Samara était en train de lui offrir un magnifique cadeau, la perspective, pour Sya, de la pénétrer. Qui aurait cru, en entrant ici, que les choses auraient pu aller si loin ? L’Archimage avait trouvé une perle rare, et, pour ça, elle ne pouvait que remercier Mélinda. Comme toujours, la vampire avait un talent presque unique pour trouver des filles d’une qualité exceptionnelle. Car exceptionnelle, c’était bien là tout ce que Sya était. Une Ange comme on en faisait rarement, belle, infiniment perverse, terriblement sensuelle... Bref, elle avait toutes les qualités du monde, et Samara était sincèrement heureuse de l’avoir, si bien qu’elle lui avait même proposé de la rejoindre. C’était une offre particulièrement précieuse, car Samara, contrairement à Mélinda, n’administrait pas un harem, et avait fort peu d’esclaves chez elle. Elle n’invitait donc en son sein que la crème de la crème, et, pour l’heure, mis à part elle et Sya, son logis ne comprenait guère que Kazuha et Magdalia, sa doucereuse et énergique petite fée. Sya avait toutes les chances au monde d’être la troisième personne à être invitée à séjourner chez la démone.
Pour l’heure, la belle Sya se dressait au-dessus d’elle. Plus petite que Samara, ses pieds s’arrêtaient à hauteur de ses chevilles, et son visage dans une zone située de ses seins à son cou. Elle était terriblement mignonne ainsi, et la main gantée de Samara ne tarda pas à se relever, venant caresser son visage, glissant sur sa peau, une peau chaude, douce, en sueur, tirant sur quelques mèches de cheveux, son autre main venant se poser dans le creux de son dos.
« Viens... » glissa-t-elle simplement.
Et elle vint. Dans un délicieux petit couinement, Sya abattit son corps sur celui de sa « mère », qui avança la main posée sur son visage, pour la poser sur sa nuque, descendant pendant ce temps son autre main pour la poser sur l’une des fesses de Sya. Un frémissement traversa tout le corps de Samara, pendant qu’elle sentait la verge de l’Ange se perdre progressivement en elle, la faisant profondément soupirer. Des gémissements de plaisir s’échappèrent de ses lèvres, tandis qu’elle aidait Sya à maintenir sa belle petite tête contre ses seins, et à la pénétrer.
Le plaisir affluait dans le corps de Samara, la verge de Sya semblant se mettre à enfler davantage dans son organisme. Elle la pénétrait, avec force, avec énergie, avec envie, et... Et c’était magnifique à voir et à sentir. Samara pressait le corps de Sya contre le sien, tout en se tortillant sur le lit, acceptant les mouvements rapides et nerveux de l’Angelotte. Elle s’évertuait à lui faire le plus grand bien, à satisfaire autant que possible sa « Maman », et c’était un comportement que Samara ne pouvait qu’approuver.
Sa main se crispait sur son fessier, et elle continuait à profondément soupirer, gémissant de plaisir.
« Oui, oui, ma chérie, haaa... Soulage-toi en... En moi, haaaaann... »
Pourquoi serait-elle contre ? Sentir l’orgasme de sa chérie en elle, c’était une chose magnifique. Ah, depuis combien de temps est-ce qu’elles se faisaient l’amour, ici ? Elles y avaient été tout doucement, au début, et, maintenant, c’était comme une infernale spirale de sexe, où les deux beautés s’enfonçaient de plus en plus profondément dans les couches du stupre et de la lubricité, comme pour ne plus jamais en ressortir.
Jusqu’où iraient-elles comme ça ?
Pour l’heure, la belle Sya se dressait au-dessus d’elle. Plus petite que Samara, ses pieds s’arrêtaient à hauteur de ses chevilles, et son visage dans une zone située de ses seins à son cou. Elle était terriblement mignonne ainsi, et la main gantée de Samara ne tarda pas à se relever, venant caresser son visage, glissant sur sa peau, une peau chaude, douce, en sueur, tirant sur quelques mèches de cheveux, son autre main venant se poser dans le creux de son dos.
« Viens... » glissa-t-elle simplement.
Et elle vint. Dans un délicieux petit couinement, Sya abattit son corps sur celui de sa « mère », qui avança la main posée sur son visage, pour la poser sur sa nuque, descendant pendant ce temps son autre main pour la poser sur l’une des fesses de Sya. Un frémissement traversa tout le corps de Samara, pendant qu’elle sentait la verge de l’Ange se perdre progressivement en elle, la faisant profondément soupirer. Des gémissements de plaisir s’échappèrent de ses lèvres, tandis qu’elle aidait Sya à maintenir sa belle petite tête contre ses seins, et à la pénétrer.
Le plaisir affluait dans le corps de Samara, la verge de Sya semblant se mettre à enfler davantage dans son organisme. Elle la pénétrait, avec force, avec énergie, avec envie, et... Et c’était magnifique à voir et à sentir. Samara pressait le corps de Sya contre le sien, tout en se tortillant sur le lit, acceptant les mouvements rapides et nerveux de l’Angelotte. Elle s’évertuait à lui faire le plus grand bien, à satisfaire autant que possible sa « Maman », et c’était un comportement que Samara ne pouvait qu’approuver.
Sa main se crispait sur son fessier, et elle continuait à profondément soupirer, gémissant de plaisir.
« Oui, oui, ma chérie, haaa... Soulage-toi en... En moi, haaaaann... »
Pourquoi serait-elle contre ? Sentir l’orgasme de sa chérie en elle, c’était une chose magnifique. Ah, depuis combien de temps est-ce qu’elles se faisaient l’amour, ici ? Elles y avaient été tout doucement, au début, et, maintenant, c’était comme une infernale spirale de sexe, où les deux beautés s’enfonçaient de plus en plus profondément dans les couches du stupre et de la lubricité, comme pour ne plus jamais en ressortir.
Jusqu’où iraient-elles comme ça ?