Un astre étincelant dans la noirceur d'une nuit d'ébène, une bouée dans un océan déchainé, une capote isolée au cœur d'une foule de MST! Bubble s'était arrêtée face à lui et avait sourit, reconnaissance ultime de la valeur de Balthazar. L'homme avait joué des pecs et répondant au pli malicieux qui avait étiré les lèvres de la combattante. Un message était passé entre eux, d'un côté l'assurance de donner son corps sans réserve, de l'autre, celle de tout faire pour amener sa partenaire au panthéon du sexe. Il allait la détruire méthodiquement.
Et puis elle disparut, emporté par le flot d'ovations et le service de sécurité. Leur bref échange n'avait pas échappé aux autres fans et un silence de mort s'était figé aux abords proches de Balthazar. Les regards étaient mauvais et les visages crispés sur des rictus de jalousie. Un abruti menaça le colosse du poing.
"Jamais tu toucheras Bubble! J'vais t'arracher les couilles!"
Les autres débiles approuvèrent en chœur.
Devant l'horreur de cette déclaration qui augurait des douleurs infinies, Balthazar écrasa sa grosse paluche dans la face de ce misérable, à titre de prévention. Le type bascula en arrière, son nez pulvérisé libérant une gerbe de sang. A nouveau le silence se fit.
"Bandes de fils de putes! Vos chiennes de mères devraient avoir honte d'avoir chier des ordures telles que vous. Vous troublez l'honneur de Bubble en vous comportant ainsi, sales bâtards! Et faites attention à votre langage putain, on est dans un pays civilisé ici!"
Il transpirait d'indignation, les veines de ses muscles d'acier gonflaient sous la pression sanguine, ses babines s'étaient retroussées alors que la rage l'animait. Les importuns reculèrent, de peur et par lâcheté.
"Peuuuuh! Vous ne méritez pas de supporter Bubble!" Et d'un geste impérieux ...
"Je vous radie de son fan-club et la sentence est irrévocable!"
Ca sonnait bien et c'était approprié à la situation. il avait retenu ce commentaire d'une émission terrienne à la con et le trouvait adapté. Certains, dans les derniers rangs, protestèrent mais l'irruption d'une blondinette en tailleur mit fin au débat. Elle fonça droit sur Balthazar et lui intima l'ordre de la suivre. Pas vraiment agréable, elle ne répondait à aucune question du géant. Tant pis, au moins, il pouvait mater son cul, serré dans sa jupe impeccable. Une parfaite secrétaire. Est-ce qu'elle se faisait troncher par son patron? Balthazar n'était pas trop au fait du système sociétal d'Uatis. Dans son imaginaire erroné, l'homme bandait et la femme écartait les cuisses. Il en était ainsi, et lui dominait la masse masculine de son magnétisme sexuel, bien évidemment. Il reporta son attention sur le petit cul qui se dandinait devant lui. Quelque chose d'important se passait, l'aboutissement de sa quête était proche. Où l'emmenait-elle?
"Dites moi, gente ... blonde, m'emmenez vous dans votre étude pour ausculter mon corps d'athlète? Pourquoi rougissez-vous quand vous me regardez? Vous ... kiffez mes abdos?"
Elle ne répondit pas, faussement dédaigneuse. La situation devenait gênante. Enfin, elle s'arrêta devant une porte sobrement intitulée 'vestiaires' et daigna parler d'une voix lourde de reproche.
"Vous prenez une douche et nettoyez bien ... tout. A l'issue, vous passez ce peignoir. Il me faut une goutte de votre sang que vous extrairez avec ce kit. C'est pour les maladies..."
"MAIS AVEC PLAISIR PETITE ... BLONDE! JE ME DEPECHE!"
Et en effet, la douche fut rapide mais maitrisée, puis à l'aide d'une petite aiguille, il imbiba un coton d'une goutte de sang. Le peignoir passé, il rejoignit Miss Cul Serré dans le couloir et lui tendit le tout qu'elle scanna avec un petit appareil.
"C'est bon! Vous êtes sain. notre championne Bubble n'aura pas de surprises."
"PUTAIN QUE NON ELLE N'EN AURA PAS, MON FOUTRE EST UN NECTAR BENI DES DIEUX!"
L'autre haussa les yeux, atterrée.
Le graal enfin, c'était bien Bubble qui le faisait mandé. Sous le peignoir, sa trique s'ériga en une obélisque monumentale et quand par mégarde il poussa contre le dos de son guide, celle-ci couina de surprise. Quelques mètres plus loin, elle frappait à une porte, attendit la réponse, ouvrit et fit signe à Balthazar d'entrer. La porte claqua derrière lui.
Elle était là, enfoncée dans son fauteuil à s'hydrater - bon point, c'est important de continuer à boire après l'effort - toujours dans sa tenue ultra sexy qu'elle portait lors de son combat.
Balthazar sourit, du genre de sourire ravageur qui faisait défaillir les putes de rue.
"MERCI BUBBLE!" Pourquoi gueulait-il encore?
"Je m'appelle Balt... Brian, et je suis depuis aujourd'hui ton plus grand fan. Te rencontrer me ravit et je ne te décevrai pas. Nous allons faire trembler les murs de cette arène et je te libèrerai de la rage du combat!"
Il ouvrit son peignoir qu'il laissa glisser le long de son corps. Sa queue pointait fièrement, tellement énorme qu'elle en paraissait irréelle.
"Regarde ce que tu vas prendre ..."
Il faillit rajouter sale chienne mais s'abstint. un doute l'avait saisi quand à l'opportunité de l'appeler tout de suite comme ça.
Son esprit travaillait follement. Il se repassait toutes les vidéos pornos qu'il avait vu et essayait d'établir une chronologie. S'il s'écoutait, il la prendrait tout de suite par le cul mais là encore, il eut un doute. Il fallait faire un geste courtois avant de passer aux trucs crades. Peut être lui baiser la gueule tant qu'elle était assise? Non, non plus!
Il aimait bien le regard de la guerrière, malicieux, exigeant, peut être provocateur et salement salace. Il la contourna et posa ses grosses mains sur ses épaules musclées, il pressa jusqu'à ce qu'elle tressaille. La voix de Bubble était magnétique, elle aurait fait bander et gicler un eunuque vétéran. De sa positon, Balthazar lorgnait sur sa poitrine parfaite et ses cuisses fuselées. Il se voyait déjà glisser sa queue sous sa brassière pour une branlette espagnole d'anthologie ... mais pas tout de suite. Il la sent, veut la palper, explorer tous ses plis et moiteurs cachées. L'homme se penche sur le dossier du fauteuil la surplombant et passe sa grosse main dans le maillot imbibé de sueur. Ses doigts devine la chatte trempée, glisse entre les lèvres, la pénètre sans effort et se crochètent dans son vagin. Deux doigts, l'équivalent de la bite d'un mec bien branlé. il la doigte sans ménagement, sûrement, facile, c'est dur de foirer ce truc là et il peut se permettre de réfléchir à la suite. Des années de visionnage de Pornhub l'ont formé à bien des choses ... théoriques. Au pire, il cachera sa maladresse dans la brutalité ...