Chengzu commença à grogner. Ils passaient tous les deux aux choses sérieuses, rentrant dans le dur… Pour ainsi dire ! L’homme-bélier soupira doucement en bandant les muscles, sentant l’anneau de chair d’Akimbo se dilater lentement. L’homme-bélier retint son souffle, et embrassa son amant dans le creux du cou, donnant un coup de reins supplémentaire pour forcer le passage. Il grognait lentement, sentant tout son corps frémir au contact de son partenaire. Très clairement, la porte arrière d’Akimbo était moins utilisée que celle de Theorem ! Elle se dilatait bien plus difficilement, rappelant à Chengzu toutes ces fois où il avait le bonheur de dépuceler ses amants ou amantes par là. Le bonheur… Une façon de le dire, bien sûr, car il avait avant tout l’impression de vouloir forcer un passage qui était trop petit pour lui. Il en avait de solides douleurs à hauteur du sexe, et grognait encore.
« A-Akimbo… »
Continuant à le prendre, Chengzu tapait parfois avec sa main contre la carlingue du vaisseau, grognant, le souffle venant même à lui manquer. Ce col était si étroit ! Il peinait à s’y enfoncer, sont vit heurtant le con d’Akimbo avec force… Et, peu à peu, le passage se faisait. Millimètre après millimètre, puis centimètre après centimètre, Chengzu y arrivait, s’enfonçant en sifflant. Une chance qu’il avait pris soin de dilater la zone, de se préparer ! La douleur, exquise et jouissive, faisait battre son sang, ainsi que celui de son amant. C’était intense et savoureux ! Que demander de plus ? Chengzu prenait son pied, continuant à le prendre, encore et encore.
« Là, là, bordel… Ce que tu es étroit, mon salaud… !! »
L’homme-bélier grogna encore, déglutissant. Face à eux, un miroir. Sur ce miroir, Chengzu pouvait voir le visage d’Akimbo se couvrir de sueur, des mèches de cheveux se plaquant à son front. Difficile, à ce stade, de croire si Chengzu le violait ou le baisait, tant les sensations se mélangeaient. Le temps défilait, rythmé par les coups de reins de Chengzu, qui redevint peu à peu l’Hitsuji dont Theorem pouvait vanter les talents. En grognant encore, Chengzu amplifia le rythme, et commença à joyeusement bourrer l’arrière d’Akimbo. Il attrapa son bras, et le coinça dans son dos, lui faisant sa clef de bras, tout en usant son autre bras pour l’enrouler autour du cou d’Akimbo, maintenant ainsi le contact.
« Tu aimes ça ? Te faire enculer comme un chien pendant que je t’étrangle ? Ma parole, tu es encore pire que Theorem, toi ! » gronda-t-il.
Le désir l’envahissait, furieux et intense. Chengzu continuait à le prendre sans relâche, et, dans un grognement, s’abandonna dans le postérieur d’Akimbo. Il se mit à jouir avec force, et l’inonda en grognant, ses canines vampiriques pointant sur place. Il faillit le mordre, mais se retint de justesse, se contentant d’un suçon marqué, tout en s’abandonnant avec appétit dans le fondement de son partenaire. Chengzu soupira lentement, et se recula ensuite. Dans l’habitacle du sous-marin, étroit, il faisait très chaud, comme un délicieux cocon. Akimbo se retourna alors, et Chengzu l’enlaça alors, avant de lui sourire doucement. Il constata qu’il le dominait légèrement, un peu plus grand que lui.
« Ishtar n’a pas dû souvent te prendre, toi… J’ai la queue en feu… »
Il lui sourit alors, et constata que de la buée se formait sur le verre de ses lunettes.