Le désert du sud était infini. Ses dunes ondoyaient sous un soleil implacable, imposant sa chaleur à chaque grain de sable, chaque brise. Les oasis étaient rares, presque mythiques, et les cités de jadis n’étaient plus que des ruines abandonnées par les hommes et les dieux.
Au milieu de cette mer de sable, le Temple de Râ se dressait encore, majestueux et solitaire. Un monument imposant, avec ses hautes colonnes de pierre gravées de symboles anciens et de scènes racontant les exploits du grand dieusolaire. Mais aujourd’hui, il n’était plus qu’un vestige du passé. Le soleil brûlant, source de vie et de pouvoir, n’était plus qu’une lumière éteinte aux yeux de ceux qui le vénéraient. Les prêtres et les adorateurs avaient déserté le temple, incapables de supporter la chaleur écrasante du dieu sans retour. Râ avait disparu, laissant son temple derrière lui comme un héritage de gloire oubliée.
Neferita, fille du soleil, demi-déesse née d’un dieu et d’une mortelle, se tenait à l’orée de ce templeabandonné, contemplant les ruines. Ses cheveux brillaient d’une lueur dorée, comme une couronne solaire, et ses yeux, profonds et insondables, reflétaient une colère ancienne.
Elle n'était pas venue pour adorer. Elle n'était pas venue pour prier.
Elle était venue pour prendre ce qui lui revenait. Elle était venue pour se venger.
Le désert s'étendait à perte de vue, ses dunes dorées ondulant sous le souffle implacable du vent. À l'horizon, émergeait l'imposant Temple de Râ, ses hautes colonnes de pierre devenues fragiles et érodées par les siècles. Ce lieu, autrefois baigné d'une lumière divine, était désormais une ombre de ce qu’il avait été.
Neferita s'approcha lentement, ses pieds effleurant à peine le sable brûlant. La demi déesse avait toujours ressenti une connexion particulière avec ce temple, l’orgueil de son père, Râ, qui avait jadis illuminé l'Égypte. Mais aujourd’hui, le temple semblait abandonné, en ruine. Les murs, autrefois ornés de fresques sacrées, étaient fissurés, les pierres couvertes de poussière, et les statues de Râ, défigurées par le temps, n'étaient plus que des silhouettes incomplètes.
Elle s’arrêta au seuil du sanctuaire, les yeux fixés sur l'autel autrefois sacré, maintenant éteint et couvert de sable. Là où le feu divin brûlait sans fin, il n’y avait plus qu'un vide immense, un oubli.
Le cœur de Neferita se serra. Ce temple, cet héritage, n'était plus que l'ombre de ce qu'il avait été. La puissance divine qui en émanait avait disparu, et avec elle, son père, Râ, qui l’avait abandonnée depuis longtemps. Neferita, fille de ce dieu et d'une mortelle, avait grandi dans son ombre, rejetée par lui, ignorée, et pourtant toujours attachée à ce temple. Mais aujourd'hui, elle n'était plus la simple héritière oubliée. Elle était la légitime déesse solaire, et elle allait prendre sa place.
Elle ne pouvait accepter cette dégradation. Le Temple de Râ était son patrimoine, et elle allait le réapproprier. Mais pour ce faire, elle devait le purifier, le restaurer, et faire en sorte que ce lieu incarne sa propre lumière.
Neferita savait que cette tâche nécessitait plus que des pouvoirs divins. Elle avait besoin d’experts pour transformer ce temple, pour le restaurer et l’adapter à sa volonté divine. C'était là que les Servantes du Lys entraient en jeu.
Les Maid du Lys, l’ordre sacré qui avait pour mission de purifier et restaurer les lieux d’importance sacrée, étaient les seules à pouvoir l'aider. Elles étaient les mains du divin, capables de transformer un sanctuaire en un lieu d'équilibre et de pouvoir, tout en respectant la force originelle de chaque espace. Mais plus encore, elles étaient les servantes loyales, prêtes à répondre à l’appel de la déesse qui réclamait son droit.
Elle tourna le dos à l’autel délabré et se dirigea d’un pas résolu vers la sortie du temple, son regard braqué sur l’horizon désertique. Le Lys, un sanctuaire distant, était l'endroit où les Maid résidaient. Là-bas, elles s’occupaient des temples abandonnés, des lieux en déclin, les purifiant, les réactivant, en faisant des espaces sacrés prêts à accueillir la lumière divine. Ce serait là qu'elle trouverait l'aide qu'elle cherchait.
-
Le Lys
- Messages : 175
- Enregistré le : 14 août 2024 09:35
- Fiche
- Demande de RP
Dans les couloirs luxueux du Lys, un sanctuaire éloigné réputé pour ses services sacrés et sensuels, une demande avait récemment retenti comme un appel divin. Neferita, fille du soleil et demi-déesse abandonnée, avait requis la restauration du Temple de Râ, un vestige majestueux mais déchu au cœur du désert. Les patronnes du Lys, sensibles à la puissance de cette cliente exceptionnelle, confièrent la mission aux cheffes des Maids, Amy et Mya, conscientes que seule une intervention premium conviendrait à une descendante divine. La rumeur de cette tâche s’était répandue comme un murmure lubrique parmi les servantes, certaines chuchotant avec délice à l’idée de plonger dans les ruines sacrées, leurs doigts agiles ayant déjà exploré des plaisirs interdits dans les salles privées du Lys. Les jumelles ogresses, déterminées à honorer cette requête prestigieuse, se préparèrent avec un zèle particulier, leurs tenues provocantes dissimulant à peine les courbes qu’elles offraient parfois l’une à l’autre dans l’intimité de leurs nuits partagées.
Les sables s’écartèrent comme un souffle tremblant alors qu’Amy et Mya surgissaient, leurs pas une danse hésitante contre la chaleur oppressante. Les cheveux roses d’Amy flamboyaient comme une rose défiant le désert, son regard perçant tranchant la brume tandis qu’elle ajustait l’uniforme de maid audacieusement moulant qui épousait ses formes voluptueuses. La lingerie noire et blanche serrait ses seins comme une seconde peau, les volants blancs encadrant son décolleté débordant, chaque respiration menaçant de faire éclater le tissu délicat, un téton frôlant presque la dentelle sous l’effort. Le petit nœud noir entre ses bonnets ajoutait une touche mignonne et provocante, tandis que la culotte à volants couvrait à peine ses hanches arrondies, les bordures froncées dansant comme une caresse face au vent, laissant entrevoir une ligne suggestive le long de sa cuisse.
À ses côtés, Mya avançait avec une grâce fragile, ses cheveux bleus ondulant comme une vague retenue dans le chaos, ses yeux timides fuyant comme des ombres sous le même uniforme osé. Ses seins, plus imposants que ceux d’Amy, tendaient le tissu des bonnets, la dentelle blanche une cage fragile pour ses courbes généreuses, et la culotte minuscule reposait bas sur ses hanches, dévoilant l’étendue crémeuse de ses cuisses à chaque pas. Le col froncé autour de son cou flottait comme un drapeau rendu, sa gorge nue et vulnérable contrastant avec la hardiesse de sa sœur.
Les tenues :
Amy ajusta son sac, un artefact enchanté du Lys où la magie et la technologie s’entremêlaient pour offrir un espace de stockage infini, ses doigts dansant sur la surface lisse comme sur un trésor vivant. « Ce lieu a souffert, mais nous allons le ramener à la vie. Une demi-déesse mérite notre meilleur service. » Sa voix portait une assurance ferme, ses yeux balayant l’horizon avec détermination. Elle posa une main protectrice sur l’épaule de Mya, son regard s’adoucissant. « Prête, petite sœur ? »
Mya hocha la tête, ses doigts effleurant une colonne couverte de sable, un rouge montant à ses joues alors que la brise taquinait sa peau exposée. « Oui... » murmura-t-elle, sa voix à peine audible, ses lèvres scellées par une timidité oppressante, tandis qu’elle baissait les yeux vers le sol.
Elles avancèrent ensemble, leurs silhouettes s’harmonisant comme un duo dansé sous le soleil brûlant, le sable crissant sous leurs pas légers, chaque mouvement chargé d’une tension palpable. Amy menait avec assurance, ses hanches ondulant comme une vague souveraine, tandis que Mya la suivait, ses pas hésitants frôlant le sol comme si elle craignait de le réveiller. Bientôt, elles atteignirent l’entrée du Temple de Râ, ses hautes colonnes brisées s’élevant comme des sentinelles fatiguées, leurs ombres s’étirant comme des doigts décharnés sur le sol ardent. Le vent portait une odeur de pierre sèche et d’oubli, et les ruines semblaient murmurer des échos de prières perdues, l’air vibrant d’une attente lourde.
Amy s’arrêta net, tournant un regard brûlant vers sa sœur, un sourire malicieux étirant ses lèvres. « Regarde-moi ces gros seins, Mya, bien plus gros que les miens ! Ils débordent de ta tenue » D’un mouvement audacieux, elle se glissa derrière elle, ses mains glissant sous le tissu délicat de la lingerie, ses doigts s’enfonçant dans la chair tendre pour peloter les seins de Mya avec une possessivité crue. Elle pinça les tétons durs entre ses doigts, arrachant un frisson à sa sœur, puis, avec un rire étouffé, souleva les bonnets pour dévoiler pleinement les globes opulents, les volants retombant comme des pétales fanés. Elle pressa son corps contre le dos de Mya, ses tétons durs frottant la peau nue à travers le tissu, son souffle chaud caressant sa nuque. « Ils sont à moi, petite timide, je pourrais te faire crier avant qu’on touche à ces ruines, tu sais ? »
Mya se figea, un souffle court et saccadé s’échappant de ses lèvres closes, ses joues s’enflammant comme un brasier naissant. Ses mains tremblèrent violemment, hésitant entre repousser Amy et se soumettre, tandis que son corps trahissait une chaleur croissante, ses cuisses se pressant l’une contre l’autre sous l’assaut taquin, une goutte de sueur glissant le long de sa poitrine exposée. Elle baissa les yeux, muette, son silence amplifiant la tension électrique entre elles, ignorant totalement ce qui se passait autour d'elles.
Le sac enchanté d’Amy bougeait sous l'action, l’air s’épaississant d’une atmosphère sensuelle et tendue alors que les sœurs s’attardaient à l’entrée du temple, leurs corps entrelacés dans une danse improvisée, inconscientes des yeux divins qui les épiaient dans l’ombre, le sac magique pulsant d’une énergie mystérieuse à leurs pieds.
Les sables s’écartèrent comme un souffle tremblant alors qu’Amy et Mya surgissaient, leurs pas une danse hésitante contre la chaleur oppressante. Les cheveux roses d’Amy flamboyaient comme une rose défiant le désert, son regard perçant tranchant la brume tandis qu’elle ajustait l’uniforme de maid audacieusement moulant qui épousait ses formes voluptueuses. La lingerie noire et blanche serrait ses seins comme une seconde peau, les volants blancs encadrant son décolleté débordant, chaque respiration menaçant de faire éclater le tissu délicat, un téton frôlant presque la dentelle sous l’effort. Le petit nœud noir entre ses bonnets ajoutait une touche mignonne et provocante, tandis que la culotte à volants couvrait à peine ses hanches arrondies, les bordures froncées dansant comme une caresse face au vent, laissant entrevoir une ligne suggestive le long de sa cuisse.
À ses côtés, Mya avançait avec une grâce fragile, ses cheveux bleus ondulant comme une vague retenue dans le chaos, ses yeux timides fuyant comme des ombres sous le même uniforme osé. Ses seins, plus imposants que ceux d’Amy, tendaient le tissu des bonnets, la dentelle blanche une cage fragile pour ses courbes généreuses, et la culotte minuscule reposait bas sur ses hanches, dévoilant l’étendue crémeuse de ses cuisses à chaque pas. Le col froncé autour de son cou flottait comme un drapeau rendu, sa gorge nue et vulnérable contrastant avec la hardiesse de sa sœur.
Les tenues :
Mya hocha la tête, ses doigts effleurant une colonne couverte de sable, un rouge montant à ses joues alors que la brise taquinait sa peau exposée. « Oui... » murmura-t-elle, sa voix à peine audible, ses lèvres scellées par une timidité oppressante, tandis qu’elle baissait les yeux vers le sol.
Elles avancèrent ensemble, leurs silhouettes s’harmonisant comme un duo dansé sous le soleil brûlant, le sable crissant sous leurs pas légers, chaque mouvement chargé d’une tension palpable. Amy menait avec assurance, ses hanches ondulant comme une vague souveraine, tandis que Mya la suivait, ses pas hésitants frôlant le sol comme si elle craignait de le réveiller. Bientôt, elles atteignirent l’entrée du Temple de Râ, ses hautes colonnes brisées s’élevant comme des sentinelles fatiguées, leurs ombres s’étirant comme des doigts décharnés sur le sol ardent. Le vent portait une odeur de pierre sèche et d’oubli, et les ruines semblaient murmurer des échos de prières perdues, l’air vibrant d’une attente lourde.
Amy s’arrêta net, tournant un regard brûlant vers sa sœur, un sourire malicieux étirant ses lèvres. « Regarde-moi ces gros seins, Mya, bien plus gros que les miens ! Ils débordent de ta tenue » D’un mouvement audacieux, elle se glissa derrière elle, ses mains glissant sous le tissu délicat de la lingerie, ses doigts s’enfonçant dans la chair tendre pour peloter les seins de Mya avec une possessivité crue. Elle pinça les tétons durs entre ses doigts, arrachant un frisson à sa sœur, puis, avec un rire étouffé, souleva les bonnets pour dévoiler pleinement les globes opulents, les volants retombant comme des pétales fanés. Elle pressa son corps contre le dos de Mya, ses tétons durs frottant la peau nue à travers le tissu, son souffle chaud caressant sa nuque. « Ils sont à moi, petite timide, je pourrais te faire crier avant qu’on touche à ces ruines, tu sais ? »
Mya se figea, un souffle court et saccadé s’échappant de ses lèvres closes, ses joues s’enflammant comme un brasier naissant. Ses mains tremblèrent violemment, hésitant entre repousser Amy et se soumettre, tandis que son corps trahissait une chaleur croissante, ses cuisses se pressant l’une contre l’autre sous l’assaut taquin, une goutte de sueur glissant le long de sa poitrine exposée. Elle baissa les yeux, muette, son silence amplifiant la tension électrique entre elles, ignorant totalement ce qui se passait autour d'elles.
Le sac enchanté d’Amy bougeait sous l'action, l’air s’épaississant d’une atmosphère sensuelle et tendue alors que les sœurs s’attardaient à l’entrée du temple, leurs corps entrelacés dans une danse improvisée, inconscientes des yeux divins qui les épiaient dans l’ombre, le sac magique pulsant d’une énergie mystérieuse à leurs pieds.
Neférita les guida doucement à travers l’entrée majestueuse du Temple de Râ, malgré les colonnes brisées qui se dressaient encore comme des gardiennes fatiguées. Le sable, mêlé aux débris de pierre, formait un tapis irrégulier sur le sol, et la lumière du soleil perçait par endroits à travers les fissures du toit effondré, dessinant des motifs changeants sur les murs ornés de hiéroglyphes fanés.
Avant de commencer la visite, elle s’arrêta devant une porte solide et bien entretenue.
« Voici la chambre que j’occupais, » dit-elle d’une voix calme et presque fière. « C’est le seul endroit du temple qui ne soit pas délabré. Je l’ai moi-même nettoyée et réparée du mieux que j’ai pu. »
Elle ouvrit la porte, révélant une pièce simple mais chaleureuse. Les murs, bien que marqués par le temps, étaient intacts, ornés de fresques aux couleurs encore vives. Un lit large, rond, couvert de draps propres, trônait au centre, baigné par la lumière douce d’une lampe à huile suspendue au plafond. Quelques tapis épais étaient posés au sol, offrant un confort rare dans ce lieu oublié. Une petite table en bois usé portait des objets personnels soigneusement rangés, témoignages silencieux d’une présence attentive.
« Vous pourrez dormir ici, » reprit Neférita. « Je vous laisserai mon lit pour tout le temps que vous resterez au temple. Ce lieu a besoin de vous, mais il est aussi votre refuge. »
Puis, reprenant leur chemin, elle les mena vers la grande salle du culte.
« Voilà la salle principale, » annonça-t-elle. « Elle est envahie par la poussière et le sable, et les statues sont érodées. Quand j’ai commencé à nettoyer ici, j’ai compris combien de temps il a fallu pour que le temple en arrive à cet état. Des années, peut-être des décennies d’abandon. »
Elle s’arrêta devant une rangée de statues inachevées, leurs visages à moitié effacés.
« Ces statues demandent une attention délicate. Un grain de sable peut causer des dégâts irréparables. »
Elles continuèrent vers la salle des offrandes, où une mousse étrange couvrait les murs.
« Ici, l’humidité a laissé ses traces. Il faudra faire preuve de prudence pour ne pas abîmer les reliques. »
Neférita se tourna vers Amy et Mya, un sourire teinté de douceur et de compassion.
« Dites-moi… pourquoi de si jolies jeunes filles comme vous se retrouvent à faire ce genre de travail ? » demanda-t-elle.
Puis, son regard devint plus sérieux, empreint d’empathie.
« Je sais que c’est beaucoup à demander. Si vous pensez que c’est trop, je comprendrai. »
Elle posa doucement une main sur l’épaule de Mya.
« Si jamais vous voulez arrêter, dites-le sans crainte. Ce temple mérite des cœurs dévoués, mais pas au prix de votre bien-être. Et sachez que je vous paierai la journée, même si vous décidez de partir maintenant. »
Avant de commencer la visite, elle s’arrêta devant une porte solide et bien entretenue.
« Voici la chambre que j’occupais, » dit-elle d’une voix calme et presque fière. « C’est le seul endroit du temple qui ne soit pas délabré. Je l’ai moi-même nettoyée et réparée du mieux que j’ai pu. »
Elle ouvrit la porte, révélant une pièce simple mais chaleureuse. Les murs, bien que marqués par le temps, étaient intacts, ornés de fresques aux couleurs encore vives. Un lit large, rond, couvert de draps propres, trônait au centre, baigné par la lumière douce d’une lampe à huile suspendue au plafond. Quelques tapis épais étaient posés au sol, offrant un confort rare dans ce lieu oublié. Une petite table en bois usé portait des objets personnels soigneusement rangés, témoignages silencieux d’une présence attentive.
« Vous pourrez dormir ici, » reprit Neférita. « Je vous laisserai mon lit pour tout le temps que vous resterez au temple. Ce lieu a besoin de vous, mais il est aussi votre refuge. »
Puis, reprenant leur chemin, elle les mena vers la grande salle du culte.
« Voilà la salle principale, » annonça-t-elle. « Elle est envahie par la poussière et le sable, et les statues sont érodées. Quand j’ai commencé à nettoyer ici, j’ai compris combien de temps il a fallu pour que le temple en arrive à cet état. Des années, peut-être des décennies d’abandon. »
Elle s’arrêta devant une rangée de statues inachevées, leurs visages à moitié effacés.
« Ces statues demandent une attention délicate. Un grain de sable peut causer des dégâts irréparables. »
Elles continuèrent vers la salle des offrandes, où une mousse étrange couvrait les murs.
« Ici, l’humidité a laissé ses traces. Il faudra faire preuve de prudence pour ne pas abîmer les reliques. »
Neférita se tourna vers Amy et Mya, un sourire teinté de douceur et de compassion.
« Dites-moi… pourquoi de si jolies jeunes filles comme vous se retrouvent à faire ce genre de travail ? » demanda-t-elle.
Puis, son regard devint plus sérieux, empreint d’empathie.
« Je sais que c’est beaucoup à demander. Si vous pensez que c’est trop, je comprendrai. »
Elle posa doucement une main sur l’épaule de Mya.
« Si jamais vous voulez arrêter, dites-le sans crainte. Ce temple mérite des cœurs dévoués, mais pas au prix de votre bien-être. Et sachez que je vous paierai la journée, même si vous décidez de partir maintenant. »
-
Le Lys
- Messages : 175
- Enregistré le : 14 août 2024 09:35
- Fiche
- Demande de RP
Amy et Mya se tenaient dans l’ombre des colonnes brisées du Temple de Râ, la chaleur du désert s’infiltrant dans l’air poussiéreux, mêlée à l’odeur sèche de la pierre ancienne. Les rayons du soleil, filtrés par les fissures du toit, dansaient sur leurs uniformes de maids, révélant leurs courbes sous la lingerie noire et blanche audacieusement moulante. Les paroles de Neferita, pleines de compassion et de gravité, résonnaient encore, son offre de refuge et sa question sur leur présence dans ce lieu sacré suspendues dans l’atmosphère lourde.
Amy, ses cheveux roses flamboyant comme un défi au soleil implacable, ajusta son sac enchanté, dont la surface vibrait d’une magie ancienne. Son uniforme serrait ses seins généreux, la dentelle blanche frôlant ses tétons durcis par la fraîcheur du temple, tandis que la culotte à volants, à peine couvrante, soulignait ses hanches rondes, chaque mouvement faisant danser les bordures froncées contre ses cuisses. Ses yeux perçants se posèrent sur Neferita, un sourire audacieux étirant ses lèvres. « Pourquoi nous ? » répondit-elle, sa voix chaude et assurée, vibrante d’une autorité naturelle. « Parce que le Lys nous a forgées dans le feu, déesse. On a survécu à l’enfer, Mya et moi, et on sait redonner vie aux lieux brisés, comme ce temple. On va le restaurer, le faire briller sous votre lumière. »
Elle s’approcha de l’autel principal, ses pas résonnant sur le sol sableux, ses hanches ondulant avec une assurance féline. Ses doigts effleurèrent la pierre froide, traçant les contours des hiéroglyphes fanés comme une caresse possessive. « Ces statues, cette poussière, ce sable… on va tout remettre en ordre, » déclara-t-elle, son regard pétillant d’un mélange de défi et de désir. « On a l’habitude des tâches délicates. Nos mains savent être… précises. » Elle jeta un coup d’œil malicieux à Mya, ses lèvres s’étirant en un sourire provocant.
Mya, à ses côtés, semblait presque se fondre dans l’ombre, ses cheveux bleus lisses encadrant un visage rougissant. Son uniforme, identique à celui d’Amy, serrait ses seins encore plus imposants, la dentelle blanche cédant sous leur poids, révélant un éclat de peau crémeuse. Sa culotte minuscule, perchée bas sur ses hanches, laissait ses cuisses nues frémir sous la brise tiède du temple. Ses yeux timides évitaient ceux de Neferita, mais sa voix, douce et tremblante, brisa le silence. « Ce temple… il mérite d’être remis à neuf, » murmura-t-elle, ses doigts effleurant une statue érodée avec une révérence fragile. « Pour vous, pour son histoire… on va le faire. Je… je veux le faire. »
Amy, sentant la vulnérabilité de sa sœur, glissa derrière elle avec une agilité prédatrice, ses mains audacieuses se posant sur les hanches de Mya. « Oh, ma douce Mya, toujours si sérieuse, » susurra-t-elle, sa voix rauque et taquine. Ses doigts glissèrent sous la culotte à volants, frôlant la peau sensible de l’intérieur de ses cuisses, puis remontèrent pour pincer délicatement la chair tendre, arrachant un petit gémissement étouffé à Mya. « Regarde comme elle est belle quand elle rougit, déesse Neferita, »
dit Amy, ses lèvres frôlant la nuque de sa sœur, son souffle chaud faisant frissonner sa peau. D’un geste provocant, elle souleva légèrement le corset de Mya, exposant la courbe opulente de ses seins, les tétons durcis à peine voilés par la dentelle. Elle pressa son propre corps contre le dos de Mya, ses seins frottant contre sa peau nue à travers le tissu, une chaleur intime pulsant entre elles. « On pourrait réveiller ce temple rien qu’avec nos flammes, pas vrai, petite sœur ? »
Mya se figea, un souffle court s’échappant de ses lèvres, ses joues en feu. Ses mains tremblèrent, hésitant à repousser Amy, mais son corps trahissait une chaleur croissante, ses cuisses se pressant l’une contre l’autre sous l’assaut sensuel. « A-Amy… pas maintenant, » balbutia-t-elle, son regard fuyant vers Neferita, implorant presque, mais teinté d’un désir qu’elle peinait à cacher. « On… on doit travailler… pour elle. »
Amy éclata d’un rire rauque, relâchant Mya mais laissant une main possessive sur sa taille. « D’accord, ma timide, » dit-elle, se tournant vers Neferita avec un clin d’œil. « Mais ne vous méprenez pas, déesse. On sait bosser dur… et s’amuser. Ce temple va redevenir un joyau, et on va y mettre tout notre cœur. » Elle tapa sur le sac enchanté, qui vibra d’une énergie mystérieuse. « On a tout ce qu’il faut là-dedans – magie, outils, et un peu de piquant pour faire chanter ces pierres. »
Elles se mirent au travail, Amy dégageant le sable de l’autel avec une énergie féroce, son uniforme se tendant à chaque mouvement, la dentelle menaçant de céder sous ses seins rebondis. Mya, plus délicate, s’attaqua à une statue, ses doigts tremblants mais précis caressant la pierre comme une amante, enlevant la poussière avec une douceur presque sacrée. L’air du temple s’échauffait, chargé d’une tension mêlant devoir divin et désir latent, leurs corps dansant entre les ombres et la lumière.
« Alors, déesse Neferita, » lança Amy, son sourire audacieux illuminant la salle, « vous nous guidez, ou vous nous laissez faire à notre sauce ? Ce temple va briller comme votre couronne solaire, et on promet que ce sera… mémorable. » Mya, silencieuse, continua son travail, mais un frisson visible la trahit, son corps vibrant d’une énergie contenue, ses yeux lançant un regard furtif vers Neferita, pleins de promesse et de dévotion.
Amy, ses cheveux roses flamboyant comme un défi au soleil implacable, ajusta son sac enchanté, dont la surface vibrait d’une magie ancienne. Son uniforme serrait ses seins généreux, la dentelle blanche frôlant ses tétons durcis par la fraîcheur du temple, tandis que la culotte à volants, à peine couvrante, soulignait ses hanches rondes, chaque mouvement faisant danser les bordures froncées contre ses cuisses. Ses yeux perçants se posèrent sur Neferita, un sourire audacieux étirant ses lèvres. « Pourquoi nous ? » répondit-elle, sa voix chaude et assurée, vibrante d’une autorité naturelle. « Parce que le Lys nous a forgées dans le feu, déesse. On a survécu à l’enfer, Mya et moi, et on sait redonner vie aux lieux brisés, comme ce temple. On va le restaurer, le faire briller sous votre lumière. »
Elle s’approcha de l’autel principal, ses pas résonnant sur le sol sableux, ses hanches ondulant avec une assurance féline. Ses doigts effleurèrent la pierre froide, traçant les contours des hiéroglyphes fanés comme une caresse possessive. « Ces statues, cette poussière, ce sable… on va tout remettre en ordre, » déclara-t-elle, son regard pétillant d’un mélange de défi et de désir. « On a l’habitude des tâches délicates. Nos mains savent être… précises. » Elle jeta un coup d’œil malicieux à Mya, ses lèvres s’étirant en un sourire provocant.
Mya, à ses côtés, semblait presque se fondre dans l’ombre, ses cheveux bleus lisses encadrant un visage rougissant. Son uniforme, identique à celui d’Amy, serrait ses seins encore plus imposants, la dentelle blanche cédant sous leur poids, révélant un éclat de peau crémeuse. Sa culotte minuscule, perchée bas sur ses hanches, laissait ses cuisses nues frémir sous la brise tiède du temple. Ses yeux timides évitaient ceux de Neferita, mais sa voix, douce et tremblante, brisa le silence. « Ce temple… il mérite d’être remis à neuf, » murmura-t-elle, ses doigts effleurant une statue érodée avec une révérence fragile. « Pour vous, pour son histoire… on va le faire. Je… je veux le faire. »
Amy, sentant la vulnérabilité de sa sœur, glissa derrière elle avec une agilité prédatrice, ses mains audacieuses se posant sur les hanches de Mya. « Oh, ma douce Mya, toujours si sérieuse, » susurra-t-elle, sa voix rauque et taquine. Ses doigts glissèrent sous la culotte à volants, frôlant la peau sensible de l’intérieur de ses cuisses, puis remontèrent pour pincer délicatement la chair tendre, arrachant un petit gémissement étouffé à Mya. « Regarde comme elle est belle quand elle rougit, déesse Neferita, »
dit Amy, ses lèvres frôlant la nuque de sa sœur, son souffle chaud faisant frissonner sa peau. D’un geste provocant, elle souleva légèrement le corset de Mya, exposant la courbe opulente de ses seins, les tétons durcis à peine voilés par la dentelle. Elle pressa son propre corps contre le dos de Mya, ses seins frottant contre sa peau nue à travers le tissu, une chaleur intime pulsant entre elles. « On pourrait réveiller ce temple rien qu’avec nos flammes, pas vrai, petite sœur ? »
Mya se figea, un souffle court s’échappant de ses lèvres, ses joues en feu. Ses mains tremblèrent, hésitant à repousser Amy, mais son corps trahissait une chaleur croissante, ses cuisses se pressant l’une contre l’autre sous l’assaut sensuel. « A-Amy… pas maintenant, » balbutia-t-elle, son regard fuyant vers Neferita, implorant presque, mais teinté d’un désir qu’elle peinait à cacher. « On… on doit travailler… pour elle. »
Amy éclata d’un rire rauque, relâchant Mya mais laissant une main possessive sur sa taille. « D’accord, ma timide, » dit-elle, se tournant vers Neferita avec un clin d’œil. « Mais ne vous méprenez pas, déesse. On sait bosser dur… et s’amuser. Ce temple va redevenir un joyau, et on va y mettre tout notre cœur. » Elle tapa sur le sac enchanté, qui vibra d’une énergie mystérieuse. « On a tout ce qu’il faut là-dedans – magie, outils, et un peu de piquant pour faire chanter ces pierres. »
Elles se mirent au travail, Amy dégageant le sable de l’autel avec une énergie féroce, son uniforme se tendant à chaque mouvement, la dentelle menaçant de céder sous ses seins rebondis. Mya, plus délicate, s’attaqua à une statue, ses doigts tremblants mais précis caressant la pierre comme une amante, enlevant la poussière avec une douceur presque sacrée. L’air du temple s’échauffait, chargé d’une tension mêlant devoir divin et désir latent, leurs corps dansant entre les ombres et la lumière.
« Alors, déesse Neferita, » lança Amy, son sourire audacieux illuminant la salle, « vous nous guidez, ou vous nous laissez faire à notre sauce ? Ce temple va briller comme votre couronne solaire, et on promet que ce sera… mémorable. » Mya, silencieuse, continua son travail, mais un frisson visible la trahit, son corps vibrant d’une énergie contenue, ses yeux lançant un regard furtif vers Neferita, pleins de promesse et de dévotion.
Neferita resta un long moment silencieuse, les yeux mi-clos, tandis que les mots d’Amy et Mya se déposaient dans l’air chaud du sanctuaire comme un encens invisible. Elle les observait avec une lenteur presque lascive, comme si chaque détail la manière dont Amy tenait son sac, la façon dont Mya frôlait la pierre, la tension palpable entre leurs gestes révélait plus que de simples intentions.
Elle descendit enfin les marches de l’autel, sa silhouette drapée de tissus soyeux épousant chacun de ses mouvements. La lumière tamisée filtrait à travers les fissures du plafond, jetant sur sa peau dorée des reflets ondoyants, presque liquides.
« Vous parlez de feu et de travail, mais ce que je sens ici… » murmura-t-elle, sa voix douce comme un tissu glissant sur la peau nue, « … c’est une pulsation plus ancienne. Plus profonde. »
Elle s’arrêta devant Amy. Le regard de la déesse plongea dans celui de la jeune femme, et un silence voluptueux s’étira entre elles. Neferita leva une main, effleurant le bord de l’épaule d’Amy d’un geste lent, presque cérémoniel, à peine un frisson de contact, juste assez pour que l’air semble vibrer entre leurs corps.
« Tu rayonnes, Amy. D’audace. De volonté. Mais aussi de désir — pas seulement de plaire, mais de transformer. Tu veux laisser ta marque sur chaque chose que tu touches. » Son doigt glissa jusqu’au creux du cou, avant de se retirer comme une promesse inachevée.
Elle s’approcha ensuite de Mya, plus lentement encore, avec une douceur qui semblait flotter. Neferita, penchée tout contre elle, posa un doigt sous son menton et guida son regard jusqu’au sien.
« Et toi… tu es faite de brumes et de soupirs. Fragile, en apparence. Mais je sens en toi une intensité silencieuse, une chaleur douce, patiente… capable d’envelopper et d’apaiser même les blessures du passé. »
Son souffle frôla la joue de Mya, léger comme un parfum, figée dans cet instant suspendu où le sacré et le charnel se frôlaient sans se heurter.
Neferita se redressa, et en se détournant, laissa ses doigts glisser furtivement contre les hanches de Mya, comme par inadvertance. Puis elle s’éloigna, sa voix s’élevant à nouveau, pleine de cette chaleur mystérieuse qui faisait trembler les murs oubliés du temple.
« Ce sanctuaire ne se restaure pas avec des outils seuls. Il réclame des mains vivantes. Des corps attentifs. Il veut sentir la vie vibrer contre ses pierres, les souffles danser entre ses piliers. Vous avez la fougue… et la finesse. La passion… et la retenue. C’est ce qu’il réclame. »
Elle se tourna une dernière fois vers elles, son regard brûlant d’un feu ancien.
« Donnez-lui plus que votre force. Donnez-lui votre rythme. Votre lien. Faites vibrer ses murs comme vous vibrez l’une auprès de l’autre. Et peut-être… il se souviendra. Et moi aussi. »
Elle se retournas légèrement et leurs fit signe de la suivre.
Elle descendit enfin les marches de l’autel, sa silhouette drapée de tissus soyeux épousant chacun de ses mouvements. La lumière tamisée filtrait à travers les fissures du plafond, jetant sur sa peau dorée des reflets ondoyants, presque liquides.
« Vous parlez de feu et de travail, mais ce que je sens ici… » murmura-t-elle, sa voix douce comme un tissu glissant sur la peau nue, « … c’est une pulsation plus ancienne. Plus profonde. »
Elle s’arrêta devant Amy. Le regard de la déesse plongea dans celui de la jeune femme, et un silence voluptueux s’étira entre elles. Neferita leva une main, effleurant le bord de l’épaule d’Amy d’un geste lent, presque cérémoniel, à peine un frisson de contact, juste assez pour que l’air semble vibrer entre leurs corps.
« Tu rayonnes, Amy. D’audace. De volonté. Mais aussi de désir — pas seulement de plaire, mais de transformer. Tu veux laisser ta marque sur chaque chose que tu touches. » Son doigt glissa jusqu’au creux du cou, avant de se retirer comme une promesse inachevée.
Elle s’approcha ensuite de Mya, plus lentement encore, avec une douceur qui semblait flotter. Neferita, penchée tout contre elle, posa un doigt sous son menton et guida son regard jusqu’au sien.
« Et toi… tu es faite de brumes et de soupirs. Fragile, en apparence. Mais je sens en toi une intensité silencieuse, une chaleur douce, patiente… capable d’envelopper et d’apaiser même les blessures du passé. »
Son souffle frôla la joue de Mya, léger comme un parfum, figée dans cet instant suspendu où le sacré et le charnel se frôlaient sans se heurter.
Neferita se redressa, et en se détournant, laissa ses doigts glisser furtivement contre les hanches de Mya, comme par inadvertance. Puis elle s’éloigna, sa voix s’élevant à nouveau, pleine de cette chaleur mystérieuse qui faisait trembler les murs oubliés du temple.
« Ce sanctuaire ne se restaure pas avec des outils seuls. Il réclame des mains vivantes. Des corps attentifs. Il veut sentir la vie vibrer contre ses pierres, les souffles danser entre ses piliers. Vous avez la fougue… et la finesse. La passion… et la retenue. C’est ce qu’il réclame. »
Elle se tourna une dernière fois vers elles, son regard brûlant d’un feu ancien.
« Donnez-lui plus que votre force. Donnez-lui votre rythme. Votre lien. Faites vibrer ses murs comme vous vibrez l’une auprès de l’autre. Et peut-être… il se souviendra. Et moi aussi. »
Elle se retournas légèrement et leurs fit signe de la suivre.