Elle grogna donc, et continua à besogner sa femme, s’écrasant contre elle, mordillant son épaule, ou le creux de son cou, sa verge massive s’enfonçant douloureusement en elle.
« Han putain, t’es si bonne, ma salope ! »
Entre elles, c’était affectueux ! Bobbie la gifla encore, et accéléra encore, jusqu’à finir par se relâcher en elle. Tandis qu’elle jouissait copieusement, Zoey finit par les rejoindre. Nerveuse, elle avait ramené des repas, mais, en voyant la scène, elle rougit copieusement. Joana, après cette séance de sexe, reprit peu à peu ses esprits, et invita les femmes à se déshabiller, tout en souhaitant que Zoey conserver sa culotte. Souriant doucement, Bobbie ne répondit pas tout de suite, et ouvrit plutôt un placard. Elle ne tarda pas à en sortir un plug anal, et le posa sur la table.
« Tiens, Joana. Enfile-lui ça, ça retiendra mon sperme, et elle pourra être logée à la même enseigne que nous, comme ça. »
Bobbie pensait toujours à tout, et avait, là aussi, tout prévu. Elle se déshabilla à son tour, et, en quelques instants, les trois femmes finirent chacune toutes nues. La verge de Bobbie se redressait encore lentement, et celle-ci ouvrit son plateau-repas, comprenant un sandwich, qu’elle avala donc. Zoey, de son côté, fixait en rougissant sa verge.
« Tu peux la nettoyer, si tu veux.
- V-Vraiment, Maîtresse… ?
- Oui, mais ne suce pas, lèche-là juste. »
Zoey s’activa donc, tandis que Joana continuait à manger, et caressa d’une main distraite ses cheveux.
« Tu es mariée, Zoey, non ?
- Hmmm… Oui, haaa…
- Je suis curieuse d’en savoir un peu plus sur toi… Qu’est-ce qui a bien pu t’amener à Stepford ?
- Je… Rien que de très classique… Mon mari avait perdu son boulot, et… Un ami d’enfance lui a parlé de cette communauté. J’ignorais alors que des femmes comme vous existaient, Maîtresse, mais je ne regrette rien…
- Tu es ici depuis plusieurs années, non ?
- Oui, je suis venue avec mon fils… Humm… Carl… Et mon mari, bien sûr, Dale. »
Comme toujours, Bobbie avait des plans, des stratégies. Sa finalité restait toujours la même, changer Stepford, révolutionner ce village. Et tous, d’une manière ou d’une autre, allaient y contribuer.
« Est-ce que tu as déjà ressenti ça envers Dale, dis-moi ? »
Un léger moment de silence flotta. Zoey, qui embrassait les testicules de sa Maîtresse, releva la tête.
« Que… Que voulez-vous dire ?
- C’est très simple… Est-ce qu’il te baise comme je te baise, ma chérie ? Est-ce qu’il te fait l’amour comme je te le fais, avec la même énergie, avec la même fougue ? »
Zoey sembla réfléchir un peu, avant de lui répondre :
« Je ne sais pas… Je… J’aime Dale, mais… Je ressens toujours avec lui une… Une certaine soif quand nous faisons l’amour, une soif inextinguible que… Que je ne ressens pas avec vous, Maîtresse. »
Bobbie sourit doucement, et caressa encore les cheveux de Zoey.
« Oui, oui, c’est normal… J’ai une endurance bien plus forte que des hommes, car j’ai subi le même traitement que toi. »
La jeune Futanari sourit doucement.
« Et je compte bien te baiser encore longuement… Tu n’es pas d’accord, Joana ? »