« Haaaa... Ouiiii... Hmmmmmm... Puuuutain, ouais, ta queue est si grosse, haaaaa, mon salaud... !! »
Elle poussait de profonds soupirs entrecoupés de jurons et de cris, faisant l’amour avec cette force et cette spontanéité qui la caractérisait. Dieu, Dieu, que c’était bon ! Ha, sentir ce membre remuer en elle, cet épais mandrin de chair, c’était... Hum ! Ciri’ sentait son trou se faire défoncer par la verge de son amant, et ses mains venaient se crisper sur ses épaules, le griffant légèrement, suffisamment pour lui faire mal, tandis que le lit, simple matelas utilisé dans une caserne militaire, grinçait furieusement sous leurs assauts.
Melendil n’était pas en reste, et, à sa manière, remuait également son bassin, donnant des coups de reins vers l’avant, ou usant de ses mains pour soulever et rabaisser le corps de Ciri’, en harmonie avec cette dernière. Et quel spectacle devait-il avoir ! Ciri’ se dandinait sur lui, faisant l’amour avec un homme comme elle avait toujours adoré le faire. Comme on pouvait le supposer, Cirillia aimait le sexe de manière sauvage, et elle avait deux positions privilégiées : soit dominer son amant en dansant sur lui, soit se faire prendre par l’arrière, en levrette. La position traditionnelle du missionnaire, par exemple, la fatiguait toujours un peu. Elle savait qu’Alice adorait ça, afin de se sentir écrasé par la suite sous les muscles et sous le poids de son amant, mais, pour elle, elle privilégiait davantage le mouvement, la rapidité, la force, et avoir une certaine forme de liberté corporelle. Se faire écraser sous un type couvert de sueur l’étouffait généralement, et, les rares fois où elle couchait dans cette position, une fois avoir joui, elle repoussait fréquemment son amant, que ce dernier se soit déchargé ou non.
Pour l’heure, Ciri’ se laissait aller, et finit par attraper les mains de Melendil, les guidant vers ses seins, durs, tendus, assoiffés.
« Hmmmm...Vas-y, palpe-les, pince-les, haaa... Explore mon corps comme tu explores celui d’Alice, hmmm... »
Cirillia était un peu plus corpulente qu’Alice, ce que Melendil devait sentir avec son corps. Pour autant, il s’en sortait bien... Et même terriblement bien. Sous les féroces coups de reins de l’homme, Cirillia haletait, mouillant énormément, recouvrant le sexe de l’homme, s’empalant parfois jusqu’à la garde, et se forçant alors à rester immobile pendant quelques secondes, juste pour sentir cette grosse queue écarteler son corps, avant de remuer ensuite.
« Hmmmmmmmmmmmm... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! Melendil, hummmm... !! »
Oh oui, Alice devait vraiment prendre son pied avec lui. Cirillia, en tout cas, se régalait franchement !