Elsa ne savait pas trop à quoi s’attendre avec Merlin. Elle sentit celle-ci étendre sa puissance autour d’elles. Des tentacules jaillissaient du dos de Merlin. Elsa frémit, sentant un mélange d’anxiété et d’excitation la traverser. Les tentacules s’étiraient tout autour de Merlin, recouvrant le sol, le plafond, les murs, jusqu’à les enfermer dans une sorte de cocon tentaculaire. Elsa tremblait doucement, et, avant que ceux-ci ne s’attaquent à elle, elle prit la précaution de se déshabiller intégralement. Ses vêtements valaient tout de même une petite fortune ! Elle les enleva, et finit toute nue, tout en sentant les tentacules passer par-dessus ses vêtements, les sortant de leur bulle… Ou cocon, à en juger par la forme interne de cette structure. Elsa pouvait sentir sous es pieds le contact chaud, gélatineux et un peu gluant des tentacules. En la regardant, Merlin pourrait néanmoins constater que l’excitation l’emportait sur l’inquiétude. Plusieurs tentacules s’approchèrent pour commencer de sa bouche. Celui qu’elle avait embrassé s’enroula autour de son cou, et pressa un peu, arrachant à la jeune Reine de délicieux soupirs.
« Haaa… »
Le tentacule s’enfonça ensuite dans sa bouche, et fut rejoint par d’autres tentacules. Elsa se mit à soupirer, gémissant. Une odeur assez vive et rance suintait du tentacule, une odeur qui était étrangement aussi puante qu’enivrante. D’autres tentacules se rapprochèrent. Ils s’enroulèrent autour de ses chevilles et de ses poignets, et la décollèrent du sol, avant d’écarter ses jambes. Elsa soupira, sentant également un tentacule phallique venir entre ses seins. Deux tentacules avec des bouches à l’extrémité se posèrent sur ses tétons, et commencèrent à malaxer ses seins, pressant le téton avec de multiples langues qui jaillirent de leurs pointes. Leur bouche s’était pour cela ouverte, révélant une dentition faite de tentacules plus petits, et ils se mirent à presser. La magie de Merlin ne tarda pas à agir, et Elsa gémit en sentant une forte chaleur à hauteur de ses seins. Ils gonflèrent en se remplissant d’un délicieux lait aphrodisiaque que les tentacules se mirent à pomper, et qui fit gémir Elsa, son intimité libérant sa mouille.
Merlin s’était rapprochée. La gorge d’Elsa se déforma sous les mouvements des tentacules, qui répandirent dans sa gorge un mucus lubrifiant, évitant ainsi qu’elle ne vomisse. Elle soupira, papillonnant des yeux en regardant Merlin. Impossible de parler, mais, comme elle avait affaire à une grande magicienne, Elsa s’efforça de penser, en espérant que Merlin, si proche d’elle, puisse l’entendre.
*Baisez-moi avec une grosse verge, Merlin… Ne faites pas les choses à moitié, j’ai encore des trous à explorer !*
Si Merlin avait peur d’aller trop loin avec Elsa, elle allait vite comprendre que la souveraine d’Arendell n’avait vraiment pas froid aux yeux !
« Haaa… »
Le tentacule s’enfonça ensuite dans sa bouche, et fut rejoint par d’autres tentacules. Elsa se mit à soupirer, gémissant. Une odeur assez vive et rance suintait du tentacule, une odeur qui était étrangement aussi puante qu’enivrante. D’autres tentacules se rapprochèrent. Ils s’enroulèrent autour de ses chevilles et de ses poignets, et la décollèrent du sol, avant d’écarter ses jambes. Elsa soupira, sentant également un tentacule phallique venir entre ses seins. Deux tentacules avec des bouches à l’extrémité se posèrent sur ses tétons, et commencèrent à malaxer ses seins, pressant le téton avec de multiples langues qui jaillirent de leurs pointes. Leur bouche s’était pour cela ouverte, révélant une dentition faite de tentacules plus petits, et ils se mirent à presser. La magie de Merlin ne tarda pas à agir, et Elsa gémit en sentant une forte chaleur à hauteur de ses seins. Ils gonflèrent en se remplissant d’un délicieux lait aphrodisiaque que les tentacules se mirent à pomper, et qui fit gémir Elsa, son intimité libérant sa mouille.
Merlin s’était rapprochée. La gorge d’Elsa se déforma sous les mouvements des tentacules, qui répandirent dans sa gorge un mucus lubrifiant, évitant ainsi qu’elle ne vomisse. Elle soupira, papillonnant des yeux en regardant Merlin. Impossible de parler, mais, comme elle avait affaire à une grande magicienne, Elsa s’efforça de penser, en espérant que Merlin, si proche d’elle, puisse l’entendre.
*Baisez-moi avec une grosse verge, Merlin… Ne faites pas les choses à moitié, j’ai encore des trous à explorer !*
Si Merlin avait peur d’aller trop loin avec Elsa, elle allait vite comprendre que la souveraine d’Arendell n’avait vraiment pas froid aux yeux !

