The Multiversity

Remuant sur place, Bubble porta le coup final. Elle venait de donner un solide coup de pied qui frappa Sarah Bryant au ventre. Si Bubble était peu vêtue, Sarah, elle, se battait avec une combinaison bleue moulante électrique. C’était la finale d’un tournoi de MMA, et le combat était rude. Bubble s’était longuement battue à travers les épreuves, et Sarah était un adversaire redoutable. Le combat entre les deux femmes fut éprouvant. Bubble compensait son manque de musculature par son agilité, mais c’était aussi le cas de Sarah Bryant. La belle blonde opta pour ses coups spéciaux lors du combat, des coups de pied qu’elle lançait en bondissant dans les airs, suite à des roulades aériennes. Bubble se protégea de cette attaque en croisant ses bras au-dessus de sa tête, et enchaîna à son tour, décochant coups de pieds et coups de poings.

Le combat était intense, sous les yeux d’un public exsangue et de caméras qui les fixaient. À plusieurs reprises, Bubble faillit perdre le combat. Sarah réussit notamment à l’étrangler en la couchant. Elle serrait son bras contre sa nuque en s’allongeant sous Bubble, qui était au-dessus d’elle. Fort heureusement, Bubble s’était entraînée pour contrer ce genre d’attaques, et réussit à se défaire de la prise. Très concentrée, elle était bien résolue à remporter ce championnat. Sarah Bryant n’était toutefois pas décidée à perdre contre ce qu’elle considérait comme une nouvelle venue, et les deux femmes continuèrent le combat.

Mais, finalement, ce fut Bubble qui remporta l’affrontement. Elle donna un ultime coup de pied qui frappa Sarah au visage, l’atteignant à la tempe, puis bondit sur elle en optant pour une prise redoutable. Elle s’appuya sur les cordes du ring pour sauter sur elle, ceinturant sa taille entre ses jambes, et cloua Sarah au sol. Pour l’empêcher de se relever, Bubble attrapa l’un de ses bras, et l’immobilisa, tout en bandant ses muscles, tenant le coup. Furieuse, Sarah se débattait sur place, tandis que la foule prononçait les secondes du compte à rebours. Si Bubble l’immobilisait une dizaine de secondes, elle remporterait le combat.

« 10… 9… 8… 7… 6… »

Tenir n’était pas si simple que ça. Maria grogna encore. Elle était plutôt mauvaise joueuse, alors elle ne voulait clairement pas perdre. Elle serra encore, grognant sous l’effort, sentant son adversaire se débattre encore… Mais le décompte final sonna enfin, et Bubble relâcha la pression.

Elle soupira doucement, comme ailleurs, yeux clos, et ne les rouvrit que quand elle vit la main tendue de Sarah Bryant pour l’aider à se relever.

« Bravo, petite… »

Bubble savait que les autres ne la regarderaient plus comme avant. Même Rose allait devoir la prendre au sérieux, maintenant ! Maria sourit alors, et attrapa sa main, puis se redressa ensuite. L’arbitre se rapprocha, et attrapa le poignet de Bubble, puis lui fit lever le bras.

« Notre championne… BUBBLE !! »

Bubble sourit joyeusement, mais elle avait encore en elle un trop-plein d’énergie qui ne demandait qu’à sortir. L’adrénaline battait furieusement dans ses veines, et Bubble ne demandait qu’à l’expulser. Elle savait qu’elle allait avoir des fans à croiser ensuite… Bubble espérait juste en trouver un bien baraqué pour célébrer cette victoire comme cela se méritait !

Bubble sentait son sang bouillonner dans sa poitrine. Après une séance de combat comme ça, elle avait toujours envie de faire l’amour, de soulager ses pulsions. L’adrénaline n’était pas encore redescendue, et c’était précisément pour ça que Poison avait développé le sex fighting, pratique prévoyant une séance de sexe après le combat. Mais Bubble avait participé à un tournoi plus classique. Tout en quittant le ring, elle vit ses fans se rapprocher. Ici, les mâles étaient tolérés sans grande difficulté. Ils aimaient ce genre de spectacles, et les combattantes étaient connues pour apprécier les hommes plus que les femmes habituelles. Bubble n’y faisait pas exception, et elle se déplaça. Des agentes de sécurité écartaient les fans un peu trop excités, n’hésitant pas à utiliser des matraques électriques pour calmer les plus excités. C’était Bubble qui choisissait, et la personne était ensuite sélectionnée.

Tout en marchant, elle récupéra une serviette qu’elle mit autour de sa nuque et une bouteille d’eau, qu’elle avala en avançant. Elle s’arrêta alors devant un solide costaud. Un vrai bûcheron, dominant les autres par sa carrure et sa stature, qui arracha son haut en hurlant d’une voix rauque qu’elle l’inspirait. Bubble sourit brièvement, reconnaissant le gars qui avait beuglé en plein combat. Surprise, Bubble avait même tourné la tête, sans pouvoir identifier la voix en question. Elle ne dit rien, si ce n’est un léger sourire, puis se déplaça. Quand sa manager se rapprocha pour la féliciter, Bubble savait quoi lui dire.

« Bravo à vous, Bubble, vous avez été incroyable ! Vous étiez donnée perdante, alors nous avons fait des gains…
-  Le grand costaud torse nu dans le couloir… Conduisez-le à ma loge, j’ai envie de le baiser. »

La manager rougit. Pour elle, coucher avec un mâle était assez infamant, mais elle n’allait pas critiquer cela. Ce n’était pas illégal, bien sûr, mais c’était tout de même… Indécent !

« Vous êtes sûre ? Il y a plein de groupies qui…
-  Retrouvez-moi ce mec, ou je vous vire, Stella ! »

Stella s’empourpra encore, puis se retourna. Elle portait un tailleur strict avec un chignon refermé sur ses cheveux blonds, et prit son courage à deux mains pour inviter Balthazar.

Bubble, de son côté, fila dans sa loge, et s’étira ensuite. Elle se dirigea vers le minibar, sortit une bière, et récupéra son téléphone portable. Un léger sourire orna ses lèvres en voyant un SMS de Rose. Sa concurrente et potentielle copine avait vu le combat, et la félicita à sa manière : « Tu m’as presque impressionné ». Bubble sourit, et lui répondit sur le même ton, puis s’assit sur son fauteuil, un pied posé sur la table basse. Il y avait un lit dans le coin, et elle avala plusieurs gorgées de la bouteille, avant de roter.

*J’espère que ce type est aussi bien équipé qu’il est musclé…*

Depuis que Bubble avait couché avec Poison, elle était habituée à se faire baiser… Puissamment. Son fan avait intérêt à être à la hauteur !

Un astre étincelant dans la noirceur d'une nuit d'ébène, une bouée dans un océan déchainé, une capote isolée au cœur d'une foule de MST! Bubble s'était arrêtée face à lui  et avait sourit, reconnaissance ultime de la valeur de Balthazar. L'homme avait joué des pecs et répondant au pli malicieux qui avait étiré les lèvres de la combattante. Un message était passé entre eux, d'un côté l'assurance de donner son corps sans réserve, de l'autre, celle de tout faire pour amener sa partenaire au panthéon du sexe. Il allait la détruire méthodiquement.

Et puis elle disparut, emporté par le flot d'ovations et le service de sécurité. Leur bref échange n'avait pas échappé aux autres fans et un silence de mort s'était figé aux abords proches de Balthazar. Les regards étaient mauvais et les visages crispés sur des rictus de jalousie. Un abruti menaça le colosse du poing.

"Jamais tu toucheras Bubble! J'vais t'arracher les couilles!"

Les autres débiles approuvèrent en chœur.

Devant l'horreur de cette déclaration qui augurait des douleurs infinies, Balthazar écrasa sa grosse paluche dans la face de ce misérable, à titre de prévention. Le type bascula en arrière, son nez pulvérisé libérant une gerbe de sang. A nouveau le silence se fit.

"Bandes de fils de putes! Vos chiennes de mères devraient avoir honte d'avoir chier des ordures telles que vous. Vous troublez l'honneur de Bubble en vous comportant ainsi, sales bâtards! Et faites attention à votre langage putain, on est dans un pays civilisé ici!"

Il transpirait d'indignation, les veines de ses muscles d'acier gonflaient sous la pression sanguine, ses babines s'étaient retroussées alors que la rage l'animait. Les importuns reculèrent, de peur et par lâcheté.

"Peuuuuh! Vous ne méritez pas de supporter Bubble!" Et d'un geste impérieux ...

"Je vous radie de son fan-club et la sentence est irrévocable!"

Ca sonnait bien et c'était approprié à la situation. il avait retenu ce commentaire d'une émission terrienne à la con et le trouvait adapté. Certains, dans les derniers rangs, protestèrent mais l'irruption d'une blondinette en tailleur mit fin au débat. Elle fonça droit sur Balthazar et lui intima l'ordre de la suivre. Pas vraiment agréable, elle ne répondait à aucune question du géant. Tant pis, au moins, il pouvait mater son cul, serré dans sa jupe impeccable. Une parfaite secrétaire. Est-ce qu'elle se faisait troncher par son patron? Balthazar n'était pas trop au fait du système sociétal d'Uatis. Dans son imaginaire erroné, l'homme bandait et la femme écartait les cuisses. Il en était ainsi, et lui dominait la masse masculine de son magnétisme sexuel, bien évidemment. Il reporta son attention sur le petit cul qui se dandinait devant lui. Quelque chose d'important se passait, l'aboutissement de sa quête était proche. Où l'emmenait-elle?

"Dites moi, gente ... blonde, m'emmenez vous dans votre étude pour ausculter mon corps d'athlète? Pourquoi rougissez-vous quand vous me regardez? Vous ... kiffez mes abdos?"

Elle ne répondit pas, faussement dédaigneuse. La situation devenait gênante. Enfin, elle s'arrêta devant une porte sobrement intitulée 'vestiaires' et daigna parler d'une voix lourde de reproche.

"Vous prenez une douche et nettoyez bien ... tout. A l'issue, vous passez ce peignoir. Il me faut une goutte de votre sang que vous extrairez avec ce kit. C'est pour les maladies..."

"MAIS AVEC PLAISIR PETITE ... BLONDE! JE ME DEPECHE!"

Et en effet, la douche fut rapide mais maitrisée, puis à l'aide d'une petite aiguille, il imbiba un coton d'une goutte de sang. Le peignoir passé, il rejoignit Miss Cul Serré dans le couloir et lui tendit le tout qu'elle scanna avec un petit appareil.

"C'est bon! Vous êtes sain. notre championne Bubble n'aura pas de surprises."

"PUTAIN QUE NON ELLE N'EN AURA PAS, MON FOUTRE EST UN NECTAR BENI DES DIEUX!"

L'autre haussa les yeux, atterrée.

Le graal enfin, c'était bien Bubble qui le faisait mandé. Sous le peignoir, sa trique s'ériga en une obélisque monumentale et quand par mégarde il poussa contre le dos de son guide, celle-ci couina de surprise. Quelques mètres plus loin, elle frappait à une porte, attendit la réponse, ouvrit et fit signe à Balthazar d'entrer. La porte claqua derrière lui.
Elle était là, enfoncée dans son fauteuil à s'hydrater - bon point, c'est important de continuer à boire après l'effort - toujours dans sa tenue ultra sexy qu'elle portait lors de son combat.

Balthazar sourit, du genre de sourire ravageur qui faisait défaillir les putes de rue.

"MERCI BUBBLE!" Pourquoi gueulait-il encore?

"Je m'appelle Balt... Brian, et je suis depuis aujourd'hui ton plus grand fan. Te rencontrer me ravit et je ne te décevrai pas. Nous allons faire trembler les murs de cette arène et je te libèrerai de la rage du combat!"

Il ouvrit son peignoir qu'il laissa glisser le long de son corps. Sa queue pointait fièrement, tellement énorme qu'elle en paraissait irréelle.

"Regarde ce que tu vas prendre ..."

Il faillit rajouter sale chienne mais s'abstint. un doute l'avait saisi quand à l'opportunité de l'appeler tout de suite comme ça.

Son esprit travaillait follement. Il se repassait toutes les vidéos pornos qu'il avait vu et essayait d'établir une chronologie. S'il s'écoutait, il la prendrait tout de suite par le cul mais là encore, il eut un doute. Il fallait faire un geste courtois avant de passer aux trucs crades. Peut être lui baiser la gueule tant qu'elle était assise? Non, non plus!

Il aimait bien le regard de la guerrière, malicieux, exigeant, peut être provocateur et salement salace. Il la contourna et posa ses grosses mains sur ses épaules musclées, il pressa jusqu'à ce qu'elle tressaille. La voix de Bubble était magnétique, elle aurait fait bander et gicler un eunuque vétéran. De sa positon, Balthazar lorgnait sur sa poitrine parfaite et ses cuisses fuselées. Il se voyait déjà glisser sa queue sous sa brassière pour une branlette espagnole d'anthologie ... mais pas tout de suite. Il la sent, veut la palper, explorer tous ses plis et moiteurs cachées. L'homme se penche sur le dossier du fauteuil la surplombant et passe sa grosse main dans le maillot imbibé de sueur. Ses doigts devine la chatte trempée, glisse entre les lèvres, la pénètre sans effort et se crochètent dans son vagin. Deux doigts, l'équivalent de la bite d'un mec bien branlé. il la doigte sans ménagement, sûrement, facile, c'est dur de foirer ce truc là et il peut se permettre de réfléchir à la suite. Des années de visionnage de  Pornhub l'ont formé à bien des choses ... théoriques. Au pire, il cachera sa maladresse dans la brutalité ...

Bubble avait envie de baiser. Alors, certes, elle pouvait appeler une prostituée, une Gynoïde, une Futa’, voire une F-Girl, mais, puisqu’elle avait un troupeau de mâles idiots en rut, elle en trouverait bien un pour la torcher. Rose n’était pas là pour assumer ce rôle. Son amante et rivale était une femme terrifiante au lit, une Futanari qui la baisait avec une force incroyable à chaque fois, lui détruisant le corps à chaque fois. Elle songeait à tout cela tout en surfant sur les réseaux sociaux. Sa performance était évidemment commentée, ainsi que des détails plus intéressants. Un zoom sur son cul, sur ses seins… Le sexe n’avait jamais dérangé Bubble, qui finit sa bière. Elle entendit ensuite des bruits de pas, et la porte s’ouvrit.

Stella laissa passer le fan bien baraqué. En peignoir, il ressortait de la douche, et se rapprocha rapidement. Et, avant même que Bubble ne puisse se mettre à parler, l’homme éructa sa joie en se déshabillant. Un corps massif, bien musclé, avec une verge très agréable qui pointait vers le plafond, trahissant son excitation sexuelle. Bubble le regarda en se pinçant les lèvres, tandis que Balthazar se rapprocha, et ne tarda pas à l’envahir. Il posa ses grosses mains sur ses épaules, et en approcha une de sa chatte… Ce qui amena à une réponse immédiate.

*Les hommes, de vraies bêtes sauvages !*

Bubble le repoussa du genou, et Balthazar heurta un bout de la table basse, et tomba au sol. Le temps pour lui de réagir, et Bubble grimpa à califourchon sur lui. Elle était plus légère que lui, mais elle savait se battre. Elle avala encore une gorgée de bière avec sa bouteille, puis regarda l’homme.

« On va instaurer quelques règles, mon chéri, okay ? Tu es peut-être baraqué comme un taureau et monté comme un cheval, mais c’est moi qui domine ! Alors, si tu t’avises encore de l’oublier, je te castre ! »

Elle avala encore une gorgée de bière, puis posa la bouteille sur la table basse, et se pencha vers lui. Son haleine imbibée d’alcool souffla sur les lèvres du grand costaud.

« Que t’aies une grande gueule, je m’en fous, je veux juste que tu me sautes ! »

De la main, elle se releva. Bubble glissa sa main entre ses cuisses, et tira, retirant sa culotte. Elle ne portait plus que son minishort, et frotta sa chatte contre la verge de l’homme, qu’elle guida en l’attrapant d’une main… Puis s’empala dessus en soupirant.

« Hrrrmpff… Oh putain ouais ! » gémit-elle, tout en commençant à danser dessus.

Bubble avait rapidement pris les rênes, mais elle était loin de se douter que cet homme brut de décoffrage était encore vierge. À dire vrai, une telle information l’aurait assurément surprise, vu la manière très brusque qu’il avait d’agir. Néanmoins, quand elle s’empala sur sa grosse verge, et qu’elle sentit cette jouissive douleur exploser dans ses entrailles, Oh, comme elle aimait ça ! Cette belle queue tendue, impatiente, prête à rugir en elle ! Bubble gémit encore. Elle, elle aimait le sexe intense, à tel point que c’en était dangereux pour sa santé. Les préliminaires la motivaient très peu, et la seule exigence qu’elle fournissait à ses amants était de la baiser très fort ! Des instructions que ceux-ci accomplissaient souvent sans vergogne, et elle avait le sentiment que ce serait pareil avec Balthazar. Il était bien musclé, et aussi bien bâti que vulgaire. Mais cela ne dérangeait pas Bubble, elle avait juste besoin de tirer un coup, de décompresser après ce combat.

« Hmmm… Ouais, putain, t’as… Haaaa… Ce que t’es bien branlée, bordel ! »

La jeune sportive reprenait son souffle. Elle n’était effectivement pas très grande, et avait le profil de poids plume. Elle n’était pas taillée pour affronter des femmes comme Rose, mais, pour se taper des mecs comme lui… Ah, ça, aucune difficulté, vraiment ! Elle sentait cette épaisse verge s’enfoncer profondément en elle. Elle sentit les mains de l’homme serrer ses hanches, et forcer sur son corps. Elle était une véritable poupée de muscles, surtout face à ce type taillé comme un bûcheron !

Bubble soupira une nouvelle fois, rougissant sur place. La chair claquait contre la chair, ce qui était particulièrement délectable. Balthazar remua alors à nouveau, et la renversa. Bubble se laissa faire, tombant sur le tapis, et sentit l’homme s’aplatir sur elle, l’écrasant avec ses muscles. Ses jambes se relevèrent, et Bubble les enroula autour de sa taille. Elle serra, et posa une main sur son épaule, l’autre sur sa nuque, et lui vola un baiser fougueux.

« Hmmm… ! »

Han, quel pied ! Elle avait encore envie de le sentir en elle, et était bien décidée à lui laisser les commandes… Car, à défaut d’être aimable, il était en rut, l’étouffant à moitié. À ce rythme, il risquait toutefois de vite s’épuiser !

Elle n’avait pas demandé ce grand âne musclé pour son romantisme ou ses capacités à la séduire. Non, Bubble voulait juste se faire troncher, elle avait juste envie d’une séance de baise intense et douloureuse. Habituellement, elle laissait cela à Rose. Sa partenaire musclée et géante prenait toujours un malin plaisir à la baiser méthodiquement et puissamment, mais Bubble, contrairement à bien des Uatéennes, ne désapprouvait nullement le contact des mâles… Surtout ceux aussi bien musclés que ce Balthazar ! Prenant tranquillement ses aides, Balthazar finit par la soulever, et la plaqua douloureusement contre le mur de la loge. Ils étaient proches du meuble d’essayage, et Maria récupéra l’office de ses jambes. Tandis que Balthazar cherchait à nouveau à la pénétrer, elle sentit sa verge glisser contre elle, frottant contre ses fesses, avant de retourner se loger dans sa chatte humide.

« Haaaa… »

Les yeux de Balthazar se voilèrent pendant quelques secondes tandis que Balthazar remontait en elle, remplissant encore son con avec son puissant membre. Ah, oui ! Voilà ce qu’elle demandait, voilà ce que son corps réclamait ! Ses jambes s’enroulèrent autour de sa taille, et elle posa sa main sur son torse, griffant nerveusement ce corps musclé et bien bâti, tandis que son autre main s’appuyait sur son épaule.

Balthazar continuait à la prendre avec force, et Bubble se rapprocha, venant l’embrasser. Un baiser appuyé et soutenu, qui ne dura pas très longtemps, vu que son petit corps remuait d’avant en arrière. Bubble était certes une combattante, mais elle était aussi petite, et était un poids plume contre un homme comme Balthazar.

« Pu-Putain, tu es doué, haaa… Baise-moi encore, décharge-toi en moi, hmmm… ! »

Elle voulait continuer à se faire baiser par lui. Leur soirée ne faisait que commencer !

La manière dont Balthazar la baisait avait quelque chose de féérique. C’était de la baise pure et dure, du sexe sauvage, sans sentiment, sans émotion inutile, sans fioritures… Juste un homme et une femme s’adonnant à de plaisirs bestiaux, renonçant pendant quelques instants à toute civilisation, redevenant des bêtes sauvages, des êtres préhistoriques qui s’envoyaient joyeusement en l’air, qui baisaient mutuellement avec une férocité sans pareille… Et, dans ce domaine, Balthazar s’avérait particulièrement doué ! Il souleva Bubble, et l’envoya s’affaler douloureusement sur un tabouret. Celle-ci s’écrasa dessus en gémissant, et entendit l’homme expliquer qu’il avait très envie de « l’enculer ».

« Hnnn… »

Elle n’eut pas l’occasion de répondre qu’il attrapa ses mains, les immobilisant, s’en servant comme appui. Elle aurait aimé qu’il empoigne ses cheveux, qu’il tire dessus, qu’il la fasse hurler, qu’il la baise en la battant, qu’il l’humilie et l’insulte ! Raah, ces hommes, que de la gueule, mais ils n’osaient jamais aller jusqu’au bout ! Bubble sentit au moins son épais membre la pilonner avec fureur. Elle gémit, et hurla même, de la salive s’écoulant de ses lèvres, et sentit l’homme remuer encore en elle.

« Hmmm… !! »

Sous ses puissants coups de reins, le tabouret grinçait. En sueur, Bubble trouvait la position assez inconfortable, car le tabouret lui rentrait dans le ventre. Elle grogna encore, jusqu’à sentir Balthazar jouir puissamment en elle, brisant le tabouret dans la foulée. Les pieds de celui-ci craquèrent, et les deux amants tombèrent lourdement au sol, le corps massif de Balthazar heurtant le sien. Bubble soupira, et éternua ensuite, sentant toujours une pointe dans son ventre.

Elle se redressa, et le vit se relever, la queue tendue. Bubble soupira alors, croisant son regard.

« Tu as avalé ta langue au chat ou quoi ? Tu es vraiment bien monté, en tout cas. »

Sa main se posa sur sa verge, et elle approcha son visage, léchant sa queue, prête à le pomper bien comme il fallait.

« Tu as pété mon tabouret… C’est pas très sympa, ça, tu es une vraie brute, toi ! Ça te plaît, hein ? On va jouer à un jeu… Je veux que tu me regardes… Là, comme ça. Fixe-moi bien, regarde-moi pendant que je vais te sucer… Regarde-moi pendant que je te suce comme une salope. C’est ça que tu veux, hein ? Une salope… Une grosse pute qui te suce la pine ! »

Dans le style poésie, Bubble faisait rêver ! Vulgaire, provocatrice, elle avait tout du garçon manqué par excellence !

Bubble avait vite compris que Balthazar ne serait pas un galant homme. Elle ne voulait pas d’un galant homme ce soir, mais d’un bon amant, soit-il idiot et machiste.  Cela semblait être le cas de Balthazar, qui grogna sur place tandis que Bubble suçait sa puissante queue. Tout ça l’excitait, grisant la jeune femme. Oh, comme elle aimait ça, oui ! Elle s’attaquait à ce puissant dard, glissant sa langue dessus, remontant sur cette verge, l’ornant de baisers et de coups de langue, comme une grosse glace bien juteuse. Elle l’entendait soupirer, relevant volontiers la tête. Elle admirait ce corps d’albâtre, ce colosse barbu qui se dressait devant elle. Il commença alors à réagir quand Bubble commença à le pomper vraiment. Après l’avoir titillé, elle passa aux choses sérieuses, et, en commençant à accélérer, elle joua aussi sur la frustration de Balthazar. Elle voulait l’énerver, le rendre plus violent, plus furieux… Car c’était comme ça qu’elle l’aimait ! Il réagit en conséquence, et posa ses mains sur sa tête. Ses doigts se serrèrent sur ses cheveux, et la jeune femme gémit lentement, avant de le sentir bander ses muscles.

« Hmmm… !! »

Avec la bouche pleine, il était impossible pour elle de parler, alors elle le laissa faire ! Balthazar commença à la prendre avec appétit, s’enfonçant dans sa bouche, donnant de solides coups de reins. Il grogna sur place, et commença peu à peu à amplifier le rythme de cette fellation, inversant la position. Ce n’était plus Bubble qui le suçait, mais lui qui la baisait ! Elle n’allait pas s’en déplaire. Il accompagna cela d’une flopée de jurons, grognant sur place. Sa queue puissante la labourait, continuant à la prendre énergiquement, amplifiant le rythme. Il grogna sur place, la prenant avec force, avec sauvagerie, avec passion ! Bubble n’en demandait pas tant, et elle sentit ses joues s’empourprer sous l’effort. Le plaisir se mit à croître encore en elle, venant réchauffer l’intérieur de ses cuisses. Sa tête filait d’avant en arrière, les grosses mains de Balthazar la maintenant sur place. Il enfonçait sa trique jusqu’à la garde, étouffant Bubble, ses bourses claquant contre son menton, l’empêchant de retenir sa salive.

Quand il se retira, Bubble soupira longuement. Il l’avait à moitié étranglé, et, même pour elle, la cadence était quand même difficile à suivre ! Elle aspira donc l’air, son visage prenant une pose grotesque, et il recommença encore, s’enfonçant de nouveau en elle ! Les yeux de Bubble s’écarquillèrent brièvement, et elle soupira encore.

« Hmmm… Mmmhmm… !! »

Oh, quel pied ! Elle n’attendait plus qu’il se décharge en elle, qu’il vienne l’inonder de son sperme ! Car, à ce rythme, et au vu de la dureté de sa verge, elle s’attendait bien à le sentir jouir rapidement, ce qui ne manquait pas de chaudement l’exciter !

Balthazar était en train de lui défoncer la bouche. L’homme musclé la baisait intensivement, sans aucune considération pour sa santé ou plus précisément pour l’état de sa bouche. Ses mains se serraient sur sa tête, pinçant ses cheveux, et sa grosse queue s’enfonçait lourdement dans sa bouche, étouffant la jeune femme. Bubble clignait régulièrement des yeux, sentant cette grosse verge la pilonner avec force, avec rage, avec une passion indescriptible. Elle en avait du mal à respirer, sifflant par le nez, se tortillant sur place. Il l’insultait régulièrement, faisant preuve d’une imagination sans limites et d’une indélicatesse vis-à-vis de la gent féminine qui aurait pu lui valoir de finir en prison. En avait-il seulement conscience ? Bubble pouvait sincèrement en douter, vu la manière dont il s’enhardissait, dont il se laissait aller, puisant dans son énergie. Il grognait, sifflait, rageait, enchaînant les gorges profondes, maltraitant sexuellement Bubble. La jeune femme aurait pu s’en familiariser, mais le fait est qu’elle était plutôt ravie de la situation. Elle avait été claire dans ses intentions initiales : Bubble ne voulait pas faire l’amour, elle voulait baiser… Et, en l’espèce, se faire baiser. Balthazar s’appliquait donc à faire cela, avec une passion renversante.

« Hmmmm… !! »

Ne pouvant évidemment pas parler vu ce qui la remplissait, Bubble continuait à se faire ravager, humilier, jusqu’à ce que Balthazar ne ralentisse légèrement la cadence. Il soupira alors, et se mit à jouir. Un orgasme puissant et intense, qui l’amena à enfoncer de nouveau sa trique dans la bouche. Un puissant orgasme le traversa, et Bubble couina silencieusement, sentant la vague de foutre la remplir. Balthazar jouit copieusement, l’inondant, et tituba ensuite. Il se retira de la bouche de Bubble, et s’affala sur le fauteuil en face, tandis que Bubble finit à quatre pattes. Elle cligna des yeux, et éternua ensuite, quand l’air vint à nouveau remplir sa bouche. Bubble en avait eu les larmes aux yeux lors de cette pénétration lourde, sous l’effet de l’asphyxie. Elle éternua donc, avant de se relever. Balthazar n’en avait pas encore fini avec elle, et lui demanda de le chevaucher.

Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, reprenant son souffle, massant sa nuque.

« Tu… Tu as failli m’étouffer, salaud ! »

Bubble ferma les yeux, en retrouvant le contrôle de sa respiration. Puis, elle se rapprocha de l’homme, et grimpa sur le fauteuil, enfonçant ses jambes dans le fauteuil, à gauche et à droite de Balthazar, et posa ses mains sur son torse en sueur. Son bassin frotta la verge de Balthazar, et, semblant enfin reprendre des couleurs, elle le titilla alors :

« Tu es sûr d’en avoir encore à revendre, papy ? Vu comment tu t’es défoulé sur moi, j’espère que tu n’as pas grillé toutes tes réserves… »

Elle déplaçait son bassin, frottant sa verge, rapprochant ses lèvres intimes de son membre, et finit par déplacer sa main. Elle attrapa cette hampe de chair, et l’orienta entre ses lèvres intimes, frémissant en sentant à nouveau ce gros mandrin rentrer dans son corps…

Balthazar était un amant brutal, aussi brutal qu’endurant. En d’autres circonstances, il aurait pu finir dans une prison uatéenne, tant il était sauvage et irrespectueux ! Mais c’était tout ce dont Bubble avait besoin ce soir ! Tandis qu’elle le sentait s’enfoncer en elle, Bubble n’hésita pas, répondant à ses coïts intenses par des griffes. Elle lacéra son dos musclé, entaillant sa chair, imprégnant l’homme de sa marque. Imperturbable, Balthazar continuait à la prendre avec force. Quel buffle ! Un vrai taureau assoiffé ! Rien n’était épargné à la jeune femme, dont les coups de reins se multipliaient. Il la déchirait de l’intérieur, et, si elle n’avait pas reçu une intense formation sexuelle de la part de Poison, Bubble aurait sans aucun doute eu du mal à tenir la cadence. Le rythme subi était incroyable ! Ce diable d’homme était une masse sexuelle, qui la fit jouir. Elle dé&glutit, et il la releva ensuite, cherchant à la sodomiser. Bubble se sentit partir pendant quelques instants, avant de revenir à elle quand la verge de Balthazar chercha cette fois l’accès à sa porte arrière.

« Gaaargh… !! Tu… Tu peux faire mieux que ça, Balthazar… »

Elle était bien décidée à lui rappeler qui elle était. Il la serrait fortement, mais, ne pouvant enfoncer sa verge en elle, il dut relâcher la pression pour attraper sa verge. Bubble en profita alors, et remua ses jambes et ses bras. Ses coudes frappèrent les bras de l’homme, et, dans lez même temps, elle le ceintura, le renversant. Déstabilisé, Balthazar tomba à nouveau au sol. Il allait encore se relever, mais Bubble se redressa à son tour, et se déplaça. Elle lui présenta alors une image, une position tirée du sex fighting qu’elle affectionnait tout particulièrement : une variante sexuelle du « full nelson ».

« Prends-moi comme ça… Je suis sûre que tu en es capable ! »

Bubble était de toute évidence en train de lui présenter l’un de ses fantasmes…

Bubble ne manquait pas de ressources. Bien au contraire, Balthazar se dit que si elle décidait de se déchainer, elle pourrait lui péter le blair ou même lui arracher une couille par mégarde. il fallait être prudent avec les panthères, les tenir à distance pour anticiper leur attaque. Ou alors, on fonçait droit dessus et on les explosait en premier. Prévenir c'est guérir hein?

Cette séance de cul n'autorisant aucune fuite ni aucun apaisement, le colosse fit ce qu'il faisait de mieux depuis qu'il était entré dans cette pièce: du martelage de bite, du tassage d'orifice et du remplissage de fosse. A terre, il s'était protégé le visage en levant les mains. Apparemment, Bubble remontait sur le ring sauf que l'adversaire maintenant, c'était lui. Bien sûr, les règles n'étaient pas les mêmes que pour un combat mais l'objectif restait de détruire celui d'en face. La lutteuse était cool et fair-play et lui offrit une façon de dominer la lutte à sa manière. Elle lui présentait son cul comme on exhibe un panier de crevettes à vendre et Balthazar frémit devant ce spectacle qui valait n'importe quel coming-out divin.

"Prends-moi comme ça… Je suis sûre que tu en es capable !"

C'était une évidence et pour confirmer, le géant colla une taloche magistrale à ce fessier.

"MONUMENTALE ERREUR BUBBLE! TU VAS DEGUEULER TES INTESTINS!"

Il la déséquilibra pour qu'elle bascule en arrière, droit sur sa queue dressée. Il visa juste, clignant de l'œil pour ne pas se louper et orienta son gland pour qu'il soit sur la trajectoire du fion de la salope. 50 kilos qui tombent sur une queue en érection, ça peut faire mal mais l'orbite était précise et l'impact entre le gland et la rondelle, parfaitement exécuté! Se redressant, Balthazar saisit les cuisses de la combatante pour la soulever et le poids de la bombe fit le reste. Elle s'empala d'elle même sur le pieu géant déjà lubrifié des sucs de sa gorge et de sa chatte. L'anus n'opposa là qu'une résistance de principe, une seule et courte seconde avant de céder et se dilater frénétiquement alors qu'un manche de chair hors norme l'envahissait.


"Sale petite pute! T'as un cul de déesse! Tu mériterais de n'être prise que par là! Ca te dirais ce titre en plus: The Anal Queen?"

Balthazar souffrait, la peau de son zob tirée à l'extrême, irritée par les parois sèches du rectum qui crevait autour de lui. Mais Bubble morflait aussi et ça, c'était une bonne chose!  Il était temps de la faire gueuler un peu. L'homme colla son torse au dos de la pute et passa ses bras sous les cuisses bronzées pour les ramener contre elle. Il les verrouilla avec ses coudes et nua ses doigts entre eux derrière la nuque de la miss. Bubble était contrainte et de pouvait plus que brailler. Ballthazar s'acharnait dans le cul dilaté. Son épais mandrin écartelait l'anus rougit qui saignait déjà. Il termina de le perforer assez vite, jusqu'à ce que Bubble soit assise sur ses grosses couilles. il était sûr que si elle ouvrait la bouche en grand, on pourrait voir le gland taper au fond. les minutes qui suivirent furent une destruction simple et méthodique de la star des rings. Après, Balthazar réussit à se lever et l'emmena devant un miroir pour qu'elle s'observe, radicalement soumise par une grosse bite de mec. Le géant fut vicelard. Il s'appliquait à la troncher de traviole pour qu'elle dérouille et usait de toute sa force de bourrin pour la faire monter et descendre sur le mat funeste. Il perdit même l'équilibre à un moment et s'écrasa en avant contre le miroir. Bubble était prise dans un étau. Sa gueule de chienne bavait conte la glace tandis qu'elle se faisait ramoner le fondement par un truc plus violent qu'un minotaure...

Bubble avait imposé le tempo à son partenaire. Elle avait envie de se faire sévèrement tringler, et, puisque celui-ci était du genre motivé, elle opta avec lui pour une posture des plus intenses, une posture qui rapprochait le sport de combat du sexe. Le full nelson était à la base une posture de catch, qui trouvait une variante sexuelle particulièrement lourde. Ce n’était pas quelque chose à tenter avec n’importe qui ! De fait, Balthazar était la deuxième personne qui tentait ça sur elle, la première ayant été Poison. Mais Poison était une actrice sexuelle légendaire. Balthazar ne s’en sortait toutefois pas trop mal, et réussit en tout cas la position. Avec délice, elle l’entendait grogner et jurer dans son dos, essayant de maintenir comme il le fallait la jeune femme. Une posture maladroite, incertaine, lourde et exigeante… Mais quel pied, assurément ! Bubble ne tarda pas à se mettre à hurler, sentant ses jambes se relever, défiant ses articulations. Il la maintint en position, son torse s’écrasant contre le dos de Bubble, et elle sentit la douleur l’envahir, de quoi la rendre folle !

« Haaaaa… !! »

Une vague incroyable se mit à l’envahir, une énergie folle et délirante qui explosait totalement en elle, envahissant tout ce qu’elle était, noyant tout dans un océan de stupre et d’effort physique. Elle grogna encore, et vit l’homme se rapprocher d’un miroir… Ou, plutôt, elle le sentit. Bubble grogna en sentant ses jambes heurter le miroir. Elle cligna des yeux, en sueur, se voyant tous les deux, méconnaissables. Bubble ressemblait à une espèce de folle en chaleur, de nymphomane remplie de stupre.

« Hmmmm… Pu-Puuutain, haaaa… !! »

Parler devenait un exercice très compliqué, auquel elle essayait de s’adonner, mais sa respiration précipitée, son souffle emballé… Tout chez elle traduisait l’excitation qu’elle ressentait, ce mélange sulfureux et extraordinaire de douleur et de plaisir. Elle aimait ça, elle en voulait encore… Encore !

« B-Baise-moi comme ça… Fais-moi oublier jusqu’à mon putain de nom, bordel !! »