The Multiversity

[Yoan & Sanitas]

Yoan s’était mit en vente lui-même pour rembourser la dette de ses parents qu’ils avaient accumulé depuis des années. Il avait fait cela de son plein grès, étant un bel homme, il avait trouvé un magasin qui avait bien voulut de lui contre le remboursement de la dette. Il se retrouvait avec un collier en cuir noir autour du cou, cela le dérangeait un peu, mais il n’avait pas le choix. Sa vie serait maintenant réduite à une vie de servitude auprès d’un maître qui le choisirai. Il espérait tomber entre les mains d’une bonne personne qui ne lui ferait pas de mal et prendrait soin de lui.

La journée était bien entamé, l’humain attendait debout en regardant les gens passaient devant lui l’air de rien. Il portait un kimono noir qui était un peu ouvert pour laisser une possibilité sur la vu de son corps un peu dénudé. Il en avait marre d’attendre que quelqu’un veuille de lui. Cela faisait des jours qu’il était ici et personne n’avait prit le temps de le regarder ou bien de lui parler. Il était limite un fantôme dans la boutique pourtant il était prêt à servir quelqu’un sans rien dire, mais sa patiente commençait à le faire chier clairement.

Alors que la journée commençait à décliner, Yoan vit une personne ouvrir la porte, est rentrer dans la boutique, il avait les cheveux blancs comme lui, mais cet homme avait les yeux rouges. Il ressentait envers lui une sorte de puissance qui devrait l’effrayé, mais bien au contraire. Cela l’attirait plus que tout, sa curiosité était présente. Mais il se retenait de ne pas avancer pour aller vers lui. Il ne voulait pas avoir de problèmes avec le patron du magasin. Perdu dans ses pensés, il leva la tête lorsqu’il vit une paire de pied s’arrêter devant lui. C’était l’homme qui était rentré un peu avant, reprenant une posture droite, il le regarda.

-Bonjour Monsieur, je peux vous renseigner ?

Le blanc s’entait la puissance émaner de lui, mais depuis qu’il s’était mit en vente, il avait entendu des rumeurs comme quoi il y avait quatre cavalier qui sillonner le pays de Lustoria. Etait-il devant l’un d’entre eux et qu’il essayait de se faire acheter par lui. Il ne ressentait aucune peur, mais il savait qu’il pourrait découvrir de nouvelle chose avec lui.

[Le Panthéon de Lustoria]

Nergal c’était le cavalier des orgies. Il passe son temps à aller de droite à gauche dans le royaume pour visiter les nombreux temples, dédiés à la luxure. Il est à l’origine de cette tradition de prière collective, complètement indécente, peu importe l’endroit où il passe si il y reste trop longtemps et qu’il met un peu du sien, vous pouvez être certain que ça se transformera en orgie des plus intense, même si les personnes n’étaient pas présente forcément pour cela, il s’agissait d’un sentiment irrémédiable de se frotter aux uns et aux autres

Il avait eu vent que Lucifer s’était octroyé le droit d’avoir un esclave, une chose qui ne lui avait pas traversé l’esprit dans un premier temps, mais qui pouvait être très divertissant. Alors pourquoi pas lui après tout cela faisait partie de la société, il n’y avait rien de mal à ça. Contrairement au roi des cavaliers, ils n’étaient pas dans le forcing mais plutôt dans la manipulation tout comme son acolyte, le cavalier du fantasme, ils étaient très complices tous les deux, vu que leur domaine de prédilection sont étroitement liés.

Ils décident donc de se rendre dans les quartiers où il y avait les boutiques d’esclaves tout était clean dans ce royaume, il n’y avait pas ce qu’on pourrait appeler des bidonvilles ou des quartiers pauvres. Même les personnes n’ayant pas beaucoup d’argent, pouvez vivre dans un confort non négligeable, certes pas aussi poussé que le haut du panier mais suffisamment pour n’engendrer aucun conflit, ni de jalousie.

Nergal était facilement, reconnaissable avec ses cheveux blancs qui tire un peu vers la teinture rose, il préfère aller dans une boutique ou des esclaves un peu plus haute de gamme étaient présentés. Et évidemment le prix n’était pas le même mais chacun en valait le coup. Il rentre donc dans la boutique sa présence ne fait pas l’ombre d’un doute sur le fait qu’il soit particulier, il avait un charisme qui attire les regards et surtout les envies lubriques de chacun sa carrure été très musclée tout comme l’ensemble des cavaliers,

il était en train de flâner avant qu’un esclave aux cheveux blancs ne viennent l’interpeller, il s’arrête devant lui et le détail de haut en bas en venant, se lécher les canines un réflexe commun avec ses frères. Il avait jeté un coup d’œil général sur l’ensemble de la marchandise qui était à proximité et clairement c’était celui qui se démarque. Et ce qui était vraiment étrange c’est qu’il soit encore là mais il pouvait voir derrière l’esclave la petite pancarte avec le prix dessus il voulait rire à gorge déployée, car le prix était tout de même exorbitant, mais ce n’était pas un problème pour lui, car de toute manière qu’il paye ou non, il avait tous les droits

Lorsque le jeune homme aux cheveux blancs, lui adresse la parole, le Marchand en cours dans sa direction pour venir se mettre à genoux devant le cavalier et lui demander si cet esclave pouvait l’intéresser qu’il était de très bonne qualité. Nergal se rapproche de lui pour passer ses doigts dans les cheveux sur toute la longueur et se dit déjà qu’il y avait de très bonnes prises à faire entre ses doigts.

NERGAL - me renseigner, non… m’obéir, très certainement. Déshabille-toi,

Il n’avait aucun scrupule. De toute façon dans ce royaume, la pudeur n’était pas une règle. Mais au contraire c’était quelque chose de plutôt mal vu. Et il attend que l’esclave s’exécute. Il avait un corps très appétissant avec suffisamment de muscles pour pouvoir endurer ce qu’il compte faire de lui, le cavalier était bien plus grand que lui, et bien passé son index, puis son pouce au niveau des lèvres pour venir lui offrir la bouche et appuyer son doigt sur sa langue pour l’obliger à la faire sortir, et voir par la même occasion sa réaction, sachant qu’il était très proche de lui et que son odeur démoniaque vient caresser Les sens du jeune homme en lui provoquant des bouffées de chaleur

[Yoan & Sanitas]

Alors que Yoan regardait l’homme en face de lui, il vit le marchand se mettre à genou prêt de lui afin de savoir si il était intéressé par lui. Ne bougeant pas l’humain le laissa passer la main dans ses cheveux, tant qu’il ne tirait pas trop fort dessus, cela ne le gênait pas. Il avait demandé si il avait besoin de renseignement, la réponse fut négatif, mais à la place il devait se mettre nu. Il n’en croyait pas ses yeux, il avait déjà son kimono ouvert qui montrait son torse, mais cela ne suffisait pas apparemment. Obéissant, Yoan commença à défaire son kimono qui tomba au sol, cachant juste son intimité. C’est pas qu’il avait honte, c’est juste qu’il ne voulait pas que tout le monde le voit dans sa tenue d’Adam. On pouvait voir sur son corps qu’il n’y avait aucune cicatrice, sa peau pâle montrait aucune imperfection.

Par la suite, il sentit un doigt passait sur ses lèvres, qu’il ouvrit pour venir enroulait sa langue autour. L’odeur du démon lui donnait chaud, il réalisa enfin qu’il était en face d’un des quatre cavaliers qu’il avait entendu parler. Son corps commençait à lui donner chaud comme si il avait besoin de quelque chose de plus. Cela pourrait bien changer plus vite qu’il ne le pense.

Alors qu’il avait toujours l’index du démon dans sa bouche, Yoan continuait à faire tourner sa langue autour allant même le sucer un peu. Cela était plus fort que lui, il n’arrivait pas à résister à vrai dire. Il commençait à succomber à l’odeur qui était dans la boutique. Le pire c’est qu’il ne faisait même pas attention au personne présente dans le magasin, les autres pouvaient le voir perdre la tête doucement. Il avait l’impression au fond de lui, qu’il avait trouvé un maître qu’il allait profiter de son innocence. Qui pour le moment tester son obéissance pour voir jusqu’à ou il pouvait aller.

[Le Panthéon de Lustoria]

Le cavalier des orgies avait besoin d’un esclave qui soit obéissant pour satisfaire les moindres situation dans lesquelles il allait pouvoir le confronter et il fallait mettre le ton tout de suite pour être sûr que son choix soit judicieux et pertinent mais il y avait déjà un bon point l’esclave n’était pas du tout réticent. Il le regarde se déshabiller avant d’être agréablement, surpris par le fait qu’ils viennent bouger sa langue autour de son doigt quitte à venir le sucer. Nergal se leche les levres en un seul coup d’œil, il avait pu admirer le corps, parfait de cet esclave à la chevelure blanche et il ne désigne pas sur ses phéromones lubriques, même si cela devait affecter la clientèle dans ce magasin pour rien au monde, il n’allait se retenir de laisser ses envies s’exprimer dans cet endroit, car après tout ce n’était pas n’importe lequel des cavaliers

En voilà une marchandise parfaite… mais il faut encore que je la teste… et bien évidemment vous ne voyez pas d’inconvénient… N’est-ce pas ?


Il venait de jeter un regard sombre au Marchand, qui bien évidemment, lui non de la tête et qui lui signifie simplement que ce jeune esclave était vierge et que pour le tester il aimerait que le cavalier soit sûr de pouvoir prendre cet achat car il pourrait perdre de l’argent s’il n’était plus vierge à la vente Bien évidemment Nergal fonce les sourcils et attrape la gorge du Marchand avec l’autre main, gardant toujours son doigt dans la bouche de l’esclave

Mec… si je décide de prendre sa virginité et que je ne l’achète pas, je n’ai rien à foutre de l’argent que tu peux perdre. De toute façon vu son physique, tu n’auras aucun mal à le vendre quelque soit sa situation.

Son regard était rouge sang il balance le Marchand plus loin, avant de reporter son regard sur le jeune homme. Il retire son doigt avant de lui faire écarter les mains et admirer son membre, il vient poser sa main dessus pour commencer à le branler et avance son visage pour venir lui lécher le cou de manière. Obscene. En venant faire grimper son excitation, il libère un parfum aphrodisiaque qui vient remplir l’ensemble de la boutique et qui sans aucun doute, aller affecter les personnes qui s’y trouvent d’ailleurs on pouvait voir quelques esclaves dans leur vitrine qui commencent à se masturber contre la vitre

[Yoan & Sanitas]

Yoan ayant obéit à l’ordre, se retrouvant nu dans la boutique face à tout le monde. Il était pu et encore vierge alors ses joues prirent une teinte rosé par la gêne. Il sentait les phéromones du cavalier qui commençait à faire son effet, mais il essayait de ne pas se laisser tomber dedans. L’homme a la chevelure blanche entendait l’homme en face de lui qui le qualifier de marchandise parfaite, mais il voulait le tester avant. Il se demandait comment il allait le tester, il ne comprenait pas vraiment. Il le regarda demander au marchand si il n’y envoyait pas d’inconvenant. La réponse du marchand fut positif, il n’allait pas se mettre à dos l’un des cavaliers. Cela pourrait faire chuter sa boutique en un instant.

Le marchand fut attraper par la gorge de sa main libre, alors que Yoan suçait toujours le pouce de celui-ci. Il faisait tout de même attention à la conversation qui se passait entre les deux hommes. Que même si il décidait de ne pas l’acheté, il en avait rien à foutre de l’argent que le marchand pouvait perdre. Mais au vu du physique de §Yoan il pourrait le vendre rapidement dans tous les cas. Il avait un corps impeccable qui pourrait faire plaisir à n’importe qui.

Une fois qu’il eut relâcher le vendeur, le cavalier retourne sa concentration sur lui, retirant son pouce de sa bouche. Nergal retira les mains qui cachait le membre de Yoan , avait que celui-ci ne commence à le mastuber pendant qu’on léchait son cou ce qui le fit frissonner. Il ne s’était jamais masturber de toute sa vie et c’était une première à ses yeux. Sentant un parfum aphrodisiaque qui envelopper toute la boutique. Tournant la tête rapidement, il put constater que les autres esclaves en vitrine se masturbaient eux aussi.

Il avait chaud, mais le problème c’est qu’il ne savait pas ce qu’il devait faire. Attendre qu’on lui dise quoi faire ou prendre les devant en posant des question pour l’aiguiller.

-Qu’est ce que je peux faire pour vous satisfaire Maître ?

Même si il ne l’avait pas encore acheté, il l’appelait déjà « Maître ». Peut-être qu’après avoir était testé il serait acheté par le cavalier.

[Le Panthéon de Lustoria]

Le cavalier avait clairement compris qu’il se trouve devant quelqu’un de vierge, de la tête aux pieds qui n’avait même pas pu connaître non plus les plaisirs de la masturbation vu la réaction qu’il devait avoir, c’était sûrement un comble pour le cavalier des orgies, mais il allait pouvoir bien s’amuser à venir éduquer ce petit lapin… il continue de le masturber fortement alors qu’il a commence à retirer ses habits pour se mettre torse nu et montrer les immuables tatouages démoniaque qui parcourt son corps. Il avait tellement envie de prendre la virginité de cette esclave, mais pour une première fois ce n’était pas vraiment très glorieux, l’endroit ne se prête pas vraiment à la magie, donc il allait devoir se contenter de subvenir à des besoins primaires

Mmmmh tu peux déjà continuer à gémir pour moi, il semblerait que ce soit la première fois que l’on vient te toucher ici

Il savait très bien que dans les vitrines, les autres esclaves mouraient d’envie d’être à la place du jeune homme à la chevelure blanche. C’était un immense honneur de pouvoir attirer l’attention d’un des cavaliers du royaume. Nergal ne viens pas faire dans la dentelle et viens soulever le jeune homme avec une facilité des concertante pour venir le poser allongé sur ce qui semble être une banquette d’exposition. Il vient au-dessus de lui en écartant bien ses jambes.


Mmmh viens mettre tes deux mains autour de nos grosses bites

Il vient alors lui montrer comment faire pour qu’il puisse englober les deux membres qu’il se collent l’un à l’autre et à ce moment-là, le cavalier pose ses deux mains de chaque côté de la tête de l’esclave pour se mettre à donner des coups de bassin, comme s’il était en train de le pénétrer il pouvait clairement sentir les deux glands frictionner l’un contre l’autre, offrir une sensation délectable, alors que les mains étaient en train de se resserrer autour de leur queue. Il vient donc se pencher pour venir l’embrasser en jouant avec sa langue de manière perverse.

[Yoan & Sanitas]

Alors qu’il sentait qu’on continuait à le masturber, il laissait passer des gémissements de plaisir. De la même façon Yoan regarda le cavalier se déshabiller sans jamais s’arrêter de le toucher. Il lui avait demandé si il pouvait lui faire quelque chose pour le satisfaire pour que lui aussi prenne du plaisir. Il eut comme réponse c’est de continuer de gémir pour lui car il avait comprit que c’était la première fois pour lui ce qu’on lui faisait. Obéissant l’homme au cheveux blancs continua de gémir pendant qu’on s’occupait de son membre. Puis d’un coup cela s’arrêta car il fut soulever comme si il ne pesait rien du tout limite comme une plume .Se retrouvant poser sur une espèce de banquette d’exposition, lui faisant écarter les jambes pour que le cavalier puisse se mettre entre. Le temps qu’il l’avait porté, il avait pu voir les autres esclaves qui se caressait, voulant limite lui voler sa place par jalousie. Mais non, c’était bien lui qui avait été choisi comparé aux autres.

Ayant le cavalier de l’orgie au dessus de lui, Yoan pu ou du moins en profita pour l’admirer, regardant chaque tatouages qu’il avait sur le torse. Il hésita à passe la main dessus pour les toucher, dessiner le contour d’eux. Mais il ne prendrait pas les devant, bien trop gêner pour le moment. Par la suite il eut comme ordre, si on peut dire cela, c’était de venir mettre ses mains autour de leur bites sûrement pour avoir un plaisir mutuel.

L’humain écouta les explications et comment faire pour tenir leur deux membres ensemble en même temps. Dans cette position, il sentit Nergal faire des va et viens ce qui faisait que leurs glands se frottait l’un contre l’autre, le faisant gémir encore un peu plus fort.

Bien que Yoan gémissait de plaisir, le son fut »couper » par le cavalier qui venait de l’embrasser tout en jouant avec sa langue. Il essayait de dominer un peu les jeun mais cela était peine perdu. C’était son premier baiser, alors il ne savait pas se battre dans un jeu de langue ou il n’était pas expert. Il faisait juste des tentatives pour voir ce qu’il pouvait tenter de faire pour satisfaire son futur Maître.