The Multiversity

[Le Barbarium]

Insatiable ! Tel est le mot qui lui était venu à l'esprit en voyant la Matriarche s'attaquer aux petites fesses de la Golémancienne. Malgré le fait qu'il la chargeait comme un taureau, Streeaka Z'Ress n'avait pas hésité une seule seconde à bouffer le minou de l'élevée par les nains. Une chatte humide, parfaite pour lui occuper les lèvres et lui permettre de s'abreuver. Cette idée manqua faire juter le colosse qui, toujours en plein cœur de l'action, regardait ses femelles humaines s'attaquer à la Drow par tous les côtés.
Comme des hyènes affairées sur un unique monceau de viande.
La Matriarche les avait tous mis d'accord. Elle était parvenue à un haut fait, à un véritable tour de force.
Et en un temps record.
Son leadership était plus qu'impressionnant...
Le capitaine Kroch'mar comprenait pourquoi la Drow occupait cette position au sein de son peuple ; elle n'était décidément pas femme à se laisser marcher sur les pieds.
Cette pensée renforça sa trique - déjà bien plus qu'admirable.

- Tu es réellement impress-

- HAN ! M-Matriarche ! Votre langue est... Hummm... comme un serpent qui se tortille et... Aaaaaaahh ! ♥

Nérénie et Shabel la regardaient avec de grands yeux effarés. Elles s'échangèrent un rapide regard avant de le tourner sur leur maître, qui avait froncé les sourcils. Un signe qu'elles savaient toutes les deux très alarmant. Surtout dans ce cas de figure.
Dans son plaisir égoïste, elle vient de lui couper la parole, comprit Nérénie.
Là, c'est sûr : le grand porc va se fâcher, s'inquiéta l'ex-mercenaire.
Comme pour faire les choses bien - ou mal, dépendamment du point de vue -, Dwëna, tout en remuant les fesses, s'était aussitôt remise à chanter :

- Oui, oui, oui ! Fou-fouraillez ! Juste là, oui !

Ses mains ne lui servaient dès lors plus à se tenir à la table : l'ingénieure, jetée dans la débauche, se pelotait les seins avec.
Ce qui, d'une certaine manière, ruinait complètement ses défenses.
Le regard de son démon de maître flamboya !
D'une main puissante, le Brise-Monts l'attrapa par la nuque.

- Hhhhiiiirck !! ♥

Dwëna, le visage tout rouge, esquissa une grimace obscène.
De l'autre côté de son cou, les doigts de l'Orc Noir faisaient pression sur sa gorge.
Tout en continuant à malmener le trou de balle de la Drow, Eviscéran lâcha d'une voix cruelle :

- Cesse de t'égosiller, petite putain : on ne parvient même plus à s'entendre baiser.

Et depuis qu'il l'étranglait, effectivement : tout le monde entendait son lourd bassin heurter le cul écartelé de la Matriarche !
Le capitaine eut un rictus méchant, voire limite assassin.
Dwëna, qui n'avait pas su gérer son souffle, porta désespérément ses doigts à son cou serré.

- Jouis lui sur la gueule et tu conserveras la vie sauve, insista son maître.

Secrètement, elle était devenue à ses yeux une distraction plus que bienvenue. Car sans son intervention ridicule, la Drow l'aurait fait jouir avec son orgasme, qu'il avait bien senti lui étreindre la verge avec une force tout à fait délectable.
Presque immédiatement, la Golémancienne se vida comme convenu, offrant son nectar de survivante à la divine Matriarche.
Eviscéran soulagea la première de sa strangulation et, dans un ultime coup de boutoir, se déversa lui aussi dans un conduit de la seconde. Il grogna tout contre ses fesses pleines, inondant d'épais chapelets blanchâtres leur intérieur qu'il avait ramoné avec une dangereuse insistance.
Les joues en feu, ses deux autres concubines le regardèrent se contracter d'un bloc, et ce jusqu'à ce que vidange soit faite.

- Ooorrrhh... Grmpf !

Lorsqu'il arracha son mât à cette rondelle élargie, son grumeleux contenu dégoulina du bord de table ; le ventre de la Drow avait beau avoir de l'expérience, il n'était pas suffisamment large pour tout absorber.
Shabel fut la première à s'écarter du support souillé. Sans compter Dwëna, qui avait fini par complètement basculer de côté, la pauvre.
Nérénie s'en était d'ailleurs allée la retrouver à même le sol, histoire de lui prodiguer des soins en cas de nécessité.

[Streeaka Z'Ress]

Eviscéran avait compris que Streeaka n’était pas une amante ordinaire, que son arrogance n’était pas surfaite. Elle existait depuis des milliers d’années, elle avait fait l’amour un nombre incalculable de fois avec toutes les espèces possibles de Terra. Mais elle se devait bien d’admettre que ce diable d’Orc était extrêmement fort, lui aussi ! La façon dont il la besognait était tout simplement surnaturelle. Streeaka prenait son pied comme jamais, avec la certitude qu’elle recommencerait à baiser avec lui, qu’elle devait trouver un moyen pour que l’Orc Noir reste près d’elle !

« Hmmmm… Hmmmm… !! »

Prise avec force par cet homme, Streeaka le sentait bel et bien lui défoncer méthodiquement le cul, remuant furieusement en elle. La Matriarche se faisait donc copieusement baiser par lui. Sa verge remuait vigoureusement dans son cul, et, pourtant, elle arrivait à se concentrer suffisamment pour s’attaquer à l’intimité de Dwëna. Et, sur ce point, Dwëna ne pouvait que constater la rude efficacité de la Drow. Sa langue s’enfonçait avec appétit dans son sexe, titillant son bourgeon. Dwëna ne tarda pas à exprimer son plaisir, au grand mécontentement d’Eviscéran, les cris de Dwëna vena nt le perturber. Ainsi coincée, Streeaka ne pouvait pas faire grand-chose, et sentit l’Orc Noir se déplacer, tirant Dwëna en arrière. Les mains de Streeaka, quant à elles, malaxaient avec appétit le cul de la belle femme aux cheveux bleus. Elle sentait le corps de Dwëna se tortiller, et celle-ci se mit à jouir, tout comme Streeaka… Et surtout Eviscéran.

Ce fut un orgasme très puissant, assurément. Elle sentit la grosse queue de l’Orc se vider en elle, et Streeaka déglutit. Elle sentit même des larmes s’échapper de ses yeux tant il la baisait, et tant il la remplissait ! Ce fut un orgasme tonitruant ! Elle posa sa main sur son ventre, et sentit ce dernier grossir, s’arrondir au fur et à mesure que l’Orc Noir répandait d’épais filaments de foutre dans son cul, les envoyant directement en elle. Quand Eviscéran relâcha Dwëna sous l’effet de son orgasme, celle-ci bascula sur le côté, glissant du visage humide de Streeaka, et tomba à côté. Streaaka soupira de son côté, jusqu’à sentir enfin la verge monstrueuse de l’Orc Noir se retirer, laissant derrière elle des chapelets de foutre.

« Oooohhh… »

Streeaka resta étalée sur la table… Qui rendit alors l’âme. Elle avait été baisée si fort dessus que l’un des supports se fissura alors. La table se brisa, et Streeaka tomba au sol. Elle soupira, et se redressa ensuite, montrant rapidement aux autres qu’elle n’avait rien. Son visage se retrouva ainsi à hauteur de la queue de l’Orc. Elle commença à lécher son sexe, souriant doucement.

« Ta réputation… N’est pas surfaite, mon joli… Tu n’y as pas été de main morte, hmmm… ! »

[Le Barbarium]

Ce grand dégueulasse en a foutu partout ! grimaça l'ex-mercenaire en s'étant écartée de la table.
Alors qu'elle aurait dû être la première à se tenir auprès de Dwëna, que Shabel Sealgïr avait jusqu'alors toujours assisté depuis son appartenance au Barbarium, cela ne lui avait point été possible d'un point de vue purement moral.
Heureusement, Nérénie, la favorite de leur immonde Maître, combla la faille de part son étroite et indéfectible attention envers ses sœurs de tourmente.

- Elle va bien, lui assura la belle blonde aux yeux roses, en sentant son regard inquiet.

Shabel dut se râcler la gorge avant de demander d'une voix plus faible :

- Et... la Matriarche ?

A cet instant précis, la Drow pulpeuse libéra un profond gémissement. Comme en écho à ce dernier, la lourde table céda à son supplice. La matriarche bascula - trop vite pour que Shabel puisse la réceptionner dans ses bras. La chute de Dwëna fut, quant à elle, grandement amortie par la proximité de la noble déchue.

- Alors c'est à ça que ressemblent les étoiles~

La Golémancienne s'était mise à divaguer...
Allait-elle si bien que ça ?
La soutenant d'un bras dans le dos, Nérénie déposa une main sur son front pour évaluer sa température.
Elle soupira ; plus de peur que de mal, donc.
La Vierge de Bronze se désintéressa prestement des deux femmes, reportant son attention sur celle qui avait pris plein tarif.

- Est-ce que vous... Hein ?

Mais Streeaka n'avait pas besoin de son aide. Elle s'était relevée du support brisé sans une égratignure, ignorant l'inconfort de son ventre rond de semence. Accroupie sur ses jambes sveltes, pile à la bonne hauteur pour apporter une délicate touche de lubricité à leurs violents ébats, l'elfe noire caressa de sa langue la queue hors-norme du puissant Orc.
Attends.... elle en veut encore ? Cette femme est folle à lier !
Son endurance devait beaucoup plaire au capitaine car la main de ce dernier flattait son épaisse chevelure, frôlant au passage la pointe d'une de ses oreilles bijoutées.

- Tu m'as presque poussé dans mes derniers retranchements, Matriarche, lui fit entendre Eviscéran alors que sa langue d'affamée menaçait de le rendre à nouveau dur comme la pierre. Tu ferais une excellente esclave - assurément la meilleure d'entre toutes. J'en regretterais presque de t'avoir pour employeuse.

Un sourire honnête venant de lui ? C'était si rare !
Shabel dut cligner plusieurs fois des yeux comme si elle ne croyait aucune de ces images qu'ils lui renvoyaient.
Ils paraissent doux en l'état mais je sais que dans le fond, les deux sont de vraies terreurs.
Comme elle avait attardé son regard plus que de raison sur eux, son capitaine finit par le remarquer.
Elle vit alors son sourire se dégrader, virer en quelque chose de gourmand. De beaucoup moins beau. De presque... laid, oui.

- Je ne me souviens pas t'avoir interdit de te joindre au festin, Shabel.

Le fait qu'il l'appelle ainsi par son prénom, en un moment pareil, ne la réconfortait pas du tout.
Il eut un geste invitatoire.

- J'ose croire que tu n'as rien oublié de nos entraînements privés, souffla-t-il d'une voix rauque de désir.

- Non merci, répondit l'ex-mercenaire non sans détourner la tête. Je n'ai pas la moindre envie de vous prouver quoi que ce soit.

Ce n'était pas tout à fait vrai. Ou en tout cas : pas du point de vue de son corps. A proximité du couple, l'humaine luttait contre ses pulsions intérieures. Elle arrivait à donner le change ; avec ses bras astucieusement croisés sur sa poitrine aux tétons irrigués, voire même ses cuisses serrées de sorte à bloquer tout ce qui était susceptible d'en couler.
Mais son Maître la connaissait trop bien pour passer à côté de certains détails...

- Choisis, lui imposa-t-il. Et je te conseille de le faire vite et bien. (D'un index autoritaire, il pointa un emplacement vide à côté de la Matriarche) Nettoie moi la queue maintenant en compagnie de notre précieuse commanditaire, ou bien prépare-toi à ce que je te prenne exactement comme je l'ai prise avant ce soir.

Une lueur féroce traversa la ligne de ses yeux porcins.

- Dans les deux cas, que tu le veuilles ou non, je prendrai mon pied sur ton dos.

Les sourcils froncés, Shabel soutint d'abord son regard en silence. Elle prit le risque de le défier sans dire un mot, le temps d'avoir cette pensée vindicative : Raclure de pervers ! Un jour ou l'autre, je te ferai payer tout ce que tu m'as fait subir jusqu'ici. Je te rendrai l'ensemble au centuple et, lorsque ce jour saint arrivera, que tu seras mort et enterré : tu pourras compter sur moi pour être la première à chier dru sur ta putain de tombe !
De bien mauvaise grâce, l'ex-mercenaire s'approcha du duo, prenant place aux côtés de la Matriarche à qui elle coula un regard en biais fort peu amène. L'air de lui reprocher : C'est aussi de ta faute si on en est arrivées là !
Ce ne fut qu'alors qu'elle porta une main à la virilité de son Maître, la soulevant avant d'oser y passer sa langue qui, de ce fait, menaçait de croiser celle de l'insatiable Streeaka Z'Ress.

- Une très sage décision, commenta l'Orc Noir.

[Streeaka Z'Ress]

« Ne pousse pas trop ton avantage, Eviscéran… M’avoir baisé comme une putain ne t’autorise pas à envisager de me soumettre. »

Cet orc était ambitieux… Trop, sans doute. Streeaka restait une Matriarche drow, elle n’était pas une catin de bas étage qui rêvait de se soumettre à un Orc. Elle appréciait le fait de coucher avec lui, mais elle était offusquée de voir comment ces femmes se couchaient devant lui. C’était inacceptable, pour elle ! Qu’un mâle envisage de lui parler ainsi, et elle l’émasculerait sur place, puis lui enfoncerait sa queue dans sa bouche. Eviscéran semblait aimer le danger, il la provoquait, peut-être pour voir jusqu’où était la limite de Streeaka. Elle caressait doucement son ventre bien rond, et les femmes qui se trouvaient là purent constater qu’elle utilisait sa magie pour retenir ce foutre, pour l’empêcher de partir.

« J’ai porté des centaines d’enfants, Eviscéran. J’aime tant cette sensation de grossesse. Je porte ton foutre… »

…Et elle n’ajouta rien de plus. Pouvait-elle envisager davantage ? Un enfant hybride orc n’aurait jamais aucune chance de succéder à Streeaka, mais pourrait constituer un enfant adultérin intéressant. Elle laissa cela de côté quand Shabel la rejoignit. Les langues des deux femmes glissèrent sur la verge de l’Orc Noir. Streeaka avalait son foutre, remontant dessus, reniflant cette magnifique odeur.

« Tu aimes ça, hein, Shabel ? Lèche cette belle queue… N’oublie pas les testicules de mon cher hôte… »

Streeaka caressait dans la foulée les hanches de Shabel. Elle pouvait sentir le feu de la révolte dans ses yeux, mais elle refusait de s’en prendre à Eviscéran. Leurs regards vinrent ainsi se croiser, par-dessus la solide verge d’Eviscéran.

*Pathétique… Tu fais semblant de te révolter, car tu adores qu’il te soumette. Ne crois pas que je ne le vois pas, Shabel, je sais très bien ce que tu penses en ce moment.*

La Matriarche pouvait sentir la confusion dans les yeux de Shabel, cette colère qu’elle feignait de brandir comme un masque, alors que tout ce à quoi elle aspirait, c’était de se faire besogner par Eviscéran. Sans doute le nierait-elle si on le lui disait, mais Streeaka n’était pas dupe, elle pouvait deviner cela. Streeaka déposa un baiser sur la verge d’Eviscéran, puis se redressa ensuite. Elle fixa alors les trois femmes, et sourit en caressant encore son ventre.

« Je me sens d’humeur généreuse… Tout ce foutre en moi, je vais le relâcher… Laquelle d’entre vous a envie de se trouver entre mes cuisses pour recueillir la semence de votre précieux maître ? »

[Le Barbarium]

La Matriarche avait durci le ton. Pour le capitaine du Barbarium, c'était une réaction beaucoup plus amusante que terrifiante. Bien sûr, Eviscéran n'avait pas baissé sa garde pour autant. Cette elfe noire, il la savait très dangereuse ; elle possédait un titre, et par son biais une certaine autorité sur tout le territoire.
Il gloussa lorsque la Drow énonça son plaisir d'éprouver une sensation de grossesse. Ici, elle n'était rien d'autre qu'illusoire puisque son colosse de partenaire n'avait gratiné que son fondement plein à craquer.
Le lui faire remarquer serait faire insulte à son intelligence.
Jugeant parfaitement improductif de se la mettre à dos en la rabaissant, il ne tomba pas dans ce piège.
Shabel et Streeaka léchaient son énorme trompe - c'était déjà très appréciable !
La seconde affichant clairement son lubrique enthousiasme.
Quant à la première...

- Tch !

Même si elle obéissait aux ordres, la Vierge de Bronze muselait ce plaisir factice qu'elle éprouvait si proche de cette odorante virilité. Elle n'oublia pas de stimuler les testicules comme le lui avait demandé la Matriarche. Elle continua à lécher cette impossible matraque de chair noire qui la rendait si vulnérable. Et par-dessus tout, elle s'efforçait de faire abstraction de cette main féminine et sournoise qui lui caressait le bas des reins.
Le regard de la matriarche la mettait mal à l'aise.
Elle pense à un truc tordu - je le sens ! Cette femme est une débauchée en puissance, et ça m'en coûte d'avoir à... travailler avec elle.
Mais si elle ne le faisait pas, son diable de capitaine ne lui ferait aucun cadeau. Il l'élargirait - non, la déchirerait ! - lors de leurs prochains ébats bestiaux. Ce qu'elle avait appris à craindre au-delà de tout au sein de cet abominable vaisseau. Une peur farouche qui, bizarrement, éveillait ses bas instincts, la rendant plus sensible à... eh bien, tout ?
L'invitation saugrenue de la Matriarche leur tomba dessus comme la lame d'un couperet !
Streeaka Z'Ress envisageait de décharger le crémeux contenu de sa chenille intestinale dans le gosier d'une esclave.
Shabel grimaça à cette idée et, plutôt que d'avoir à se confronter à cette épreuve "gustative", s'appliqua à lustrer le vit de son némésis.
Eviscéran, avec un vicieux sourire au coin des lèvres, déposa une de ses énormes paluches sur sa tête, l'enjoignant ainsi à poursuivre sur sa lancée.
Dwëna, qui n'en avait visiblement pas eu assez de son orgasme débilitant, leva la main et dit :

- Je veux bien essayer !

En la voyant accepter de prendre ce risque, Nérénie, la Poupée d'Or à son capitaine, ajouta sa candidature.
La Golémaniaque lui lança un regard méfiant.

- Je me suis annoncée la première, s'imposa-t-elle.

La noble déchue secoua doucement sa tête blonde.

- Je le sais bien. Tu seras donc la première à t'abreuver. (Ses yeux roses se tournèrent vers la Matriarche.) Puis-je vous demander de ne pas tout relâcher d'un coup ? Je crains que Dwëna ne soit pas suffisamment expérimentée pour éviter l'étouffement...

Dwëna eut un froncement de sourcils. De mécontentement ou d'inquiétude ? Difficile de l'appréhender sur son visage poupin !
Solennellement, Nérénie porta une main à son propre cœur.

- Pour cette raison, je suis disposée à consommer le reste.

Y avait-il un petit ange au sein du Barbarium ? Auquel cas la plantureuse Poupée d'Or en remplissait les bienfaitrices fonctions !

[Streeaka Z'Ress]

Shabel n’avait pas tort sur un point : l’esprit malicieux de Streeaka était très imaginatif. Sa main caressait doucement son ventre arrondi, rempli du foutre d’Eviscéran. En serrant ses cuisses, Streeaka retenait en elle tout ce foutre qui ne demandait qu’à partir. Il lui suffirait de pousser pour le larguer. Elle avait donc répondu aux appréhensions de Shabel de la plus belle des manières. Streeaka n’était toutefois guère dupe. Elle sentait bien que, derrière ce fin masque de retenue, Shabel était envieuse, sans doute désireuse elle aussi de se faire baiser comme Streeaka l’avait été, tout en appréhendant naturellement un coït aussi intense. Streeaka avait enduré une solide queue dans son corps, un amant intense, brutal, sauvage, et dominateur. La raison absolue dictait de fuir ce genre de personnages, mais, si la raison pure guidait les femmes présentes ici, aucune ne serait là ! Et, face aux atermoiements de Shabel, ce fut finalement Dwëna qui se dévoua.

Cela conduisit Nérénie à se proposer également, ce qui amusa Streeaka.

« Ne vous battez pas pour le foutre de votre Maître, les filles. Si vous le désirez tant, vous pouvez vous abreuver à la source ! »

Streeaka se redressa, tenant toujours d’une main son ventre arrondi. Elle sentait ce foutre en elle, qui ne demandait qu’à sortir pour la soulager.

« Nous verrons ce que Dwëna peut endurer. Allonge-toi au sol, ma belle, je vais m’asseoir sur ton visage, et t’offrir ta récompense… »

La scène aurait pu devenir scabreuse ou glauque, mais ce n’était que du foutre que Streeaka allait larguer ! En bonne quantité, certes… Elle sourit à Dwëna, et l’invita à caresser son ventre avec sa main, tout en l’embrassant.

« Ne t’en fais pas, Nérénie, si tu aimes tant le foutre de ton Maître, tu peux toujours aller te servir à la source… Avant que Shabel ne te vole la place. »

Une petite pique gratuite, certes, mais qui oserait la contredire ? Oh, Shabel allait sûrement nier les évidences, mais ce n’était pas à une Matriarche drow qu’on pouvait mentir. Elle sourit donc doucement, et attendit que Dwëna se positionne pour se mettre sur elle, et lui offrir sa récompense…

[Le Barbarium]

La Matriarche avait un excellent sens de l'humour ! Eviscéran l'appréciait de plus en plus - de corps comme d'esprit. La Drow avait choisi le bon moment pour lâcher sa remarque ; entre les cuisses de l'Orc Noir, Shabel le suçait comme jamais elle ne l'avait fait auparavant. Le capitaine se délectait du contact de sa langue et de ses lèvres autour de son brûlant engin.
Que ne ferait-elle pas pour éviter de se retrouver avec ma queue dans le cul ?
Il eut un petit rire rauque qui fit sourciller son esclave affairée. Eviscéran soutint son regard avant de lui donner, grâce à cette main qu'il avait posé juste au-dessus de sa nuque, davantage de sa longueur à lustrer. Les bruits de bouches que produisait l'humaine en lui tétant le chibre titillaient délicieusement ses esgourdes.

- Tu vois bien que tu peux tout prendre en bouche, quand tu le veux bien, s'amusa-t-il. C'est ça l'avantage d'avoir une grande gueule !

Effectivement : il profitait de cette fellation avancée pour se moquer d'elle ; dans ces conditions, elle ne pouvait pas le mordre en représailles.
Nérénie étudia stoïquement le visage de l'ex-mercenaire. Des perles de larmes avaient poussé au coin de ses yeux brillants, mais elle semblait tenir le bon bout...

- La place est déjà prise, souffla la Poupée d'Or.

Dwëna, quant à elle, s'était contentée de suivre les ordres de la Matriarche après leur baiser et les caresses associées. Allongée sous son derrière rebondi, la bouche grande ouverte, elle attendait de recevoir son quatre heures. La mécanicienne en cheffe posa ses mains autour des renflements postérieurs de la magnifique Drow et, se prêtant à cet abreuvage obscène, se mit ainsi à avaler tout ce qui devait l'être par de généreuses lampées. Sa petite langue gourmande en profitant également pour touiller dans le crémeux contenu de ce rectum dilaté.
Une expérience qui, à première vue, ne semblait pas déplaire à ses papilles !
Curieuse et passablement inquiète, Nérénie avait posé un genou à terre à proximité du duo féminin. Son visage de noble ne laissait quasiment rien transparaître de son envie de découvrir les nuances d'une telle pratique.
Un spectacle qui, dans tous les cas, faisait bander dur le capitaine de ces magnifiques cochonnes.

- Excellent, grommelait-il. La présence galvanisante de la Matriarche fait ressortir ce qu'il y a de meilleur en vous, mes salopes...

Bien incapable de grimacer par la bouche, Shabel le faisait par ses yeux embués.
Cet ignoble enfoiré me traite comme une pute à trois sous !
Mais pourquoi diable était-elle en train de mouiller sa culotte ?
Une partie d'elle trouvait cela aberrant ; l'autre, bien plus obscure, jubilait en douce.

[Streeaka Z'Ress]

Streeaka prenait petit à petit l’ascendant sur ce qui se passait ici. Avec son gros ventre arrondi, rempli du foutre de l’Orc Noir, elle s’amusait de la nervosité des trois femmes. Sous elle, Dwëna s’était allongée. Streeaka aurait pu tout lui balancer, mais elle n’en fit rien. S’appuyant sur les genoux, elle contracta ses muscles, et libéra lentement le jus crémeux. Le sperme fila entre les lèvres de Dwëna, qui put sentir la main de Streeaka s’appuyer sur ses cheveux bleus. Streeaka soupira. La scène aurait pu avoir quelque chose d’obscène, tant on pouvait avoir l’impression que Streeaka déféquait sur Dwëna. Pour la Matriarche, c’était quelque chose d’équivalent. Bien sûr, elle ne libérait pas des excréments ou même de l’urine, mais elle se soulageait tout de même, en vidant son estomac de tout ce sperme. Dwëna ne tarda pas à remuer nerveusement, car, plus Streeaka libérait ses sphincters, et plus le jus crémeux fusait. Le sperme tombait entre les lèvres de Dwëna sous le regard de Shabel, Nérénie était déjà occupée à pomper la verge d’Eviscéran, à la lécher et à la lubrifier.

« Hmmmm… Approche-toi, Shabel… Ton Maître a beaucoup juté en moi… Avec la magie rose, je peux facilement ovuler. Qui sait ? Un Maître ou une Maîtresse potentielle est peut-être déjà dans mon ventre, alors… Caresse-le, et embrasse-moi. »

Elle n’allait pas rater une occasion de profiter de ces femmes. Eviscéran était certes un amant très appréciable, mais, de base, Streeaka était une Drow, avec une attirance très nette pour le beau sexe. Elle aimait donc s’amuser avec ses concubines, qui étaient bien plus perverses qu’elles n’osaient l’admettre. Leurs pudeurs de jeunes vierges effarouchées l’amusait. Shabel se rapprocha donc, et, quand elle appuya et pressa sur son ventre, Dwëna eut droit à une projection de foutre plus importante. Les yeux de Streeaka se voilèrent brièvement sous une vague de plaisir. Elle vidait ses entrailles de ce foutre, et la sensation était assurément particulièrement plaisante. Le visage de Streeaka trahissait son plaisir, un bonheur intense.

« Bordel, c’est si bon, hihi… Vérifie, ma chère Shabel, je me vide sur ta petite perverse de partenaire… Si elle commence à étouffer, tu pourras l’aider… Haaaa… »

Il n’y avait pas que du sperme que Dwëna recueillait, mais aussi sa mouille qui fuitait également… Soit un merveilleux cocktail !

[Le Barbarium]

Alors que la bouche de Dwëna s'était presque transformée en fosse à aisances, Eviscéran se délectait de la souffrance ambiguë de sa guerrière esclave. Shabel continuait de lui lustrer le manche, émettant parfois des bruits de déglutition, non sans lorgner occasionnellement en direction de la Drow qui s'était accroupie au-dessus de la Golémaniaque. Il était réellement impressionnant de voir tout ce que pouvait avaler cette jeune femme dans cette position, les muscles de sa gorge roulant à un rythme soutenu. Etait-ce la mouille de la Matriarche ou bien la semence imprégnée des fragrances de son fondement qui la mettait ainsi en appétit ?
La chose paraissait difficile à concevoir...
En la tirant par la peau du cou, le puissant capitaine força la Vierge de Bronze à laisser glisser sa lourde queue hors de sa bouche.
Shabel toussa en conséquence, un œil d'incompréhension braqué sur son détestable Maître.

- La Matriarche semble t'avoir prise en affection, se justifia-t-il, goguenard.

Il claqua des doigts à l'attention de sa Poupée d'Or, laissée en standby. Nérénie, qui veillait à ce que Dwëna ne s'étouffe pas par gourmandise, rampa jusqu'aux pieds de l'Orc Noir avant d'engloutir son mât mieux encore que l'avait fait l'ex-mercenaire. Eviscéran soupira en sentant ses mâchoires expertes s'écarter sur sa vertigineuse longueur.

- Excellent... Tu es née pour cette mission, souffla-t-il.

Avec toutes ces années de captivité, il avait bien su la former !
Entre-temps, Shabel fut contrainte d'assister à l'abreuvage de l'inconsciente mécanicienne. Les lèvres de Dwëna étaient tartinées de foutre, à l'instar d'une ses narines qui produisait de petites bulles blanchâtres. Elle n'avait visiblement pas eu l'occasion de se pourlécher la lippe, se concentrant exclusivement sur l'ingurgitation de tout ce... produit odorant.
Trop proche du couple, Shabel sentait sa tête lui tourner.
La Matriarche se disait prête à lui faire de la place pour soutenir sa collègue.

- J-je ne sais pas si j'en serais capable...

Elle plissa le nez. D'inconfort ? De dégoût ? Ou.... d'autre chose encore ?
Shabel ne savait plus trop où elle en était - tout allait bien trop vite à ses yeux.
Elle s'aperçut alors que le petit ventre de Dwëna avait commencé à gonfler.
Cette vision l'alarma ; l'ex-mercenaire s'allongea aux côtés de la buveuse, qu'elle supposait être en difficulté. Shabel était la garde du corps de Dwëna au sein du vaisseau. Elle en profitait aussi pour apprendre quelques astuces mécaniques auprès de celle qui avait été initiée par le peuple nain. La Vierge de Bronze se sentait bien trop redevable pour l'abandonner ainsi à la lubricité de la Drow.

- Ne force pas, lui conseilla Shabel à l'oreille. Laisse déborder si besoin. Je suis là pour t'aider...

D'une main attentionnée, l'ex-mercenaire massait le cou et caressait les cheveux de Dwëna. De l'autre, elle lui effleurait le ventre.
Shabel n'osa pas tout de suite recueillir du bout de sa langue ce qui avait commencé à couler de la commissure de ses lèvres souillées.