The Multiversity

[Félicia Hardy]

Des retrouvailles totalement inattendues ! Félicia n’avait jamais vraiment oublié Valeria, et leur torride nuit d’amour. En un sens, cette rencontre avait peut-être aussi façonné les choix de Félicia de quitter New York, d’avoir une nouvelle vie au Japon… Et cela avait sans doute contribué à la rendre plus perverse. Valeria ne semblait pas tant lui en vouloir que ça de l’avoir abandonné. Au lieu de ça, elle lui fit même observer qu’elle avait beaucoup changé au niveau de ses fantasmes.

« Oh, pas qu’au niveau de mes fantasmes, ma belle… »

Valeria avait sans doute dû le constater. Félicia était désormais en couple, et elle et Aoki discutaient fiançailles, mariage, et enfants. Mais, pour l’heure, Valeria s’efforça de la baiser. Usant visiblement de sa magie, Valeria avait modifié les godes… Ou peut-être qu’ils avaient toujours été de vraies verges dissimulées. Félicia n’en savait trop rien, mais elle sentait Valeria redoubler d’efforts, grognant contre elle. Elle avait pris sa forme normale, conservant en l’état sa combinaison en latex. Les deux corps crissaient et se frottaient au milieu du lit. Les intenses coups de reins de Valeria auraient normalement dû réveiller Rebecca, car le lit grinçait et craquait. Valeria la prenait vigoureusement, et plaqua les mains de Félicia sur le lit, l’empêchant de palper ses fesses, ou de griffer son dos. Maintenant que son identité était révélée, Valeria semblait s’être libérée d’un poids, et donnait de toute sa force dans le traitement sexuel intense qu’elle faisait subir avec merveille à Félicia. Celle-ci avait relevé ses jambes pour les enrouler autour du bassin de sa partenaire.

La prenant vigoureusement, Valeria entrait dans une cadence soutenue. Félicia gémissait et haletait, tout en poussant des ronronnements. Son corps tremblait nerveusement, et elle n’arrivait même plus à réfléchir. Plus Valeria la prenait, et plus l’esprit de la Chatte Noire éclatait, se dispersant dans d’immenses volutes de plaisir. Elle se mit donc à jouir, contractant de délicieux orgasmes, avant de sentir Valeria jouir en elle. La succube se relâcha puissamment, tapissant sa chatte, inondant son fondement de son foutre délicieux.

« Haaaaaannnn… »

Félicia soupira longuement tout en la sentant jouir, la remplissant. Valeria se calma ensuite, la respiration lourde, et relâcha les mains de Félicia. La Chatte Noire caressa alors la joue de Valeria, et lui vola un baiser.

« T-Toujours aussi énergique que dans mes souvenirs… M-Mais sache que… Haaaa… J-J’ai moi aussi gagné en endurance, hmmm… »

Gémissant doucement, Félicia était bien décidée à le lui prouver… Mais, pour l’heure, Valeria était dans son élan. Elle aussi avait de toute évidence soif, et se mit sur les genoux, pour pouvoir mieux la besogner. Les mains de Félicia glissèrent à nouveau sur le lit, le bas de son corps s’étant redressé, facilitant les pénétrations de Valeria. La Chatte Noire se mit à gémir encore, et à ronronner de nouveau !

[Valeria]

Les orgasmes s’étaient succédé rapidement, avec une force étonnante. Seul un succube pouvait provoquer un tel plaisir avec une telle régularité, une telle justesse, une telle intensité. Valeria avait vu Felicia succomber autant de fois qu’elle l’avait décidé et pourtant, bien qu’essoufflée et empreinte de lassitude, elle était encore active, prête à subir la suite voire à prendre les rênes pour la suite.

« T-Toujours aussi énergique que dans mes souvenirs… M-Mais sache que… Haaaa… J-J’ai moi aussi gagné en endurance, hmmm…
- Hahaha je vois ça ! »

Ce n’était rien de le dire. Elle aurait dû gésir sous elle sans aucune capacité autre que chercher son souffle et râler de plaisir avant de sombrer dans un sommeil empli de félicité.

Valeria était impressionnée : une endurance humaine ne suffisait pas pour arriver à un tel résultat, une telle capacité d’absorption. Il allait y avoir pas mal de choses à apprendre, pour autant que la Chatte veuille les partager.

Elle changea la position, redressée sur ses genoux, le corps de Felicia suspendu par ses hanches qu’elle empoignait souplement. Elle recommença à la prendre avec une régularité souple et lascive, chaque coup de rein s’achevant d’un final un peu plus brusque, histoire de bien marquer son territoire. Une légère excroissance se forma sur le bas-ventre de Valeria, juste ce qu’il fallait pour venir stimuler le clitoris de la jeune femme à chaque passage.

Le gode muta encore, une longue queue se développant pour venir envahir la bouche de Felicia d’un gland doré, chaud et pulsant. Les mouvements induits par les corps guidaient ceux du gode qui, en rythme, entrait tour à tour plus profondément dans la bouche ou le cul de Felicia.

« Hmmm, je ne m’attendais pas à te retrouver. Et encore moins dans de telles circonstances ! »

Elle caressait le corps de la Chatte du regard., laissant une forme d’énergie vibrante se développer juste ce qu’il fallait pour la stimuler, la caresser, l’amener juste à la limite de l’agacement, là où il ne faut qu’une pichenette pour que le plaisir devienne agacement.

Son amante encaissait sans discontinuer un plaisir qui allait et venait, lame après lame. Le lit était détrempé de leurs fluides qui, pour la plupart, dégoulinaient des orifices ultra gorgés de Felicia, tant par ses orgasmes que par ceux de Valeria et de son gode magique.

Une nouvelle heure s’écoula, durant laquelle Felicia n’eut que peu droit à un répit qu’elle aurait dû appeler de ses vœux. Attentive, Valeria jouait sur toutes les micropossibilités qui se manifestaient pour la maintenir sur le sommet de la vague, prolonger le plus possible les orgasmes, les étirer pour donner l’impression qu’il n’y en avait qu’un, infini.

Enfin, elle s’arrêta, se demandant si la Chatte pourrait encore parler et si oui à quel point sa voix serait rauque. Elle savait l’amour de celle-ci pour les combinaisons en latex, ainsi que son besoin de sécurité qu’elles aidaient à combler. Elle chercha néanmoins à voir si celui-ci était toujours présent car son désir à elle passait par le contact des peaux et elle aurait aimé pouvoir en profiter. Cependant, ces retrouvailles étaient surtout l’occasion de reprendre de belle manière cette histoire inachevé des années plus tôt.

Un gémissement sourd, un ronflement léger, attirèrent son attention sur la jeune esclave sexuelle qu’elle avait, elle, achevée sans trop de soucis ni aucun scrupules quelques heures plus tôt. Elle la sonda par curiosité. Son ventre avait rempli son office. C’était bien.

Elle revint à Felicia qui était tellement couverte de foutre que ce tableau était magnifique, une véritable œuvre d’art. Valeria sourit. La nuit était entamée mais loin d’être finie. Elles en avaient pour encore un moment.

« Comment tu te sens ? Tu encaisses ? »

[Félicia Hardy]

Félicia se souvenait bien de Valeria, mais celle-ci s’efforça de rappeler au corps de Félicia combien Valeria était endurante. Valeria avait raison ; une humaine normale n’aurait sans doute pas pu supporter un tel élan de la part de la succube. Mais Félicia avait évolué, elle aussi. Outre son expérience sexuelle, elle avait aussi reçu dans ses veines un mutagène conçu par Wilson Fisk dans le but de recréer le mutagène du Super-Soldat que Captain America avait reçu… Un élément que Valeria n’avait sans doute pas en mémoire. Et, au-delà de ça, Atarashï Yoake avait aussi le don de vous rendre insatiable ! Valeria et Félicia se mirent donc à faire l’amour. Le regard magnétique de Valeria l’enivrait, et Félicia l’embrassait avec intensité, pendant qu’elles continuaient à faire l’amour, longuement, longuement…

« Hmmm… Va-Valeria, haaaa… »

Elles firent l’amour pendant plus d’une heure sur le lit. Crissements répétés du latex, soupirs, gémissements, hurlements… Félicia se laissait aller, et sentit Valeria lécher le creux de son cou, la mordant même brièvement, comme pour mieux la marquer. Sa verge, impitoyable, continuait à la prendre, encore et encore. Valeria et elle varièrent peu les positions, restant lovées l’une contre l’autre, s’embrassant passionnément. Les mains de Félicia glissaient sur le corps de Valeria, palpant ses fesses, caressant son dos. Ce joli cul, elle le malaxa fermement avec ses mains, elle le pressa, elle appuya sur chaque fesse de Valeria, les pressant, appuyant dessus, tandis que l’intéressée continuait à la prendre. Les orgasmes de Valeria étaient puissants, et faisaient à chaque fois jouir Félicia, qui papillonnait parfois des yeux. Elle était en sueur, tandis que son amante la manipulait, et la baisait.

Cette première heure se termina par une projection de foutre sur le ventre de Félicia. Valeria avait retiré sa queue de la chatte trempée de la Chatte Noire, pour la frotter contre leurs ventres respectifs. Elle se masturba sur elle tout en l’embrassant, jusqu’à se mettre à jouir compulsivement sur elle. Félicia sentit le foutre fuser sur les parties de sa peau nues ainsi que sur sa combinaison. Valeria lui demanda ensuite comment elle allait.

Félicia soupira en s’appuyant sur ses avant-bras.

« Tu es aussi endurante que dans mes souvenirs, Valeria… »

La Chatte Noire lui sourit en se mordillant les lèvres.

« Je pense qu’il va falloir qu’on retire nos tenues, non ? Ta crème, je veux la sentir sur moi, Valeria… Je veux que tu me baises jusqu’à l’aube, que tu utilises tous tes pouvoirs pour ça… Montre-moi de quoi tu es capable… »

La voix de Félicia était lourde, chargée par le désir…