The Multiversity

Jeannie incarne:

Alix Cindra Erling, Super héroïne à temps partiel et badass extraordinaire

Oh oh oh… Il veut lutter? Alors luttons. Mais avant toute chose, il va falloir clarifier certains détails. Ma grande force physique est un dérivé, si on veut, de l’utilisation de mon pouvoir. Donc, s’il veut qu’on se batte à arme égale, je dois quand même utiliser mon pouvoir. Je peux en réduire le pourcentage mais c’est inévitable. On ne va pas entrer dans les détails techniques, c’est juste comme ça. Mais je promets solennellement de ne pas tricher. Et pour montrer que je suis très sérieuse, si je triche, alors il aura le droit de m’avoir dans son lit pour toute une nuit en guise de dédommagement. Et je ne dirais jamais une telle chose à la légère. Considérant que je lui ai dit ne pas avoir d’intérêt pour ce genre de relation entre nous, ce n’est pas dit au hasard et c’est mettre toute une compensation sur la table. Oh je ne tricherai pas. Mais ça donne du… Poids…

À mes paroles. Évidemment, j’ai le savoir implanté de pas mal d’arts martiaux et techniques de combat. Nécessité oblige vu ma fonction en tant qu’arme vivante. Ceci étant dit, une petite voix dans ma tête m’indique que ce sera moins… Fun… De s’en tenir à un style spécifique. Franchement, il pense pouvoir me duper? C’est une excuse éhontée pour pouvoir me tripoter sans vergogne sous le prétexte d’un combat corps à corps. Et comme dans un combat, il faut utiliser tout avantage à sa disposition, je lui dis que un, je n’ai clairement pas peur et deux, s’il veut vraiment faire ça à l’ancienne, dans ce cas, il faudrait le faire sans vêtements. C’est un coup en traitre, clairement. Parce que son cerveau de gros pervers orgueilleux mais adorable (ou GPOA, si vous préférez) imagine soudainement l’objet de ses fantasmes, donc moi, complètement nue et probablement autre chose.

Donc, le temps qu’il chasse ces pensées impures, il est trop tard pour éviter mon premier assaut. Oh non, ce ne sera pas un « on hit KO » mais je lui murmure à l’oreille qu’il ferait mieux d’arrêter de rêver et de se concentrer sur le combat, avant de lui faire faire un vol plané qui va temporairement lui faire penser qu’il fait comme Superman. Et non, je n’ai rien fait pour causer des dommages matériels ou lui faire mal inutilement. Oh son égo est blessé. Mais je sais doser ma force et quoi faire pour ne pas lui causer de sévices physiques. Je veux dire… C’est un combat amical, pas un duel à mort. Il y a toute une différence entre les deux. Et puis du reste, avec mon degré de force, est-ce que vous savez comment c’est difficile de se trouver un partenaire de combat digne de ce nom? Je vais vous le dire, moi, C’est extrêmement difficile. Oui, il y a de plus en plus de « super ». Ceci étant dit…

Cela ne veut pas dire qu’ils sont compatibles avec vos aptitudes martiales. Oh je suis bonne joueuse, je n’enchaine pas les attaques. J’ai eu mon tour, c’est à son tour. Je le vois plus comme… Un jeu. Qu’un combat. Et je pense que c’est ainsi que Balthazar va le voir aussi. C’est de la complicité entre nous. Oh oui, on teste la force et l’endurance de l’autre, c’est certain. La rapidité et l’agilité. Mais le but n’est pas d’encastrer la tête de l’autre dans un plancher en ciment. C’est dépenser de l’énergie entre badass musclés. Moi moins que lui, c’est certain mais… Je n’ai pas un physique de mannequin anorexique, on va dire ça comme ça. Et puis l’exercice c’est bon pour la santé. Pourquoi est-ce que je serais hostile à en faire avec lui? Je l’aime bien. Enfin. Platoniquement parlant. Je l’apprécie, si vous préférez. Allez Balthazar. Montre-moi ce que tu sais faire. Je suis curieuse…

Il est des choses qui ne doivent pas être prises à la légère. Pour Balthazar qui a eu l’occasion de voyager sur Terre dans bien des contrées, il est évident qu’on ne rigole pas avec la bonne cuisine. En Italie à Rome, si il commande une pizza, il attend que la croûte soit parfaite et que la sauce tomate soit épaisse et goûtue. En Thaïlande, sa soupe devra être parfaitement épicée et en France, il consommera ses huitres avec du vinaigre de vin et des échalotes. Donc ça, c’est le premier point, la bouffe. Ensuite, il y a tout ce qui est relatif au bien être infantile. Ayant lui-même souffert d’une enfance assez peu joyeuse car directement liée à l’activité familiale, il a une grande empathie pour les enfants et se considère comme un héros chargé de les protéger. C’est le second point. Et pour finir, les femmes. Alors ce point-là est un peu sensible car contrairement aux autres, avec elles, il ne se donne pas de limites. Plus la femme est excitante, plus monsieur Balthazar donnera libre cours à ses idées et à sa libido décomplexée. Les concernant, un rien l’excite et son esprit normalement assez analytique en perd de sa correction et de son bon sens … il est à préciser que ces trois points ne se lisent pas forcement dans l’ordre décrit. Chaque situation étant unique, elle est à prendre comme elle au moment M.

Donc à cet instant, deux informations capitales :

- Alix est prête à s’offrir à lui pour une nuit torride durant laquelle l’homme espère bien appliquer avec elle toutes les pratiques du kamasutra de cette planète (et de bien d’autres mondes aussi d’ailleurs).

- Ils vont se battre nu, ce qui va au-delà de cette idée curieuse, les amener à se peloter comme des lutteurs furieux et frotter leurs corps musclés l’un contre l’autre avec pour seule séparation, une fine couche de sueur.

AAHHHH Alix, Alix… Si tu n’as pas de qualification en zoologie exotique, tu vas découvrir ce qu’est un gros boa !

Balthazar l’a vue à l’œuvre aussi il sait que rien n’est gagné d’avance. Alix a l’avantage de la compétence mais les ressources du colosse sont inépuisables, surtout avec des enjeux si grands. Et …

Bon sang ! Quel canon ! Comment rester insensible face à une telle perfection protéinique ? L’homogénéité de la masse musculaire parfaitement répartie met en valeur toute la féminité d’Alix. Un léger courant d’air vient faire voleter ses mèches, la lumière teinte sa peau d’un éclat doucereux auquel il faut ajouter un grain parfait.

Mais Balthazar charge et se heurte à la Grande Muraille … Il revient en planant à son point de départ et se réceptionne comme un orang-outan blessé. Ce n’est ni gracieux ni équilibré mais il parvient à se rétablir après un roulé boulé boulimique.

Il grogne, vexé peut être, irrité aussi mais surtout, déçu de sa propre performance. Est-ce ainsi qu’on se comporte devant une femme, une vraie ? La seconde charge est plus prudente. Il feinte (ou en tout cas, elle le laisse faire) et il s’empare d’Alix à bras le corps et la soulève. Et là ? Que faire ? Une prise de catch vue à la télé ? Non, trop dangereux, il ne maitrise pas ces mouvements techniques. Aussi il se tout simplement tombé sur elle, ce qui entraine une mêlée au sol qui s’apparente au combat entre un scorpion et une mygale. Ils s’agrippent, une oreille est tirée, une narine est bouchée, les membres se plient et s’imbriquent et surtout, surtout, après tant de frottements, un être s’éveille et vient prendre part à la lutte, un peu surpris par tant d’animation mais trop heureux d’en faire partie. L’érection de nouveau venu (pardonnez le jeu de mot), participe aux ébats et manque par deux fois de se faire broyer. Ouf ! Heureusement le pire est évité et il arrive même que ce profiteur vienne se loger dans certains creux au gré des retournements et des bascules. L’apogée culmine à un glissement d’Alix faire le bas guidant tout droit l’heureux élu dans le sillon de sa poitrine. L’instant est court mais époustouflant au point de faire lâcher prise à Balthazar.

"AH ! … C’est … DE LA TRICHE !!!"

Bien sûr que non, ou presque pas, mais il faut bien dire quelque chose pour garder contenance. Imaginez VRAIMENT bien la scène et comprenez les points de vues de l’une et de l’autre. Il serait difficile d’expliquer à quiconque entrant dans le gym à ce moment-là ce qui s’y tramait, de manière crédible : Euh non, c’est rien on s’éclate entre pote …

Jeannie incarne:

Alix Cindra Erling, Super héroïne à temps partiel et badass extraordinaire

Juste au cas où j’aurais manqué de clarté : je ne vais PAS coucher avec Balthazar. À moins de tricher. Et je ne tricherai pas. Donc, je le redis, je ne vais PAS coucher avec Balthazar. Il peut tenter de m’accuser de quelque magouille que ce soit mais je sais comment je suis, comment je fonctionne et je me bats à la loyale. On me dira : oui mais si lui considère que c’est de la triche et toi non… Alors c’est sa perception contre mes convictions. Je sais très bien si je triche ou non. Mon corps est une arme et je l’utilise comme tel. Si dans le processus, ce cher Balthazar laisse ses hormones parler à la place de son cerveau… C’est à son désavantage, pas au mien, en fait. Donc il n’aura qu’a blâmer ce qui lui pend entre les jambes pour sa défaite. En même temps, peut-on réellement le blâmer d’avoir du mal à garder sa concentration? Je suis parfaitement consciente de la chose.

De l’effet que je lui fais. Mais quand on se bat, même amicalement, il ne faut pas perdre de vue l’objectif. Et cet objectif est la victoire! Alors je peux vous dire que c’est tout un corps à corps! Oh certainement, un œil extérieur plutôt langue sale pourrait décider que ce n’est pas de la lutte mais plutôt deux personnes qui préfèrent faire du « frotti frotta » en parodiant de la lutte. Je vais vous dire une chose : Balthazar n’a pas, à première vue, la tête d’un stratège ou d’un fin tacticien… Mais ce n’est pas un amateur qui fait n’importe quoi non plus. Loin de là. Très loin de là. Comme dit, j’ai été créée avec en tête énormément de connaissance sur les arts martiaux. Forcément, j’ai été créée pour exceller dans le corps à corps car mon pouvoir fonctionne à cette distance. J’en ai affronté des ennemis ou des alliés (de façon amicale) et je peux dire sans mentir qu’il me donne du fil à retordre, le bougre.

Et le truc, aussi, c’est que j’essaie d’éviter les dommages collatéraux. Ce n’est pas aussi facile que ça en a l’air avec un tel adversaire. En même temps, j’aime un bon défi alors… Pourquoi je le verrais comme une source de frustration? C’est à moi de trouver la meilleure stratégie, c’est tout. Et si vous ne comprenez pas comment on peut prendre plaisir dans l’adversité, clairement, vous n’avez pas dû faire grand-chose de vos dix doigts. Rien qui vaille la peine ne s’obtient dans la facilité, ça je peux vous le garantir et… Le salaud! Il vient de me mettre un coup de tête! Je ne suis pas certaine que c’était volontaire, en fait. Ne je ne pense pas qu’il aurait vraiment cherché à me faire mal. La lutte c’est une affaire de garder le dessus sur l’adversaire, pas de chercher activement à le blesser. Enfin. En ce qui me concerne. Ce n’est pas mon ennemi. C’est mon partenaire de lutte, en fait!

Comme dit, le bougre me donne du fil à retordre mais étant une super héroïne à temps partiel et une badass extraordinaire, je finis par reprendre le dessus. Dit ainsi, ça a l’air facile mais je vous assure que non. C’est tout SAUF facile. Mais à force de persévérance, je réussis. Même que je réussis à me retrouver assise à califourchon sur lui. Comme je viens pour crier victoire, je sens quelque chose de dur et viril dans mon dos. « Sérieusement », que je lui dis, en réprimant un fou rire. Mais c’est que c’était une tactique du fourbe car il en profite pour tenter de me désarçonner! Enfin. Je crois que c’était une tactique de sa part. Ou il a juste saisi l’occasion qui s’est présentée à lui, je ne sais pas. S’il pense s’en sortir si facilement, il ne connait clairement pas la seule et unique Alix Cindra Erling! Ça c’est moi et vous avez intérêt à ne pas l’oublier!

HA ! Ce sourire narquois et ce sourcil levé sont une réponse évidente qu’il est difficile de ne pas déchiffrer. Alix ne cèdera ni aux feintes verbales, ni aux sous-entendus masculinisés, et encore moins à la force brute. La victoire est loin d’être atteinte et Balthazar voit s’éloigner de plus en plus l’image qu’il se faisait d’une récompense bien méritée. Ah, cette nuit d’amour torride qui le taraude, cette envie furieuse de briser un lit en king size sous des ébats dantesques, faire trembler l’hôtel qu’ils auraient choisi sous …. Non non non, stop ! Il se redresse trop brusquement et vient écraser son front contre celui d’Alix. L‘impact pourrait être comparé à celui de la météorite percutant la Terre et provoquant l’extinction des dinosaures. Ouch, c’est douloureux mais tellement bon et en plus, comme Alix ne perd pas le Nord et profite de cet instant qui résonne encore dans la tête du colosse pour le retourner et le soumettre. Que voulez-vous qu’il se passe d’autre quand un modèle de rêve, nu, s’assoit sur vous, et qu’il vous faille surmonter l’obstacle de son énorme poitrine pour voir son visage ? Et bien, l’échafaudage qui s’érige dans son dos en est la réponse physique et tel un furet curieux, il en vient tâter une par une les lombaires de la lutteuse.

"Euuh … ouais, désolé, je … c’est pas volontaire."

Ce n’est pas volontaire mais cela suffit à distraire Alix la milli-seconde qu’il faut à Balthazar pour la faire basculer et rouler sur elle. De lutte au sol, on passe à un nouveau style de pancrace : la lutte copulative, qui détermine si oui ou non un accouplement sauvage va se produire inopinément. Honnêtement, qui résisterait à un jeu pareil ? Balancez un truc comme ça dans une émission de télé-réalité française et le premier soir, 100 pour cent des participantes sont en cloques, sans que l’information soit remontée à leur cerveau pour la plupart … Les Marseillais à Mexico, il faudrait essayer pour rire.

Mais Balthazar n’est ni marseillais, ni idiot, et la dure réalité de la vie se rappelle à lui quand son bras se trouve verrouiller jusqu’à l’épaule entre les cuisses d’Alix qui a croisé ses jambes dans une clé simple mais diablement efficace. Balthazar se tend, manquant crever le plafond de sa tour sanguine. Il frappe le sol du plat de la main, vite et plusieurs fois mais sans se ridiculiser à brailler sous une douleur qui irradie le long de ses muscles.

Ce n’est pas une défaite de Balthazar mais une victoire d’Alix. La différence existe et comme ça reste acceptable, mais ce n’est que partie remise et la prochaine fois, ils choisiront un terrain et des règles favorables au géant. Chacun son tour …

"Bon, j’admets que tu as remporté ce combat et je t’en félicite."

Il pourrait encore ajouter tout un tas d’autres trucs mais cela obscurcirait la sincérité de ses propos alors il ne le fait pas.

"Tu as gagné le droit de me demander ce que tu veux donc je me soumets à ta volonté en guise de récompense."

Il gonfle ses pecs et creuse ses abdos de béton.

"Profite bien."

Elle pourrait lui demander de porter un outfit de bunny maid ou encore de lui préparer un repas frais ultra protéiné qu’il le ferait bien évidemment mais il espérait qu’Alix, qui s’était montrée très joueuse, préserverait un peu sa dignité, ce dont en fait il ne doutait pas.

En attendant, il était urgent qu’ils se rhabillent et Balthazar demanda une trêve pour pouvoir se doucher sous peine d’avoir vraiment besoin de faire quelque chose avec l’objet perturbant et quasi indépendant dont Alix savait devoir se méfier. L’épisode qui venait de se dérouler avait broyer les codes de la correction aussi il fallait absolument redescendre en pression pour rendre aux mexicains une salle dans un état normal.

Jeannie incarne:

Alix Cindra Erling, Super héroïne à temps partiel et badass extraordinaire

Je promets à monsieur muscles de ne pas abuser de cet honneur, de ce privilège. Là, maintenant, tout de suite, rien ne me vient en tête. Mais quelqu’un de son talent et de sa compétence est bon à avoir dans ses relations. Professionnelles ou amicales, en ce qui me concerne. Et lui aussi mérite une récompense. Un bon massage. Purement thérapeutique. C’est pour lui éviter des courbatures. Oui, il a perdu. Et après? Parce qu’il a perdu, il ne mérite aucune considération? Aucun respect? Aucunement. Même que c’est souvent dans la défaite qu’on apprend le plus. Pas que j’aurais voulu perdre, non. Loin de là. Tout ce que je dis, c’est que ce n’est pas parce que Balthazar a perdu que cela veut dire que c’est exclusivement négatif. Pas dans ma vision des choses. Il a le droit à mon respect. Il est entré dans l’arène, il a perdu mais il a eu le courage de m’affronter.

Et il n’y a pas des masses de gens qui auraient fait ce qu’il a fait. Donc même dans la défaite, je veux le récompenser. Et un massage, considérant ce qu’on va vous charger pour en avoir un d’un ou une professionnel(le) digne de ce nom, c’est un cadeau fort intéressant. Et je le redis pour que ce soit bien clair. C’est un massage chaste et professionnel. Il n’y a pas de séduction, pas d’ambiguïté : il peut s’imaginer des choses tant qu’il veut, tant que cela ne touche pas aux deux critères que je viens de mentionner, il est dans l’erreur. Et sachez que je ne masse pas n’importe qui. Donc, appréciez votre cadeau, monsieur Balthazar, je ne suis pas une vainqueure sadique et cruelle. Enfin. Pas face à mes alliés. Face à mes ennemis, c’est une toute autre histoire mais ce sont, après tout, mes ennemis. Donc ça ne compte pas, en fait. Pourquoi aurais-je de la considération pour eux?

Un massage plus tard, une douche plus tard et un peu de ménage plus tard, nous sommes de nouveau à l’extérieur. Ah comme le temps passe vite! Trop vite. Hélas! Je félicite pour la je ne sais combientième fois Balthazar pour sa performance sportive avant de me rendre compte que j’ai reçu un certain nombre de textos pendant que j’étais avec lui. Ils viennent de ma créatrice. Ma mère, si vous préférez. Bien que ce ne soit pas réellement ma mère, elle n’a pas accouché de moi, elle m’a vraiment créé à partir de rien, en fait. Bref. C’est une invitation de ma créatrice à un « repas de famille ». Donc elle et moi. Parce que ma… Sœur… Qui est la raison de ma création soit son élimination… Ne sera pas à la table. Cela finirait bien trop vite en un bain de sang sinon. Et on ne voudrait pas ça. Cela risquerait de dévaster une importante superficie et de faire énormément de dommages collatéraux.

Je m’excuse donc auprès de Balthazar en lui disant que les obligations familiales m’appellent et… Est-ce que je lui ai donné mon numéro? Je ne me souviens plus. Si je l’ai déjà fait, il va en avoir un nouveau mais cette fois dédicacé! Ça dit : « À Balthazar, meilleure trouvaille de mon voyage au Mexique ». De quoi lui faire repenser à la baston initiale et les événements qui en ont découlé. De toute façon, cela ne veut pas dire que l’aventure est terminée et qu’elle ne se poursuivre jamais, au non. Cela veut juste dire que ce chapitre spécifique au Mexique est terminé. Vous pensez qu’un mec comme Balthazar va juste faire « je n’ai pas pu l’avoir dans mon lit donc elle n’a plus d’intérêt pour moi »? Ça me surprendrait énormément. De toute façon, il me doit une faveur et je reste convaincue qu’il sera tout sauf hostile à ce qu’on aille bastonner du connard dans le futur…

Alors pour le coup, je ne lui dis pas au revoir… Mais à la prochaine!

The Multiversity

Récolte de châtaignes, distribution de mandales et autres travaux manuels (PV Balthazar Brian)

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