Le Lys est un établissement luxueux et discret dédié à l'exploration des désirs intimes et des fantasmes, dans un cadre sécurisant et respectueux. Habité par des créatures femelles fascinantes, le personnel accompagne chaque visiteuse dans une expérience personnalisée, mêlant audace et bienveillance. C'est un sanctuaire unique où chaque femme peut dépasser les conventions pour se reconnecter à ses véritables aspirations.
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Voyage lointain à la frontière de l'irréel [Le Lys]

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Emmy Stan
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C'est dans les sous-sols de la maison, accompagnée par Martha ma chatte tellement géniale, que j'étais à côté d'elle en train d'essayer de comprendre ce qu'elle faisait encore. Elle était encore en train de triturer ce putain d'ordinateur de fou, dans la salle qui servait de recherche scientifique et qu'utilisait autrefois mes parents, avant de disparaitre du jour au lendemain. Comment expliquer bien les choses... Si en vrai, je ne révélais pas à tout le monde qu'on était capable de se parler et de se comprendre. Qu'elle était tellement intelligente, qu'elle supplanterait certainement le meilleurs élève du monde au bac, c'est certain que tout le monde me prendrait pour la dernière des barges. Bref, pendant qu'elle bidouille sur l'écran pour vérifier un truc avec le sac-sans-fond magique, j'attends à côté en me faisant un peu chier, parce qu'elle disait avoir besoin de moi en cas d'éventuel problème.

- (Martha la chatte domestique de Emmy) : Veux-tu bien arrêter de faire les cent pas dans la pièce, pendant que je me concentre à essayer de décoder des informations précieuses sur ton sac, légué holographiquement parlant par tes parents, Emmy?

- (Emmy) : Pfff... Tu fais chier Martha. C'est vraiment important de savoir si je risque d'entrer dans une éventuelle faille dimensionnelle, en utilisant ce truc? Même les parents, ils n'en ont pas parlé. Tu te fais encore des délires toute seule dans ta tête de chat qui parle et qui a surtout raté sa vocation de devenir un néko, super scientifique internationalement reconnu par le monde entier.

- Ma fille sache que tu es pour l'heure, encore bien trop naïve que pour comprendre certaines choses cosmiques dans ce grand univers qui te dépasse. Si je m'arrête au simple "scientifiquement parlant", j'ai mes raisons de croire que cet objet peut potentiellement te conduire à travers des failles dangereuse du multivers. Je fais cela pour ton bien.

- Ouais, tu parles. Mon cul oui. C'est surtout que si je dois disparaitre dans ta faille multivers machin, que t'as surtout peur de ne plus recevoir tes croquettes quatre étoiles, achetées dans la meilleure boutique animale de la ville.

- *Soupir* Ce que je ne ferai et ne supporterai pas de toi, si je ne t'aimais pas...

En vrai, même si je trouvais son procédé ultra compliqué et chiant à en mourir, je trouvais pas ça inintéressant dans le fond. Mais bon allez, imaginons deux secondes que son truc des mondes temporels soit réel dans sa tête, ça pourrait être marrant de faire un saut ailleurs dans cet espace temps. Comment je reviendrais ensuite, ça j'en sais rien. Mais s'il y a vraiment une existence d'univers parallèles, ça pourrait être un truc de dingue en soit...

Donc, pendant que la chatte avec ses éternels airs de petite bourgeoise capricieuse et arrogante toute adorable comme elle est, pianote avec ses pattes sur le clavier comme elle jouerait avec une souris entre ses griffes, je continue de la laisser faire. C'est qu'il fallait la voir avec sa blouse blanche de genre "madame je suis une scientifique de génie", avec ses lunettes miniatures pour lire l'écran en même temps. Bref à un moment, je continue de chatter sur mon téléphone en attendant je ne savais pas trop quoi. Entre ma pote Jude, qui me sort des conneries sur ses derniers groupes de métal à la mode, avec ses musiciens tellement "trop cools et branchés". Mon autre pote Carl, qui se fait parfois du soucis sur l'avancée de sa relation avec elle, parce qu'il est fou amoureux d'elle, mais qu'il reste toujours quelque part coincé dans sa boucle. Ou bien mon Kentin adoré, avec qui je réponds à ses messages d'amour, tous tellement plus mignons les uns que les autres, je finis par être tellement concentrée, que je ne capte pas tout de suite que miss boule de poils m'interpelle.

- Emmy?... Emmy! Je crois que je viens de détecter une perturbation anormale, provenant du sac magique. Quand je te le dis, tu le retires doucement de l'inhibiteur. Et pas de mouvement brusques.

- Ha? T'as trouvé enfin un truc cool?

- Ce n'est pas "cool" Emmy. Soit donc un peu plus sérieuse et mature de temps en temps. Et fais ce que je te dis, si tu ne veux pas que la maison, le quartier, la ville ou je ne sais quoi d'autre, disparaisse à travers une fluctuation dimensionnelle hyper sensible spontanée, à caractère instable à phénomène sensoriel extra-planaire, de type déchirure méga quantique du noyau primaire de la couche de niveau trois de l'électron biotique magnétique, à fulguration thermique accéléré.

Je m'arrête un instant, mais genre vraiment sans bouger, pendant que je l'entends déblatérer sa thèse de catastrophe de fin du monde. C'est là que j'ai une idée, pour l'aider à résoudre son équation "dimensionnelle".

- Euh... Ouais, d'accord Martha. T'énerves pas. Moi j'ai une solution plus simple. C'est de marcher jusqu’à ton appareil, de tendre la main, d'attraper le sac, de le retirer de ton truc où il est enfermé et hop, fini les emmerdes.

Du Martha tout craché. Quand elle est à fond comme ça, le monde pourrait vraiment s'écrouler et disparaitre, qu’elle serait encore dans ses calculs à se demander si le monde allait disparaitre... Il faudra que je dise un jour au prof de sciences de faire des cours sur tout ça. Des cours expliqués par Martha par visioconférence et qui fera croire qu'elle utilise un filtre, pour passer pour un chat intello de génie. Je finis d'envoyer un dernier message au groupe, en leur disant que je pars courageusement sauver le monde, à cinq pas plus loin de ma position. Une fois devant le sac mis sous l'étrange appareil qui tourne et qui semble vibrer, je suis les instructions de Martha pour enlever la sécurité qui retient le sac enfermé à l'intérieur. C'est alors qu'elle commence un décompte rapide et en mode ultra sérieux, en m'indiquant que je devais être précise lors du retrait du sac.

- Emmy? Prépare-toi à le retirer d'urgence. Je sens des ondes instables, qui commencent à perturber les systèmes. Même mes moustaches n'aiment pas ça du tout.

- Bein, il fallait peut-être juste pas faire tout ce cinéma et on en serait pas là. Moi aussi, je sens parfois des ondes instables quand je prends mon téléphone ou que je sors un plat du four.

- Trêves de plaisanteries. Le moment devient critique. Alors concentre-toi, au lieu de raconter des idioties. Tu es prête? A mon signal, retrait d'urgence du sac-sans-fond dans... 3...2...1...

- ... Zéro! Allez hop! Fin de la game. Le monde est sauvé Martha.

Au moment où je prends le sac pour le retirer de l'appareil, j'ai un instant comme une sensation un peu chelou qui se propage dans mon corps. Sans doute à cause des délires paranos de Martha qui font ça...

- Okay c'est fait. C'est bon Martha... Alors? C'est quoi le résultat final de tes théories complotistes à caractère dimensionnel?

Lorsque je regarde la douce petite chatte poilue tellement mignonne et qui a la chance de vivre comme une reine, dans cette maison depuis huit ans, elle ne répond pas. Quand je m'approche d'elle pour lui confirmer que j'ai assuré l'opération de sauvetage du monde et de l'univers, je vois que non seulement elle ne bouge pas, mais en plus que l'écran et tous les chiffres qui défilaient sans arrêt avant, se sont comme arrêtés de bouger. Sur le coup, je trouvais tellement drôle et surtout impossible, que je me marre avant de lui taper dessus gentiment avec la main.

- Ouais. Très drôle comme blague. Tu...

Mais en la touchant, je sens qu'il y a comme un truc qui cloche. Martha avait comme l'air d'être devenue toute dure. C'était comme si elle s'était transformée en pierre... Quand je tente de lui faire des signes et des grimaces pour qu'elle me réponse, elle ne faisait absolument rien, à part rester toujours pareille, sans bouger un seul de cil de chat qu'elle n'a pas. Là, je commence à comprendre que ça craint peut-être... Surtout que Martha, elle n'est pas du genre à faire des blagues de ce style. Alors pour être certaine, je regarde un peu partout autour de moi, mais sans rien remarquer d'autre. Sauf quand je prend le téléphone en main et que je vois que plus rien ne s'affiche...

- C'est quoi ce délire?...

Après avoir bien compris qu'en fait, bah ça n'allait juste pas du tout, je décide de sortir de là. Sait-on jamais qu'il se passe un truc et que ça va se remettre en route tout seul? En sortant à travers la porte blindée qui heureusement était restée ouverte, c'est là que je l'ai vue. Une porte de dingue. Immense, dorée et qui attend comme dans un espace en total hors du temps, située juste derrière les fenêtres de la maison. A l'extérieur, quand je m'approche pour bien regarder, je remarque que tout était blanc lumineux... De partout. Du ciel, du sol, à l'horizon... Pendant que je commence vraiment à paniquer sa mère, je fais le tour de la maison pour savoir comment j'allais sortir de là. Car, impossible d'ouvrir la porte ou de casser un carreau. J’arrivais pas à croire que ce sac ait pu vraiment faire ça... Je savais qu'il était vraiment spécial et unique. Clairement un genre de truc que même moi, je ne montrerais jamais à tout le monde. Mais de là à ce que ça parte en délire dimensionnel de multivers machin... A moins que...

- Ouais c'est bon. C'est juste un rêve. Je suis en train de pioncer dans mon lit et quand le réveil va sonner, je vais me réveiller genre à côté de Kentin, avec sa trop belle trogne de furry dragon et qui m'aura fait l'amour durant toute la nuit entière. Je suis sûre que c'est ça. En attendant, putain de rêve éveillé quoi.

Du moins, c'était ce que je voulais essayer de croire... Mais en attendant, je me suis rappelée que je gardais toujours les fenêtres ouvertes à l'étage. Donc une fois arrivée en haut en quatre enjambées, je regarde encore à l'extérieur. C'était toujours pareil. Du blanc partout, avec juste quelques mètres de jardin en contrebas et surtout, cette porte de dingue qui se tenait un peu plus loin... Je n'avais pas besoin de capter plus, ou d'avoir un cerveau sur-développé comme celui de Martha, pour comprendre qu'il fallait que je sorte de là et que j'aille voir cette porte, parce que j'avais juste pas d'autre choix possibles à l'heure actuelle. Quand je saute de la fenêtre, non sans oublier de garder le sac-sans-fond avec moi, sait-on jamais que ça serve, je me réceptionne en bas en roulé-boulé. Sans perde de temps, je me dirige vers la fameuse porte. Impressionnante, massive. J'ai pas le temps de commenter, que celle-ci est déjà en train de s'ouvrir quand j'arrive devant...
Modifié en dernier par Emmy Stan le 18 juil. 2025 17:24, modifié 1 fois.
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Re: Voyage lointain à la frontière de l'irréel [Le Lys]

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Regina, une gobeline à la peau d’un beau vert, flottait avec une grâce envoûtante dans sa piscine d’argent, un océan scintillant de pièces dorées et de billets froissés qui dansaient sous ses mouvements lents et ondulants, comme une caresse liquide sur sa silhouette. Sa peau, d’une texture soyeuse sous la lumière tamisée, semblait absorber les reflets des trésors autour d’elle, accentuant les courbes délicates de son corps menue mais voluptueux, typique de sa race. Sa poitrine, généreuse pour une gobeline, se soulevait doucement à chaque respiration, ses rondeurs pleines et fermes captant l’eau dorée qui ruisselait en fines gouttelettes, traçant des chemins sensuels le long de son décolleté jusqu’à ses hanches arrondies. Une couronne dorée, sertie d’émeraudes éclatantes qui lançaient des éclats verts profonds à chaque mouvement, reposait avec élégance sur sa tête, ses cheveux blancs tombant en cascades soyeuses jusqu’à ses épaules. Ses jambes nues, s’étiraient avec une grâce féline, chaque muscle se dessinant sous la peau verte comme une invitation tacite. Ses yeux, d’un vert émeraude intense, brillaient d’une lueur chaleureuse et curieuse, chaque iris orné d’un cœur vert clair éclatant qui palpitait doucement, ajoutant une touche d’innocence à son regard magnétique. Ses lèvres s’entrouvraient légèrement, laissant échapper un souffle tiède parfumé d’une fragrance sucrée, tandis que ses doigts fins, aux ongles dorés, effleuraient sa peau avec une tendresse presque amoureuse, jouant avec les pièces comme avec des pétales précieux. Au Lys, sous sa douce influence, les clientes se laissaient emporter par une quête sensuelle de plaisirs matériels et charnels, et Regina, avec sa bienveillance séductrice, les guidait dans cet univers de délices avec une générosité captivante.

Un grondement doux brisa la sérénité de son bain luxueux. Elle releva la tête, la couronne d’émeraudes captant la lumière en reflets verts chatoyants, alors qu’un portail dimensionnel s’ouvrait au-dessus de la piscine. Une lumière blanche et veloutée en jaillit, et une ombre indistincte se dessina à travers le vortex, une silhouette floue dont les contours promettaient une présence intrigante. Regina se redressa avec une grâce fluide, l’eau d’or glissant sur sa peau en ruisselets provocants, soulignant la courbe de ses hanches et la rondeur de ses seins, et posa un regard doux et curieux sur cette apparition mystérieuse, ses yeux pétillant d’intérêt.

Un sourire tendre et séducteur étira ses lèvres sensuelles tandis qu’elle s’avançait, ses pas nus caressant les pièces avec une légèreté aérienne, chaque mouvement faisant onduler son corps comme une vague de désir. « Eh bien, eh bien… qu’est-ce que ce portail m’apporte de si charmant ? » sa voix, douce et veloutée, portait une chaleur accueillante qui résonna dans la salle comme une mélodie apaisante. Elle s’arrêta sous l’ouverture, la couronne d’émeraudes brillant comme une auréole bienveillante, et laissa ses bras se détendre le long de son corps. « Une silhouette si mystérieuse… Peut-être un trésor vivant ou un secret délicieux ? Viens, petite chose, n’aie pas peur… Je suis curieuse de te découvrir. »

Elle tendit une main gracieuse, ses doigts fins frémissant d’une anticipation délicate, leurs ongles dorés scintillant comme des étoiles, tandis que son regard vert émeraude enveloppait l’ombre d’une tendresse envoûtante. « Allez, sors de là… Tout ce qui passe par ce portail est le bienvenu chez moi, et je ne supporte pas l’idée qu’on reste caché. Prends ton temps, je suis patiente… Viens me raconter ton histoire. » Son ton, empreint de calme et de séduction, vibrait d’une invitation sincère, son corps rayonnant d’une énergie sensuelle alors que son esprit s’ouvrait à l’idée des richesses ou des plaisirs que cette silhouette pourrait partager avec elle.

Re: Voyage lointain à la frontière de l'irréel [Le Lys]

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Emmy Stan
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Okay alors comment dire... Des films de science-fiction souvent nazes et parfois vraiment chelous, j'en ai maté des tonnes. Des histoires qui partent en délire lunaire, on m'en a raconté aussi un sacré paquet. Des mythos qui racontent leur vie comme quoi ils ont fait le tour du monde et qu'ils auraient voyagé dans l'espace, avec un simple sac sur le dos, j'en connais. Des camés ou des bourrés qui sont tellement dans leurs délires bullshit à croire qu'ils communiquent avec l'au-delà, qu'ils sont élus et porteurs du monde de demain, hélas j'en connais aussi...

Puis maintenant, il y les rêves. Parfois drôles, tordus, étranges ou encore ceux qui tournent parfois en cauchemar. Et bien celui-là, avec cette espèce de fille qui ressemble à une reine gobeline à tête farceuse sur pattes et qui se trouve dans une piscine d'or et rempli d'argent, il est là. Mon cauchemar le plus délirant. Ou je devrais dire par les termes les plus simples comme "débile à en faire pleurer". Celui qui se trouve juste devant mes yeux. Parce que je voulais presque encore croire un instant Martha, au sujet de ses trucs dimensionnels. Mais même avec la maison plongée dans une sorte d'espace temps chelou distordu, c'est juste encore rien du tout à côté de ça. Donc ouais. Je suis en train de me faire le trip le plus dingue de toute ma life, à peine à dix-huit ans.

Pendant que je regarde l'improbable à travers cette étrange porte, la créature qui s'y trouvait dedans et sortie tout droit d'un fantasme sans doute un peu barré et inavoué de ma part, me regarde et me sourit d'une façon presque aussi lubrique, que hilare. Elle avait aussi des formes vraiment pas dégueulasses à voir, en plus d'avoir une voix qui en disait long sur son gabarit très engageant. Dans ses délires, ou je devrais dire dans mes délires, elle m'invite à la rencontrer. Comme une sirène sortie du fond des eaux, mais en version gobeline des monde médiévaux fantastiques des jeux de rôles tout pétés du cul, elle me tend la main en me disant qu'elle était prête à m'attendre. Prête à écouter mon histoire. Qu'elle serait patiente... Mais patiente de quoi? C'est plutôt à moi, d'essayer d'être patiente pour supporter mon cerveau qui part brioche. Aussi je jure que quand je me réveille demain matin, que je vérifierais si j'ai vraiment pas consommé un truc chelou, avant de m'endormir...

- Salut. Ouais tu veux que je vienne? Bah attends. J'arrive alors. Puisqu'ici tout est permis de tout faire et que personne ne saura jamais rien, à part moi et mes délires évidemment, et bien je vais pas me priver. T'inquiète.

Toujours convaincue à 200% que ce que je voyais là n'était clairement pas un espace-temps comme le prétendait Martha, mais plutôt un fantasme déguisé à travers un délire lubrique, je traverse cash la porte. Quand j'entre, je suis un instant surprise par la gravité qui s'inverse. Que la porte en question, était juste au-dessus de la gobeline. Je tombe de plusieurs mètre, jusqu’à me retrouver dans cette piscine vraiment trop bizarre.

PLOUF !


Encore PLOUF dans un rp. Ça va devenir un running gag à force. :lol:


Sous l'eau lumineuse et toute dorée où se trouvait des tonnes de pièces d'or luminescentes, je n'avais même pas besoin de retenir ma respiration. Au moins c'était définitivement clair que tout confirmait maintenant de A à Z, le délire total du rêve absolu dans lequel j'étais entré. Je regarde un instant autour de moi cet étrange décor qui ferait rêver n'importe quelle crapule, joueur de casino ou de loto en manque de faire un jackpot. Ou bien encore mon banquier qui m'a récemment offert ma nouvelle carte gold spéciale 18-25 ans, édition avantage deluxe, gratuit les six premiers mois.

Quand j'en avez assez vu, je remonte tranquille à la surface. Car le meilleur pour moi, était plutôt celle qui m'attendait bien sagement tout en haut. C'est alors que je vois la gobeline qui est toujours là, à flotter et à me regarder. Et comme je savais maintenant que tout ceci n'était qu'un rien d'autre qu'un rêve, elle pourra compter sur moi pour ne pas me priver de vivre à fond ce délire érotique conscient et complétement barré. Je me rapproche alors d'elle, sans me gêner le moins du monde pour bien la mater. Elle était vraiment canon pour une gobeline. Rien à voir avec les trucs tout moches qu'on voit dans les mondes d' héroïques fantasy que je connais.

- Salut ma jolie gobeline. Dis-donc, tu sais que pour une fille qui représente apparemment un vilain fantasme inavoué et niché au coin de ma tête, que t'as vraiment du charme? T'as pas l'air d'être plus grande pour deux sous de ta piscine lumineuse, mais entre tes gros airbags bien ajustés. Tes cuisses sacrément galbées. Tes énormes oreilles qui sot plus grande que celles des ânes. Ta chevelure blanche qui rendrait jaloux n'importe quelle meuf de chez moi, t'as vraiment un charme de fou ma jolie petite naine verte.

Évidemment, parce que je ne suis pas du genre coincée du cul de base. Évidement, parce que je croyais toujours que tout ça, c'était rien d'autre qu'un rêve délirant et un peu trop éveillé, je me rapproche encore de la gobeline. Prête à lui rouler sans attendre, un putain de patin monumental comme j'en ai pratiquement jamais donné de toute ma vie entière.

- Tu veux savoir c'est quoi mon histoire, ma belle? Et bien c'est simplement celle d'une fille qui est parti dans un rêve tellement hilarant, qu'elle croise l'un de se fantasmes inavoués sur pattes et qui est en train de nager dans une piscine rempli de fric. Alors je me dis que puisque tout ça n'est pas réel et que du coup, tout est permis de faire dans l'absolu, autant que j'en en profite à fond avant de me réveiller gentiment dans mon lit chez moi, demain matin.

A cet instant, je l'enlace et je lui roule une bonne grosse pelle comme j'en fait à Kentin. Mais sachant que j'étais dans un rêve érotique. Même délirant. Autant assumer et faire rapidement tout ce que j'ai envie de faire avec cette fille, avant que ce rêve aussi sacrément barge qu'il semble réel, ne se termine.
Modifié en dernier par Emmy Stan le 30 juil. 2025 15:47, modifié 2 fois.
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Re: Voyage lointain à la frontière de l'irréel [Le Lys]

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Regina, Vice-Présidente de l’Avarice, sentit une vague de délice parcourir son corps alors que la silhouette imprévue – cette jeune humaine aux cheveux désordonnés et au regard audacieux – plongeait dans sa piscine d’argent et d’or avec un plouf retentissant. Ses yeux émeraude, ornés de cœurs palpitants, s’illuminèrent d’une lueur vorace et séductrice tandis qu’elle observait Emmy émerger, trempée, les pièces dorées scintillant sur sa peau comme des joyaux fraîchement conquis. Cette intrusion soudaine, née d’un portail dimensionnel qu’elle n’avait pas elle-même invoqué, était une opportunité – peut-être un trésor vivant à façonner, à posséder. Son amour obsessionnel des richesses, qu’elles soient matérielles ou charnelles, s’éveilla pleinement, et un sourire enjôleur étira ses lèvres sensuelles.

Elle s’avança vers Emmy, marchant avec une grâce irréelle comme si elle flottait dans les airs, ses mouvements ondulants faisant danser l’eau dorée autour de ses courbes voluptueuses, ses seins généreux captant les reflets lumineux tandis que ses doigts dorés effleuraient les pièces comme pour les offrir en gage. « Oh, ma chère intruse… quel plaisir inattendu tu apportes dans mon domaine ! » murmura-t-elle d’une voix veloutée, chaude et envoûtante, chaque mot imprégné de la promesse de plaisirs infinis. Elle s’arrêta à quelques centimètres d’Emmy, son regard plongeant dans le sien avec une intensité magnétique, savourant l’audace brute de cette humaine qui la matait sans retenue, ses compliments crus résonnant comme une offrande à son ego insatiable.

Lorsque Emmy s’approcha, l’enlaçant avec une audace débridée avant de lui rouler une « grosse pelle » sans hésitation, Regina ne recula pas. Au contraire, elle s’abandonna au baiser avec une avidité calculée, ses lèvres s’entrouvrant pour accueillir cette passion désinvolte, sa langue frôlant celle d’Emmy avec une tendresse perverse. Ses mains fines glissèrent sur les épaules humides de la jeune femme, ses ongles dorés traçant des lignes légères mais possessives sur sa peau, comme pour marquer ce nouveau trésor. « Mmmh… quelle fougue, petite aventurière, » ronronna-t-elle en se détachant légèrement, son souffle sucré effleurant le visage d’Emmy. « Tu crois que c’est un rêve, n’est-ce pas ? Le Lys est un rêve où tu t’amuses comme tu veux… mais aussi une réalité, car tout ce qui se passe ici est vrai… et je peux te donner bien plus que tes fantasmes inavoués. »

Elle resserra son étreinte avec douceur, pressant son corps contre celui d’Emmy, ses courbes généreuses s’accordant aux siennes avec une précision séductrice. « Tu as traversé ma porte, tu es donc mon invitée, ma belle… je veux te faire découvrir mon domaine. » Ses doigts glissèrent vers le sac que Emmy portait, ses yeux s’illuminant d’une lueur curieuse. « Ce sac vibre d’une énergie rare… Il a l'air très intéressant. Mais viens, j'ai aussi des objets très rares, laisse-moi te montrer mes richesses en tant que maîtresse de l’Avarice. » Elle rit doucement, un son mélodieux teinté d’avidité, avant se détacher de la demoiselle et de guider Emmy, ses pas flottants l’entraînant dans une danse sensuelle.

Elle la mena vers une vue panoramique de ses possessions – coffres débordants, bijoux étincelants, et tentures luxueuses. « Mais surtout, amuse-toi… je suis Regina, maîtresse de l’Avarice, et je veux voir jusqu’où tu peux te lâcher dans ce monde. Montre-moi l’étendue de tes désirs, et je te promets un voyage que tu n’oublieras pas. » Son regard brillait d’une soif insatiable, impatiente d’encourager chaque excès d’Emmy, transformant son délire en une célébration de gratification mutuelle sous l’égide du Lys, où les désirs les plus fous trouvaient toujours un écho.

Re: Voyage lointain à la frontière de l'irréel [Le Lys]

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Emmy Stan
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Quand j'ai embrassé la gobeline qui devait faire à peine plus d'un mètre de haut sur ses deux pattes, j'ai vraiment pas été déçu du voyage. J'ai senti sa langoureuse langue attraper la mienne, avec une fougue assez dingue. Okay. J'avais mis le max aussi pour lui rouler ce patin carrément délicieux. Mais cette petite chose toute verte, avec ses attributs sacrément généreux à faire pâlir n'importe quelle meuf, en avait sacrément sous le capot. Rien que la toucher et l'avoir en bouche, c'était comme si elle était une déesse incarnée à elle toute seule. Un truc de dingue... Mais certainement aussi parce que cette meuf, c'était l'un de mes fantasmes. Aussi tordu et barré soit-il, je l'avoue... Et après que nous ayons rompu ce baiser de fou. Que la petite gobeline haut comme trois pommes ait posé ses mains sur moi, comme si elle cherchait à me posséder de l'intérieur ou à m'extirper l'âme, elle me regarde avec un charme, mêlé à une sorte de détachement presque irréel. Même ses iris en forme de cœur brillant, étaient hypnotiques de fou.

- C'est dingue. Même dans mes rêves les plus cachés, jamais j'aurai pensé croisé une gobeline aussi stylée que toi.

Le temps que je réponde à son compliment, elle me présente ce qui se nomme être "Le Lys". Une sorte de royaume des rêves où on s'amuse en faisant tout ce qu'on veut à l'intérieur, mais en même temps à travers une sorte de réalité profonde. Un endroit, où même miss gobeline pouvait me donner encore bien plus, que mes simplement mes plus gros fantasmes. Okay le niveau quoi.

- Ouah... Quelle image de carte postale idyllique tu me vends, ma jolie. Mais t'avais pas besoin de me l'expliquer en détail. Javais déjà compris que j'étais dans un rêve très... "conscient".

La petite créature avec son corps de rêve et surtout sa poitrine aussi démesurée, que belle et gracieuse, me resserre contre elle. Comme la sirène des eaux luminescentes pleines de fric à gogo qu'elle était, elle m'appelait clairement à vivre à travers l'abandon. A goûter à une espèce d’infini qui ne regarderait que moi et personne d'autre. Le genre d’endroits où quand tu y es, t'as juste pas envie de te réveiller après.

- Putain. Heureusement que je me fais pas chier dans la réalité. Parce que autrement, j'en chialerai toutes les larmes de mon corps en me réveillant. * Rires à la fois amusés et passablement troublés *

L'adorable petite gobeline qui m'enlace, insiste pour me faire découvrir son monde à elle. Ou au moins dans l'absolu, son domaine. Elle s'intéresse un instant à mon sac-sans-fond. Le fameux "catalyseur" de tous les emmerdes originels, si je me réfère au commencement des choses avec Martha, toute-à-l'heure. Elle m'entraine alors dans une façon à la fois sublime et vraiment très provocante, à me faire découvrir ses propres possessions. Bien que je doutais personnellement pas qu'elle devait être la propriétaires de toutes sortes d'objets très utiles et intéressants, il y avait peu de chances qu'elle possède ici un truc qui m'intéresse réellement plus, que sa petite seule petite personne à elle. C'est pour dire le niveau. Et puis c'est quand même pour ça que j'étais là et que je voulais vite en profiter...

- Je doute pas un seul instant des trucs sublimes que tu as à me montrer, mais je doute trouver plus intéressant que ce que j'ai juste sous les yeux, ma jolie et sublime petite verte insolente.

Tout en commentant avec amusement, c'est lorsqu'on sort de sa piscine en flottant dans les airs, qu'elle m'entraine dans des hauteurs presque irréelles. Et c'est à partir de là que je pouvais admirer toute la fameuse étendue de son domaine. Un truc rempli d'argent et de babioles, toutes plus étincelantes les uns que les autres. Effectivement au niveau de ses richesses, elle plaisantait pas la garce. Elle en était noyée jusqu'au cou. Mais en même temps, ça confirmait aussi ce que je pensais. Il n'y a ici que du matériel. Rien de charnel. J'en concluais que si la miss avec ses gros airbags était en manque à ce moment-là, que j'osais même pas imaginer la suite avec elle...

La belle en question et qui se présente en tant que "Régina maitresse de l'avarice" - quelle surprise inattendue - m'invite à m'amuser. Mais plus encore, elle voulait savoir jusqu’où j'étais prête à me lâcher dans mes désirs. Et que cet endroit serait pour moi, un lieu que je n'oublierais pas... C'est que la garce avait vraiment des atouts dans sa poche, pour me convaincre de vraiment faire tout ce que je voulais ici et sans aucune retenue. Même si le terme "désirs et assouvissements à caractère illimités et hors toute règlementations raisonnables", ne voulait pas dire que je ressentais l'envie de faire des trucs vraiment sales ou qui allaient simplement à l'opposé de mes propres principes.

- Franchement ce que tu me propose là ma belle, c'est juste l’extase et l('éclate totale. Ça m'excite grave. Et carrément que je vais en profiter avec toi. Ça ouais...

Je me rapproche de Régina pour lui caresser le cou et la joue. Elle me faisait un effet assez ouf.

- Mais crois pas que je vais tomber dans des trucs tordus. Tu sais, le genre de trucs qui fait du mal ou qui détruit les autres. Même dans un rêve, c'est pas du tout mon délire. Mais maintenant, je dis pas que mes fantasmes sexuels ne seraient pas du genre à ne pas me faire aller en taule et à bouffer des oranges. Mais disons qu'ils restent... "mignons".

Pendant que je continue de regarder la belle, savoir que je vais lui parler des mes désirs et de mes secrets les plus profonds, me faisait vibrer intérieurement d'une force assez rare...

- Tu veux savoir de quoi j'ai le plus envie, dans mes délires d'étudiante sacrément folle? Jusqu'où j'aimerai aller en allant au-dessus des lois et des règles?

Pendant que je colle et je l’enlace la belle, je l’embrasse encore sur la bouche. Mais pas aussi intimement que précédemment.

- Baiser avec toi autant que possible. Faire ça dans des endroits complètement dingue. Pratiquer le voyeurisme à outrance et en toute impunité. Voila mon truc. Faire ça en étant vu par le plus de monde possible et dans des endroits variés. Mais être dans des situations où tout le monde te pointerait déjà du doigt en temps normal. Vivre à travers la "honte", pour la transcender. Voila mon plus grand délire.

Je me retourne encore une fois au niveau du panorama prétendument dingue, que la gobeline sur pattes pensait gentiment m'offir.

- Tes trésors et tout ce que tu possèdes, c'est cool. Mais ça manque cruellement d'érotisme pour moi. Je préfère une bonne dose de baise que j'oublierai jamais pour le reste de ma vie comme t'as dis, que de repartir avec une montagne de fric. Et puis de toutes façons, de l'argent j'en ai. Mes parents en touchaient pas mal, avant qu'ils ne disparaissent il y a un peu plus d'un an. Pour le moment, j'ai la chance de vivre sur leurs économies, jusqu'à au moins que je termine mes études. Puis bon, voler de l'argent dans ton monde, je ne vois vraiment pas ce qu'il y a d'aussi excitant que de profiter de ton corps de la façon la plus indécente qui soit?

Je caresse les jolies lèvres de l'arrogante petite verte toute mignonne et toute perverse, avant de conclure.

- T''as tous les atouts pour plaire. Hormis peut-être ta taille de naine, tu as exactement le corps que j'ai pas. Toi tu as des putains de miches, alors que moi je suis une planche à pain ambulante. Tu as des hanches et des cuisses qui feraient bander n'importe quel mec de la terre entière. Un ventre sublime que l'on pourrait caresser pendant des heures. Des petit bras peut-être pas très musclés, mais d'une finesse vraiment sympa à voir. Un visage parfait, malgré ta tête de gobeline. Pourquoi je me ferai chier avec tous tes trésors, quand j'ai la possibilité de jouer sans retenue avec une meuf comme toi et qui me le propose en plus, tellement gentiment? Et puis maintenant je t'ai raconté le fantasme que personne ne connait, montre-moi plutôt par où commencer pour le réaliser. Parce que du monde pour l'instant, j'en vois pas beaucoup par ici.
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🌞 Emmy (dialogues) color=#FF8000
🔥 Emmy (pensées intérieures) color=#008000
🐾 Martha la chatte domestique (seulement comprise par Emmy) color=#000000
🏍️ Narration (Un texte écrit en italique) color=#000000

Re: Voyage lointain à la frontière de l'irréel [Le Lys]

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Le Lys
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Fiche
Demande de RP
La lumière crue baignait d’abord la vue panoramique, un étalage somptueux de coffres débordants, de bijoux étincelants et de tentures luxueuses qui s’étendait sous leurs yeux, un spectacle de richesses qui faisait briller les prunelles de Regina. Debout, son corps nu luisant comme un trésor vivant, ses pieds nus caressant les pièces dorées éparpillées, elle savourait encore la chaleur du baiser d’Emmy, ce baiser audacieux qui lui laissait un goût de défi sur les lèvres. Ses yeux émeraude, ornés de ces petits cœurs palpitants, pétillaient d’une envie fébrile en observant la jeune femme, ses cheveux blancs tombant en désordre et sa couronne d’émeraudes jetant des éclats sauvages. Les mots d’Emmy – cette envie crue de sexe sous les regards, de transformer la honte en triomphe – dansaient dans son esprit comme une mélodie qu’elle brûlait de diriger.

Un rire doux lui échappa, un son chaleureux qui roulait comme des pièces dévalant une pente. « Ma belle, ton culot me donne une faim de loup », murmura-t-elle, sa voix douce et rauque glissant sur Emmy comme une caresse qu’on n’oublie pas. Elle s’approcha, ses hanches ondulant avec une grâce qui captivait, l’eau dorée encore accrochée à sa peau nue coulant en ruisseaux tentants. « Tu veux du sexe exposé, des regards qui te consument, une honte qui devient ta force ? Ton idée est un festin, et je vais l’enrichir encore. » D’un claquement de doigts, la vue panoramique s’effaça, cédant la place à une salle de trône imposante. Autour du trône d’or massif, une foule de femmes se rassembla – clientes élégantes aux yeux brillants, employées du Lys aux sourires complices, filles de joie drapées de soie, toutes tournées vers elles avec une avidité palpable. Leurs murmures, mêlés de rires étouffés et de chuchotements excités, emplissaient l’air.

« Voilà ton théâtre, ma chère », lança-t-elle avec un sourire malicieux, sa voix montant comme une annonce triomphante. « Ces femmes ne jugeront pas – elles vont se régaler de chaque geste, chaque son que tu offriras. » Elle guida Emmy au centre, ses pas nus faisant tinter les pièces sous ses pieds, puis s’installa sur le trône, son corps nu s’offrant sans retenue. Ses jambes s’écartèrent légèrement, ses seins ronds se soulevant avec une respiration provocante. « Viens, agenouille-toi devant moi », ordonna-t-elle d’une voix chaude, son regard plongeant dans celui d’Emmy avec une intensité magnétique. « Fais-moi un cunnilingus, ma belle – goûte-moi sous leurs yeux. »

Ses doigts dorés glissèrent sur sa propre peau, l’un descendant vers son intimité qu’elle caressa avec une lenteur délibérée, un gémissement sourd s’échappant de ses lèvres, tandis que l’autre main pinçait un mamelon, le tirant légèrement pour amplifier son plaisir. « Montre-moi ton audace, humaine », souffla-t-elle, son ton mêlant séduction et autorité. « Prends-moi comme tu l’imagines, ici, avec toutes ces femmes qui matent. Je veux voir jusqu’où tu oses aller. »

Elle pencha la tête, ses cheveux blancs encadrant son visage avec une touche de sauvagerie, et tendit une main vers Emmy avec un sourire enjôleur. « Mais donne-moi un trésor, ma belle – un secret, un souvenir, n’importe quoi qui vient de toi. Offre-moi ça, et je te promets des plaisirs qui dépasseront tes rêves les plus fous. Des lieux variés, ces regards brûlants, une honte transformée en gloire – je peux tout orchestrer, mais j'exige quelque chose en retour, après tout, je représente l'Avarice. » Ses yeux brillèrent d’une lueur gourmande, son corps nu frémissant sous ses propres caresses, prête à transformer l’audace d’Emmy en un spectacle qu’elle dominerait avec une faim insatiable.
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