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Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 15 sept. 2025 01:48
par Bhouta
Bhouta prenait son pied avec Actaïa, ils avaient réussi à s’accorder leurs violons… Mais l’homme-cochon savait aussi combien cette femme pouvait être dangereuse. Oui, elle était du genre à faire mal quand elle le voulait. Alors, quand il l’entendit gémir, et taper du poing sur ses cuisses, Bhouta avait suffisamment de retenue en lui et de sens de la survie pour ne pas tenter le diable. Bhouta souffla donc. Sa grosse queue avait de quoi étouffer bien des femmes, et Actaïa ne serait pas la première d’entre elles à devoir baisser pont-levis face à ce bélier massif. L’homme-cochon avait une queue proportionnée à sa taille massive, à sa corpulence monstrueuse. Sa queue pouvait être longue, mais surtout dure et bien épaisse. Une belle et grosse queue joufflue de porc qui vous faisait grimper au rideau. Alors, quand elle commença à gesticuler, Bhouta se retira alors.

Sa queue, couverte de salive, jaillit à l’air libre, et la pointe tapa contre le visage d’Actaïa. On aurait pu le croire gentil, mais une lueur malicieuse brûlait dans les yeux de Bhouta. Sa queue bandait si fort qu’il posa sa main dessus, et commença à se masturber vigoureusement.

« Pu-Putain, j’ai tellement envie, haaaa… »

Il ne fallut ainsi que fort peu de temps avant que le désastre n’arrive. Sous les yeux ébahis d’Actaïa, la verge de l’homme-porc tressauta… Et il jouit alors ! Le sperme fusa, et éclaboussa le visage de la belle Actaïa, qui sentit des spasmes supplémentaires. Faute de jouir dans sa bouche, Bhouta la récompensa d’une généreuse douche blanche de foutre ! La peau basanée d’Actaïa prit une teinte plus écrémeuse, tandis que le gros manche de Bhouta crachait ses salves. Une pompe à foutre délicieuse qui juta joyeusement sur le visage de la belle.

Bhouta reprit ensuite lentement son souffle, et s’assit de nouveau sur le milieu du fauteuil.

« Pfffouh, je dois admettre que tu es plutôt endurante, Actaïa. Désolé de t’avoir sali, mais… À bien y réfléchir, Marisa pourrait peut-être… Te nettoyer ? C’est un bon moyen d’enterrer la hache de guerre, non ? Après tout, vu comment tu la couves, tu dois sûrement avoir envie depuis longtemps qu’elle t’embrasse et te lèche, non ? »

Toujours aussi subtil, le Bhouta ! Cela pouvait parfois lui jouer des tours… Actaïa s’était-elle suffisamment apaisée, ou allait-il réveiller l’eau qui bout ?

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 16 sept. 2025 13:30
par Marisa Teritt
Bhouta avait finalement opté pour la sécurité. Celle de l'affairée, bien sûr, mais également la sienne... d'une certaine manière. Actaïa fut secrètement soulagée de sentir son membre massif glisser hors de sa bouche. La salive coula abondamment de ses lèvres humides, qu'elle ne referma pas tout de suite. La pauvre avait surtout besoin de respirer. Ça avant de ravaler sa salive qui lui donnait vaguement l'air d'une abrutie...
Je n'aurais pas dû faire ça.
En lâchant le sexe du cochon, la pellicule d'eau qui le recouvrait s'était dissoute. Le Buta put, en premier lieu, pointer son dard épais vers son visage. Un geste audacieux qui la fit légèrement grogner. Incommodée, Actaïa n'eut pas encore l'occasion de croiser son regard espiègle. En fait, elle n'en eut tout simplement pas l'occasion, ses yeux plissés aimantés sur cette main que l'homme-porc avait refermé autour de sa lourde trique.
Il se la secouait ouvertement face à son minois, le bougre !

- Mais tu-... *kof kof* ?

Un moment de faiblesse. Un modeste étranglement avec sa propre salive. Actaïa avait porté la main à sa bouche.
Il n'en fallut pas davantage pour la rendre vulnérable à cette offensive riche en protéines ! Le jet blanchâtre la frappa de plein fouet, éclaboussant sa main avant d'exploser contre son visage surpris. Le bâton du Buta ne fut pas le seul à tressauter. Suite à cette secousse, la Fille de l'Eau s'était figée comme une statue, bouche ouverte de stupeur, alors que le sirop de corps d'homme-porc se déversait à gros jets sur sa façade avant en quantité effarante !
Je dois délirer...
Non. Bhouta venait carrément de la repeindre. Et elle ne sentait que trop bien la chaleur de son jus intime dégouliner le long de sa peau ! Elle en avait même reçu un peu dans la bouche...
C'est son foutre, tout ça ? Il en avait encore autant dans les bourses ?
Vraisemblablement ! Pourtant, elle avait l'impression qu'il lui avait uriné dessus, le salaud !
Sa main immobile tremblait. Actaïa commença à la serrer en un poing vengeur... avant de se souvenir de pourquoi elle avait contribué à cette pratique décadente. Songer au service qu'elle était en train de rendre à sa meilleur amie lui permit de se tempérer.
Elle entendit alors son... partenaire s'affaler dans le fauteuil.
Il parla. Elle l'écouta. Puis il y eut ce lourd silence, annonciateur de... quelque chose ?
La Fille de l'Eau laissa retomber sa main souillée et, lentement, leva son regard azuré sur celui qui s'imaginait être l'homme de la situation.

- Laisse Marisa où elle est, grommela-t-elle, doucement mais très intelligiblement, les dents serrées. Ce qui est en train de se passer dans ce salon, c'est entre toi et moi.

D'un revers de manche, elle se nettoya sommairement le visage. La Fille de l'Eau savait qu'il était inutile d'insister - elle en avait aussi dans les cheveux - et qu'il lui faudrait aller carrément se laver en entier pour effacer cette odeur de son corps. Pour des raisons purement chimiques, sa maîtrise de l'eau ne fonctionnait pas aussi bien avec la semence.
Je ne vais pas m'énerver. Je ne DOIS pas m'énerver. Le mal est fait. Et je crois l'avoir bien cherché...
Aussi coupable que ce gros pervers.
Elle grinça discrètement des dents. Puis elle se mit debout. Histoire de le regarder de haut. De le toiser avec dureté. De le juger au moins d'un regard torve.

- Toi. Et. Moi, insista-t-elle.

Avant de pivoter sur ses talons et, le dos tourné, d'avancer d'un demi pas.
Son manteau à longs pans, plus ou moins comparable à un kimono, lui glissa des épaules. Elle possédait quelque chose de moins épais en dessous. Un tissu ample et clair dont elle se délesta aussi. Son pantalon moulant suivit le même chemin. Toujours sans qu'elle ne s'exprime, avec des froissements pour seuls sons, Actaïa s'attaqua ensuite aux agrafes de son soutien-gorge bleu foncé. Puis à sa culotte de la même teinte. Elle se retrouva nue sous les yeux de l'hybride.
Elle avait pris sa décision... pour le meilleur et pour le pire.
Tu le mérites, Marisa. Tu le mérites.
Pour protéger son amie d'un côté de ces mains grasses ; pour occuper ces dernières avec le don de son propre corps.
Ce n'était pas la première fois qu'elle allait proposer ça à un homme. Pas la première fois que la Fille de l'Eau - bien faite de sa personne grâce à une formation guerrière effectuée au sein de sa tribu - s'abaissait ainsi à tendre ses fesses brunes.

- Ne te berce pas d'illusions, le prévint-elle d'une voix tranchante non sans lui couler un regard par dessus son épaule nue. Je ne souhaite... rien de plus que de laisser le temps à Marisa de récupérer.

Elle était prête à tout pour la soutenir dans cette épreuve. Enfin... "à tout".
D'une main protectrice, la Fille de l'Eau avait couvert sa vulve trempée.
Hors de question que je porte sa descendance !
Bhouta n'aurait d'autre choix que de lui bourrer la rondelle. Et pendant ce temps là, et bien... elle s'efforcerait de ne pas crier ?
Actaïa avait prévu quelque chose en cas de coup dur : entre les doigts de sa main gauche, sa culotte humide et froissée attendait son heure. Celle où sa propriétaire la coincerait entre ses joues afin de ne pas faire trop de bruit.
Elle lança un regard d'avertissement au Buta ; l'air de lui dire : "c'est ça ou la porte !"

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 22 sept. 2025 00:31
par Bhouta
Vilain, le Bhouta ! Elle n’avait pas souhaité qu’il jouisse dans sa bouche, alors il avait joui sur elle ! Un esprit taquin aurait pu croire qu’il l’eût fait exprès. Bhouta n’allait pas tirer sur son avantage, mais Actaïa le fit à sa place. À sa grande surprise, elle refusa qu’il aille voir Marisa, et se déshabilla lentement. Surpris, Bhouta se mit à renifler, s’attendant à un piège… Puis loucha sur les fesses d’Actaïa, sur ce corps svelte et musclé. Oui, foi de buta, cette femme était tout de même très belle ! Bhouta sentit son excitation remonter tandis qu’elle se déshabilla totalement. Elle finit toute nue, et protégea son sexe, tout en expliquant qu’elle souhaitait que Marisa se repose. Bhouta sourit devant ce fieffé mensonge. Quand Actaïa les avait dérangés, Marisa était en train de prendre son pied, et était encore bien loin d’être épuisée… Mais soit ! Bhouta n’allait pas chercher la petite bête. Maintenant que Actaïa était en de bonnes dispositions, Bhouta comptait bien en profiter.

« Oh, je ne me berce pas d’illusions, ma chérie, je ne fais que constater, moi ! »

L’homme-porc se releva, et fit signe à Actaïa de se courber en avant. Mazette, quelle vue ! Un cul parfait s’offrait à lui. Impossible de repousser cela. Bhouta se pencha donc vers elle, et malaxa ses fesses. Ses grosses mains se posèrent sur chacune des fesses d’Actaïa, et il continua à les remuer. Ses pouces glissèrent contre sa croupe, et il écarta ses fesses, jusqu’à pouvoir lécher sa rondelle. Oui, Bhouta la préparait lentement, et se régala de l’entendre gémir et se tortiller sur place. Elle s’efforçait de ne pas faire trop de bruit, comme si elle n’avait pas envie que Marisa les entende.

« Hihi, je sens tout ton corps se crisper, ma belle… Tu en as envie, hein ? Que la queue du gros Bhouta vienne se perdre en toi, et ravage ton insolente croupe… »

Bhouta se laissait aller, prenant le risque d’énerver Actaïa. Mais il restait confiant, convaincu que la situation allait s’apaiser. Une fois qu’elle serait prête, et impatiente, il irait se perdre en elle avec toute la force qu’on lui connaissait…

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 22 sept. 2025 19:45
par Marisa Teritt
"Ma chérie" ? Je t'en foutrais, moi, de "ma chérie" !
L'homme-cochon ne perdit pas de temps, et la Fille de l'Eau non plus. Elle s'inclina comme exigé, lui présentant les merveilleuses rondeurs de son postérieur mat. Bhouta posa ses énormes mains sur ses fesses, les manipulant tel l'abominable pervers qu'il était ! Actaïa se pinça les lèvres quand il les lui écarta, et libéra un hoquet lorsque sa grosse langue titilla son anus. Elle bougea nerveusement, ce qu'il dut forcément sentir entre ses grosses paluches expérimentées.
Il me tartine le fion avec sa salive et...

- Hnnnggh~

Pourquoi diable était-ce aussi bon ?
Cette sensation d'humidité ne la laissait guère indifférente. Actaïa pressa un peu plus fort sa main contre sa fente, refusant de la découvrir pour qu'il puisse ne serait que jouir visuellement de son état.
C'est... plus compliqué que prévu !
Ce maudit pervers savait très bien servir de sa langue. Elle ne chercha pas à se redresser pour lui en mettre une. Au contraire, Actaïa avait envie qu'il continue son manège. Ses pieds et ses genoux s'étaient mis à trembler, mais peu importait ; reculer ou avancer n'était plus une option. Elle avait choisi de le faire pour son amie, qui finirait tôt ou tard par les rejoindre. Elle comptait bien aller jusqu'au bout de cette aventure. En partie par fierté, oui ; et une grosse verge dans le fondement ne la lui égratignerait pas autant qu'un bébé cochon dans le coffret !

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 29 sept. 2025 01:33
par Bhouta
Marisa ne tarda pas à émettre les bonnes réactions, celles que Bhouta avait envie de voir. Il la vit se tortiller sur place, se crisper, gémir, il vit son corps trembler de toute part, tandis que la langue implacable du Buta glissait en elle, dilatant ses parois anales. Voilà qui était bien mieux ! Un concert auditif et sensoriel que Bhouta préférait largement aux projections d’eau sur ses précieuses bourses ! Faire l’amour, et pas la guerre, voilà une maxime que l’homme-cochon appliquait à la lettre. Ses grosses mains malaxaient chacune des fesses d’Actaïa, les écartant l’une de l’autre, avant de les ramener, prodiguant ainsi à son amante des stimulations exquises, jouant sur cette zone très érogène de son anatomie. La pièce se remplissait ainsi des soupirs et des gémissements d’Actaïa, et ce pour le plus grand plaisir de Bhouta, dont la verge durcissait joyeusement. Il la préparait méticuleusement, et cherchait sans doute aussi un peu à la frustrer.

Après quelques minutes, Bhouta finit par se redresser. Actaïa était prête, il pouvait sans mal imaginer le rougissement de ses joues en l’entendant soupirer. Il se releva donc, et Actaïa put sentir sa grosse bedaine appuyer contre elle, puis sa verge qui tapa sur ses fesses. Bhouta souffla lentement, et posa une main sur son membre, puis conserva l’autre sur les fesses de sa partenaire. Un pouce à lui glissa dans le fondement de la jeune femme, et il l’entendit se crisper davantage.

« Je dirais que tu es prête, ma jolie… Prête à t’en prendre plein le cul, hihi ! »

Tout un programme ! Bhouta était prêt à agir, et enfonça sa trique dans l’étroit fondement d’Actaïa. L’homme-porc grogna et soupira, en percevant l’étroitesse des parois de son amante. Oh, que c’était bon ! Bandant ses muscles, il prit appui sur les hanches de sa partenaire, et commença à remuer en elle, à déplacer son corps d’avant en arrière, faisant coulisser sa queue dans cette petite porte… Autrement dit, la sodomie avait commencé !

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 02 oct. 2025 15:20
par Marisa Teritt
Lèche et massage cessèrent. L'ombre de Buta se dressa dans le dos de la Fille de l'Eau. Il y eut un bref moment de silence. Puis quelque chose de lourd lui tomba sur le dos. Le ventre proéminent de ce gros cochon ? Son membre imposant ? Actaïa, qui reprenait son souffle, savait très bien ce qui lui pendait au nez. D'une main solide, Bhouta la tenait toujours. Ses doigts chauds collant au cuir de ses fesses brunes. Malgré son vœu de ne pas bouger, de rester aussi fière que sa position le lui permettait, la Fille de l'Eau accusa un tressautement. Il y avait plus chaud et plus gros que les doigts de l'homme-porc. Et ce monceau épais butait joyeusement contre son derrière.
Là, ça commence à devenir un peu inquiétant...
Ses lèvres s'étirèrent. Actaïa se crispa un peu plus. Le pouce du Buta avait "malencontreusement" glissé entre ses fesses.
L'homme-cochon la narguait autant par ses gestes que par ses mots.

- F-fais ce que tu as à faire, grommela-t-elle.

Bhouta l'enfila. Actaïa, les yeux ronds, expulsa un lourd soupir.
L-l'enfoiré... si vite ?!
Disposant d'une bonne marge de manœuvre, l'hybride la prit par les hanches et entama les va-et-vient.
La Fille de l'Eau renonça très vite à se cacher le sexe avec sa main libre. Sans faire grand cas de sa propre mouille qui les rendaient moite, elle referma ses cinq doigts sur sa bouche gémissante. Les secousses qui se propageaient depuis son derrière bousculé ne lui facilitaient pas du tout la vie. Chaque avancée la faisait frémir et grimacer, fragilisant jusqu'à son bras qui la soutenait. Elle tremblait mais, en même temps, luttait pour ne pas le montrer.
C'était peine perdue.

- Hmmrrnn... Hmpf !... Houmf !... Hunff !!

Il alignait les percussions. Bhouta menait trop bien leur petite affaire. Actaïa en avait la chair de poule. Son plus petit orifice se dilatait nerveusement. Son entrecuisse libérait des gouttes énonciatrices. A ce rythme, les lattes du plancher allaient en être imprégnées.
Résiste, Actaïa ! Résiste !!
Elle ferma les yeux, contractant très fort les paupières.
La douleur était encore supportable. Mais ce plaisir brut qui lui montait à la tête, en revanche...
Ne perds pas le nord. Ne, perds, pas, le, nord !
Les mots se répétaient dans son esprit au rythme de leur chevauchée.
Son mantra, pour le moment, renforçait sa défense. Sauf qu'elle était déjà bien ouverte et, pour le meilleur comme pour le pire, sous occupation porcine.

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 13 oct. 2025 02:00
par Bhouta
Bhouta constata rapidement que Actaïa cherchait à ne pas hurler. Comme c’était mignon ! Sans doute espérait-elle conserver un semblant de dignité, ou éviter que Marisa, qui était restée enfermée dans sa chambre, ne l’entende hurler ? Il suffirait pourtant juste que celle-ci ouvre la porte, et elle entendrait, à défaut des hurlements d’Actaïa, le son du sol qui craquait, le claquement de la chair qui s’entrechoquait. Boum ! Boum ! Le gros ventre de Bhouta tapait fort contre le dos d’Actaïa, ébranlant son bassin. C’était un sacré spectacle, très intense, et sans doute visuellement impressionnant. Cet énorme homme-porc prenait Actaïa avec force ! Ses mains épaisses s’appuyaient sur ses hanches, et le sol ne tarda pas à craquer. Fort heureusement, ils étaient sur un tapis, ce qui, outre étouffer le bruit, éviterait aussi que les chevilles d’Actaïa ne s’écorchent sur le sol. On pouvait également entendre les grognements et soupirs de Bhouta. L’homme-cochon prenait sa partenaire sans aucun ménagement, avec une fougue impressionnante.

« Gnnn, ton c-cul… Est encore plus serré que celui de Marisa, hmmm… C’est si bon, pu-Putain… Les petits culs d’humains comme les vôtres, je les adore… Si étroits, et ça se dilate si vite, hihi ! »

Cette fois, Bhouta prenait l’ascendant, et donc une certaine confiance en lui. Il n’était plus ce supposé mâle violeur répugnant qu’Actaïa avait projeté hors de la chambre de Marisa, il était un amant fougueux, énergétique, dominateur ! Il en perdait la raison ! En effet, il savait que, au fond, Actaïa aurait pu à n’importe quel moment le repousser, mais, tant qu’elle ne le faisait pas, lui se laissait aller ! De ce fait, tandis que sa queue déflorait et écartelait le fondement d’Actaïa, et qu’il sentait son cul s’ouvrir comme un chou-fleur, la grosse main de Bhouta vint frapper avec force ce délicieux petit cul.

CLAAAC !!

Une fessée bien sonore. Bhouta ricana, et empoigna avec sa main les cheveux d’Actaïa, puis la redressa.

« Je ne voudrais pas que tu tombes, petite garce… Au fond, tu me voulais pour toi, hein ? Tu étais jalouse… Hmmm… Que ta copine Marisa… B-Baise avec moi ! Hmmmm… »

Ce n’était sans doute pas totalement ça, mais Bhouta se laissait aller ! Il se pencha vers elle, et attrapa le cou de la jeune femme, en s’allongeant presque sur elle. Tout son poids s’abattait sur son doux petit corps, et la verge de Bhouta continuait à s’enfoncer.

« Je me demande… Ce qu’elle dirait… Si elle nous voyait, hihi… » glissa-t-il contre son oreille, avant d’embrasser sa tempe.

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 17 oct. 2025 19:07
par Marisa Teritt
Si Actaïa n'avait pas été une guerrière tribale avant d'endosser ce rôle d'assistante à la ferme, Bhouta lui aurait sans doute déboité les hanches à force de la culbuter comme un cochon ! L'acte était fort, comme s'il cherchait à se venger de ce qu'elle lui avait infligé tout à l'heure. La Fille de l'Eau dut se fourrer sa culotte dans la bouche pour ne pas crier comme une dingue. Car même si elle souffrait du cul, la verge du Buta lui prodiguait aussi un certain plaisir.
Oh, bordel ! Bordel de bordel de bordel !
Sa vulve crachotait de la mouille à n'en plus finir. Chaque percussion dans son fondement entraînait cette embarrassante effusion. Les traits crispés, ses mains accrochées au tapis, Actaïa roula des yeux fous au plafond lorsque l'homme-porc lui administra une violente fessée. La douleur cuisante manqua lui faire croire qu'il lui avait décollé la fesse.

- HRMMMFFFHH !!

Au lieu de la foudroyer du regard - elle n'y arriva pas -, Actaïa le maudit sur plusieurs générations. Paroles silencieuses qui n'empêchèrent pas ce diable de culbuteur de l'empoigner par les cheveux pour la forcer à se redresser.

- NHHHRRRFFF !!!

Qu'était-ce ? Une sorte de feulement étouffé ? En tout cas, cela y ressemblait à s'y méprendre !
Actaïa continua de le maudire en grognant ; lui de lui bourrer l'arrière-train.
L'opération était assurément brutale, pour ne pas dire bestiale, mais même celle que ses amis appelaient gentiment Aqua y trouvait son compte. Son derrière rougi et complètement ressorti encaissait plutôt bien les chocs. Son dos, le poids de son ignoble partenaire. Du moins jusqu'à ce que celui-ci en rajoute une belle couche, l'attrapant par le cou, son gros corps presque affalé sur le sien qui n'en menait pas large.

- K-Kwhurrff !

Sa grosse verge dessinait une belle courbe dans son fondement. Actaïa, incapable de remuer convenablement, trembla d'un terrible plaisir. Ses yeux ronds s'accrochèrent de nouveau aux poutres apparentes. Comme sa bouche obstruée par sa propre culotte ne lui permettait pas de respirer, c'était ses narines qui pompaient l'air autant que la poigne du Buta le leur permettait.
Dans son oreille, les propos de son amant la firent cligner des yeux.
Marisa !
Bhouta l'embrassa sur la tempe au moment où la Fleur des Champs descendait les marches de l'escalier qui menait à l'étage.
La vision de son amie nue et nettoyée fut un choc pour Actaïa, qui crut d'abord à une hallucination.

- Vous n'êtes pas partis, finalement.

Ce n'en était pas une. Cette Marisa-là était réelle. Et le reproche que cette chère Aqua avait perçu dans sa voix ? L'était-il aussi ?
Actaïa fit la grimace !
Mais contre toute attente, c'est un mignon petit sourire qui se dessina sur les lèvres de la fermière. Un sourire qu'elle adressait à tout le monde, en l'occurence.

- On dirait que vous m'avez joué un bien mauvais tour, les amoureux !

Totalement incrédule, la Fille de l'Eau la regarda avec des yeux ronds comme des soucoupes s'accroupir en face d'elle. Le dos de doigts blancs et moites vinrent lui caresser affectueusement la joue.

- Vous aurez au moins laissé le temps à mes larmes de sécher...

Avec un effort admirable, Actaïa arracha sa culotte de sa bouche baveuse et lui assura :

- C-ce n'est pas ce que tu crois... Hmmnnn ?!!

Marisa lui avait attrapé les joues pour mieux l'embrasser. Un baiser chaud et mouillé qui, Bhouta dut le sentir, serra grandement ce manche qui visitait la basanée.
La fermière écarta ses lèvres sur un épais filet de bave, qu'elle dut couper d'un index.

- On s'en fiche, non ?

Actaïa, le visage tout transpirant, avait l'air profondément ahurie.

- H-hein ?

Son amie, elle, semblait aux anges.

- L'important, c'est que vous ne m'avez pas abandonnée ♥

Elle caressa les cheveux de Bhouta avant de se relever subitement pour lui... grimper sur le dos ?
L'homme-porc était en mesure de sentir l'humidité de son entrecuisse tout contre ses solides vertèbres.

- Ah ha ha ! Allez, M'sieur Bhouta ! Vous avez bien réussi à la décoincer mais ce n'est que le début : je veux vous accompagner jusqu'à l'explosion !~

Même si Marisa ne pesait pas bien lourd, leurs charges conjuguées avaient de quoi faire soupirer Actaïa comme un soufflet de forge !
En cherchant à soutenir la Fleur des Champs dans son entreprise, la Fille de l'Eau en récoltait des fruits qu'elle n'avait vraiment pas cherché à obtenir.

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 20 oct. 2025 01:50
par Bhouta
Heureux Bhouta ! Il besognait Actaïa avec force, il lui faisait découvrir toute l’intensité qu’il y avait à coucher avec un homme-cochon ! Cette force phénoménale, ces bourrades toniques… Oui, oui, c’était à se demander comment le corps d’Actaïa faisait pour ne pas se rompre ! Car, indéniablement, Bhouta la baisait fort ! On aurait certes pu croire qu’il se vengeait, et il y avait sans doute un peu de vrai là-dedans, mais, de base, Bhouta était un amant puissant, un véritable général de corps d’armée, qui lançait toutes ses forces à l’assaut du corps d’Actaïa. Forcément, celle-ci avait du mal à tenir la cadence ! Ricanant et grognant, Bhouta ne vit même pas Marisa arriver. Celle-ci descendit l’escalier, et se figea devant ce spectacle. Ce ne fut que quand elle se mit à parler que Bhouta releva la tête, et écarquilla les yeux. Comme quoi, le hasard faisait bien les choses ! Marisa leur jeta un regard sombre, avant de se rapprocher, et de s’amuser de la situation. Bhouta soupira sur place.

« Ce… Hmmm… D-Disons que n-nous avons discuté… »

Pour Bhouta, il était difficile de saisir les complexités de la relation entre Marisa et Actaïa. Étaient-elles seulement amies, ou plus, ou moins ? Marisa fit taire les justifications d’Actaïa en l’embrassant, et sourit ensuite. Elle n’était nullement jalouse, mais plutôt heureuse de voir que les deux avaient réussi à s’acoquiner, et que Bhouta était toujours là. Ce dernier soupira en la voyant se rapprocher de lui. Elle chercha à grimper sur son dos, sans que Bhouta ne comprenne trop la finalité. Maigrelette comme elle était, elle ne risquait pas de pouvoir faire quoi que ce soit ! Bhouta remuait encore, et Marisa put constater qu’il n’épargnait pas Actaïa.

« Ooh, oui, Marisa, ta copine… Joue la pudique, mais je me demande si elle n’est pas encore plus perverse que toi, huhu ! »

L’homme-cochon poursuivit son office, sentant Marisa remuer derrière lui. Il donnait de solides coups de reins, et, à ce rythme, Marisa risquait surtout de dégringoler de son dos ! Elle ne touchait même pas le sol en se cramponnant ainsi à son dos, qui était également glissant, vu les efforts que l’homme déployait à baiser Actaïa avec force…

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 25 oct. 2025 23:02
par Marisa Teritt
Marisa s'était offerte une petite partie de rodéo à dos de Buta tandis que sa large monture tamponnait fiévreusement la croupe de sa meilleure amie. Vu de là-haut, le spectacle lui paraissait encore plus saisissant ! Il était rare qu'Actaïa participe à ce genre d'activité. Plus rare encore qu'elle autorise une bête aussi lourde que Bhouta à la chevaucher. D'où cette exquise euphorie que ressentait la fermière à la voir se faire prendre ainsi par les fesses.
La Fille de l'Eau cachait-elle bien son jeu comme l'avait suspecté Bhouta ?

- Je ne le crois pas du tout ! claironna la rouquine.

Effectivement, le dos de leur compagnon, bien que large, était vite devenu glissant à force de suer comme un cochon. Avant de tomber stupidement en arrière, Marisa, en bonne cavalière, modifia sa posture et se hissa encore plus haut. L'une après l'autre, elle fit passer ses cuisses au-dessus des épaules de l'homme-porc qui n'eut aucun mal à supporter le poids de son grâcieux popotin sur sa nuque. Ses mains étaient cramponnées à sa tête, lui assurant la sécurité dont elle avait besoin.

- Allez ! Hue, M'sieur Bhouta ! Hue ! s'écria l'immature créature. Faites-la se repentir de vous avoir flageller en ma présence !

Tandis qu'elle gigotait sur son vigoureux perchoir, Actaïa tentait de résister à ce monstrueux pilonnage. Le visage rougi et les traits crispés, elle luttait vaillamment. Mais le duel était trop inéquitable pour qu'elle puisse sortir indemne de cette épreuve. La brune expulsa un gros soupir lorsqu'elle perdit un de ses appuis et s'écroula sur une joue. A moitié vaincue, elle entreprit de récupérer un peu de son souffle perdu par de profondes inspirations. Sauf que la verge de Bhouta, en s'enfonçant en elle avec une telle force, rendait l'opération très difficile ; la Fille de l'Eau ne pouvait pas - et n'avait plus aucune raison de - s'empêcher de crier.

- P-putain !! Han !! HUMNRFH ! Ooooh !! S-Salopard de... Hiiirrk !!!

Ni de jurer en salivant sur le tapis.
Elle avait beau se sentir oppressée par ce membre imposant, Actaïa mentirait en prétextant que ces violentes bourrades ne l'excitaient pas. Sa vulve, qu'elle ne cherchait plus du tout à dissimuler, clapotait à même la moquette. Un son ténu mais répété entre ses cuisses inondées. Avec son groin, Bhouta n'aurait absolument aucun mal à en capter les effluves.
D'une petite voix malicieuse, Marisa glissa à l'oreille de sa monture :

- Pour chaque gros mot qu'elle vous sortira, je veux entendre vos grosses bourses claquer fort contre son cuir de petite cochonne~

Ce petit jeu semblait beaucoup l'amuser !
Nul question de sadisme de sa part ; elle avait surtout bien conscience qu'une leçon d'humilité pour Actaïa ne serait pas de trop en ces étouffantes circonstances.

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 27 oct. 2025 01:46
par Bhouta
Avec le dos ruisselant de Bhouta, Marisa raffermit sa position. Elle opta pour cela pour une pose inattendue en grimpant sur les épaules de Bhouta. Elle posa ainsi ses jambes sur ses épaules, les enroulant autour de sa nuque, ce qui fit que Bhouta sentit contre l’arrière de son crâne la chatte de Marisa. En tendant les bras, celle-ci pouvait même s’agripper au plafond, obtenant ainsi un contre-poids qui lui éviterait de tomber. Elle avait également une vue imprenable sur la sodomie de Bhouta, sur le corps de son amie Actaïa qui était bourlinguée dans tous les sens. Actaïa grognait et sifflait, partagée entre son envie de trucider l’homme-cochon et son envie qu’il continue à la baiser comme il le faisait. Quand Marisa lui indiquait d’y aller, Bhouta grognait. Il n’était pas un canasson ! Mais l’idée était là, et, de fait, il donnait de solides coups de reins. De quoi faire trembler toute la baraque ! Quand Actaïa manquait tomber au sol, Bhouta l’attrapait par les cheveux, la forçant à se redresser, et grognait encore.

« Gnnn… Une pe-Petite cochonne, ouuii… Mais aussi… U-Une grosse, sa-Salope… ! »

La puissante main de Bhouta venait gifler les fesses d’Actaïa, des claques qui résonnaient dans la pièce. Marisa avait souhaité entendre les bourses de Bhouta claquer, mais des fessées, cela produisait aussi un excellent son ! Bhouta continuait à la besogner, grognant et soupirant. Sa queue remuait en elle avec énergie, un membre disproportionné qui avait élargi le cul de la femme. Avec ses parois anales bien dilatées désormais, Actaïa s’offrait aux pénétrations sexuelles vigoureuses de Bhouta. Marisa pouvait ainsi avoir le sentiment d’un vrai rodéo, avec le corps de Bhouta qui filait d’avant en arrière, et l’homme-porc qui poussait des grognements, et transpirait comme un buffle. Il déployait toute son énergie, et n’hésitait pas à tirer encore sur les cheveux d’Actaïa, redressant parfois la jeune femme, jusqu’à ce qu’elle se tienne presque à l’équilibre, le dos redressé. La main de Bhouta occupée à jouer des percussions sur sa croupe se déplaçait alors pour malaxer les seins de la jeune femme, les pinçant, ou allait jusqu’à saisir son cou, appuyant sur sa trachée, l’étranglant un peu, pour finalement venir titiller son sexe, jouant avec son clitoris, recueillant sa mouille.

Cela fit ricaner Bhouta.

« Bordel, tu mouilles comme une traînée ! Qu’attends-tu pour j-jouir, salope ? Tu veux faire durer encore ça, h-hein ? L-La sentir dans ton petit cul de nymphomane en chaleur… M-Ma queue, hmmm… T-TU veux que j’te dise un truc, ma chérie ? Ma queue… Elle est bien, logée au plus profond de ton cul ! »

Et Bhouta continuait ! À ce stade, son orgasme tonitruant allait sans aucun doute arrondir le petit ventre d’Actaïa, tant il sentait qu’il allait balancer d’épaisses et longues giclées de foutre en elle…

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 30 oct. 2025 15:53
par Marisa Teritt
Actaïa soufflait toujours. Plus le temps passait, plus elle avait l'impression que la verge de Bhouta gagnait en volume ! Ce n'était qu'à moitié vrai : la Fille de l'Eau faiblissait, de son côté, devant toujours plus sensible à son supplice. Quand bien même avait-elle déjà expérimenté la chose avec un ou deux bonhommes de sa tribu, force était de reconnaître que la sodomie d'un Buta relevait d'un niveau supérieur, d'un niveau plus... exigeant.

- Urrrghnn !!!... Kuaaaah !!~

Son violent partenaire la releva en la prenant par les cheveux. Actaïa eut tout juste le temps de songer à buter ce salaud quand elle reçut son lot de fessées qui la fit couiner. Si ce n'était que ça ! Son orifice adroitement martelé lui balançait décharge après décharge, muselant ses pulsions meurtrières. Elle était prise au piège d'un savoureux gloubi-boulga à base de douleurs perforantes et d'intenses bouffées de plaisir qui résonnaient jusque dans sa matrice.
Et l'autre qui exulte, là-haut !
Marisa encourageait son généreux donateur, parfois en risquant la gamelle avec un poing levé.

- Oui ! Oh, oui ! Mais quelle mélodie incroyable ! C'est bien la première fois que j'entends Aqua crier comme ça. 'Y a pas à dire : vous êtes vraiment doué, M'sieur Bhouta~

La fermière brûlait d'excitation le long de sa nuque. Un feu liquide, délicieusement féminin. Pas de quoi générer des sueurs froides, non ! Plutôt des bouffées de chaleur.

- Aahkh... C-c'est d...dur... kheuf !

Pour ne rien arranger, Bhouta prenait un malin plaisir à la tripoter ou, pire encore, à l'étrangler à demi. De quoi continuer à l'affaiblir. Suffisamment pour avoir l'occasion de lui frotter le minou avec une telle vigueur qu'elle eut l'impression qu'il allait lui vandaliser la cerise.
Actaïa serra les dents aussi fort que possible, étouffant ses gémissements qu'elle trouvait à la fois honteux et atroce.
Bhouta, bien sûr, se félicitait de son œuvre obscène. Actaïa le détestait pour cela, mais elle devait tout de même bien admettre qu'il était effectivement bien enfoncé entre ses fesses. Un derrière musclé qui, en outre, fourmillait depuis qu'il l'avait giflé comme un cinglé !

- I-immonde... b-ba... Khnn!... bâtaaaaahrd !

Un cri qu'elle avait lancé au plafond, les yeux ronds d'un inacceptable plaisir. Elle s'était redressée tout seule, le bas de ses reins en proie à une soudaine ébullition.

- C-c'est... aaah!... p-pas bon... Hnnnnrr !... du tout... ooonnnh....

Une brûlure à l'entrejambe. Sa poche citronnée avait craqué dans la foulée ! Trop têtue pour donner raison à cet ogre porcin, la Fille de l'Eau urina sans faire exprès. Son jus doré abreuva le tapis en un jet continu qui, au moment de perdre du débit, dégoulina le long de ses cuisses chocolatées. Nul doute qu'elle allait enchaîné cette stupide vidange par un copieux orgasme.
Entre-temps, toujours juchée sur les épaules du cochon rustre, Marisa tenait bon sans trop se rendre compte de ce qu'il se passait vraiment sous le ventre de sa meilleure amie.

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 10 nov. 2025 01:53
par Bhouta
L’homme-cochon devait bien admettre que cette femme était très endurante ! Une résistance exceptionnelle, même pour lui ! Marisa se régalait de cette situation, de ce rodéo sensuel et endiablé. Il sentait Actaïa commencer à sombrer… Ce qui se traduisit par un jet d’urine sur ses cuisses. Bhouta sursauta en sentant ce liquide poisseux sur ses jambes. La belle n’arrivait même plus à parler, et allait contracter un magnifique orgasme anal. Cela tombait bien, car Bhouta se mit lui aussi à jouir.

« Ooooh… »

Coincée dans le fondement d’Actaïa, sa verge se contorsionna. Les muscles de Bhouta se crispèrent, et le Buta se mit ensuite à jouir, un long sifflement nasal s’échappant de sa truffe à cette occasion. Il soupira encore, ferma les yeux, et sa queue balança des chapelets de foutre. Bhouta se mit à jouir au plus profond du fondement d’Actaïa. Il s’abandonna en elle sans vergogne, en soupirant longuement.

Ce fut une belle explosion orgasmique. Bhouta jouit longuement et fort, si bien que sa queue glissa hors du corps d’Actaïa. Il jouit sur le renflement de ses fesses, et balança ses vagues de sperme sur le postérieur d’Actaïa ainsi que sur son dos. La belle femme à la peau cuivrée se retrouva ainsi zébrée d’un beau dégradé blanc.

« Haaaa… La vache, tu as vraiment un sacré cul, Actaïa ! »

Bhouta était en sueur. Il laissa la Fille de l’Eau s’affaler sur le tapis au sol, épuisée. Bhouta attrapa avec ses mains Marisa par les hanches, et la fit descendre au sol. Elle était toute excitée, et lui avait maintenant chaud. Le cochon était en sueur, sa peau rosâtre ayant pris des teintes rouges. Respirant longuement, Bhouta se rassit sur le canapé.

« Je me suis peut-être un peu emporté… Sa vessie a fini par lâcher. »

L’homme-porc souffla longuement.

« Tu as de la bière en stock, Marisa ? J’ai la gorge un peu sèche… Tu peux vérifier comment va ta copine ? Je n’ai pas envie qu’elle me broie à nouveau mes précieuses boules… »

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 11 nov. 2025 10:11
par Marisa Teritt
Le point culminant ! Elle y était - ou plutôt « ils » nageaient en plein dedans ! Les sensations ne trompaient pas et, même dans son état d'abrutissement, Actaïa sut que le Buta était en train de lui remplir le derrière.

- Akkh !!!... Hmnnnrrh.... Oggh !!

Il l'avait sortie de son étui pendant l'explosion. Sa chaleur macula ses fesses, tachant jusqu'à la cuvette formée par son dos cambré et le tracé de son épine dorsale. Ce porc venait de la souiller sans lui avoir demandé le feu vert mais, dans le fond, quelle importance y avait-il à cela ? Elle l'avait autorisé à la prendre par derrière, et lui était allé au bout des choses sous les encouragements de la Fleur des Champs. Actaïa se considérait comme la meilleure amie de cette dernière mais également comme son unique employée ; à ce niveau, toute révolte de sa part la ferait passer pour une gosse capricieuse. Or tout le monde avait vu qu'elle avait, derrière le voile de ses insultes, bien su prendre son pied.
Sans compter le fait que la Fille de L'Eau n'était plus en état de gueuler ou de donner la réplique.
Tout le contraire de la fermière, plus fraîche que fraîche après ce rodéo inspirant qu'elle avait passé sur les épaules du violent sodomite !
Bhouta l'en fit descendre et Marisa se réceptionna souplement sur ses belle gambettes.
Elle remarqua que l'homme-porc, pour preuve de sa fatigue, avait changé de couleur et luisait de sueur. Et puis, il en faisait du bruit en respirant ! Un peu comme quelqu'un qui ronfle. En l'écoutant, la Fleur des Champs eut même l'image d'un moteur qui lui était venue à l'esprit.

- Oh ! Alors c'est ça, cette odeur chaude et piquante ?

Non : avant qu'ils l'en informent, Marisa n'avait pas du tout fait attention à ce que sa meilleure amie avait répandu sur le grand tapis. Plutôt que de la choquer, cela l'avait même fait sourire en coin.
Elle considéra son hôte épuisé. Il lui avait fait deux demandes. La première, d'aller lui servir une bière ; la deuxième, d'évaluer les dégâts chez son amie qu'il avait mise au tapis. Car le Buta craignait qu'elle finisse par se relever pour le punir d'y avoir été trop fort avec ses miches repeintes par sa généreuse virilité.
Marisa choisit donc de prioriser Aqua, auprès de l'oreille de laquelle elle s'était penchée.

- Tout va bien, compagnonne ?

- Uuuugh~...

La fermière passa une main devant son regard vague. Actaïa, un mince filet de salive aux lèvres, parvenait tout de même à suivre - mollement - le mouvement de ses doigts.

- Tu es parvenue à écrémer le client mais il t'a mise dans un de ces états...

Elle lui tapota gentiment les fesses. La Fille de l'Eau se crispa comme si elle s'était prise un coup de jus ! En l'inspectant à cet endroit-là, la Fleur des Champs remarqua que son joli petit trou défoncé peinait à se refermer. Marisa aurait pu y glisser trois doigts sans problème. Ce qu'elle se garda de faire, son amie ayant visiblement eu son content.

- Tu manques encore un peu d'expérience, ma bonne et franche copine~

Pas complètement à la ramasse, Actaïa émit une sorte de petit grognement réprobateur. Son amie émit un petit rire cristallin avant de la forcer à s'étaler sur le flanc, en position latérale de sécurité, où elle ne baignerait pas dans son urine chaude. La Fille de l'Eau lui donnait vaguement l'impression d'avoir été, en même temps, renversée par un tracteur et remplie par un tuyau d'arrosage. C'était assez impressionnant à voir !
Elle leva ensuite son regard azuré vers Bhouta.
Hors de danger, ce dernier avait bien mérité sa bière, estima-t-elle.

- Il doit y en avoir encore un peu dans le frigo, réfléchit-elle à voix haute avant de bondir sur ses pieds. Je cours vous en chercher une !

Elle ne fit pas les choses à moitié ! Non seulement la Fleur des Champs fut très rapide à revenir sur ses pas, mais en plus de cela elle avait même trouvé le temps de se remplir une grand verre de lait. Marisa dut le poser sur la table pour décapsuler la boisson de son cochon préféré. Leste comme une serveuse d'expérience, elle troqua promptement le décapsuleur contre son lait frais avant de tendre la bouteille en verre au concerné.

- A notre fantastique et fiévreuse collaboration, M'sieur Bhouta !

S'était-elle gênée pour coller son grâcieux derrière sur l'accoudoir du fauteuil qu'il occupait avec toute sa masse transpirante ? Eh bien, non!~
Elle cogna son bock de lait contre sa bière fraîche avant de renverser sa tête en arrière et d'en boire de grosses lampées.

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 17 nov. 2025 01:53
par Bhouta
Bhouta devait tout de même reprendre un peu ses esprits. Après avoir été abruptement interrompu alors qu’il besognait Marisa, il avait été attaqué par Actaïa, et avait réutilisé son précieux appareil génital pour la besogner. Marisa lui confirma qu’elle était toujours là, même si Bhouta l’avait épuisé. Celui-ci sourit, et s’affala dans le fauteuil. Il s’était un peu emporté, sans doute parce que cette jeune femme l’avait bien provoqué, et qu’il avait été impatient de lui montrer de quoi il était capable. Tandis qu’Actaïa reprenait ses esprits, Marisa ramena une bière fraîche, et grimpa sur l’accoudoir. Bhouta souffla lentement, se rappelant après tout qu’il n’avait pas été jusqu’au bout des chaises avec elle. Il avala un peu de sa bière, et soupira doucement en sentant le liquide fort et frais lui rincer le gosier. Sa main libre caressait le dos de Marisa, glissant le long de ses cheveux.

« Je dois bien admettre que je ne m’attendais pas à tomber sur deux spécimens comme vous en rejoignant cette ferme… »

L’homme-porc était venu ici pour un investissement, et se retrouvait à baiser comme un phacochère. Sa verge avait perdu de sa dureté, même si elle restait encore élancée. Bhouta n’était pas encore totalement épuisé, loin s’en faut, mais, après avoir sodomisé Actaïa avec force, il avait besoin d’un peu de moment pour reprendre ses esprits. Cependant, il sentait bien que Marisa était en manque. C’était assez compréhensible, sa prestation dans sa chambre s’était inachevée. Il observa encore Actaïa, étalée devant le canapé, qui continuait à somnoler. Elle n’était pas la première de ses amantes qu’il laissait dans un état semi-comateux. Avec sa force surnaturelle, il était un amant d’exception pour ces dames, et c’était un statut dont Bhouta profitait volontiers.

Il sourit donc, et écarta ses jambes.

« Je souhaiterai en savoir un peu plus sur vous deux, Marisa… C’est qui, elle ? Ta garde du corps ? Ton associée ? »

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 19 nov. 2025 18:59
par Marisa Teritt
La Fleur des Champs éloigna le bock de ses lèvres blanches, qu'elle pourlécha avec une gourmandise enfantine. Vraiment rien de tel qu'un bon lait frais pour se remettre d'aplomb ! La joyeuse fermière poussa un soupir d'aise, puis reporta sa bienveillante attention sur son robuste collaborateur qui lui caressait les cheveux. Elle gloussa à sa remarque, se sachant particulière auprès de bien des hommes dont Bhouta faisait maintenant partie.
Alors que lui avait écarté les jambes, Marisa croisa élégamment les siennes sur cet accoudoir.

- J'en déduis que nous représentons pour vous une excellente surprise !

Elle but encore un bon coup, le laissant lui poser ses questions qui, pour l'heure, tournaient essentiellement autour de la belle guerrière qu'il avait ardemment besognée par l'arrière. Marisa n'eut pas besoin de réfléchir bien longtemps à la réponse qu'elle était sur le point de lui fournir. Se tapotant du poing le dessus de la poitrine, la rouquine réprima un petit rôt qui avait menacé de sortir.

- Actaïa représente énormément de choses à mes yeux, commença-t-elle avec un petit sourire nostalgique. Tout d'abord, je la considère comme ma plus chère amie ! Parce que même si elle a un caractère de cochon et m'empêche parfois de faire des choses avec d'autres, je sais que c'est d'abord dans le but de préserver ma santé.

Elle s'accorda une pause, le temps de la regarder et de peut-être la voir réagir. Mais Actaïa était vraiment à plat, et donc parfaitement incapable de se mêler à cette conversation.

- En plus d'être une brave fille, c'est une vraie battante ! Elle est débrouillarde, forte, endurante et très utile à notre ferme. Sans sa présence, je pense que j'aurais fini par déposer le bilan depuis belle lurette.

La disparition de ses parents avait été très difficile pour elle. Ce n'est que peu de temps après cet épisode que la Fleur des Champs s'était mise à offrir des services extra-agricoles à des gens de passage, s'en allant même parfois rendre visite à des « voisins » dans l'espoir de pallier à sa douloureuse solitude. Avant la venue inopinée et salvatrice de la Fille de l'Eau, Marisa avait d'ailleurs fait la rencontre d'un esprit de la sylve. Connaissance dont elle ne devait pas ébruiter l'existence. La dénommée Yggdrasia - une dryade - lui était liée depuis, comme en témoignait ce modeste bracelet végétal que la jeune fermière portait toujours au poignet droit. Un accessoire relevant également de l'artefact dans la mesure où il se nourrissait de ses ébats et l'empêchait de tomber enceinte.

- Vous savez... malgré les apparences, je pense que vous lui avez fait du bien. Bon ! Aqua aura peut-être un peu de mal à s'asseoir durant les prochains jours, il est vrai, maaaaaais je reste fermement campée sur ma position. Elle était bien trop stressée ces derniers temps ; il lui fallait au moins ça pour décompresser un peu.

Son sourire s'était accentué. La bougresse pétillait d'innocence a tel point que l'on pourrait très bien visualiser de petites étoiles scintiller autour de son charmant portrait.

- Et maintenant, M'sieur Bhouta ? Qu'est-ce que vous voulez savoir sur moi, exactement ?~

Inutile de préciser que sa simple proximité avait tendance à grandement l'exciter !

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 08 déc. 2025 02:16
par Bhouta
Que Actaïa soit forte, Bhouta voulait bien le croire, il se souvenait encore de la douleur qu’il avait ressenti quand elle avait manipulé l’eau pour lui tordre ses testicules. Marisa répondit sans vraiment répondre, cependant. Actaïa était proche d’elle, mais cela, Bhouta l’avait deviné avant. Il avait aussi pu constater qu’elle maîtrisait la magie, et qu’elle était liée à l’eau. Une Aquakinésiste, sans doute… Un pouvoir terrifiant, car tout organisme vivant était composé en grande partie d’eau. Vu son look, l’absence d’implants ou de puces neuronales sur le corps, il estima qu’il devait s’agir d’un pouvoir naturel, et lui soupçonna une origine edorrassienne. Marisa lui demanda ensuite ce qu’il voulait savoir sur elle.

Bhouta avala un peu d’eau pour retrouver son souffle.

« Eh bien, comme tu le sais, je suis venu ici initialement pour te proposer un partenariat… Investir mon argent pour reconstruire les éléments de ta ferme endommagés suite à la tempête, et pouvoir en retour bénéficier de ta production locale. »

Bhouta reposa le verre d’eau. C’était un pervers, mais aussi un homme d’affaires. Il n’oubliait donc pas ce qu’il était venu faire ici.

« Je viens de Volony, où je dirige une chaîne de restaurants. Cela va du restaurant gastronomique au fast food. Je tiens personnellement une auberge où j’élève du bœuf wagyu que j’ai récupéré sur Terre. Je cherche à me développer sur d’autres mondes, et Uatis a une bonne clientèle, mais les Uatéennes ont la réputation d’être à la fois misandres et racistes. Autant te dire qu’avec mon gros nez de cochon, j’ai peu de chances de percer. Je cherche donc quelqu’un avec qui je pourrais m’associer, qui ferait en quelque sorte office de prête-nom pour que j’installe des restaurants à Uatis, et dans les pays alliés, comme à Edoras. »

L’homme-cochon soupira doucement, et caressa avec sa main le dos de Marisa.

« Je ne pensais pas devoir mouiller la chemise à ce point, mais je ne regrette rien… Enfin, sauf le moment où ta copine a voulu me castrer, mais… Disons qu’on a pu se réconcilier. Alors, dis-moi, indépendamment du fait de te faire l’amour avec force, mon idée de développement pour ta ferme te plairait-elle ? »

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 08 déc. 2025 18:06
par Marisa Teritt
Le Buta en voulait ! Il tenait à son commerce, au futur fruit de ses investissements multiples. Et il croyait vraiment pouvoir nouer un partenariat efficace avec la trop ouverte Fleur des Champs. Cette dernière n'en attendait pas moins du grand cochon, qui ne voyait pas moins haut que sa propre taille. Elle le trouvait fascinant ET impressionnant. Bhouta n'était certes pas un guerrier mais ce détail importait peu à la gentille fermière. Elle n'en était pas non plus une, après tout ! Actaïa, en revanche, était capable d'endosser ce rôle aussi facilement que celui d'une employée modèle.
Mettant momentanément de côté cette chaleur qui lui titillait le bas-ventre, la rouquine songea calmement à la nature de cette offre qu'il lui avait posé sous le nez.

- Je serais en quelque sorte votre ambassadrice ? Votre... figure de proue ?

Elle n'était pas sûre d'employer le bon terme. En tout cas, elle visualisait plus ou moins la chose.
Dans son dos, la caresses de ces gros doigts boudinés lui soutirèrent un délicieux frisson.
Marisa sourit - petit croissant de lune sur le visage d'une fille faussement sage.
Nouant ses petits bras autour de son imposant biceps, elle reposa sa tête chevelue contre l'épaule de l'homme-porc.

- Votre idée pourrait beaucoup me plaire... si jamais Actaïa daigne bien m'accompagner dans cette aventure commerciale.

L'intéressée ne s'était toujours pas relevée. En même temps, après que Bhouta lui eut mis le derrière en vrac au point de faire trembler jusqu'aux fondations de la maison...

- C'est une fille intelligente et débrouillarde - bien plus que moi. Je ne m'imagine pas collaborer efficacement sans bénéficier de son courage... et de sa protection~

Marisa leva des yeux brillant sur le visage du Buta. Sans trahir son geste lubrique grâce à ce regard fixe, elle déplaça l'une de ses petites mains entre ses grosses gambettes. Ses doigts caressèrent cet épais gourdin qui lui tenait lieu de vit. Marisa glissa la pointe de son index sous la fine couche de peau qui lui couvrait le gland, le décalottant à moitié.

- En l'état actuel des choses, je crois que je vais avoir beaucoup de mal à patienter bien sagement, M'sieur Bhouta.

Ressentir sa « force » lui manquait déjà ?
Les mèches rousses s'étaient mises à bouger sur sa tête, qu'elle avait lentement décollée de cette épaule virile.
Tout en s'approchant son visage juvénile de son groin, elle ajouta plus chaudement :

- Les Uatéennes ne savent pas ce qu'elles ratent~

Elle avait empoigné son manche, commençant à le secouer à la verticale.

Re: La Vie à la Ferme [Marisa Teritt]

Posté : 08 déc. 2025 18:07
par Marisa Teritt
Le Buta en voulait ! Il tenait à son commerce, au futur fruit de ses investissements multiples. Et il croyait vraiment pouvoir nouer un partenariat efficace avec la trop ouverte Fleur des Champs. Cette dernière n'en attendait pas moins du grand cochon, qui ne voyait pas moins haut que sa propre taille. Elle le trouvait fascinant ET impressionnant. Bhouta n'était certes pas un guerrier mais ce détail importait peu à la gentille fermière. Elle n'en était pas non plus une, après tout ! Actaïa, en revanche, était capable d'endosser ce rôle aussi facilement que celui d'une employée modèle.
Mettant momentanément de côté cette chaleur qui lui titillait le bas-ventre, la rouquine songea calmement à la nature de cette offre qu'il lui avait posée sous le nez.

- Je serais en quelque sorte votre ambassadrice ? Votre... figure de proue ?

Elle n'était pas sûre d'employer le bon terme. En tout cas, elle visualisait plus ou moins la chose.
Dans son dos, les caresse de ces gros doigts boudinés lui soutirèrent un délicieux frisson.
Marisa sourit - petit croissant de lune sur le visage d'une fille faussement sage.
Nouant ses petits bras autour de son imposant biceps, elle reposa sa tête chevelue contre l'épaule de l'homme-porc.

- Votre idée pourrait beaucoup me plaire... si jamais Actaïa daigne bien m'accompagner dans cette aventure commerciale.

L'intéressée ne s'était toujours pas relevée. En même temps, après que Bhouta lui eut mis le derrière en vrac au point de faire trembler jusqu'aux fondations de la maison...

- C'est une fille intelligente et débrouillarde - bien plus que moi. Je ne m'imagine pas collaborer efficacement sans bénéficier de son courage... et de sa protection~

Marisa leva des yeux brillant sur le visage du Buta. Sans trahir son geste lubrique grâce à ce regard fixe, elle déplaça l'une de ses petites mains entre ses grosses gambettes. Ses doigts caressèrent cet épais gourdin qui lui tenait lieu de vit. Marisa glissa la pointe de son index sous la fine couche de peau qui lui couvrait le gland, le décalottant à moitié.

- En l'état actuel des choses, je crois que je vais avoir beaucoup de mal à patienter bien sagement, M'sieur Bhouta.

Ressentir sa « force » lui manquait déjà ?
Les mèches rousses s'étaient mises à bouger sur sa tête, qu'elle avait lentement décollée de cette épaule virile.
Tout en approchant son visage juvénile de son groin, elle ajouta plus chaudement :

- Les Uatéennes ne savent pas ce qu'elles ratent~

Elle avait empoigné son manche, commençant à le secouer à la verticale.