La ruelle s’anime soudainement : trois silhouettes masquées émergent des ombres, leurs armes crachant des rafales de balles dans la direction de la limousine blindée où la cliente, une femme aux courbes voluptueuses et aux lèvres pulpeuses, dirigeante charismatique d’un empire financier mondial, s’apprête à monter. Un sourire imperceptible étire les lèvres de Toki – ils n’ont aucune chance. Elle bondit, ses bottes blanches claquant sur le bitume alors que ses rubans bleu clair, accrochés à sa coiffe de maid, s’envolent dans l’air, ajoutant une touche presque théâtrale à sa descente. Sa tenue de maid, une robe à volants bordés de dentelle, cintrée à la taille et scandaleusement courte, révèle ses jambes, tout en restant fonctionnelle pour le combat. Son arme crache une salve de balles à blanc, frappant l’un des assaillants à l’épaule avec une force brutale qui le fait hurler de douleur, s’effondrant à terre, incapable de bouger, le bras temporairement paralysé par la souffrance. Les deux autres se tournent vers elle, mais Toki est déjà en mouvement, son corps glissant avec une grâce inhumaine entre leurs tirs, sa robe frémissant autour de ses formes. Une autre salve percute le second à l’abdomen, le pliant en deux dans un cri rauque, tandis que le troisième, paniqué, tente de viser sa tête. Trop lent. Une balle à blanc l’atteint au genou, le faisant tomber avec un gémissement déchirant, roulant au sol, son corps secoué par la douleur incapacitante. Le silence retombe, brisé seulement par les geignements des assaillants et le halètement de la cliente.
Celle-ci fixe Toki, les yeux écarquillés, ses lèvres tremblantes à moitié entrouvertes. « T-tu… tu es incroyable », balbutie-t-elle, mais Toki reste impassible, son regard froid comme la glace ne trahissant rien. Elle s’approche, ses talons claquant sur le sol, sa robe de maid ondulant autour de ses jambes, et ouvre la portière de la limousine avec une précision mécanique. « Monte », ordonne-t-elle d’une voix basse et tranchante, presque robotique, mais une lueur de malice danse dans ses yeux. La cliente obéit, s’installant sur la banquette en cuir noir, son tailleur de luxe froissé par la tension. Toki la suit, refermant la portière derrière elle, et l’habitacle sombre, illuminé par une lumière tamisée, devient leur théâtre intime. « Reste calme », murmure Toki, sa voix glissant comme une caresse vicieuse, son corps se pressant contre celui de la cliente avec une intention claire. Ses doigts remontent lentement le long des flancs de la cliente, effleurant la peau exposée sous son tailleur avec une lenteur cruelle, traçant des lignes brûlantes sur sa peau douce et tremblante, pinçant légèrement la chair pour arracher un frisson. Elle s’attarde sur les seins généreux, les saisissant à pleines mains à travers le tissu coûteux, les malaxant avec une brutalité calculée, ses pouces écrasant les tétons durcis à travers la soie jusqu’à ce que la cliente gémisse, haletante, son corps se cambrant sous la douleur mêlée de plaisir. L’autre main de Toki plonge sous la jupe de la cliente, écartant ses jambes avec une autorité implacable, ses doigts s’infiltrant sous la fine culotte de soie pour trouver son clitoris gonflé, qu’elle frotte avec une sauvagerie lente et torride, ses ongles effleurant la chair sensible jusqu’à ce que la cliente laisse échapper un cri étouffé. Toki enfonce deux doigts profondément dans sa chatte trempée, les faisant aller et venir avec une cadence rythmée et brutale, chaque poussée arrachant un gémissement guttural, ses doigts crochus explorant les parois intimes, étirant et massant jusqu’à ce que la cliente se torde, ses cuisses tremblantes serrant la main de Toki. « Ne bouge pas, salope », grogne Toki, sa voix chargée d’une tension érotique brutale, tandis qu’elle accélère, ses doigts s’enfonçant encore plus fort, frôlant son point G avec une précision sadique, faisant jouir la cliente dans un spasme violent, ses cris étouffés par la main gantée de Toki qui plaque sa bouche, le goût de cuir mêlé à ses gémissements résonnant dans l’espace confiné de la limousine, son corps secoué par des convulsions d’extase alors qu’un liquide chaud inonde les doigts de Toki. La mission est un succès, mais Toki ne montre rien – ni satisfaction, ni désir, juste un contrôle glacial.
Quelques heures plus tard, la cliente en sécurité, Toki se balade dans les rues illuminées de New York, ses pas mesurés et silencieux malgré ses bottes. Les néons de Times Square dansent sur sa robe de maid blanche à volants, ses rubans bleu clair flottant légèrement dans la brise, ses bas noirs et ses jarretelles attirant les regards furtifs des passants sans qu’elle y prête attention. Elle s’arrête devant un stand de sucreries, observant les bonbons colorés avec un détachement apparent. Elle choisit une sucette à la cerise, la portant à ses lèvres avec une lenteur calculée, le sucre éclatant sous sa langue tandis que son regard reste fixé sur la foule, impassible mais toujours alerte, prête à frapper si nécessaire. La saveur sucrée contraste avec la froideur de son expression, mais une lueur presque imperceptible brille dans ses yeux – un rappel subtil de la luxure qui couve sous sa façade de glace.