Malgré sa formidable contre-attaque énergétique, son groupe n'était pas tiré d'affaire. Alors qu'elle était en train de féliciter Gine, Carol fut projetée au sol. La première la surprit alors se faire avaler par les bois. Fendant l'air, la Saïyajin serpenta entre les arbres, poursuivant la super-héroïne en galère à travers un ravin. Carol sectionna le tentacule qui l'avait tractée jusqu'à ce biome, se rétablissant à bonne distance de ce qui ressemblait à... un loup garou croisé avec une plante carnivore ?
Gine était bien incapable d'effectuer cette comparaison, n'ayant croisé aucune de ces moitiés sur sa planète d'origine. Toujours est il qu'elle trouvait cette créature particulièrement affreuse, et qu'elle percevait son hostilité aussi nettement que son intention de les bouffer.
Le monstre souligna ce tout par un sifflement agressif.
- Pas le genre de fleur que je serais prête à cueillir, grimaça la femme à queue de singe qui observait la scène en flottant, un peu en hauteur.
La mauvaise herbe s'acharna sur Carol, lui décochant d'autres de ses dégoûtants tentacules avant de tenter une approche plus physique et brutale ! Carol répliqua par un projectile d'énergie de son cru. Percuté de plein fouet, son assaillant repartit dans l'autre sens, s'écrasant à l'autre bout du ravin.
- Bien fait pour sa tronche ! claironna la Saïyajin en agitant un poing en l'air.
Mais une ombre se déplaçait le long d'un tronc d'arbre. Et cette ombre, qui appartenait à une créature du même acabit que la première, en avait elle aussi après Carol. Gine, qui avait l'ouïe finie, entendit ses membres craquer au moment où elle avait bondi.
- Hyaaaaaaaaa !!!
Inutile d'avertir sa coéquipière du danger : la Saïyajin intercepta le monstre d'un coup de talon dans le bas du dos, le faisant atterrir en catastrophe juste à côté de sa cible. L'abomination végétale roula sur le flanc avec hargne. Gine poursuivit son offensive en lui tirant un rayon qui, à défaut de faire mouche, creusa un sillon brûlant dans la terre humide. Elle rejoignit Carol, se tenant les poings fermés à son côté.
- Je ne serais pas étonnée d'en découvrir encore d'autres, la prévint-elle, bien campée sur sa position. Ne baisse pas ta garde, Carol.
Remarque dite avec le sourire.
Pour une fois que ce n'était pas elle qui avait gaffé !
La situation n'était pas idéale mais au moins étaient-elles toujours vivantes, et en un seul morceau.
- Je ne sais pas quel genre de poison leurs griffes sécrètent, mais une chose est sûre : je n'ai aucune envie d'en découvrir les effets !
Echanger des coups avec ces bestiole n'étant pas l'idée du siècle, Gine jugea préférable de tendre les deux mains afin de les arroser de Ki.
Gine était bien incapable d'effectuer cette comparaison, n'ayant croisé aucune de ces moitiés sur sa planète d'origine. Toujours est il qu'elle trouvait cette créature particulièrement affreuse, et qu'elle percevait son hostilité aussi nettement que son intention de les bouffer.
Le monstre souligna ce tout par un sifflement agressif.
- Pas le genre de fleur que je serais prête à cueillir, grimaça la femme à queue de singe qui observait la scène en flottant, un peu en hauteur.
La mauvaise herbe s'acharna sur Carol, lui décochant d'autres de ses dégoûtants tentacules avant de tenter une approche plus physique et brutale ! Carol répliqua par un projectile d'énergie de son cru. Percuté de plein fouet, son assaillant repartit dans l'autre sens, s'écrasant à l'autre bout du ravin.
- Bien fait pour sa tronche ! claironna la Saïyajin en agitant un poing en l'air.
Mais une ombre se déplaçait le long d'un tronc d'arbre. Et cette ombre, qui appartenait à une créature du même acabit que la première, en avait elle aussi après Carol. Gine, qui avait l'ouïe finie, entendit ses membres craquer au moment où elle avait bondi.
- Hyaaaaaaaaa !!!
Inutile d'avertir sa coéquipière du danger : la Saïyajin intercepta le monstre d'un coup de talon dans le bas du dos, le faisant atterrir en catastrophe juste à côté de sa cible. L'abomination végétale roula sur le flanc avec hargne. Gine poursuivit son offensive en lui tirant un rayon qui, à défaut de faire mouche, creusa un sillon brûlant dans la terre humide. Elle rejoignit Carol, se tenant les poings fermés à son côté.
- Je ne serais pas étonnée d'en découvrir encore d'autres, la prévint-elle, bien campée sur sa position. Ne baisse pas ta garde, Carol.
Remarque dite avec le sourire.
Pour une fois que ce n'était pas elle qui avait gaffé !
La situation n'était pas idéale mais au moins étaient-elles toujours vivantes, et en un seul morceau.
- Je ne sais pas quel genre de poison leurs griffes sécrètent, mais une chose est sûre : je n'ai aucune envie d'en découvrir les effets !
Echanger des coups avec ces bestiole n'étant pas l'idée du siècle, Gine jugea préférable de tendre les deux mains afin de les arroser de Ki.