The Multiversity

[Félicia Hardy]

Félicia était… Confuse ! Pleine d’une excitation fébrile qu’elle ne s’expliquait pas ! Ce n’était pas son genre de se laisser aller aussi vite… Enfin… Si, mais quand même ! Face à Spider-Man, il était compréhensible qu’elle le taquine, car il était tellement timide que c’était trop amusant ! Elle adorait le coincer sous elle sur un toit, et sentir une érection lancinante déformer son costume… Mais elle n’avait jamais été aussi vite avec quelqu’un d’autre ! Et, pourtant, loin de ressentir la moindre gêne, elle n’avait qu’une envie face à Valeria, celle de recommencer. Et, de fait, avant même qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, Valeria répondit à son baiser, son uniforme moulant se frottant au sien. Félicia y répondit avec envie. Elle soupira lentement, goûtant à ses lèvres, ne se retenant plus. Oh, comme elle était bonne !

« Hmmm… »

La Chatte Noire se laissait bercer par ce plaisir intense. Une vague intense l’envahissait, une bouffée de chaleur, véritable ivresse. Elle aurait pu embrasser cette femme pendant des heures tant elle avait l’impression de se diluer en elle. Mais, finalement, Valeria rompit le charme, écartant ses lèvres des siennes. Surprise, Félicia cligna des yeux à plusieurs reprises. Un peu hébétée, elle avait senti les mains de Valeria glisser sur son corps, parcourant sans ménagement ses formes, la faisant vibrer, et même ronronner ! Cela n’arrivait pas tous les jours ! C’était le signe de son excitation, d’un désir intense. Devant elle, Valeria était magnifique ! Félicia s’était rarement sentie aussi confuse, aussi perturbée… Mais le choc final vint quand Valeria attrapa sa main, et la posa entre ses jambes…

...Où Félicia put sentir une belle bosse. Elle écarquilla alors les yeux, pensant à un artifice quelconque. Valeria lui sembla alors étonnamment nerveuse, et Félicia la regarda lentement.

« Tu… Mais… Tu… »

Félicia rougit alors, et caressa cette zone, la grattant.

« Toi, tu as un joli secret… C’est… Comment tu as fait ? Tu as vraiment… »

La Chatte Noire reprit ses esprits. Elle vivait à New York, elle avait vu quantité de choses incroyables ! Toutefois, Félicia ne semblait nullement choquée. Surprise, bien sûr ! Mais également… Excitée. Ses yeux s’illuminèrent tandis qu’elle se mordillait les lèvres, continuant à caresser cette bosse. Elle pensait toujours à un jouet, mais elle sentit cette verge durcir, remuant contre ses doigts… Vivante.

« Le meilleur des deux sexes en un… » soupira-t-elle.

[Valeria]

La fièvre qui s’était emparée de la Chatte noire était délicieuse. La femme ne contrôlait plus grand-chose à ce stade, complètement dominée par ses pulsions, son désir. Son corps répondait à tous les stimuli comme un affamé. La jeune femme se mit même à ronronner tant son excitation s’envolait dans les hautes sphères.

Le succube, bien qu’expert dans ce genre de manipulations, n’eut pas besoin de forcer son talent pour faire passer sa timidité et sa verge. Si sa future amante se montra confuse voire perturbée, cela ne dura qu’un temps finalement très court – quelques battements de cœur – avant que sa main ne prenne le relais de ses interrogations en cherchant à tâtons une preuve de la véracité de ce qui se trouvait sous ses yeux.

Le sexe déjà semi gonflé ne tarda pas à s’éveiller sous les caresses, arrachant un soupir rêveur à la voleuse.

« Le meilleur des deux sexes en un… »

Comme si elle n’arrivait pas à y croire. Valeria se tortilla sous elle tandis que l’érection devenait de plus en plus formidable. Sa bouche happa celle de Felicia, la retint en un long baiser baveux qui s’acheva sur un gémissement sourd quand les doigts se mirent à courir sur la hampe avec plus de précision.

« Je… Haaannn… Est-ce que tu crois que c’est bien raisonnable de faire ça ici ? »

Les jambes de Val s’écartaient pour offrir le passage le plus direct, ses talons s’enfonçaient dans le cuir du sofa qui crissait sous les combinaisons des deux femmes. Déjetés, les cheveux sombres s’étalaient sur les coussins clairs, offrant une image presque florale avant que le succube ne se redresse quelque peu.

Et déjà la combinaison s’ouvrait, libérait la colonne de chair pour que les peaux, enfin, se rencontrent et que l’électricité déjà presque tangible achève totalement la libido de Felicia.

La tête du succube bascula, se perdit entre les seins plantureux à la recherche de ses splendeurs enfouies tandis que d’une main habile la fermeture-éclair était dézippée pour lui en offrir l’accès. Bien vite, une main s’empara d’un globe merveilleux, l’électrisa de son toucher sensuel au point de le faire se couvrir de chair de poule, porta le téton déjà érigé à sa bouche, qu’une langue agile vint immédiatement découvrir tandis que son regard se relevait par en bas pour venir se planter dans celui de la proie humaine devenue trophée.

[Félicia Hardy]

Félicia basculait doucement. Elle n’arrivait pas vraiment à comprendre ce qui lui arrivait, mais commençait à se douter que le problème de sa perte de contrôle venait de Valeria. Après tout, cette femme était hermaphrodite, et Félicia connaissait l’existence de la magie. Valeria l’avait sûrement ensorcelé, et, quand la succube commença à libérer l’accès à sa verge, Félicia put sentir la vague croître en elle. Elles avaient rejoint le sofa, et, d’une petite voix exagérément douce et innocente, Valeria minauda en demandant à Félicia s’il était bien prudent de faire l’amour ici. Félicia frémit en la sentant tirer sur sa fermeture Éclair, l’abaissant un peu, puis palpa ses seins. Quand elle en embrassa un, Félicia gémit, ronronnant encore. Elle ferma les yeux en se laissant aller, sentant l’onctueuse vague l’envahir. Sa main se crispa sur les cheveux de Valeria, et elle s’appuya fermement dessus, se tortillant sur place, frottant son corps contre le sien.

« Hmmm… ! »

Elle écarta alors brusquement Valeria, et cligna des yeux, semblant comme essoufflée. Elle reprenait ses esprits, comme si elle sortait de sa torpeur, mais le désir était toujours là. Elle commençait juste à s’y faire, et à se faire à l’idée que les deux femmes allaient s’envoyer en l’air.

« Toi.. Tu as envie de jouer l’ingénue ma belle, hein ? Mais quelque chose me dit que mon trouble est lié à toi… »

La Chatte Noire n’avait pas encore saisi que Valeria était une succube, bien sûr, mais elle pensait plutôt à ce qu’elle soit une espèce de sorcière, d’envoûteuse, de tentatrice qui venait la séduire. Félicia se redressa donc, et attrapa la main de Valeria, l’extirpant du sofa.

« Tu as allumé le feu, ma chérie, il faut l’éteindre, maintenant ! »

Félicia se dépêcha de traverser le couloir, et elle fit irruption dans une chambre à coucher. Un grand lit se trouvait là, avec des baldaquins. Félicia frémit, et se retourna vers Valeria, et se rua contre elle. Elle bondit sur le corps de sa partenaire, et l’embrassa fougueusement, enroulant ses jambes autour de sa taille, frottant sa chatte contre la verge érectile de sa partenaire, cette barre dressée, tandis que la porte se refermait dans leur dos. Oh oui ! Elle devenait accroc à ses lèvres ! Elle ignorait encore comment Valeria avait fait son compte, comment elle avait ainsi réussi à la séduire, mais c’était sans grande importance. Finalement, seul comptait le plaisir immense que Félicia ressentait en ce moment ! Elle l’embrassa donc en se pressant contre elle, puis s’écarta ensuite… À sa manière. Elle serra donc encore ses jambes, et sourit alors, posant un doigt sur les lèvres de Valeria. Elle le tapota doucement, un sourire en coin remontant sur ses lèvres.

Elle se pencha en arrière, et bascula vers le sol. Félicia posa ses mains sur le sol, et s’en servit comme appui. Elle libéra alors le bassin de sa partenaire, et releva ses jambes, puis fit une lente et sensuelle roulade, les jambes relevées. Elle se rétablit près du lit, et s’assit sur le rebord, avant de croiser sensuellement les jambes. Son doigt se tendit vers Valeria, et décrivit un mouvement d’avant en arrière, comme pour lui faire signe de venir.

« Viens ici, petite sorcière, tu vas voir ce qu’il en coûte de titiller une Chatte ! » soupira-t-elle malicieusement.

[Valeria]

Le succube pouvait voir la conscience de l’humaine lutter contre ses pulsions. Si le combat était déjà perdu, elle n’avait pas encore totalement abdiqué. Elle était loin d’être stupide et il ne faisait aucun doute qu’elle réalisait que, même si tous les tenants et aboutissants ne lui étaient pas connus, rien de naturel n’œuvrait là-dedans. Valeria aimait voir ses cibles continuer à chercher à comprendre bien après que leur corps avait succombé. Quand le plaisir les submergeait, l’abdication était encore plus jouissive, même si les plus pugnaces reprenaient la lutte une fois les ébats terminés. Cependant, elles n’en arriveraient pas là, le succube ne cherchant qu’une bonne baise bien intense. A moins que la jeune femme ne veuille, elle, quelque chose de plus régulier après cette nuit ? Là, le champ des possibilités était complètement ouvert.

Felicia se soumit à la caresse buccale qui s’abattit sur sa poitrine avec une réaction qui pouvait s’approcher de ronronnements. Val trouva ça extrêmement sexy et sourit sans cesser son action. Les doigts de la jeune femme se crispèrent dans la chevelure de jais puis pressèrent le visage contre son sein. La succion se fit plus intense, les stimulations linguales et manuelles plus appuyées.

Brusquement, Felicia retira la tête de Valeria de sa poitrine pour la fixer, essoufflée, comme sortant d’un rêve. Mais toujours complètement sous l’emprise du désir.

« Toi... Tu as envie de jouer l’ingénue ma belle, hein ? Mais quelque chose me dit que mon trouble est lié à toi… »

Ah là, Lapalisse n’aurait pas dit mieux…

« Je suis flattée de voir que mon attirance pour toi trouve un écho si enflammééééé… »

Felicia venait de se lever et l’entraîner à sa suite hors du sofa.

« Tu as allumé le feu, ma chérie, il faut l’éteindre, maintenant ! »

A tes ordres ! se dit le succube, admirant les merveilleuses fesses de la Chatte noire tandis qu’elle l’entraînait à nouveau, vers la chambre cette fois. Il n’y aurait pas de second round d’observation, c’était limpide !

Elles arrivèrent dans celle-ci et découvrirent un magnifique lit à baldaquins, gigantesque. Un lit sur mesure pour une pièce dans laquelle il était l’élément-clé. Val n’eut pas vraiment le temps de remarquer grand-chose d’autre que déjà Felicia se jetait sur elle et lui sautait dessus, ceinturant ses hanches d’une étreinte puissante de ses cuisses admirablement musclées.

Spontanément, les mains de la démone se glissèrent sous ses fesses pour la soutenir tandis que le baiser qui les unissait ressemblait à une mer en furie sous un ciel d’orage. Le corps de Felicia était en feu, ondulait contre elle, son bassin se pressait puissamment contre sa queue, elle pouvait sentir la chaleur humide à travers la combinaison tant elle était affamée !

La jeune femme la dévorait littéralement et Valeria, bien que rompue à cet exercice, avait du mal à suivre tant l’humaine volait sur son visage pour toujours revenir à ses lèvres. Enfin, elle raffermit son étreinte sur ses hanches pour se laisser aller en arrière avant de la lâcher pour effectuer une souple et sensuelle roulade qui l’amena au lit sur lequel elle s’assit en croisant divinement ses incroyables jambes et, d’un geste explicite de l’index, inviter Valeria à la rejoindre.

« Viens ici, petite sorcière, tu vas voir ce qu’il en coûte de titiller une Chatte !
- J’espère bien… »

Mais Valeria entreprit de s’effeuiller tranquillement. Elle enleva le corset en jouant du regard avec Felicia, le laissa tomber au sol d’un geste ostentatoire et lascif, ouvrit délicatement le haut de la combinaison, dévoilant ses épaules petit à petit, puis la naissance de ses seins plantureux.

Elle savait l’impatience de la chatte, induite par ce désir qu’elle avait rendu irrépressible, mais jouait avec elle et celui-ci afin de le faire encore un peu plus grimper.

Un peu de magie, juste ce qu’il fallait, permit de faire glisser la combinaison sur la peau sans aucune gêne, comme s’il s’agissait de soie. Elle se dévoila petit à petit, jouant avec son corps, l’offrant au regard de plus en plus affamé de Felicia.

Elle s’amusait ainsi de voir ses yeux toujours un peu plus exorbités, sa bouche s’entrouvrir de plus en plus. A ce stade, son visage était un véritable livre ouvert à l’adoration et au désir de Valeria. Elle se déhancha sensuellement pour faire passer ses hanches et sa croupe à la combinaison, dévoilant enfin son intimité pleine et entière, ses fesses rebondies, ses deux sexes empreints d’un tel désir qu’il en était littéralement visible.

Enfin elle fut nue. Elle s’avança alors vers Felicia, splendide, divine. Il n’y avait plus qu’elle, comme si toute lumière autour avait été éteinte pour ne laisser que son corps parfait à la vue exclusive de sa proie.

Elle posa les mains sur les joues de la femme, joua sur ses lèvres humides, y glissa un pouce avant de se pencher et l’embrasser tendrement, puis de plus en plus passionnément avant de finir par lui écraser le visage entre ses seins, sa queue tendue lui tapant alors contre le bas du menton et y déposant une marque évidente de désir sous la forme de quelques gouttes de présperme.

[Félicia Hardy]

Félicia sentait le feu en elle. La vague n’arrivait pas à partir, et elle ne semblait au contraire que s’accroître face à sa partenaire. Dans la confortable chambre de l’émir, Valeria s’écarta doucement de Félicia. La Chatte Noire cligna des yeux à plusieurs reprises. Elle savait que la magie existait, elle le savait depuis ce jour où elle avait tenté de voler un artefact dans une maison très spéciale, située au 177A Blecker Street… Le Sanctum Sanctotum. Elle avait failli déclencher de sacrées réactions en chaîne en tentant de voler un artefact maléfique qui ouvrait un Portail vers les Limbes. Docteur Strange avait réussi à empêcher le drame, et avait ramené Félicia. Il avait été impressionné qu’elle ait réussi à déjouer ses protections magiques, mais elle avait réussi à lui échapper avant qu’il ne la capture pour l’amener aux autorités. Félicia s’était ensuite promise d’y réfléchir à deux fois quand elle était de nouveau face à la magie… Et ce qu’elle ressentait ici lui était assez familier. Cette vague en elle, cet émoi, cette impression qu’il y avait quelqu’un d’autre dans sa tête… Ce n’était pas juste sous l’effet du désir, c’était aussi sous l’effet de la magie !

Elle se déplaça lentement, et, sans rejoindre le lit, heurta une chaîne HiFi dernier cri. Sa main se saisit de la télécommande l’actionnant, et, puisque Valeria se livrait à un lent effeuillage, elle appuya sur plusieurs boutons. Des lumières s’allumèrent en contrebas, des diodes roses à hauteur des plinthes de la chambre. Une ambiance rétro, chaude et sensuelle, tandis que la chaîne diffusa une playlist de musiques sensuelles. Félicia se pinça doucement les lèvres, tandis que la combinaison de Valeria crissait sur sa peau. Elle remuait lentement, chaque geste méticuleux semblant savamment entretenu pour la rendre désirable.

« Hmmm… »

Félicia cligna brusquement des yeux en réalisant qu’elle avait déployé ses griffes, lacérant le rebord du meuble en bois sur lequel elle s’était appuyée. Elle s’en décolla, et son regard loucha naturellement sur le membre épais de sa partenaire, une verge solide, un mât turgescent qui pointait fièrement en l’air, et dont il lui sembla bien, à ce moment, qu’il était envoûté. Elle se décolla du meuble, se rapprochant de Valeria, désormais totalement nue. Sa beauté était incomparable, indescriptible. Félicia caressa sa joue, mais, avant de pouvoir palper sa verge, Valeria attrapa son visage, et le plaqua d’autorité contre ses seins.

« Hmmm… !! »

La Chatte Noire se tortilla dessus, et posa ses mains sur les hanches de Valeria, puis releva sa tête, et l’embrassa sur les lèvres. Une main sur sa nuque, et l’autre la masturba alors, en caressant sa queue. Elle l’emprisonna entre ses doigts, et remua sur ce vit tendu. Valeria avait l’air prête à jouir. Quand Peter était dans un tel état, il se relâchait toujours quand elle faisait ça… Mais Félicia constata que Valeria tenait bon. Son endurance sexuelle était assez incroyable. Félicia rompit le baiser, et sourit alors.

« Mon ancien copain me jouissait toujours dessus… Il en était tout penaud ensuite, alors je lui ordonnais de me nettoyer avec sa langue… Mais toi, petite catin, tu es très endurante… »

Félicia la repoussa alors, et Valeria heurta le lit. Elle finit assise dessus, et Félicia écarta ses jambes, révélant sa queue.

« En revanche, on ne me déshabille pas. Une chatte sans sa fourrure est beaucoup moins belle… »

La Chatte Noire commença à lécher sa queue, comme une belle glace, curieuse de voir ce que Valeria allait faire… Attendre que Félicia la suce, ou jouir sur elle, et pouvoir ainsi la lécher ? Félicia n’avait pas donné ce détail anodin sur son aventure sexuelle par hasard… Elle adorait qu’on la lèche !

[Valeria]

Tandis que le succube jouait à s’effeuiller avec une lenteur consommée, La Chatte se leva et enclencha les commandes d’une chaîne Hi-Fi. Une douce musique sensuelle commença à être diffusée tandis que d’autres commandes tamisèrent et éclairèrent la pièce d’une chaude ambiance rosée. Dans ce contexte, tout sembla encore plus facile à Valeria.

Sa combinaison crissait subtilement tandis qu’enfin elle finissait de la retirer, se retrouvant parfaitement nue devant Felicia. Une Felicia bien difficilement maîtresse de ses sens à en juger par les traces de griffes qu’elle venait de laisser sur le meuble. Son regard glissa sur ses courbes pour s’arrêter sur sa verge turgescente. Son expression valait tous les compliments du monde.

La Chatte s’approcha, hypnotisée, conquise, subjuguée. Elle posa sa main sur la queue et Val lui plaqua la tête entre ses seins. Felicia se tortilla en gémissant une protestation peu convaincante puis se redressa pour embrasser le succube avec passion tout en la masturbant.

Elle glissa une main sur la nuque de Valeria, prolongeant le baiser pendant un long et délicieuxmoment, s’attendant sans doute à un résultat plus efficace qu’une érection encore plus triomphante, suintante d’un présperme odorant.

« Mon ancien copain me jouissait toujours dessus… Il en était tout penaud ensuite, alors je lui ordonnais de me nettoyer avec sa langue… Mais toi, petite catin, tu es très endurante… »

Bien sûr qu'il jouissait comme un fou précoce ! Comment aurait-il pu résister à ça ?

Felicia lui sourit avant de la pousser sur le lit où le succube se laissa choir avec une grâce empreinte de lascivité. Ainsi assise, elle regarda la jeune femme qui lui écarta les jambes d’autorité. La queue du succube pointa avec une arrogance qui ne souffrait aucune attente

« En revanche, on ne me déshabille pas. Une chatte sans sa fourrure est beaucoup moins belle…
- Adjugé, pour autant que tu m’offres quand même assez de peau pour assouvir ma soif de douceur et de volupté… »

Felicia s’agenouilla et commença à jouer avec la queue. Valeria se laissa humer, laper, avant que la langue se mette à l’explorer plus précisément et la lécher avec plus d’appétit.

Elle sentait le désir de la femme de se retrouver couverte de semence, de se faire lécher. Valeria sourit

« Tu veux me faire jouir hein ? Avec plaisir, mais pas sur ta combinaison. »

Valeria se redressa et d’un geste précis dézippa encore un peu la fermeture-éclair sur la poitrine de la beauté aux cheveux blancs. Le spectacle était effarant de beauté. Elle se mit à respirer plus vite, admirant la course de la langue sur elle, sa façon de récupérer le présperme sur son gland, les filaments de salive qui s’y mêlaient pour en faire une écume blanchâtre et gluante.

« Hhhhh… »

Elle se laissa aller en arrière, prit appui sur ses coudes pour mieux encore profiter du spectacle. Quand enfin les lèvres se refermèrent sur elle, elle frémit. La langue s’agita sur son frein, elle ahana, donnant comme l’attendait la jeune femme tous les signes d’un plaisir imminent.

« Ah ! Ah ! Ooohhh je viens ! »

Inutile de la faire attendre plus longtemps, elle avait mérité de voir son fantasme se réaliser. Valeria se soumit au plaisir et jouit abondamment, laissant la main de Felicia diriger son éjaculation bien que les trois premiers jets se soient écrasés chaotiquement, le premier dans sa bouche, le second sur ses lèvres et le troisième sur sa joue et son menton.

[Félicia Hardy]

Félicia tenait à conserver sa combinaison. Mine de rien, elle lui allait plutôt bien ! Elle avait aussi d’autres raisons, plus inconscientes, de vouloir la conserver, mais la Chatte ne connaissait pas encore suffisamment Valeria pour pouvoir rentrer dans les confidences intimes. Elle avait goûté aux magnifiques lèvres de cette dernière, et, si Valeria accepta de ne pas la déshabiller, elle tira néanmoins si sa fermeture Éclair, abaissant celle-ci jusqu’à son nombril. Un décolleté plongeant qui permettait de voir l’ourlet des seins généreux de Félicia. La Chatte Noire sourit sensuellement, puis s’agenouilla sans difficulté devant Valeria. La combinaison crissa sur place, et elle approcha son visage venant lécher la belle verge de Valeria. Félicia avait déjà entendu parler de femmes hermaphrodites, mais elle n’avait encore jamais eu l’occasion d’en croiser une de près. Le spectacle était fascinant ! Elle sentait ce membre chaud et dur palpiter contre ses lèvres, et sa langue glissa dessus. Les chats savaient bien lécher, après tout, et, dans ce domaine, Félicia estimait, en toute modestie, qu’elle ne s’en sortait pas si mal. Le sexe oral était quelque chose qu’elle affectionnait, autant que le reste.

« Hmmm… »

La Chatte Noire sentait le corps de Valeria se crisper progressivement. Elle ignorait qui elle léchait à ce stade. Félicia ne voyait là qu’une belle femme, et elle pensait avoir affaire à une sorcière. Peut-être devrait-elle interroger le Docteur Strange, histoire de savoir s’il n’avait pas dans ses relations une femme hermaphrodite ? Félicia était plus ou moins sûre qu’elle avait été envoûtée, mais cette sensation était bien trop délectable pour la rejeter abruptement. Au contraire, la Chatte Noire laissait la vague l’envahir, soupirant et gémissant longuement. Elle se déplaça encore, et ouvrit ses lèvres, commençant à boer cette queue, l’avalant comme une belle friandise, une grosse glace chaude à sucer.

« Mmmhmm… Rrrrrr… »

Ses beaux yeux se fixèrent sur ceux de Valeria, qui s’était redressée pour voir ça. Elle observait ce fascinant spectacle, et pouvait voir la bouche de Félicia avaler de plus en plus sa queue. Elle soufflait par le nez, respirant fortement, et déglutissait en respirant par le nez. La Chatte Noire sentait ce gros membre s’enfoncer dans sa bouche, et ravala sa salive, aspirant cette queue. Elle évitait de trop serrer avec ses dents, et relevait sa langue, la glissant sur cette queue. Félicia continua ainsi à la lécher, à la sucer, optant pour des gorges profondes. Elle commençait à avoir chaud au niveau de ses lèvres intimes, et des ronronnements s’échappaient de son corps. Des vibrations de plaisir qui trahissaient son propre bonheur.

Concentrée sur son office, Félicia sentit peu à peu Valeria s’abandonner à la vague. Un puissant orgasme la traversa, et la queue de Valeria glissa hors de sa bouche, giclant dans sa bouche, mais aussi sur son visage, son menton, et finalement sa poitrine. Valeria jouit de manière impressionnante, et Félicia dut bien admettre que même Peter n’avait pas joui autant ! Félicia se sentait toute électrique après  un tel orgasme, et se redressa un peu. Elle baissa la tête, observant les traces de sperme, et rabattit ses cheveux sur l’arrière. La jeune femme grimpa ensuite sur le lit, et renversa Valeria de la tête. Elle marcha à quatre pattes au-dessus d’elle.

« Tu en as foutu partout, ma belle… »

Son regard alla croiser le sien, et un sourire onctueux éclaira les lèvres de Félicia, qui croisa alors les bras sur le torse de Valeria. Elle s’installa contre elle, leurs seins se caressant, et Félicia rapprocha sa bouche. Sa langue sortit alors de ses lèvres, et lécha le nez de Valeria, remontant dessus, comme si elle marquait son territoire.

« Je crains fort que notre nuit ne fasse que commencer, ma jolie… »

[Valeria]

Le spectacle de la fellation offerte par Felicia valait le détour. Les sensations aussi, mais le plus hypnotisant était l’alliage de ce regard intense et de ces ronronnements tout particuliers qui n’appartenaient qu’à elle. Valeria s’abandonna tant au spectacle qu’aux délicieuses sensations et laissa s’épanouir son plaisir jusqu’à la délivrance.

Celle-ci se répandit, chaotique et incontrôlée, dans la bouche, sur le visage, s’acheva abondamment sur les seins serrés par la combinaison de cuir insuffisamment ouverte pour leur laisser la liberté de vivre leur vie.

Valeria pouvait sentir l’excitation de la chatte noire. Celle-ci était intense, un feu brûlant couvait entre ses cuisses et le succube se demanda combien de temps encore elle allait résister avant d’envoyer valser sa combinaison pour s’empaler sur son membre turgescent.

La femme se redressa quelque peu, évalua l’étendue des dégâts tandis que la semence glissait de son menton en un long filament gluant jusqu’à ses seins. Elle rabattit sa crinière blanche dans son dos, grimpa sur le lit à quatre pattes, comme une prédatrice. Elle s’avança le long du corps de Val, la força à s’allonger.

« Tu en as foutu partout, ma belle…
- T’as tout fait pour… » sourit le succube, mutin.

Leurs regards se croisèrent, Felicia lui adressa un sourire fondant puis s’allongea presque sur elle, leurs poitrines se mêlant, s’apprivoisant, partageant la semence étalée sur la gorge enserrée de cuir.

Felicia jouait avec elle. Elle la huma un peu, doucement, juste hors de portée de baisers. Valeria se laissa faire tout en montrant par sa bouche entrouverte et avide qu’elle voulait un baiser. Felicia lécha le bout de son nez, comme un chat marquant son territoire. C’était ultra craquant !

« Je crains fort que notre nuit ne fasse que commencer, ma jolie…
- Ho putain j’espère bien ! »

Les mains de Valeria glissèrent sur la combinaison et attirèrent Felicia à elle, écrasant leurs seins dans le foutre au parfum ultra aphrodisiaque, pour enfin lui offrir un nouveau baiser digne de ce nom. Elle le prolongea longuement, roulant sur le lit pour tour à tour se retrouver dessus ou dessous, cherchant à découvrir le corps de la chatte sans désobéir à ce désir de ne pas la dévêtir.

C’était néanmoins frustrant, Valeria adorait tellement le contact peau contre peau. Il n’y avait rien de plus intense que partager l’électricité érotique de deux corps qui se découvraient, se trouvaient, s’apprivoisaient dans un élan de frénésie empreinte de sueur et de frissons.

Sa langue s’écarta de la bouche pour aller délicatement cueillir la semence sur la joue et suivre son parcours le long de la ligne du menton, descendre délicatement dans la gorge qui s’offrait petit à petit et dévoilait à quel point Felicia adorait sentir une langue parcourir sa peau. Peut-être qu’en descendant toujours plus bas, elle dégagerait ce que Valeria attendait ?

En l’état, rien ne pourrait arriver si elle ne dézippait pas cette combinaison.

[Félicia Hardy]

Valeria avait joyeusement joui dans la bouche de Félicia, mais croire que cela la soumettrait, la rendrait plus docile, voilà une erreur qu’il ne faudrait pas commettre ! Et ça, elle tint à le démontrer sans plus attendre à sa partenaire. Elle agit donc avec joie, et, après avoir léché le visage de Valeria, les deux femmes s’embrassèrent. Un baiser qui s’avéra intense, et s’installa dans la longueur. Valeria maintint le contact avec joie, serrant sa main sur les cheveux de Félicia, son autre main s’appuyant sur le haut de son dos, afin de plaquer son corps contre le sien. Félicia frémit doucement, sentant la verge de sa partenaire se redresser contre ses cuisses, s’appuyant contre sa combinaison. La succube avait des lèvres d’une tendresse incroyable, et Félicia ne pouvait qu’en apprécier le goût. Oh oui ! Magnifique ! Valeria donna un coup de reins, et les deux femmes roulèrent sur le côté. Félicia se retrouva dessous, une position qui n’allait pas lui déplaire, car elle en profita pour balader à son tour ses mains sur le corps de Valeria.

« Hmmm… »

Profitant de cette position, Félicia caressa d’une main la crinière de cheveux bruns de Valeria, et, de l’autre, palpa sans hésitation ses délicieuses fesses. Sa main alla pétrir ce cul rebondi, pressant l’une de ses fesses, en y imprimant la marque de ses doigts. Elle griffa même légèrement ses fesses, juste pour le plaisir de sentir le corps de Valeria se tendre sous l’effet d’une douleur bienvenue. Sa partenaire, quant à elle, faisait volontiers durer le contact buccal, prolongeant le baiser avec une passion lente et assumée. Valeria finit par rompre le baiser, et embrassa Félicia dans le creux du cou. Elle vint lécher sa peau, remuant dessus, et commença sa descente, léchant la peau de Félicia, glissant sur le pourtour de ses seins.

« Haaa… »

La fermeture Éclair de la combinaison était abaissée jusque sous le nombril, ce qui offrait à Valeria une zone suffisante à lécher. Les seins de Félicia étaient librement accessibles, mais, au fur et à mesure que l’intéressée la léchait, la Chatte commençait à avoir de plus en plus chaud. Elle disposait d’une seconde fermeture à hauteur de son bassin, permettant d’accéder à son bassin. Cependant, si Valeria cherchait à lui retirer la combinaison, elle constaterait alors vite que Félicia n’y était pas favorable. Sa combinaison la protégerait, et elle ne voulait pas s’en séparer.

« P-Prends-moi, Valeria… » gémit-elle avec impatience.

[Valeria]

La Chatte se cambrait sous les caresses et les baisers en ronronnant. Valeria « dégustait » sa gorge, ses seins, avec un appétit délicat qui lui offrait ces frissons de plaisir qui provoquaient ces cambrures régulières. Le succube lui caressait le flanc, la main entrée dans la combinaison et jouait de l’autre tantôt surs es seins, tantôt dans ses cheveux.

Elle gémit sourdement, un sourire dans la voix, quand la jeune femme lui griffa plus nettement les fesses, puis se cambra à son tour pour mieux encore les présenter à ces mains baladeuses. Elle pouvait sentir l’excitation de plus en plus intense de son amante, le feu qui se répandait en elle alors qu’il l’avait déjà fait basculer. La chaleur de son entrejambe à travers le latex était perceptible pous la queue sensible de Valeria et elle prenait un malin plaisir à continuer à la frotter contre elle afin de la rendre folle de désir.

Le temps passait, les préliminaires duraient et Felicia n’était plus que braises ardentes, mais cependant elle ne retirait pas sa combinaison. Le succube pouvait « sentir » son envie de la conserver, comme si elle devait la protéger. De quoi ? Ca, c’était un mystère que les talents de Valeria n’étaient pas en mesure de percer. Il faudrait qu’elle lui explique ou alors qu’elle trouve un moyen de lire réellement dans son esprit.

« P-Prends-moi, Valeria…
- Avec plaisir ma belle... »

Un gémissement sourd, une nouvelle reddition. Ce n’était absolument pas surprenant, Valeria aurait pu faire durer ces préliminaires des jours entiers. Elle sourit, glissa la main entre les cuisses qui s’étaient déjà ouvertes autant que possible, attrapa le zip de la fermeture-éclair et le fit glisser lentement, dévoilant une fente frémissante d’envie, déjà toute suintante d’avoir presque trop attendu. Oh oui, Felicia n’était pas si loin d’une jouissance. La tirette coulissa jusqu’à son terme, sous les fesses, suffisamment pour une sodomie en règle également, si cela devait advenir.

Valeria remonta lentement le long du ventre de la beauté à la crinière d’albâtre, le parcourant de sa langue, jusqu’à atteindre sa gorge puis son menton qu’elle suça lentement tandis que sa main guidait son gland entre les lèvres intimes.

Elle s’enfonça délicatement, léchant la ligne de sa mâchoire tout en prenant petit à petit possession de son vagin, le découvrant, l’apprivoisant car sa taille et son calibre étaient étudiés pour être « juste au maximum » de ce qu’elle pouvait encaisser.

Elle la sentit encore se cambrer, accepter l’imposition de son joug sans s’y soumettre entièrement, voulant garder sa faculté de reprendre les commandes si besoin, de participer à tout le moins. Valeria atteignit enfin le fond du vagin et se mit à presser contre les parois utérines. Elle avait encore une bonne longueur à entrer en Felicia, mais attendrait un peu, histoire de la laisser déjà encaisser ça.

Souriante, elle revint à ses lèvres qu’elle embrassa avec passion en commençant à la prendre à un rythme délicat, entendant déjà avec délices les bruts humides qui se dégageaient de ce ventre qui l’accueillait.

[Félicia Hardy]

Félicia était sous le charme de cette femme, mais pas au point de renoncer à la dernière de ses protections : sa combinaison. S’agissant d’un traumatisme latent, inconscient, il n’était pas acquis que le simple fait de lire les pensées de Félicia offrirait à Valeria un début de réponse. Ce n’était pas vraiment le genre de souvenirs qu’on pouvait gratter à la surface. Rentrer dans l’esprit de Félicia ne lui permettrait que de saisir la volonté de Félicia de ne pas se déshabiller intégralement. Pour en connaître la raison profonde, il allait falloir que les deux femmes se rapprochent suffisamment. Mais, à ce jour, la seule personne à qui Félicia avait confié son terrible secret, le viol dont elle avait été victime en étant étudiante, était Peter. Qui sait jusqu’où sa relation pourrait évoluer avec Valeria ? Celle-ci partait sur de bonnes bases, assez inattendues au vu de la manière dont elles s’étaient rencontrées. Félicia frémit doucement quand elle sentit les doigts de Valeria tirer sur sa fermeture Éclair inférieure, libérant l’accès à son vagin, mais aussi à sa porte arrière. Tout lui était délicieusement offert, servi comme sur un plateau de latex. La main de Félicia se crispa sur les cheveux de sa partenaire, et elle soupira doucement, avant de commencer à ronronner quand la verge de Valeria se rapprocha, et qu’elle put la sentir contre ses cuisses.

« Haaa… Rrrrr… !! »

La Chatte Noire soupira encore, puis sentit l’épaisse queue heurter ses parois. Son corps se crispa, et elle écarta les jambes, les frottant contre les cuisses de Valeria, qui commença ainsi à la pénétrer, à s’enfoncer en elle. Félicia ferma les yeux pour savourer pleinement ce moment, sentant son souffle lui manquer lors de la première pénétration. On rentrait en elle ! Cette sensation jouissive la fit frémir au début, ses griffes pointèrent encore, fort heureusement comprimées par le latex. Elle posa sa main une nouvelle fois sur les fesses de Valeria, et, comme pour se donner du courage, ou lui donner du courage, Félicia releva sa main, et la fessa. Elle claqua le délicieux cul de Valeria, et l’aida ainsi à s’enfoncer plus rapidement, dilatant ses parois intimes. Son souvenir douloureux de l’ESU ne la bloqua pas, et elle soupira donc, sentant les lèvres de Valeria sur les siennes. Félicia répondit avec force et envie à ce baiser, et releva ses jambes, venant alors les enrouler autour de la taille de Valeria, puis appuya dessus, comprimant son bassin, ralentissant de ce fait un peu le rythme de sa partenaire… Pour mieux la sentir contre elle !

Félicia croisa ensuite le regard de Valeria, et lui sourit doucement.

« En-Encore, hmmm… Encore !! »

Elle ronronnait encore, le plaisir l’envahissant totalement, au fur et à mesure que le membre de Valeria s’enfonçait en elle, et la prenait pleinement…

[Valeria]

Tandis que Val s’enfonçait en elle, elle sentit Felicia se cambrer doucement pour mieux l’accepter. Sa fièvre lui  donnait un appétit féroce et alors que le succube posait ses lèvres sur les siennes, elle lui claqua les fesses comme pour lui dire de ne pas se retenir.

Le baiser de Felicia était avide, plein d’un désir péremptoire et communicatif. Valeria s’appuya sur ses coudes, laissa la fougue l’envahir peu à peu et continua de s’enfoncer en elle, forçant alors le passage en obligeant le corps de la jeune femme à revoir l’emplacement de ses organes pour l’accueillir, puisqu’elle était déjà tout au fond de son utérus.

Bien peu d’humaines avaient pu encaisser ce chibre ainsi car Felicia, pour excitée qu’elle fût, n’avait pas encore entamé le coït et donc encaissait tout ça « à froid ».

Valeria entreprit de la besogner avec la même fougue que celle qui accompagnait leur baiser. Très vite, les cuisses de Felicia s’enroulèrent autour de sa taille, imprimant un rythme différent, plus lascif, plus profond. Le succube pouvait ressentir le désir de l’humaine de la sentir contre elle, en elle, d’en profiter au maximum.

Alors elle s’y plia. Leurs regards se croisèrent, Felicia sourit doucement avant que la bouche du succube ne fonde sur sa gorge pour s’en repaître.

« En-Encore, hmmm… Encore !! »

Encore une fois, elle ronronnait et Valeria trouvait ça adorable. Tandis que Felicia s’abandonnait à ce que ressentait son corps, le succube se mit à l’explorer plus avant, prenant de plus en plus totalement possession de son ventre, jusqu’à enfin faire claquer son bassin contre le bas-ventre détrempé, et jouant des mains et de la langue sur toute peau accessible pour la découvrir, la stimuler, la maîtriser, la corrompre et en faire un jouet du plaisir.

Désormais, les halètements devenaient plus intenses, se muaient en gémissements, et les peaux claquaient l’une contre l’autre tandis que de la chatte s’échappait une cyprine abondante dans des clapotis humides de plus en plus obscènes. Le plaisir montait de plus en plus, bientôt la première délivrance arriverait…

Valeria la regardait, bouche entrouverte, et, quand leurs regards se croisèrent à nouveau, laissa dégouliner de sa bouche un long filet de bave dans celle de son amante.

[Félicia Hardy]

Félicia frémit au contact de cette puissante verge. Passionnée et sensuelle, elle ne s’habillait pas de manière provocante pour rien. Le rapport de Félicia à la sexualité était des plus paradoxal, puisqu’il opposait « Félicia Hardy » à la « Chatte Noire ». La première était une femme introvertie qui, après avoir subi un viol à l’université, ne se confiait que peu, et fuyait tout rapport sexuel. Mais la deuxième était extravertie, et était tout l’inverse. Il suffisait d’une combinaison pour changer, et le changement était impressionnant. Un dédoublement de personnalité commun à bien des individus costumés, mais qui était assez ancré chez Félicia, peut-être même davantage que chez d’autres personnes comme Spider-Man. La Chatte Noiure ronronnait de plaisir, accueillant avec plaisir ce membre épais en elle. Mais, la déshabiller, c’était réveiller la « Félicia Hardy » en elle, et déclencher un blocage. Pour le reste, il fallait s’en référer à une thérapie que la Chatte Noire ne suivait pas encore. Elle se faisait en l’état prendre par Valeria, et c’était, somme toute, la seule chose qui importait vraiment.

Ronronnant chaudement contre elle, Félicia déplaçait ses jambes. Prise en missionnaire, elle ne pouvait que suivre, et elle suivait bien ! Son vagin se contractait autour de ce solide membre, cette queue épaisse et assoiffée qui remuait fortement en elle. Les coups de reins s’intensifiaient, tandis qu’elle peinait à se faire à l’idée qu’elle se faisait bel et bien baiser par une femme hermaphrodite… Et une femme sacrément membrée ! Elle avait l’endurance de Peter dans ses meilleurs jours, et cette verge épaisse la laissait pantoise. Coup après coup, Valeria balayait tout ce qu’il y avait sur son chemin, sa verge la labourant sans peine, tapant dans cette chatte humide et trempée.

« Hnnn… !! »

Sa main caressait sa nuque, crispant ses doigts griffus sur ses cheveux. Félicia gémissait, soupirait, haletait, usant donc de ses jambes, qu’elle relevait pour les serrer autour de la taille de sa partenaire, ou les écartait pour que celle-ci puisse la prendre plus facilement. Valeria avait un bon rythme, une endurance impressionnante, et, malgré sa taille de mannequin, elle écrasait avec force le corps de Félicia, ce qui était précisément ce que la Chatte aimait ! Ronronnant fiévreusement, la Chatte Noire sentit la salive de Valeria tomber entre ses lèvres. Elle gémit, et sortit sa langue, venant embrasser sa partenaire, dans un baiser fougueux et intense. Leurs langues se mélangèrent, jouant ensemble, et elle serra ses doigts sur les cheveux de Valeria, les regroupant en une sorte de chignon sauvage coincé entre ses doigts. Avec sa main libre, Félicia se mit à la fesser. Une belle claque qui résonna dans la pièce, et elle termina ce baiser humide en mordillant l’une des lèvres de Valeria, tirant dessus.

« Tu es… Tu es affamée, toi, hmmm… Ma… Ma chatte te plaît, hein ?! »

Le corps de la Chatte Noire continuait à ronronner, vibrant de plaisir…

[Valeria]

Felicia encaissait étonnamment bien le matraquage en règle de sa chatte. Valeria grognait, ahanait doucement en la martelant sans répit, faisant claquer leurs peaux tandis que son bassin épousait celui de son amante, sentant la chaleur de ce sexe malmené se répandre contre elle à chaque invasion, épouser son membre, le couvrir de ses abondantes productions gluantes.

« J’adore te sentir mouiller autour de ma queue comme ça… » souffla-t-elle sans faiblir le moins du monde.

Les cuisses de la Chatte se refermèrent plus puissamment sur sa taille, ses pieds se nouèrent dans son dos, provoquant une délicieuse étreinte. Le succube grogna de nouveau, puis embrassa avidement son amante.

Elle la regarda dans les yeux, chercha les micro-expressions de son plaisir sur son visage. Felicia n’avait jamais connu pareille queue, elle en était certaine. Et pourtant, elle s’accrochait, encaissant avec bonheur une déferlante comme elle en avait certainement rarement connu, et sans aucun doute jamais aussi longue.

Alors que la jeune femme jouait de ses jambes, tantôt les resserrant pour mieux étreindre Valeria, tantôt les écartant pour mieux se faire pilonner, le succube découvrait avec délices qu’elle était en train de prendre un sacré pied à se faire ainsi défoncer. Plus les pénétrations étaient intenses, plus elle ronronnait.

Leurs bouches se soudèrent à nouveau dans un délicieux rendez-vous, dansèrent un ballet qui se noya dans la bouche de Felicia tant il dura. Leurs peaux commençaient à se couvrir d’une fine pellicule de sueur, mais à aucun moment le rythme ne faiblissait !

Valeria augmenta l’amplitude de ses mouvements, pour bien prendre toute la mesure de la chatte qui l’accueillait, la parcourir dans son entièreté, en stimuler les moindres recoins.

Felicia lui ramena les cheveux en une drôle de masse sur la nuque tandis que de l’autre main elle se mit à la fesser. Aiguillonnée, Valeria augmenta encore un peu sa cadence et la profondeur de son invasion. Elle tapait le fond sans discontinuer à présent.

« Tu es… Tu es affamée, toi, hmmm… Ma… Ma chatte te plaît, hein ?!
- Oh oui ma belle. Ca fait horriblement longtemps que je n’ai pas à ce point eu envie d’une chatte… »

Et Felicia se cambrait sous elle sans cesser de ronronner, son corps subissait ses assauts avec la même souplesse, la même aisance qu’un chat. Par moments, Valeria se prit même à trouver chez elle des similitudes comportementales avec les furrys félines qu’elle avait déjà baisées sur Terra.

Elle glissa ses bras sous les genoux de son amante, la forçant à relever encore un peu les jambes. Ainsi dominée, les jambes bloquées, le bassin encore un peu plus présenté à la verticale, les seins calés entre les genoux et le visage en parfait prolongement, elle ne pouvait plus faire grand-chose sans user de la force.

Et c’était le but de Valeria : elle voulait l’achever une première fois avant de passer à la suite. Elle se laissa tomber en elle, lui coupant le souffle et lui arrachant une expiration rauque. Elle voulait savoir à quel point sa chatte lui plaisait ? Très bien. Elle accrocha son regard, verrouilla la position et la débâcle commença.

[Félicia Hardy]

Félicia se faisait besogner avec force par Valeria, et il fallait bien admettre que c’était bon ! Magnifique ! La Chatte Noire ronronnait de plaisir, des ronronnements qui ne mentaient pas sur tout ce qu’elle éprouvait. Elle soupirait et gémissait, tout en répondant avec envie aux baisers de la femme. Elle ignorait alors qu’elle couchait avec une succube, mais cela ne l’empêchait clairement pas de savourer ce moment. Quelle force, quel engouement ! Valeria était incroyable, et ce qu’elle faisait ressentir à Félicia ne pouvait être résumé à sa juste valeur par des mots ! La Chatte Noire prenait son pied, tout simplement ! Elle ronronnait avec joie, sentant cette verge continuer à la pilonner, à la remplir avec soif. Hum-hum, elle haletait, elle soupirait, elle ronronnait, gémissant fortement, se pressant contre elle. Valeria déplaça ses mains, agrippa ses cuisses, griffant le latex, relevant ses jambes encore. Félicia se tortillait sous elle, acceptant tout ce que Valeria pouvait lui offrir… Tout ! Aucune restriction, aucune hésitation, elle se laissait bercer par elle, grognant et soupirant. Le désir croissait, menaçant d’exploser. Sa chatte ruisselait de plaisir, et Félicia haletait encore, gémissant fortement, se tortillant sur place.

« Hmmm.. Va-Valeria, haaaa… »

Si son amante souhaitait la pousser à bout, elle en serait pour son argent ! Félicia sentait le plaisir croître, et elle accueillit avec plaisir l’orgasme. Au moment de jouir, ses mains se crispèrent sur le dos de Valeria, glissant sur sa combinaison au point de la déchirer (chose qu’elle avait déjà faite avec la tenue de Spider-Man). Son autre main donna une grosse claque sur le cul de Valeria, et griffa ensuite le lit. Elle poussa un sifflement de plaisir, bandant ses muscles sur le corps de Valeria, au point qu’elle aurait pu l’étouffer… Puis elle laissa l’orgasme l’envahir. Un plaisir immense qui déferla en elle, une vague jouissive qui l’emporta dans des monts de plaisir.

« Ohhh… »

Félicia soupira longuement, son corps s’affaissant sur place pendant toute la durée de l’orgasme, et croisa le regard énergique de Valeria.

« En-Encore, hmmm… Encore !! »

[Valeria]

Valeria pistonnait Felicia avec entrain. Le moins qu’elle pût en dire était que la chatte noire prenait un sacré pied. Elle la sentait réagir au quart de tour à chaque stimulation, chaque baiser, chaque caresse. Son corps devenait une véritable pile tant elle ressentait parfaitement ce que lui prodiguait le succube. C’était un vrai plaisir de baiser une humaine de cette trempe. On aurait presque pu la prendre pour un cas d’école tant tout s’illustrait à merveille. Tout son corps dégoulinait de plaisir, pas que sa chatte !

« Hmmm.. Va-Valeria, haaaa… »

Le succube s’enfonça encore un peu plus fort, trois, quatre, cinq fois, et l’humaine bascula. Le plaisir étendit son joug sur elle et elle jouit avec force, un orgasme violent qui trouva un exutoire autant dans son ventre que dans ses gestes. Elle lui claqua la fesse, lui laboura le dos de ses griffes acérées (peut-être aurait-elle dû garder sa combinaison, elle aussi…) et l’enserra vigoureusement entre ses cuisses musclées.

Valeria gémit sous la douleur, le sang se mit à ruisseler, mais le plaisir ressenti par son amante combla le tout et elle se régénéra aisément tandis que l’orgasme ravageait le ventre puis le corps tout entier de Felicia, jusqu’à oblitérer toute pensée consciente pendant quelques instants.

« Ohhh… »

Elle jouit longuement, crispée, resserrée, avant de finalement se relâcher et s’abandonner à la béatitude qui s’ensuivait du plaisir et laisser son corps retomber jusqu’à gésir sur le lit, magnifique poupée noire et blanche couverte d’une fine pellicule de sueur.

Son regard cilla, elle reprit  ses esprits et regarda Valeria.

« En-Encore, hmmm… Encore !! »

Encore ? Si vite ? Incroyable !

Non pas qu'elle se soit attendue à ce qu'elle tombe inconsciente non plus, mais Felicia encaissait tout de même sacrément vite !

Le succube sourit, toujours fiché au plus profond du ventre de l’humaine, et se remit à la prendre. Elle lui leva une jambe qu’elle coinça contre sa poitrine, prit un appui un peu plus élevé et s’enfonça en elle avec encore plus de poids, amenant une pression supplémentaire sur sa poitrine et son ventre. Les seins de Felicia, emprisonnés dans le carcan de sa fermeture éclair trop serrée au vu de cette position, menaçaient d’exploser. Valeria agrippa l’un d’entre eux et se mit à le malaxer avec adresse, jouant avec le téton de deux doigts habiles.

« La nuit est jeune. J’espère que tu tiendras au moins jusqu’à l’aube… »

Elle sourit, embrassa le haut de la botte puis laissa sa langue parcourir le cuir noir, aguichant du regard la beauté à la crinière blanche tandis qu’elle s’enfouissait en elle avec une ardeur décuplée.

[Félicia Hardy]

Félicia sentait bien qu’avec Valeria, les choses sérieuses allaient continuer ! La manière dont la Futanari la baisait était mémorable. Sous le charme, Félicia subissait ses assauts incessants, et elle se laissait volontiers bercer. Plus rien d’autre ne comptait que les sensations délectables des coups de butoir de sa partenaire sur elle. Une telle endurance semblait tout simplement surnaturelle… Ce qui se concevait plutôt bien, puisque Valeria, après tout, n’était pas une humaine ! Mais, en ce moment, Félicia ignorait cette facette de son amante, qui se contentait de la baiser avec force. Sa main se crispait sur ses cheveux et sur ses fesses, ciblant essentiellement ses deux zones. S’appuyer sur la tête de Valeria permettait de maintenir son amante en place, tandis que sa main sur ses fesses lui permettait de palper une zone moelleuse, tendre et ferme. Sa partenaire se relâcha ainsi en elle, et Félicia frémit, soupirant longuement. Ah, quel spectacle magnifique !

Valeria reprit ensuite sa respiration, son corps en sueur observant celui de Félicia. Le latex brillait, comme s’il était magnifié par la sueur de la Chatte Noire. Elle sourit à sa partenaire, et caressa sa joue, sentant ses cheveux mouillés se coller à sa peau. Valeria haletait, a belle peau mate embellie par ses rougeurs.

« Tu es magnifique, Valeria… »

La Chatte Noire le pensait sincèrement, et c’est donc tout naturellement qu’elle en demanda plus. Valeria sembla agréablement surprise, et acquiesça. Félicia sentit sa verge se durcir alors, et elle commença à se déplacer. Félicia était fort heureusement souple, et laissa Valeria soulever l’une de ses jambes, pour la mettre en position d’équerre. Félicia trembla quand Valeria se redressa, et malmena l’un de ses seins. Sa partenaire pinça le téton, et commença à remuer avec force, grognant et soupirant en elle. Les coups de butoir reprirent, et Valeria la nargua, lui demanda si elle pensait pouvoir tenir jusqu’à l’aube. L’intéressée gémit lentement, sa main glissant sur le drap, et elle croisa le regard de la femme, sentant son endurance, son énergie, son engouement… Sa jambe était tellement relevée que Valeria pouvait en lécher la pointe, l’embrassant doucement, faisdant frémir Félicia… Qui se remit du coup à ronronner, se tortillant doucement et chaudement sur place, très excitée par ce qu’elle subissait !

[Valeria]

A cet instant, Felicia semblait totalement conquise. Soumise au joug de cette queue qui venait de lui offrir un bel orgasme, elle contemplait le succube avec un air d’admiration affamée, comme si elle ne parvenait pas à se repaître de ce qu’elle voyait.

« Tu es magnifique, Valeria…
- Tu ne l’es pas moins, même si tu persistes à me cacher la plus grande partie de ton corps… »

Elle cessa de lécher la cheville couverte de latex et sourit, puis donna un coup de reins profond et s’enfonça au plus profond de la chatte noire, forçant les défenses utérines pour se ficher contre les parois et enfin entrer en totalité son membre dans ce corps si parfait qui l’appelait de tous ses vœux.

« Haaa… C’est… si booonnn ! »

Valeria se mit à sortir et entrer très verticalement en elle, jouant de son membre comme d’un marteau-piqueur, empalant Felicia sur le matelas avec une régularité et une rapidité étonnantes. Elle gémissait à chaque coup de reins, le souffle de plus en plus rapide.

Par moments, elle avait du mal à avaler tant elle semblait concentrée sur le plaisir qu’elle ressentait. Elle continuait cependant à malaxer et titiller le sein de son amante, à lui offrir un spectacle lingual sur le latex de sa jambe et sa botte tout en caressant cette jambe dressée et malaxant par moments durement la hanche dans son prolongement afin de laisser une part de plaisir sortir par cet exutoire-là également.

Au bout de plusieurs longues minutes de ce traitement intense, elle laissa glisser sa main du sein de Felicia le long de son ventre pour venir s’occuper de son clitoris gonflé, tandis que son présperme commençait à suinter abondamment et provoquer des bruits de succion et des clapotis parfaitement obscènes.

« Oh ! Merde ! C’est trop… »

Le regard du succube sembla s’éloigner quelque peu, comme si le plaisir oblitérait  sa conscience alors que son orgasme approchait à grands pas.

[Félicia Hardy]

Félicia constata bien vite que l’endurance sexuelle de Valeria balayait tous les records… C’était incroyable ! Même Peter, qui était pourtant bien plus endurant que ce qu’on pouvait croire de prime abord, ne parvenait à autant la tenir en haleine. Oui, il y avait chez cette succube une vigueur sexuelle tout simplement exceptionnelle, quelque chose d’impensable ! Une femme membrée qui malmenait son corps avec force, tout en déplaçant habilement ses mains. Au gré des soupirs de Félicia, elle perçut encore la remarque de Valeria concernant le fait de ne pas la laisser la déshabiller… Une remarque qui fila d’une oreille à l’autre, et qui n’émut pas particulièrement Félicia. La Chatte avait ses raisons, et, pour peu qu’elle ait daigné les dire, elles auraient été tout à fait compréhensibles. Celle-ci avait été victime d’un viol, un évènement tragique qui faisait que cette combinaison la protégeait. Avec cette combinaison, elle était la Chatte Noire. La retirer n’était donc pas si facile, et, à ce jour, même Peter n’avait pas su le faire. Mais Valeria, elle, était en train de la prendre avec une force rare !

« Haaaa… Va-Valeria… »

Parler devenait compliqué, et Félicia sentait ses griffes lacérer la couverture. Ses gants émoussaient un peu le tranchant de ses griffes, car elle prenait joyeusement son pied. C’était une danse incroyable, très énergique, où son amante se lâchait, caressant et crispant sa main sur l’une de ses jambes. Elle frottait son visage dessus, mais Félicia pouvait sentir l’excitation perler sur le visage de Valeria. Sa belle peau beige prenait des teintes rouges, et ses longs cheveux soyeux virevoltaient dans tous les sens. Valeria haletait, grognait, crispait ses mains, son corps trahissant tous les signes avant-coureurs d’un orgasme qui s’annonçait dévastateur… Et Félicia se tenait prête à recevoir cette vague orgasmique et éruptive !

[Valeria]

Le succube arrivait au bout de sa première résistance. Elle coulissait dans la chatte détrempée, sentait les divines stimulations de ses parois, ces frottements délicieux qui l’amenaient toujours plus vers le paradis du plaisir immédiat, intense, salvateur.

Les gémissements de Felicia montraient à quel point elle prenait elle aussi son pied, l’expression de son visage, la manière dont ses mains se crispaient sur le matelas, empoignaient et chiffonnaient les draps.

Malgré les gants, Valeria pouvait voir que la chatte avait des ongles incroyablement acérés et se demanda confusément jusqu’à quel point ce n’étaient pas de véritables griffes.

« Haaaa… Va-Valeria…
- Haaannnn… ggghhh… Moi aussi… Jeeeaaaahhhh ! »

Ses coups de reins, devenus erratiques depuis quelques dizaines de secondes, trouvèrent un épilogue quand elle sentit le plaisir se déclencher. Elle n’avait même pas pensé que peut-être Felicia ne voudrait pas qu’elle jouisse en elle. Elle se ficha d’un ultime coup de reins au plus profond de son ventre et libéra son plaisir en longs jets brûlants, épais et affreusement féconds. Affreusement aphrodisiaques également.

Elle vit l’expression heureuse sur le visage de la chatte quand elle jouit. Puis celui-ci se teinta de rose, la sueur perla un peu plus, son regard perdit un peu de sa vivacité. Rares étaient ses amantes qui n’étaient pas prises d’un orgasme foudroyant quand elle déchargeait ainsi son plaisir en elles.

Elle jouit longuement, comme toujours, envoyant en elle d’énormes quantités de foutre, crispée sur sa jambe comme à un mât censé l’empêcher de tomber. Puis, soupirant doucement, elle finit enfin de jouir. Un orgasme long d’une petite minute, six fois la moyenne d’un homme normal.

Essoufflée, elle lâcha enfin la jambe de Felicia pour prendre appui sur ses deux mains et la regarder bien en face, ses cheveux de jais formant une forêt autour de leurs visages, les isolant du reste du monde.

« Whaou ma belle ! Ca, c’est ce que j’appelle un orgasme. Tu es incroyable ! »

Elle se pencha, l’embrassa, s’allongea langoureusement sur elle pour savourer sa bouche et sa langue pendant que les jambes de latex de la chatte caressaient ses hanches et ses cuisses.

« J’en veux plus ! »

Elle se redressa, se dégagea de son ventre.

« Tourne-toi et mets-toi à quatre pattes… »

La levrette. Un véritable gage de sûreté et de qualité qui s’était toujours vérifié au fil des années. A moins que Felicia n’ait une contre-proposition ?