The Multiversity

[Mélinda Warren]

Avec ses milliers d’îles, le Japon disposait de ressources touristiques importantes. Il existait certaines agences qui proposaient de louer de petites îles balnéaires à des fins touristiques. Au sud du Japon, on trouvait un vaste archipel, les Îles Goto, abritant des îles plus ou moins grandes. Certaines comprenaient des ports de pêche, d’autres étaient vierges, ou comprenaient seulement une église. Des agences touristiques avaient réussi à obtenir du gouvernement japonais l’autorisation d’exploiter certaines de ses îles, en y édifiant une villa touristique de luxe, écologique, fonctionnant avec des panneaux solaires. Les fonds permettaient de financer l’entretien de cet archipel. Mélinda avait donc loué une île pour elle et plusieurs de ses esclaves, afin de s’offrir une semaine de vacances.

Parmi les personnes qui faisaient partie du voyage, il y avait l’une de ses plus fidèles esclaves de la Terre, Shii. Aussi intelligente que soumise, Shii était l’une des lycéennes les plus talentueuses de Jinmu, généralement au premier rang. Elle était initialement d’un naturel très nerveux, ce qui fit que Mélinda avait réussi à la séduire facilement. Depuis lors, Shii s’était un peu décoincée, mais restait toujours assez soumise. C’était par le biais de Shii que Mélinda avait trouvé la grande-sœur de celle-ci, Allison. Les deux étaient originaires de parents métis. Si Shii avait surtout hérité des gènes japonaises de leur mère, Allison avait hérité des gènes occidentales du père. Shii était aussi soumise qu’Allison était dominatrice. Mélinda l’avait rencontré alors qu’Allison était étudiante. Elle avait rapidement réussi à la séduire, avec la promesse d’entretenir une relation incestueuse entre les deux sœurs, et surtout celle de permettre à Allison d’assouvir ses pulsions de dominatrice. À l’université, elle se faisait déjà de petites rentrées d’argent en soumettant d’autres étudiants. Elle était une experte en kinbaku, et en domination. Son âme d’artiste l’amenait à entretenir une galerie érotique tournant autour de l’art de la domination sexuelle. Allison avait rejoint le lycée Jinmu comme professeur d’arts plastiques, un poste qui lui permettait volontiers de soumettre des élèves.

Au sein du manoir, Mélinda était la seule ayant réussi à soumettre Allison, et, généralement, elle laissait le soin à Allison de la dominer. Dans le domaine, Mélinda était très switch, pouvant aussi bien incarner la soumise que la dominante. Elle avait offert à Allison sa tenue de dominatrice, cet ensemble noir en latex brillant. La tenue avait été enchantée par l’enchanteresse du clan Warren, Décatis Cryptinna, ce qui permettait notamment à Allison de se baigner avec, ou de la porter en temps normal.

« Hmmm… Tu l’ouvres moins, hein, petite catin ? Je n’arrive pas à croire à quel point tu es perverse, hmmm… Tu mouilles pendant que je t’étrangle, ma chère sœur… Mère serait si choquée de voir à quel point Mélinda a fait de toi une salope hors concours.
- Haaaa… !! »

C’était le long d’une crique bordant la mer qu’Allison et Shii s’étaient isolées pour faire l’amour… Ce qui, avec Allison, revenait à dominer et à humilier sexuellement Shii. En l’occurrence, elle la sodomisait lentement, longuement, profondément. Prise à quatre pattes, Shii avait autour de son un collier, et Allison s’amusait à l’étrangler longuement en tirant sur la laisse du collier, ce qui serrait ce dernier. La petite soumise gémissait fortement, tout en s’approchant d’un orgasme, rougissant sous les humiliations d’Allison, qui la besognait avec force sur leur serviette. Les deux étaient indifférentes à l’eau de la plage, tandis que, à chaque fois qu’Allison desserrait le collier, elle frappait les fesses de Shii, la faisant gémir et même hurler, réclamant ensuite que Shii s’insulte elle-même.

« Tu es ma salope, Shii, ma belle petite chienne… Hein ? Dis-le, sois au moins honnête avec toi, hmmm… ! »

Qui aime bien châtie bien… Jamais ce proverbe n’avait été aussi fondé avec Allison. Et ça, une spectatrice inconnue allait vite le réaliser…

[Lyli]

Si l'eau semble si chaude aujourd'hui autours de Lyli, ce n'est pas à cause du climat tropical, ni du réchauffement climatique. L'eau est en réalité d'une température tout à fait normale, sauf pour la sirène ayant l'impression d'être proche d'une source volcanique. Serait-elle fiévreuse ? Non plus, ou du moins pas fiévreuse dans le genre malade. Lyli n'a pas la grippe non plus, ce début de saison est seulement celui des " amours " pour les sirènes. C'est durant ces périodes que les tritons ont une des rares permission d'accéder au royaume duquel Lyli fait partie. Quelques sirènes guerrière aux bonne compétences sont alors sélectionnées, et permettront de donner naissance à la prochaines génération de combattante. Pour la faire courte, Lyli est en pleine période de chaleur intense, ses désirs érotiques sont impossible à étouffer, et dans ces moments la sirène est plus... directe, plus facilement tactile, taquine... voir même un peu plus dominatrice dans l'âme qu'habituellement. A comprendre par là que si elle jette son dévolu sur une compagnonne, sa raison passera au second plan, et son comportement ressemblera plus à celui d'une sirène primaire, ne vivant que pour attirer sa proie dans ses filets.

Cette proie dans ses filets, ou du moins, dans les fantasmes de Lyli, semble déjà être toue choisit. En même temps, c'est qu'elles ne passent pas inaperçu, avec l'autre cruche qui crie ! Lyli a le temps d'entendre un brun de leurs conversation : sa sœur ? Mère serait choquée ? Et bien et bien ! Voila qui est amusant ! Chez certaines espèces dont celle de Lyli, tout le monde est " frère et sœur " que ce soit par le sang ou non ! Et ça ne pose aucun problème pour les comportements primaires...Mais chez les humains, il parait que c'est un tabou absolue. Quel perverse... elle sera parfaite.

Lyli ne s'amuse même pas à se cacher et à essayer de tendre un piège, sortant de l'eau dans son propre coin, venant par le dos de la dominatrice. C'est donc la sœur soumise qui verra Lyli la première.

Le cœur de la sirène bât la chamade, son souffle est cours, ah.. il faut vraiment qu'elle calme ses chaleurs. Mais difficile avec une telle femme devant elle. Et là, Lyli ne parle pas de la soumise, mais bien de celle qui porte une tenue en latex noire. De loin elle semblait déjà magnifique, mais de près...

- En voila une façon de traiter sa sœur...

Lyli s'annonce surtout pour capter l'attention de la belle dominatrice. Et elle ne fut pas déçue de la voir de si près. Quand leurs regards se croisent, Lyli ressent une décharge électrique parcourir son échine. Quel regards... quel beauté... ses yeux seraient capable de pétrifier un non initié sur place tel Médusa, Même Lyli est subjuguée. Ses longs cheveux noirs, ses lèvres d'un rouge carmin, et ces jolies lunettes qui encadrent son regards dominant... Lyli fond sur place, littéralement... Mais s'il n'y avait que ça, sa tenue de dominatrice en latex... avec au rendez-vous longs gants et cuissardes... Ah... ces cuissardes à talons noires qui s'enfoncent à moitié dans le sable, cela lui rappelle sa première rencontre avec Rem. C'est d'ailleurs parce que Rem n'était pas disponible, que Lyli n'avait pas comblé ses chaleurs en sa compagnie. Un mal pour un bien, pour le coup... Celle-ci par contre, ne semble pas aussi dévouée que la maid... Ca aussi, c'est assez excitant, et le cœur de Lyli s'emballe encoure plus, ses joues sont rouges...

- Pas mal le maillot de bain... c'est la collection BDSM de printemps ?

Un brun sarcastique et provocateur dans sa voix et son regards, la sirène ! Mais au moins elle pourra jauger de sa réaction là aussi. De son côté, Lyli a modelé ses écailles de manière à ce que son revêtement ressemble à un maillot de bain une pièce très moulant, comme celui des lycéennes. Son revêtement recouvre également les jambes jusqu'à la moitié de ses cuisses, et les bras, simulant comme des cuissardes et des gants, à l'image de la dominatrice. Rien n'indique que Lyli est une sirène, ou que sa combinaison n'est pas un vêtement. Ca, la sirène le cache pour le moment, garder le mystère sur son identité l'aidera surement...

[Mélinda Warren]

Au sein du harem de Mélinda, tout le monde savait qu’Allison était une dominatrice redoutable. Entre ses mains, elle vous rendait chèvres. Elle n’avait jamais eu de vues incestueuses sur sa sœur avant de rencontrer Mélinda… Ou alors, c’était Mélinda qui avait ouvert en elle des pulsions latentes, des désirs inconscients et endormis. Tout s’était réveillé, et Allison se retrouvait là, sur cette plage, à besogner et à étrangler sa sœur. Quand Shii vit Lyli arriver, elle ne put de fait parler, et se contenta de gémir, ce qui fit sourire à Allison.

« Tu te tortilles comme un poisson qu’on sort de l’eau, petite pute, c’est si bon de t’entendre couiner… L’air te manque, hein ? Tu aimerais sans doute que je desserre ma prise ? Mais quelle punition ce serait, si tu n’étais pas vraiment punie ! »

Concentrée dans son office, Allison n’entendit pas Lyli arriver, mais, quand celle-ci se mit à parler, surprise, Allison relâcha le ruban qu’elle utilisait pour étrangler Shii. Sa petite-sœur glapit, et Allison se redressa. Elle lâcha Shii, et sa sœur tomba sur le sol, couinant longuement, tandis qu’Allison regardait Lyli.

Elle rehaussa ses lunettes en clignant des yeux, une moue agacée sur les lèvres. Bien que hermaphrodite, Allison avait opté pour un strap-on noir. Son gros vibromasseur noir était brillant, lubrifiée par la mouille de Shii, tandis que, dans sa chatte et dans son fondement, deux vibromasseurs plus petits vibraient chaudement également, afin de stimuler Allison.

« Tu es qui, toi ? C’est une propriété privée, et tu ne portes pas de collier ! »

Tous les esclaves de Mélinda portaient un collier en cuir avec les initiales de Mélinda gravées sur la doublure à l’arrière, sur une petite plaque dorée : « M W ».

Shii s’était affalée sur la serviette, mais tendit à Allison la cravache qu’elle avait emmené Allison la saisit, et la posa sous le menton de Lyli, relevant la tête de cette dernière avec.

« Tu interromps une séance de correction, jeune fille. Et ce ton irrévérencieux que tu emploies ne me sied guère. Est-ce Mélinda qui t’envoie ? Es-tu l’une de ces nouvelles petites cocottes qui attendent de se faire fouetter le cul pour qu’on leur rappelle qu’elles sont tout juste bonnes à me lécher les pieds ? »

[Lyli]

Quel prestance, quel beauté. Le cœur de Lyli fait un bond puissant lorsque celle-ci marche vers elle, le latex enveloppant ses courbes, tout brillants sous les reflets des rayons de soleil. La sirène aurait pu reculer, après tout au vu de sa gestuelle, de sa façon de parler, et de son regard oh combien envoutant et excitant, il est clair que cette magnifique créature ne compte pas s'agenouiller. Lyli est pour l'instant la proie, une proie qui ne fait rien pour s'extirper de la situation. Dans sa situation actuelle, avec ses chaleurs puissantes parcourant ses veines, l'idée d'être soumise à une femme aussi magnifique ne lui semblerait pas une si mauvaise idée. De toute façon, Lyli n'a pas encore révélé être une sirène, elle pourrait la piéger plus tard, si l'occasion se présentait. Pour le moment, elle ne bouge pas, et se laisse passé la cravache au menton.

Une propriété privée, Ah bon ? moi je n'ai pas vu de pancartes !

Elle ignore volontairement le cas du collier, défiant du regards la belle durant tout le processus, ses joues largement rosies par l'excitation de ses chaleurs. Elle semble être humaine, mais dans son état actuel, Lyli ne ferait même pas la différence avec une succube ! Si elle est vraiment humaine, il est rare d'en voir lui faisant cet effet là, même un simple geste comme celui de réajuster ses lunettes est dans le creux de ses mains une invitation à la luxure. Ses lunettes qui font d'ailleurs parties bien intégrantes de son charmes, comme tout le reste de ce qu'elle porte à l'instant.

Avec un sourire un brun moqueur et narquois, Lyli penche son visage très en avant, faisant face à la belle dominatrice, au plus près. Son nez touche presque le sien, mais il n'y a pas de contact entre leurs visages. La sirène la toise, la regardant droit dans les yeux, puis lui souffle sur les lèvres en riant. Ses lèvres d'un joli rouge foncé, qu'elle aurait déjà envie d'embrasser à pleine bouche, ou de bâillonner pour faire taire son vilain comportement. Ce vilain comportement pourtant si excitant.

Dommage, tu es diablement belle, mais ce que tu as l'air chiante quand tu l'ouvre !

Voilà de quoi ouvrir les hostilités sur le comportement que Lyli va adopter ! Elle s'octroie même le droit de poser sa main contre une des belles cuissardes en latex de la jolie dominatrice. Entre ces affronts et le fait de toucher son corps sans permission, Lyli ne s'attends pas à ce que cette séduisante femme reste les bras croisés. Pas grave, c'est un peu ce qu'elle cherche après tout, mais sait elle vraiment ce qu'elle cherche, avec ses hormones affolées ? Embrumé par l'excitation et un sacré coup de foudre, n'importe quel idée lui semble bonne, tant qu'elle est liée à cette femme. Pour le moment.

Alors tu vas faire quoi ? Me punir moi aussi ? Je suis pas une fille aussi facile que cette pleurnicheuse juste derrière toi. Tu vas devoir me mériter.

Là aussi, elle ignore volontairement les questions à propos de cette Melinda.

[Mélinda Warren]

Allison arriva vite à la conclusion qu’il était impossible qu’une curieuse vienne à l’improviste. Leur petite île était éloignée des côtes, on ne pouvait pas la rejoindre à la nage depuis une autre île, et une touriste ne viendrait pas dans une combinaison aussi seyante. Allison en arriva donc rapidement à la conclusion que cette femme devait, d’une manière ou d’une autre, être liée à Mélinda. Qu’elle n’ait pas de collier était surprenant, mais il arrivait parfois de croiser des gens proches de Mélinda qui n’étaient pas ses esclaves. Des amis, des amants, ou des membres de son clan… L’idée que Lyli puisse être une sirène n’avait à ce moment nullement traversé l’esprit d’Allison ! Certes, elle savait qu’il existait des êtres surnaturels (Mélinda était après tout une vampire), mais la seule sirène de Mélinda avait une queue de sirène, ce qui n’était pas le cas de Lyli. Cette idée ne lui traversa donc nullement l’esprit, et ce d’autant plus que Lyli se montrait peu farouche. La manière dont elle dévorait Allison du regard n’échappa nullement à cette dernière. Pour reprendre un terme anglais, on pouvait dire que Lyli était horny.

Souriant sur le coin des lèvres, Allison franchit l’espace qui les séparait. Sa main gauche se posa en propriétaire sur la croupe de Lily. Sa main droite empoigna ses cheveux, et Allison alla lui voler un premier baiser. Sa main gauche pressa les fesses de Lyli, sentant ses doigts s’enfoncer dans cette combinaison écailleuse. Elle soupira, et donna une première fessée à Lyli, remontant sa main pour la rabaisser.

« Je crois que tu mérites d’être punie, oui… Habituellement, j’essaie au moins de connaître les noms des personnes que je corrige… »

Allison allait encore l’embrasser, mais suspendit son geste, et préféra mordiller la lèvre inférieure de Lyli. Elle tira dessus avant de s’écarter, et, après avoir caressé les cheveux de la femme, elle pinça le téton de son sein, qui ressortait de sa tenue.

« Mais une petite pute en chaleur comme toi portera le nom que je veux bien lui donner. Te mériter ? Ma chérie, ici, il n’y a qu’une seule personne qui mérite de se faire corriger pour son impertinence, et c’est toi ! »

[Lyli]

Une attirance presque hypnotique embue les yeux de la sirène, qui se laisse volontairement faire pour une fois. La main de la garce dominatrice mais ô combien sexy découvrira bientôt que ce revêtement en écaille n'est ni poisseux, ni luisant, mais ressemble comme deux gouttes d'eau à la tenue qu'elle porte elle même. A la fessée, la sirène exagère un peu et pousse un petit gémissement trop mignon pour être réel, jouant un peu la comédie, en rajoutant. Là ou elle n'en rajoute pas, par contre, c'est quand elle se fait soudainement embrasser avec une fougue passionnée. Ah ça, Lyli en avait embrasser des femmes, mais dans son état, et avec cette sorte de... coup de foudre si soudain ? Elle ne peut s'empêcher d'ouvrir de grands yeux et de rester pétrifiée sur place. Toute rouge et raide comme un piquet, la sirène ne se débat même pas, et se laisse dévorer les lèvres sans une seule once de rébellion, devant les yeux de sa la sœur de Allison. Tiens, elle avait une sœur ? Ah oui c'est vrai... mais Lyli la trouve bien anecdotique à côté de cette dominatrice, qui prends tous les feux des projecteurs sur elle.

Lorsque le baiser est terminé, Lyli en tremble encore d'extase, les yeux presque révulsés de plaisir. Elle aurait pu lui dire " épouse moi " que Lyli aurait dit " d'accord " sans réfléchir une seule seconde. C'est naturellement donc qu'elle se jette droit dans le second baiser... pour mieux se faire avoir et embrasser le vent. Lyli aurait bien eut envie de bouder, si elle ne s'était pas faite choper la lèvre inférieur ainsi, comme une dominatrice saisissant son trophée de chasse. Des étincelles brillent dans les yeux de Lyli, qui regarde la dom droit dans les yeux, d'un regards intense et fiévreux. Même Allison pourra comprendre que ses pupilles n'envoi qu'un seule message " je te veux " Peut-être même comprendra t-elle par cette intensité que Lyli se laisse un peu faire, qu'elle n'est habituellement pas de la trempe des soumises.

- Lyli...

Un peu par provocation, elle lui donne son nom, comme pour lui rétorquer que " non, j'ai un nom, ce sera pas celui que tu veux bien me donner " la sirène restant dans une provocation très passive. Toutefois, la belle dominatrice devra au moins elle aussi se faire corriger pour avoir oser la traiter de pute ! Alors quand son seins recouvert d'écailles au toucher de latex, se fait saisir et que son téton dur et enflé comme un dé à coudre se fait pincer, Lyli feinte d'abord un cri encore une fois trop mignon pour être vrai... avant de se jeter ses bras autours de Allison, et de la serrer fort, très fort contre elle. Le revêtement en écailles et la tenue en latex de la belle dom rentrent en contact et provoque un son de friction suffisant à faire mouiller Lyli. Elle profite de cette soudaine immobilisation et de la surprise pour à son tours déposer un bisous sur le bout du nez de Allison, un autre baiser sur ses lunettes, et puis un dernier droit sur ses lèvres rouges carmin. Bien que Lyli serre fort, en dehors de l'eau elle ait qu'elle ne pourra pas retenir Allison, et que celle-ci n'aura aucun mal à se défaire de la captivité de ses bras. Elle a juste profité de la surprise, pour la provoquer.

- Une petite fessée et un baiser, c'est ça ma punition ? Va y chérie, corrige moi ! Avant que je finisse par croire que tu n'es qu'une belle parleuse.

[Mélinda Warren]

Lyli, donc… Allison fit un bref effort de réflexion, avant d’arriver à la conclusion que ce nom lui était définitivement inconnu. Elle n’avait pas la prétention de connaître l’intégralité des esclaves de Mélinda, ou de ses connaissances. Elle restait donc partagée quant au fait de savoir d’où venait vraiment cette femme. Allison décida néanmoins de laisser cette question de côté, pour se concentrer sur l’essentiel : rappeler à cette petite écervelée que c’était elle qui dominait les lieux ! En temps normal, Allison était très abordable, elle pouvait même rougir facilement. Mais, quand elle rentrait dans le jeu, quand elle incarnait son personnage de dominante, elle devenait beaucoup plus autoritaire, intransigeante, jouant finalement à fond son jeu. Elle frémit donc quand Lyli embrassa ses lunettes, laissant surtout une belle traînée de buée dessus. Celle-ci la provoqua encore, en lui disant que de simples fessées, ce n’était pas grand-chose. Allison se pinça les lèvres devant cette ultime provocation.

*Pour être aussi farouche, c’est sûrement une invitée de Mélinda… Bon, elle l’aura cherché, elle a sali mes lunettes !*

Allison remonta sa main pour saisir le cou de Lyli, et appuya dessus, tout en pinçant plus fermement son téton.

« Tu as la langue un peu trop pendue, toi… Tu salis mes lunettes avec tes lèvres baveuses, tu me provoques quand je corrige mon esclave… Quelque chose me dit que tu es une chaudasse en manque ! Et les chiennes en rut comme toi, on les calme en les matant ! »

Shii rougit un peu, devant la voix sèche et marquante de sa grande-sœur. Celle-ci savait comment y faire pour adopter un bon ton. Elle poussa Lyli, la renversant sur la serviette de bain des deux sœurs. Shii sursauta un peu, puis Allison attrapa la sangle en cuir qu’elle avait utilisé pour étrangler Shii, et la passa autour du cou de Lyli, puis tira dessus.

« Shii ! Nettoie mes verres ! »

Shii sursauta, et acquiesça, puis attrapa précautionneusement les lunettes d’Allison. Sans ses lunettes, le regard d’Allison n’en restait pas moins acéré, même si sa vision devint plus floue. Utilisant un petit chiffon, Shii nettoya rapidement les lunettes de la femme, tandis qu’Allison tirait sur les deux côtés de la sangle, étranglant Lyli. Elle se frottait aussi contre elle, frottant sa verge en érection sur les écailles de la sirène, gloussant en la voyant remuer nerveusement sous elle.

« Tu l’ouvres moins, hein, petite pute curieuse ? Tu gigotes comme un poisson hors de l’eau… Tu me pardonneras le caractère artisanal de ta punition, nous ne sommes pas dans mon donjon, je n’ai pas les instruments adéquats pour te corriger. Vois cela… Comme un avant-goût !
- Tenez, Maîtresse, elles sont nettoyées ! »

Allison tourna la tête vers Shii, laissant sa petite-sœur lui remettre ses lunettes, puis Shii lui sourit. Les deux sœurs s’embrassèrent ensuite, pendant plusieurs secondes, jusqu’à ce que Lyli commence à suffisamment gigoter pour qu’Allison desserre la sangle.

« C’est moi, ou ça t’a excité, Lyli ? Tu es vraiment détraquée, toi… »

[Lyli]

Lyli n'aime pas vraiment se laisser faire normalement, mais cette humaine lui procure une excitation si intense qu'elle serait prête à lui obéir, ce qu'elle fait, du moins par jeu. Oui, la sirène se laisse aller à une sorte de jeu de rôle ou elle est la vilaine soumise, jusqu'au moment ou elle aura l'occasion et l'envie de reprendre son rôle principal. Dans l'eau, Alisson ne ferait pas fière allure, quel que soit son tempérament, étant une simple humaine. D'ailleurs, ça tombe bien, l'humaine enroule la sangle en cuir autours du cou de la créature aquatique, lui coupant net la respiration. ce qui donnera à Lyli l'occasion de se venger plus tard, avec les un peu près les même méthodes. Pour le moment, elle se tient calme, feintant d'avoir une once de peur en ouvrant grands les yeux, gémissant, rougissant, avec les pupilles perdues et tremblantes. En réalité, la panique n'existe même pas, et la sirène n'est qu'excité par le vilain traitement qui lui est infligé.

Gnnn... nnnn..a..arg... nnngg...

C'est ça petite sirène, serre les dents et essaye de gémir avec cette sangle en cuir enroulant ton cou, aucun son ne sortira de toute façon, avec la gorge comprimée et restreinte ainsi. La sirène s'agite, gémit, sens son cœur battre dans ses tempes au fur et à mesure que l'oxygène lui manque. Un délicieux cocktail parcours ses veines, entre l'asphyxie intense, et la sensation d'euphorie lorsqu'elle commence à planer, à voir flou. Sa langue pendouille légèrement sur le côté, avec un air satisfait et excité, tandis que le corps lui, ne peut mentir et s'agite dans tous les sens, pris de convulsion, de spasmes. Soudainement, après que son diaphragme n'ai commencé à se soulever à plusieurs reprises, comme pour implorer la maitresse qu'il fallait que la sirène gonfle ses poumons à ours prix, la pression est relâchée.

Lyli aspire de l'air et tousse en convulsant, non pas seulement par l'asphyxie et ses poumons en feu, mais également car elle vient de jouir. Jouir, seulement par asphyxie. On aurait pu croire à une masochiste n'en étant pas à son coup d'essai, et pourtant...

Ah... hyaha... ha... détraquée ? Drôle de mots, venant de la bouche d'une pute... qui se tape sa sœur en publique.

Ce qui l'excite, c'est également le fait de penser à sa douce vengeance, d'imaginer quel sera son regards une fois que les rôles se seront inversés. Gardera t-elle le même sourire hautain ? Ou aura t-elle les yeux exorbité de peur derrière ses lunettes ? implorant à Lyli de lui épargner de bien vilains jeux ? Ca, Lyli avait encore le temps de l'imaginer et de le découvrir, puisqu'elle n'avait pas encore la main sur elle.

D'autre part, la garce dominatrice avait elle aussi un vilain secret entre les cuisses. Voila qui lui faisait un point commun avec Lyli, qui n'avait pas encore activé cette particularité chez elle.

Et puis si je suis autant excitée... c'est que j'étais en train de m'imaginer quelle tête tu ferais, une fois que cette sangle sera autours de ton cou à toi... chérie.

[Mélinda Warren]

Allison la fit donc jouir. Elle avait sans doute senti instinctivement que cette intruse aimait le sexe brutal, et qui tournait aussi de la strangulation sexuelle. Ou alors, c’était un pur hasard. Allison avait des goûts plutôt variés. Tout ce qu’elle voulait, c’était dominer les autres, et elle s’adaptait aux fantasmes de ses soumis. Peu importe le flacon, tant qu’on ait l’ivresse. Strangulation, fessées, fouets, dirty talk, baise intense, Allison était comme un couteau suisse de latex et de cuir, capable de faire tout ce que ses soumis souhaitaient. Mais cette Lyli… Allison ne la sentait pas trop soumise. Non, elle sentait même en elle une potentielle rivale. Là aussi, elle n’aurait su dire en quoi. Sa tenue, ses provocations, le fait qu’elle débarque de nulle part, sans avoir peur du fait de débarquer sur une île hédoniste… Allison l’observa, fascinée par sa combinaison, la voyant mouler ses seins à la perfection. De généreux seins qui vinrent à durcir sous l’excitation, ses tétons pointant, parfaitement moulés dans cette tenue.

« Petite perverse, tu mouilles comme une cochonne en manque… C’est pour ça que tu as rejoint cette île ? Tu es une passagère clandestine qui a envie de rejoindre le harem de Mélinda ? Ma foi, je dois bien admettre que tu as… Des arguments très convaincants. »

Mélinda partageait totalement le fétichisme d’Allison, et sans aucun doute celui de Lyli. Allison se pencha vers elle pour lécher sa joue, puis ses lèvres. Elle relâchait un peu la bride de la sangle, avant de serrer encore, jusqu’à sentir le corps de Lyli se tortiller sous elle, ses mains se crisper sur son corps, pressant ses hanches, ou malmenant ses fesses. Ça, quand Lyli les palpa, Allison frémit en se mordillant les lèvres. Un autre point commun avec Mélinda : les deux adoraient l’anal. Aucune restriction là-dessus ! On aurait pu craindre qu’Allison ne serre trop, mais elle relâchait la bride à chaque fois, et souriait en voyant la bouche de Lyli s’ouvrir en grand. Elle se mettait à inhaler l’air, et finit ainsi par jouir. Ce spectacle fut particulièrement savoureux pour Allison.

Souriant malicieusement, elle en avait presque totalement oublié sa sœur, pour se focaliser sur elle.

« Diable, tu as déjà joui, ma salope, je n’ai même pas eu le temps de te pénétrer ! »

C’était vrai… Elle relâcha la sangle, et laissa Lyli se redresser, reprendre ses esprits. Allison, quant à elle, récupéra un jus d’orange de la glacière en canette, et le suçota, tout en laissant Shii venir pomper son dard.

« Pour commencer, ma chérie, nous ne sommes pas sur un lieu public. Cette île est privée. C’est toi qui débarques avec ton joli cul, ta combinaison ultra-sexy qui me donne envie de te jouir dessus pour ordonner à Shii de la lécher, et tes pulsions sadomasochistes. »

Allison évoquait sans doute un peu la suite, mais Lyli la devança. L’invitée surprise évoqua la possibilité de soumettre Allison. Celle-ci haussa les sourcils sous la surprise, avant de légèrement glousser.

« Tu n’as pas froid aux yeux, toi ! La seule personne au monde qui m’ait jamais dominé est celle qui possède cette île, Mélinda Warren. Si tu veux envisager quoi que ce soit de ce type, c’est avec elle qu’il faudra marchander… Si j’accepte toutefois de te présenter. »

Elle but encore un peu de sa canette, et tira sur la tête de Shii, libérant son sexe, un mât turgescent et assoiffé.

« J’ai une idée… Montre-moi de quoi tu es capable sur ma petite-sœur, motive-moi… Si ce que tu fais arrive à m’exciter suffisamment pour que je vienne te baiser et jouir en toi, alors tu pourras avoir une audience avec Mélinda, et plaider ta cause… »

[Lyli]

Ca avait fait son efft, même pour une dominatrice comme Lyli. Par contre, la suite des évènements et des mots de Allison firent rire la sirène. Ben voyons, elle la prends toujours pour une masochiste soumise, pour une humaine qui est venue ici dans le but de prendre cher ! Et voila que maintenant, elle lui propose un test, un test pour savoir si elle est digne d'être prise par Alice ? Cette dominatrice risque d'être bien surprise. Tout d'abord, la sirène ricanne d'un air presque idiot, laissant penser qu'elle est excitée au point d'accepter n'importe quel ordre. Oui, c'est vrai qu'elle avait prit son pied, impossible de ne le nier, mais de là à tout écouter ? Le moindre de ses ordres ? Et puis quoi encore ! Si elle la veut, qu'elle vienne la chercher ! Lentement, elle s'approche de cette soeur pour lequel elle n'avait pas vraiment d'intérêt, sa cible principale était Alice, et personne d'autre. Elle scrute de haut l'autre fille, penche la tête avec un air pensif, l'air ensuite de lui dire " j'en ai vraiment rien à foutre de toi. " Un regard dominateur et ardent, que Alice en voit pa de son angle, et qui représente la vraie nature de la sirène.

Son seul geste sera de collé son pied écailleux et moulant contre le visage de la soeur, pour la repousser en arrière, avant de se retourner vers Allison.

Pas envie. Et puis c'est pas une combinaison, ce son mes é... hu oublie, je vais pas exécuter tes ordres, vile perverse.

La sirène prends un air fier et trimphant, exposant son buste, les deux mains sur les hanches, avec un sourire satisfait et hautain.

J'ai pas besoin d'un aval d'une autre personne pour te dominer si j'en aienvie, et toi, tu n'as donc aucune personnalité ? Si cette femme te dis " ok laisse toi dominer par cette jolie rousse " tu vas juste le faire sans broncher ? AH AH AH ! Et ça se dit dominatrice, ma pauvre.

La sirène provoque ouvertement l'humaie, elle le fait exprès et en connaissance de cause !

Tu me veux ? Ben va y viens ! Mais je vais accepter AUCUN de tes ordres !

Toujours le sourire fier, Lyli s'approche puis dans un geste sournois, lui agrippe sa longue queue, la serrant entre ses mains tout en fixant Allison dans les yeux. Son autre bras, viens foueter en direction de la belle dominatrice, claquant ses cuissardes. Deux gestes que la sirène va surement payer.

Alors tu vas me faire quoi ? Olala... j'ai tellement peur de la jolie dame qui est obligée de rendre des comptes à quelqu'un de plus haut placé qu'elle ! AH AH AH je t'ai sur-estimé... peut-être que tu devrais juste accepté de te laisser faire, je m'occuperais bien de toi, puisque en réalité, tu sembles aimer ça, recevoir des ordres !

[Mélinda Warren]

*Ohlàlà !*

Shii commençait à se dire que le ton allait barder. Sa grande-sœur n’était pas un trésor de patience, et, vu la façon dont l’intruse la provoquait… Oui, ça allait barder ! Lyli la narguait, tout simplement, c’était une technique classique de soumise, feindre la rébellion pour justifier la punition ! Dans ce domaine, Shii était une experte, elle qui rougissait tout le temps, et qui passait son temps à dire à des femmes comme Ai ou sa grande-sœur, ou même sa Maîtresse, de ne pas faire ce qu’elles envisageaient. Mais, dans son sac, Shii était toujours sérieuse ! Quand Ai l’abordait dans les couloirs bondés du lycée au matin, et frottait sa queue en érection contre ses fesses en lui disant qu’elle comptait la troncher, Shii rougissait comme jamais, et, même si elle avait beau protester, elle se retrouvait ensuite dans les toilettes, et devait justifier au professeur son retard ensuite quand elle arrivait, toute rouge et gênée.

Allison se pinça les lèvres en observant Lyli.

« Tsss… On dirait que tu as vraiment envier que je te mate, toi, hein ? J’ignore qui tu es, mais tu l’auras cherché ! »

Allison agit ensuite assez rapidement. Elle gifla Lyli, et la renversa ensuite sur la serviette. Allison attrapa ensuite son fouet, et s’assit à califourchon sur Lyli, qui s’était couchée sur le ventre. Allison enroula alors le fouet autour du cou de Lyli, et tira ensuite dessus avec ses deux mains, étranglant celle-ci.

« Hmmm… Tu l’ouvres moins, ta grande gueule, là, hein ? Bordel, j’ai rarement rencontré une greluche aussi mal élevée ! Tu te pointes sur un terrain qui ne t’appartient pas, tu me provoques, tu oses m’humilier devant mon esclave ! »

Malgré sa colère, Allison maîtrisait la situation. Elle maintint cette strangulation pendant trente secondes, soit la moyenne la plus faible pour une personne non entraînée. Allison relâcha ensuite la pression de son fouet, et grommela encore.

« Tu as eu ton compte, petite pute ? Car moi, je ne fais que m’échauffer ! »

[Lyli]

Lyli sent le fouet s'enrouler encore une fois autours de sa gorge, bloquant sa respiration. Alors c'est ça, ce que ressentent ses proies habituellements, lorsqu'elles sont sous l'eau, en train de manquer d'air. Cependant, 30 secondes, ce n'est pas grand chose, Lyli est une sirène athlétique , formée au combat, et même si elle n'a pa l'habitude de retenir son souffle, ça joue sur sa cardio. Pourtant, cette douce sensation d'abandon à l'l'ivresse d'un début d'asphyxie a de quoi réchauffer so bas ventre, et la faire encore une fois mouiller. la créature aquatique s'en frotte ses cuisses l'une contre l'autre, produisant un agréable son moulant. Son regard provoquant se plonge dans celui de Allison, Lyli peut voir le reflet de son propres ourire narquois et excitée dans les lunettes de sa dominatrice.

Nnnghhh... ugh.. nffff...

A l'approche du point de rupture du fouet, Lyli commence à se cambrer et à pencher la tête en arrière. Et sa seule réponse n'est autre qu'en rire, entre deux respiration à saccadées. Même si elle fait la fière, la trace rouge sur son cou montre bien qui a l'ascendant pour le moment.

Nggfff.... c'est... c'est tout ? ah ah... Tu crois que je peux avoir mon compte au bout d'une demi seconde ? Tu n'as pas choisit ce timing au hasard hein, c'est le maigre temps qu'une salope comme toi peut retenir sa respiration, mais je ne suis pas aussi faible que toi moi !

Provocation pure, et elle en rajoute une couche en levant la tête, forçant sur ses abdos pour redresser au moins le haut de son corps, juste un peu, le reste étant écrasé par Allison. Tout ça pour la narguer d'un peu plus près. A cette distance, elle lui aurait même bien cracher à la figure, si elle savait cracher... les sirènes, ça fait pas ça !

relâche moi, je vais te montrer comment on fait... petite débutante. Tu as le look de dominatrice, mais ça suffit pas, les cuissardes et les gants. Si tu continue à être aussi redondante et faiblarde, je vais commencer à m'endormir...

Lyli guette la moindre occasion de prendre le dessus, mais pour ça, il faudrait s'approcher de l'eau ! C'est alors qu'elle a une idée. Lorsqu'une petite vague s'écrase près d'elles sur la plage, Lyli fait semblant d'être surprise et craintive, avec un petit mouvement de recul, comme si elle avait eu peur de l'eau. Elle n'en a pas trop fait pour ne pas surjouer ou éveiller le doute, mais si elle arrive à faire croire à cette catin qu'elle a peur de l'eau, alors peut-être que si Lyli continue à faire la forte tête, cette idiote essayera plus tard d'employer des moments plus forts pour la dominer... en jouant avec sa peur. Sa fausse peur du moins. Dans tous les cas, Lyli revient dans le regards de Allison, toujours narquoise, et claquant sa main contre une des cuissardes de la dom, qui est assisse sur elle. Mauvaise idée de laisser les mains libre de Lyli.

Je dois quand même admettre que t'as de belles cuissardes, salope

[Mélinda Warren]

Diable, cette intruse était une vraie tête brûlée ! Allison devait bien admettre qu’elle ne s’était pas attendue à tomber sur une telle folle ! Cette fille aux cheveux roux qui débarquait de nulle part… Elle constata néanmoins que l’étranglement ne semblait pas la déranger, ni mettre fin à son insolence. Allison était au contraire convaincue qu’elle avait trouvé le fantasme de Lyli, le point à utiliser pour la faire craquer. Que ce soit la manière dont les parois intimes de Lyli s’étaient contractées quand le fouet s’était enroulé autour du cou de Lyli, ou l’absence totale de remise en question… Elle continuait à la provoquer, comportement typique du « soumis » qui, à travers ce biais, signalait à son dominateur de pouvoir continuer son office. Allison avait une petite-sœur masochiste et vivait au sein d’une communauté comprenant beaucoup de femmes masochistes, on n’apprenait pas à un vieux singe à faire des grimaces ! Elle sourit donc quand la femme claqua ses cuissardes, près de ses fesses. Allison resserra alors la bride de son fouet.

« Oh, tu vas pouvoir les sentir de très près, sale pute ! siffla-t-elle. Tu crois que des nymphomanes comme toi, je n’en ai pas déjà maté ? J’ignore comment tu as rejoint les services de Mélinda, mais, si tu crois que j’ai peur de mater ses esclaves… J’ai toujours trouvé qu’elle était trop douce, trop gentille, surtout avec les pimbêches comme toi ! »

Allison maintint la pression, se fiant au regard de Lyli pour savoir quand s’arrêter. L’air allait nécessairement lui manquer. Pendant ce temps, Allison continuait à remuer des hanches, pénétrant Lyli. Sa verge durcissait dans sa chatte tandis qu’elle devait bander ses muscles pour maintenir la pression du fouet. Shii, de son côté, tremblait nerveusement sur place. Elle observait la scène, partagée entre un mélange de répulsion et… D’excitation. C’était elle qui avait présenté sa grande-sœur à Mélinda, et Allison l’avait dépassé dans le domaine de la perversion. Sa grande-sœur avait toujours été du genre « fausse sage ». Derrière ses lunettes et sa vie bien rangée, son côté maniaque, elle avait toujours aimé une certaine forme de sexe, le sexe par domination, par humiliation. Au sein du manoir, elle s’était épanouie, exprimant sa domination sexuelle sous toutes ses formes. Shii était autant son esclave privilégié que son assistante.

C’est ce qui amena Shii à attraper les mains de Lyli, et à les plaquer sur le sable. Elles étaient juste venues à la plage pour se détendre et faire l’amour, donc Allison n’avait pas amené tous ses instruments, mais il y avait quand même dans leur sac de plage des cordes. Shii sortit une paire de menottes de bondage, soit des menottes en cuir, moins douloureuses que des menottes en métal, et attacha les poignets de Lyli entre eux. Allison embrassa ensuite Lyli, un baiser sauvage et vorace qu’elle termina en lui mordillant le creux du cou.

« Je dois admettre que tu es très impressionnante, toi aussi… » reconnut Allison.

Elle lécha ensuite le creux du cou de la sirène, tout en voyant ses tétons se durcir, et sa queue baigner dans une chatte très humide, rajoutant à la scène une série de claquements spongieux et de bruits de claquement quand le corps d’Allison remuait de haut en bas.

« Mélinda ne m’a pas encore transformé en vampire, je suis sûre que ton corps est délicieux… »

Pendant ce temps, l’eau commençait doucement à remonter, et les vaguelettes se mirent à toucher les doigts de Lyli.

« L’eau remonte un peu, Maîtresse… fit-elle observer.
- Je compte bien faire jouir cette pute, Shii ! Je compte bien t’apprendre le respect, salope ! Tu crois pouvoir te pavaner avec ton joli cul ? Que la beauté pardonne tout ? Eh bien, tu t’es trompée, ma chérie ! »

Allison était loin de se douter que la montée de l’eau n’allait nullement déranger Lyli, et que ce serait même tout l’inverse… Mais Allison, qui ignorait qu’elle était une sirène, ne comptait pas non plus la noyer. Si l’eau remontait trop, elle laisserait celle-ci remonter un peu sur le visage de Lyli avant de la relâcher. De toute façon, Allison peinait de plus en plus à retenir son orgasme, tant sa queue était sur le point d’exploser !

[Lyli]

Et voilà qu’elle reparle de cette Melinda. Belle gueule de dominatrice, sexy comme pas permis, mais Lyli lui foutrait bien un gros morceau de scotch bien collant contre ses jolies lèvres rouges, pour la faire taire. Alisson le verra-t-elle durant son monologue ? Que la sirène roule des yeux, comme pour lui dire “ et voila qu’elle est repartie avec sa Melinda “ Elle lui lâcherait bien un “ c’est qui cette Melinda, j’en ai rien à foutre “, mais Lyli est sûre que ça aggraverait son cas. C’est sûrement parce que cette pimbêche pense que la sirène est affiliée à cette mystérieuse Melinda, qu’elle n’a pas encore été amenée à la maîtresse de cette île… Si cela arrivait, Lyli pourrait dire adieu à ses fantasmes de domination sur Alisson… c’est du moins ce qu’elle pense ? Dans tous les cas, elle décide de jouer le jeu à fond.

- Bla bla bla, Tu parles encore de Melinda, tu fais un complexe d’infériorité sur elle ? Je m’attendais vraiment à mieux quand elle m’a envoyé ici. Je lui avais bien dit à Melinda, que tu n’étais pas si effrayante. Elle m'a même dit que je devrais peut-être un peu te dresser, si j’estimais que tu n’étais pas viable.

En fait-elle trop en mentant de la sorte ? Possible, ça peut jouer en sa défaveur, elle ne connaît pas assez cette Melinda pour savoir si elle pouvait avoir ce genre de réaction ou non, mais si ça passe, ça chassera au moins le doute de l’intru sur l’ile. Elle se laisse même attacher les mains en ricanant, ne jetant même pas un regard à cette soumise. Une proie facile ? Elle n’est clairement pas dans le mood pour, alors que cette diablesse se dresse devant-elle, comme le boss final ! C’est elle, qu’elle veut, c’est d’elle que Lyli veut s’occuper.

Lorsqu’elle se fait insulter de pute, Lyli va mouiller de plus belle. Oh non, ce n'est pas à cause de l’insulte ! Seulement, Lyli en avait profité pour modifier sa tenue sans se faire voir durant ce même moment, ou Alisson était occupée à parler. La sirène fit en sorte que son revêtement écailleux et moulant comme le latex, s'étende à l’intérieur de ses parois intimes. L’intérieur de son anus comme de son vagin, était donc comme tapissait de latex jusqu’à l’intérieur… ce qui… soudainement, fit enfoncer la verge épaisse que la sirène avait déjà en elle, avec un net bruit de glissade contre du latex. Lyli est sûre que cette petite saloperie apprécie le contact. Elle se sert même de ça pour s'empaler dessus plus profondément, d'elle-même, dans un gros effort en bandant ses muscles, pour redresser un peu son buste, et toiser Alison d’un regard provoquant.

- Si ta petite salope de sœur ne m’avait pas attaché les mains, je serais bien venue te rouler une pelle, au moins t’aurais fermé ta grande bouche ah ah !

Melinda ne l’a pas encore transformé en vampire ? Ah, donc cette Melinda est un vampire hein ? Lyli doit se méfier… même si les sirènes ne se font pas vampiriser en subissant une morsure… la plupart du temps du moins, il parait que leurs sang est particulièrement délicieux et exotiques pour ces dernières. Nul doute que Lyli subirait surement des morsures, voire pire, pourrait être capturée et gardée à tout jamais pour servir de garde de manger de luxe… elle doit éviter ça et trouver un moyen de prendre le dessus ! Mais encore sonnée par les multiples étranglement, qui l’ont mené au bord du flou et de l’extase, Lyli est encore un peu fatiguée et a la tête qui tourne.


- Je me demande bien ce que je ferais de toi, quand je te collerait une belle punition. Je pourrais juste t’étrangler jusqu’à ce que ton regard de petite salope hautaine ne me supplie… Ou te foutre la tête sous la flotte pour que t’arrête de dire des conneries, avec juste ton jolie cul et tes cuissardes à portée de vue… Je suis sûre que ça ne fera pas dégonfler ton érection pour autant…

Voilà que Lyli insinue que ça exciterait cette demoiselle, de se faire prendre par Lyli, en inversant les rôles, et loin de s’arrêter dans ses provocations, sentant que cette belle dominatrice est sur le point de jouir à tout moment, voilà que Lyli fait des mouvements de vas et viens avec son bassin, et se tortille dans tous les sens en ricanant. Effet garantie, avec sa combinaison qui recouvre désormais même ses chaires intérieures.

- Je paris que tu vas jours comme une salope en rut… t’en a déjà envie hein, petite salope ah ah ! ouai… t’es qu’une petite salope en chaleur, je paris que tu vas me remplir sans arriver à te maîtriser.

Lyli se trémousse toujours en la regardant dans les yeux, provocatrice, en se laissant retomber sur le sable chaud et humide, dans lequel les cuissardes de cette jolie dominatrice s’enfoncent.

- Oui j’en suis certaines…. tu n’es pas capable de tenir une minute comme ça sans jouir, hein ? Va y, jouit, donne moi raison ! montre moi que t’es juste une petite salope en rut ah ah ah !

[Mélinda Warren]

Décidément, cette Lyli ne manquait pas de souffle ! Et elle prétendait avoir été envoyée par leur Maîtresse ? Allison ne savait pas quoi en penser. Elle savait que Atarashï Yoake abritait des créatures bizarres, surnaturelles. C’était d’ailleurs pour ça qu’Allison avait si facilement accepté l’idée de devenir l’esclave d’une vampire. Mais, contrairement à sa petite-sœur, Allison n’était pas une soumise. Mélinda l’avait d’ailleurs recruté pour ça. La vampire était entourée de soumis et de soumises, mais elle aimait aussi avoir des dominatrices avec elle. Si elle était bien officiellement sa Maîtresse, en pratique, Allison pouvait la dominer. Contrairement à elle, Mélinda était switch, elle dominait, mais elle appréciait aussi l’idée de se faire dominer. Cela devait juste rester discret. Si Allison se mettait à fanfaronner là-dessus, elle risquait d’être punie, ou, pire, bannie. Et comment ferait-elle, alors, pour punir et dominer toutes ces personnes ? Elle sentit le corps de Lyli s’assouplir, elle sentit sa verge s’enfoncer plus profondément en elle. Elle frémit en sentant les parois internes de Lyli se modifier, comme si elles se recouvraient de ses écailles moulantes.

« Hmmm… ! »

Allison soupira en se mordillant les lèvres, tandis que Lyli continuait à la narguer, fantasmant déjà à l’idée de la dominer. En guise de réponse, Allison grimaça, et gifla Lyli. Une belle claque qui résonna sur la plage.

« Si c’est vraiment Mélinda qui t’envoie, tu devrais savoir que je ne suis pas comme elle, moi. Je suis une pure dominatrice, je ne supporte pas qu’on puisse me considérer comme une soumise ! »

Les joues rougies, Allison posa sa main sur la gorge de Lyli, et se mit à serrer. L’eau continuait à remonter, atteignant les cuisses de Shii, et les cheveux de Lyli.

« Maîtresse, il faudrait…
- Je sais ce que je fais ! »

Bien sûr, Allison n’allait pas la tuer ! Elle était plus ou moins sûre que cette Lyli n’était pas envoyée par Mélinda, mais comment avait-elle fait pour venir ici ? Elle n’avait vu aucun bateau, ni hélicoptère. Avait-elle utilisé un Portail ? Allison continuait à l’étrangler. Elle avait compris que Lyli avait une bonne force. Shii, quant à elle, relâcha les bras de Lyli, pour écarter leurs affaires. L’eau remontait, et le visage de Lyli fut englouti dans l’eau.

« Ça, ça va me faire jouir… Mieux vaut que j’en finisse vite, si tu ne veux pas finir noyer… »

Allison retenait encore son orgasme. Elle relâcha le cou de Lyli, lui permettant de relever la tête pour la sortir de l’eau. Allison se pinça les lèvres. Sa queue était solide, s’enfonçant dans le vagin de Lyli. L’eau continuait à filer sur elles, Allison la sentait aussi sur son corps. Elle plaqua encore Lyli dans l’eau, et fourra aussi sa tête dans l’eau, pour l’embrasser. Avec l’eau qui remontait, Allison espérait que cette pimbêche allait enfin se calmer…

[Lyli]

Ah, les voilà à nouveau, ces mains fortes qui serrent le cou de Lyli, ces mains qui l'asphyxient…C’est bien la première fois qu’elle goûte à ce supplice dont elle est normalement la cause pour autrui. Ces gants en latex qui entravent sa respiration font rougir la sirène, sous l’effet de l’asphyxie et du plaisir. Ah, elle n'aurait jamais pensé prendre du plaisir à être dominée, mais ça, c’est sûrement car ce n’est pas n’importe quelle dominatrice non plus, en face. Pour autant son plan n’est pas de rester sage et docile tout le temps… L’eau approche, laissant miroiter à Lyli un grand espoir dans la marée montante.

Les 30 secondes sont passées, mais l’étranglement ne s’arrête pas. Tiens, elle est un peu plus énervée cette fois-ci ? Lyli grimace, entre l’inconfort du manque d’air, étrangement délicieux, mais surtout de la poigne de latex autour de sa gorge. Ben dis donc, elle a de la force quand même, pour une humaine. Et ce gros mandrin de chaire, qui vas et vient au plus profond de ses parois intime, glissant comme si l’intérieur de son sexe était tapissé d’huile, tellement les écailles “ de latex “ sont glissante. Comme ça va et vient jusqu’au fond, jusqu’au bout, les sensations sont incroyablement excitantes. De plus, après que la minute sans respirer soit passée, Lyli commença à ressentir une étrange mais salvatrice sensation… la tête lui tournait, elle haletait, la langue sortante, mais… elle aimait ça… ça ne faisait que la motiver davantage à se dandiner de droite à gauche pour bien sentir en elle la queue de sa “ maîtresse “.

Ses poumons, avides d’airs, tentaient d’aspirer une denrée désormais absente, provoquant un reflex innée du diaphragme, poussant sur les poumons pour essayer de forcer le corps à respirer. Sous chaque tentative infructueuse de respiration, son torse se cambra, sa poitrine se soulevait, et les mains de Lyli se serraient. Elle se mit alors soudainement à avoir un étrange sourire béat, et à jour tout en convulsant légèrement, étouffant, toussant. Une toux qui se transforme en une myriade de bulles éclatantes.

*Ah…. je… je ne peux vraiment plus respirer…. j’étouffe… mais c’est…. cette adrénaline… c’est…. vraiment le pied… ah ah…*

Les pensées de la sirène ne sont plus très claires, comme court-circuité, par contre, elle se rends compte d’une chose, d’une grave erreur de la dominatrice. L’eau ne va pas empirer la situation, au contraire… cette jolie dame vêtue de latex lui offre là le pire scénario possible pour elle, simple humaine…

Au début, elle fait semblant de ne pas pouvoir respirer sous l’eau, de retenir son souffle, et l’étranglement facilite la comédie. Un étranglement désormais un peu long, les yeux de Lyli commencent à un peu se révulser par moment, à cligner de manière plus sporadique, alors que son corps est soudainement secoué de spasmes, les spasmes d’un orgasme puissant… Ooops, elle a cédé avant l’humaine, c’est déjà son deuxième orgasme, qui en plus d’éclabousser de partout au fond de l’eau, ne fera que lubrifier encore ses parois en écailles.

Quand elle la laisse enfin respirer en lui sortant la tête de l’eau, Lyli prend une longue respiration sifflante et presque orgasmique.

- Uffffffhhhh ! Ah…. AH…. ouf…. pfiou…. ufh… ufh…. c’est si bon…. de res….pirer…. ah ah… tu m’as vraiment faite.. suffoquer…. vilaine …

Ah, plouf ! même pas le temps de bien reprendre son souffle à fond, mais pas grave, Lyli fait juste semblant maintenant, puisque les mains ne l’étranglent plus, elle peut en réalité parfaitement respirer, jouant juste la comédie en prenant un regard de chien battu, qui semblerait lui dire “ pitié, ne me noie pas “ gonflant ses joues… mais riant intérieurement… Car Alisson se jette d’elle même dans la gueule du loup, venant mettre sa tête sous l’eau, embrassant Lyli qui répond avec joie au baiser. Elle l’embrasse sans aucune panique, puisqu’elle peut respirer, répondant à ce baiser d’une façon si gourmande qu’on aurait dit, l’espace d’un instant, un baiser totalement consentant entre deux amantes en osmose.

Son rouge à lèvre, d’un rouge sombre et ténébreux, offre une texture si délicieuse à ses lèvres que Lyli pourrait les dévorer ainsi durant de longues minutes… En parlant de minute, le temps pour la dominatrice est compté, les poumons humains ne pouvant respirer sous l’eau. Alors lorsque Lyli sent la belle humaine ténébreuse vouloir remonter vers la surface, Lyli l’en empêche.

Premièrement, ses cuisses galbées et puissantes s’enroulent autour de la belle, pressant avec fermeté le bas de son dos, lui coupant une retraite classique. Elle pourrait encore à ce stade, user de sa lucidité pour garder son corps sous l’eau mais juste relever sa tête et respirer, mais, Lyli, avec cette étreinte, va faire un mouvement de corps digne d’une murène qui se serait enroulée autours de sa proie, prête à tourner sur elle même comme une torpille pour briser sa proie. Avec ce mouvement de bassin, elle renverse donc Alice, la faisant tourner 2 ou 3 fois sous l’eau, comme dans une machine à laver ! fermement retenue par ses cuisses. Ca aurait été bien plus facile avec les mains libres, mais bon… elle n’est pas forte au point d’exploser des menottes, non plus.

- Bloup… bloup… c’est ce que tu espérais entendre sortir de ma bouche ?

Comme Lyli l’a accompagné sous l’eau, Alisson pourra alors comprendre que Lyli est une créature marine et non une humaine. Elle la laisse ainsi se débattre, si elle le souhaite, en la laissant privée d’oxygène, lui rendant brièvement le baiser. Lyli remonte alors à la surface…. il reste un problème à régler.

- Et toi, la fille totalement effacée, vient par ici !

Lyli fait en sorte, tout en gardant la dominatricfe entre ses cuisses, captives, et en usant de sa différence de force sous l’eau, à tout de même relâcher un peu de pression pour que cette vilaine peste puisse sortir la tête de l’eau et respirer. Bonheur qui sera de courte durée.

- Quant à toi ma belle… tu t’es bien occupée de moi… alors je vais devoir te rendre la monnaie de ta pièce, on va voir combien de temps tu peux retenir ton souffle… Je te laisserais respirer quand tu m'auras offert ton plus beau regard me suppliant.

Puis plouf, Lili qui a inversé la vapeur, est assise sur le ventre de la dominatrice, la regardant à travers la surface, la narguant de son regard désormais hautain, déformé par la surface de l’eau. Son gros mandrin toujours en forte érection, frotte contre le haut des fesses de Lyli.

- Allez du nerf Shi ! C’est bien ça ton nom hein ? Viens ici. Tu vas me retirer ces menottes que j’ai dans le dos, et tu ne vas rien faire de suspect comme appeler de l’aide ni quoi que ce soit ! Si tu fais la moindre chose suspecte… j’appuie de toute mes forces sur le ventre de ta salope de sœur, avec mes jolies fesses, de quoi lui faire boire une sacrée tasse. La noyer ne me dérange pas, vos règles humaines ne sont pas les miennes. Mais je te promets de ne pas la noyer, si tu es obéissante.

Mensonge bien sure, Lyli ne tuerait pas une mouche ! Elle serait incapable de tuer par noyade cette humaine, Par contre, sa soeur de vrait se dépêcher, si elle veut pas que sa soeur ne reste trop longtemps à s’étouffer ! Si Shi vient exécuter l’ordre de Lyli, elle pourra ainsi voir sa pauvre soeur d’habitude si dominatrice, dans une situation bien inconfortable. La sirène se demande déjà si instinct de survie de la belle dominatrice à lunettes sera plus fort que sa fierté, si elle lui offrira ce regard de petite chienne soumise pour respirer, ou si elle gardera jusqu’au bout sa mentalité. Lyli recommence déjà à mouiller en s’imaginant tout ça, tout en continuant d’observer Alisson sous l’eau, comptant dans sa tête pour voir ou sont les limites de cette belle dominatrice. Elle a hâte d’avoir les mains libres, et de parcourir ce corps, cette tenue si érotique…

[Mélinda Warren]

Allison se mit à jouir en embrassant Lyli, et soupira doucement. Elle se relâcha avec force, sentant avec délectation la vague l’emporter. Quant à son invitée surprise, Allison ayant les poumons pleins d’oxygène, elle lui offrit de l’air avec ce baiser. C’était une technique qu’elle aimait bien pratiquer avec l’asphyxie sexuelle. Elle pensait alors se retirer, et revenir à la villa pour en savoir plus sur cette femme… Mais sentit alors les jambes de Lyli s’enrouler autour de sa taille. Allison écarquilla les yeux sous la surprise, et se retrouva ensuite couchée au sol. Shii poussa un cri. Lyli chevauchait Allison, l’empêchant de partir. Allison avait beau poser ses mains sur les hanches de la femme, elle semblait aussi solide que du béton !

« M-Mais… Mais qu’est-ce que… ?! »

Allison devait relever le visage pour pouvoir voir Lyli, sentant l’eau remonter encore. La sirène intima ensuite l’ordre à Shii de venir lui retirer les menottes. Shii, qui tremblait nerveusement, hocha la tête.

« N-Ne faites pas de mal à ma sœur… !
- V-Va prévenir les autres… »

Shii secoua la tête. Elle se rapprocha nerveusement de Lyli en tenant son sac. Elle en sortit la clef, et la posa sur la serrure des menottes. Malheureusement pour Lyli, Shii sortit aussi de son sac un taser, et le planta dans le dos de la sirène, puis appuya.

« Tu crois qu’on ne se protège pas ? J’ignore qui tu es, mais c’est notre Maîtresse qui va s’occuper de toi ! »

Toute sirène qu’elle soit, avec l’eau sur son corps qui allait amplifier l’électricité, la sirène ne put que basculer dans les pommes…

---

Ce fut un seau d’eau froide qui réveilla Lyli. Celle-ci émergea en étant attachée à une croix de Saint-André. Elle n’était plus sur la plage, mais dans une cave, un donjon sadomasochiste. Allison était là, fronçant les sourcils, les cheveux encore humides. C’était elle qui avait jeté le seau d’eau. Lyli avait un gag ball sur les lèvres, et un collier en cuir avec des pointes. Et, face à elle, les sourcils froncés, une sorte de poupée fatale l’observait. Mélinda Warren se tenait là, assise sur un fauteuil. Elle avait troqué sa robe dorée pour un body moulant en latex, avec des gants et des bas-résilles.

« Hum… Tu as émergé plutôt vite… Tu es donc bien une sirène…
- Elle a menacé de me noyer !
- Oh, je ne crois pas qu’elle était sérieuse… »

Mélinda se redressa, et se rapprocha de la sirène. Elle posa ses mains sur les cuisses de Lyli, venant les caresser doucement, ses griffes étirant ses gants pour glisser sur ses écailles.

« Je m’appelle Mélinda Warren, et j’ai réservé cette île pour une semaine de détente avec mes charmantes esclaves. Et toi… Toi, si tu faisais partie de mes amies, je le saurais. Une telle bombe sexuelle, ça ne s’oublie pas ! »

Lyli ne pouvait pas encore parler.

« Je n’aime pas spécialement qu’on agresse mes protégées, tu sais… Mais, tu vois, une sirène bipède qui aime jouer les dominatrices, avec une tenue verte écailleuse, des cheveux roux, et qui connaît la Terre, ça ne court pas les rues. Une très précieuse amie à moi m’a une fois parlé de ses aventures avec une sirène, une sirène qui l’a aidé à la guérir de son aquaphobie… Et, ô hasard, cette sirène s’appelle Lyli. Tu vois de qui je parle ? Une blondinette avec des gros seins ? Une fausse prude très perverse… Une certaine… Alice ! »

Mélinda sourit ensuite, un sourire étincelant, renforcé par ses magnifiques yeux verts.

« L’eau renforce tes capacités, tu peux déchirer tes liens… Je t’invite à le faire, ma jolie. Sache que ce collier peut t’électrifier, si jamais il te prend l’envie de fuir… »

Mélinda retourna s’asseoir sur son fauteuil, et croisa sensuellement ses jambes. Au centre du donjon, il y avait un confortable canapé en cuir. Tout le donjon était aménagé avec du latex, étiré sur les murs, le sol, le plafond.

« Je t’offre mon hospitalité, Lyli, et je tiens à te présenter mes excuses pour la réaction de Shii. Elle a eu peur que tu cherches vraiment à noyer sa sœur, tu sais… Il faut dire que tu as débarqué un peu à l’improviste, et que tu as prétendu être envoyée par moi… Donc, j’ai envie de dire qu’on est toutes quittes. Alors, si on repartait sur des bases saines ? »