« Haaaaannn !! Raaaaah, ma petite salope, tu... Ohhhh, tu as un de ces CULS ! Petite... PUTE !! »
Sha donnait des coups çà chaque fois, si intenses que Kiriko en glissait sur l’eau, qui montait très lentement. La Celkhane réussit à faire preuve d’un prodige, et réussissant à suffisamment se cambrer, pour redresser ainsi son corps. Sha l’aida en la soulevant par les seins, et elle grinça en sentant sa verge se serrer encore plus dans cet espace très étroit. Elle soupira et souffla, mais parvint à soulever Kiriko, à la plaquer contre son ventre, tout en continuant à avoir dans son cul son membre tendu et assoiffé. Oh oui, Sha n’y allait pas de main morte. Elle la faisait souffrir, elle la faisait hurler, et, quand bien même sa magie avait dressé des boucliers autour de la pièce, elle doutait fortement qu’ils soient suffisants à dissimuler les cris hystériques de la brave Kiriko. Et, au fur et à mesure qu’elle criait, les idées perverses affluaient dans l’esprit de Sha.
Kiriko tourna sa tête pour essayer de l’embrasser, tout en se mettant à nouveau à parler. Parler lui était assez difficile, mais Sha eut un sourire, et l’embrassa sur la joue.
« Oh, rassure-toi, ma chérie, je vais t’enculer comme jamais aucune humaine n’a été enculée ! La magie est une arme puissante, Kiriko, et tu vas comprendre pourquoi, ma petite salope adorée ! Je vais te défoncer ! »
C’était une promesse, et Sha continua à la pénétrer. Dans cette position, elle utilisait sa magie pour que sa verge remue toute seule dans le cul de Kiriko, comme si elle était dotée d’une fonction vibrante. Et, pour éviter que Kiriko ne tombe, Sha utilisait une autre forme de magie. Depuis son ventre, des espèces de tâches noirâtres se formaient, et servaient à relier son corps à celui de sa sorcière, comme une espèce de grosse colle qui l’empêcherait de se perdre, et de tobmer par terre. De cette manière, Sha put promener ses mains sur le corps de Kiriko, et griffa ses hanches, tout en l’embrassant sur le cou, la nuque, et les épaules.
« De même, ma chérie, tu dois... Tu dois te rappeler que j’ai aussi des notions de magie blanche... »
Et, immédiatement après, les blessures sur les cotes de Kiriko disparurent rapidement, sans même laisser une seule cicatrice. En somme, la Celkhane ne devait pas s’inquiéter pour le lendemain, car elle serait en pleine forme. Sha continua donc à la pénétrer, et son membre énorme continua à s’enfoncer. Elle eut un orgasme assez rapidement, ce qui facilita les glissements de son membre, un membre qui continuait toujours à s’enfoncer. Oh, comme la douleur devait être horrible ! Sha elle-même souffrait, et utilisait sa magie.
« Savoure, savoure, savoure, savoure comme je t’encule, ma salope !! Oui, savoure-là, ma... Ma grosse bite !! Une humaine normale serait déjà morte, Kiriko ! »
C’était une forme de mort dont on parlait rarement, mais une sodomie pouvait effectivement causer la mort de quelqu’un, si on perçait l’une des veines en utilisant un objet très long... Comme le sexe de Sha. Pour éviter cela, cette dernière utilisait sa magie, offrant ainsi à Kiriko une sodomie phénoménale. La douleur devait être à hauteur de cette pénétration, terrifiante, et Sha savait qu’il fallait contrebalancer cette douleur. Si l’Ombre était folle de joie, et sentait un second orgasme approcher, il en était probablement bien différent pour Kiriko. Une ou deux minutes venaient de s’écouler ainsi, et Sha réunissait la magie nécessaire. Yeux clos, elle murmura quelques formules, une incantation complexe dans un langage arcanique ancestral... Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ses pupilles jaunes se mirent à luire intensivement, et un clone apparut à côté de la baignoire.
Ce clone n’était pas un clone de Sha, mais un clone de Kiriko ! Ceci dit, le clone était directement relié à l’esprit de Sha, ce qui faisait que le plaisir que le clone ressentirait déteindrait sur Sha. Les deux étaient en ce sens liés, et elle sourit, alors que le clone entra, avec la combinaison, dans la sbaignoire, et embrassait Kiriko sur les lèvres.
« Goûte donc, Kiriko, goûte donc à ton propre plaisir, sens comme tu es belle, désirable... Ma petite chienne, sens tout le plaisir que je ressens à chaque fois que je t’embrasse ! »
Le clone de Kiriko embrassait cette dernière avec passion, caressant ses hanches, tandis que sa combinaison s’ouvrit à hauteur de son bassin, révélant un autre sexe imposant, dont l’objectif, clair, était de s’enfoncer dans le sexe de Kiriko. Se faire pénétrer par soi-même, faire l’amour avec soi-même... C’était une expérience onirique, indescriptible, d’une perversion intense ! La deuxième Kiriko vint pénétrer celle-ci en cadence, permettant ainsi de mélanger avec plus d’efficacité douleur et plaisir. Sha ne laissa pas le temps à la véritable Kiriko de se reposer, et, tandis que le clone, à moitié allongé, embrassait et léchait les seins de sa sorcière, Sha l’embrassa à nouveau... Mais le baiser fut assez spécial, car sa langue se transforma en une espèce de long et tendre serpent qui s’enfonça dans sa bouche, roulant en elle, s’enfonçant légèrement dans la gorge.
Difficile de dire combien de sorts magiques l’Ombre était en train d’utiliser en même temps pour offrir à Kiriko cette expérience surnaturelle. Elle espérait que la Celkhane apprécierait, car, malgré la situation, c’était bel et bien Sha qui souffrait le plus, puisqu’elle était à un niveau de concentration magique extrême pour maintenir la cohésion de tous les sortilèges qu’elle faisait. Le résultat, toutefois, en valait la chandelle. Rien, en effet, ne faisait plus plaisir à Sha que de faire jouir ses fidèles prêtresses.
Il est toutefois des divinités qui sont bien moins tolérantes que Sha, et bien moins bienveillantes. C’était le cas pour celle qui, invisible et silencieuse, était en train de recevoir un sacrifice particulièrement ignoble de la part de fanatiques dans les catacombes de Wallündrill.
« Ton échec retentit sur chacun de nous, Jiphiera. »
C’était une pièce sombre, qui sentait la mort, et l’homme, Jiphiera, était étalé sur le sol, au milieu d’un sceau complexe et indescriptible. Il ne pouvait plus parler, car on lui avait meurtri la langue, en commençant par la visser à sa peau à l’aide d’un clou et d’un marteau, puis en la faisant brûler lentement. Ni voir, car on avait fait brûler ses yeux, les laissant fondre dans la cornée de ses pupilles. La douleur avait dépassé des seuils inimaginables, et il avait ainsi été torturé pendant une heure toute entière, une interminable heure où on avait appliqué les mêmes méthodes que, jadis, les Inquisiteurs avaient appliqué au nom d’un Dieu juste et miséricordieux. La seule différence entre eux et les prêtres qui se tenaient dans cette crypte était que ces derniers savaient que leur Dieu n’était, ni juste, ni miséricordieux, et qu’il ne tolérait pas l’échec.
« L’heure de la Convergence des Sept Sphères approche, et ce lieu sera désigné comme le sceau qui Lui permettra de venir, et de réclamer son dû, de chasser les hérétiques et les faux Dieux. »
L’homme qui parlait était un individu particulièrement laid. Il avait jadis été un bel homme, un fier chevalier, avant que la maladie ne l’attaque. Une peste particulièrement vicieuse dans un royaume en perdition, qui lui avait fait perdre la raison. Il avait été sauvé par l’un des prêtres noirs, et avait rejoint la cause. Sa chair pourrie portait à jamais les traces de la peste. Des grosses plaques noires, des bras difformes, des dents qui avaient noirci, mais rien de tout cela n’était suffisant. En rejoignant son Dieu, il s’était juré de ne plus jamais ressentir de plaisir, car le plaisir était la drogue des faibles. Et le plaisir sexuel, de loin le plus terrible. Il avait ainsi autour de son sexe une ceinture de chasteté spéciale, constituée de pointes en acier s’enfonçant dans sa chair, et, qui, à chaque érection, le faisait terriblement souffrir.
« Tu devrais préparer Son arrivée, mécréant, mais tu as failli ! Ce n’est pas toi qui as ouvert le sceau, et, à cause de toi, nos projets risquent d’être compromis ! L’échec est inacceptable ! En conséquence de quoi, pour te racheter de ton échec, tu seras sacrifié suivant les rites de notre divinité, et ton âme lui sera offert... Car notre Dieu est quelqu’un de vorace. Acceptes-tu ta juste et légitime punition ? »
Ses oreilles n’avaient pas été attaquées, afin qu’il puisse entendre. Et il acceptait son sort. Alors, le sceau se mit à brûler, à brûler de plus en plus, et la carcasse de l’homme, lentement, se mit à brûler, tandis que son corps, ou, plutôt, ce qu’il restait de son corps, se tordait de douleur. Alors, l’homme qui le torturait rit de plaisir... Puis de douleur, car les pointes dans son entrejambes refirent parler d’elles... Mais la souffrance était jubilatoire.
« Ô Nurgle, Seigneur de la Déchéance, Dieu de la Corruption et de la Maladie, daigne accepter notre sacrifice, et pardonnez nos faiblesses, en daignant choisir un nouveau... »
Un grondement sinistre se fit alors attendre. Jiphiera avait été choisi par le prêtre, et il était donc responsable. Et Nurgle, l’un des êtres les plus abominables qui ait jamais pu un jour voir le jour dans l’Univers, l’un des trois principaux Dieux Noirs, l’un des êtres les plus puissants et les plus dangereux de la Création toute entière, parla à travers la bouche de son prophète. La douleur pour ce dernier fut incommensurable, car Nurgle possédait avec douleur l’esprit de ses sujets, les plongeant dans des abysses indescriptibles de malheur et de douleur. Effrayés, les six prêtres accompagnant le prophète virent le corps de ce dernier se craqueler, se fissurer, le sang jaillissant de plaies se formant comme par magie sur sa chair éclatée et boursouflée, alors qu’il parlait. Lorsque le nouveau champion fut choisi pour revêtir l’armure noirâtre, et devenir le Favori de Nurgle, le prophète s’effondra sur le sol. Mort ? Non. La mort était le repaire des lâches, et il ne mourrait pas avant que Wallündrill entière ne soit sacrifiée, et ne permette, quand la Convergence aura lieu, d’appeler Nurgle sur ce plan.
« Le puissant Nurgle exige un sacrifice d’intérêt lors de la prochaine épreuve, glissa le prophète. Il veut de la mort de la championne de la Sorcière. »
Ça n’avait rien de personnel ; Sha avait jadis été assez proche de Khorne. Certes, Khorne l’avait trompé, doublé, et avait été l’un de ceux qui avaient permis de sceller l’Ombre, mais elle avait côtoyé Khorne. Et, si les Dieux du Chaos haïssaient bien quelque chose, c’était leurs rivaux. Nurgle haïssait plus que tout au monde les autres Dieux Noirs.
Et, tandis que bien des champions se reposaient et prenaient du bon temps, on préparait le nouveau favori à pénétrer dans l’infernale armure, une armure où son corps serait enchaîné, et perforé par des rites magiques, barbares, cruels, et affreux.