Expérimentations (avec Aruba)
Posté : 11 sept. 2024 01:53
Derrière le faste du restaurant nommé la Deliziosa Demone se trouve des pièces bien moins chatoyantes. Du genre couloir qui donne l’impression d’être gris, terne, alors qu’une tapisserie dans les tons bordeaux est agrémentés de motifs géométriques en répétitions. Mais le couloir a mal vieilli. Et s’il y a des traces d’un entretien, on remarque assez vite que les hauteurs sont bien plus délaissées. La faute à la progéniture de Maurice qui ne sont encore que des enfants. Car ce sont eux qui passent le balai pour chasser les araignées. Eux qui brossent le vieux parquet à quatre pattes en faisant d’incessants allers-retours. Ils ne s’en rendent pas compte au vu de leur « éducation » (qui n’est autre qu’un dressage) et croient que laver est une sorte de jeu.
Actuellement, il n’y a personne dans le couloir. Si ce n’est Maurice lui-même et une étrange compagnie. La peau trop bronzée alors que tous les habitants d’Auris sont plutôt pâles. A cause d’usines proférant quantité de fumée noire et d’un soleil timide. Cette peau met en évidence une longue crinière blanche. Et que dire de cette paire d’oreilles pointues ? Mais ce qui attire vraiment les yeux de Maurice et il ne s’en cache qu’à moitié, c’est la paire de sein de son interlocutrice.
« On va se tutoyer. »
Ce n’est pas une question. Il décide que la réalité sera ainsi. Ici, ce n’est pas un lieu de mensonge et de faste. Ce n’est pas la grande salle de son restaurant où il a déboursé une partie de son argent pour donner une impression de chaleur et de lumière. Ici, il n’est pas le gentil samaritain qui emploie de jeunes gens. Certains ayant eu une mauvaise vie. Que ce soit parce qu’ils étaient des victimes ou des bourreaux. Non, derrière le restaurant se trouve la maison de Maurice. Un endroit bien plus sombre. Bien plus en adéquation avec la couleur de son âme.
« Et on va pas perdre de temps. Regarde donc la gueule de ma démonne. »
Maurice fait coulisse une petite pièce métallique pour laisser apparaitre une fente qui permet d’observer le contenu de la salle derrière la porte. Une grande pièce vide avec en son centre une magnifique femme d’une beauté qui apparait pourtant banale. Elle parait bien nourrie dans sa robe qui lui colle au corps. Une belle paire de seins et de fesses sans être vraiment gros. Même sa coupe de cheveux brune et ses yeux de couleurs bruns sont dans l’ordinaire. Mais il y a un charme tout particulier qui l’habille.
Quand soudain le poing de Maurice frappe avec violence la porte blindée de fer.
« Fais voir ta vraie gueule, sale démonne ! »
Le bruit de chaînes cogne lors de la transformation. Non, de la révélation du vrai faciès de la démonne. Il n’y a plus rien de beau. Cette parodie humaine qui mesure plus de deux mètres de hauteur. Ce corps entièrement nu, d’une couleur verte rappelant les marais fétides. Cette peau aussi épaisse que du cuir de qualité. Une apparence masculine si ce n’était la présence d’une anatomie intime parfaitement féminine. Et ce visage… Une paire de cornes courbée vers l’arrière de son crâne. Une paire d’oreilles pointues. Deux petits yeux rouges donnant l’illusion d’être capables du brasier de l’enfer. Et cette bouche aux crocs jaunâtres qui aimerait tellement bouffer son violeur et père de son engeance semi démoniaque.
« Voici la mère porteuse de ma progéniture. J’ai cru comprendre que ça t’intéressait. »
Maurice est habillé d’une façon plutôt classique et passe-partout pour ce monde. A savoir une chemise blanche engoncé dans un pantalon retenu par une paire de bretelles. Le tout agrémenté d’une sombre cravate. Maintenant qu’il est chez lui, Maurice a desserré le col de sa chemin et remonté les manches. Sans compter une bosse dans son pantalon apparu en même temps que la véritable apparence de sa prisonnière cornue.
Actuellement, il n’y a personne dans le couloir. Si ce n’est Maurice lui-même et une étrange compagnie. La peau trop bronzée alors que tous les habitants d’Auris sont plutôt pâles. A cause d’usines proférant quantité de fumée noire et d’un soleil timide. Cette peau met en évidence une longue crinière blanche. Et que dire de cette paire d’oreilles pointues ? Mais ce qui attire vraiment les yeux de Maurice et il ne s’en cache qu’à moitié, c’est la paire de sein de son interlocutrice.
« On va se tutoyer. »
Ce n’est pas une question. Il décide que la réalité sera ainsi. Ici, ce n’est pas un lieu de mensonge et de faste. Ce n’est pas la grande salle de son restaurant où il a déboursé une partie de son argent pour donner une impression de chaleur et de lumière. Ici, il n’est pas le gentil samaritain qui emploie de jeunes gens. Certains ayant eu une mauvaise vie. Que ce soit parce qu’ils étaient des victimes ou des bourreaux. Non, derrière le restaurant se trouve la maison de Maurice. Un endroit bien plus sombre. Bien plus en adéquation avec la couleur de son âme.
« Et on va pas perdre de temps. Regarde donc la gueule de ma démonne. »
Maurice fait coulisse une petite pièce métallique pour laisser apparaitre une fente qui permet d’observer le contenu de la salle derrière la porte. Une grande pièce vide avec en son centre une magnifique femme d’une beauté qui apparait pourtant banale. Elle parait bien nourrie dans sa robe qui lui colle au corps. Une belle paire de seins et de fesses sans être vraiment gros. Même sa coupe de cheveux brune et ses yeux de couleurs bruns sont dans l’ordinaire. Mais il y a un charme tout particulier qui l’habille.
Quand soudain le poing de Maurice frappe avec violence la porte blindée de fer.
« Fais voir ta vraie gueule, sale démonne ! »
Le bruit de chaînes cogne lors de la transformation. Non, de la révélation du vrai faciès de la démonne. Il n’y a plus rien de beau. Cette parodie humaine qui mesure plus de deux mètres de hauteur. Ce corps entièrement nu, d’une couleur verte rappelant les marais fétides. Cette peau aussi épaisse que du cuir de qualité. Une apparence masculine si ce n’était la présence d’une anatomie intime parfaitement féminine. Et ce visage… Une paire de cornes courbée vers l’arrière de son crâne. Une paire d’oreilles pointues. Deux petits yeux rouges donnant l’illusion d’être capables du brasier de l’enfer. Et cette bouche aux crocs jaunâtres qui aimerait tellement bouffer son violeur et père de son engeance semi démoniaque.
« Voici la mère porteuse de ma progéniture. J’ai cru comprendre que ça t’intéressait. »
Maurice est habillé d’une façon plutôt classique et passe-partout pour ce monde. A savoir une chemise blanche engoncé dans un pantalon retenu par une paire de bretelles. Le tout agrémenté d’une sombre cravate. Maintenant qu’il est chez lui, Maurice a desserré le col de sa chemin et remonté les manches. Sans compter une bosse dans son pantalon apparu en même temps que la véritable apparence de sa prisonnière cornue.