Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]
Posté : 15 sept. 2025 01:48
Bhouta prenait son pied avec Actaïa, ils avaient réussi à s’accorder leurs violons… Mais l’homme-cochon savait aussi combien cette femme pouvait être dangereuse. Oui, elle était du genre à faire mal quand elle le voulait. Alors, quand il l’entendit gémir, et taper du poing sur ses cuisses, Bhouta avait suffisamment de retenue en lui et de sens de la survie pour ne pas tenter le diable. Bhouta souffla donc. Sa grosse queue avait de quoi étouffer bien des femmes, et Actaïa ne serait pas la première d’entre elles à devoir baisser pont-levis face à ce bélier massif. L’homme-cochon avait une queue proportionnée à sa taille massive, à sa corpulence monstrueuse. Sa queue pouvait être longue, mais surtout dure et bien épaisse. Une belle et grosse queue joufflue de porc qui vous faisait grimper au rideau. Alors, quand elle commença à gesticuler, Bhouta se retira alors.
Sa queue, couverte de salive, jaillit à l’air libre, et la pointe tapa contre le visage d’Actaïa. On aurait pu le croire gentil, mais une lueur malicieuse brûlait dans les yeux de Bhouta. Sa queue bandait si fort qu’il posa sa main dessus, et commença à se masturber vigoureusement.
« Pu-Putain, j’ai tellement envie, haaaa… »
Il ne fallut ainsi que fort peu de temps avant que le désastre n’arrive. Sous les yeux ébahis d’Actaïa, la verge de l’homme-porc tressauta… Et il jouit alors ! Le sperme fusa, et éclaboussa le visage de la belle Actaïa, qui sentit des spasmes supplémentaires. Faute de jouir dans sa bouche, Bhouta la récompensa d’une généreuse douche blanche de foutre ! La peau basanée d’Actaïa prit une teinte plus écrémeuse, tandis que le gros manche de Bhouta crachait ses salves. Une pompe à foutre délicieuse qui juta joyeusement sur le visage de la belle.
Bhouta reprit ensuite lentement son souffle, et s’assit de nouveau sur le milieu du fauteuil.
« Pfffouh, je dois admettre que tu es plutôt endurante, Actaïa. Désolé de t’avoir sali, mais… À bien y réfléchir, Marisa pourrait peut-être… Te nettoyer ? C’est un bon moyen d’enterrer la hache de guerre, non ? Après tout, vu comment tu la couves, tu dois sûrement avoir envie depuis longtemps qu’elle t’embrasse et te lèche, non ? »
Toujours aussi subtil, le Bhouta ! Cela pouvait parfois lui jouer des tours… Actaïa s’était-elle suffisamment apaisée, ou allait-il réveiller l’eau qui bout ?
Sa queue, couverte de salive, jaillit à l’air libre, et la pointe tapa contre le visage d’Actaïa. On aurait pu le croire gentil, mais une lueur malicieuse brûlait dans les yeux de Bhouta. Sa queue bandait si fort qu’il posa sa main dessus, et commença à se masturber vigoureusement.
« Pu-Putain, j’ai tellement envie, haaaa… »
Il ne fallut ainsi que fort peu de temps avant que le désastre n’arrive. Sous les yeux ébahis d’Actaïa, la verge de l’homme-porc tressauta… Et il jouit alors ! Le sperme fusa, et éclaboussa le visage de la belle Actaïa, qui sentit des spasmes supplémentaires. Faute de jouir dans sa bouche, Bhouta la récompensa d’une généreuse douche blanche de foutre ! La peau basanée d’Actaïa prit une teinte plus écrémeuse, tandis que le gros manche de Bhouta crachait ses salves. Une pompe à foutre délicieuse qui juta joyeusement sur le visage de la belle.
Bhouta reprit ensuite lentement son souffle, et s’assit de nouveau sur le milieu du fauteuil.
« Pfffouh, je dois admettre que tu es plutôt endurante, Actaïa. Désolé de t’avoir sali, mais… À bien y réfléchir, Marisa pourrait peut-être… Te nettoyer ? C’est un bon moyen d’enterrer la hache de guerre, non ? Après tout, vu comment tu la couves, tu dois sûrement avoir envie depuis longtemps qu’elle t’embrasse et te lèche, non ? »
Toujours aussi subtil, le Bhouta ! Cela pouvait parfois lui jouer des tours… Actaïa s’était-elle suffisamment apaisée, ou allait-il réveiller l’eau qui bout ?