mère, cette dernière ne s'en formalisa pas...bien au contraire même, puisqu'il sentit alors la prise de sa maman se raffermir sur son sexe.

Aaaah...M-Mamaaaaan...

Hitotmi accélérait le rythme de ses va et viens avec ses doigts le long de son sexe, et l'encouragea à effectivement jouir contre sa main. Atusya ne pouvait, à ce stade, plus vraiment se retenir. La main de sa maman allait être couverte de son sperme, et il en aurait sans doute aussi qui coulerait dans son slip, mais peu lui importait si c'était ce que sa maman voulait. Il tâcha alors de la regarder dans les yeux, et pouvait voir à quel point elle semblait heureuse, et emplie de désir, tout comme lui. Et alors qu'il sentait la sauce remonter le long de son sexe, Atusya prit subitement conscience, avec toute cette excitation, qu'il allait probablement pouvoir faire l'amour avec sa mère à un moment donné. La simple idée de pouvoir glisser sa queue dure et tendue dans sa chatte...

Ah...Aaaaaaaaah...Oooooooooh...M-m'aaaaaaaan...

Atsuya se crispa de tout son long sur la chaise, alors que son sexe se mettait à tressauter frénétiquement. Le jeune homme eut un long orgasme, et son sexe cracha de gros filaments de sperme contre les doigts de sa mère, et contre la paume de sa main. Il avait du mal à la regarder, mais fit de son mieux pour ne jamais arrêter tout en jouissant contre sa douce et délicieuse main. De longue secondes durant, Atsuya éjacula contre cette main, qui finalement se retira dès qu'il eu fini. Hitomi lécha alors sa main juste devant lui, goûtant et dégustant son sperme sous ses yeux, ce qui naturellement ne manqua pas de l'exciter encore d'avantage. De fait, Atsuya était tellement en chien que son sexe ne débanda pas, surtout quand sa mère, après avoir fini de nettoyer sa main, déclara qu'elle ferait tout pour sécher ses larmes.

C'est...c'est rien maman...j'aurais pas du te cacher ça non plus...c'était juste...j'avais aucune idée que c'était pas grave...

En effet si il avait su, Atsuya aurait depuis longtemps confessé son amour à sa mère, mais au final, tout se goupillait plutôt bien. Le jeune homme était très curieux de voir ce que sa mère avait en tête pour se faire "pardonner", d'autant qu'il était excité comme jamais il ne l'avait été, surtout quand sa mère lui demanda ensuite de lui montrer son sexe. Atusya sentit une bouffée de chaleur le parcourir à cet instant.

D'-d'accord M'man...

Oh bon dieu ils allaient le faire pour de vrai ! Nerveusement, avec les mains tremblantes, Atsuya parvint néanmoins à défaire sa ceinture, puis le bouton de son pantalon tout en faisant descendre sa braguette. Il se redressa alors légèrement de sa position assise pour pouvoir ensuite faire glisser en même temps son pantalon et son slip le long de ses jambes, et jusqu'à ses chevilles. Le jeune homme ne pu alors s'empêcher de pousser un soupir de soulagement à avoir son sexe enfin à l'air libre, non comprimé par ses vêtements. Même si il était clairement en surpoids, Atsuya n'avait fort heureusement pas à complexer quand à la taille de sa queue, qui était bien grosse et dure, tendue vers le ciel, avec une paire de testicules bourrées de sperme et couvertes de poils pubiens.

Je...ça te plaît m'man ?

[Reine Alice Korvander]

Le regard d’une mère était par définition déformant. Elle occultait les défauts, les petits à-côtés, pour ne garder qu’une image pure et embellie. Jamais elle ne pourrait sérieusement trouver le moindre défaut à son fils. Elle l’aimait profondément, plus que sa propre vie, et c’était là cet amour intense, profond, solidement enraciné, qui s’exprimait en elle. Il était sa bataille, sa seule et unique raison de vivre. Elle le laissa se redresser. Atsuya reprenait ses esprits, commençant à réaliser le quiproquo. Pour elle, il était son Prince, et elle était prête à tout faire pour qu’il réussisse, pour chasser les mauvais démons tournoyant autour de lui. Il se redressa donc, et déboutonna sa ceinture. Elle vit alors son sexe, et se pinça doucement les lèvres, s’agenouillant devant lui.

Elle renifla alors sa queue, et un sourire de plaisir la traversa, accompagné d’un tendre baiser sur sa verge. Cette dernière se roidit encore, et tapa contre son nez. Elle la renifla encore, savourant cette odeur de sueur, de sexe, de sale.

« Tu ne peux pas savoir à quel point ça m’a manqué, Atsuya… Ton père n’était pas à la hauteur de mes attentes. Il prenait des anabolisants et des stimulants pour tenir la cadence. Et, depuis qu’il est parti, je me suis efforcée de ne pas aller voir ailleurs. Crois bien que c’est difficile pour moi. Le voisin m’a déjà fait des avances, tu sais… Mais je refuse d’être une mauvaise mère pour toi, Atsuya-chan. J’ai refusé toutes leurs avances rien que pour toi, mon chéri, pour être à la hauteur de ton amour… Mais je dois bien t’avouer que ça m’avait manqué. »

Oh oui ! Elle se rapprocha encore, et se redressa, venant déshabiller son fils. Ses doigts glissèrent sur sa chemise, dénouèrent sa cravate, puis elle défit chaque bouton, avant d’aller l’embrasser. Ses seins heurtèrent son torse, et elle fourra suavement sa langue dans sa bouche, enroulant spontanément ses bras autour de sa nuque. Un baiser passionné, exprimant toute sa frustration, tout son désir, toute son envie de coucher avec lui.

C’était un baiser intense, le corps nu de son fils contre elle, et elle le repoussa doucement, l’envoyant s’asseoir sur le fauteuil, elle-même restant à genoux.

« Il est clair que j’ai été défaillante avec toi, mon chéri. J’ai voulu à ce que tu aies ta chambre, à ce qu’on ne prenne plus nos bains ensemble. Tout ça t’a perturbé, mon pauvre chéri, et je vais résoudre ça. Nous dormirons de nouveau ensemble, et je te donnerai même le sein. »

Le divorce avait affecté son fils, qui en avait fait de gros cauchemars. Il avait donc dormi avec sa mère jusqu’à un âge assez avancé, et elle allait renouveler ça. Son visage était proche de son sexe, et ses mains caressaient ses cuisses, les écartant aussi, dévoilant et ouvrant ainsi l’accès vers sa verge.

« Je veux en savoir plus, Atsuya-chan. Je vais sucer ta belle queue pleine d’énergie, et je veux savoir… À partir de quand tu as commencé à te branler. Est-ce que ça a commencé quand on dormait ensemble ? »

Si c’était le cas, cela remontait encore à plusieurs mois.

« Je veux que tu me confies tes fantasmes, que tu me dises ce que tu souhaiterais me faire subir, pendant que je vais te sucer. »

Et, pendant ce temps, elle se pencha en avant, masturbant sa queue, et la prit sensuellement en bouche…

[Chloé Faure]

Jamais au grand jamais Atsuya n'avait eu une trique pareille, alors que sa mère posait son regard sur son sexe dressé, et qu'elle s'agenouilla devant lui à ce moment. Le jeune homme en eut le souffle coupé pendant quelques instants, lorsque sa mère approcha son visage de sa queue, il sentit son souffle chaud dessus, alors qu'elle...reniflait l'odeur se dégageant de son sexe. Atsuya n'avait pas encore eu l'occasion de prendre une douche après sa longue journée de cours, et avec ce qui venait de se produire depuis qu'il était rentré, le jeune homme avait en prime pas mal sué, ce qui faisait que son sexe ne devait plus dégager une agréable odeur de savon, comme en début de journée. Mais ça...sa ère ne semblait pas s'en formaliser, au contraire même, car elle lui renifla le sexe à plusieurs reprises, tout en commentant à quel point ça lui avait manqué.
Il était vrai que depuis le divorce, Atsuya n'avait jamais vu sa mère avec qui que ce soit d'autre. Elle aurait aisément pu se trouver un autre homme, mais il était vrai aussi qu'Atsuya l'aurait sans doute mal vécu, vu comment le divorce l'avait déjà affecté, et puis tout simplement savoir que sa mère coucherait avec un autre homme l'aurait rendu encore plus frustré.

J-je ferais tout pour...pour être à la hauteur, m'man...

Sa mère s'était privée de sexe pendant des années pour qu'il ne soit pas jaloux, et maintenant qu'ils étaient sur le point d'entrer dans une relation incestueuse, ce fait prenait encore plus d'importance. Lui même ne s'intéressait pas aux filles car seule sa mère l'obsédait, et elle était maintenant là, à genoux devant lui, en train de donner des petits baisers sur son sexe et le renifler.
Puis Hitomi se releva, face à lui, et posa ses mains sur sa chemise. Les mains de la femme se dirigèrent vers la cravate de son fils qu'elle ôta, puis elle déboutonna uns à uns les boutons de sa chemise. Sa mère était en train de lui retirer ses derniers vêtements, de le foutre complètement à poil devant elle. Son gros ventre l'avait toujours complexé depuis qu'il avait pris tout ce poids, mais là encore, sa mère n'en avait cure, et le prouva d'ailleurs en allant l'embrasser vigoureusement.

Hm !

Atsuya en fut surpris, sa maman se jeta sur lui comme une affamée, le serrant dans ses bras tandis qu'elle colla ses lèvres contre les siennes. Mais non contente de s'arrêter là, Hitomi forca le passage pour glisser sa langue dans la bouche de son fils, qui bien entendu ne résista pas. C'était son premier vrai baiser, aussi ne savait-il pas comment s'y prendre, mais il se laissa faire et guider, tâchant de suivre à peu près les mouvements de la langue de sa mère avec la sienne. Pendant se temps, Hitomi était de fait collée tout contre lui, sa grosse queue tendue tapait contre la jupe que portait sa mère. Il hésita pendant un moment à faire quelque chose de ses mains, sans doute encore un peu timide...mais ça lui passa assez vite. Ils allaient coucher ensemble, c'était désormais certain, alors Atsuya rassembla tout son courage pour oser poser ses deux mains sur les fesses de sa mère, et ne regretta absolument pas son geste. Le cul de sa maman était délicieux à toucher, à palper, et il ne lâcha prise que lorsqu'elle l'invita à se rasseoir sur le fauteuil...elle même venant à nouveau se mettre à genoux devant lui.

Oh M'man...

Atsuya était terriblement fébrile, comprenant ce qui allait se passer. Sa mère allait lui faire une fellation, lui sucer la queue, sa belle maman. Elle se rapprochait doucement, écartant les cuisses de son fils à l'aide de ses mains pour se dégager le chemin, le tout en affirmant bien des choses. Elle et lui allaient à nouveau dormir ensemble, prendre des bains ensemble, mais avec le côté relation incestueuse assumée...et elle allait même lui redonner le sein. Atsuya en déglutit alors que le visage de sa mère continuait de s'approcher de sa queue, et qu'une de ses mains alla saisir son sexe à la base, et elle lui demanda alors d'avantage de détails sur ses fantasmes...avant de finalement prendre son sexe dans sa bouche.

Aaaaah !!!

Atsuya ne se contrôla pas pendant quelques secondes, instinctivement il donna un coup de bassin en avant, juste avant de parvenir à nouveau à se calmer. Il avait tellement mal à son sexe, mais sa mère commençait à le sucer en faisant bien des bruits de succion, ce qui était délicieux...oh, oh que oui, c'était bon !!

Hmmmm...M'man je...ça fait des...des mois que j'me branle en...en pensant à toi. La...la dernière fois qu'on a dormi ensemble...t'avais ta petite nuisette blanche. Quand t'étais endormie je...je me suis masturbé, et j'avais le bout de ma queue qui...qui tapait contre ta cuisse. J'avais...oooh...j-javais peur que tu te réveille mais...mais c'était trop bon...e-et après j'ai...j'ai du aller voir avec tes culottes...aaaaah...

Alors que sa mère le sucait, et qu'il était évident qu'ils entameraient une relation très chaude ensemble, la langue d'Atsuya commençait à se délier.

J-je me suis branlé avec toute ta collection de culottes M'man...ça...ça m'excitais de...de savoir que tu les portais après que...que j'aie juté dedans, même si elles étaient lavées. Ooooooh M'man tu...tu suce tellement bien !

Le jeune homme arrivait à se contrôler un peu mieux après avoir joui une première fois, mais Hitomi le pompait avec une telle énergie et une telle ferveur qu'il sentait qu'il ne durerait pas éternellement.

J'vais...j'vais te remplir la bouche de sperme m'man...t-tous les jours tu aura droit à ma queue et...et le matin je...je juterais dans ton café p-pour que tu remplace la crème...par la mienne. J-je te ferais l'amour p-partout dans la maison...p-par terreà quatre pattes, contre le mur, sur l-la machine à laver...aaaaaah. J-je te prendrais par le cul aussi m'man, et je te juterais dessus partout...
E-et plus tard je...je veux que t'arrête de prendre la pilule m'man...j-je veux...j-j-je veux te donner un bébé !!! Oooooh m'man je veux te faire l'amour sans capote...s-sans contraceptif...et te mettre enceinte...aaaaah !!!!

Atsuya n'eût toutefois pas la temps d'en dire d'avantage, car il posa alors ses mains sur les cheveux de sa mère pour qu'elle reste en place, et joui alors copieusement dans sa bouche.

[Reine Alice Korvander]

Hitomi était de plus en plus excitée. Son petit chéri était en train de devenir un homme… Et quel homme ! Certes, il fallait penser à ses études, mais, en ce moment, Hitomi ressentait un plaisir vorace et égoïste, en écoutant ainsi son fils3. Il commença doucement, mais, face à la fellation divine de sa mère, aux soupirs exagérés qu’elle poussait, et au regard concupiscent qu’elle lui jetait, Atsuya se mit à déglutir. Il confessa ainsi que tout avait commencé par cette fois où Hitomi dormait dans une élégante nuisette blanche légèrement transparente, avec de la fine dentelle. Elle sourit mentalement à cette idée. Si elle avait mis fin à leur nuit commune, c’était précisément parce qu’elle avait senti son érection, et qu’elle avait craint de perturber l’éducation sexuelle de son fils. Maintenant, avec le recul, elle réalisait sa grave erreur, car elle n’avait toujours eu qu’un homme : son fils. Hitomi avait appris dans son éducation que son rôle était d’être une parfaite mère, ce qui était plus important que tout à ses yeux.

Somme toute, c’était cela qui se passait, et apprendre que son fils avait juté dans toutes ses culottes l’excita furieusement… Surtout en se disant que la culotte qu’elle portait ce soir était peut-être l’une de celles ayant servi d’écrin à la divine queue de son fils. Ceci la fit rougir, et elle visualisait très bien son fils, devant sa penderie, là où elle empilait ses culottes, les caressant, et se masturbant avec.

« Mmmhmm… !! »

Comme c’était excitant ! Mais le pic vint quand, alors qu’il approchait de l’orgasme, Atsuya-chan avoua son plus gros fantasme. Il se dandinait sur place, et elle le sentait devenir plus vorace, sentant en lui le futur mâle qu’elle avait toujours cherché, l’amant viril et puissant que son incapable de mari avait toujours été incapable d’être. Instinctivement, Hitomi fantasmait à cette idée, et, quand il avoua vouloir la rendre enceinte, elle se masturba plus fréquemment. Ses mains serrèrent ensuite ses cheveux, et Hitomi… Hitomi ne se retint plus.

« HMMMMMMM… !! »

Elle-même eut un orgasme contre ses doigts tandis que son fils se remit à jouir copieusement dans sa bouche. Il s’abandonna longuement en elle, balançant des giclées de foutre, et vint la remplir longuement. Un orgasme encore plus prononcé que le premier, et Hitomi sentit ses joues se gonfler. Elle lui avait offert une magnifique fellation, pompant fièrement son dard, le léchant avec sa langue, creusant l’air en faisant des sillons.

Hitomi le laissa donc jouir en elle, tandis qu’elle-même avait inondé sa culotte, sa mouille glissant sur ses cuisses. Elle se redressa alors, et libéra la queue de l’homme, puis ouvrit la bouche devant Atsuya, en s’agenouillant respectueusement devant lui. Son sperme était là, formant une masse blanche dans sa bouche. Elle referma alors la bouche, et inspira lentement, puis remua le sperme avec sa langue. Un contact écœurant pour bien des femmes, mais pas pour elle, qui avait toujours aimé ça. Si Hitomi prenait grandement soin de son corps, qu’elle se parfumait et s’entretenait, elle aimait au contraire les trucs sales et peu avenants. Le sperme, l’urine, l’odeur de sueur des hommes… Certaines choses ne s’expliquaient tout simplement pas, comme les fantasmes. Elle s’assura juste que son fils l’observait avant d’avaler goulûment le sperme, dans des bruits de déglutition prononcés.

Une fois ceci fait, Hitomi rouvrit la bouche, pour que son homme puisse voir que celle-ci était propre. Elle se releva alors, et lui sourit doucement.

« Tu es bien mon fils, Atsuya-chan, si fort, si puissant… Si je ne m’occupe pas de ça, tu perdras vite le contrôle de ton corps, mon chéri. J’ai eu tort de te séparer de moi. Nous dormirons désormais ensemble, nous reprendrons nos bains ensemble… Mais je ne veux plus que tu te masturbes. C’est moi qui te branlerai, désormais. »

Tout en parlant, la jeune femme retira son haut, puis sa jupe, et finit devant son fils dans des sous-vêtements blancs assez fins.

« Déshabille-moi, mon chéri… Et viens lécher mon sexe, découvre le plaisir féminin, et sache que tu m’as fait beaucoup mouiller. Si tu veux que je porte ton bébé, tu dois d’abord découvrir mon corps dans ses moindres détails. Vas-y, viens me palper, je me mettrai dans la position que tu veux, et je ferai absolument tout ce que tu as envie… »

Car elle ne vivait que pour lui. Son fils, sa bataille, son horizon.

L’homme qu’elle aimait plus que tout au monde.

[Chloé Faure]

Sur le moment, Atsuya avait quand même senti une pointe d'anxiété perler en lui quand il avait enfin avoué son plus gros fantasme, qui était de mettre sa propre mère enceinte...ce qui était un peu le paroxysme d'une relation incestueuse. Il avait eu un peu peur que sa mère trouve ça de trop, qu'elle stoppe tout, mais bien au contraire, ce fantasme sembla beaucoup exciter Hitomi. Sa mère se mit en effet à lui pomper la bite plus fort encore, et à se masturber elle même d'autant plus frénétiquement, tant et si bien que lorsque Atsuya eut son orgasme, sa mère elle aussi en eut un en mouillant sa belle culotte.
Jamais encore Atsuya n'avait eu une telle sensation de se vider tandis qu'il jutait copieusement dans la bouche de sa mère, sa "salope" de mère songea-t-il même brièvement, tout en gardant ce genre de pensées pour lui. Il n'était pas exclu qu'il finisse par un jour sortir des insultes pendant qu'il la baiserait, mais ça serait peut-être pour plus tard...peut-être. En attendant, le jeune homme inonda la bouche de sa mère d'une grosse quantité de sperme chaud, qu'elle recceuillit jusqu'à la dernière goutte, et le jeune homme eut ensuite droit à un spectacle pour le moins ravissant.

Oh M'man...

Elle ouvrit la bouche bien grand devant lui, pour qu'il aie bien l'occasion de voir tout le sperme qu'elle avait dans la bouche, la voir remuer sa langue en jouant avec cette petite marre de foutre, avant de la refermer pour tout avaler. Pas un seul instant sa mère ne sembla dégoûtée par le fait d'avaler le sperme de son propre fils, ou de l'avoir si intensément sucé. Elle se releva ensuite, debout face à lui, et tandis qu'elle lui parlait...elle commença à se déshabiller.
Atsuya déglutit en voyant sa mère retirer son haut, puis sa jupe, pour finir en sous-vêtements, le tout en confirmant qu'ils dormiraient ensemble à nouveau, et reprendraient leurs bains ensemble. Elle exigea toutefois qu'il arrête à partir de maintenant de se branler par lui même, car c'était désormais elle qui devait s'en charger.

D'accord M'man, tout ce que tu veux...

Atsuya était de toutes manières de nature un garçon très obéissant envers sa mère. Il voyait dores et déjà à quel point les cours seraient difficiles sans l'opportunité pour lui d'aller se branler aux toilettes, comme il le faisait souvent...mais si sa mère et lui faisaient l'amour à la maison, c'était un "sacrifice" qu'il était bien entendu prêt à faire. Elle l'invita alors à la rejoindre, à achever de la déshabiller, à la palper partout, à lui lécher le sexe...et à lui faire tout ce qu'il avait envie. Il n'en fallu pas plus pour que cet adolescent sur-excité ne réponde à cette invitation. Il se leva d'une traite, et vint se blottir contre le corps presque nu de sa mère, en fourrant sa tête entre ses gros seins, quand à sa queue encore tendue elle frotta contre le ventre d'Hitomi.

M'man t'es tellement bonne...

Atsuya commençait doucement à sortir de son écrin timide pour se laisser aller à profiter pleinement du corps de sa mère, ses mains se glissèrent d'ailleurs dans son dos pour tâcher de défaire son soutien-gorge. Il galéra un peu, mais moins que ce qu'il craignait, car les culottes de sa mère n'avaient pas été les seuls sous-vêtements pour lesquels Atsuya vouait une fascination sans bornes. Il parvint à le dégrafer au bout de quelques secondes, et lança le soutien-gorge un peu plus loin dans la pièce, avant de se ruer tel un affamé sur les seins mis à nu de sa mère.

Hmmm !!!!

Le jeune homme poussa un long soupir de plaisir quand il pu, enfin, téter l'un des seins d'Hitomi. Il n'y allait cependant pas très doucement ou tendrement, il était pressé, anxieux, conséquence de toute cette frustration accumulée en lui. Il suça donc audiblement ce téton, tout en malaxant vivement l'autre avec une de ses mains, il prenait toutefois garde à ne pas y aller "trop" fort, guettant les réactions de sa mère. Son autre main, désormais libre, descendit quand à elle le long du dos d'Hitomi pour rapidement arriver à son délicieux cul rebondi, tout aussi attrayant que ses seins, et il resta dans cette position durant un bon moment, à lui téter le sein, bien plusieurs minutes, avant de finalement le relâcher.

C'est tellement bon de te téter M'man.

Mais même si il aurait pu passer des heures à rester ainsi la tête enfouie contre les seins de sa mère, il devait aussi s'occuper d'autres parties de son corps, comme un bon garçon qu'il était. Il se mit alors à genoux face à Hitomi et...fourra son nez contre sa culotte. Il huma cette odeur de mouille, de sexe de femme qui s'en échappait, car sa mère avait joui tout en portant cette culotte. Il colla son nez tout contre, et respira à grandes bouffées l'odeur de ce nectar.

T'es toute mouillée M'man...c'est...Hmmmm...c'est moi qui te fais cet effet ?

Bien sûr que c'était le cas, mais Atsuya voulait encore entendre sa mère lui dire qu'il était la raison pour laquelle elle mouillait, le tout alors qu'il glissa ses mains sur les hanches de sa mère, se saisissant des côtés de la culotte pour la faire glisser le long de ses magnifiques jambes. La tentation de se branler dans cette culotte trempée était très, très forte, mais Atsuya était un garçon obéissant.

Viens t'asseoir sur le fauteuil s'il te plait M'man, et...ouais écarte les cuisses, que je puisse bien voir ta moule.

Atsuya était à peu près certain que le fait qu'il parle un peu cruement comme ça, dans un cadre strictement privé entre eux deux, devait l'exciter au moins un peu. Quoi qu'il en soit il attendit patiemment que sa mère s'exécute, et qu'il puisse voir enfin sa belle chatte.

Maman...

Cette vision fut de trop pour lui, qui vint alors s'agenouiller vivement entre les cuisses de sa mère. Il posa ses mains sur chacunes de ses cuisses, afin de les conserver écartées, et plongea ses lèvres qu'il fourra bien contre cette chatte qu'il se mit à lécher langoureusement. Il se déléctait de la mouille de sa mère, qu'il léchait par grandes lappées, n'étant absolument pas timide pour le coup sur le fait d'offrir un cunnilingus à sa maman, qui après tout lui avait bien pompée la bite alors...c'était normal qu'il lui rendre la pareille ! Il ne s'arrêterait en tout cas pas tant qu'elle n'aurait pas joui contre lui, et encore, il était tellement affamé qu'il faudrait qu'Hitomi lui dise spécifiquement d'arrêter. Car lancé comme il était, Atsuya était bien parti pour lécher la moule de sa mère pendant des heures sans s'arrêter.

[Reine Alice Korvander]

Hitomi et Atsuya avaient enfin franchi le pas. Elle venait de boire le sperme de son fils, de le faire juter dans sa bouche. Impossible de reculer, désormais… Et Hitomi n’en ressentit d’ailleurs l’envie à aucun moment. Son cœur battait follement la chamade. Ses sous-vêtements étaient très classiques, consistant en un soutien-gorge rose pâle à dentelle, avec une culotte. Son fils méritait mieux, il méritait des tenues bien plus élégantes et raffinées. Elle savait qu’il aurait de gros besoins, car c’était un trait génétique propre à sa famille. Quelque chose que son mari n’avait jamais pu comprendre, et, sur ce point, Hitomi était ravie de voir qu’Atsuya avait hérité d’elle, de son patrimoine génétique. Debout devant lui, elle considérait son fils avec dévotion et amour. Rien n’était plus important que lui, rien n’était plus précieux. Hitomi avait sacrifié sa vie pour son Roi, et elle était prête à mourir pour lui. Et elle aurait dû le laisser passer les moments les plus importants de son existence, la découverte de la sexualité, avec de parfaites inconnues ? Cette seule idée effrayait Hitomi, et la rendait furieuse. Seule une mère irresponsable pouvait se permettre de faire ça !

Atsuya, comme fasciné par ses seins, se rapprocha. Hitomi se pinça les lèvres en caressant son visage. Elle l’enlaça contre elle, le caressant doucement, et l’embrassa doucement. Elle déposa un baiser sur ses cheveux, avant de lui parler :

« Notre famille a toujours été réputée pour sa vigueur sexuelle, Atsuya-chan. Et tu n’y fais pas exception. J’ai pu craindre pendant un temps que le patrimoine génétique de ton géniteur t’ait affaibli, mais tu es bien mon fils, mon fils adoré, que j’aime plus que tout au monde… »

Hitomi le laissa se frotter à elle, puis le vit ensuite s’attaquer à son soutien-gorge. Il le jeta au sol, et Hitomi frémit en voyant les yeux de son fils luire d’un désir sauvage, d’une envie furieuse de la prendre, et il posa ses lèvres sur l’un de ses seins, et les referma sur son téton.. Puis pompa alors. Hitomi gémit doucement en pressant ses mains sur son corps. Ses doigts se crispèrent sur ses cheveux, et elle gémit encore, soupirant longuement. Hitomi avait de gros seins, mais ils étaient aussi très sensibles, ce qu’Atsuya put constater en se pressant ainsi contre elle. Il tétait donc, et, si Hitomi avait été e mesure de produire du lait, il aurait pu se régaler. Autant dire que c’était un tort qu’elle comptait réparer, car elle le sentait se presser encore, tétant longuement, sans se lasser.

Dans l’esprit d’Hitomi, il devint évident que son fils aurait droit chaque matin à sa tétée, et prendrait des forces. En sentant sa grosse queue sur son ventre, Hitomi se remit à mouiller en s’imaginant le masturber doucement pendant qu’il tétait son sein sur de longues minutes, avalant goulûment le bon lait maternel. Elle gémit ensuite quand la main d’Atsuya se posa sur son cul, venant se crisper sur l’une des fesses. Le corps d’Hitomi se roidit sur place, et elle se mit à trembler, se pinçant nerveusement les lèvres, soupirant encore, mouillant à nouveau. La verge de son fils tapait doucement contre son ventre, ce qui, pour être honnête, était une situation des plus excitantes.

« A-Atsuya-chan… »

Elle ne pouvait guère que le laisser faire, gémissant longuement à ce contact, sentant la rougeur lui monter aux joues. Tant d’assurance, tant de force… Son fils était en train de devenir un homme, et il le devait grâce à elle, à elle, et à tout ce qu’elle faisait pour lui !

Après plusieurs minutes, Atsuya s’agenouilla devant elle, et enfonça son nez contre le tissu de sa culotte, la faisant remonter. Hitomi s’en pinça les lèvres, et lui sourit ensuite, retournant caresser ses cheveux :

« Comment pourrais-je ne pas aimer, mon chéri ? Tu es si doué, mon amour… »

Il défit sa culotte, et put voir qu’Hitomi s’entretenait bien, car elle était parfaitement épilée, lui présentant de délicates lèvres intimes, une fleur légèrement humide. Obéissant à son homme, elle s’assit sur le fauteuil, et le vit se rapprocher. Lui aussi était nu, magnifique homme dominateur, un véritable grizzly de puissance. Elle se pinça donc les lèvres, et il s’agenouilla devant elle, venant lécher son sexe. Atsuya ne la pénétra pas encore, mais écarta ses cuisses. Sa main retourna se crisper sur les cheveux d’Atsuya, et il la lécha ensuite. Elle gémit, recommençant à mouiller, gorgeant sa bouche de sa mouille, et se dandina doucement sur place.

Atsuya compensait son manque d’expérience par sa passion, et par son envie terrible d’honorer convenablement sa mère. Elle gémissait donc, et, tout en serrant ses cheveux, vint masser l’un de ses seins, pinçant le téton, celui-là même qu’Atsuya avait tété pendant de nombreuses minutes.

« A-Atsuya-chan, haaa… Oh, Atsuya, mon Atsuyaaa, haaaa… Encore, mon chéri, hmm… Lèche plus profondément, lèche bien ! »

En d’autres circonstances, elle le formerait, mais… En ce moment, Hitomi n’était pas vraiment en état de réfléchir, elle subissait juste un plaisir immense. Hitomi gémit à nouveau, et Atsuya continua à la lécher.

Il fallut bien un bon quart d’heure avant que le corps d’Hitomi ne s’effondre à nouveau, et qu’elle ne jouisse tout contre le visage d’Atsuya, le tout dans de profonds soupirs et des hurlements de plaisir…

[Chloé Faure]

Atsuya était à ce moment le jeune homme le plus heureux de la Terre. Il avait craint que sa mère ne le rejette, vu à quel point les relations incestueuses étaient universellement reconnues comme un tabou à ne pas franchir, qu'elle le considère comme un dégénéré et le renie, mais c'était l'exact opposé qui s'était produit, et maintenant, ils s'offraient l'un à l'autre enfin.

Hmmmm...M'man t'es si bonne...Slllllllrp...

La jeune homme suivait les désirs de sa mère, et lui léchait avidement et profondément la chatte. Elle mouillait beaucoup, crispait ses doigts sur ses cheveux, et gémissait tellement de plaisir que c'en était enivrant, Atsuya aurait réellement pu rester ainsi pendant de longues heures. Le visage fourré entre les cuisses chaudes de sa mère, à lécher sa moule parfaitement épilée et entretenue, ce même endroit d'où il avait vu le jour des années auparavant...ce qui pour lui n'ajoutait qu'encore d'avantage d'excitation ! Maintenant que sa mère était complètement nue elle aussi, Atsuya avait bien vite sentit sa queue se dresser à nouveau à son plein potentiel, longue, et très dure. Il aurait sans aucun doute pu la pénétrer maintenant si il s'était écouté, mais en tant que fils attentionné, il était attentif également aux désirs d'Hitomi, et sentit bien que ce cunnilingus était quelque chose qu'elle appréciait.
Oh oui, il allait la faire jouir comme ça. Le jeune homme se régalait de plus de sa mouille abondante, furieusement excité par ce nectar intime qui s'échappait de la chatte de sa propre mère, une preuve indiscutable qu'elle était très excitée par l'idée de s'accoupler avec lui. De plus, ainsi positionné, dans ce cocon que formaient les cuisses de sa mère autour de son visage, Atsuya sentait aisément son imagination débordante s'emballer. Il se voyait déjà tous les scénarios qu'il pourrait faire avec Hitomi, toutes les positions dans laquelle il pourrait la baiser, toutes les pièces et les lieux de la maison qu'ils pourraient utiliser, et même en dehors. Son esprit vagabonda ainsi pendant un bon moment, le tout en continuant de lécher la chatte d'Hitomi, alternant entre coups de langue sur son clitoris, et périodes où il allait enfoncer sa langue le plus profondément possible dans son intimité, pour récupérer sa cyprine à la source, et s'en abreuver.
Mais, au bout d'un moment, il sentit les gémissements de sa mère se faire plus intenses, sa prise sur ses cheveux se faire plus serrée, et il la sentait aussi de crisper de plus en plus. Un coup de foudre sembla le traverser, durcissant encore sa bite, en se rendant compte qu'il était sur le point de la faire jouir, et il accéléra alors dans sa tâche, jusqu'à ce qu'enfin Hitomi ne se relâche contre lui.
En bon fils, il resta surplace pour receuillir la jouissance de sa mère, dont la cyprine lui mâcula le bas de son visage, alors qu'il remuait frénétiquement sa langue en elle pour l'accompagner, jusqu'à ce qu'elle se détende à nouveau. Il la laissa se détendre, en profitant pour lui lécher encore un peu la moule, avant de se retirer.

Wow Maman...t'a joui très fort.

Il était évident qu'il en tirait une certaine fierté, puis après avoir regardé, l'espace de quelques secondes les lèvres intimes luisantes de sa mère, le jeune homme se redressa.

M'man...

Là, il ne pouvait en revanche plus se retenir, pas après ce long cunni', vu comment il bandait très fort. Il se rapprocha se ma mère, et la fit s'allonger de tout son long sur le canapé...et la rejoignit. Atsuya s'allongea, nu, sur sa mère qui l'était tout autant, et avec la respiration saccadée, lui écarta les cuisses pour pouvoir avancer son bassin. Hitomi pouvait alors sentir la bite dure de son enfant frotter contre l'intérieur de ses cuisses, se rapprochant de plus en plus de son intimité alors qu'il en cherchait le chemin. Il tâtona un peu, hésitant, inexpérimenté, mais le bout de sa queue finit tout de même par trouver cette entrée humide et douce qu'il cherchait avidement.
Et sans plus de cérémonie, Atsuya avança son bassin, et s'enfonça de tout son long dans sa mère.

Ooooooh Maman...Oh ouais c'est...c'est si bon en toi ! Hum !

Impatient, Atsuya commença bien vite à remuer son bassin, tout en s'allongeant pleinement sur Hitomi, qu'il écrasait de son poids. Il la bourrait comme le petit vierge impatient qu'il était, et nul doute qu'il n'allait pas tenir très longtemps pour sa première fois, avant de juter dans la chatte d'Hitomi...mais avec sa vigueur naturelle, ça ne serait sans doute que le premier round d'une longue série.

[Reine Alice Korvander]

Hitomi ne vivait que pour son fils, que pour Atsuya-chan. Elle l’aimait plus que tout, plus que sa propre vie. Elle avait déjà décidé de renoncer à toute autre vie qu’aider son fils, que l’aider à surmonter le divorce. Le Japon n’était pas comme les États-Unis ou le reste des Occidentaux. Ici, au Japon, les femmes divorçaient très rarement, et elles étaient toujours très mal vues. De fait, dans son métier, Hitomi était régulièrement invitée à rejoindre l’agence matrimoniale du boulot, afin de se marier. Mais elle était incapable de ramener un autre homme à la maison… Surtout maintenant, maintenant qu’Atusya-chan venait de la faire jouir en la léchant.

Sa main se crispa sur ses beaux cheveux, et elle jouit contre son visage.

« Oh, mon fils, mon beau petit fils… »

Hitomi-chan s’abandonna avec plaisir, et se mordilla les lèvres. Elle soupira encore, les joues rougies par le plaisir, et Atsuya-chan se redressa alors. Hitomi sentit sa verge frotter contre ses cuisses, le jeune homme se relevant encore. Son ventre rebondi caressa ses hanches, et la main de sa mère glissa sur ses cheveux, jouant dessus. Elle se pinça les lèvres en le regardant, et vit son regard empreint de désir, son corps tendu et excité.

Sa queue caressa ses lèvres intimes, et elle soupira, sans rien dire. Tout son corps trembla à l’idée de ce qui allait suivre. Elle ne voulait pas le perturber, et maintint sa main sur sa nuque, son autre main se relevant. Elle écarta doucement ses jambes, et sentit les testicules d’Atsuya sur son sexe, puis le sentit remuer encore, afin de positionner sa verge. Son autre main se posa sur ses fesses, et elle malaxa doucement son cul, le pressant lentement…

…Puis Atsuya-chan s’avança en elle, et elle gémit. Ses lèvres se serrèrent, et elle gémit quand il la pénétra.

« Haaann… A-Atsuya-chaann… »

La main d’Atsuya se serra sur les fesses potelées de son fils, et elle sentit le ventre de ce dernier heurter le sien, s’enfonçant sur sa peau. Elle gémit à nouveau, et sentit son corps heurter le sien. Sa masse s’écrasa sur la sienne, et elle gémit à nouveau, sentant sa verge s’enfoncer. Atsuya en ferma les yeux, soupirant encore, écarquillant silencieusement les lèvres, retenant ensuite son soupir en mordillant sa lèvre inférieure. Atsuya soupirait longuement en s’enfonçant en elle… Et accéléra ensuite subitement, soulevant et abaissant son estomac, donnant d’épais coups de reins à la jeune femme.

Hitomi couina encore, et ses mains se serrèrent à nouveau. Atsuya était en chaleur, et elle sentit vite la sueur suinter de ses cheveux, tout comme du reste de son corps. Son gros ventre écrasait le sien, et Atsuya adorait tout simplement ça… Cette délectable sensation d’écrasement, ce sentiment exquis d’étouffement sexuel… Il accéléra alors, très nerveux, grognant sur place.

*Tant de fougue, tant d’énergie… Et dire que c’est sa première fois ! Sa première fois… Pour moi…*

Hitomi en était si émue que des larmes en coulèrent discrètement sur ses joues. Grognant contre elle, Atsuya-chan se mit à jouir rapidement, et elle le sentit avec plaisir s’abandonner profondément en elle. Sa main le maintint ensuite contre sa poitrine, et elle soupira lentement face à lui.

« Mon beau petit taureau… Je t’aime, mon Atsuya-chan, et je mourrai pour toi. Demande-moi tout ce que tu veux, et je le ferai. Tous tes fantasmes, tous tes désirs… Je ne vis que pour toi, tu es le seul but de mon existence, mon amour. »

Un nouveau sourire perla sur ses lèvres, et elle continua à lui caresser les cheveux.

« Je ne me suis jamais rapprochée d’un autre homme après mon divorce, tu sais, Atsuya-chan… Car, au fond de moi, je sais que tu as toujours été le seul homme. Je ne veux pas que tu me quittes, Atsuya-chan, jamais. Je ferai tout pour que tu réussisses tes études, quitte à être ta petite salope personnelle… »

Tout pour lui, oui, absolument tout, tout !