The Multiversity

Stationné au port intérieur de la colonie de Nachtheim, non loin de Bivotopia, les nombreux navires servant au ravitaillement de la colonie mais aussi à l'export des matériaux qu'ils récupéraient se trouvaient là. C'était un endroit un peu sommaire, avec des navires imposants uniquement accessibles par des embarcations plus petites, et une marina comprenant des vaisseaux de taille ne dépassant que rarement les 15m d'envergeure. L'un d'eux attendait aux abords d'un ponton en bois flottant. Son profil ressemblait vaguement à une Protée, avec une verrière large et épaisse. Son entrée s'effectuant par le dessus, il n'y avait guère plus que le haut du crâne de la créature de métal qui émergeait, avec une échelle menant à cette écoutille ronde et pour l'instant ouverte. Se dégageait de cette ouverture de la musique avec encore le volume assez bas. une oreille attentive aurait reconnu les quelques morceaux pro inferis qu'avait composé le Ministère de la Propagande pour Theorem. Dans le cockpit de l'appareil, installé au fauteuil de pilotage avec les pieds sur la console, Akimbo lisait tranquillement un magazine infernois avant de se redresser quand il entendit le bruit caractéristique de quelqu'un montant à bord. Comme il ne s'était attendu qu'à un visiteur en particulier, il baissa le son avant de se redresser. Le cockpit était probablement la pièce la plus spacieuse. Elle devenait plus étroite vers l'avant, avec sa verrière inclinée et ses consoles d'un autre âge. Le grand fauteuil en cuir avait aussi connu des jours meilleurs. Le plafond était assez bas, longé de câbles et de tuyaux en tout genre dont certains attestaient de réparations de fortune qui tenait malgré tout. L'échelle centrale amenant à l'intérieur se trouvait au centre de tout ça, avec opposé à la verrière, le sas étanche menant au reste de l'appareil, une kitchenette tout de suite à droite en tournant. Elle avait cette fameuse organisation minimaliste et réduite, avec une banquette unique en cercle et sa table ronde au centre. Le côté gauche était d'avantage des zones de vie fonctionnelles, des placards sécurisés et des appareils intégrés à l'infrastructure. Il restait une cloison plus mince avec des portes pour mener totalement à l'avant, mais étant ouvertes, ça rendait l'endroit encore plus spacieux. L'Arpenteur s'approcha de Chengzu avant de faire le salut de la Marine.

"Bienvenue à bord du Proteus, Maître Chengzu. J'ai reçu de Theorem que vous vouliez me parler... Je vous sert une boisson ou quelque chose ?"

A peine avait-il terminé sa phrase qu'il se dirigeait déjà vers un placard réfrigéré pour sortir deux soda Nachtwurzel Spicy. Visiblement Akimbo savait recevoir et voulait avant tout partir sur de bonnes bases pour taire les animosités. Il s'installa dans la banquette en C avant de faire signe à Chengzu de s'installer à côté.

"Vous savez, je n'ai pas eu beaucoup d'officiels dans mon bâtiment... J'ai l'habitude de travailler seul. Parfois Rita, ma fille adoptive, me donne un coup de main, mais là elle est à l'école maritime. Bref, Theorem m'a dit que vous vouliez aborder un sujet important avec moi et ici la discrétion sera maximale."

Il appuya sur plusieurs commandes de son ordinateur d'avant-bras intégré à sa combinaison avant que l'écoutille du plafond ne se verrouille et que le Proteus s'immerge. Ainsi, seuls dans cette coquille de métal, personne ne pourrait les déranger. Dans l'eau ténébreuse du canyon noyé, personne ne les entendrait...

"Pas de panique, tout est sécurisé, le Proteus est ma maison... Il saura vous protéger de tout. Je vous écoute."

Chengzu embrassa une dernière fois Malaurie tout en caressant ses fesses. Avec son bodycon violet en latex, la jeune femme avait une tenue outrageusement provocante, et beaucoup de gens qui passaient par là n’hésitaient pas à la reluquer. Jadis, cela aurait pu la choquer, mais elle était maintenant sienne, et en pèlerinage pour devenir une Von Nacht. Chengzu et Ishtar lui en avaient fait la promesse, à condition que Malaurie démontre sa dévotion et sa perversité. Elle devait donc accomplir les ordres pervers de Chengzu ou d’Ishtar, et Chengzu avait un ordre supplémentaire à lui donner.

« J’y suis, Malaurie… Tu vois cette auberge à côté ? C’est là que la plupart des marins se rendent… Aujourd’hui, il y a tout un équipage de marins qui viennent vendre des fruits et de la nourriture en échange de latex. Je risque d’en avoir pour longtemps avec Akimbo, alors… Je veux que tu ailles dans cette auberge, et que tu t’offres à tous ces hommes. Tu devras tous les épuiser sexuellement. Ce sont des hommes affamés, qui ont voyagé pendant des semaines, et qui ont payé pour qu’on leur offre des prostituées. Habituellement, il en faut au moins six pour eux tous. Alors, à toid e me prouver que tu en vaux la chandelle. »

Il y a encore quelques mois, de telles propositions auraient sans aucun doute effrayé Malaurie… Mais Chengzu l’avait bien formé, et avait pris grand plaisir à la corrompre sexuellement, à effacer en elle toute trace d’innocence sexuelle. Elle avait dominé Theorem, elle avait dominé Alice, ils avaient couché tous les trois ensemble, et il jouait un peu sur la jalousie de Malaurie, son envie d’être sa favorite qui l’amenait à accomplir tous ses désirs. Elle acquiesça donc, et fila, non sans un dernier et langoureux baiser. Chengzu dut résister à l’envie de la suivre dans cette auberge, pour se concentrer sur le ponton. Face à lui, il y avait le submersible d’Akimbo. Si Ishtar avait imposé ses conditions à Malaurie, elle avait aussi imposé à Chengzu de se rapprocher d’Akimbo, et de mettre fin à leur querelle. Ishtar n’avait pas oublié la crise de jalousie de Chengzu lors de leur mariage, et elle ne voulait pas que cela se reproduise. Chengzu n’avait pu qu’acquiescer, et avait donc décidé de prendre rendez-vous avec Akimbo.

L’homme rejoignit donc l’intérieur de son sous-marin, et salua l’homme, avant de rejoindre son salon, dans le cockpit. Depuis les grandes baies vitrées, il pouvait voir les fonds de Nachtheim, et attrapa une boisson, tout en s’asseyant à côté de l’homme.

« Ishtar et moi sommes en train de constituer un clan vampirique… Nous avons été transformés par les bienfaits de Mélinda Warren, mais nous formons une parenthèse au sein de son clan. Notre clan, notre famille, les Von Nacht, se doit d’intégrer ceux qui sont proches de nous. »

Chengzu poursuivit ensuite :

« Je tenais aussi à vous présenter mes plus sincères excuses… Pour la manière dont j’ai agi lors du notre mariage. Je n’aurai pas dû faire ça. J’ai mis du temps à comprendre… La vraie nature de ma condition vampirique, et ce que cela impliquait. Je sais que vous êtes proche… Ou que tu es proche de Theorem. Ce lien, Ishtar t’a laissé le créer, mais elle ne souhaite pas de dissensions au sein de notre famille. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de ravaler ma fierté, et de venir ici, devant toi… Pour te dire que j’étais désolé de ce qui s’était passé. »

L'Arpenteur reçus des excuses... Elle étaient inattendus, mais appréciées. En vrai, c'était surtout que l'humain amélioré ne voulait pas subir le courroux des von Nacht. Depuis cet incident, il n'avait vu Theorem qu'en temps que "travailleur" et pas vraiment par pur plaisir. Enfin si, le plaisir avait toujours été au rendez-vous, mais pas sans compensation financière. D'entendre de la bouche de Chengzu qu'il acceptait de mettre de l'eau dans son vin, c'était un vrai régal. En plus il ne pouvait pas se mentir, il trouvait Chen très attirant et beau.

"Hé bien, voila quelque chose d'inattendu... Moi qui pensait qu'on allait parler boulot ! Ca me fait plaisir et j'accepte ces excuses. Après si ça peut te rassurer, même si j'ai une énorme attirance pour Theorem, j'ai conscience qu'on est pas du même monde. Je suis un batelier, un arpenteur de ces terres étranges... Et parfois un contre-bandier mais pour le bien de la famille von Nacht... D'ailleurs je suis là parce que je viens de transférer une palette de beurre de cacahuète pour l'Amirale Ishtar... la prochaine fois que vous faites des jeux coquins, je suis certains que ça la rendrait folle de désir !"

Il sourit en avalant une gorgée de soda. Puis il se leva, faisant signe à Chengzu de le suivre pour marcher dans les coursives du sous-marin. Passant le petit salon, il alla vers l'arrière de la partie avant, ouvrant sur un couloir étroit et métallique, bordant des couchettes dans un renfoncement du mur, et une parois plus grande où il y avait une porte. L'ouvrant, il donna sur ses quartiers, la cabine du capitaine...

"Tu sais, Chengzu... Je n'ai jamais désiré attirer ta jalousie ou ta colère... J'envie votre famille, votre race, votre nature animale... J'ai perfectionné mon corps pour avoir des attributs de créature marine, mais jamais vous nuire..."

Il déposa sa bouteille dans un socle prévu pour accueillir une bouteille et éviter sa chute. La cabine avait un bureau avec un gros ordinateur faisant presque corps avec ce dernier, et une chaise liée à un bras au mur. Tout était conçu pour ne pas bouger dans les mouvements du submersible. Le lit était plus épais, plus large que ceux des petites cabines. Akimbo avait visiblement décoré l'intérieur à la sauce infernoise. Draps en latex, plusieurs produits à l'usage sexuel, du mobilier massif et métallique... Mais il y avait aussi des posters de Theorem en musicien, de pages de lui dans les revues porno où il figurait, mais quelques autres modèles infernois. Même s'il était contractuel, on pouvait comprendre qu'il s'était très bien adapté à ce mode de vie. Une armoire comprenait différents objets provenant de ses missions... Il y avait même un chapeau de cow boy accroché dans un coin... Mais aussi une belle collection de pistolets en tout genre et de toutes origines.

"Je n'ai pas amené grand monde dans cette cabine, Chengzu... Mais si tu veux qu'on soit proche, autant te faire venir ici... C'est mon antre. Depuis que j'ai ce navire je l'ai meublé et équipé en fonction. Et toi, Chengzu, bel éphèbe à la chevelure bleue... Je suis content de t'accueillir ici."

Il retira son casque de passion, révélant son visage équipé de lunettes et possédant une queue de cheval noire. Akimbo s'approcha un peu de lui, touchant un peu sa tenue de latex.

"Tu es vraiment doué... J'ai acheté quelques unes de tes tenues tu sais ?... Si on pouvait être amis, ce serait super, mais on pourrait être... un peu plus ?..."

Dit-il en faisant doucement descendre sa voix, attendant soit un refus, soit un aval... Dans tous les cas, Akimbo était prêt à entendre l'un ou l'autre... Qui ne tente rien n'a rien...

Chengzu ne put s’empêcher de sourire quand Akimbo fit observer qu’ils n’étaient pas du même monde.

« Techniquement, je suis un gantier, moi aussi… Je ne suis pas né noble. »

Il se rappelait encore, avec une certaine honte, de sa jalousie, du fait qu’il avait blessé la Princesse de Sylvandell, une invitée très estimée ici, et l’une de ses meilleures clientes. Ishtar lui avait donc imposé de pardonner avec Akimbo, d’enterrer la hache de guerre, et de mettre fin à ce conflit absurde. Chengzu devait bien reconnaître que sa femme avait eu raison. Akimbo n’était pas méfiant envers lui, ni revanchard, et invita Chengzu à le suivre. Il obtempéra donc, et le duo se retrouva dans la chambre d’Akimbo, une capitaine élégante et confortable, quoique un peu étriquée. Cela rappelait à Chengzu son passé, quand il vivait dans sa caravane. Maintenant, il avait pris goût aux chambres fastes et immenses. Il vit les posters de Theorem, notant la fascination sincère de cet homme pour son époux. Chengzu frémit doucement, et Akimbo se retourna ensuite vers lui. Ils étaient tout d’un coup très proches l’un de l’autre, et Chengzu laissa l’homme caresser son torse.

Chengzu sourit alors.

« Amis ? Ce serait effectivement un bon début… Mais, vu notre passion commune pour le même homme, il va falloir que nous soyons un peu plus. Et, pour être honnête… Sans ton heaume, tu es moins inquiétant. »

Avant qu’Akimbo ne puisse dire quoi que ce soit, Chengzu l’embrassa soudain, serrant ses mains sur les hanches de l’homme, et pressa son corps contre le sien. Akimbo put sentir une bosse gonfler entre les cuisses de Chengzu. Le baiser dura un peu, et les mains de Chengzu décidèrent, venant palper les fesses de son partenaire. Il poussa alors un peu, les rapprochant du lit.

« Sois mon amant, Akimbo… La prochaine fois que tu iras baiser Theorem, je veux le faire avec toi… Qu’il comprenne qu’il n’a aucune vie sans moi. »

Il sourit alors, malicieusement…

Le baiser fut soudain, mais l'Arpenteur pouvait très bien sentir la passion de son partenaire. Il put même sentir les mains du gantier sur ses hanches, venant palper son postérieur. Le latex de leurs tenues respectives grincèrent comme jamais alors que leurs érections respectives se dessinaient dans la matière constrictive et brillante. Akimbo n'aurait jamais refusé un baiser du bélier... C'était un si beau garçon au physique de rêve... Il aurait été idiot de refuser un moment intime avec lui maintenant qu'ils y étaient. Ses mains explorèrent le corps puissant de Chengzu, passant sur son uniforme avec délectation avant de doucement mettre fin à ce baiser.

"J'ai bien envie d'être ton amant aussi, Chengzu..."

Il l'embrassa à nouveau mais ce baiser fut un peu plus court... Le cyber-poisson et le bélier bleu partageaient la même passion du latex. C'est donc tout naturellement qu'il se déplaça vers le coin "habillage" pour lui montrer son placard remplit de latex. Depuis qu'il vivait à Inferis, il avait accumulé beaucoup de tenues dans cette matière noire et extensible. Si bien que ses vêtements civils "normaux" n'occupaient qu'une place très réduite désormais. Tranquillement, il sortit un chaps et son haut cumulant latex et résille.

"J'ai sentit que tu portait ta combi chaps sous ton uniforme... J'adorerais le faire avec toi pendant que tu portes cette mythique tenue dans laquelle tu as soumis Theorem à toi..."

Sans gêne, il commença à enlever sa tenue de viper fish. Cela demandait quand même une certaine dextérité pour retirer cette sorte de combinaison de plongée cybernétique et son armure en polymère. Tout termina plié ou posé sur un mannequin, dont son casque et son armure. Le corps d'Akimbo avait également des muscles dessinés, quelques traces de la vie de tout les jours, mais il était surtout parfaitement imberbe du nez jusqu'aux orteils. Il garda néanmoins une queue mécanique cybernétisée de poisson qui sortait d'au dessus de ses fesses. Visiblement elle avait été greffée par un cyber-docteur et c'était très bien fait... Ses oreilles recevaient toujours une augmentation cybernétique avec ses lunettes connectées. Même si Akimbo n'avait jamais trop discuté de ses changements physiques et qu'il restait fondamentalement humain, ces augmentations cybernétiques étaient définitives pour ce qui était de ses oreilles et de sa queue... Cependant il le vivait très bien. Il termina d'enfiler son chaps et son haut en latex serré qui moulait sa musculature avant de se tourner vers Chengzu.

"J'ai très envie... de te voir te masturber... Tu serais ok pour commencer par ça... ?"

Un peu de voyeurisme pour se mettre dans l'ambiance... C'était toujours délicieux...

Chengzu l’embrassa, et Akimbo accueillit ce baiser. Visiblement, lui aussi avait envie de se rapprocher plus intimement de Chengzu. Theorem avait permis de les rapprocher, et l’homme-bélier sourit doucement quand Akimbo commenta le fait qu’il portait son chaps. Ce pantalon si particulier, qui couvrait tout ce qu’il fallait à l’exception des zones intimes, était effectivement quelque chose qu’il portait fréquemment. Cela simplifiait beaucoup les choses quand il voulait faire des quickies avec Malaurie ou Theorem… Il n’avait qu’à légèrement retirer sa tunique, et partait à l’assaut. Sa verge, elle, était bien dressée. Son sexe ne mentait pas sur ce qu’il ressentait, et Akimbo, sans gêne, se déshabilla devant Chengzu. Il prit son temps, ne laissant que ses implants cybernétiques, à hauteur du bas de son dos et de ses oreilles. Il avait une queue et des oreilles de poisson. Il devait sans doute être difficile de les retirer. Chengzu ne s’en formalisa pas, admirant ce corps très agréable. Imberbe, comme il s’y attendait. Les poils n’étaient pas très en vue à Inferis, et cela valait aussi pour Nachtheim.

Akimbo termina en mettant son pantalon, puis se retourna vers Chengzu, qui avait retiré son manteau. Il défit également sa ceinture, libérant ainsi sa verge. Son sexe se dressa joyeusement, propre, assoiffé… Une tige de désir qui exprimait toute l’envie de l’homme. Akimbo l’observa, et lui demanda alors de se masturber.

« Tu veux faire durer les choses, hein ? Soit… Mais je n’aime pas gaspiller ma semence… Je punis Theorem à chaque fois qu’une goutte de mon sperme lui échappe… »

Il invita donc Akimbo à se mettre devant lui. Plus massif que Theorem, l’homme put néanmoins se positionner devant la verge de Chengzu, qui commença à se masturber. Sa main se posa sur sa hampe, et il remua d’avant en arrière, glissant dessus. Chengzu soupira doucement, sentant le désir croître en lui. La pièce ne fut plus rythmée que par les bruits flasques de sa main secouant sa verge, filant dessus d’avant en arrière.

« Tu… Tu aimes ce que tu vois, hein ? Motive-moi… Je suis curieux… Qu’est-ce que tu fais avec Theorem ? Dis-moi comment tu le fais hurler… »

Akimbo n'avait que rarement fait la chose avec un homme aussi large. Il était plus habitué aux petits gabarits, comme l'est Theorem. Mais là c'était autre chose. Il pouvait predre son regard sur ses abdos forts biens dessinés, sur ses pectoraux carrés et sur son beau visage presque androgyne. Sa longue chevelure bleutée, ses yeux dorés... Il avait jusqu'aux lèvres fines et se dégageait de lui une assurance et une beauté rare. L'humain augmenté se mordilla la lèvre inférieure en le regardant se masturber avec autant d'énergie. Pour l'aider dans son érection, le bélier lui demanda de décrire ce qu'il faisait d'ordinaire à Theorem. Pour s'érotiser lui-même, Akimbo se masturba doucement, caressant son propre chaps pendant qu'il le faisait comme si ça main cherchait cette texture.

"Dès que j'ai rencontré Theorem, j'ai de suite désirer faire un selfie avec lui alors qu'il tenait sa culotte entre les dents. J'ai adoré presser son corps exposé dans une tenue perverse de latex doré et transparent contre moi alors que j'était tout habillé. Mais il n'a pas flanché... Alors après cette photo, je lui ai fait vivre une très longue fellation. Je l'ai payé chère, 500Ke, mais ça en valait la peine. J'ai tellement ramoné sa gorge qu'il a brisé son chocker..."

Il était très chaud désormais, son pénis se tenait tout droit tout seul. Doucement, Akimbo vint se coller contre Chengzu. Il apposa sa verge contre celle du bélier et les enveloppa de sa main. Débuta alors une masturbation double. L'humain hésita, puis finalement embrassa le bélier en soupirant d'aise. C'était si agréable... Il se perdit un instant en caressant les cheveux de Chengzu avant de finalement se retirer. Il avait les joues toutes rouges et l'humain ne tarda pas à venir lui caresser ses oreilles douces de bélier.

"Je vous envie tellement... Vous les semi-humains... J'ai tellement fait d'efforts pour m'élever au rang de votre espèce. je sais que pour Ishtar je serais à jamais un humain... Mais j'espère que toi tu me vois comme un Same, un homme-poisson. J'ai enduré toutes ces améliorations cybernétiques... Je me suis taillé ce corps par mes efforts pour être à votre hauteur. Et toi, Chengzu, tu es un magnifique Hitsuji... Montre-moi ce que ta partie bélier sait faire..."

Un peu de provocation sexuelle, ça ne faisait pas de mal pour pimenter la chose. Akimbo ouvrit doucement un meuble à côté du lit, dévoilant préservatifs perlés, lubrifiants, jouets... Tout l'attirail du parfait sodomite.

"En échange, je te verrais ce qu'un Cyber-Same sait faire..."

Chengzu soupira doucement quand Akimbo lui parla de ce qu’il lui avait fait… À Theorem. Il savait qu’Akimbo était un client très particulier pour Theorem, et Chengzu en avait fait les frais. Se rapprocher d elui était indispensable pour pacifier sa relation avec Theorem. Face à face, il vit qu’Akimbo commençait également à se masturber. Dans ce sous-marin, ils étaient à l’étroit. Akimbo lui expliqua que son rêve était d’être un hybride, un homme-poisson. C’était pour ça qu’il s’était doté de ces implants cybernétiques, pour leur ressembler. Chengzu ne pouvait que trouver l’idée curieuse. Il était certes un homme-bélier, mais se voyait davantage comme un humain que comme un bélier, et ce a fortiori depuis qu’il était devenu un vampire… D’ailleurs, il ne se considérait même plus comme un humain ou comme un homme-bélier, mais d’abord et avant tout comme un vampire.

Akimbo lui demanda d’agir et s’écarta ensuite. Il ouvrit un meuble abritant des objets. Chengzu siffla doucement, ses canines se dressant, et se rapprocha alors. D’un pas, il franchit l’espace qui les sépara, et heurta le dos d’Akimbo. Sa main se déplaça pour saisir le sexe de l’homme, et il l’empoigna avec fermeté, secouant sa queue tout en l’embrassant dans le creux du cou. Il mordilla sa chair.

« Ton sang a l’air des plus puissant… Mais il n’est pas assez vigoureux, on va corriger ça… »

L’homme-bélier frissonna en caressant avec sa verge le fessier d’Akimbo.

« Theorem adore quand je la lui mets dans le cul, tu sais… Je me demande lequel de nous deux tiendra le plus avant de jouir… »

Chengzu traitait Akimbo comme un égal… Autant que faire se peut. La queue de poisson cybernétique dans le dos avait toutefois tendance à le gêner, car elle était plutôt grosse. Il ignorait toutefois s’il était possible de la retirer aisément ou non, et commença à titiller la porte arrière d’Akimbo avec son membre assoiffé. Chengzu frémit doucement, prêt à le pénétrer, à s’unir à lui…

Que dire de cette sensation de sentir la verge de quelqu'un sur son postérieur, bien dure et puissante ? Que dire du fait qu'un magnifique éphèbe à la peau nacrée et aux yeux d'or ainsi qu'aux cornes magnifiques, s'intéressait à vous ? Qu'ajouter à la douce anticipation des ultimes minutes avant de se faire finalement occuper l'arrière train d'une queue imposante ? Akimbo n'avait guère les mots, mais il ne s'était pas attendu à prendre un jour le sexe de Chengzu en lui. Oh, il n'en était pas à son premier coup d'essait. Il avait déjà essayé l'expérience avec quelques shemales d'Inferis... Et il avait déjà imaginé et fantasmé à propos d'Ishtar. Néanmoins elle semblait inaccessible en comparaison à Chengzu... Mais cette vie semblait tout doucement à portée de main. Devant l'imminence, le cyber-same récupéra le gel lubrifiant proche de lui pour en étaler une généreuse noisette sur son rectum. Il avait toujours regretté que le sexe anal ne s'auto-lubrifiait pas, mais il allait s'offrir du bon temps... Ca y est, c'était le moment... Akimbo répondit à un réflexe instinctif de retenir sa respiration mais se retourna soudainement pour embrasser Chengzu. Il ne se retourna pas complètement bien sûr, juste sa tête pour savourer les lèvres de son amant, passant un de ses bras en arrière pour venir caresser sa chevelure de glace. Puis enfin...

"Aah.. ahh..."

Le sexe turgescent de son amant poussa sur son anneau intime. Le lubrifiant rendit l'acte bien plus facile, même si le calibre du bélier lui imposa une certaine relaxation et maestria anale. Oh oui, il n'avait jamais reçus un membre aussi épais en lui... Son anus tendu à l'extrême accepta néanmoins son diamètre, restait à tester sa longueur. Les premier centimètres très compressifs pour Chengzu laissa place à son antre intime. Puis le gland de Chengzu appuya sur le point P de l'arpenteur qui lâcha un gémissement plus fort, plus sauvage... La main puissante du bélier autour de sa hanche lui donna confiance et les centimètres restant furent élogieux. Cette fois le Maître Latexand était en lui jusqu'à la garde... Pliant sa queue cybernétique sur le côté pour faciliter l'accès, Akimbo se sentit totalement occupé avant que les vas et vient ne commence. Akimbo s'accrocha au meuble le plus proche, sentant ses jambes trembler alors que Chengzu fit ce qu'il savait le mieux faire : le coït bélin, fort et puissant.

"Oh oh oh oh ! Putain ! Aaah ! Aaah ! Chen ! C'est ! C'est très ! Très intense !!!"

Chengzu comprit instantanément ce qui rendait Theorem accroc au sexe avec Chengzu : il y allait fort, rapide, profond ! Aucune pause, aucune halte, aucune pitié ! La salle se remplit des gémissements d'Akimbo, de ses cris par moment, du latex qui grinçait et de la chair qui claque. L'Arpenteur ne put que subir cet assaut sauvage avant d'indiquer quelque chose à l'Hitsuji. Visiblement la position lui allait, mais il voulait plus... Quitte à se faire défoncer par un magnifique bélier dont il voyait la réflexion dans le miroir face à lui, l'Arpenteur voulait quelque chose de relativement privé, dépravé même, et qu'on ne fait que quand on a confiance en son partenaire. C'était un peu son ultime porte ouverte à la compréhension mutuelle.

"Une clé de bras ! Une clé de bras s'il te plait !"

Ce n'est que quand il sentit le bras recouvert de latex de son hôte passer sous son menton et le creux de son coude contre sa pomme d'adam qu'il put lâcher prise. Akimbo s'agrippa à ce bras qui écrasait son cou sans l'étouffer pour autant. Non là, au delà de la strangulation, c'était baisser le débit sanguin du cerveau qui avait un effet euphorisant et sexuel. L'humain amélioré tint bon... Mais au bout de quelques minutes de ce traitement intensif, ses yeux se révulsèrent et il poussa des cris bestiaux. Son pénis en érection entre ses cuisses trembla d'un orgasme foudroyant, sans pour autant relâcher sa crème. A la place, un liquide épais et clair s'échappa. Quand Chengzu en eut terminé, le corps mou et épuisé d'Akimbo chercha un support pour finir dans les bras de son amant... Il allait avoir besoin de quelques minutes pour revenir dans le monde réel... Avec un souvenir délicieux du sub space !

Chengzu commença à grogner. Ils passaient tous les deux aux choses sérieuses, rentrant dans le dur… Pour ainsi dire ! L’homme-bélier soupira doucement en bandant les muscles, sentant l’anneau de chair d’Akimbo se dilater lentement. L’homme-bélier retint son souffle, et embrassa son amant dans le creux du cou, donnant un coup de reins supplémentaire pour forcer le passage. Il grognait lentement, sentant tout son corps frémir au contact de son partenaire. Très clairement, la porte arrière d’Akimbo était moins utilisée que celle de Theorem ! Elle se dilatait bien plus difficilement, rappelant à Chengzu toutes ces fois où il avait le bonheur de dépuceler ses amants ou amantes par là. Le bonheur… Une façon de le dire, bien sûr, car il avait avant tout l’impression de vouloir forcer un passage qui était trop petit pour lui. Il en avait de solides douleurs à hauteur du sexe, et grognait encore.

« A-Akimbo… »

Continuant à le prendre, Chengzu tapait parfois avec sa main contre la carlingue du vaisseau, grognant, le souffle venant même à lui manquer. Ce col était si étroit ! Il peinait à s’y enfoncer, sont vit heurtant le con d’Akimbo avec force… Et, peu à peu, le passage se faisait. Millimètre après millimètre, puis centimètre après centimètre, Chengzu y arrivait, s’enfonçant en sifflant. Une chance qu’il avait pris soin de dilater la zone, de se préparer ! La douleur, exquise et jouissive, faisait battre son sang, ainsi que celui de son amant. C’était intense et savoureux ! Que demander de plus ? Chengzu prenait son pied, continuant à le prendre, encore et encore.

« Là, là, bordel… Ce que tu es étroit, mon salaud… !! »

L’homme-bélier grogna encore, déglutissant. Face à eux, un miroir. Sur ce miroir, Chengzu pouvait voir le visage d’Akimbo se couvrir de sueur, des mèches de cheveux se plaquant à son front. Difficile, à ce stade, de croire si Chengzu le violait ou le baisait, tant les sensations se mélangeaient. Le temps défilait, rythmé par les coups de reins de Chengzu, qui redevint peu à peu l’Hitsuji dont Theorem pouvait vanter les talents. En grognant encore, Chengzu amplifia le rythme, et commença à joyeusement bourrer l’arrière d’Akimbo. Il attrapa son bras, et le coinça dans son dos, lui faisant sa clef de bras, tout en usant son autre bras pour l’enrouler autour du cou d’Akimbo, maintenant ainsi le contact.

« Tu aimes ça ? Te faire enculer comme un chien pendant que je t’étrangle ? Ma parole, tu es encore pire que Theorem, toi ! » gronda-t-il.

Le désir l’envahissait, furieux et intense. Chengzu continuait à le prendre sans relâche, et, dans un grognement, s’abandonna dans le postérieur d’Akimbo. Il se mit à jouir avec force, et l’inonda en grognant, ses canines vampiriques pointant sur place. Il faillit le mordre, mais se retint de justesse, se contentant d’un suçon marqué, tout en s’abandonnant avec appétit dans le fondement de son partenaire. Chengzu soupira lentement, et se recula ensuite. Dans l’habitacle du sous-marin, étroit, il faisait très chaud, comme un délicieux cocon. Akimbo se retourna alors, et Chengzu l’enlaça alors, avant de lui sourire doucement. Il constata qu’il le dominait légèrement, un peu plus grand que lui.

« Ishtar n’a pas dû souvent te prendre, toi… J’ai la queue en feu… »

Il lui sourit alors, et constata que de la buée se formait sur le verre de ses lunettes.

Akimbo eut l'aftercare nécessaire en se faisant doucement embrasser par son partenaire. Il redescendait doucement de cet orgasme puissant alors que doucement Chengzu lui avoua qu'il avait eut une baise très étroite avec lui... De son côté Akimbo avait plutôt connu une de ses expériences de dilatation la plus éprouvante... Mais la sensation de se faire prendre comme ça avait été des plus délicieuse. Ca faisait de lui un authentique sodomite désormais... Bien loin de ce qu'il faisait subir à Theo vu l'intensité de leurs baises.

"Héhé, moi c'est le cul que j'ai en feu, tu a un sexe très imposant..."

Ils s'embrassèrent encore, assit sur le confort du lit d'Akimbo alors qu'il récupérait de ce délicieux orgasme. S'abandonnant à une séance de caresses en latex et de baisers torrides sans jamais fermer les yeux, l'humain modifié et le bélier vampire s'échangèrent de longs baisers en se palpant allègrement. Leurs latex grinçaient l'un contre l'autre avant qu'Akimbo ne brise enfin leurs échanges buccaux.

"Je t'ai laissé me prendre en premier, à mon tour... Et moi je veux ta bouche mon joli..."

Dès qu'il reçut son accord, Akimbo commença à caresser doucement les lèvres du bélier avec son pouce. Ce n'est que quelques secondes plus tard que son index et son majeur explorèrent la langue de son partenaire. D'abord en des cercles concentriques, puis doucement il amena ses doigts plus profond, voyant les capacités de son partenaire. Il se risqua à venir caresser l'arrière de son muscle rose, non loin du fond de sa gorge en cas de haut-le-coeur. C'était aussi un acte de confiance, car vu les dents de l'Hitsuji, il aurait put le délester de son sexe facilement. Akimbo se mit assis dans le lit avant de laisser la place à Chengzu de s'installer face à lui à quatre pattes. Diligemment, Akimbo lui passa une bouteille de lubrifiant comestible à la cerise.

"Met-toi une bonne noisette sur ta langue. Tu peux tapoter ma cuisse si ça va trop loin."

Il attendit que Chengzu se mette à l'aise avant de doucement poser ses mains sur ses cornes. Bien sûr c'était juste pour le confort et la sensation de domination. Il n'allait pas lui bourrer la gorge comme il faisait avec Theorem. Le bélier n'avait pas encore ce niveau, probablement... Restait à voir ce que celui à la chevelure bleue allait proposer comme service pendant que le cyber-same s'offrait aux délices de sa bouche.

Akimbo décida à son tour de passer à l’offensive, mais en choisissant pour autant de laisser un rôle actif à Chengzu. En effet, il lui proposa de le sucer, et lui glissa du lubrifiant dans la bouche. L’homme-bélier gémit doucement, et grogna même, quand les doigts inquisiteurs d’Akimbo tapotèrent le fond de sa bouche. Le sentiment de régurgitation n’était jamais très agréable, mais Chengzu fit avec. Il se trouvait rarement dans cette position. Ishtar refusait toujours de le prendre, et il n’avait pu goûter au plaisir homosexuel qu’avec des hommes comme Melendil, ou Bran. Certes, il y avait aussi Theorem, mais, du fait de sa chasteté, Theorem ne pouvait pas offrir à Chengzu sa verge. Akimbo comblait donc ce manque dans les expériences sexuelles de l’homme-bélier. Il se mit ensuite à genoux, faisant crisser son pantalon, puis se glissa entre les cuisses d’Akimbo. Combien de fois avait-il été à la place d’Akimbo en ce moment ? Que ce soit Theorem, Malaurie, ou ses partenaires un peu moins récurrents comme Alice, ou Mélinda, Chengzu se tenait souvent au-dessus. Ses mains se serrèrent sur le sexe chaud d’Akimbo, qui palpitait chaudement entre ses mains.

« Hmmm… »

Un frémissement le traversa, et il sentit les mains d’Akimbo se serrer sur ses cornes. Chengzu entrouvrit alors les lèvres, croisa brièvement le regard de son amant, puis sourit doucement, et prit finalement ce sexe en bouche. Il referma ses lèvres dessus, et en goba quelques centimètres, avant de refermer ses lèvres dessus. Un frisson le traversa encore, un soupir en sentant le membre de son amant durcir sur place. Chengzu soupira encore, et remua en arrière, puis repartit en avant. Cette fois, l’homme-bélier n’allait pas butiner comme il en avait l’habitude ! Pour autant, il espérait faire de son mieux. Il doutait toutefois d’atteindre le talent de Theorem en la matière, ayant moins d’expérience que lui. Cependant, pour autant qu’il s’en rappelle, Theorem se débrouillait toujours pour stimuler au mieux son partenaire, jusqu’à ce que ce dernier finisse par perdre le contrôle.

Chengzu se concentra donc, et, petit à petit, s’efforça surtout de ne pas perdre sa respiration. Quand il avait sucé Melendil, c’était ce qu’Alice lui avait dit. Il fallait se focaliser sur sa respiration, et ne pas essayer de respirer par la bouche. Les narines servaient à ça, et ilf allait éviter le hoquet. Elle lui avait dit ça, avant d’embrasser son mari, pendant qu’il le pompait. Cette fois, il n’y avait pas de petite fée pour le conseiller, alors Chengzu allait devoir se débrouiller par lui-même ! Il continuait donc son ouvrage, sa bouche glissant sur cette solide hampe de chair, qui durcissait sur place, au fur et à mesure qu’il la prenait.

« Hmmm… ! »

L’homme se concentrait, bien décidé à offrir à Akimbo une pipe que ce dernier apprécierait !

L'Arpenteur pouvait vivre la délicieuse expérience de la fellation. Bon, il ne pouvait pas non plus comparer celle-ci aux irrumations intensives qu'il faisait subir à Theorem, mais c'était quand même bien plaisant. le sexe oral avait toujours été sa forme préférée. En plus Chengzu avait une paire de cornes tout a fait parfaite pour empoigner son partenaire. Mais bien sûr il n'osait pas les utiliser à leur plein potentiel... Pas encore du moins. Tout en savourant ce moment, Akimbo caressa un peu son corps en poussant par moment de délicieux soupirs. Puis enfin ces soupirs s'intensifièrent à mesure que le bélier était de plus en plus à l'aise dans ce qu'il faisait. L'orgasme latent se construisait au fur et à mesure puis, après un petit moment de plaisir et de dégustation, l'humain modifié bougea plus franchement son bassin et ses mains tenant ses cornes.

"Haaan... Hmmm... Chengzu je... Gnnn ça viens ! Prépare-toi !"

La récompense du travail bien fait allait arriver. Akimbo retira sa queue de la bouche de son partenaire et empoigna son sexe vigoureusement pour une masturbation rapide. Cela ne prit que quelques secondes pour que la verge en pleine érection de l'Arpenteur ne tressaute et qu'une giclée blanche et épaisse n'atterrisse sur la langue et dans la bouche de son partenaire. Une deuxième giclée zébra son visage de gravure de mode et son oeil droit ne fut épargné que parce qu'il avait des lunettes. Plusieurs autres giclées plus ou moins puissantes furent réparties sur la visage et dans la bouche ouverte de son partenaire. L'orgasme baissa progressivement en intensité avant qu'enfin l'humain ne puisse souffler un peu en reprenant son souffle et calmer ses cris de plaisir.

"Pfiou... Hmmm... Chengzu... Je crois que maintenant on peut clairement dire que la hache de guerre est enterrée... Si un jour tu veux qu'on aille plus loin, ce sera avec grand plaisir !"

Il laissa à son partenaire le soin de s'en remettre avant qu'Akimbo ne lui offre un paquet de lingettes humides pour se nettoyer. Il avait tout prévu, on sentait qu'il avait l'habitude de traiter sa cabine comme un baisodrome. Une fois son partenaire remit de ses émotions, l'humain lui fit un délicieux et chaud câlin dans le lit. Ce câlin se transforma progressivement en attaque de baisers, puis en de torrides échanges buccaux pendant que leurs verges en érection se frottaient l'une à l'autre, dans leur latex brillant qui grinçait dans cette danse sexuelle. Voyant leurs deux érections réciproques, Akimbo empoigna leurs deux sexe pour former une sorte de masturbation avec deux pénis dans sa main.

"Hmmm, toi comme moi on est encore bien chauds... On pourrait baiser un joli spécimen à deux..."

Akimbo savait que Theorem fantasmait de coucher avec ses deux hommes préférés en même temps... Mais il y avait aussi Malaurie pas loin... En clair, c'était à Chengzu de choisir qui allait être le jambon dans leur sandwich...

Chengzu et Akimbo venaient de joyeusement s’envoyer en l’air. Dans le lit de l’homme, Chengzu pouvait un peu mieux observer le décor. Il n’était pas surpris de voir des photographies de Theorem, des dessins, et même des poupées. Akimbo devait être le premier fan de Theorem. Chengzu se disait que, dans le fond, Akimbo devait même aimer davantage Theorem que lui-même, une chose qu’il ne pouvait qu’accepter. La passion d’Akimbo était sincère et intense, mais, comme toute bonne personne proche d’Ishtar, il avait aussi appris à être polyamoureux, et à multiplier les conquêtes. Pour autant, Chengzu doutait qu’il ait autant d’amants ou d’amantes que lui. Qui sait jusqu’où leur relation pourrait aller ? Akimbo lui affirma que le passé était pardonné, et Chengzu sourit doucement.

« On peut le dire, oui… Mais je regrette quand même toujours de m’être énervé lors de la nuit de noces. Je n’aurai pas dû agir ainsi, c’est pour ça que j’ai mis autant de temps à venir te voir. Tu aurais tout à fait été dans ton droit de m’en vouloir encore. »

Il n’en était fort heureusement rien. Chengzu sentait à la circulation sanguine d’Akimbo qu’il était sincère dans son approche. Ils continuèrent ensuite à s’embrasser, s’échaudant progressivement, jusqu’à avoir de belles érections. Chengzu le laissait faire, palpant les fesses d’Akimbo. Le contact était assez différent de Theorem. C’était un postérieur plus charpenté, plus… Plus masculin, tout simplement ! En fait, il ressemblait davantage aux fesses d’Ishtar, solides et fournies, qu’à celles de Theorem, petites et discrètes. Chengzu les pétrit donc, caressant également le dos de l’homme, qui proposa ensuite d’inviter quelconque. Chengzu en était à vrai dire au stade de se dire qu’il aurait aimé sentir cette matraque dans ses fesses.

« Un joli spécimen, hein ? Invitons Theorem, alors. »

L’éventualité d’inviter Malaurie ne traversa pas l’esprit de Chengzu. Akimbo ne la connaissait pas… Du moins, pas encore. Chengzu savait aussi qu’Akimbo tenait à Theorem, alors c’était le choix logique. Sa main attrapa un téléphone mural. Dans ce sous-marin, les communications réseau n’étaient pas forcément stables, et il utilisa donc le téléphone, relié à l’antenne du sous-marin, pour composer le numéro de Theorem, tout en maintenant Akimbo contre lui.

« The-Theorem ? Je t’ordonne de cesser immédiatement tout ce que tu entreprends. Si tu as un client, dis-lui qu’il reviendra plus tard, et qu’il aura droit à un remboursement. Viens tout de suite au Proteus ! »

Chengzu raccrocha ensuite le combiné, et regarda Akimbo.

« Nous avons une dizaine de minutes avant que notre cher Theorem ne vienne. Je souhaite que tu me prennes pendant ce temps. Montre-moi comment tu sodomises Theorem… »

Cette idée fit palpiter sa verge, qui sembla se redresser un peu plus à cette idée…

Theorem allait venir dans son antre sous-marine ? Akimbo ne pouvait qu'en rêver. la dernière fois ça lui avait coûté une bonne partie de ses économies obtenues par la contrebande... Oh ne vous fiez pas à ce mot barbare. C'est Ishtar qui lui commandait des choses normalement interdites ici... Du coup il se faisait pas mal d'argent en transportant des marchandises mais aussi en se procurant certaines sur la liste secrète d'Ishtar. Le salaire du risque lui permettait de s'en mettre plein les poches, mais une grosse partie retournait dans celles d'Ishtar par les prestations de Theorem... Mais bon, que voulez-vous ? Et là, juste devant lui, Chengzu utilisait son téléphone de chambre pour contacter Theorem directement ? Ca veut dire que les jours où il serait en mission, il pourrait appeler son idole pour se caresser au son de sa voix ?... Bon sang, quel rêve éveillé !

"Oh wow, je ferais grand usage de ce numéro de téléphone si tu avais le plaisir de me le donner..."

Puis Chengzu fit sa demande. Il voulait se faire sodomiser... Là maintenant. Ils avaient quelques dizaines de minutes avant que Theorem ne se pointe... Cela allait donc aussi lui demander d'être performant tout de suite ! Il fit un nouveau baiser au bélier avant de se lever pour aller dans la petite cabine de bain liée à sa chambre.

"D'accord, comme tu voudras mon beau... Laisse-moi juste me montrer à la hauteur de vous deux."

Dans l'intimité relative de cette petite cabine de bain combinant le toilette et la douche, il consomma une étrange substance et utilisa son petit ordinateur relié à ses prothèses pour ajuster ses hormones. Quand on été cyber augmenté, cela voulait dire aussi gérer son propre corps. Doubler sa production de sperme, multiplier sa production d'endorphine lors de l'orgasme, activer des récupérateurs d'efforts par nano-machine, désaturer l'acide urique de son corps, faire carburer son organisme au glucagon puis aux lipocytes... En clair, quand Akimbo sortit de la salle de bain, il avait une solide érection et le coeur plus rapide. Toutes ses nanites faisaient de lui une bête de sexe !

"Je pourrais baiser un régiment là... Prépare ton joli cul, parce que je m'apprête à l'Arpenter !"

Akimbo se glissa derrière son amant aux cheveux bleus avant de doucement déposer une noisette généreuse de lubrifiant dans son plis fessier. De son index et de son majeur, il commença à l'étaler généreusement sur sa rondelle, en faisant des gestes concentriques. Son postérieur était parfait, pas un poil, et quand même rebondit. Massant la base de sa queue de bélier qu'il savait érogène, Akimbo commença l'invasion de ses deux doigts. Il put constater que Chengzu n'était pas vierge, mais surtout qu'il ne l'avait pas fait souvent. Il restait donc des choses à découvrir au bélier. Une fois ses doigts en lui, il poussa une étrange zone profondément en lui qui allait faire arracher des gémissements involontaires à son partenaire.

"Héhé, ta prostate est bien accessible... Avec un point P aussi proche, tu vas adorer le sexe anal."

Voyant que son partenaire était détendu et volontaire, sa rondelle s'était bien ouverte. Il retira donc ses doigts avant de mettre un préservatif violent et très lubrifié sur sa queue. L'instant d'après, Akimbo se positionna, le gland recouvert de latex contre la rondelle de Chengzu et... Un long coup de rein en massant sa queue de bélier d'une main et son pénis de l'autre le fit entrer en lui. L'Arpenteur savait y faire ! Une fois entièrement en lui, les vas et vient en levrette commencèrent. Il se regardèrent dans le miroir face au lit.

"Putain, tu es doué dans tout mon beau... Maintenant je vais te faire découvrir ce qui va pour ton corps..."

Doucement il retourna Chengzu pour le mettre sur le dos dans le lit. Une fois fait, Akimbo entoura les jambes de son partenaire de ses bras, en l'air. Et il débuta ses va-et-vient. L'angle faisait que son gland matraquait sa prostate délicieusement. Chengzu découvrait le plaisir des sodomites... Et nul doute qu'à la musique de ses gémissements, c'était assez nouveau pour lui !

Chengzu fut surpris d’apprendre qu’Akimbo n’avait pas le numéro de téléphone de Theorem. Ne le lui avait-il jamais demandé ? Chengzu le contactait très régulièrement, généralement pour lui donner des ordres pervers… Ou, comme Ishtar, pour lui envoyer des films de ses prestations sexuelles, des femmes qui le suçaient, des pénétrations qu’il faisait, pour le plaisir de le frustrer et de savoir qu’il le trompait régulièrement. D’ailleurs, quand Akimbo évoqua cela, Chengzu attrapa son téléphone.

« Je peux te le donner, mais, si Theorem ne t’a pas dans son répertoire, il ne te répondra sans doute pas. Tu devrais le lui demander… Je ne vois aucune raison qu’il te le refuse. »

Il avait entre-temps demandé à Akimbo une chose peu banale, qu’Ishtar se refusait encore à lui faire. Chengzu avait eu beaucoup d’amants, mais peu qui osaient le prendre. Il l’avait fait avec Melendil, le mari d’Alice, mais les autres avaient plutôt peur. Ils savaient qui il était, le mari de la puissante Ishtar, et personne ne voulait se froisser à elle ! Chengzu acceptait cette situation, mais Akimbo n’avait pas ce blocage. Il laissa Chengzu en paix pendant quelques instants, et Chengzu, avec ses pouvoirs vampiriques, put sentir le sang d’Akimbo s’enflammer dans la petite salle de bains de son sous-marin. Cet homme ne semblait vraiment nullement lui tenir rigueur pour son comportement passé, ce qui soulageait Chengzu. Les choses se déroulaient donc très bien, et Akimbo finit par revenir. Chengzu vit que sa verge avait retrouvé de sa superbe, et la sienne avait également une bonne lancée, du fait de ce qui allait se passer.

Chengzu se redressa, et laissa Akimbo préparer la zone. Il lubrifia son fondement à l’aide d’un produit et de ses doigts, enflammant doucement ce dernier. Il fut ensuite couché sur le dos, tandis qu’Akimbo complimentait la qualité de sa porte arrière. Force était d’admettre que, comme Theorem, il se nettoyait régulièrement par là, alors la zone était donc assez agréable. Akimbo attrapa son sexe d’une main, et glissa dans la foulée sa verge dans son fondement. Chengzu grogna en sentant ce membre remuer en lui, sentant une agréable douleur l’envahir, le dominant pleinement.

« Oh, A… Akimbo, hmmm… !! »

L’homme-bélier grogna et soupira longuement, sentant le membre d’Akimbo remuer en lui. La douleur était là, encore plus intense que quand lui-même sodomisait quelqu’un d’autre… Mais que c’était bon ! Les coups de reins d’Akimbo dilataient ses parois anales, venant ainsi frotter sa prostate, ce qui ne manquait pas d’exciter fortement Chengzu, qui soupirait longuement, sentant les coups de reins se multiplier, le désir l’envahissant totalement…

Quel pied !

L'Arpenteur offrit à Chengzu son premier mating press... Et il n'y avait pas à dire, seul un homme savait comment en satisfaire un autre ! Il encula délicieusement son partenaire avec le bonne angle, la bonne vitesse... Tout était au poil ! Le cyber same regardait le visage de son partenaire se tordre de plaisir mais surtout, il allait se passer un phénomène inconnu pour le bélier. Quand le sexe anal était un plaisir progressif, dont le plaisir venait par pallier jusqu'à enfin conduire au plaisir libérateur d'un orgasme, qu'il soit cérébral ou bien réel par la stimulation du point G ou pénienne, le mating press avait un autre effet : le plaisir montait beaucoup, mais alors... beaucoup plus vite ! Quand une sodomie demandait du temps et du lubrifiant pour amener son partenaire à l'orgasme, là, la position et le conditionnement du mating press amenait invariablement à un orgasme fort et puissant en quelques minutes ! C'est pourquoi quand Chengzu fut en position jusqu'à ce qu'Akimbo le conduise à l'orgasme, il ne se passa guère que quelques minutes !

"Haan... Hmmm... Personne ne t'avais fait ça ?... Content d'être ton premier Chengzu... Haan... Laisse-toi aller..."

Orgasmes sur orgasme fut la destination du mating press. Quand Akimbo entendit quelqu'un toquer à l'écoutille principale, il laissa derrière lui un Chengzu au torse recouvert de semence et à l'anus bien dilaté. Le cyber same lui fit une douce bise avant de lui donner un paquet de lingettes humides.

"Ca doit être notre partenaire... Essuie toi bien, je vais aller le chercher."

Akimbo se retira enfin de son fondement en replaçant son string de latex pour couvrir sa verge. Il laissa donc Chengzu seul pour se nettoyer en accueillant Theorem. L'intérieur du sous-marin devait sentir le sexe dans tous les recoins maintenant. Theorem attendit tranquillement que la porte circulaire et horizontale ne s'ouvre, laissant le Proteus accessible à ce dernier. Une fois à l'intérieur, Akimbo l'enlaça doucement.

"Coucou mon beau... Hmmm, tu sens très bon !"

"Merci Aki ! Je suis content de te voir rabiboché avec Chengzu... Ca m'a un peu surpris."

"Attend de voir à quel point on s'entend..."

Il regarda sa tenue... Une belle robe bodycon noire, verrouillée à même son corps... Theorem avait un petit sac en bandoulière contenant ses affaires pour la prostitution et Akimbo connaissait la procédure. Il alla chercher sa carte de crédit et releva le pan arrière de la robe de Theo pour déverrouiller sa cage de chasteté avec le TPE intégré, en sans-contact. Dès que ce fut fait, la partie arrière de sa cage se déclipsa mécaniquement, lui permettant de retirer le plug anal en lui. Theorem soupira d'aise avant de se sentir conduit vers la cabine de l'Arpenteur... Une minute à peine après, il entra dans une salle à la forte odeur masculine et sexuelle alors qu'il était en face d'un Chengzu à la peau humide assis sur un lit en bataille alors que l'Arpenteur commença déjà à palper le corps du femboy.

"Dis-voir Chengzu, ça ne te dérange pas si je prend la bouche de ce bel éphèbe en premier ?..."

Dit-il en venant doucement l'embrasser en lui tenant la gorge. Theorem posa son sac à la hâte, révélant l'intérieur contenant du lubrifiant, des liquidités d'un précédent client, des préservatifs et même du maquillage pour parfaire ce dernier. Sans trop attendre, Akimbo l'embrassa... et vu son niveau d'excitation, c'était particulièrement pervers comme baiser !

Chengzu sentait Akimbo le prendre avec force, grognant et soupirant dans son dos. Oh, que c’était bon ! Chengzu s’était déjà amusé à mettre un gode entre ses fesses, mais il avait toujours, en soi, regretté qu’Ishtar n’aille pas jusqu’à le prendre par là. Sa femme s’y refusait. Quand Akimbo l’interrogea, Chengzu, dont la verge érigée ne mentait pas sur ce qu’il éprouvait, soupira lentement :

« A-Alice… La Princesse de Sylvandell… Son mari m’a déjà mis des doigts, mais… Pas de membre. Hmmm… Tu-Tu es le premier, haaaa… »

Cette douleur exquise qui l’envahissait… Oh, quel pied ! Chengzu adorait sodomiser ses partenaires, y compris les femmes. Il sentait cette douleur, cette douleur au fur et à mesure que la verge de son partenaire s’immisçait en lui, le perforant en tout amour. Akimbo le masturbait avec l’une de ses mains libres, et Chengzu, à sa grande surprise, résista bien moins vite que d’habitude. Sa semence fusa contre le mur, et il sentit Akimbo jouir en lui avec force, son amant se crispant contre son corps. Il s’écrasait puissamment contre lui, étouffant parfois Chengzu, qui ne demandait néanmoins que ça. Le temps filait, rythmé par les coups de reins de son partenaire. Imperturbable, Akimbo ne s’arrêtait pas, poursuivant son office, labourant le fondement de son partenaire. Ils continuaient à faire l’amour avec envie, avec passion, et Chengzu tourna sa tête vers lui, partageant un baiser avec l’homme, serrant sa main gantée sur ses cheveux. Akimbo avait une endurance redoutable ! Comme lui, il avait sans doute été formé pour devenir ici un amant exceptionnel. Chengzu continua donc à se faire prendre, jusqu’à ce que Theorem s’annonce à l’écoutille du Nautilus.

Un peu sonné, Chengzu mit un peu de temps pour reprendre ses esprits. Il sentait la semence chaude d’Akimbo en lui, et, quand son amant se retira, Chengzu frissonna en sentant les courants d’air caresser son fondement dilaté. Il soupira longuement, et s’assit sur le lit. En sueur, Chengzu sortit une cigarette, et commença à la fumer, sentant la nicotine lui apaiser l’esprit. Theorem entra ensuite, dans sa robe noire aux motifs verts en Lapoxynyle. Chengzu sourit en le voyant, et écarta les jambes, laissant sa verge à l’air libre. Impossible de se méprendre sur ce qui venait de se passer ici.

« Oui, j’ai décidé d’enterrer la hache de guerre avec lui… Akimbo fait partie de notre famille, maintenant. Alors, oui, Akimbo, baise bien notre cher Theorem, tu en as envie, non ? »

Il le sentait bien, oui, car le désir montait dans le corps d’Akimbo à la vue de Theorem…

Akimbo remarqua bien que son partenaire était encore bien bien chaud... Alors quand Chengzu lui donna la permission d'utiliser Theorem, ce dernier ne put se retenir. Theorem de son côté était à la fois érotisé et encore un peu confus... Mais ça voulait dire qu'il allait pouvoir avoir ces deux queues pour lui ?... Là cette idée le rendit fou de désir ! L'éphèbe fut doucement tiré vers l'humain modifié qui l'embrassa d'abord en douceur, puis ses mains furent baladeuses et le baiser se changea en quelque chose de plus langoureux et bestial... Tout en agrippant le femboy, Akimbo empoigna sa queue animal et commença à empoigner ce dernier avec désir et puissance. Tout en le pelotant, le baiser se termina et il appuya doucement sur sa tête pour le mettre accroupi devant sa verge tendue.

"Regarde ça, Chengzu, c'est ainsi que je lui fait l'amour la plupart du temps. Sa bouche est un vrai délice !"

"Hey je suis juste là..."

Répondit Theo comme pour attirer son attention. Lui aussi avait hâte de se faire prendre. Akimbo le bifla un peu, frottant sa queue sur son visage avant de donner plusieurs tapes sur son front. Une fois bien hypnotisé par l'odeur de son pénis, Theorem ouvrit la bouche lascivement, langue toute tirée. L'humain modifié posa son gland sur sa langue, puis ses deux mains sur l'arrière de sa tête. Theorem se tenait aux cuisses de son partenaire... Puis la baise orale débuta. La pièce fut remplit des gémissements de plaisir de l'humain et des bruits humides et de succion du femboy. Ils baisaient vraiment comme ça ?! Et en plus il y allait fort ! Mais Theorem ne lâchait pas sa poigne sur les cuisses de son partenaire et bien vite, de sa cage de chasteté, s'échoua un fin filet de présperme. Pas de doutes, il prenait son pied ! Tout en se faisant durement baiser la gorge, Theorem en tirait vraiment du plaisir, ou au moins avait appris à en ressentir...

"Sa bouche est véritablement la meilleure chatte que j'ai baisé... Han... Je te le file dès que j'ai jouis mon beau... Prépare-toi à l'enculer juste après parce qu'on va lui faire vivre une tournante comme il en aura rarement vécu une !"

Theorem avait les yeux plein de larmes d'effort, son maquillage était ruiné, mais Akimbo continua avec véhémence ! Et enfin il juta dans sa gorge. Le volume de sperme fuit si important que même une giclée sorti du nez de Theorem. Enfin il se retira pour finir en une faciale peu abondante mais qui zébra bien son visage. Theorem, épuisé par cette baise intensive, reprit son souffle comme un poisson sortit de l'eau avant qu'Akimbo ne l'aide à se coucher au sol. mais ce fut dans la foulé qu'il vint écarter les cuisses du femboy, relevant ses jambes pour montrer sa rondelle occupée par un plug orné d'un émeraude. Akimbo laissa sa verge posée sur le visage de son partenaire, invitant Chengzu à les rejoindre sur le tapis.

"Vient nous rejoindre, ouvre son cul...."

Theorem reprenait son souffle, mais son regard était plein de désir... Il allait prendre la verge de son homme en lui très bientôt !

Chengzu et Akimbo s’étant rapprochés, il était désormais temps de consommer pleinement leur union, ce qui impliquait de recourir à Theorem. Chengzu aurait pu appeler Malaurie, mais elle avait de quoi s’occuper, et Theorem lui semblait bien plus symbolique. Il savait qu’Akimbo l’aimait, et il y a un temps où cette situation lui était insupportable. Chengzu ne pouvait ressentir que de la honte lorsqu’il y repensait, lorsqu’il se rappelait la manière intolérable dont il avait agi. Il avait même failli gâcher son mariage ! Il était donc heureux de pouvoir corriger les choses, et de consacrer leur relation. Theorem, qui comprit rapidement qu’il allait avoir ses deux mâles pour lui, en fut excité. Chengzu sourit doucement en attrapant le téléphone portable. Le réseau passait mal, mais les applications du téléphone fonctionnaient encore.

« On dirait que c’est moi qui vais filmer… Pour le moment. »

Il avait déjà vu ce qu’Akimbo faisait avec Chengzu. Ishtar avait une qu’antrite phénoménale de films sur les aventures sexuelles de Theorem, une salle de projection entièrement consacrée à ça, les films étant classés par date et par amants. Elle filmait autant que possible, et Chengzu comptait bien immortaliser ce moment. Comme lui, Akimbo semblait être assez excité par l’idée d’être filmé, car il se montra très aguerri, particulièrement énergique, grognant en besognant son amant. Akimbo n’épargna rien à Theorem dans une baise orale qui emplit bientôt toute la pièce. Réduit au rang de vide-couilles, Theorem devait supporter le membre massif d’Akimbo, la soif intense de son amant. Sans rien lâcher, Akimbo continuait à le prendre avec force, encore et encore ! Un sacré spectacle qui amena rapidement la verge de Chengzu à durcir. Chengzu se rapprocha, et fit un gros plan sur la cage de chasteté de Theorem, afin de montrer le mince filet de présperme qui s’en échappait, puis filma sur la verge d’Akimbo, prenant le temps de la sortir, comme pour en montrer la longueur, avant de l’enfoncer jusqu’à la garde. Ce puissant membre allait jusqu’à s’engouffrer dans la gorge de Theorem, ne lui épargnant tout simplement rien. Il l’étouffait à moitié, et, peu à peu, Akimbo se lâchait totalement, complètement possédé par ce qu’il vivait, par la manière dont il pénétrait avec force Theorem. Un sacré spectacle !

Akimbo juta énergiquement, puissamment, si tant est qu’il finit en éjaculant sur le visage de Theorem, salissant ce dernier, gonflant ses joues sous l’épaisse quantité de sperme qui avait afflué dans sa bouche. Akimbo laissa à Theorem quelques courtes secondes avant de le pousser du pied sur l’épaule, le couchant au sol. Il écarta ensuite ses jambes, et Chengzu frémit, comprenant que c’était à lui de jouer. Chengzu acquiesça, et plaça le téléphone dans une encoche, cadrant autant que possible.

« Appelle Aria, Theorem, dis-lui de venir… Il faut quelqu’un qui filme. »

Chengzu avait récupéré le téléphone du navire, et le tendit à Theorem, l’empêchant ainsi de se relever. Tandis qu’il composait le numéro, Chengzu releva les jambes de Theorem, les écartant à droite et à gauche, si bien que ses jambes auraient pu reposer sur ses épaules. Agenouillé sur le sol, Chengzu souleva le fondement de son amant, et commença à le prendre, le sodomisant doucement… Pour commencer.

« Je veux… Immortaliser cette scène, Theorem. Celle où tu te fais baiser par tes deux amants… »

Et puis, quelque chose lui disait que frustrer Aria ne déplairait pas non plus à Theorem !

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