Enfin de soirée , Ratiya écrivant des recette médicinales dans son grimoires . Étant dans son fauteuil installer confortablement se situant près de la chemine, entourer de bougies pour une atmosphère détente.Elle commença a pointer du nez tout en écrivant sa recette .
Au bout de quelque minute, elle fini par s’endormir paisiblement.
( Début du rêve )
Sous les rayons du soleil levant, Ratiya se réveilla doucement. Elle se dirigea vers sa salle de bain , afin de se rafraîchir. Après avoir fait couleur de l’eau fraîche sur son visage, elle essaya délicatement avant de se percevoir son reflex dans le miroir, ou elle vis son cote succube a la place de son visage humaine . Elle pris ensuite quelque minute en se regardant et se demandant se qui se passerait si elle vivait quotidiennement en succube.
“Dit moi Ratiya... , sa ferai quoi être toi? “
Dit son côté humain doucement.
“Je ne sais pas Ratiya..., mais que dirais tu d'essayer ? “
Dit son côté succube avec un sourire narquois.
L’humaine pris quelque instant et se décida. Elle retira le bracelet, et libéra son coter succube. Après avoir poser le bracelet au bord de levier , son aura commença a changer et devenir plus imposante et puissante ainsi que son corps se modifiant.
Ratiya commença a sentir ses courbe se développer , fessant devenir ses vêtements étroits et inconfortable. Ses cheveux allongerait et pessaire d’un blond pale a un rose, avec des corne qui lui pousser sur la tête ainsi qu’une paire d’ail qui lui pousser dans le dos. Ses yeux se teinta d’un rose intense , sas oublier ses oreille qui s’allongerait en pointe.
Elle se dirigea vers sa chambre, pour récupérait sa malle qui se trouvait sous son lit. Elle en leva ses vêtements étroits pour enfiler une tenu plus sexy. Qui se constituer d’un corset et d’un bas qui était un simple sous vêtements. Elle sortie ses belle cuissarde pour l’occasion , ainsi qu’une de ses plus belle paire de gants en cuire. Elle sortie ensuite une petite boite , ou se trouver son collier et ses boucle d’oreille en pierre d’onyx.
Une fois habillait elle retourna dans la salle de bain et s’admira. Pendant qu’elle se regarder elle trouver qui lui manquer quelque chose. Elle place sa main sur le bas de son ventre , qui fit apparaître son tatouage de succube.
“Ah la c’est mieux , qu’est ce que sa fait du bien d'être libre ! “
Dit elle en s’admirant dans le miroir avec un grand sourire.
Après cette préparer et trouver quelle était parfaite , elle décida de sortir dehors sans se soucier de se que pourrais penser ou dire les personnes dehors.
- Le Lys
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- Demande de RP
Kongiku, gouvernante des rêves et protectrice des Papillons, sentit une pulsation dans l’éther onirique, un appel vibrant qui l’attira dans un rêve saturé de désirs et d’émotions brutes. Elle ferma les yeux, laissant son esprit glisser dans cet univers intangible, ses papillons spirituels tournoyant autour d’elle, leurs ailes luminescentes scintillant comme des flammes dans l’obscurité. Lorsqu’elle rouvrit ses yeux dorés, elle se retrouva dans les rues animées de Lustoria, la capitale du Royaume des Étoiles de Mer, un archipel enchanteur où les cultures se mêlaient dans une harmonie vibrante. Les marchés colorés débordaient de fruits exotiques et d’étoffes chatoyantes, les habitants – humains, elfes, hybrides – riaient et dansaient au rythme de musiques envoûtantes, tandis que l’odeur saline de l’océan turquoise flottait dans l’air. Les bâtiments, ornés de coraux et de mosaïques marines, scintillaient sous le soleil éclatant, et au loin, les plages de sable blanc s’étendaient jusqu’aux forêts tropicales luxuriantes.
Kongiku connaissait bien Lustoria, non pas en tant que simple touriste onirique, mais grâce au partenariat commercial et diplomatique entre le Lys et le Royaume des Étoiles de Mer. Le Lys, une maison close prestigieuse où les plaisirs charnels étaient célébrés comme un art, entretenait des liens étroits avec Lustoria, partageant une philosophie commune : la célébration du plaisir comme un acte sacré. Les échanges entre les deux lieux avaient permis au Lys de s’enrichir des pratiques sensuelles de Lustoria, tandis que le royaume bénéficiait des talents des Papillons, ces courtisanes expertes formées par Kongiku elle-même. Ce jour-là, elle s’était glissée dans ce rêve pour explorer davantage cette connexion, curieuse de voir comment les énergies de Lustoria se manifestaient dans l’inconscient d’une rêveuse.
La renarde hybride, dont la peau humaine lisse et pâle contrastait avec ses oreilles de renarde et sa queue touffue, ajusta une mèche de ses longs cheveux argentés, ornés d’une feuille d’érable. Vêtue d’un kimono orangé aux motifs floraux automnaux, elle avançait avec une grâce éthérée, ses yeux dorés pétillant de sagesse et d’une malice espiègle. Ses oreilles frémirent, captant une énergie ambivalente dans l’air : une chaleur sensuelle, presque brûlante, mêlée à une tension subtile. Elle suivit cette énergie à travers les ruelles animées, passant devant des couples enlacés et des esclaves volontaires suivant leurs maîtres avec une dévotion sereine, un reflet de la société harmonieuse de Lustoria, où le plaisir charnel était une religion unificatrice.
C’est alors qu’elle la vit, au détour d’une rue bordée de palmiers : une femme à l’aura magnétique, dont la présence semblait saturer l’espace d’une tension érotique. Ses cheveux rose éclatant cascadaient sur ses épaules, des cornes élégantes ornaient son front, et une paire d’ailes sombres repliées dans son dos frémissait légèrement. Elle portait un corset noir qui enserrait sa poitrine généreuse, ses seins débordant légèrement du tissu, tandis qu’un string minimaliste dévoilait la rondeur de ses fesses et ses cuissardes en cuir mettaient en valeur ses cuisses voluptueuses. Un collier d’onyx scintillait à son cou, et un tatouage succube pulsait d’une lueur rosée sur le bas de son ventre, accentuant l’énergie sensuelle qu’elle dégageait. Ses yeux rose intense brillaient d’une lueur à la fois confiante et hésitante, comme si elle explorait cette nouvelle facette d’elle-même dans les rues de Lustoria.
Kongiku s’approcha, ses pas éthérés ne faisant aucun bruit sur les pavés, son kimono orangé capturant les reflets du soleil, révélant subtilement la courbe de ses hanches et la douceur de sa peau humaine lisse. Ses papillons spirituels flottaient autour d’elle, scintillant comme des lucioles bienveillantes. « Je suis venue explorer ce rêve, portée par les liens entre Lustoria et le Lys, où je forme les Papillons à l’art du plaisir, » dit-elle, sa voix mélodieuse résonnant comme une caresse, empreinte d’une magie apaisante. « Mais quelle transformation envoûtante… Ce côté succube est magnifique. Pourtant, je sens une hésitation dans ton cœur. Ce rêve révèle ton désir de te libérer, mais aussi une peur de t’accepter pleinement. »
Elle s’arrêta à quelques pas de la femme, ses yeux dorés plongeant dans les siens avec une intensité bienveillante. Kongiku tendit une main délicate, ses doigts fins frôlant l’air, et fit apparaître une illusion : une cascade de pétales de cerisier se transforma en un miroir éthéré, reflétant une version harmonieuse de la femme, où ses natures humaine et succube se mêlaient dans une beauté sereine, ses seins nus scintillant sous une lumière onirique, son tatouage pulsant comme un cœur érotique. « Tu es les deux, humaine et succube, » souffla Kongiku, sa voix empreinte d’une sagesse ancienne. « Ton côté succube n’est pas une menace… il est une extension de toi, une essence qui demande à être aimée. »
Ses papillons effleurèrent la femme, leurs ailes frôlant ses seins et ses cuisses, diffusant une chaleur sensuelle qui fit frémir l’air. Kongiku fit un pas de plus, son kimono s’entrouvrant légèrement, dévoilant la courbe de ses seins et la douceur de sa peau lisse. « Regarde-toi, » murmura-t-elle, son ton doux mais ferme. « Cette tenue, ce tatouage… c’est un cri de ton désir. Tu es belle, dans toute ta dualité. N’aie pas peur de l’embrasser. »
Les rues de Lustoria s’illuminèrent d’une lumière dorée, les palmiers ondulant sous une brise tiède. « Ce monde est le tien, » dit Kongiku, sa voix résonnant comme une mélodie envoûtante. « Que ressens-tu, en libérant cette part de toi dans les rues de cette capitale où le plaisir est une célébration ? » Elle resta là, ses papillons tournoyant doucement, son aura apaisante enveloppant l’espace, attendant une réponse avec une patience bienveillante.
Kongiku connaissait bien Lustoria, non pas en tant que simple touriste onirique, mais grâce au partenariat commercial et diplomatique entre le Lys et le Royaume des Étoiles de Mer. Le Lys, une maison close prestigieuse où les plaisirs charnels étaient célébrés comme un art, entretenait des liens étroits avec Lustoria, partageant une philosophie commune : la célébration du plaisir comme un acte sacré. Les échanges entre les deux lieux avaient permis au Lys de s’enrichir des pratiques sensuelles de Lustoria, tandis que le royaume bénéficiait des talents des Papillons, ces courtisanes expertes formées par Kongiku elle-même. Ce jour-là, elle s’était glissée dans ce rêve pour explorer davantage cette connexion, curieuse de voir comment les énergies de Lustoria se manifestaient dans l’inconscient d’une rêveuse.
La renarde hybride, dont la peau humaine lisse et pâle contrastait avec ses oreilles de renarde et sa queue touffue, ajusta une mèche de ses longs cheveux argentés, ornés d’une feuille d’érable. Vêtue d’un kimono orangé aux motifs floraux automnaux, elle avançait avec une grâce éthérée, ses yeux dorés pétillant de sagesse et d’une malice espiègle. Ses oreilles frémirent, captant une énergie ambivalente dans l’air : une chaleur sensuelle, presque brûlante, mêlée à une tension subtile. Elle suivit cette énergie à travers les ruelles animées, passant devant des couples enlacés et des esclaves volontaires suivant leurs maîtres avec une dévotion sereine, un reflet de la société harmonieuse de Lustoria, où le plaisir charnel était une religion unificatrice.
C’est alors qu’elle la vit, au détour d’une rue bordée de palmiers : une femme à l’aura magnétique, dont la présence semblait saturer l’espace d’une tension érotique. Ses cheveux rose éclatant cascadaient sur ses épaules, des cornes élégantes ornaient son front, et une paire d’ailes sombres repliées dans son dos frémissait légèrement. Elle portait un corset noir qui enserrait sa poitrine généreuse, ses seins débordant légèrement du tissu, tandis qu’un string minimaliste dévoilait la rondeur de ses fesses et ses cuissardes en cuir mettaient en valeur ses cuisses voluptueuses. Un collier d’onyx scintillait à son cou, et un tatouage succube pulsait d’une lueur rosée sur le bas de son ventre, accentuant l’énergie sensuelle qu’elle dégageait. Ses yeux rose intense brillaient d’une lueur à la fois confiante et hésitante, comme si elle explorait cette nouvelle facette d’elle-même dans les rues de Lustoria.
Kongiku s’approcha, ses pas éthérés ne faisant aucun bruit sur les pavés, son kimono orangé capturant les reflets du soleil, révélant subtilement la courbe de ses hanches et la douceur de sa peau humaine lisse. Ses papillons spirituels flottaient autour d’elle, scintillant comme des lucioles bienveillantes. « Je suis venue explorer ce rêve, portée par les liens entre Lustoria et le Lys, où je forme les Papillons à l’art du plaisir, » dit-elle, sa voix mélodieuse résonnant comme une caresse, empreinte d’une magie apaisante. « Mais quelle transformation envoûtante… Ce côté succube est magnifique. Pourtant, je sens une hésitation dans ton cœur. Ce rêve révèle ton désir de te libérer, mais aussi une peur de t’accepter pleinement. »
Elle s’arrêta à quelques pas de la femme, ses yeux dorés plongeant dans les siens avec une intensité bienveillante. Kongiku tendit une main délicate, ses doigts fins frôlant l’air, et fit apparaître une illusion : une cascade de pétales de cerisier se transforma en un miroir éthéré, reflétant une version harmonieuse de la femme, où ses natures humaine et succube se mêlaient dans une beauté sereine, ses seins nus scintillant sous une lumière onirique, son tatouage pulsant comme un cœur érotique. « Tu es les deux, humaine et succube, » souffla Kongiku, sa voix empreinte d’une sagesse ancienne. « Ton côté succube n’est pas une menace… il est une extension de toi, une essence qui demande à être aimée. »
Ses papillons effleurèrent la femme, leurs ailes frôlant ses seins et ses cuisses, diffusant une chaleur sensuelle qui fit frémir l’air. Kongiku fit un pas de plus, son kimono s’entrouvrant légèrement, dévoilant la courbe de ses seins et la douceur de sa peau lisse. « Regarde-toi, » murmura-t-elle, son ton doux mais ferme. « Cette tenue, ce tatouage… c’est un cri de ton désir. Tu es belle, dans toute ta dualité. N’aie pas peur de l’embrasser. »
Les rues de Lustoria s’illuminèrent d’une lumière dorée, les palmiers ondulant sous une brise tiède. « Ce monde est le tien, » dit Kongiku, sa voix résonnant comme une mélodie envoûtante. « Que ressens-tu, en libérant cette part de toi dans les rues de cette capitale où le plaisir est une célébration ? » Elle resta là, ses papillons tournoyant doucement, son aura apaisante enveloppant l’espace, attendant une réponse avec une patience bienveillante.
Ratiya voyant une femme renarde s’approchant d’elle , elle ne bougea plus n’y mettre un son. Elle la trouver si envoûtante qu’elle ne pouvais pas détourner ses yeux d’elle , elle regardait chaque courbe de la femme, et la trouver si belle avec ses cheveux argentée , ses yeux doré qu’on pourrait passer des heures à regarder. Ratiya regardait aussi ces oreilles et sa queue de renard si touffu qu’elle avait envie de les toucher . Elle trouvait la femme si séduisante , car même si on voyait certaines de ces courbes de son corps même si elle portait un beau kimono se qui la rendrait si élégante. Elle se laissa emporter dans cette pluie de pétale, son souffle s’accélérait, son corps frémissant sous les caresse des ailes de ces papillons. En écoutant la femme une larme perla au coin de son œil . La succube posa une main tremblante sur son ventre la où se situait son tatouage qui briller, avant de prendre la parole d’une vois voilée d’émotion.
« Je suis perdu entre deux monde…., trop humaine pour céder pleinement à mes instincts , et trop succube pour ignorer ce feu qui brûle…. . »
La succube la regarda les larmes au yeux. Elle s’avança jusqu’à effleurer les doigts de la femme ce contact fit frissonner l’ether du rêve . Une chaleur se propagea autour d’elles , les passants s’immobilisent un instant comme figée par la beauté du moment. En se rapprochant de la femme renarde , Ratiya pensa si seulement je pouvais être comme elle . Elle se retrouvait à quelques millimètres de la femme. L’illusion du miroir se dissipa dans une pluie.
Une fois la pluie dissiper Ratiya lâcha les doigts et fit quelque pas en arrière et pris la parole d’une vois apaisé et sensuelle.
« Vous êtes si belle, puis je savoir qui êtes vous ? Et que me voulez vous ? »
Ratiya s’approcha d ‘elle lui pris ces deux mains entre les siens . Elle sourie en fixant les beau yeux de la renard. La succube avait le cœur qui battait à la chamade à se contact , elle attendait avec t’en d’impatiente la réponse de la femme au yeux doré.
« Je suis perdu entre deux monde…., trop humaine pour céder pleinement à mes instincts , et trop succube pour ignorer ce feu qui brûle…. . »
La succube la regarda les larmes au yeux. Elle s’avança jusqu’à effleurer les doigts de la femme ce contact fit frissonner l’ether du rêve . Une chaleur se propagea autour d’elles , les passants s’immobilisent un instant comme figée par la beauté du moment. En se rapprochant de la femme renarde , Ratiya pensa si seulement je pouvais être comme elle . Elle se retrouvait à quelques millimètres de la femme. L’illusion du miroir se dissipa dans une pluie.
Une fois la pluie dissiper Ratiya lâcha les doigts et fit quelque pas en arrière et pris la parole d’une vois apaisé et sensuelle.
« Vous êtes si belle, puis je savoir qui êtes vous ? Et que me voulez vous ? »
Ratiya s’approcha d ‘elle lui pris ces deux mains entre les siens . Elle sourie en fixant les beau yeux de la renard. La succube avait le cœur qui battait à la chamade à se contact , elle attendait avec t’en d’impatiente la réponse de la femme au yeux doré.
Ratiya humaine parle en #00BFFF
Ratiya succube parle en #FF40BF
Ratiya succube parle en #FF40BF
- Le Lys
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Kongiku sentit la chaleur des doigts de Ratiya effleurer les siens, un contact qui fit vibrer l’éther onirique autour d’elles, comme si le rêve lui-même réagissait à l’intensité de ce moment. Les passants figés de Lustoria, les palmiers frémissant sous une brise tiède, et les mosaïques marines scintillant sous le soleil semblaient tous suspendus dans une bulle de magie sensuelle. La renarde hybride plongea ses yeux dorés dans ceux de Ratiya, captant chaque nuance de son trouble, chaque éclat de désir et de peur qui dansait dans ses iris rose intense. Les papillons spirituels de Kongiku, scintillant comme des lucioles, frôlèrent à nouveau Ratiya, leurs ailes éthérées caressant délicatement la courbe de ses seins, glissant sur le tissu tendu de son corset noir, et effleurant ses cuisses voluptueuses, faisant frémir sa peau nue sous une chaleur érotique.
Lorsque Ratiya lâcha ses doigts et recula, Kongiku inclina légèrement la tête, ses oreilles de renarde frémissant doucement, sa queue touffue ondulant derrière elle avec une grâce féline. Elle écouta les mots de la succube, sa voix apaisée mais teintée d’une sensualité brûlante, et un sourire doux mais espiègle étira ses lèvres. Quand Ratiya revint vers elle, prenant ses deux mains avec une tendresse tremblante, Kongiku sentit les battements rapides de son cœur à travers ce contact, une pulsation qui résonnait dans le rêve comme un tambour intime. Elle serra doucement les mains de Ratiya, ses doigts fins et délicats contrastant avec la chaleur presque fiévreuse de la succube.
«Je suis Kongiku, gouvernante des rêves et protectrice des Papillons du Lys, » répondit-elle, sa voix mélodieuse glissant comme une caresse, empreinte d’une magie apaisante mais chargée d’une tension érotique. « Je suis venue dans ton rêve pour t’aider à embrasser cette part de toi… ce feu succube que tu crains et désires à la fois. Et pour que tu puisses te voir pleinement, je vais faire apparaître ton côté humain… afin qu’elle soit avec nous. »
Elle fit un pas en avant, réduisant l’espace entre elles, son kimono orangé s’entrouvrant légèrement sous le mouvement, dévoilant davantage la courbe délicate de ses seins, la peau lisse et pâle de son décolleté scintillant sous la lumière dorée de Lustoria. Ses yeux dorés brillaient d’une lueur malicieuse, mais aussi d’une profonde bienveillance, comme si elle voyait directement dans l’âme de Ratiya. Avec un geste gracieux de la main, Kongiku invoqua une illusion : une brume argentée s’éleva du sol, prenant peu à peu la forme d’une silhouette. La version humaine de Ratiya apparut, ses cheveux blonds tombant en vagues douces sur ses épaules, ses yeux d’un bleu tendre scintillant d’une curiosité timide. Elle portait une robe légère, presque translucide, qui révélait subtilement ses formes plus discrètes, contrastant avec l’aura imposante de sa version succube.
Kongiku lâcha une des mains de Ratiya pour effleurer doucement sa joue, puis descendit lentement vers son cou, frôlant le collier d’onyx qui ornait sa gorge. La chaleur de sa peau contre celle de Ratiya fit naître une onde de désir dans l’air, et Kongiku sentit le tatouage succube de Ratiya pulser plus fort sous cette proximité. Elle se pencha légèrement, ses lèvres frôlant l’oreille pointue de la succube. « Ce que je veux, Ratiya…» murmura-t-elle, sa voix tombant dans un registre plus grave, presque un ronronnement, « C’est te montrer que tu peux être entière… humaine et succube, sans honte. Ce feu qui brûle en toi… il est magnifique. Laisse-moi t’apprendre à le savourer, avec elle. »
Kongiku fit un autre geste, et les rues animées de Lustoria s’effacèrent doucement, remplacées par un jardin luxuriant, un sanctuaire onirique où des fleurs écarlates et des lianes luminescentes s’entremêlaient, leurs pétales dégageant un parfum enivrant. Un lit de pétales doux apparut sous leurs pieds, et l’air se chargea d’une chaleur sensuelle, presque palpable. Les papillons spirituels de Kongiku s’élevèrent, leurs ailes scintillant d’une lueur rose, et vinrent caresser le corps des deux Ratiya avec une précision provocante. Ils glissèrent sous le corset de la succube, frôlant ses mamelons durcis, puis descendirent le long de ses cuisses, effleurant l’intérieur de ses jambes jusqu’à faire frissonner son string minimaliste. Simultanément, ils caressèrent la Ratiya humaine, leurs ailes effleurant ses seins à travers le tissu translucide de sa robe, faisant pointer ses tétons sous la douceur de l’illusion.
Kongiku s’agenouilla doucement sur les pétales, son kimono glissant sur ses épaules, dévoilant complètement ses seins ronds et fermes, leur peau lisse scintillant sous la lumière onirique. Elle tendit une main à chacune des Ratiya, les invitant à s’asseoir face à elle, ses yeux dorés brillant d’une promesse érotique. « Regardez-vous,» souffla-t-elle, sa voix empreinte d’une autorité douce mais ferme. « Dans ce jardin, il n’y a que nous… et vos désirs. Touchez-moi… et touchez-vous l’une l’autre… ressentez ce que cela fait d’être libres, ensemble.»
Elle guida la main de la Ratiya succube vers sa poitrine, laissant ses doigts frôler la douceur de ses seins, tandis que sa main libre mena celle de la Ratiya humaine vers la taille de sa version succube, encourageant un contact intime entre elles. Les papillons de Kongiku continuèrent leurs caresses, glissant sous le string de la succube pour effleurer son clitoris avec une délicatesse envoûtante, tandis qu’ils frôlaient les cuisses de la Ratiya humaine, remontant jusqu’à sa poitrine pour titiller ses tétons à travers la robe. Kongiku pencha la tête en arrière, un soupir sensuel s’échappant de ses lèvres, ses oreilles de renarde frémissant alors qu’elle laissait les deux Ratiya explorer cette liberté charnelle.
« Laissez vos deux natures s’exprimer, » murmura-t-elle, sa voix vibrant d’une chaleur érotique. « Que veux-tu faire, Ratiya… humaine et succube… dans ce sanctuaire de plaisir où vous êtes enfin réunies ? »
Les pétales autour d’elles frémirent, l’air pulsant d’une énergie érotique, tandis que Kongiku attendait, son aura bienveillante enveloppant les deux Ratiya, les encourageant à s’abandonner pleinement à leurs désirs et à leur union.
Lorsque Ratiya lâcha ses doigts et recula, Kongiku inclina légèrement la tête, ses oreilles de renarde frémissant doucement, sa queue touffue ondulant derrière elle avec une grâce féline. Elle écouta les mots de la succube, sa voix apaisée mais teintée d’une sensualité brûlante, et un sourire doux mais espiègle étira ses lèvres. Quand Ratiya revint vers elle, prenant ses deux mains avec une tendresse tremblante, Kongiku sentit les battements rapides de son cœur à travers ce contact, une pulsation qui résonnait dans le rêve comme un tambour intime. Elle serra doucement les mains de Ratiya, ses doigts fins et délicats contrastant avec la chaleur presque fiévreuse de la succube.
«Je suis Kongiku, gouvernante des rêves et protectrice des Papillons du Lys, » répondit-elle, sa voix mélodieuse glissant comme une caresse, empreinte d’une magie apaisante mais chargée d’une tension érotique. « Je suis venue dans ton rêve pour t’aider à embrasser cette part de toi… ce feu succube que tu crains et désires à la fois. Et pour que tu puisses te voir pleinement, je vais faire apparaître ton côté humain… afin qu’elle soit avec nous. »
Elle fit un pas en avant, réduisant l’espace entre elles, son kimono orangé s’entrouvrant légèrement sous le mouvement, dévoilant davantage la courbe délicate de ses seins, la peau lisse et pâle de son décolleté scintillant sous la lumière dorée de Lustoria. Ses yeux dorés brillaient d’une lueur malicieuse, mais aussi d’une profonde bienveillance, comme si elle voyait directement dans l’âme de Ratiya. Avec un geste gracieux de la main, Kongiku invoqua une illusion : une brume argentée s’éleva du sol, prenant peu à peu la forme d’une silhouette. La version humaine de Ratiya apparut, ses cheveux blonds tombant en vagues douces sur ses épaules, ses yeux d’un bleu tendre scintillant d’une curiosité timide. Elle portait une robe légère, presque translucide, qui révélait subtilement ses formes plus discrètes, contrastant avec l’aura imposante de sa version succube.
Kongiku lâcha une des mains de Ratiya pour effleurer doucement sa joue, puis descendit lentement vers son cou, frôlant le collier d’onyx qui ornait sa gorge. La chaleur de sa peau contre celle de Ratiya fit naître une onde de désir dans l’air, et Kongiku sentit le tatouage succube de Ratiya pulser plus fort sous cette proximité. Elle se pencha légèrement, ses lèvres frôlant l’oreille pointue de la succube. « Ce que je veux, Ratiya…» murmura-t-elle, sa voix tombant dans un registre plus grave, presque un ronronnement, « C’est te montrer que tu peux être entière… humaine et succube, sans honte. Ce feu qui brûle en toi… il est magnifique. Laisse-moi t’apprendre à le savourer, avec elle. »
Kongiku fit un autre geste, et les rues animées de Lustoria s’effacèrent doucement, remplacées par un jardin luxuriant, un sanctuaire onirique où des fleurs écarlates et des lianes luminescentes s’entremêlaient, leurs pétales dégageant un parfum enivrant. Un lit de pétales doux apparut sous leurs pieds, et l’air se chargea d’une chaleur sensuelle, presque palpable. Les papillons spirituels de Kongiku s’élevèrent, leurs ailes scintillant d’une lueur rose, et vinrent caresser le corps des deux Ratiya avec une précision provocante. Ils glissèrent sous le corset de la succube, frôlant ses mamelons durcis, puis descendirent le long de ses cuisses, effleurant l’intérieur de ses jambes jusqu’à faire frissonner son string minimaliste. Simultanément, ils caressèrent la Ratiya humaine, leurs ailes effleurant ses seins à travers le tissu translucide de sa robe, faisant pointer ses tétons sous la douceur de l’illusion.
Kongiku s’agenouilla doucement sur les pétales, son kimono glissant sur ses épaules, dévoilant complètement ses seins ronds et fermes, leur peau lisse scintillant sous la lumière onirique. Elle tendit une main à chacune des Ratiya, les invitant à s’asseoir face à elle, ses yeux dorés brillant d’une promesse érotique. « Regardez-vous,» souffla-t-elle, sa voix empreinte d’une autorité douce mais ferme. « Dans ce jardin, il n’y a que nous… et vos désirs. Touchez-moi… et touchez-vous l’une l’autre… ressentez ce que cela fait d’être libres, ensemble.»
Elle guida la main de la Ratiya succube vers sa poitrine, laissant ses doigts frôler la douceur de ses seins, tandis que sa main libre mena celle de la Ratiya humaine vers la taille de sa version succube, encourageant un contact intime entre elles. Les papillons de Kongiku continuèrent leurs caresses, glissant sous le string de la succube pour effleurer son clitoris avec une délicatesse envoûtante, tandis qu’ils frôlaient les cuisses de la Ratiya humaine, remontant jusqu’à sa poitrine pour titiller ses tétons à travers la robe. Kongiku pencha la tête en arrière, un soupir sensuel s’échappant de ses lèvres, ses oreilles de renarde frémissant alors qu’elle laissait les deux Ratiya explorer cette liberté charnelle.
« Laissez vos deux natures s’exprimer, » murmura-t-elle, sa voix vibrant d’une chaleur érotique. « Que veux-tu faire, Ratiya… humaine et succube… dans ce sanctuaire de plaisir où vous êtes enfin réunies ? »
Les pétales autour d’elles frémirent, l’air pulsant d’une énergie érotique, tandis que Kongiku attendait, son aura bienveillante enveloppant les deux Ratiya, les encourageant à s’abandonner pleinement à leurs désirs et à leur union.