Les mots de Carol étaient à la mesure de ce que la Saïyajin éprouvait pour elle. Cette attirance réciproque différait de celle que les deux femmes ressentaient à l'égard de Poison Ivy. Cette dernière possédait un don incroyable. Un pouvoir attractif si puissant qu'il pouvait attirer n'importe qui dans ses filets ! Ce qu'il se passait entre Carol et Gine n'était pas pareil. Les spores ne jouaient pas un rôle primordial dans leur chaude proximité.
Carol disait ne pas avoir anticipé la chose, et cela se voyait à l'expression qu'elle arborait.
- Je... ne m'y étais pas attendu non plus.
Il n'y avait rien de grave à cela, pourtant le cœur de la femme à queue de singe battait un petit peu plus vite qu'à l'accoutumée.
Ce « stress » n'était en rien mauvais. Gine l'accueillait entre ses bras aussi facilement qu'elle répondait à leurs baisers. Ceux-là avaient beau se répéter, s'enchaîner, chacun d'eux lui paraissait unique et essentiel.
Ce moment avait quelque chose de magique aux yeux de Gine. Une magie tendre, douce et saine qui n'avait absolument rien à voir avec celle à laquelle elle avait été confrontée en combattant le Shantak.
Une magie naturelle, relative à ses sentiments les plus profonds.
- C'est incomparable.
Déclaration libératrice !
La Saïyajin lui glissa un sourire énamouré.
Elle avait finalement pris conscience de ses sentiments véritables, dirait-on.
Quand ils ne s'y cramponnaient pas sous l'afflux du plaisir, ses doigts caressaient l'épiderme merveilleux de la super-héroïne à nul autre pareil.
- Tu crois que je suis tombée amoureuse ?
Une interrogation pour le moins cocasse.
Gine l'avait questionnée, tout à l'heure, sur ses sentiments pour Pamela. Carol lui avait répondu qu'elle n'était pas amoureuse de la mutante, qu'elle avait tout simplement renoncé à résister à ses pulsions sexuelles impliquant la faiseuse de spores. Un désir charnel dénué de cet amour véritable.
Ici, la Saïyajin vivait tout autre chose. Et elle avait commencé à effleurer l'idée impossible que Carol aussi.
- Est-ce que tu le penses aussi ?
Toujours proches, leurs lèvres aimantes demeuraient en suspens.
Gine, qui entendait son sang cogner entre ses tempes, s'efforçait de ne pas se tortiller, de rester presque totalement immobile entre les bras de la blonde. Même si des papillons s'agitaient dans son bas-ventre. Même si le désir lui intimait d'inonder Carol de son trépignant amour.
Carol disait ne pas avoir anticipé la chose, et cela se voyait à l'expression qu'elle arborait.
- Je... ne m'y étais pas attendu non plus.
Il n'y avait rien de grave à cela, pourtant le cœur de la femme à queue de singe battait un petit peu plus vite qu'à l'accoutumée.
Ce « stress » n'était en rien mauvais. Gine l'accueillait entre ses bras aussi facilement qu'elle répondait à leurs baisers. Ceux-là avaient beau se répéter, s'enchaîner, chacun d'eux lui paraissait unique et essentiel.
Ce moment avait quelque chose de magique aux yeux de Gine. Une magie tendre, douce et saine qui n'avait absolument rien à voir avec celle à laquelle elle avait été confrontée en combattant le Shantak.
Une magie naturelle, relative à ses sentiments les plus profonds.
- C'est incomparable.
Déclaration libératrice !
La Saïyajin lui glissa un sourire énamouré.
Elle avait finalement pris conscience de ses sentiments véritables, dirait-on.
Quand ils ne s'y cramponnaient pas sous l'afflux du plaisir, ses doigts caressaient l'épiderme merveilleux de la super-héroïne à nul autre pareil.
- Tu crois que je suis tombée amoureuse ?
Une interrogation pour le moins cocasse.
Gine l'avait questionnée, tout à l'heure, sur ses sentiments pour Pamela. Carol lui avait répondu qu'elle n'était pas amoureuse de la mutante, qu'elle avait tout simplement renoncé à résister à ses pulsions sexuelles impliquant la faiseuse de spores. Un désir charnel dénué de cet amour véritable.
Ici, la Saïyajin vivait tout autre chose. Et elle avait commencé à effleurer l'idée impossible que Carol aussi.
- Est-ce que tu le penses aussi ?
Toujours proches, leurs lèvres aimantes demeuraient en suspens.
Gine, qui entendait son sang cogner entre ses tempes, s'efforçait de ne pas se tortiller, de rester presque totalement immobile entre les bras de la blonde. Même si des papillons s'agitaient dans son bas-ventre. Même si le désir lui intimait d'inonder Carol de son trépignant amour.

