Aussi belle qu’intelligente, Excella Gionne était la richissime héritière du clan Gionne, un clan de banquiers italiens qui avaient fait partie à la Renaissance des banquiers lombards, ces prêteurs sur gages italiens qui avaient favorisé l’essor des banques. La mère d’Excella était quant à elle une savante travaillant au sein de TRICELL Inc., un conglomérat multi-industriel qui, par sa branche pharmaceutique, était inscrit à la Fédération mondiale des Sociétés Pharmaceutiques, une organisation mondiale dont la tête de proue était la célèbre firme Umbrella Corporation.
Suite au scandale de Raccoon City, la Fédération était tombée en disgrâce. Excella, de son côté, avait hérité de la gestion de TRICELL Inc., et, grâce à ses talents, avait profité de la liquidation de Umbrella Corporation pour récupérer quantité de ressources émanant de la célèbre firme : scientifiques, brevets, recherches, personnel… Excella était une surdouée qui avait sauté plusieurs classes, et qui avait hérité de la redoutable beauté qu’on prêtait aux Italiens. Elle avait aussi utilisé de chirurgie esthétique à l’aide d’un des mutagènes de la firme pour gonfler sa poitrine, et renforcer encore sa beauté. C’est dans le contexte du rachat d’une partie des actifs d’Umbrella qu’Excella avait rencontré Albert Wesker. Wesker avait remis à Excella les données de recherche top-secrètes d’Umbrella concernant le fameux Virus-T. Excella parvint ainsi à s’enrichir encore, au point qu’elle est aujourd’hui l’une des personnes les plus riches du globe, sa fortune dépassant au gré des actions et des valeurs boursières celle d’Elon Musk ou de Jeff Bezos. TRICELL était devenue une firme majeure, décriée par ses contradicteurs comme étant la « néo-Umbrella », et critiquant les activités de TRICELL sur le continent africain, que ce soit à travers l’exploitation de la population, les opérations de forage intensifs dans des secteurs agricoles, ou les relations troubles entretenues entre TRICELL et les seigneurs de guerre africains. Le fait est qu’Excella était très riche, très intelligente, très belle, et donc extrêmement orgueilleuse, et avec un mépris patenté pour la vie humaine.
Les excavations de TRICELL dans les souterrains de la région de Kijuju avaient permis à sa compagnie de mettre la main sur des fleurs très anciennes, objet de légendes locales. La fleur « Escalier du Soleil », découverte jadis par Umbrella dans les années 1960’s, puis redécouverte par TRICELL, contenait dans ses pétales un rétrovirus ancestral, baptisé « PROGENITOR ». Le virus PROGENITOR avait permis de concevoir le virus-T, et Excella était sur le point de concevoir une amélioration de ce virus, qu’elle avait baptisé « Uroboros ». Le virus Uroboros permettait, contrairement au virus-T, de conserver chez les sujets infectés des fonctions motrices et cérébrales, leur permettant notamment d’utiliser des armes à feu, des outils primaires, et d’incorporer des conséquences basiques. L’objectif était de concevoir un virus qui transformerait les cobayes, non pas en vulgaire zombies décérébrés, mais en machines à tuer. Cependant, Excella avait du mal à développer une souche stable, elle manquait de cobayes viables.
C’est dans ce contexte qu’Albert lui avait présenté récemment l’élément clef, la cobaye ultime.
Souriant doucement, Excella caressait la jambe de sa cobaye. Elle était endormie, et allait bientôt reprendre ses esprits.
« Elle a été infectée par le virus-T à Raccoon, et a été soignée à l’aide du vaccin. Je me suis dit qu’elle pourrait être le maillon manquant pour permettre d’exploiter Uroboros.
- C’est le cas. Les tests ont montré que le vaccin avait fait muter le virus-T dans son organisme. C’est désormais une souche récessive du virus PROGENITOR qui est en elle. »
Jill était une agente du BSAA, l’organisme conçu pour traquer les anciens dirigeants en fuite d’Umbrella, et lutter contre la prolifération des armes bio-organiques. Elle et Chris Redfield avaient remonté la trace du PDG d’Umbrella, Spencer, jusqu’à son manoir, mais, quand ils étaient arrivés, Albert Wesker avait déjà attaqué le manoir, tué les gardes de Spencer, puis ce dernier. Les deux agents l’avaient affronté, et Wesker s’était enfui en sautant depuis une fenêtre du manoir, lequel surplombait Jill, en emmenant Jill avec lui. La chute avait mortellement blessé Jill, et Albert l’avait soigné en lui injectant une dose de virus-T. Jill avait déjà été contaminée avec ce virus à Raccoon City, et soignée. Cette nouvelle dose ne l’avait pas transformé, mais avait permis d’aider à la soigner. Elle avait ensuite été plongée dans une cuve pendant des semaines dans le laboratoire d’Excella.
Maintenant que Jill était soignée, Excella comptait bien expérimenter sur elle le virus Uroboros, afin de faire d’elle la patiente zéro, à partir de laquelle Excella pourrait dupliquer le virus sur d’autres patients. Cette idée l’émoustillait donc, et elle tournait autour de la table sur laquelle Jill, totalement nue, était endormie. Elle avait des sangles autour des poignets et des chevilles, et Excella n’hésita pas à malaxer l’un des seins de Jill.
Albert était parti, laissant Excella seule avec son jouet.
« Tu es vraiment somptueuse, toi… »
Souriant, elle se pencha vers la femme, et l’embrassa sur les lèvres.
« Réveille-toi, ma belle au bois dormant, j’ai très envie d’expérimenter sur ton corps toutes mes merveilleuses inventions… »
Et, à cette idée, Excella se mit à glousser…
Suite au scandale de Raccoon City, la Fédération était tombée en disgrâce. Excella, de son côté, avait hérité de la gestion de TRICELL Inc., et, grâce à ses talents, avait profité de la liquidation de Umbrella Corporation pour récupérer quantité de ressources émanant de la célèbre firme : scientifiques, brevets, recherches, personnel… Excella était une surdouée qui avait sauté plusieurs classes, et qui avait hérité de la redoutable beauté qu’on prêtait aux Italiens. Elle avait aussi utilisé de chirurgie esthétique à l’aide d’un des mutagènes de la firme pour gonfler sa poitrine, et renforcer encore sa beauté. C’est dans le contexte du rachat d’une partie des actifs d’Umbrella qu’Excella avait rencontré Albert Wesker. Wesker avait remis à Excella les données de recherche top-secrètes d’Umbrella concernant le fameux Virus-T. Excella parvint ainsi à s’enrichir encore, au point qu’elle est aujourd’hui l’une des personnes les plus riches du globe, sa fortune dépassant au gré des actions et des valeurs boursières celle d’Elon Musk ou de Jeff Bezos. TRICELL était devenue une firme majeure, décriée par ses contradicteurs comme étant la « néo-Umbrella », et critiquant les activités de TRICELL sur le continent africain, que ce soit à travers l’exploitation de la population, les opérations de forage intensifs dans des secteurs agricoles, ou les relations troubles entretenues entre TRICELL et les seigneurs de guerre africains. Le fait est qu’Excella était très riche, très intelligente, très belle, et donc extrêmement orgueilleuse, et avec un mépris patenté pour la vie humaine.
Les excavations de TRICELL dans les souterrains de la région de Kijuju avaient permis à sa compagnie de mettre la main sur des fleurs très anciennes, objet de légendes locales. La fleur « Escalier du Soleil », découverte jadis par Umbrella dans les années 1960’s, puis redécouverte par TRICELL, contenait dans ses pétales un rétrovirus ancestral, baptisé « PROGENITOR ». Le virus PROGENITOR avait permis de concevoir le virus-T, et Excella était sur le point de concevoir une amélioration de ce virus, qu’elle avait baptisé « Uroboros ». Le virus Uroboros permettait, contrairement au virus-T, de conserver chez les sujets infectés des fonctions motrices et cérébrales, leur permettant notamment d’utiliser des armes à feu, des outils primaires, et d’incorporer des conséquences basiques. L’objectif était de concevoir un virus qui transformerait les cobayes, non pas en vulgaire zombies décérébrés, mais en machines à tuer. Cependant, Excella avait du mal à développer une souche stable, elle manquait de cobayes viables.
C’est dans ce contexte qu’Albert lui avait présenté récemment l’élément clef, la cobaye ultime.
Souriant doucement, Excella caressait la jambe de sa cobaye. Elle était endormie, et allait bientôt reprendre ses esprits.
« Elle a été infectée par le virus-T à Raccoon, et a été soignée à l’aide du vaccin. Je me suis dit qu’elle pourrait être le maillon manquant pour permettre d’exploiter Uroboros.
- C’est le cas. Les tests ont montré que le vaccin avait fait muter le virus-T dans son organisme. C’est désormais une souche récessive du virus PROGENITOR qui est en elle. »
Jill était une agente du BSAA, l’organisme conçu pour traquer les anciens dirigeants en fuite d’Umbrella, et lutter contre la prolifération des armes bio-organiques. Elle et Chris Redfield avaient remonté la trace du PDG d’Umbrella, Spencer, jusqu’à son manoir, mais, quand ils étaient arrivés, Albert Wesker avait déjà attaqué le manoir, tué les gardes de Spencer, puis ce dernier. Les deux agents l’avaient affronté, et Wesker s’était enfui en sautant depuis une fenêtre du manoir, lequel surplombait Jill, en emmenant Jill avec lui. La chute avait mortellement blessé Jill, et Albert l’avait soigné en lui injectant une dose de virus-T. Jill avait déjà été contaminée avec ce virus à Raccoon City, et soignée. Cette nouvelle dose ne l’avait pas transformé, mais avait permis d’aider à la soigner. Elle avait ensuite été plongée dans une cuve pendant des semaines dans le laboratoire d’Excella.
Maintenant que Jill était soignée, Excella comptait bien expérimenter sur elle le virus Uroboros, afin de faire d’elle la patiente zéro, à partir de laquelle Excella pourrait dupliquer le virus sur d’autres patients. Cette idée l’émoustillait donc, et elle tournait autour de la table sur laquelle Jill, totalement nue, était endormie. Elle avait des sangles autour des poignets et des chevilles, et Excella n’hésita pas à malaxer l’un des seins de Jill.
Albert était parti, laissant Excella seule avec son jouet.
« Tu es vraiment somptueuse, toi… »
Souriant, elle se pencha vers la femme, et l’embrassa sur les lèvres.
« Réveille-toi, ma belle au bois dormant, j’ai très envie d’expérimenter sur ton corps toutes mes merveilleuses inventions… »
Et, à cette idée, Excella se mit à glousser…