Re: Domination [Ishtar Naviento]
Posté : 30 sept. 2024 14:03
« Dans ton utérus ». De tout ce que Ishtar venait de dire, Alice ne retint pour ainsi dire que ces trois petits mots. Un aveu, la preuve que la jeune femme allait peut-être finir par obtenir la consécration ultime. Depuis qu'elle savait que ce qu’elle avait toujours cru sur la filiation des Korvander était fausse, et qu'elle pouvait avoir plusieurs enfants, Alice avait un désir de maternité qui était très fort, comme une sorte de désir latent, trop longtemps enterré, qui remontait avec force à la surface. Cette vague, Alice la sentait en elle, elle croissait, forte, irrésistible. Elle se caressa encore furtivement le ventre, mais revint à elle quand Ishtar lui annonça, sans plus de cérémonie, son intention de lui faire une gorge profonde d'anthologie. La jeune Princesse en robe bodycon moulante rougit furieusement, reniflant cette verge. Avant de l'enfoncer en elle, Ishtar commença par la bifler, sa verge tapant sur ses joues, déclenchant à chaque fois dans le corps de la délicate Princesse des frissons exquis. Elle reniflait son odeur, cette fois sans le préservatif. C'était directement sa chair, sa queue tendue et assoiffée, ce gros membre proéminent qui fila sous son nez. Elle inhala l'odeur, renifla ses testicules, et déposa quelques baisers dessus, puis sur sa verge, l'honorant comme une dévote face à sa déité.
« Maîtresse, je vous aime... » soupira Alice, avant que Ishtar ne pose sa main sur sa tête, et n'enfonce son mandrin chaud et turgescent entre ses lèvres.
Alice gémit doucement, et ferma les yeux. Quand elle les rouvrit, ils s'illuminèrent encore, et l'inmon sur son pubis se mit à briller joyeusement. Elle sentit le membre forcer le passage dans sa bouche, coulissant. Ishtar y allait avec douceur, au début, mais amplifia rapidement le mouvement. Alice comprit vite qu'elle n'aurait pas grand-chose à faire, car Ishtar ne voulait pas la voir la sucer ; elle voulait la baiser. Alors, elle se mit à la baiser, remuant en elle. Alice se mit donc à soupirer, sentant le rythme s'accroître, les coups de reins venant à se multiplier avec force. Ishtar l'étouffait avec sa puissante queue, serrant ses mains solides sur sa tête, et elle adorait ça. Elle ne tarda pas à réagir, par ses soupirs, mais aussi en posant ses mains sur les hanches d'Ishtar, puis sur ses fesses. Elle serra avec ses doigts le cul musclé de la dragonne, pinçant sa chair à travers sa minijupe en latex. Et, tandis que les minutes passaient, et qu'elle sentait ses lèvres s'écarquiller sous la pression de ce membre solide, Alice se fit encore plus entreprenante. Elle glissa l'une de ses mains sous sa robe, et se masturba, mais orienta l'autre, et fourra un doigt dans le fondement d'Ishtar. Elle sentit le corps de la Dragonne se roidir sur place. Alice aurait pu se retirer, mais elle choisit de remuer son doigt, consciente que ce genre de contact était souvent apprécié. Elle frottait en effet la paroi anale, qui titillait elle-même la prostate d'Ishtar, et elle savait que c'était agréable.
Ishtar continuait à la baiser, sauvagement, l'amenant parfois à verser des larmes, des larmes presque automatiques, liées au fait qu'Ishtar maintenait des gorges profondes pendant de longues secondes. Elle étouffait ainsi la jeune Princesse, qui sentait l'air lui manquer, avant que Ishtar ne reprenne ses coups de reins.
« HNNNN... !! »
C'est finalement comme cela qu'Alice se mit à jouir, la bouche remplie par la verge d'Ishtar, son musc lui vrillant l'esprit. Son sperme chaud éclata en elle, une éruption massive, qui la faisait mouiller. Elle déglutit en sentant ce jet plonger dans sa gorge, remplissant son ventre. Le puissant sperme de la Dragonne l'inonda, ce plaisir animal et reptilien l'excitant furieusement. Quand Ishtar se retira, Alice, dodelinante, dut se masser d'une main la gorge, et éternua quand même un peu face à l'afflux d'air. Mais, quand elle releva la tête et ouvrit la bouche, ce fut pour prouver à sa Maîtresse qu'elle avait tout avalé. Difficile de dire si Ishtar allait lui faire payer ses initiatives, mais la Dragonne préféra attraper son téléphone portable, et lui ordonna de se montrer obscène, si elle voulait se faire enculer.
Alice déglutit, et, assise sur les genoux, bascula en arrière. Elle écarta ses jambes, et fourra deux doigts dans sa chatte, les relevant ensuite. Elle les remua devant l'objectif de la caméra, pour voir qu'ils étaient humides, et suça ses doigts en pinçant son propre sein avec son autre main, un sein qui avait sauté de sous la robe quand Ishtar l'avait besogné.
« Je ne saurais par où commencer, Maîtresse... Quand vous m'avez baisé la dernière fois, Maître Chengzu s'est occupé de moi pendant cette semaine. Il m'a fait goûter à tout un tas d'amants... »
Elle se pencha en avant ensuite, et, avec sa main libre, attrapa un vibromasseur rose, qu'elle se fourra dans les fesses, en se couchant sur le flanc, et en montrant son postérieur à Ishtar :
« Je me suis fait ravager par Bhouta, un homme-cochon puant et massif, qui faisait bien plus de 200 kilos. Il m'a écrasé, il a grogné contre mon oreille, m'a battu, mais sa queue porcine ne se comparait pas à la vôtre... Ni sa fougue ou son endurance. Chaque fois que je vous sens en moi, je perds toute contenance. Lui était un char d'assaut, mais vous... C'est une armée entière qui me ravage, haaaa... Voyez comme je mouille rien qu'à renifler votre odeur. Plus ils me baisaient, et plus je constatais combien ces jours qui ont passé étaient... Incomplets. J'en finissais toujours frustrée, alors que, quand vous m'avez ravagé, Maîtresse, j'ai été la plus comblée de toutes les femmes... »
Le vibromasseur remuait dans son cul, et elle s'avança vers Ishtar, venant à nouveau présenter sa chatte trempée.
« Et il y a eu Fréol... Lui me faisait l'amour comme un homme le ferait à la femme qu'il aime. Là où Bhouta me prenait pour une simple pute, Fréol me faisait l'amour avec respect... C'était bon, c'était incroyable, mais, là encore, j'en ressortais avec ce même sentiment... Hmmm... D'incomplétude. Il n'y a que vous, Maîtresse, qui soyez la quintessence, la perfection de ce qu'il faut faire. »
Alice tremblait nerveusement, excitée, se masturbant plus vigoureusement, jusqu'à remplacer le vibromasseur par un gode encore plus gros. Elle gémit quand elle se l'enfonça dans le cul. C'était un horse tail, un gode épais et long, sur lequel elle s'empala, gémissant fortement. Elle bavait sur elle-même, et continua à se masturber.
« Mon utérus est vôtre, Maîtresse... Je suis prête à faire tout ce que vous voudrez, Maîtresse, pour que vous me ravagiez encore. Que vous me baisiez comme le digne animal que vous êtes, comme si j'étais votre chienne... Oh, Maîtresse... ♥ ! »
Elle soupira encore, et se mit sur ses genoux, ses soupirs rythmés par le bruit spongieux de ses doigts s'enfonçant dans sa chatte.
« Re-Regardez comme je mouille, Maîtresse... Je sens votre odeur, sur moi... Je suis votre pute, votre chienne, votre... Votre salope ! Je rêve que vous me tiriez les cheveux en me prenant, que vous m'étrangliez avec votre grosse queue en me frappant mon petit cul de traînée et en me disant que je suis votre pute... Je veux que tous les hommes de votre colonie me passent dessus pour revenir vers vous tant personne n'est digne de vous et de votre sauvagerie. Oh, Maîtresse, je me ferai même prendre par vos chiens si vous le voulez... Vous me promèneriez à un parc, à la laisse, et ils viendraient tous m'enculer, tandis que je vous regarderai, avec l'espoir que vous me baisiez ensuite... Moi, votre... Votre Princesse-salope, votre Reine des Putes ! »
Tant d'insanités achevèrent la jeune Alice, qui se mit à jouir entre ses doigts, inondant ses cuisses et le sol de la pièce...
« Maîtresse, je vous aime... » soupira Alice, avant que Ishtar ne pose sa main sur sa tête, et n'enfonce son mandrin chaud et turgescent entre ses lèvres.
Alice gémit doucement, et ferma les yeux. Quand elle les rouvrit, ils s'illuminèrent encore, et l'inmon sur son pubis se mit à briller joyeusement. Elle sentit le membre forcer le passage dans sa bouche, coulissant. Ishtar y allait avec douceur, au début, mais amplifia rapidement le mouvement. Alice comprit vite qu'elle n'aurait pas grand-chose à faire, car Ishtar ne voulait pas la voir la sucer ; elle voulait la baiser. Alors, elle se mit à la baiser, remuant en elle. Alice se mit donc à soupirer, sentant le rythme s'accroître, les coups de reins venant à se multiplier avec force. Ishtar l'étouffait avec sa puissante queue, serrant ses mains solides sur sa tête, et elle adorait ça. Elle ne tarda pas à réagir, par ses soupirs, mais aussi en posant ses mains sur les hanches d'Ishtar, puis sur ses fesses. Elle serra avec ses doigts le cul musclé de la dragonne, pinçant sa chair à travers sa minijupe en latex. Et, tandis que les minutes passaient, et qu'elle sentait ses lèvres s'écarquiller sous la pression de ce membre solide, Alice se fit encore plus entreprenante. Elle glissa l'une de ses mains sous sa robe, et se masturba, mais orienta l'autre, et fourra un doigt dans le fondement d'Ishtar. Elle sentit le corps de la Dragonne se roidir sur place. Alice aurait pu se retirer, mais elle choisit de remuer son doigt, consciente que ce genre de contact était souvent apprécié. Elle frottait en effet la paroi anale, qui titillait elle-même la prostate d'Ishtar, et elle savait que c'était agréable.
Ishtar continuait à la baiser, sauvagement, l'amenant parfois à verser des larmes, des larmes presque automatiques, liées au fait qu'Ishtar maintenait des gorges profondes pendant de longues secondes. Elle étouffait ainsi la jeune Princesse, qui sentait l'air lui manquer, avant que Ishtar ne reprenne ses coups de reins.
« HNNNN... !! »
C'est finalement comme cela qu'Alice se mit à jouir, la bouche remplie par la verge d'Ishtar, son musc lui vrillant l'esprit. Son sperme chaud éclata en elle, une éruption massive, qui la faisait mouiller. Elle déglutit en sentant ce jet plonger dans sa gorge, remplissant son ventre. Le puissant sperme de la Dragonne l'inonda, ce plaisir animal et reptilien l'excitant furieusement. Quand Ishtar se retira, Alice, dodelinante, dut se masser d'une main la gorge, et éternua quand même un peu face à l'afflux d'air. Mais, quand elle releva la tête et ouvrit la bouche, ce fut pour prouver à sa Maîtresse qu'elle avait tout avalé. Difficile de dire si Ishtar allait lui faire payer ses initiatives, mais la Dragonne préféra attraper son téléphone portable, et lui ordonna de se montrer obscène, si elle voulait se faire enculer.
Alice déglutit, et, assise sur les genoux, bascula en arrière. Elle écarta ses jambes, et fourra deux doigts dans sa chatte, les relevant ensuite. Elle les remua devant l'objectif de la caméra, pour voir qu'ils étaient humides, et suça ses doigts en pinçant son propre sein avec son autre main, un sein qui avait sauté de sous la robe quand Ishtar l'avait besogné.
« Je ne saurais par où commencer, Maîtresse... Quand vous m'avez baisé la dernière fois, Maître Chengzu s'est occupé de moi pendant cette semaine. Il m'a fait goûter à tout un tas d'amants... »
Elle se pencha en avant ensuite, et, avec sa main libre, attrapa un vibromasseur rose, qu'elle se fourra dans les fesses, en se couchant sur le flanc, et en montrant son postérieur à Ishtar :
« Je me suis fait ravager par Bhouta, un homme-cochon puant et massif, qui faisait bien plus de 200 kilos. Il m'a écrasé, il a grogné contre mon oreille, m'a battu, mais sa queue porcine ne se comparait pas à la vôtre... Ni sa fougue ou son endurance. Chaque fois que je vous sens en moi, je perds toute contenance. Lui était un char d'assaut, mais vous... C'est une armée entière qui me ravage, haaaa... Voyez comme je mouille rien qu'à renifler votre odeur. Plus ils me baisaient, et plus je constatais combien ces jours qui ont passé étaient... Incomplets. J'en finissais toujours frustrée, alors que, quand vous m'avez ravagé, Maîtresse, j'ai été la plus comblée de toutes les femmes... »
Le vibromasseur remuait dans son cul, et elle s'avança vers Ishtar, venant à nouveau présenter sa chatte trempée.
« Et il y a eu Fréol... Lui me faisait l'amour comme un homme le ferait à la femme qu'il aime. Là où Bhouta me prenait pour une simple pute, Fréol me faisait l'amour avec respect... C'était bon, c'était incroyable, mais, là encore, j'en ressortais avec ce même sentiment... Hmmm... D'incomplétude. Il n'y a que vous, Maîtresse, qui soyez la quintessence, la perfection de ce qu'il faut faire. »
Alice tremblait nerveusement, excitée, se masturbant plus vigoureusement, jusqu'à remplacer le vibromasseur par un gode encore plus gros. Elle gémit quand elle se l'enfonça dans le cul. C'était un horse tail, un gode épais et long, sur lequel elle s'empala, gémissant fortement. Elle bavait sur elle-même, et continua à se masturber.
« Mon utérus est vôtre, Maîtresse... Je suis prête à faire tout ce que vous voudrez, Maîtresse, pour que vous me ravagiez encore. Que vous me baisiez comme le digne animal que vous êtes, comme si j'étais votre chienne... Oh, Maîtresse... ♥ ! »
Elle soupira encore, et se mit sur ses genoux, ses soupirs rythmés par le bruit spongieux de ses doigts s'enfonçant dans sa chatte.
« Re-Regardez comme je mouille, Maîtresse... Je sens votre odeur, sur moi... Je suis votre pute, votre chienne, votre... Votre salope ! Je rêve que vous me tiriez les cheveux en me prenant, que vous m'étrangliez avec votre grosse queue en me frappant mon petit cul de traînée et en me disant que je suis votre pute... Je veux que tous les hommes de votre colonie me passent dessus pour revenir vers vous tant personne n'est digne de vous et de votre sauvagerie. Oh, Maîtresse, je me ferai même prendre par vos chiens si vous le voulez... Vous me promèneriez à un parc, à la laisse, et ils viendraient tous m'enculer, tandis que je vous regarderai, avec l'espoir que vous me baisiez ensuite... Moi, votre... Votre Princesse-salope, votre Reine des Putes ! »
Tant d'insanités achevèrent la jeune Alice, qui se mit à jouir entre ses doigts, inondant ses cuisses et le sol de la pièce...