Chengzu passa pour ainsi dire aux choses sérieuses : la sodomie. Le bélier était à ce stade fidèle à sa nature d’homme-bélier, donnant des coups de reins répétés et puissants. Quand il dominait quelqu’un, et qu’il se laissait aller, il était alors vraiment un von Nacht, et le digne époux d’Ishtar. Le dominant y alla donc franchement, tout en ayant posé son téléphone portable sur le dos de Suida. Il la prenait avec force, s’enfonçant avec aisance dans son cul, le plug anal ayant déjà dilaté ses parois, suffisamment pour qu’il la pénètre avec force. Elle avait conservé dans sa bouche son urine, un acte ô combien dégradant et humiliant. Chengzu sentait en lui un plaisir jubilatoire à dominer et à humilier Suida, bien plus que chez n’importe qui… Comme si, inconsciemment, il assimilait Suida à Akimbo, cet homme qui avait osé être son rival. Et, en soi, ce ne serait pas impossible ; Chengzu était un vampire, et, si Akimbo avait fait une transition de genre, son sang, lui, n’avait pas changé. Instinctivement, son corps réagissait donc à ce sang qu’il identifiait à ce rival.
« Hmmmm… Pu-Putain, ce que t’es bonne, ma salope ! »
Le miroir devant eux permettait aux deux amants de se voir. Le téléphone de Chengzu vibra alors. Il soupira, et l’attrapa avec une main. Theorem lui indiqua que ce cul ressemblait à celui d’Akimbo, mais en plus… Courbe. Chengzu fronça les sourcils. Il reposa le téléphone, et fessa alors Suida… Qui relâcha alors son urine. Elle ouvrit la bouche en gémissant, et le jet doré fusa sur le sol. Chengzu soupira lentement.
« Petite pute indisciplinée… Je pensais que Bhouta nous appréciait mieux que ça ! Tu n’es même pas capable de suivre un ordre aussi simple que de fermer la bouche, sale truie ! »
Chengzu la fessa encore, puis se retira d’elle. Il ouvrit le pilori, et renversa Suida au sol. Il la coucha sur le dos, et posa alors son pied sur la verge de la jeune femme, dissimulée derrière sa cage, et appuya dessus, arrachant à Suida de délicieux cris.
« C’est curieux… On dirait que tu ne génères pas cette queue avec la magie rose, je ne vois pas d’inmon sur ton pubis… »
Les indices étaient de plus en plus parlants. Cependant, Chengzu restait toujours sceptique, car il ne lui avait pas semblé qu’Akimbo ait souhaité changer de genre… Ou peut-être le devait-on à Bhouta ? Dans ce cas, cela expliquerait aussi pourquoi Bhouta lui avait chaudement recommandé Suida. Chengzu se mit en tout cas à sourire, et relâcha la pression sur le sexe de Suida… Puis donna un coup de pied sur la cage de chasteté. Il sourit malicieusement en voyant Suida couiner en se tortillant de douleur.
« Haha, tu as beau avoir une petite queue rabougrie, elle réagit encore pas mal ! »
Tandis que Suida reprenait ses esprits, Chengzu avait préparé une croix de Saint-André, et y attacha Suida. Chengzu réfléchit ensuite un peu, et retira même la cage de chasteté de Suida. Il masturba alors le sexe de la jeune femme, souriant doucement. Après avoir brutalisé sa verge, il alternait, et continua à secouer sa queue, jusqu’à ce qu’elle approche de l’orgasme, ce qu’il pouvait sentir très facilement quand elle approchait de l’orgasme. Il relâcha alors sa main, puis caressa avec la pointe du martinet sa verge.
« Je vais t’enseigner les vertus de la douleur et de l’obéissance, petite pute… Je suis curieux de voir si tu peux jouir en recevant des coups de martinet ! Mais, à chaque fois que je te fouetterai, je veux que tu t’insultes toi-même. Montre-moi à quel point tu es imaginative ! »
Et, ayant dit cela, Chengzu donna un premier coup de martinet sur la verge de son amant…