Face au couple, la jeune docteur Fries semblait avoir bien du mal à se contenir. Starfire écarta la couverture, et décala sa jambe, libérant ainsi l’accès à la verge de Grayle, qu’elle masturba d’une main. Il avait sa tête qui se frottait aux seins de Starfire, et soupira dans son sommeil. Sa verge se durcit, et il dut commencer à avoir de jolis rêves érotiques. D’une voix balbutiante, Rosalind expliqua à Kory qu’il fallait se méfier, car il avait fait l’amour avec une Cérébrate. Sa semence était en lui, et pouvait expliquer qu’il soit devenu une sorte d’amant aphrodisiaque, diffusant autour de lui des spores aphrodisiaques similaires aux Cérébrates.
« Oh, vraiment ? Moi, je crois que tu te cherches surtout des excuses, et que tu fantasmes sur lui depuis que tu l’as vu nu… »
Elle retira sa main quand Rosalind se rapprocha, et commença à s’attaquer à sa verge. Grayle s’agita encore, et Kory sourit encore, l’embrassant sur le front. Les Tamarannéens n’avaient pas de pouvoir psychique en la matière, mais Koriand’r avait un indéniable talent. Et elle n’était pas dupe. Elle n’avait jamais entendu parler d’une quelconque « semence formienne » susceptible de contaminer un amant. De plus, si la Xéno avait tenté de transformer Grayle en Xéno, les changements auraient déjà été perceptibles. Elle pensait plutôt que la jeune doctoresse devait s’ennuyer ferme dans sa station entourée d’espèces extraterrestres, comme un mollusque perdu sur un rocher à la dérive.
Rosalind s’attaqua donc à la belle verge de Grayle. Koriand’r la laissa faire, et elle était suffisamment grande pour caresser d’une main les cheveux de la jeune femme. De toute évidence, le message était clair pour Kory : elle ne comptait pas suivre les avertissements de la jeune femme, qu’elle assimilait à une forme de nervosité. On pouvait aussi mettre cette poussée de désir sur la situation de crise que la jeune femme avait vécue, et sur un besoin de décompression, de relâchement. Tout se mélangeait donc, et Koriand’r la laissa donc agir, l’empêchant même de retirer sa tête. Elle releva pour ça ses jambes, et les enroula autour du cou de la jeune femme, ses talons se posant sur sa nuque.
« Là, suce bien, abreuve-toi… Notre cher Grayle va avoir droit à un joli réveil… » gloussa Koriand’r, amusée et chaudement excitée par la situation.
« Oh, vraiment ? Moi, je crois que tu te cherches surtout des excuses, et que tu fantasmes sur lui depuis que tu l’as vu nu… »
Elle retira sa main quand Rosalind se rapprocha, et commença à s’attaquer à sa verge. Grayle s’agita encore, et Kory sourit encore, l’embrassant sur le front. Les Tamarannéens n’avaient pas de pouvoir psychique en la matière, mais Koriand’r avait un indéniable talent. Et elle n’était pas dupe. Elle n’avait jamais entendu parler d’une quelconque « semence formienne » susceptible de contaminer un amant. De plus, si la Xéno avait tenté de transformer Grayle en Xéno, les changements auraient déjà été perceptibles. Elle pensait plutôt que la jeune doctoresse devait s’ennuyer ferme dans sa station entourée d’espèces extraterrestres, comme un mollusque perdu sur un rocher à la dérive.
Rosalind s’attaqua donc à la belle verge de Grayle. Koriand’r la laissa faire, et elle était suffisamment grande pour caresser d’une main les cheveux de la jeune femme. De toute évidence, le message était clair pour Kory : elle ne comptait pas suivre les avertissements de la jeune femme, qu’elle assimilait à une forme de nervosité. On pouvait aussi mettre cette poussée de désir sur la situation de crise que la jeune femme avait vécue, et sur un besoin de décompression, de relâchement. Tout se mélangeait donc, et Koriand’r la laissa donc agir, l’empêchant même de retirer sa tête. Elle releva pour ça ses jambes, et les enroula autour du cou de la jeune femme, ses talons se posant sur sa nuque.
« Là, suce bien, abreuve-toi… Notre cher Grayle va avoir droit à un joli réveil… » gloussa Koriand’r, amusée et chaudement excitée par la situation.