The Multiversity

[Nausica]

Ses cris me font de moins en moins peur, bizarrement, comme si la Folie me fait résister à cette peur. Mais en tout cas, les balles lui font de l'effet… mais je me rends compte qu'il grossit… quoi ?! Alors les balles d'Alecto risquent d'être plus contreproductifs qu'autre chose. En plus je vois que certains cadavres se remettent sur pieds dans un soubresaut. Bon, je crois qu'il va y avoir encore plus de morts dans tous les cas…

Attends, qui me parle ?! Alors il ne faut pas l'éliminer tout de suite… en plus c'est vrai qu'il y a quelqu'un sous ses pieds. Apparemment, il va falloir le contenir, mais comment ? Je veux bien le morceler, mais là, tout ce que je peux faire, c'est de réduire le nombre de victimes. Bon, en attendant, je regarde les cadavres qui viennent de se relever et je prends mon pistolet normal avec mon autre main.

"Vous dégagez, vous !"

Je tire sur les morts-vivants avec le pistolet normal imbibé de ma magie anti-morts-vivants, et les corps ainsi que la substance se font détruire en même temps. Mais je crois que le principal problème n'est pas encore réglé. Je regarde les hybrides qui semblent déterminés à se battre.

	"Arrêtez de vous battre, vous autres ! Vous allez plus le renforcer qu'autre chose ! Je vais me débrouiller toute seule ! Eloignez-vous et essayez de ne penser qu'au positif, en attendant !"
	"ArlEAgUrEA !!!???"
	"Silence !"

Je range mon pistolet normal et tend ma main gauche pour faire apparaître un rayon de lumière pile sur ses yeux pour l'éblouir. Je range aussi Alecto, ma lentille magique reprenant la couleur. Si la Folie ne marche pas, alors il faut que je trouve un moyen de le morceler sans tuer l'otage.

"Bon… il faut que je trouve une solution pour le morceler… ça ne va pas être une partie de plaisir."

Je serre mes mains et commence à m'entourer d'une armure magique, tout en restant calme. Une armure de mage qui me protège de la magie. Pour tenir autant debout, c'est que ça doit être une manifestation magique, alors ça pourrait servir. Je prends à la fois mon épée et ma dague, et je leur insuffle la magie électrique en espérant qu'au minimum ça les protège pendant que je fais ce que je dois faire, et quand bien même ça les ronge, je peux toujours les réparer magiquement. Il faut le diviser. C'est ce qu'il faut faire. Quitte à faire une armée de mini-trucs, ça me permettrait de tous les détruire. Je cours alors vers lui, alors qu'il est sur le point de m'attaquer, mais je parviens à esquiver et à lui trancher la main… puis deux fois le moignon. La créature hurle de ce qui ressemble à de la douleur mêlée à une intimidation, mais cette fois ça ne me fait plus rien… et j'ai l'impression que mon mental est protégé en plus.

"Je vais t'aider !"

J'entends la voix d'un chat noir qui lévite, et qui en profite pour provoquer une multitude d'ondes de chocs sur les articulations du monstre, le réduisant en plus d'un morceau… il n'est pas mort, c'est sûr et certain, mais si ça permet de le morceler encore plus, c'est bénéfique. Alors je dois profiter du fait qu'il va devoir se reconstituer pour aller vers l'otage à la queue de singe.

"Allez, on y va avant que le monstre ne se reconstitue ! Elwynn, aide-moi à la porter !"

Je vois Elwynn courir sans même hocher la tête. Elle y va vite et commencer à prendre la femme-singe avec moi pour l'évacuer pendant qu'il est encore temps, alors que les morceaux de monstres commencent à reprendre forme.

"C'est l'heure du confinement !"

Le chat noir tend ses deux bras et fait apparaître un dôme autour des morceaux du monstre, un dôme qui les repousse à l'intérieur, assez gros pour qu'ils ne soient pas forcés à fusionner, mais assez petit pour qu'il n'y ait aucun allié dedans. Elle nous a laissées le temps d'évacuer l'otage, et il va falloir trouver une solution.

	"Il va falloir faire quelque chose pour les détruire ! Je ne peux pas les contenir éternellement !"
	"J'aimerais bien, mais je risque de devenir folle si je réutilise trop Alecto, je fais quoi, maintenant ?!"

J'attends la voix qui m'aide. Il a l'air d'en connaître beaucoup plus que moi.

[Qaye Nakhsole]

Je ressens d'un coup les bras de Kamiye sur mon corps. C'est à lui d'essayer de me rassurer pour que ma fille ne soit pas en danger. Je le serre dans mes bras, espérant trouver du réconfort, malgré ses multiples hurlements que je ressens au plus profond de mon être. En tout cas, Kamiye a raison : il faut rester ici, car partir de suite serait se mettre en danger contre une créature qui nous dépasse. Je ne veux pas mourir, même par devoir... tant que je porte mon enfant.

"Tu as raison… il ne faut pas se mettre en danger inutilement..."

Je ne veux pas que notre mission échoue. Pas ici, pas maintenant. Pas pendant que l'OTL a encore besoin de sa cheffe, et pas pendant que ma fille est dans mon ventre.


Xeki et Zumarr entendent l'humaine, et ils sentent qu'elle n'a pas l'intention de tuer les esclaves. Ils peuvent lui faire confiance, au moins temporairement. En tout cas, ils regardent les autres.

"Vous avez entendu ?! Eloignez-vous ! Même toi, Spartacus !"

Ils ont suffisamment cernés Spartacus pour savoir qu'il est impulsif, au point d'être potentiellement suicidaire. Il est un très bon leader, mais il ne faut surtout pas que leur fierté les mène à la mort. Cela dit, Spartacus a déjà dû fuir pour éviter de mourir, donc il est assez intelligent pour savoir mettre son égo de côté.

"De toute façon, tu auras plus d'un combat à mener, Spartacus. En attendant, si on veut être en sécurité, il va falloir s'éloigner pendant que tu es encore accompagné de tes hommes."

Tant que Spartacus est potentiellement galvanisé par le combat, c'est lui qu'il va falloir convaincre. S'il n'est pas convaincu, il emmènerait certains de ses hommes à la mort, alors qu'ils en auront potentiellement besoin pour affronter le Roi Rouge. Après avoir tué sa femme, après avoir fui, il cherche à tous les massacrer sans possibilité de se rendre. Le manque de combattants serait dramatique, dans cet état.

[Kamiye Goupile]

Il est complètement inutile…

« Oui. Je suis content de te l’entendre dire. »

Malgré toutes les mauvaises choses qui leur arrivent, Kamiye puise de la force en lui pour sourire à Qaye.

*Même si je crève de trouille, même si je suis le plus faible de tous, je dois faire semblant. Si je peux au moins sauver cette vie innocente à naître. Oui ! *

« Il faut qu’on parte. Qu’on s’éloigne au plus loin. Il faut qu’on trouve une cachette. »

Kamiye prend alors l’initiative de serrer sa main dans celle de Qaye et de la tirer. Il ne doute pas un seul instant que si elle désire rester, elle parviendra à rester immobile. Mais il se doit d’essayer. Alors, pour l’amadouer, et parce qu’il sait que son joli visage est son outil le plus efficace : il lui sourit encore.

« Elles sauront nous retrouver, j’en suis sure. Peu importe où nous allons. Peu importe à quel point nous serons loin. Elles gagneront et nous retrouverons. Allez, allons-y. Viens, s’il te plaît. »

[Gine]

Fragmenté et emprisonné dans une bulle hermétique, le Cauchemar-Né cherchait toujours à se déchaîner. Les multiples produits de sa division forcée s'écrasaient furieusement contre les parois du dôme, le déformant de l'intérieur après chaque assaut. Certains parmi eux, qui n'avaient pas la place pour s'adonner à la destruction de leur geôle magique, s'étaient mis en tête de creuser frénétiquement le sol. D'autres se faisaient piétiner par leur paires qui ne se gênaient pas pour ensuite les absorber et grossir. Les parois de la barrière à demi sphérique vibraient sous la puissance de leurs hurlements monstrueux. Spartacus ne pouvait pas les entendre depuis l'extérieur. Ni lui ni ses hommes-bêtes qui se heurtaient sourdement à la menace morte-vivante.

- Arrêtez de piailler dans mon dos, bordel ! s'insurgea le roi des bêtes.

Il ne s'était pas retourné pour leur gueuler cette cinglante remontrance. Ses griffes meurtrières interceptèrent un de ses anciens frères d'armes passé à l'ennemi, lui détachant sa tête grimaçante des épaules. Il poussa un rugissement à la face d'un autre avant de le transformer en chair à pâtée.

- Je sais parfaitement ce que je dois faire, alors occupez vous de vos culs de gringalets !

Le chef de la résistance n'était pas idiot. Il voyait bien que le dôme n'allait pas tenir longtemps. Ce dernier, déjà tout sombre à l'intérieur, commençait d'ailleurs à se fissurer ; il avait sensiblement enflé depuis son apparition, signe manifeste que les fragments de son prisonnier en avaient repoussé les délimitations.

- Ça va céder, grinça-t-il. Reculez, bandes de dégénérés en puissance ! Ecartez-vous de ce putain de dôme !

Les plus proches lui obéirent rapidement. Ceux qui traînaient se firent tirer en arrière par leurs camarades alors même qu'ils combattaient. Enfin, les plus têtus de cette mauvaise troupe connurent une mort atroce de la main même de leurs ex frères d'armes ; les morts-vivants ne se contentaient pas de les tuer : ils les mâchouillaient vivants, partageant ce festin en un essaim morbide.

Elwynn était parvenue à arracher la Saïyajin - inconsciente - à ce guêpier. Simsy, Xeki, Zumarr et l'artilleuse se trouvaient plus ou moins sur la même ligne, soit la dernière de ce front infernal. Dans l'expectative d'une solution durable, la rousse attendait de recevoir de nouveaux conseils de cette voix qui l'avait contactée à l'insu des autres. Elle fut sans doute surprise de l'entendre, de vive voix, à quelques mètres au-dessus du groupe.

- Vous avez emprisonné le fléau et secouru la femme-singe ? Franchement, que ce soit temporaire ou non, je ne peux que vous tirer mon chapeau !

L'érudit se tenait assis sur un rocher volant, une de ses jambes à la manche retroussée pendant dans le vide. Il adressa un confiant petit sourire à l'équipe avant de balayer l'air d'un mouvement de main en direction du dôme abîmé. Soudain, d'autres rochers tombèrent du ciel, se plantant dans le sol de sorte à encercler la barrière magique dressée par la neko télékinésiste. Ces pierres étaient couvertes de symboles complexes. De grandes runes tracées avec une encre bien particulière, car luminescente comme certains champignons fluorescents au cœur de la pénombre. Il s'agissait plus exactement du sang de Yautja - un produit diablement rare, extrêmement compliqué à obtenir pour une raison évidente.

- Tenez-vous prêts à lui faire face pour de bon : je vais tâcher de l'affaiblir autant que possible pendant que je le peux encore.

Le sage s'installa en tailleur sur son trône lévitant, ferma les yeux et se plongea dans une sorte de transe au milieu de laquelle il récita de puissantes incantations à voix haute. Ces dernières se répercutaient dans l'air, résonnant en échos à travers tout le champ de bataille.
Spartacus grimaça en se tenant une oreille. Il ne se retourna pas complètement vers le sorcier, ce qui lui permit de voir les damnés que lui et ses hommes affrontaient se faire happer par des tentacules éthérés que les grosses pierres runiques avaient générés.

- Qu'est-ce qu'il est en train de nous faire encore, celui-là ?

Personne ne l'entendit. Un vent surnaturel s'était mis à souffler autour du dôme, formant comme un syphon qui véhiculait la magie ambiante. Les horreurs qui avaient réussi à en sortir par la voie souterraine n'échappèrent point à cette force d'attraction. Elles poussèrent des cris horribles avant de s'écraser contre cette nouvelle sphère tumultueuse et de disparaitre à l'intérieur. Les hybrides esclaves reculèrent davantage en voyant le phénomène ; ils n'avaient pourtant point à craindre pour leur vie, que cette lumière purificatrice n'affecterait pas.
S'ensuivit alors une explosion parfaitement silencieuse - mais prodigieusement aveuglante. Ce feu magique, qui n'en était pas un, traversa tout le monde lorsque le dôme, sous la pression, vola en éclats !
On eût dit une nouvelle naissance ; celle d'un Cauchemar qui ressemblait en tout point au premier-né, à la différence près que sur son corps d'or et d'huile étaient imprimés un nombre impressionnant de motifs éthérés. Des runes, à fortiori. Le même genre que le sage avait tracé sur ses rochers, que l'éclosion spectaculaire de son sortilège hors-norme avait vaporisés.
L'érudit rouvrit les yeux. Ils étaient d'un bleu cyan. Comme ceux de toute la troupe, à vrai dire.

- Vous voilà sur un pied d'égalité, annonça-t-il. Faites regretter au Mal Absolu d'avoir vu notre jour !

Le sort n'avait pas fait que diminuer le Cauchemar-Né ; il avait également instillé dans le cœur de tous les combattants ici présents, à travers le lien du sang, la volonté guerrière d'une race puissante et impitoyable !
De quoi permettre aux vaillants survivants d'outrepasser la peur étouffante que leur inspirait l'entité cauchemardesque.
Les hommes-bêtes, dont Spartacus en personne, poussèrent un cri de guerre à en faire trembler la terre qu'ils foulaient !
L'on aurait pu tout à fait croire que leur intrépidité suffirait à avoir raison de leur unique adversaire, mais c'était bien mal connaître sa puissance car sans le concours de Simsy, Zeki, Zumarr, Nausica et Elwynn, la Mort continuerait hélas de faucher des âmes.

[Qaye Nakhsole]

Les hybrides ont besoin de moi et auront besoin de leur fille. Surtout que cela ne fait que quelques années que je sais me battre, et que j'ai dû apprendre en autodidacte. J'ai déjà dû faire face à deux femmes très puissantes qui ont ravivé mon traumatisme, et j'aurais pu mourir... alors imaginez si j'essayais de faire face à ce monstre, ce serait tout simplement impossible.

Le combat se déroule par ailleurs plutôt bien, et j'espère que ça continue comme ça. Cela dit, Kamiye me prend la main, en m'incitant de m'éloigner. Plus on est éloignés du danger, plus on est en sécurité, donc je comprends son raisonnement, d'autant plus en sachant que Simsy peut capter les pensées des autres, alors je n'ai pas peur de m'éloigner.

"D'accord ! Avec Simsy qui peut vite nous détecter, je ne peux qu'être d'accord."

Alors je me lève et suis Kamiye... et je commence à voir qu'il y a une lumière éblouissante derrière moi, en voyant les rayons de lumière briller sur le sol.

"Qu'est-ce que c'est ?!"

C'est une situation que ne peut que me dépasser. Cela pourrait d'ailleurs renforcer ma magie des ombres parce que plus il y a de la lumière, plus l'ombre est visible, mais cela ne fonctionnerait plus si beaucoup de sources de lumière nous entourent, de sorte à ce qu'il n'y ait plus d'ombre... mais il semble que la lumière ne vienne que d'un point.


Du côté des combattants, tout le monde s'éloigne, et ils n'ont pas eu de peine à convaincre Spartacus. Il est peut-être impulsif, mais quand il sait que c'est trop dangereux pour le combat, il ordonne à ses hommes de s'éloigner. Alors, les combattants commencent à s'éloigner en sachant que la magie de Simsy ne peut pas tenir éternellement. Elle commence doucement à s'épuiser. Elle a beau devenir bien plus puissante qu'avant, sa magie psychique reste limitée.

Les combattants finissent par voir l'érudit que Xeki reconnait sans mal. C'est lui qui lui a donné cette potion qui transforme ses frères et sœurs en de véritables bêtes féroces, et nul doute que ça va être utile pour le futur, surtout en sachant qu'il a eu la gentillesse de donner la recette que Déesse pourrait appliquer.

Par ailleurs, il félicite Simsy, Nausica et Elwynn, pour avoir pu emprisonner le fléau et sauver Gine. Parmi les personnes qui peuvent voir l'érudit, seule Xeki l'a vu.

	"L'érudit ?"
	"Tu le connais ?!"
	"C'est lui qui m'a donné la potion avec la recette."

Ce que Xeki ne sait pas, c'est que Kamiye et Gine aussi l'ont rencontré. En tout cas, ils remarquent des rochers se plantant au sol et entourant la barrière télékinétique de Simsy. Tout le monde dans le champ de bataille entend ses incantations, ce qui surprend tout l'OTL.

"Mais qu'est-ce que ?!"

Elwynn est la seule à ne pas agir, comme si elle y était habituée. En fait, il semble qu'elle comprenne ces sorts instinctivement, mais elle est surprise de comprendre. C'est clairement de l'elfique, mais l'esclave ne peut absolument pas parler. Beaucoup de magies avaient essayé de lui faire retrouver sa voix, mais c'est impossible. Tout le monde voit les tentacules happer les morts-vivants que Nausica n'a pas pu détruire par sa magie qui détruit la magie noire qui les possède. Ils entendent cela dit un vent magique couvrir tout, sauf les incantations en elfique. Ce vent aspire toutes les créatures divisées avant de les faire disparaître. Tout le monde recule, sauf Elwynn qui sait rapidement qu'elle n'a rien à craindre, que cette magie ne s'applique qu'à ceux qui sont à l'intérieur.

Tout ceux qui ont regardé cette explosion ne serait-ce qu'un milliseconde reçoivent une magie spéciale qui fait bleuir les yeux qui ne le sont pas déjà… et dans le cas de Nausica, son oeil vert est devenu bleu, oui, mais pas son œil de reptile derrière sa lentille magique. C'est comme si Alecto était imperméable à cette magie, mais ça, personne ne peut le remarquer. En tout cas, tout ceux qui sont sur le champ de bataille sont galvanisés, et si Simsy a fini par céder pendant la magie, elle a repris du poil de la bête. Tout le monde crie "Oui !" à l'unisson, y compris Spartacus et ses hommes, qui s'approchent eux-mêmes du Cauchemar, mais excepté Elwynn pour des raisons évidentes, bien qu'elle s'en approche également, le chargeur de pistolet étant vidé sur un assassin. Nausica de son côté a sorti son pistolet et profite du fait que tout le monde est éloigné pour tirer sur l'ennemi, plusieurs fois dans des balles lumières électriques. C'est comme si elle avait instillé à la fois la Lumière et l'Electricité dans son pistolet. Simsy en profite aussi pour provoquer une pluie d'énergie psychiques qui blessent le Cauchemar, avant que les premiers guerriers soient trop proches pour qu'elles prennent le risque. Le Cauchemar est submergé comme il n'a jamais été submergé avant. Tout le monde a pu porter un coup à ce monstre. Ce monstre risque de ne plus être qu'un souvenir, mais cela dit bien salissant et très probablement polluant.