The Multiversity

[Leona Morimoto]

Quand les lycéens étrangers arrivaient au lycée, ils avaient le droit à un programme très spécial. Habituellement, on envoyait un bus pour chercher les lycéens, mais le lycée Jinmu était géré par une fondation, et avait donc des fonds importants. Ce fut donc une limousine qui alla chercher Maud et les autres élèves à la gare d’Atarashï Yoake. Ils purent rejoindre le lycée Jinmu, où un pot de bienvenue les accueillit. La jeune Maud apprit à cette occasion que son élève-tutrice n’était autre que Leona Morimoto. Elle avait appris en effet que le lycée offrait à chaque élève étranger l’assistance d’un élève sur place, un « tuteur ». On leur avait aussi appris que, au Japon, on évitait le contact physique, car le contact physique était réservé à l’intimité. Leona se faisait fort de bouleverser les codes, car elle fit la bise à Maud.

Leona lui expliqua sommairement qu’elle était la bienvenue ici, et qu’elle était la Présidente du Club social de Jinmu, le club historique du lycée. Leona conduisit ensuite Maud à sa chambre, au sein du dortoir du lycée. Une chambre individuelle moderne. Elle put donc s’y installer, et reçut le premier élément étonnant quelques temps après.

On glissa une enveloppe sous sa porte. L’enveloppe comprenait un faire-part émanant du Club social avec une clef USB rose :

Petit cadeau pour toi, Maud ♥

Maud l’ignorait, mais sa chambre était sous étroite surveillance. Des caméras cachées étaient reliées à un poste de contrôle de l’Arcadie, le manoir gigantesque des Morimoto. La clef USB comprenait une vidéo retranscrivant une cérémonie au sein du Club social, où Maud put voir une somptueuse orgie dans l’un des grands salons de l’Arcadie. Des amants masqués et portant des tenues sensuelles faisaient l’amour avec vigueur, adultes comme adolescents. Et, au milieu de cette orgie, Maud pourrait voir une superbe femme blonde en tenue moulante avec un masque se faire prendre par un gros chien. La vidéo durait bien une heure, et cette femme ressemblait furieusement à Leona.

Leona sourit en voyant Maud se masturber vigoureusement devant ce spectacle, une fois l’appréhension initiale passée. Elle croqua sa pomme tandis qu’un professeur léchait sa chatte.

« C’est parfait… Elle est à l’image de ce qu’on sait d’elle. »

Maud Dorwell devait initialement rejoindre un lycée de Kyoto, mais avait appris que son dossier était finalement transféré au lycée Jinmu. Entre les deux, les pirates informatiques de Leona avaient enquêté sur les profils des élèves du programme scolaire. Le profil de Maud avait été relevé, et Leona avait pu accéder à son historique Internet. Elle avait alors vu que l’élève était une perverse incroyable, qui avait contourné le contrôle parental pour regarder du porno hardcore. Leona avait donc décidé de la faire venir, et avait organisé toute cette soirée rien que pour être avec Maud.

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Le lendemain de cette soirée, Maud avait droit à une journée d’intégration. Leona devait lui présenter le lycée. Le matin, elle eut droit à un examen médical impliquant un test de dépistage. L’infirmière la prévint que, avec le décalage horaire et le produit utilisé, Maud allait dormir quelques minutes. Ce délai permit ainsi à Leona et à son infirmière d’examiner les parties intimes de Maud et de constater qu’elle était vierge.

Leona adapta sa journée en conséquence. Elle passa toute la journée à tenir la main de Maud, qui put voir Leona être très tactile avec d’autres personnes. Elle mettait régulièrement des mains aux fesses, faisant rougir les femmes qu’elle pelotait, qui l’appelaient « Leona-sama ». Quand Maud s’éloigna de Leona pour aller aux toilettes et revint, elle put voir Leona embrasser vigoureusement une surveillante contre un casier, pressant ses fesses, avant de la relâcher rapidement.

Pour ne rien arranger, Leona avait mis sur elle un parfum spécial, très aphrodisiaque, que Maud inhala donc pendant plusieurs heures. Lors de la pause-déjeuner, Leona la laissa seule, curieuse de voir jusqu’à quel point elle allait se masturber, et si elle allait penser à elle.

Pour l’après-midi, Maud aurait droit à son premier cours, en compagnie de Leona. Les journées finissaient souvent tôt, vers 15h, pour laisser le temps aux élèves de participer aux activités extrascolaires. Leona retrouva donc Maud à la sortie du réfectoire, et attrapa à nouveau sa main. L’effet de son parfum diminuant avec le temps, Leona en avait naturellement remis. Maud dut donc passer une heure à côté de Leona, à supporter son odeur, et la manière très étonnante dont Leona fonctionnait. Elle sortait son téléphone portable en plein cours, sans que le professeur ne lui dise rien.

Leona montra alors à Maud une image de son chien, et elle put reconnaître le chien qu’elle avait vue sur la vidéo de la clef USB hier soir.

« Vous, les Anglaises, vous aimez bien les chiens, non ? Lui s’appelle Fox. Comment tu le trouves ? »

[Maud Dorwell]

Cette année au Japon promettait dores et déjà d'être bien plus...exotique que ce à quoi Maud s'était attendue. Tout avait commencé à son arrivée, à l'aéroport avec juste ses valises et son sac à dos, lorsqu'on était venu la chercher en limousine, pour l'amener de Tokyo jusqu'à Yokae. Là, on lui avait expliqué que pour des questions administratives, son dossier avait été transféré à un tout autre lycée, mais que tout avait été organisé en amont pour qu'elle n'aie aucun problème. Soit, tout ceci était un peu anxiogène en l'ajoutant au stress qu'il y avait à s'installer dans un autre pays que le sien, mais elle avait fait avec. Maud s'était alors retrouvée en présence d'une certaine Leona Morimoto, qu'on lui avait alors présentée comme étant sa "référente", soit celle qui lui servirait de guide durant les premiers temps de sa scolarité ici. Voilà une chose qu'elle avait beaucoup appréciée, elle avait même été surprise que cette Leona aille lui faire la bise en bienvenue, allant à l'encontre des codes sociaux plus stricts du Japon, mais bon, ce n'était pas Maud qui allait s'en plaindre.
Maud avait un peu eu l'occasion de discuter avec Leona, même si les échanges restèrent plutôt formels car il y avait beaucoup à assimiler. Le soir venu, Leona lui avait montrée sa chambre d'internat, et Maud avait enfin pu se poser et organiser ses affaires en dehors de ses valises. Puis, c'était alors qu'elle avait enfilée son pyjama pour aller dormir, car le décalage horaire faisait pleinement effet, qu'elle eût la surprise de voir une lettre être glissée sous le pallier de sa porte. Curieuse, mais prudente aussi, elle l'ouvrit, en y voyant un carton d'invitation pour le Club Social, dont Leona lui avait déjà parlée en mentionnant être sa présidente.
Préalablement, Maud avait allumée son ordinateur portable, et avait fait quelques recherches internet pour se renseigner sur elle. Elle avait ainsi appris que Leona n'était...vraiment pas n'importe qui, au point que c'en était même à se demander ce qu'une des héritière d'une famille aussi riche faisait dans un lycée, et surtout, pourquoi elle était sa référente. Mais, encore une fois curieuse, elle avait glissée la clef USB, pour en voir le contenu, une unique vidéo qui semblait faire une bonne heure et...et elle fût heureuse que de base, elle gardait le volume de son PC en muet.

What the Fuuuuuck ?!?!

Maud avait écarquillée les yeux et ouvert la bouche en grand quand la vidéo se lança, immédiatement, sur un amalgame de corps, féminins comme masculins, la plupart portant des tenues diverses, en train de copuler. Une véritable orgie, mais l'aspect qui mis Maud vraiment à l'amende, ce fût bien évidemment le passage avec le gros berger allemand qui était en train de prendre en levrette quelqu'un. Maud resta décontenancée pendant un long moment, alternant en visionnage de la vidéo et le carton d'invitation, ne sachant trop quoi faire avant que...trop ne soit trop.
Elle avait alors vérifiée que sa porte était bien verrouillée, puis avait connectée ses écouteurs au PC...et s'était finalement mise nue pour se masturber.

Hnnnn....H-haaaaaa...

Dire que Maud avait "peu" dormie cette nuit était un euphémisme, et à dire vrai le lendemain matin, elle tenait exclusivement du fait des résidus d'excitation de ce qu'elle avait vue hier soir, et de ce qui pouvait en découler. Lorsqu'elle rejoignit Leona, cette dernière lui refit la bise, puis l'accompagna à son examen médical. Peu prompte sur le moment à faire preuve d'esprit critique, elle ne discuta pas la présence de Leona à ses côtés, pas plus que le fait que le produit qui allait être utilisé sur elle allait la mettre K.O pendant une poignée de minutes. Ainsi, durant cet examen gynécologique, Leona aurait eu une vision premium sur la chatte de Maud, qu'elle gardait soigneusement épilée, ainsi que de son hymen intact. Pour Maud, ce fût juste une petite sieste rapide, à l'issue de laquelle son examen médical continua normalement. Juste après toutefois, pour le reste de la journée, Leona insista à lui tenir la main comme si elles étaient les meilleures amies du monde...ou petites amies. Maud gardait à ce stade ses pensées pour elle même, mais plus elle passait de temps en compagnie de Leona, et plus...son imagination lui jouait des tours. Elle se sentait concrètement très excitée en sa présence, un peu intimidée aussi maintenant qu'elle avait un peu de background sur elle, et puis il y avait tout ce qui tournait autour d'elle. Maud voyait Leona poser des mains aux fesses en toute impunité ici, semblant presque...posséder bon nombre de personnes dans cet établissement.
Et puis, il y avait aussi le fait que Maud ne pouvait s'empêcher de penser que cette jeune femme blonde masquée, qu'elle avait vu dans la vidéo se faire prendre par le chien, et sur laquelle elle s'était masturbée pendant...un long moment, lui ressemblait quand même beaucoup...

*Je peut même pas envisager d'aborder la question...comment je l'explique ça ?*

Cette journée fût un calvaire de frustration et de teasing, auquel Maud avait l'impression qu'elle n'avait d'autre choix que de subir. Elle avait la distincte sensation d'être dans l'étreinte d'une "prédatrice" qui l'avait choisie comme étant sa proie, la distincte sensation que ne pas être dans les bonnes grâces de Leona allait lui rendre la vie impossible, alors elle semblait bien se soumettre dores et déjà à elle.
Lors de la pause déjeuner, où Leona alla ailleurs par elle même, Maud en passa une partie considérable dans des toilettes à se masturber pour essayer de libérer toute cette pression. Au cours de la matinée, et en la retirant, la jeune femme ne pu que constater que sa culotte était trempée.

*God Damnit...*

Impossible d'aller dans sa chambre pour en récupérer une autre, alors elle du se résoudre à juste se masturber autant de fois que possible pour se calmer, et essayer de nettoyer tant bien que mal avec de l'eau son sous-vêtement et essayer de le faire sécher.
Cependant, dès lors qu'elle se retrouva à nouveau en compagnie de Leona...ce fût reparti pour un tour. Maud ne comprenait pas, mais cette fille la rendait absolument dingue. Le coup de grâce arriva toutefois lors de leur premier et unique cours ensemble de la journée, qui devait d'ailleurs la conclure avant les activité extra-scolaires. Maud était assise à côté de Leona, les cuisses fermées pour essayer tant bien que mal de contrôler ses "pulsions", ne pouvant s'empêcher de sentir son parfum, et à ce stade, de loucher régulièrement sur ses seins. Leona pianotait ostentiblement sur son portable en plein cours, ne prenant aucune note, et le professeur ne s'en formalisait même pas. Maud avait l'impression de se trouver dans une espèce de "bulle" de non conséquence d'actions à proximité de Leona, qui lui montra alors une photo de son chien.

Je...hum...

Maud eût du mal, et ne parvint tout simplement pas, à cacher sa gêne en reconnaissant parfaitement le chien en question, Fox, qui était définitivement celui qu'elle avait vu en action dans la vidéo...ce qui par extension, confirma pour elle que Leona était bien celle qui s'était faite prendre par l'animal.

*F-fuuuuuck...*

Il est...magnifique...ça doit demander de l'entretien non ? Il...doit être...endurant...

Bordel mais...qu'est-ce qui se passait ? Maud crispa une de ses mains sur une de ses propres cuisses, à la limite de vouloir la glisser sous sa jupe pour aller se caresser tout en regardant la photo de ce chien...

[Leona Morimoto]

Maud se transforma en une sorte de belle pomme rouge quand Leona, en lui montrant la photo de Fox, confirma ainsi tout ce que l’esprit fertile de la jeune femme pouvait imaginer. Elle sourit même quand Maud évoqua le fait que Foix doive être « endurant ». Leona était plus directe que Mélinda dans ses approches, cela tenait aussi au fait que les Morimoto tenaient toute la ville, et donc a fortiori tout le lycée.

« Eh bien, oui, il est très endurant, mais ça, tu as dû le voir sur la vidéo que je t’ai laissé hier soir, non ? »

Cette fois, le cerveau de Maud sembla faire ce qu’on appelait en informatique un « freeze »… Une erreur 404. Maud devait assimiler tout ce qu’elle voyait, ce côté surréaliste, cette dimension complètement folle. Pendant ce temps, Norotomo-sensei, le professeur d’Histoire, continuait à parler. Maud ne le réalisait sans doute pas, mais même ce que disait Norotomo-sensei était lié à Leona.

« …Les bombardements alliés pendant la Seconde Guerre Mondiale ont profondément endommagé le Japon, et ont traumatisé notre pays à cette époque. Les privations de nourriture, les enfants orphelins errant dans les campagnes… Cela a été le cas pour notre ville. Elle s’appelait Yoake, et a été détruite à plus de 95% par les bombardements… De nombreux enfants ont malheureusement perdu leurs parents, et c’est pour cette raison que la reconstruction de la ville commença par ce lycée, et par les dortoirs qui s’y trouvent, qui avaient avant tout pour but d’accueillir les enfants orphelins. Le Club social fut fondé à ce moment pour permettre à ces malheureux de pouvoir retrouver un lien social et familial, sous la houlette de la famille Morimoto… »

Norotomo-sensei regardait régulièrement Leona, mais sans jamais lui dire quoi que ce soit. On pouvait même le voir parfois suer. Si on aurait pu regarder à travers son pantalon, on aurait pu voir son sexe se hérisser. Comme tant d’autres, il obéissait aux Morimoto, et, comme d’autres, il avait été convoqué par Leona-sama ce soir, et avait hâte de ce qui allait suivre…

Tandis qu’il parlait, Leona sourit en montrant à une Maud éberluée des photos de son chenil. Elle lui indiqua les noms de ses chiens : Fox le berger allemand, Raiden le rottweiler, un labrador, un doberman… On pouvait la voir dans le chenil, enlaçant ses chiens, des photographies innocentes qui se mêlaient à des clichés plus osés… Et même à une vidéo, où on pouvait voir le labrador Leona besogner celle-ci dans le chenil. Sur d’autres photos, on la voyait nue au milieu des chiens, s’agenouiller ensuite pour qu’un chien vienne lécher ses seins…

« Je les entretiens très bien, oui… Et je donne de mon corps, comme tu peux le voir, hihi. »

Leona souriait, une lueur pétillante dans les yeux.

« Nous, les Morimoto, nous contrôlons tout dans cette ville. Nous sommes l’une des familles les plus riches et les plus anciennes du Japon, tu sais. Si ton dossier a été transféré ici, c’est sur ma demande. Tu sais, quand tu as contourné le contrôle parental, tu as ouvert des portes, tu as laissé fuiter des données que mes spécialistes en informatique ont pu récupérer. Quand j’ai vu l’étendue de tes fantasmes, j’ai su que tu serais une bonne partenaire. C’est pour ça que je me suis déplacée à toi. C’est un immense honneur que je te fais, tu sais. J’ai moi-même assemblé cette classe, tous les élèves ici appartiennent au Club social, et même Norotomo-sensei. En ce moment, je suis sûr qu’il bande comme un taureau en pensant à moi… »

Maud allait sans doute se demander si elle rêvait ou pas. Leona s’était penchée sur le côté, et avait posé ses jambes sur celles de Maud, se couchant à moitié sur elle, le dos contre le mur. Une posture qui aurait dû lui valoir une sanction immédiate, mais Norotomo-sensei ne disait rien. Les élèves continuaient à suivre le cours, mais jetaient des regards fréquents vers le duo.

« J’ai hésité entre te laisser lentement comprendre où tu es, ou foncer dans le tas. La vidéo que tu as reçue hier soir était un test. Si tu avais paniqué, refusé de le voir, j’aurais compris que tu étais du genre prudente, anxieuse, alors j’aurai été bien moins entreprenante. Mais tu l’as regardé, tu t’es masturbée comme une folle. Tu l’as aussi fait ce midi, et je suis sûre que ta culotte est trempée comme une serpillière… Et tu te balades avec, en plus ! Tu es vraiment une petite cochonne, tu sais… »

Sourire moqueur aux lèvres, Leona s’amusait de la situation, tout simplement. Elle retira ses jambes des cuisses de Maud, et caressa le visage de la jeune femme.

« Ton historique Internet évoquait beaucoup de fantasmes, comme la zoophilie, ou l’exhibitionnisme. »

Une chose était sûre à comprendre ; avec Leona, l’intimité et le droit au respect de la vie privée étaient tout à fait relatifs !

« Je souhaite que tu te masturbes ici, que tu jouisses, puis que tu me donnes ta culotte. Libre à toi de voir si tu te lèves pour le faire, ou si tu préfères te frotter contre la chaise. Si tu veux te motiver… »

Leona lui présenta une tablette, et l’ouvrit sur un ensemble de vidéos pornographiques, classées par thème : zoophilie, gang-bang, exhibitionnisme… Des vidéos de Leona essentiellement, mais parfois d’autres membres du Club social. En regardant un peu, Maud pourrait voir des vidéos de l’infirmière de ce matin, prise notamment dans les transports en commun par un homme qui la prenait par l’arrière. Leona paracheva le tout en tendant à Maud deux oreillettes Bluetooth, curieuse de voir si Maud allait craquer, ou franchir le pas, tant tout cela devrait lui sembler surnaturel…

[Maud Dorwell]

Maud resta effectivement sur le cul lorsque Leona confirma frontalement tous les doutes que Maud avait pu avoir, et ce en pleine salle de classe remplie. A ce stade, elle avait effectivement du mal à comprendre ce qu'il se passait, au point où elle aurait légitimement pu se demander si elle n'était pas en train de faire un rêve vraiment étrange. La jeune femme ne pu s'empêcher de lancer des regards inquiets en direction du professeur, ou même des élèves qui se trouvaient aux tables adjacentes à la leur, mais si il était évident qu'ils les regardaient à intervalles réguliers...il n'y avait aucune réaction autre. Le tout, alors que Leona continua de montrer ses chiens, sous les yeux héberlués d'une Maud qui peinait VRAIMENT à comprendre la situation dans laquelle elle se trouvait. Putain...en plein cours, avec autant le professeur que les élèves qui semblaient tout faire pour ne pas déranger Leona, cette dernière lui montrait sans aucune gêne des photos de chiens, dont certaines où elle était nue et se faisait baiser. Elle lui montra même une vidéo, sans son toutefois, où justement c'était en train de se produire.

Oh fuck... soupira-t-elle.

Les effets du parfum aphrodisiaque de Leona se faisaient aussi clairement sentir chez Maud, qui, après cette journée complète de teasing, était parfaitement incapable de réagir par elle même, et semblait à ce stade d'avantage une spectatrice de ce qui était en train de lui arriver. Elle était dans une sorte d'état de choc mêlé à son excitation qui durait depuis le début de la journée. Leona lui parla alors, semblant clarifier certains points. Elle était la raison de son transfert ici, car elle savait pourquoi elle avait quittée le Royaume-Uni...Leona savait tout de ses fantasmes visiblement, et paracheva l'argument de la "famille ultra influente" en révélant que toutes les personnes ici, professeur compris, faisaient partie de son Club et qu'ils étaient là à sa demande.

Attend je...pour de vrai ?

Damnit, ce qu'il était difficile de réfléchir ! Elle jeta toutefois encore des regards autour d'elle, et vraiment, l'attitude de tout le monde dans cette salle de classe...ne pouvait à ce stade s'expliquer que par ce que Leona venait de lui dire. Cela fut encore plus saisissant lorsque Leona changea de position de sorte à ce qu'elle pose, nonchalamment, ses jambes sur les siennes. Maud jeta des regards d'incompréhension à Leona, puis au prof, puis aux élèves, puis de nouveau à Leona. A tout ce qu'elle ressentait, venait maintenant s'ajouter un clair sentiment d'intimidation. Leona parla encore, décrivant la vidéo comme un "test" qu'elle avait passée en se masturbant hier soir, ce qui fit comprendre qu'en plus, il y avait de façon impunie des caméras cachées dans sa chambre. Maud ne pu s'empêcher de rougir comme une tomate quand Leona mentionna le fait qu'elle s'était "masturbée comme une folle" et qu'elle était une "petite cochonne".

J-je...

404 Error effectivement. Que dire ? Comment réagir à tout ça ? Putain mais tout s'enchaînait à une telle vitesse, dans un cadre tout simplement hallucinant, que Maud peinait vraiment à garder le fil de ce monologue, et ce n'était pas aidé par le fait que son désir de se carresser ne cessait de grimper. Le parfum aphrodisiaque de Leona y était pour beaucoup, mais pas que, car comme Leona ne tarda pas à le mentionner, l'exhibitionnisme faisait aussi partie des gros fantasmes de Maud. Cette dernière, à ce stade, avait bien vu que tout le monde la regardait en compagnie de Leona, et qu'un certain nombre des mecs semblaient bander sous leurs bureaux. Leona toutefois retrouva la totalité de l'attention de Maud quand elle retira ses jambes des siennes, puis, en posant sa main sur son visage, elle "souhaita" qu'elle se caresse tout de suite.
Il y eut un moment de blanc, où Maud cligna des yeux comme pour se ressaisir.

Alors a-attends...si je le fais il...il n'y aura vraiment aucune répercussion parce que tu contrôle tout ici ? Genre j'irais pas en taule ou en conseil de discipline ?

Leona lui répondit par l'affirmative, et Maud passa un moment à tâcher de suivre son instinct, voir si Leona était sérieuse, où bien si elle tentait de la fourrer dans une sorte de piège très élaboré pour elle ne savait quelle raison. Dans son état normal, sans doute jamais n'aurait-elle osée franchir le pas, mais Leona l'avait extensivement "travaillée" tout au long de la journée...et quelque part...Maud était curieuse de voir jusqu'où cette situation délirante pouvait aller...

O-okay then...

Maud...se releva alors. La chaise qui se recula provoqua un bruit forcément audible par toute la classe, et le fait qu'elle se releva fit alors que toutes les têtes se tournèrent vers elle. La jeune femme, bien qu'intimidée, continua alors. Elle écarta ses jambes l'une de l'autre, puis d'une main elle redressa sa jupe, tandis que de l'autre, elle appuya sur le bouton de lecture de la tablette d'une vidéo au hasard...sans prendre les écouteurs que Leona lui avait pourtant tendue.

Hmmmm...

Autant dire que là, entre ses gémissements qu'elle ne dissimulait pas, et le son de la vidéo qui n'était pas dissimulé non plus, il était impossible que qui que ce soit dans la salle ne voie pas ce qui se déroulait. Maud était en train de se carresser, glissant son index et son majeur contre le tissu bien humide de sa culotte pour frotter son clitoris, ondulant son bassin au passage pour amplifier ces mouvements et ce frotements. Elle regardait les autres, qui la regardaient, mais sans que qui que ce soit ne cherche à l'empêcher de se faire du bien...elle nota même que certains n'avaient pas hésité à ouvrir leurs pantalons pour laisser sortir leurs sexes à l'air libre et commencer à se branler en la regardant.

Haaaa....

Maud se mit à jouir relativement vite, le rush d'adrénaline de sa première session d'exhibitionnisme ne l'aidant clairement pas à se retenir. Elle se crispa sur place, mouillant d'avantage sa culotte, puis se calmant un peu avant de glisser ses mains sur les rebords de son sous-vêtement trempé, et sous les regards de tout le monde, la faire glisser le long de ses jambes en se baissant. Il y eu clairement des regards sur sa chatte épilée et son cul, jusqu'à ce que la mini-jupe ne refasse son rôle de tout dissimuler. Et quand elle se redressa, et reprit place assise, elle tenait son sous-vêtement trempé du bout de deux de ses doigts, des gouttellettes de cyprine en coulant sur le sol.

Alors...c-comme ça c'était...satisfaisant ?

Honnêtement, Maud n'avait aucune idée encore de dans quoi elle foutait les pieds, mais avoir ainsi l'opportunité de faire ça et de ne pas en subir de conséquences...avait l'air de l'enjouer...

[Leona Morimoto]

Aurait-elle des répercussions ? Leona sourit doucement, et secoua négativement la tête.

« Tu n’as rien à craindre. Pas de conseil de direction, pas de police, pas de parents coincés du cul pour te réprimer. »

Maud aurait pu croire à une caméra cachée, à une manipulation. En fait, Leona était convaincue que Maud allait se retenir. Sa surprise fut donc grande quand elle vit Maud se relever, et pousser la chaise. Il y eut un bruit de raclement quand la chaise frotta le sol, et les regards se tournèrent. Norotomo-sensei se tut en regardant également le spectacle. Maud alluma la tablette sans les écouteurs, et on put entendre les gémissements et les hurlements de Leona. La vidéo choisie était celle où elle se faisait baiser dans le chenil par son labrador. Elle poussait de magnifiques hurlements, qui emplirent toute la pièce. La salle de cours était plongée dans le silence, et Maud put voir certains élèves se masturber à leur tour. Leona n’avait pas menti, cette classe entière était composée de ses esclaves. Lors de la journée d’intégration, il n’y avait pas encore de cours, elle avait fait monter ce cours uniquement pour Maud. Elle était comme Alice au Pays des Merveilles ; Maud venait de plonger dans le terrier du Lapin blanc, et avait choisi d’y rester, plutôt que de remonter à la surface.

Sous l’effet de l’excitation, elle jouit très vite, debout, offrant aux élèves la vue de sa chatte et de son magnifique petit cul bombé. Elle pouvait entendre quelques gloussements gênés, des soupirs, tandis qu’on la filmait. Leona, elle, l’observait en souriant, agréablement surprise. Quel potentiel elle avait, celle-là ! Leona n’aurait jamais cru que Maud puisse se désinhiber aussi vite, et, pourtant… Elle semblait raffoler de ces regards lubriques sur elle. Norotomo-sensei avait également ouvert son pantalon, et se masturbait, une grosse queue tendue jaillissant contre sa main. Il savait que, ce soir, il pourrait baiser cette catin, et cela l’excitait… Encore plus s’il pouvait se perdre dans le corps de Leona-sama ! Maud se mit à gémir, et on n’entendit bientôt plus que ses seuls gémissements, la vidéo étant terminée. Elle eut un orgasme, puis reprit peu à peu ses esprits, et retira sa culotte trempée.

« Très satisfaisant, oui… Au point que je pense bouleverser un peu mon programme. Je ne pensais pas que tu serais une telle catin, Maud. Pourtant, on dit que les Anglais ont un certain standing, mais toi… Je crois que l’idée de te sentir obsqervée par tous ces yeux pervers t’a encore plus excité que de voir mon fondement se faire élargir par mon adorable Bernard… »

Leona gloussa, et attrapa la culotte de Maud, puis la renifla.

« Norotomo-sensei !
- O-Oui, Maîtresse Leona ?
- Masturbez-vous dans cette culotte, inondez-là de votre sperme de gros porc pervers ! »

Elle jeta la culotte au sol. Le professeur d’histoire acquiesça, puis la récupéra en se penchant devant Maud et Leona. Il frotta ensuite sa queue dessus. Leona se releva ensuite, et plusieurs élèves se rapprochèrent alors. Elle fit signe à Maud de la suivre, et le duo rejoignit une table au premier rang. Maud put s’asseoir juste devant le bureau du professeur. Leona resta debout, tandis que les élèves entreprenaient de la déshabiller intégralement.

« Je vais m’occuper de ton éducation plus tôt que prévu, Maud. Alors, il me faut une tenue adaptée… »

Leona finit intégralement nue. Maud put voir que sa chatte était également parfaitement épilée. Des élèves amenèrent ensuite des gants rouges opéra, de longues cuissardes, et un sling bikini rouge relié à un collier. Leona récupéra ensuite sa cravache, puis l’attrapa entre ses mains, et joua avec. Sous les yeux sans douter éberlués de Maud, Leona se dressa dans sa tenue de dominatrice. Elle soupesa la cravache avec ses mains, la faisant se tendre, puis la rapprocha du bureau, et caressa le nez de Maud avec.

« Maîtresse Leona, voilà comment tu dois m’appeler, maintenant ! Embrasse ma cravache, petite salope, et tu auras l’immense privilège de devenir la pute personnelle de Leona-sama ! »