The Multiversity

[Félicia Hardy]

RÉSUMÉ DE LA PREMIÈRE PARTIE :

Il y a quelques années, quand Félicia était encore à New York, elle avait travaillé pendant un temps pour le compte de Wilson Fisk, le redoutable Caïd. À ce titre, elle avait été contactée en vue de voler une tablette ayant appartenu à l’antique peuple des Toltèques, une tablette supposée offrir longévité éternelle en rajeunissant les cellules des personnes qui bénéficiaient de son don.

Avant de participer au vol de la tablette, Félicia a été accompagnée d’une mystérieuse cambrioleuse qu’elle ne connaissait pas, Valeria. Décidée à tester ses talents, elles ont entrepris ensemble de s’infiltrer dans le penthouse d’un riche émir dubaïote. Si le cambriolage de l’émir fut un succès, Félicia et Valeria se sont rapprochées cette nuit, et, en sondant l’esprit de Félicia, Valeria apprit son plus grand secret. Au petit matin, Félicia décida de délaisser Valeria, et par la suite de trahir Fisk.

- - - - - - - - -

« Aah, Maîtresse… »

Les doucereux soupirs de la jeune femme emplissaient l’air, et faisaient doucement sourire Félicia, qui se mordilla la lèvre en caressant la peau nue de la jeune femme. C’était une lycéenne, mais aussi l’une des élèves du club de management d’Aoki. Elle se pencha vers le ventre de cette jeune femme, et lécha sa peau, avant de la mordiller à hauteur du nombril. Rebecca, qui avait les yeux bandés, se mit à couiner en se tortillant.

« Hum… Tu es vraiment très belle, Rebecca…
-  Oh, Maîtresse… »

Félicia se redressa, et alla l’embrasser sur les lèvres. Rebecca était une jeune femme qui avait décidé de devenir une idol girl. À ce titre, elle avait rejoint Aoi Kitsune, l’agence d’Aoki, qui avait récemment déménagé dans un gratte-ciel. Félicia était en train de racheter activement tous les étages et appartements du gratte-ciel afin d’y loger les multiples élèves d’Aoki. Pour cela, elle avait repris ses cambriolages, ciblant les criminels.

Rebecca soupira encore. Ses poignets et ses chevilles étaient tous les deux attachés, restreignant ainsi considérablement ses mouvements. Félicia se releva, et attrapa sur la commode un curieux sex toy qu’elle avait récupéré dans un récent appartement sur Tokyo. Elle sévissait sur une bonne partie du Japon, avec la complicité active d’Aoki et le cas échéant de proches amies, comme Poison Ivy ou Harley Quinn.

Récemment, elle avait subtilisé des registres de compte qui lui avaient permis de dérober une coquette somme sur un compte offshore, mais elle avait aussi trouvé, dans le coffre-fort, un strap-on avec un gode cristallin. Le vibromasseur était orienté vers l’extérieur, avec deux autres à l’intérieur, le tout présentant une forme rose et cristalline. Ce n’était toutefois pas coupant. Félicia aurait certes pu déployer sa propre verge, mais elle avait aussi envie d’utiliser cet objet.

Félicia l’attrapa donc, et se dépêcha de l’enfiler. Elle soupira quand les deux godes internes s’enfoncèrent en elle, et sentit la ceinture du strap-on serrer sur sa peau.

« Prépare-toi, ma chérie, Maman Félicia va venir te baiser très fort ! »

Félicia se pencha sur elle, et l’embrassa encore, avant de la pénétrer. La verge cristalline se mit à chaudement remuer dans la chatte de Rebecca, qui se mit à gémir et à se tortiller sur place. Félicia commença à la baiser à un rythme soutenu, faisant longuement crisser sa combinaison en latex.

« Hmmm… Haaaa… »

Félicia l’ignorait, mais ce sex toy était un outil très particulier… Un artefact magique qui datait d’il y a plusieurs siècles, qui avait été forgé dans un cristal infusé en magie rose, et qui était lié à un pacte infernal ancien, très ancien, conclu il y a de cela plusieurs siècles pour invoquer une succube particulière et pour l’honorer en faisant l’amour.

Une visite imprévue n’allait donc pas tarder à survenir…

[Valeria]

La soirée avait bien commencé. Ses hommes de main avaient repéré une fourgonnette du clan Ito qui tournait depuis plusieurs jours dans le quartier du Yansaâm, où les familles modestes côtoyaient les relativement pauvres. Un des quartiers qu’elle protégeait avec ses hommes contre rétribution. Les commerçants payaient grassement une protection qui généralement n’avait nul besoin d’être visible.

Les membres du clan Ito n’étaient pas très discrets. Des amateurs d’après ses hommes. Elle leur avait ordonné de les surveilles et d’intervenir rapidement en cas de tentative, même minime, d’interférence dans ses affaires.

L’occasion n’avait pas traîné à se présenter. Les jeunes hommes étaient entrés dans un restaurant. Ils espéraient que la clientèle empêcherait le patron de faire de l’esclandre. La peur le tenaillait, mais il tint bon. Jusqu’à un certain coup de fil lui disant d’obéir aux yakuzas. Malgré sa peur et son incompréhension, il ne chercha pas à discuter les ordres qui lui étaient donnés par téléphone. En quelques instants, les yakuzas étaient partis.

Trois rues plus loin, proches d’un terrain vague, ils avaient été pris en tenaille par les hommes de Valeria. Une légère tentative de rébellion avait eu lieu, qui avait rapidement pris fin lorsqu’un des assaillants avait pris une balle au milieu du front. Deux d’entre eux étaient légèrement blessés, le troisième indemne. Une tête brûlée qui aurait jeté toutes ses forces dans la fusillade si ses compagnons n’avaient pas capitulé.

Ils furent rapidement capturés et emmenés dans un endroit plus propice à l’interrogatoire et aux sanctions qui allaient suivre. Deux hommes se chargèrent de faire disparaître les traces, le corps, la fourgonnette. Deux autres de ramener la caution extorquée au commerçant. Le reste emmena les captifs.

Dans un hangar désaffecté dont la situation n’était connue que des plus fidèles de ses hommes, ils furent mis à nu, indignement fouillés puis douchés à l’eau glacée avant d’être enfermés dans un énorme congélateur. Ils y restèrent un long moment, jusqu’à ce que Valeria fasse son apparition. Pourquoi si tôt ? Parce que ses hommes savaient qu'elle aimait le sang. Parce que parfois, ce genre de soirée se finissait en orgie. Il ne fallait pas chercher bien plus loin...

Sobrement vêtue de noir, une tunique aux épaules carrées, une jupe très courte, un pantalon moulant et des bottines à talons vertigineux, elle fit son apparition dans un océan de cheveux et de lunettes de soleil.

Les hommes furent sortis l’un après l’autre de leur enfer de glace et soumis à la question par deux de ses meilleurs interrogateurs, devant tous les hommes présents. Et elle, bien sûr. C’étaient des jeunes et de vrais amateurs. Ils ne savaient rien, voulaient juste faire un coup pour essayer de gravir plus rapidement les échelons de la hiérarchie. Un beau gâchis.

Lorsque vint la proposition, les réponses amenèrent leur lot de surprises. Ils furent soumis à la question devant les autres. On commença par briser la tête brûlée. Il résista vaillamment, jusqu’à ce qu’on lui déboîte les genoux, puis les coudes avec un marteau et un burin. Estropié à vie…

Le second tenta de tenir mais donna tous les renseignements voulus, voire plus, quand on s’approcha de lui avec une tenaille. Il révéla notamment que le troisième était le fils d’Ichiguro Nataka, la main droite du chef de clan.

Tenji Nataka tenta de résister. Il tenta d’argumenter. Il tenta de marchander. Il tenta de supplier, non pas pour sa vie mais pour son honneur. Rien dans son attitude ne démontrait qu’il soit digne de quoi que ce soit. Juste une petite merde prétentieuse qui avait entraîné ses condisciples peu avisés dans une entreprise complètement insensée et suicidaire.

Valeria décida qu’elle en ferait son quatre heures. Après qu’il eût été convenablement passé à tabac, elle s’avança. Ses mains brisées reposaient lamentablement sur ses cuisses alors que son homme de main lui maintenait la tête droite.

Il chercha à la défier du regard, son talon écrasa son gland au sol. Il hurla, chercha à se débattre, se libérer par tous les moyens. La douleur était insoutenable et Valeria ne montra pas de pitié. Le sang gicla quand elle tourna le talon de droite et de gauche, perça le sexe jusqu’au sol de béton.

Il pleura. Le visage plein de larmes, de sang et de morve, il supplia. Sans plus aucun contrôle ni fierté, il fit sous lui, abandonna tout ce qu’il avait encore et lui offrit tout ce qu’elle voulait.

Elle prit son âme et il fut heureux de s’abandonner à un déshonneur total. Elle avait un petit goût amer qui ne lui plut pas vraiment. Elle la lui laissa, il était sien désormais.

Que faire des autres ? La tête brûlée méritait de rester avec Tenji, comme rappel vivant de son inconséquence et des responsabilités qui en découlaient. Elle leur proposa de devenir ses agents doubles en échange de leur vie et de leur âme. Ils ne graviraient jamais les échelons comme ils l’avaient escompté, mais les ramener vivants à leur clan et exiger réparation contraindrait les Ito à une dette d’honneur.

Ils acceptèrent, ils n’avaient pas le choix et encore moins la volonté suffisante pour choisir la mort et l’honneur. De vraies petites merdes. Mais des merdes qui pourraient fouiner.

« Emmenez-les et prenez rendez-vous avec le clan Ito. Une négociation va avoir lieu quant à l’indemnisation qu’ils vont nous devoir pour laver cet affront. »

Tous quittèrent le hangar, laissant Valeria seule avec une impression de trop peu en bouche. Elle aimait le sang. Elle en aurait voulu plus, mais ces jeunes s’étaient montrés décevants. Comme toujours après ce genre de soirée, elle avait envie de sexe. Elle allait descendre dans un des clubs branchés de la cité et y lever un ou plusieurs amants. Oui, une petite orgie serait bienvenue…

Soudain, une impression familière la titilla. Une impression qu’elle n’avait plus eue depuis des siècles.

Tiens…

Un ancien artefact qui lui était dédié venait d’entrer en activité. Celui-ci servait à lui rendre hommage, lui dédier le plaisir qu’il procurait et lui permettre de se nourrir à travers lui. Il pouvait aussi servir de point d’invocation si la personne qui en usait savait comment s’y prendre. Sinon, elle pouvait décider ou non de s’en servir par elle-même pour rejoindre le lieu des ébats qui lui étaient voués.

Elle se concentra. Une vision mentale de ce qui se passait autour de l’artefact lui vint à l’esprit.

Mais que… Felicia ?

Ca faisait des mois qu'elle n'avait pas eu de nouvelles d'elle. Elle avait juste disparu après leur nuit torride. Le coup fumant de Fsk avait été annulé et elles ne s'étaient jamais revues.

Tout cela devenait très intéressant ! D’accord, elle allait répondre à cette invocation. Elle sonda les environs, s’assura qu’aucun piège ne se trouvait à proximité du sex-toy antique. Rien. C’était parfaitement sûr.

Elle se téléporta.

[Félicia Hardy]

Félicia soupira en la pénétrant. Elle n’avait encore jamais utilisé ce strap-on avec une autre partenaire, mais elle devait bien admettre que c’était agréable ! Était-ce une impression, ou avait-elle le sentiment  que les vibromasseurs grossissaient en elle ? Ils vibraient chaudement, au fur et à mesure que Félicia mouillait, tout comme Rebecca. Sous elle, la jeune femme se tortillait sur place, soupirant encore, haletant et couinant. Félicia alla l’embrasser sur les lèvres, goûtant à sa bouche merveilleuse. Ce contact était magnifique, et Félicia adorait ce moment. Le corps de Rebecca se crispait longuement sous le sien. Leurs deux corps remuaient ensemble à l’unisson, faisant craquer le lit. La combinaison de Félicia, elle, se crissait joyeusement, faisant luire son corps.

« Maî-Maîtresse, haaaa…
-  Pe-Petite catin, hmmm… Tu… Tu aimes me sentir en t-toi, hein ? »

La Chatte Noire se mit à gémir encore, léchant le cou de Rebecca, puis ses lèvres, et pinça l’un de ses seins. Le strap-on continuait à adhérer à elle, devenant de plus en plus vivant, et de plus en plus en plus vibrant. Les godes grossissaient, en effet, s’abreuvant du désir des deux femmes. Sans que Félicia ne le réalise, ses coups de reins formaient un rituel, une délicieuse invocation. Elle appelait cette femme qu’elle avait croisé il y a des années, quand elle était plus jeune, à New York. Son passé refaisait surface. La mission abandonnée de la statuette des Toltèques… C’était ici, à Atarashï Yoake, que cette histoire allait connaître un point final.

Dans le dos de Félicia, invisible de Rebecca, un Portail se forma. Félicia continuait à pénétrer Rebecca, et n’avait pas encore vu ce Portail.

« Tu es une vraie salope, hmmm… Je sens comme tu mouilles, et je n’ai même pas sorti ma verge… Haaaa… Tu l’aimes, hein, ce gode ?
-  O-Oui, Maîtresse, ouuuii… ! »

Rebecca ne pouvait sérieusement le nier, elle prenait son pied à fond ! Ah, que c’était bon ! À ce stade, tout ce qu’elle voulait, tout ce à quoi elle désirait, c’était à se faire baiser, encore et encore ! Et, maintenant que Valeria venait d’arriver, dès qu’elle se manifesterait, il ne ferait aucun doute que la soirée allait devenir particulièrement endiablée…

[Valeria]

Valeria arriva dans le dos de Felicia. Elle était en train de prendre une magnifique jeune femme dont les membres étaient attachés aux quatre pieds du lit. Pour couronner le tout, elle avait un bandeau sur les yeux.

Magnifique !

La victime de Felicia semblait plus qu’heureuse de ce qui lui arrivait, ondulant comme elle le pouvait des hanches pour accompagner les mouvements de pénétration, embrassant fiévreusement les lèvres de la Chatte quand celle-ci les laissait à sa portée.

Personne ne l’avait encore remarquée. Elle sourit, se nourrissant de l’énergie sexuelle qui lui était dédiée. Le succube prit le contrôle de l’artefact, le fit grossir encore un peu, puis s’allonger quelque peu également, afin de parfaitement investir le corps des amantes. Si elle le désirait, elle pouvait aussi le faire jouir et répandre à travers lui sa semence dans le corps des amantes.

Mais ce n’était pas son but premier. Elle décida de profiter du spectacle. Avisant un confortable fauteuil, elle le déplaça vers elle par télékinésie et y prit place. Croisant les jambes, elle laissa ses phéromones imprégner l’espace, enfiévrer les amantes.

Déjà, la jeune victime se montrait plus enflammée, gémissait son désir avec passion. Les peaux claquaient l’une contre l’autre, le latex crissait.

Elle sourit. Non seulement elle était contente de retrouver son ancienne amante, mais de surcroît assujettie à ce gode-ceinture ! C’était délicieux.

Elle laissa sa langue courir sur ses lèvres et se reput du spectacle. Il serait temps d’entrer en scène quand elles la verraient.

[Félicia Hardy]

Félicia n’avait pas noté la venue de Valeria… Absorbée dans ce qu’elle faisait, prise par le désir sexuel et par l’énergie orgasmique de ce gode cristallin, elle ne se contrôlait plus. Et, plus elle prenait Rebecca, et plus l’artefact magique réagissait. Il se nourrissait de mouille, et, comme une plante qu’on abreuverait d’eau, il se mit à s’étirer, des excroissances se mettant à pousser. Félicia soupira ainsi en sentant un second gode filer vers l’arrière, s’enfonçant dans sa chatte. Elle frémit, et un troisième s’étira encore, venant cette fois pousser dans son fondement. Elle gesticula un peu, veillant à ce que sa combinaison ne gêne pas. Elle avait déjà ouvert celle-ci aux zones sensibles, car, avant d’attacher Rebecca sur le lit, Félicia avait tout de même songé à la préparer un peu ! Ainsi, tandis que les minutes passaient, les deux godes s’enfoncèrent simultanément en elle, arrachant de nombreux soupirs à la Chatte Noire, qui ronronnait furieusement, tout en continuant à pénétrer Rebecca.

« Maî-Maîtresse, hmmmm… !! »

La Chatte Noire retourna l’embrasser, tout en continuant à la prendre, à la besogner puissamment. Les délicieux grincements du lit exprimaient toute l’énergie qu’elle y mettait, continuant volontiers son office. Ses mains se déplacèrent pour caresser les hanches de sa partenaire, griffant aussi sa peau, et elle les posa sur ses fesses. Les liens qu’elle avait utilisé commençaient toutefois à se défaire au fur et à mesure que les minutes s’écoulaient. Valeria, qui était aux premières loges, ne pourrait que constater que Félicia était aussi endurante que dans ses souvenirs, si ce n’est plus. Soupirs, crissements, gémissements, c’était un véritable festival. Félicia soupira quand Rebecca, en récupérant l’usage de l’une de ses mains, posa celle-ci sur sa tête. Elle crispa ses doigts sur ses cheveux, et Félicia l’embrassa à nouveau, puis finit par redresser Rebecca, arrachant ses liens.

« Mets-toi à quatre pattes, petite salope…
-  N-Noon, laissez-moi… Reprendre mon souffle…
-  Tu dis ça alors que tu viens de jouir ? Tu cherches juste à me provoquer ! »

Félicia la mit donc en position, et, dans son dos, s’enfonça à nouveau dans la chatte trempée de sa partenaire. Elle avait vaguement conscience que l’artefact était surnaturel, mais, en ce moment, elle n’était pas en mesure de réfléchir. Continuant à prendre Rebecca, elle lui attrapa les cheveux, et souleva sa tête, la forçant à regarder un miroir installé contre le mur.

« Regarde ton visage de petite traînée, ma salope, regarde combien tu… »

Félicia se tut brusquement, car, à travers le reflet du miroir, elle pouvait voir une femme, assise derrière elle ! Elle tenta de se retourner, mais l’artefact se crispa alors, l’empêchant de rompre le mouvement.

« Qu’est-ce que… C’est… »

Sur le coup, elle n’avait pas encore reconnu Valeria, car la femme était après tout plongée dans la pénombre. Alors, pour elle, il ne pouvait s’agir que d’Aoki.

« A-Aoki ?! Tu es venue voir… Comment je prenais soin d’elle, haaaa… Est-ce que… Est-ce que ça te plaît ? »

[Valeria]

Felicia prenait son amante avec vigueur et compétence et Valeria prit plaisir à les regarder baiser. Le gode était puissant, se gorgeait du plaisir des amantes et s’éveillait de plus en plus. Alors que la mouille l’abreuvait, il se déploya petit à petit afin de donner encore plus de plaisir à son utilisatrice. Le principe était que plus il se gavait, plus il rendait, mais aussi plus il nourrissait Valeria. A tel point qu’au bout d’un moment il était possible que celle-ci le fasse jouir si ça lui plaisait.

Mais il lui était plus courant de donner une partie de sa conscience à l’artefact pour le laisser alors agir à sa guise. On était encore loin du compte, surtout si Valeria était loin. Mais comme ici elle était présente, les possibilités qui s’ouvraient étaient nombreuses.

La fille jouit et le succube se reput de son plaisir. En même temps, Felicia la malmenait – un peu – en voulant la mettre à quatre pattes. Elle y parvint assez aisément malgré tout.

« Mets-toi à quatre pattes, petite salope…
- N-Noon, laissez-moi… Reprendre mon souffle…
- Tu dis ça alors que tu viens de jouir ? Tu cherches juste à me provoquer ! »

Une fois cela fait, Felicia la prit derechef. Valeria avait ainsi une vue imprenable sur son cul dont les fesses écartelées par le gode rebondissaient et se contractaient pour le plus grand bonheur de son regard.

La Chatte attrapa la chevelure de son amante, la força à se regarder dans un miroir face à elles.

« Regarde ton visage de petite traînée, ma salope, regarde combien tu… »

Et la vit, elle, assise dans l’ombre.

« Qu’est-ce que… C’est… »

Elle aurait voulu se retourner, saisie par la surprise, mais l’artefact l’en empêcha, déjà mû par un début de volonté propre.

« A-Aoki ?! Tu es venue voir… Comment je prenais soin d’elle, haaaa… Est-ce que… Est-ce que ça te plaît ? »

Aoki ? C’est qui celle-là ?

« Continue… » souffla-t-elle doucement, laissant apercevoir dans le miroir son reflet qui écartait les jambes pour en poser une sur l’accoudoir et commencer à se caresser.

Elle voulait continuer encore un peu à jouer les voyeuses, profiter de l’asservissement progressif à la débauche qu’instillait l’artefact en elles, jouir de leur descente dans les strates de plus en plus basiques, animales, coïtales.

Elle fit un geste de la main pour pousser Felicia à continuer sans s’occuper d’elle, usa d’un léger bribe de phéromone sexuel pour éteindre toute réticence.

Par Asmodée ! J’avais oublié à quel point elle était canon !

[Félicia Hardy]

Félicia était heureuse, prenant joyeusement son pied avec Rebecca. La jeune femme était l’une de leurs élèves. Elle était lycéenne au lycée Jinmu, mais aussi l’une des élèves de l’école d’idols d’Aoki. Rebecca était une bonne chnateuse, mais aussi une jeune mannequine, et elle commençait à se produire dans des séries, et à participer à des émissions jeunesse. Félicia était donc heureuse de la former ainsi, sexuellement parlant. Et ce gode cristallin était terrible ! Félicia ignorait de quoi il s’agissait, mais elle avait conscience qu’il était magique, se nourrissant de son désir pour se renforcer. Elle gagna en énergie, en hardiesse, comme si la présence d’Aoki dans son dos l’enhardissait. La Chatte Noire continuait donc à prendre Rebecca, et elle sentit une deuxième excroissance pousser sur son strap-on, formant une seconde verge. Félicia s’enfonça ainsi dans la chatte et dans le cul de Rebecca, faisant couiner et gémir longuement sa partenaire.

« Maî-Maîtresse !! »

La Chatte Noire releva sa main pour la fesser encore, faisant claquer sa main gantée sur son insolent petit cul. Dans son dos, Félicia entendit Aoki lui souffler de « continuer » tout en se rapprochant d’elle. Son esprit embrumé par le désir, Félicia n’avait toujours pas relevé que ce n’était pas Aoki derrière elle. Félicia releva la tête vers le miroir, et constata qu’Aoki était nue, ce qui était surprenant. Sa femme venait rarement dans le plus simple appareil, elle aimait bien des vêtements, que ce soit du latex ou de la lingerie fine, ou des tenues plus marquées. Elle la vit écarter les jambes et se masturber. En une autre circonstance, cela aurait pu commencer à surprendre Félicia. Aoki pouvait être voyeuse, mais elle ne fonctionnait pas comme ça. Proche de ses élèves, elle se serait naturellement rapprochée de Rebecca pour voir à quel point cette dernière était en train de prendre son pied.

Félicia grognait donc, et se coucha finalement en avant. Rebecca s’étala sur le lit, et Félicia la prit comme ça, avant de se retourner.

« Empale-toi sur moi, petite traînée, montre à Maîtresse Aoki… À quel point tu es une belle salope ! »

Rebecca gémit encore, les joues rouges, et se détacha brièvement de sa Maîtresse. Elle sentit les mains de Félicia se crisper sur ses hanches, griffant sa peau, et elle se remit en position, tournant le dos à Félicia, et se mit à gémir, à hurler même, tandis que le lit grinçant sous les mouvements sporadiques et frénétiques de sa partenaire. Yeux clos, Rebecca souriait joyeusement, et se malaxa les seins, perverse.

« Maîtresse, voyez comme je suis belle… Haaaa… Hoooo… Est-ce que je vous plais comme ça, Maîtresse ? »

Deux perverses jouant ensemble, la plus âgée pervertissant la seconde… Un véritable régal pour une succube !

[Valeria]

Valeria estimait que les deux jeunes femmes s’en sortaient plutôt bien. Elle ne se souvenait pas de ce penchant dominateur chez Félicia mais n’en était pas plus surprise que ça étant donné le passif qu’elle avait découvert lors de leurs ébats. Elle avait besoin de contrôle et la position de dominante était parfaite pour ça.

Elle tendit ses sens vers les amantes afin de mieux profiter de leurs plaisirs et désirs réciproques. Elle trouva ainsi l’apparence de cette fameuse Aoki que les deux femmes pensaient à sa place.

Hmmm jolie femme…

L’artefact avait à présent atteint un nouveau palier dans son développement et ses quatre excroissances furent rapidement utilisées. Félicia poussa son avantage, s’enfonça d’autorité en Rebecca qui en couina de plaisir, la recevant jusqu’à être obligée de s’écraser sur le matelas et subir sans pouvoir se mouvoir le poids du désir de la Chatte noire.

Cela dura un petit moment, avant que la Chatte ne les fasse pivoter et se retrouve allongée sur le dos, Rebecca en reverse cowgirl sur elle.

« Empale-toi sur moi, petite traînée, montre à Maîtresse Aoki… À quel point tu es une belle salope ! »

Yeux clos, la fille se redressa péniblement et commença une chevauchée rythmée, les mains de Félicia lui claquant les fesses et griffant les hanches. Le coït devint de plus en plus intense, frénétique. Rebecca se malaxait les seins avec ardeur tout en continuant à s’empaler sur les godes qui se constellèrent de petites excroissances avant de s’allonger jusqu’à prendre dans le corps des deux femmes la place totale qui leur était permise.

« Maîtresse, voyez comme je suis belle… Haaaa… Hoooo… Est-ce que je vous plais comme ça, Maîtresse ? »

Valeria modifia son apparence pour que dans les affres du plaisir Rebecca puisse croire qu’elle était réellement Aoki. Elle commença à s’abreuver du plaisir de la jeune femme et instilla dans leurs esprits l’assentiment d’Aoki quant à la question posée. Leur inconscient leur offrirait la réponse qu’elles s’attendaient à recevoir sans même qu’elles se posent de question.

Bientôt, elle jouirait comme elle ne l’avait jamais fait et Valeria prendrait tout le plaisir, jusqu’à l’inconscience de Rebecca. Ce n’est que quand elle girait sur le lit qu’elle se révélerait à Felicia. A ce moment, elle pourrait fêter leurs retrouvailles. Mais pour le moment, le plaisir montait petit à petit en elles et le succube instilla une dose de luxure plus intense afin de les faire accéder à un nouveau stade, un plaisir nettement plus rare.

Le gode en elles se mit à tressaillir et se réchauffer, vibrant à l’unisson de leurs corps, comme s’il allait lui aussi jouir. Il gonfla encore un peu, les distendant juste ce qu’il fallait pour offrir ce sentiment de plénitude qui menait à un plaisir intense et profond.

Ce faisant, elle continuait à se masturber tranquillement en matant les amantes enfiévrées.

[Félicia Hardy]

Félicia soupirait doucement en caressant les hanches de Rebecca. Elle voyait son délicieux cul se tortiller sur elle, claquant contre sa peau, tandis que son clitoris déformé, transformé en une puissante verge, jouait en elle. Devant le duo, Félicia frémit en voyant Aoki se rapprocher. Inhabituellement silencieuse, cela surprit un peu Félicia, et elle sourit alors.

« Tu… Tu ne filmes pas, hum ? Je pensais que c’était pour ça que tu faisais ta timide… »

À ce stade, Félicia était encore bien loin de se douter que ce n’était pas Aoki, mais une figure de son passé. Et Valeria pouvait aussi constater que, tout en étant plus perverse, Félicia avait aussi changé. Elle maîtrisait maintenant la magie rose, à son niveau, mais suffisamment pour pouvoir déployer une verge, et pour avoir sur son pubis un inmon. Ce symbole magique était aussi appelé « marque des succubes », ou encore « sceau de Lust ». Un glyphe magique lié au désir, que les succubes maîtrisaient instinctivement.  Outre intensifier le désir sexuel, l’endurance sexuelle, l’inmon permettait aussi de développer des pouvoirs magiques. En observant celui de Félicia, on pourrait y voir des spermatozoïdes filant du cœur externe vers le cœur interne, signe que son inmon avait surtout été pensé pour encourager la procréation.

Félicia soupirait donc, caressant les hanches de Rebecca.

« Je… Je pourrais te faire ovuler, haaaa… Et toi, petite catin, tu… Tu porterais mon bébé, hmmm… »

Elle n’avait pas l’intention de le faire, mais elle voulait la faire mariner. Aoki portait son enfant, et Félicia était donc naturellement excitée à l’idée de prendre d’autres femmes. Mais il n’y avait qu’avec Aoki qu’elle décidait qui elle enfantait. Pour l’heure, Aoki souhaitait enfanter Aiko, leur avocate, une amie de longue date d’Aoki que les deux femmes avaient capturé quand elle souhaitait initier un procès à l’encontre de la compagnie d’Aoki. Depuis lors, Aiko était devenue l’une de leurs amantes, mais elle était toujours aussi amoureuse d’Aoki, et Félicia savait qu’elle caressait l’idée, elle aussi, de porter le bébé d’Aoki.

Rebecca soupira longuement quand sa Maîtresse mentionna le fait de l’enfanter.

« Maî-Maîtresse, je ne mérite pas de… De porter votre enfant, haaaa… !!
-  Vu la manière dont ta chatte s’est resserrée sur ma queue, je n’en serai pas si sûre ! »

Soupirant encore, Félicia banda les muscles, et laissa le corps de Rebecca glisser sur elle. Félicia regarda encore Aoki, et se concentra alors. Elle utilisa sa magie rose, et Aoki put alors sentir son clitoris la titiller. Félicia usait de sa magie rose, et, après quelques instants, Aoki se retrouva alors, elle aussi, affublée d’une belle verge !

« Viens, ma chérie, cette catin… Est notre catin, hmmm… Et je crois qu’elle a très envie qu’on la baise ensemble ! »

[Valeria]

Valeria se laissait guider par les émotions des amantes, par leurs esprits qui lui étaient des livres ouverts quant à leurs désirs et leur connaissance d’Aoki. Elle jouait de celles-ci pour leur instiller les réponses et les comportements attendus tout en y distillant quelques touches personnelles, juste assez pour que ça ne leur mette pas la puce à l’oreille. Il n’était pas encore temps. Rebecca ne l’intéressait que peu.

Felicia par contre…

« Je… Je pourrais te faire ovuler, haaaa… Et toi, petite catin, tu… Tu porterais mon bébé, hmmm… »

Elle ne le voulait pas. Pas vraiment. Mais Valeria trouva l’idée intéressante. Elle joua sur l’inmon, poussa un peu plus sur les barrières de Felicia quant à cette proposition. Si elle l’avait dit, c’était que quelque part elle en avait envie, consciemment ou non. Et Rebecca semblait parfaitement prête à se soumettre à ce désir.

« Maî-Maîtresse, je ne mérite pas de… De porter votre enfant, haaaa… !!
- Vu la manière dont ta chatte s’est resserrée sur ma queue, je n’en serais pas si sûre ! »

Je crois que tu devrais laisser ton corps suivre ton instinct. Elle est si belle, si désirable. Et si tu scellais son destin pendant que je me vide dans sa gorge ma chérie ?

Felicia se concentra pour utiliser sa magie rose sur Valeria. Celle-ci reconnut sans peine le charme utilisé et déploya sa propre verge comme s’il avait fonctionné.

« Viens, ma chérie, cette catin… Est notre catin, hmmm… Et je crois qu’elle a très envie qu’on la baise ensemble ! »

Valeria-Aoki s’avança, bandant fermement, jusqu’à Rebecca. Elle se masturbait d’une main. L’autre glissa dans la chevelure rose, caressa le visage qui déjà se penchait vers elle et la bouche qui s’ouvrait pour la gober. Les lèvres se refermèrent sur son gland, la langue se posa sur son frein.

Elle soupira longuement, comme si c’était un cadeau qui lui avait été trop longtemps refusé.

Le gode en elles devint plus chaud, plus vivant. Elles se tortillaient sur lui et il répondait, son élasticité devenait charnelle, ses appendices suintant à travers leurs excroissances une substance extrêmement intense et excitante.

La queue glissa dans la bouche, dans la gorge, tout au fond, jusqu’à ce que le bassin s’achoppe aux lèvres et que le nez se perde dans la chair.

Vas-y, fais-le. Après nous verrons si elle peut supporter nos deux queues dans sa chatte en plus de celle dans son cul. Puis tu me montreras l’effet que ça fait, ce gode a l’air extraordinaire !

Les mots utilisés n’étaient peut-être pas ceux d’Aoki, mais le charme du succube induisait une traduction immédiate des esprits-cibles en « langage Aoki », afin que l’idée soit transmise plutôt que les mots.

Valeria sourit, augmenta la puissance phéromonale du gode.

Une humaine normale ne pourrait pas résister. Rien que voir comment les yeux de Rebecca roulaient dans leurs orbites l’illustrait. Cependant, maintenant qu’elle utilisait la magie rose, Felicia pouvait résister un peu mieux. Curieuse, Valeria l’examina tout en continuant à mener la danse, attendant l’explosion qui assiérait la procréation. Mais il fallait d’abord que Felicia provoque l’ovulation. C’était une manipulation plus complexe qu’il n’y paraissait. La succube sourit dans la pénombre.

[Félicia Hardy]

En d’autres circonstances, c’est-à-dire si elle n’avait pas été occupée à besogner avec force Rebecca, Félicia aurait sans doute réalisé que « Aoki » n’était pas Aoki. Elle aurait pu noter les détails, les incohérences… Mais elle était occupée avec Rebecca ! Elle la prenait maintenant en la laissant danser sur son bassin, et, devant elle, « Aoki » la rejoignit, et approcha sa verge de la petite bouche assoiffée de Rebecca. En étant prise par ses deux Maîtresses, Rebecca était aux anges. Elle ne pensait pas vraiment que Maîtresse Félicia la mettrait enceinte, mais, depuis que Maîtresse Aoki portait leur bébé, ses deux Maîtresses s’amusaient à évoquer cette situation. Les mains posées sur les hanches de la jeune adolescente, Félicia se laissait aller, sa solide et puissante verge remuant furieusement et puissamment en elle, d’avant en arrière, donnant des coups de reins amples et puissants.

« Han… !! »

La scène était quand même magnifique. Félicia tremblait nerveusement, tout en voyant les mains gantées d’Aoki empoigner les cheveux de Rebecca. Elle serra dessus, tout en enfonçant sa trique en elle. Félicia se crispa encore sur place. Elle sentait en elle les deux godes qui remuaient, qui vibraient chaudement et sensuellement dans sa chatte trempée et dans son cul dilaté. Félicia commençait à frémir, ressentant de curieuses sensations de plaisir. Elle ne le comprenait pas, mais elle ressentait la même chose que ce qu’elle avait ressentie jadis en étant avec Valeria, cette impression de désir surnaturel partagé, de luxure supplémentaire qui l’envahissait. Depuis leur dernière rencontre, Félicia était bien plus expérimentée, bien plus perverse, et cela, Valeria pouvait le sentir.

La Chatte Noire soupirait encore, mais elle n’était en soi pas capable de faire ovuler quelqu’un. Tout cela, c’était de l’esbroufe ! Plus expérimentée, certes, mais elle n’était pas encore une prêtresse de Lust ! Félicia besognait néanmoins Rebecca avec force, même si elle sentait surtout cette dernière danser sur elle.

« Hmmm… Ça… Ça v-… »

Elle se tut brusquement, et caressa les hanches, contractant ses muscles, avant de sentir Rebecca jouir. Félicia jouit à son tour, et « Aoki » put arroser la bouche de Rebecca de son foutre. Un solide triple orgasme, qui ne sembla toutefois qu’affamer davantage les deux Maîtresses.

« On va te baiser à deux, ma chère Rebecca… Mais, avant ça, tu connais notre rituel, petite chienne…
-  O-Oui, Maîtresse… »

Elle ouvrit la bouche devant « Aoki » en tendant la langue. Aoki venant déjà de jouir, ce n’était pas du foutre qu’elle attendait, mais un autre liquide, plus doré, qui servait pour les chiens à marquer leur territoire… Valeria comprendrait-elle ce message ? Allait-elle uriner sur la bouche de Rebecca pour jouer son rôle à la perfection ?

[Valeria]

Attentive, Valeria suivit l’évolution du coït avec intérêt. Mais si Felicia augmentait la cadence et baisait Rebecca avec passion, elle n’usa pas de magie pour la faire ovuler. La succube s’interrogea. Elle était sûre de son ascendant. Le gode y veillait. Il ne restait qu’une solution. La Chatte noire ne savait pas.

Dommage…

Elle sentit le plaisir des femmes, elle y puisa pour se nourrir, plus chez Rebecca que chez Felicia. Elles aimaient, elles s’aimaient. Pas de la même façon que Felicia et Aoki, mais c’était tout à fait perceptible. Le désir montait et Valeria plongea dans leurs esprits à la recherche de leurs fantasmes tandis que sa queue besognait avec passion la gorge offerte.

Rebecca était enfiévrée, elle ondulait sur Felicia bien plus que celle-ci ne la pilonnait e elle s’activait également au maximum de ses possibilités sur la queue dans sa bouche. Elle porta les mains à sa gorge et commença à se masser afin d’augmenter les sensations d’Aoki-Valeria.

Ça ne dura pas bien longtemps. Rebecca jouit la première, suivie de près par Felicia. Valeria se reput de leur plaisir avant de se laisser aller à décharger directement au fond de la gorge qui l’accueillait. Elle acheva sur son visage et joua quelque peu de sa queue dans le foutre.

« On va te baiser à deux, ma chère Rebecca… Mais, avant ça, tu connais notre rituel, petite chienne…
- O-Oui, Maîtresse… »

Rebecca ouvrit la bouche devant Valeria, langue sortie. La succube haussa un sourcil amusé.

Vraiment ? Tu as progressé…

Elle pissa sans attendre dans la bouche de la chienne puis déposa son gland sur sa langue, pissant toujours. Peu lui importait qu’elle avale tout, ce qui l’intéressait c’était le spectacle de ce qui ne disparaissait pas en elle. Car cela s’écoulait sur elle et le spectacle était délicieux. Le liquide doré s’écoulant sur sa poitrine, dégoulinant de ses tétons comme d’un plongeoir pour s’écraser sur ses cuisses et sur les jambes de Felicia…

Elle finit et caressa la joue de Rebecca.

« Brave chienne… »

Elle la repoussa pour qu’elle s’allonge sur sa Maîtresse. La queue dans son cul prit encore plus de place dans cette position. Valeria s’accroupit, joua de sa queue contre celle de Felicia déjà en place puis poussa doucement. En quelques instants, elle parvint à suivre la colonne de chair et investir le vagin étroit, bien trop étroit, de Rebecca.

Elles commencèrent à bouger, s’enfonçant toujours plus profondément dans le vagin de la chienne consentante. Valeria la contempla. Elle était délicieusement perverse, son visage et ses cheveux maculés de foutre et de pisse, les yeux écarquillés par la surprise des sensations qui l’envahissaient.

La démone envahit subtilement l’esprit de Felicia, ses connaissances magiques. Elle les étudia, chercha ses bases, comment l’aiguiller sans en avoir l’air vers le processus d’ovulation…

[Félicia Hardy]

Félicia et Aoki avaient leur petit rituel, et elles étaient perverses… Très perverses. Cela, Valeria put le constater en comprenant qu’elles s’adonnaient à l’urophilie. Valeria se laissa aller, et Félicia sourit en la voyant marquer son territoire sur Rebecca. Le couple n’était pas aussi pervers avec toutes leurs amantes, cela dépendait du profil… Mais Rebecca était une élève du lycée Jinmu, elle était une nymphomane en puissance. Félicia et Aoki pouvaient donc y aller avec elle, et Félicia frémit en regardant sa compagne, et en voyant l’expression indicible de plaisir sur son visage. C’était un spectacle rare, délicieusement savoureux pour Félicia, qui sentit sa queue durcir dans le fondement de Rebecca. Elle commença à ce moment à noter que « Aoki » était assez peu expressive, et pas aussi câline qu’elle l’aurait été en temps habituel. Elle repoussa brutalement Rebecca, qui gémit doucement, la couchant sur le corps crissant de Félicia. La Chatte Noire se pressa contre elle, et laissa Valeria venir à l’assaut. « Aoki » s’allongea contre le corps en sueur et luisant de Rebecca, et la pénétra à son tour.

« Maî-Maîtresses, haaaaa… Je suis votre petite chienne, hmmm… !! »

Par-delà l’épaule de Rebecca, Félicia croisa le regard de « Aoki », et lui sourit alors. Encore une fois, le désir sexuel l’empêchait de noter les évidences. Sa main caressa la joue d’Aoki, et elle se pencha vers elle, venant l’embrasser par-dessus l’épaule de Rebecca. Elle soupira ensuite, puis laissa « Aoki » agir, leurs verges remuant en harmonie dans le corps de Rebecca. Il fallait relever son bassin pour pouvoir mieux la prendre. La verge de Félicia, nichée dans le fondement de Rebecca, remuait encore, mais, vu sa position, elle devait surtout compter sur « Aoki » pour remuer le trio. Le latex crissait, devenant plus moulant, plus élastique, facilitant les glissements de Rebecca, dont la tête remuait contre les seins de la Chatte Noire.

« Oh, t’es si belle, ma chérie… Aide-moi à bien remplir cette petite salope en manque… »

Elle ne sentit pas la pénétration mentale de Valeria. Elle était dans un état second, reliée à elle par le sexe, formant comme une brèche dans les murs de sa psyché. Cela fit que Valeria put voir… Et elle constata que, effectivement, Félicia cherchait à avoir des enfants. Elle la vit en compagnie d’une collègue de travail, l’éblouissante et sensuelle Pamela Isley, qui examinait sa verge, ses spermatozoïdes, et lui expliquait qu’elle avait un taux de fécondité moindre que chez un homme classique. Elle apprit que les deux femmes cherchaient à améliorer ça, car Pamela Isley cherchait elle aussi à pouvoir porter la vie. Valeria vit ensuite que les recherches de Félicia l’amenaient à s’intéresser à une élève très spéciale du lycée, et dont certaines de ses amantes lui avaient parlé : Mélinda Warren. Félicia s’était renseignée, et elle avait découvert que l’étudiante était en réalité une vampire, liée au culte d’une divinité sexuelle, Lust. Elle put également noter que Félicia s’interrogeait sur la nature de Aoki, en se demandant si elle n’avait pas un ancêtre lié à ce culte, comme si elle cherchait à expliquer rationnellement la nymphomanie de sa femme.

Le désir d’ovulation était bel et bien là, au cœur des nombreuses démarches de Félicia…

[Valeria]

Son artefact dans le corps de Felicia lui facilita amplement la tâche. La Chatte était comme dans un état second, ivre de sexe et de désir, contrôlée par ses pulsions et les phéromones envoyées par l’artefact. La succube s’immisça dans son esprit, explora ses désirs, ses frustrations.

Sa capacité à générer une verge grâce à son pouvoir était maîtrisée, mais pas ses possibilités de procréation. Il était possible de les augmenter, bien entendu. Il faudrait lui expliquer comment. Ce serait bien plus amusant que le faire d’un claquement de doigts.

Felicia s’était intéressée au problème, avait cherché des solutions. Seulement, pour une profane sans mentor, ce qu’elle semblait être étant donné que cet éventuel mentor n’apparaissait pas dans les souvenirs qu’explorait la succube, c’était une tâche extremêment complexe, voire impossible. Elle avait pourtant trouvé une piste, menant…

Encore !
Décidément, quoi que je fasse dans ce plan, il semble que ça me ramène à toi…

Cette vampire agaçait Felicia. Elle était omniprésente. Il faudrait vraiment qu’un jour elle la rencontre. Ca promettait d’être vraiment intéressant et peut-être même cela déboucherait-il sur un partenariat avantageux pour elles. Ou alors sur une animosité voire une guerre froide.

Elle découvrit quelques informations sur Mélinda, rien de bien nouveau en soi, ces informations-là n’étaient pas si difficiles  dénicher si on connaissait les bonnes personnes. Cependant, son appartenance au culte de Lust la rapprochait beaucoup de Valeria. Ce qui ne voulait pas pour autant dire qu’elles étaient dans le même camp, enfin, pas pour toutes les causes du moins.

Les interrogations sur les origines d’Aoki prenaient également une grande place dans les désirs de Felicia. Elle la soupçonnait d’avoir des accointances, voire plus, avec ce culte. Sa nymphomanie l’intriguait. Pourtant, c’était un vice comme un autre, le succube en avait croisé des tas au cours de sa vie et ça n’avait que très rarement eu un lien de ce type. Mais il lui fallait des réponses. Ce que Val pourrait peut-être être en mesure de lui donner, si elle rencontrait ladite Aoki.

Elle poussa plus avant, découvrit son désir de maternité. Par elle-même ou via Aoki ou Rebecca. Elle continua, explora ses connaissances magiques, son expérience, ses schémas.

Pendant ce temps, après une mise en route calme afin de permettre à Rebecca d’encaisser le volume dans sa chatte, elle s’était mise à pilonner le ventre de la soumise avec entrain, puisant dans leurs souvenirs un comportement « normal » d’Aoki. Mais avec l’artefact, rien n’était vraiment normal et les sensations qui parcouraient ses deux amantes étaient décuplées. Entre l’énergie sexuelle que l’artefact et elle leur pompaient et celle qu’elles usaient par elles-mêmes, Rebecca avait déjà atteint un stade où le plaisir pouvait la cueillir à tout instant. Sa fatigue la rendait terriblement vulnérable à la magie également.

Très bien, allons-y !

Valeria impulsa des connexions dans l’esprit de Felicia, l’amena confusément à « sentir » ce qu’elle devait faire pour faire ovuler Rebecca. Elle s’arrangea pour que cette guidance semble être le résultat de la propre pensée de la Chatte, afin d’éviter tout soupçon. Ses siècles d’expérience l’y aidèrent grandement, même si elle ne pouvait pas être à l’abri d’une légère erreur. Ce faisant, elle sentit que Felicia elle-même était en pleine période d’ovulation et parfaitement prête à être fécondée.

Intéressant. A voir pour la suite…

Elle laissa le temps au temps, continuant de surveiller tout en baisant Rebecca et insufflant à travers son artefact un plaisir exponentiel à ses amantes.

Plus fort et plus souvent elles prenaient leur pied, meilleur serait son repas !

[Félicia Hardy]

Félicia se laissait pleinement aller. Comme ça tout était bon ! Rebecca était aussi talentueuse que belle, et c’était un vrai bonheur de la baiser ainsi, avec sa future femme ! En triturant son esprit, Valeria pouvait voir que l’amour de Félicia pour Aoki était intense, sincère et fort. Félicia avait toujours été ainsi, une femme pleine de passion. Mais sa nymphomanie était désormais très forte, bien plus encore que quand Valeria l’avait connu à New York. Sur ce point, c’était presque une toute nouvelle personne qui se tenait là. D’ailleurs, la Félicia de New York ne voulait pas d’enfant, contrairement à elle. Félicia avait changé, et en mieux… Du moins, selon le point de vue adopté.

Elle et « Aoki » prenaient donc Rebecca avec force. Félicia releva la jeune femme, et, après l’avoir prise à quatre pattes, elle la souleva. « Aoki » la rejoignit, et s’enfonça dans la chatte trempée de Rebecca, partageant avec son élève un baiser savoureux.

« Oh ouuuuii, hmmm… Maî-Maîtresse Aoki, haaaa, Maîtresse Félicia a déjà joui dans ma petite chatte, est-ce que vous le sentez ♥ ? »

Dans le dos de Rebecca, Félicia alla malaxer ses seins, faisant crisser ses doigts. Elle avait enfoncé son membre dans le cul de Rebecca, tout en fixant « Aoki » par-dessus son épaule. Elle se pencha vers elle, et s’efforça de l’embrasser par-dessus l’épaule de Rebecca, écrasant ainsi le joli corps chaud de leur partenaire entre elles.

« Je t’aime, Aoki, haaaa… »

Quand elles en auront fini avec Rebecca, ce sera au tour d’Aoki de venir la prendre ! Félicia en avait envie, subitement… Habituellement, c’était plutôt elle qui dominait sa femme, mais leur couple se voulait assez libre. Elles pouvaient donc volontiers changer de rôle ! « Aoki » pouvait malaxer et s’appuyer sur les fesses de Rebecca tout en la prenant. Les deux femmes continuèrent à la besogner ainsi, pendant de longues minutes. Quand elles jouirent encore, Rebecca gémit à nouveau, puis tomba au sol, épuisée.

Dès que les fesses de Rebecca heurtèrent le sol, Félicia se pressa contre « Aoki ». Chaque main sur chaque joue, elle l’embrassa avec passion, et « Aoki » put également constater que la verge de Félicia s’était retirée. Elle se pressa contre son amante, puis la poussa également. « Aoki » retomba sur le lit, et Félicia lui grimpa dessus, s’installant à califourchon sur elle. Elle la dominait de toute sa hauteur, son corps en sueur, la combinaison noire toujours présente, ouverte jusqu’à sous son nombril, dévoilant son corps athlétique et sensuel. Ses fesses, elles, se frottaient contre la verge turgescente d’Aoki, que Félicia masturba d’une main.

« Humm… Tu m’as l’air bien chaude, ma chérie… »

Félicia sourit, puis se pencha vers elle, et l’embrassa chaudement sur les lèvres.

« Tu vas me baiser bien fort, hein ? »

[Valeria]

Valeria prit le temps qu’il fallait pour baiser Rebecca jusqu’à l’épuisement. Cette chienne était vraiment bonne. Felicia et Aoki avaient trouvé une vraie belle et bonne soumise, avec les compétences requises. Elle-même s’était laissée à jouir plusieurs fois dans son ventre où déjà stagnait la semence de Felicia. Elle n’avait que peu de doute sur le futur de l’utérus de la jeune femme. Une gestation, peut-être même une double, s’annonçait.

Sur un ultime orgasme, Rebecca plongea dans une inconscience extatique, épuisée, et son corps glissa lentement des queues pour finir sur le sol, accompagné par Valeria pour lui éviter toute douleur ou inconfort.

Felicia n’attendit pas pour se presser contre elle, emprisonner son visage dans ses mains et l’embrasser passionnément. Leurs corps collés l’un à l’autre, Valeria remarqua l’absence de verge chez son amante, indiquant une fois de plus son désir de se faire prendre. L’artefact était toujours bien présent et augmentait les sensations et le désir de son hôtesse déjà totalement conquise par son désir, un désir que le succube découvrait avec une agréable surprise bien plus intense et développé que lors de leur précédente rencontre.

Elle n’eut pas le temps de faire quoi que ce soit que déjà Felicia la repoussait sur le lit, s’installant à califourchon sur elle pour la dominer de toute sa parfaite hauteur. Valeria laissa glisser ses mains sur les cuisses couvertes de latex et gémit doucement quand elle sentit la main empoigner sa verge.

« Humm… Tu m’as l’air bien chaude, ma chérie…
- On se demande pourquoi… » rit-elle doucement.

La Chatte noire sourit elle aussi et se pencha pour l’embrasser à nouveau, son souffle chaud dégageait un parfum de sexe auquel le succube ne pouvait qu’être sensible.

« Tu vas me baiser bien fort, hein ? »

Elle se soumit au baiser qui se multiplia pour devenir fièvre avant de profiter de la reprise de souffle pour faire basculer Felicia et se placer sur elle.

« Tes désirs sont des ordres mon amour… »

Elle planta sa queue en elle d’une seule traite, prit possession de son ventre avec une brutalité savamment maîtrisée, juste ce qu’il fallait pour que Felicia se dise que « bien fort » était tout à fait le bon terme.

L’artefact rentra à nouveau en jeu en augmentant son volume et sa longueur dans le cul de la jeune femme, puis en commençant à se mouvoir en elle de manière subtile mais terriblement efficace, en parfaite osmose avec Valeria qui elle martelait son ventre.

L’intensité augmenta graduellement, elle se mit à taper avec de plus en plus d’insistance contre les parois utérines, sans encore les forcer, attendant que Felicia s’abandonne totalement car si elle était déchaînée, elle gardait encore une certaine forme de contrôle.

La nuit était encore jeune, Valeria se dévoilerait bientôt, mais pas avant la totale soumission de la jeune femme à son désir et son plaisir. Valeria voulait l’amener à l’explosion finale, l’apothéose dont elle se rappellerait toute sa vie, un plaisir que seul un être comme elle pouvait procurer.

[Félicia Hardy]

Après avoir épuisé Rebecca, Félicia et Aoki allaient naturellement continuer à faire l’amour. Félicia était heureuse qu’Aoki soit revenue plus vite. Ensemble, les deux femmes se surpassaient à chaque fois, et il était donc fréquent que, après avoir couché avec l’une de leurs élèves, elles continuaient ensemble, parfois longuement. Félicia l’embrassa donc, et frémit en sentant les mains de sa femme glisser sur son corps, palpant ses cuisses, et ses fesses. À ce stade, Félicia était un peu trop excitée pour noter que le comportement de sa partenaire variait de celui de sa femme. Et puis, elles avaient après tout l’habitude de jouer des rôles, d’inverser entre celle qui dominait et celle qui se faisait soumettre.

Félicia sentit le plug anal se mettre encore à remuer quand sa partenaire la poussa sur le lit. Félicia finit couchée sur le dos, à côté de Rebecca, qui était en train de s’endormir. Aoki la rapprocha ensuite, tandis que, du fait de sa position, Félicia sentit le vibromasseur en elle s’enfoncer plus profondément dans son postérieur.

« Hnnn… Viens là, ma belle… »

Aoki vint donc, se lovant contre elle, et enfonça sa verge en elle. Félicia gémit à ce contact, et posa sa main gauche sur l’arrière de la nuque de son amante, et la droite sur son épaule gauche, en appui. Les deux femmes s’embrassèrent encore, et Félicia, après avoir écarté ses jambes, les referma sur le bassin d’Aoki. Elle la maintenait ainsi contre elle, et gémissait sur place, tout en ronronnant joyeusement.

Les deux femmes enchaînaient les baisers, tandis que le bassin d’Aoki filait d’avant en arrière.

« Ooouuuii, en… Encore… ! » gémit-elle.

Dieu, qu’elle aimait ça ! Sentir sa femme en elle… Et, alors qu’Aoki continuait à la prendre, à gémir contre elle, l’esprit de Félicia se remémorait une autre séance de sexe, survenue il y a un certain temps, quand elle était encore à New York, avec une personne qu’elle n’avait jamais revue depuis…

…Valeria.

[Valeria]

Les ébats prirent un peu d’ampleur. Felicia s’offrait comme jamais, Valeria sentait ce relâchement qu’elle n’avait pu obtenir d’elle qu’à force de douceur et de pression dans son inconscient. Elle avait fait du chemin depuis leur rencontre et c’était une très bonne chose.

Valeria allait et venait en elle et Felicia ondulait des hanches comme une affamée à sa rencontre. Ses jambes enserraient sa taille, un étau de chair gainé de cuir crissant que le succube avait déjà expérimenté auparavant, tout aussi intense et efficace, à New York.

Les baisers s’enchaînaient, enflammés, Félicia l’enlaçait avec passion, ses mains courant sur sa nuque et ses épaules.

« Ooouuuii, en… Encore… ! »

Le plug prenait vie de plus en plus, gagnait en longueur, en épaisseur et en intensité dans le cul qui l’accueillait, la queue dans sa chatte se faisait plus intense, offrait des sensations décuplées, des sensations qu’une queue humaine ne pouvait offrir.

Bientôt, Valeria sentit l’esprit de la Chatte dévier des ébats vers d’autres ébats. Elle ne l’avait pas oubliée. Comment l’aurait-elle pu ? Faire l’amour avec un succube était une expérience unique, inégalable.

Valeria sentit l’inconscient de Felicia s’ouvrir, devenir conscient. La Chatte avait fermé les yeux mais quand elle les rouvrit, Aoki avait disparu pour laisser la place à Valeria, qui avait repris l’apparence qu’elle avait prise à New York.

« Bonsoir ma chérie. Tu as eu beaucoup de chance que cet objet m’invoque moi. Tu aurais pu faire une très mauvaise rencontre… »

Elle continuait de la pistonner, mais son visage restait proche de celui de la jeune femme sans plus chercher à l’embrasser. Elle attendait sa réaction. Elle ne s’attendait pas à grand-chose à vrai dire. Les ébats étaient tellement engagés qu’il y avait peu de chances qu’ils n’aillent pas à leur terme. La discussion viendrait après.

Leurs peaux fusionnaient presque tant celle du succube monopolisait les terminaisons sensorielles à sa portée. Son sexe et le gode allaient à l’unisson, comme un seul et même corps, s’activant en elle de la manière qui lui plaisait le plus afin de la marteler jusqu’à l’orgasme. Elle mouillait si fort, les narines de Valeria étaient saturées de son désir et de son essence.

« Sympa comme retrouvailles… Profitons-en, tu veux ? »

Elle se pencha pour lui lécher le cou avec une lascivité et un érotisme forcenés.

[Félicia Hardy]

Félicia planait, repensant à cette femme qu’elle avait vu à New York, cette Valeria qui l’avait baisé avec force… Et, quand elle revint à elle, elle frémit en voyant que Aoki avait été remplacée par Valeria. Elle cligna des yeux, surprise, et remua un peu, mais Valeria donna un coup de reins, et Félicia gémit en sentant un orgasme l’envahir. Elle entendit Valeria lui parler, et posa sa main sur l’une des fesses de la femme. Valeria était toute nue, ayant ôté son apparence d’Aoki, et Félicia l’embrassa, remontant son autre main pour caresser les longs cheveux soyeux de Valeria.

« Va-Valeria, haaaa… »

Elle sentait le plug anal grossir dans son cul, devenant plus épais, mais aussi plus vivant, plus organique… C’était du moins l’impression qu’elle en avait. Sa main se serra sur le cul de Valeria, elle le pressa avec force, et raffermit sa prise sur ses cheveux. Valeria continuait à la bourrer, enfonçant sa verge avec force, manipulant sans difficulté le gode niché en elle. Félicia commençait également à ronronner, exprimant par là son plaisir. Elle caressa encore les cheveux de Valeria, et l’embrassa alors, passionnément. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, et elle goûta à ce plaisir inné, sa combinaison venant crisser contre la peau nue de Valeria, qui s’y collait.

Oui, c’était bien elle, cette femme qui était une succube, et qui s’était fait passer pour une voleuse. Pour une raison inconnue, elle l’avait aidé il y a des années dans le cadre d’un casse visant à s’emparer de la tablette des Toltèques, un peuple ancien originaire de la Mésoamérique. Félicia serra entre ses doigts griffus l’une des fesses de Valeria, pressant son postérieur. Félicia avait eu la possibilité de rester avec Valeria à l’époque, elles avaient passé une nuit à faire l’amour, mais, finalement, elle avait choisi de la laisser. La tablette des Toltèques était également sortie de son esprit, mais pas ses ennuis avec Wilson Fisk, ennuis qui l’avaient finalement amené ici, à Atarashï Yoake, bien loin de la Grosse Pomme…

Valeria lui expliqua avoir été invoquée par un objet, ce sex toy niché dans ses fesses.

« Aahh… Je n’arrive pas à y croire, hmmm… Te revoir, toi… Je suis désolée de t’avoir laissé, hmmm… »

Elle se mordilla encore les lèvres, et donna une gifle sur les fesses de Valeria.

« M-Mais je suis heureuse de te revoir… Ce… Ce n’était pas la peine de te faire passer pour Aoki, tu sais… »

Félicia soupira encore, et releva ses jambes, venant les enrouler autour de la taille de Valeria.

« B-Baise-moi fort, Valeria… » gémit-elle.

[Valeria]

Alors que l’esprit de la chatte noire se perdait en souvenirs de leurs premiers ébats, comme si son corps se rappelait bien mieux que son esprit, Valeria laissa sa forme naturelle reprendre ses droits. Le regard que posa son amante sur elle en ouvrant les yeux, la surprise qui s’y inscrivit n’eut pas le temps de s’installer. Un coup de reins suffit à la chasser et le corps se mit à fondre sous elle. En quelques instants le plaisir prit possession de Felicia, qui empoigna la fesse de son amante.

« Va-Valeria, haaaa… »

C’était satisfaisant. Tandis qu’elle la pilonnait requise par son amante, elle la sentait s’abandonner comme auparavant. Sa main se raffermit sur sa fesse, son autre main dans ses cheveux, démonstrations du plaisir qui l’avait envahie et ne cessait de se maintenir à un niveau auquel les humains ne parvenaient que par pics. Elle s’animait également, se mit à ronronner avant de brusquement embrasser la succube à pleine bouche. Un baiser intense et passionné que lui rendit son amante diabolique avec fougue. La fièvre dont elle avait fait preuve la seule nuit qu’elles avaient passé ensemble semblait encore bien vivace chez elle. Rien de bien étonnant – qui oubliait des ébats avec une succube ? – mais l’esprit était en osmose, comme si elle lui avait réellement manqué.

« Aahh… Je n’arrive pas à y croire, hmmm… Te revoir, toi… Je suis désolée de t’avoir laissé, hmmm… »

Ah ben voilà, justement…

Une gifle sur les fesses ramena Valeria au présent. Elle sourit.

« M-Mais je suis heureuse de te revoir… Ce… Ce n’était pas la peine de te faire passer pour Aoki, tu sais…
- Je n’ai fait que suivre tes fantasmes. Ils ont bien évolué depuis la dernière fois. »

Elle sourit encore plus, contente de cette évolution et des ébats à venir qui seraient bien plus enfiévrés que la dernière fois.

Felicia releva les cuisses au plus haut, enserra les hanches dans l’étau de ses jambes, ses pieds se posant contre ses fesses.

« B-Baise-moi fort, Valeria…
- Tes désirs sont des ordres. »

La succube se mit à la bourrer sans répit, elle-même et par gode interposé. Les orifices de Felicia furent pris d’assaut comme jamais, ses entrailles ravagées par un feu continu de plaisir et de défonce diaboliques. Le matelas rebondissait comme jamais, les corps avaient même presque du mal à rester totalement collés l’un à l’autre tant l’impact des pénétrations était intense.

Valeria cognait contre les portes de l’utérus sans discontinuer, sans même y penser, confiante dans le fait qu’il allait bientôt s’ouvrir à elle, qu’une baise aussi intense allait le faire éclore aussi sûrement qu’une stimulation délicate et profonde.

Les fluides de leurs corps suintaient de Felicia, les bruits de leurs ébats de plus en plus intenses et violents tandis que les peaux s’humidifiaient de sueur et se collaient l’une à l’autre avec un appétit vorace.

Valeria attrapa les poignets de Felicia, les boqua au-dessus de sa tête sur le matelas et s’appuya dessus pour se redresser, juste assez pour être hors de portée de sa bouche.

« Maintenant, l’hallali ! »

Si Félicia avait déjà ramassé, et pas qu’un peu, ce qui s’abattit sur elle était sans commune mesure avec tout ce qu’elle avait pu connaître. Le gode lui laboura le cul comme jamais et sa chatte devint lave en fusion sous les orgasmes violents qui la frappèrent sans discontinuer.

Valeria fit en sorte que le plaisir l’enveloppe, la ravage, la réduise en poussière et la fasse renaître un millier de fois en quelques dizaines de minutes. Quand elle lui laissa reprendre ses esprits, elle ponctua son office d’une éjaculation qui explosa si fort en elle qu’elle sentit son utérus s’ouvrir pour accueillir le plaisir diabolique tandis que dans son cul une même explosion noyait ses entrailles d’un liquide tout aussi gluant et épais.

Elle laissa la chatte noire revenir assez à ses sens pour appréhender ce qui venait de se passer, le changement de perspective dans la chambre, le lit ravagé, ses pieds détruits, le matelas reposant sur le sol.

Toujours fichée en elle, Valeria s’agenouilla alors devant Felicia, l’attira à elle en lui soulevant légèrement le bassin pour continuer à la prendre. La nuit ne faisait que commencer et les orgasmes de la jeune femme n’en étaient qu’à leurs premiers balbutiements.